Célibat des prêtres

Les origines
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Initialement dans la religion hébraïque de l'époque classique (premier millénaire avant J.C.), les prêtres juifs du Temple de Jérusalem étaient mariés et devaient cependant s'abstenir de toutes relations sexuelles pendant leur « tour de service » au Temple qui durait un mois par an ; ce n'était donc pas si terrible...

Ce souci d'abstinence était lié non pas à une notion de péché dans « l'acte de chair » comme on le perçoit dans certains textes du Judéo-christianisme (voir Psaume 51, verset 7), mais plutôt à un désir de pureté rituelle comme dans les règles alimentaires du « Casher » des Juifs.

Mais le fait religieux en cause devint dépourvu de toute conséquence à partir de 70 après J.C, du fait de la destruction du Temple de Jérusalem par les armées romaines de Titus.

Par la suite les adeptes du Christianisme deviennent numériquement plus nombreux que le peuple juif (à partir du premier siècle) et sont dirigés par des « Presbutéroï » (en Grec « les plus anciens » et d'où dérive le mot « prêtre »). Ceux-ci animent à plusieurs les communautés locales tels un conseil de paroisse.

Les « Presbutéroï » sont eux-mêmes regroupés sous l'autorité d'un « Episcopos » (en Grec : « le surveillant » et d'où est tiré le mot « évêque ») qui est unique pour chaque communauté. Les « Presbutéroï » sont des bénévoles (en principe) ; ils sont mariés et pourvus d'un métier laïc. Le mode de désignation de ces « Presbutéroï » est la cooptation par la communauté, tandis que c'est les « Presbutéroï » qui élisent leur « Episcopos » en leur sein (sachant que du temps très primitif de St. Paul, celui-ci désignait lui-même les « Episcopoï » de ses communautés récemment fondées).

Comme ils célèbrent la sainte Cène (communion) où ils sont censés manipuler le corps du Christ, les règles de pureté rituelle se posent encore. Mais elles sont peu à peu occultées dans les esprits ou négligées, sachant que (volontairement) certains « presbutéroï » se consacrent au célibat, mais ce n'est pas une obligation ... Les ordres monastiques se créent alors progressivement à partir de religieux ayant renoncé au monde et opté pour le célibat, mais sans desservir une paroisse.


http://atheisme.ca/repertoire/regulastic/celibat_fr.html

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Lilia non laborant neque nent.

Bonjour.

Comment une bretonne peut-elle vivre en Belgique?

A propos du célibat des prêtres,je ne sais pas s'il faut en chercher l'origine dans le Judaïsme et les lois de pureté,car aux débuts de l'Eglise,les diacres,évêques et anciens (prêtres) étaient mariés.
Une des lectures de notre bréviaire rapportant une lettre de St Ambroise nous fait sourire car elle dit:"...et que le évêques ne possèdent qu'une seule femme".
Peu à peu,les clercs se sont monachisés en adoptant les voeux monastiques de pauvreté,chasteté et obéïssance sous forme de promesses devant leur Evêque,et avec assez de souplesse,tandis qu'inversement les moines et religieux se sont cléricalisés,avec une hiérarchie sacerdotale.Encore maintenant,il faut être prêtre pour être supérieur.
La chasteté inclut donc un célibat obligatoire pour les prêtres et cela reste aujourd'hui dans le droit de l'Eglise.
Mais un historien des religions a donné sa version très pertinente[Maurice Jourjon,ancien doyen de la fac.catholique de Lyon].Il disait que la raison de la chasteté des prêtres et des évêques était beaucoup plus pratico-pratique:c'était pour éviter que la descendance inévitable de leurs fils n'héritent de leurs biens et que les biens d'Eglise ne deviennent des biens particuliers.

"Bonjour.

Comment une bretonne peut-elle vivre en Belgique ?"

Bonjour pax et bonum, je ne suis pas bretonne de naissance, et de un, mais suis bretonne de coeur.

Secundo j'ai dû m'expatrier car rendue très malade par les vaccins imposés par la Marine en France. Mon pays a ensuite voulu m'imposer le vaccin Hépatite B, j'ai senti le vent venir... et des amis m'ont appris qu'une telle obligation n'existait pas, à l'époque, en Belgique, pour les infirmières.

Très jeune j'ai voulu vivre en Bretagne et c'est à Brest que de grands soucis de santé ont commencé : en 1981 mes deux genoux se sont dérobés douloureusement sans aucune explication, on a mis un diagnostic sur ce calvaire en 2005 seulement... de multiples symptômes se sont déclarés entre temps.

Je me suis soignée seule, délaissée des médecins et de ma famille car personne n'y comprenait rien. Et peux vous affirmer que grâce aux plantes, l'homéopathie et la radiesthésie je m'en suis fort bien tirée. A bon entendeur...

C'est à grand regret que j'ai dû me résoudre à ne plus vivre en bord de mer. Je me suis installée en Belgique en 1992.

Votre question est d'autant plus étrange, hormis le fait que je ne sois pas bretonne, que d'excellentes relations se sont nouées entre ces deux peuples celtes, ceci est bien connu.

César ne disait-il pas : "De tous les peuples celtes, les Belges sont les plus braves" ? La Belgique s'est révélée une excellente terre d'accueil, les Belges de coeur sont des personnes formidables car leur terre a accueilli et intégré plusieurs nations au fil des siècles ; ce pays traverse actuellement une grave crise à cause de luttes fratricides entre Flamands et Wallons.

La situation n'est pas nouvelle mais s'envenime sérieusement ; nul ne sait où 'ira' la Belgique. Scission, fédération, autre chose ?

Je souffre d'autant plus des mauvais échanges sur le forum que je suis obligée de les vivre au quotidien : si vous demandez à un Flamand - en français - à quelle gare vous devez descendre il ne vous répond pas !!!

Quant à l'art celte, vous qui dites aimer la beauté, il est SUPERBE. Le connaissez-vous ?

Merci pour cette intervention qui permet de mieux nous connaître.

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