Exposition blasphématoire d’Avignon : dites votre peine...

Finalement les deux artistes des coups de marteau auront été plus efficaces que notre pauvre signature sur la pétition.

Pourvu qu'on ne les rattrappe pas ( si leur visage était bien camouflé ) sinon on sera des milliers de cathos à devoir rembourser ces horreurs à prix d'or en dommages et intérêts.

Si ces "horreurs" on été détruites ce n'est que justice. que l'on soit athée est une chose mais que l'on salisse une religion en est une autre.j'avoue que j'ai prié pour que ces "choses"soient détruites.Prière exaucée.Merci Seigneur.

Pourquoi ne pas rattacher ce fil à celui qui existait et qui était en cours de discussion?
J'y avais même déjà annoncé la destruction de l'oeuvre...

Le "Piss Christ" détruit par des intérgristes : "L’ignorance de ces gens est hallucinante"
17/04/2011 à 16h46 - mis à jour le 17/04/2011 à 19h38 | 24137 vues | 633 réactions

Piss Christ ou Immersions de Andres SERRANO. Collection Lambert à Avignon. | Max PPP

Deux oeuvres de l'artiste américain Andres Serrano, dont le fameux "Piss Christ" ont été détruites dimanche dans l'hôtel particulier d'Avignon, qui abrite la collection du marchand Yvon Lambert.

Les vandales s'en sont pris aux clichés à coups de marteau et de pioche, rapporte France Info.

Selon Europe 1, quatre personnes se sont introduites dans le musée en se faisant passer pour des visiteurs. Deux d'entre elles ont simulé une importante dispute pour faire diversion. Pendant ce temps, les deux autres malfaiteurs ont lacéré les oeuvres. Ces quatres personnes seraient en fuite, indique Europe 1.

Le directeur du musée a porté plainte ce dimanche. Le musée est quant à lui fermé.

"Je suis écoeuré. Deux oeuvres foutues quand même ! Ils ont attaqué le 'Piss Christ', c’est une chose, mais ils ont aussi attaqué une photo magnifique des mains d’une religieuse. L’ignorance de ces gens est hallucinante", a déclaré Yvon Lambert, le directeur du musée au micro de France Info.

On voit que toute les valeurs sont inversés dans les esprits et selon l'Evangile:
"Il faut que les sacandales arrivent,mais malheur à ceux par qui ils arrivent."

Et bien personnellement, je remercie ces personnes de l'avoir fait. Ce tableau blasphématoire a suffisamment été exposé, et visiblement il n'allait pas être enlevé.
Il faut aussi parfois savoir se battre pour l'honneur de Notre Sauveur.

pas que "parfois" d'ailleurs.......

Vive Dieu!!!!

La direction de la collection a déposé plainte et indiqué que le musée rouvrirait ses portes dès mardi matin avec les «oeuvres détruites montrées telles quelles».

Panetier:
le musée rouvrirait ses portes dès mardi matin avec les «oeuvres détruites montrées telles quelles»
Alors il faudra les voler...tous simplement.
ou les brûler!

@ Charles Edouard et Panetier,

L'oeuvre (sic) risque malheureusement d'être davantage protégée...

Et si 500 personnes urinaient devant l'entrée et dans les couloirs de ce lieu maudit ? (Je blague... mais pas tant que ça !)

Concernant les faits, ces actes de "vandalisme" sont parfaitement conformes à l'enseignement de Notre Seigneur lui-même. Le Christ n'avait-il pas jeté bas les étals des marchands qui profanaient le Temple ? Je me solidarise totalement avec les auteurs de cet acte de Foi.

Malheureusement, d'après certains médias, ils auraient déjà été reconnus sur les images de la manifestation qui a précédé. Il va falloir mettre en place des quêtes dans les Paroisses !

Déjà, tout ce que l'art contemporain (sic) compte d'idiots intellectuellement invertis braille à l'intolérance religieuse ! Alors je ne peux pas m'empêcher de citer ce trait d'esprit de Joseph de Maistre : "La tolérance, il y a des maisons pour cela !"

En tous les cas, le coup est réussi, toute l'attention des médias se focalise sur l'insignifiant Serrano... Et de rappeler la destruction des Bouddhas de Bamiyan ! Et de porter plainte, alors que cette bande de régressifs incultes va pouvoir capitaliser pendant longtemps sur cette notoriété indue ! On croit rêver ! Doit-on conclure de tout cela que l'oeuvre (sic) en question est considérée comme objet de culte par ces dévoyés-là ?

En la cité des Papes, en cette Semaine Sainte, nous nous rappelerons que l'Honneur du Christ, de sa Sainte Croix, du Catholicisme français a été sauvé par ...quatre personnes !

Que Grâce leur soit rendue !

P.S. : si ces gens-là se complaisent dans l'excrémentiel, une bonne trentaine de boules puantes dans la salle d'exposition pourrait leur servir d'encens, qu'en pensez-vous ?
Devant un tribunal, nous pourrions plaider que les faits soient considérés non comme actes de vandalisme, mais comme un happening !

[mod] À la demande de "pax et bonum" j'ai fusionné les deux sujets. Gilles. [/mod]

Moi ce qui m'attriste dans cette histoire, c'est un crucifix dans l'urine et c'est "de l'art ou de la liberté d'expression". En revanche brûler un Coran est un "acte raciste et innoportun" cherchez l'erreur.

Je remercie ceux qui ont eu le courage de faire ce geste le Jour des Rameaux! et cela a ainsi pu réparer tant de blasphèmes qui se font. J'espère que dans l'avenir beaucoup prendront exemple et sauront montrer qu'on ne se moque pas des choses sacrées!et qu'on ne peut pas faire nimporte quoi et dire que c'est de l'art!

Merci Gilles de raccorder les sujets qui n'en font qu'un.

Je suis persuadé que tous ces événements réjouissent le propriètaire du musée et aussi,de loin,l'artiste qui doit se frotter les mains pour cette publicité gratuite.
Il est sur que l'exposition restant ouverte avec les oeuvres fracassées vont attirer du monde plus que dans les Eglises!
Mais inversement,du point de vue de Dieu,le Seigneur Jésus a été glorifié comme jamais dans les rues d'Avignon où l'Eglise est sortie de son ghetto paroissial pour montrer qu'elle existe,que l'on ne peut pas fouler aux pieds une religion deux fois millénaire.

La vraie procession des Rameaux était celle-là,publique,visible,extérieure,courageuse et non pas confinée dans les églises au sein d'une liturgie rassurante et toute programmée.
Du ciel,Dieu regarde le coeur.

Bonjour,

Je suis un peu mal à l'aise par rapport à ces actes.

Je crois que c'est une erreur.

Amicalement,

Emmanuel

Je peux vous comprendre. Vous vous dîtes sans doute qu'on ne doit pas défendre le Christ par la violence et cela se défend.

Mais n'oubliez pas que ce sont les oeuvres et non l'artiste que ces personnes ont attaquées.

Bonjour,

Je ne puis imaginer un saint agir ainsi. Je crois que cela fait le jeu du Malin.

Le Seigneur Jésus ne nous a jamais enseigné à enfreindre les lois et à vandaliser, mais à prier et à souffrir pour ceux qui nous persécutent, pour ceux qui Le persécutent.

Amicalement,

Emmanuel

Bonjour à Tous,

Comme Emmanuel, je n'arrive pas à cautionner un tel acte ! Et je pense comme lui que c'est faire le jeu du "grappin" que d'adhérer à cet acte de violence. Perpétré par qui d'ailleurs ????

C'est sûr, c'est nous les cathos qui allons porter le chapeau !!
Intolérant, intégriste, voilà comment on nous nomme ! Est-ce cela le message de Jésus ! Non, sûrement pas !!!

Signer une pétition, c'est une chose pour montrer sa désapprobation, prier sur place ou à distance, pour que cette cause soit entendue, c'est aussi une action.
User de la violence, c'est une toute autre chose qu'on ne peut cautionner véritablement !!

Prions et offrons nos prières avec insistance pour que la Vérité, au nom de Notre Seigneur, soit établie !!

Pour ma part, je demande que cette "grosse" maladresse soit liée au pied de la Croix.
Que la Puissance de la Résurrection de Jésus nous donne le courage de supporter cette épreuve et éclaire notre chemin !

Union de prières,
Françoise.

Je ne puis imaginer un saint agir ainsi. Je crois que cela fait le jeu du Malin.

Pas si sur!

La violence à condamner est celle qui est dirigée contre les personnes,contre les animaux,contre le vivant en général.
Mais tous les prophètes ont été violents contre les idoles.Or,dans ce cas précis,le christ profané n'a plus valeur du christ adoré mais à valeur d'une idole,d'ailleurs vénérée par tous les pseudo-artistes et les pouvoirs publics complices.
Par conséquent,je ne serai pas étonné qu'un saint renverse une idole.
Moi qui ne suis pas saint,j'ai été décrocher les affiches blasphématoires du festival de théâtre d'Avignon ,l'année dernière,qui représentaient également un crucifix mais dont le crucifié était un gorille!....Horrible!!!
Alors,fallait-il se taire et rester dans le fond de son couvent?
Dans son discours,le responsable de Civitas a abordé la question et a dit que lorsqu'on est soi-même attaqué,il faut tendre l'autre joue,mais lorsque l'objet de notre foi est attaqué,il fallait se référer au passage de la vie de Jésus où il prend un fouet de cordes pour chasser les marchands du temple.

Que s'est il passé au juste? Quelqu'un pourrait-il me le dire?

Fraternellement

Mariejesus

Cela veut-il dire que cet acte est signé Pax ! Et moi qui croyait naïvement que ceux qui avaient perpétré cet acte n'étaient pas trop conscients des conséquences que cela pouvait engendrer dans ce monde hypocrite ??

Françoise.

Chère Françoise,l'acte n'est pas signé Pax,mais Pax ne le désapprouve pas,tout comme les responsable de Civitas ne l'a ni approuvé ni désapprouvé.
Croyez-vous que le monde soviétique ne se serait pas effondré sans quelques actes vigoureux de Solidarnosk en Pologne avec les effigies de Staline déboulonnées?
Si un jour l'Eglise décide de sortir de ses sacristies,il y aura certainement des choses de ce genre.Mais avec l'Eglise dormante,pas de danger!

cher Emmanuel,
Détrompez-vous, il y eu de Saintes colères dans l'histoire de la religion :
il y eu d'abord Moise qui entra en grand courroux et brisa de colère les Saintes Tables en voyant son peuple adorer le veau d'or.
Notre Seigneur Jésus-Christ lui-même n'est-il pas entré en colère et n'a-t-il pas chassé violemment les marchands qui s'étaient installés dans le Temple??
Il est quelquefois indispensable de montrer son courage afin de lutter contre le mal. Je vous rappelle d'ailleurs une célèbre phrase de Saint Pie X que devraient bien méditer nos évêques français :

-"c'est la faiblesse des bons qui fait la force des méchants"

Bien fraternellement.

Oui, à mon sens, c'était bien une Sainte colère, salutaire au demeurant.

En revanche, je désapprouve totalement les menaces de mort proférées à l'encontre du personnel du "musée". Ça, ça n'est plus du tout dans l'esprit du Christianisme ! Plus du tout. En cela, la mise en garde d'Emmanuel est sans doute justifiée.

En ce qui concerne l'insignifiant Serrano, si vous voulez vous faire une idée du personnage et de ses productions, au sens propre, j'entends, vous pouvez cliquer sur le lien ci-dessous. C'est très explicite !

Âmes sensibles s'abstenir. Préparez-vous à une plongée dans le néant.

http://fr.asylum.com/

Vous comprendrez immédiatement pourquoi je n'ai pas fait de copié-collé.

Union de prières.

Andres Serrano, "artiste pipi-caca"


Daoudal Hebdo revient sur les "oeuvres" d'Andres Serrano :

"Serrano ne fait pas que bafouer l’image du Christ sur la croix. Cette photographie (en fait l’une des dix photographies de la même abjection), fait partie de la série des « immersions », où l’on trouve aussi une Vierge à l’enfant, par exemple… Il y a aussi une série de photographies de ses excréments. Pipi-caca : on voit l’âge mental de l’artiste. Sa série « L'histoire du sexe » est tout simplement pornographique. Quant à sa série « La Morgue », c’est une atteinte inqualifiable à la dignité humaine. Il est insupportable que Philipe Isnard soit révoqué de l’Education nationale pour avoir montré ce qu’est un avortement, et qu’Andres Serrano soit acclamé comme un grand artiste quand il photographie un corps éventré, ou des morceaux de chair sanguinolents. Serrano, c’est un des hélas nombreux témoins de la culture de mort dans l’art. Le blasphème contre le Christ n’est ici que le sceau diabolique de la volonté de salir et de détruire l’homme dans son humanité : la révolte contre la création devient forcément révolte contre l’incarnation."

Un extrait de la vie de saint Martin pour observer que la destruction paÏenne eut éxisté :

Martin ne tarde pas à se révéler, comme un évêque gouvernant avec autorité, aimé, respecté des fidèles. Il est humble et accueillant; il reste pauvre. Installé dans un ermitage à une demi heure à pied de Tours, il est rejoint par des disciples. Ainsi naît le monastère de Marmoutier. Il établit une règle de vie faite de prières, de pauvreté, de mortifications. L'évêque y accueille jusqu'à quatre-vingts âmes aspirant à vivre comme le saint, vêtus, comme lui, de bure grossière. Chacun vit dans une cabane, priant, méditant, se faisant copiste de livres saints. Martin se rend tous les jours à sa cathédrale pour célébrer les offices. Un jour, pendant l'Eucharistie, un globe lumineux apparaît audessus de l'évêque: il vient de donner, en cachette à un pauvre, sa propre tunique... Sa charité est inlassable. Il rachète des captifs, intercède en faveur de condamnés à mort. Il parcourt les villages de son diocèse, fait détruire temples païens et idoles démoniaques; il fait abattre les arbres sacrés. Des signes nombreux accompagnent les efforts infatigables d'évangélisation de ce pasteur d'âmes; ils confirment les fidèles dans leur foi et infirment les croyances des païens et l'hérésie des ariens. Sur l'emplacement des temples détruits, il fait construire des églises et des monastères. Peu à peu le diocèse se couvre de lieux saints que l'évêque confie à ses prêtres; les vocations se multiplient autour de lui et sous son égide.
Les miracles également. Sulpice Sévère, son biographe affirme qu'il a lui-même assisté à plusieurs miracles. En voici quelques-uns d'une longue série, dus à l'intercession de l'évêque thaumaturge. Arrivé un jour, dans un village païen, il décide d'abattre leur arbre sacré. Menés par le sacrificateur, les paysans s'y opposent. Attaché, sur sa propre demande, à l'arbre, du côté où celui-ci doit nécessairement s'abattre, l'arbre tombe du côté opposé, sauvant le saint qu'il devait écraser. Bouleversés par ce miracle, cette communauté païenne se convertit. Un autre jour, l'évêque met le feu à un temple païen; les flammes, poussées par le vent, menacent d'engloutir une maison voisine. Montant sur le toit, Martin supplie le Ciel d'épargner cette maison; aussitôt les flammes se détournent. En voyage, il est attaqué par un brigand qui va le percer de son épée; à ce moment-même, le malfaiteur tombe à la renverse. Effrayé, il s'enfuit. A Trèves, l'évêque guérit une jeune fille paralytique qui se meurt, en lui versant quelques gouttes d'huile bénite, dans la bouche. Aux portes de Paris, Martin rencontre un lépreux horriblement défguré; il le prend dans ses bras et l'embrasse. Aussitôt, la lèpre est guérie.

Bien vu Panetier !

Suivons les exemples du Christ au Temple et de Saint-Martin !

On ne prie pas devant un train pour Auschwitz, on le sabote ! On ne prie pas devant le Juif pourchassé, on le planque ! On ne prie pas devant la Cathédrale de Turin en feu, on sauve le Saint-Suaire ! On ne prie pas devant les profanateurs du Temple, on les éjecte !

Cinq siècles de protestantisme ("La grâce plutôt que les oeuvres"), trois siècles de libéralisme ("Laissez-faire, laissez aller"), un siècle de laïcité ("Tout se vaut") et un demi-siècle d'art contemporain ("Plus rien n'a de sens") démentis en ce Dimanche des Rameaux !

Tenons-nous en là. Dénonçons MAINTENANT vigoureusement ceux qui profèrent des menaces de mort, et prions MAINTENANT pour l'âme égarée de ce Serrano !

Bonjour,

Malheureusement, nous faisons souvent référence à la Sainte Colère, pour justifier nos actions qui, elles, ne sont pas saintes.

Avant d'accomplir des actions exceptionnelles inspirées par Dieu, comme celles de certains saints ou de Jésus, demandons-nous si nous avons atteint la sainteté de ceux-ci, et si nos motivations sont pures, dénuées complètement de notre humanité qui est encore entachée par la Faute.

Pierre ne voulait-il pas défendre Jésus à coup d'épée? Après avoir arraché l'oreille d'un gardien venu arrêter le Christ pour le faire condamner, Jésus dit à Pierre qu'il n'avait rien compris, encore, à Son Enseignement d'Amour.

C'est là l'une des plus grandes souffrances qu'a vécues le Christ, à l'heure de Sa Mort. Ses plus proches amis, ceux qui l'avaient suivi durant toute sa vie publique, n'avaient encore rien compris. Ils se croyaient braves, mais prirent tous la fuite. Seules les saintes femmes et le doux et humble Jean furent assez "forts" pour rester avec le Christ jusqu'à la Fin.

Emmanuel

Rien compris, c'est excessif. Mais c'est vrai que Pierre n'avait pas compris la nécessité spirituelle de la Passion pour le salut des âmes (et tous les apôtres s'enfuirent ensuite du Gethsemani). Cependant son action bien qu'imparfaite, était de l'amour, en partie désordonné, mais pourtant de l'amour, ce qui est infiniment mieux que le désespoir dû au désappointement de Judas, et lui vaudra (dans la contrition nécessaire) le triple questionnement que nous connaissons avec en réponse la triple profession d'amour.

On ne peut pas non plus correctement ressasser que la seule violence (même physique et apparente, car il y a tant de formes de violences ! ...) est, en tant que telle, une agression injustifiée. Pas seulement par l'exemple des marchands chassés du Temple, mais aussi par la négative : sinon les forces de l'ordre ou armées seraient en tant que telles illégitimes ainsi que bien des actes de défense ou de précaution - ce qui est faux bien sûr dans le principe, mais trop souvent vrai dans l'application humaine au sens d'une vraie et saine et, d'autant plus, sainte, justice.

D'ailleurs les plus grandes violences et spécialement à notre époque sont cachées, indirectes, insidieuses et souvent lâches; si on ne comprend pas cela, c'est qu'on le veut bien ...

Je vous signale que le doux et humble Jean - qui l'était presque tout le temps, je suis d'accord, et que j'aime - a été nommé fils du tonnerre par Jésus (Boanergès) après avoir voulu lancer le feu du Ciel sur des juifs et, si on lit la Passion dans Maria Valtorta, on peut lire (tome 9, chap. 31) que Jean avait entamé un étranglement sur un juif nommé Elchias insultant la Sainte Vierge, lors du retour du Calvaire ( "Demande lui pardon ou bien je t'étrangle démon") et ce n'était pas une figure de style mais bien réel ...

Bonjour Territoire,

Je suis toujours heureux de vous lire. Je ne saurais trop ajouter, cependant, car, je n'ai pas de désaccord avec vos paroles. Pierre aimait bien Jésus, c'est certain, et Jean avait aussi ses côtés humains, où il s'est fait doucement corriger par Jésus.

Union de prières,

Emmanuel

Bonjour Emmanuel,

je suis d'accord aussi avec vous, mais tout en préférant plutôt imiter Jean, j'imite dans les faits d'habitude plutôt Pierre dans son côté véhément

Il y a encore du boulot ! ...