L’UNIVERS CONDENSE OU L’ATOME PRIMITIF EST BIBLIQUE

par **Flavien Phanzu** Mer 22 Mar 2023 - 15:42

LE MODELE COSMOLOGIQUE UNIVERSEL

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Notre thème d’aujourd’hui a pour titre « L’UNIVERS CONDENSE est Biblique ». Pour aboutir à cette déduction, nous allons nous baser sur trois grands indices que nous retrouvons dans le schéma biblique de la création, tel que restitué dans le MODÈLE COSMOLOGIQUE UNIVERSEL.

Notre but n’est pas seulement pour prouver que Dieu est le Créateur de l’Univers, mais surtout de démontrer que le schéma biblique de la création est fondé. En effet, si réellement Dieu est le Créateur de l’Univers, alors le schéma de la création contenue dans la biblique et la thora devrait être vrai. Souvent les théologiens essayent de démontrer que l’Univers fut créé par Dieu en se servant des preuves et des paramètres qu’on observe dans la nature.

Certes, On ne peut prouver l’existence de Dieu que sur base de ces paramètres tel que sera est écrit dans Rm 1 :20 les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l'œil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables.

Dans le Modèle Cosmologique Universel par contre, nous restituons directement le schéma biblique de la création tel que cela n’a jamais été fait depuis qu’il a été griffonné dans des papyrus, il y a de cela 1500 ans av.JC.

Ce que je partage avec vous fait partie de l’explication, selon l’astronomie, du schéma de la création contenue dans la bible et la Torah et auxquelles tous les croyants devaient être mis au courant. Cette restitution selon l’astronomie a pour nom critiquable, le Modèle Cosmologique Universel.

En effet, jusque-là, tous les modèles scientifiques n’expliquent qu’un seul aspect de l’univers. Ces aspects sont reliés les uns des autres et forment le modèle standard. A ce jour, le modèle cosmologique universel ramène au modèle standard « l’Avant Big-bang » auquel il a pu découvrir les évènements qui se sont déroulés dans cette sphère dans la Bible. Donc, ce ne sont pas des choses issues de la pensée de son inventeur.

Dans l’étude du schéma biblique de la création, nous avons découvert que La Bible commence à décrire l’univers par L’Avant Big-bang, alors que la science le commence à partir du Big-bang. C’est pour dire que la science n’est pas encore arrivée à la frontière où la Bible a commencé à parler de l’univers.

Notre connaissance pour comprendre les mystères de la création de l’univers, devrait commencer à partir du verset biblique qui dit ‘la terre était invisible et vide » (Gn 1 :2 ; Bible version Septante). Mais jusque-là, la science le commence autour de verset qui dit « Dieu sépara les eaux d’avec les eaux » (Gn 1 :7) appelé scientifiquement le Big-bang.

Bibliquement, Le Big-bang s’est déroulé à la seconde période de l’univers ou le 2^ème jour de la création selon la Bible et la Torah. Ce qui fait partie du premier jour biblique, appelé l’Avant Big-bang reste encore un mystère pour la science. Aujourd’hui, le Modèle Cosmologique Universel vient de dévoiler ces mystères, mais, les religieux pensent que je parle de la science, tandis que les scientifiques pensent je parle de la religion. Et pourtant, c’est une vérité sur la connaissance de l’univers, qui inclut effectivement la science (les effets) et la religion (la cause).

Dans tous les forums scientifiques et dans différentes vulgarisations, les gens se posent toujours des questions pour savoir ce qu’il y avait avant le Big-bang. C’est dans la Bible que nous avons découvert la réponse et cette découverte n’attire l’attention d’aucun scientifique, ni d’aucun théologien. Cela est dû par le fait que les scientifiques considèrent le schéma biblique de la création comme un conte, alors que les théologiens les considèrent, selon ce qu’on leur a appris dans l’université, comme un récit issu des traditions orales ou basé seulement sur la foi.

Ce que le Modèle Cosmologique Universel dévoile concernant l’Avant Big-bang tel que décrit dans le premier jour biblique, est une grande découverte pour la science et une contribution majeure pour la théologie.

Donc, tout ce que je veux partager aujourd’hui, fait partie du Modèle Cosmologique Universel. Si quelqu’un veut y mettre un commentaire positif ou négatif, qu’il ne touche pas au mot Bible qui est sacré pour les croyants, mais qu’il touche plutôt au modèle cosmologique universel, dont j’en porte l’entière responsabilité de mes commentaires.

I. Les journées bibliques

Sans comprendre la notion de temps, le récit biblique de la création va toujours nous apparaître comme un conte comme le qualifie actuellement les scientifiques et les athées.

Beaucoup de religieux pensent qu’introduire la notion de temps dans le schéma de la création biblique est une façon de diminuer l’omnipotence de Dieu, ce qui n’est pas vrai. Dans tout ce que Dieu a fait, il y a eu toujours une notion de temps. L’omnipotence de Dieu se révèle à travers la perfection des choses qu’il a faite, sans tenir compte de la durée que cela a pris, comprise dans une période appelée journée, dans l’espace entre un soir et un matin : " il y eut un soir et il y eut un matin " (Ge 1 : 5-27), démontrant qu’il y avait eu un commencement, une croissance, une évolution et une maturité.

Un exemple frappant qui montre que les journées bibliques n’étaient pas des jours ordinaires mais des périodes, est que pendant les trois premiers jours de la création dans le chapitre premier de la Genèse, il n’y avait pas encore la création (l’apparition) des luminaires pour marquer la notion du temps. Celle-ci est intervenue dans Ge 1 : 14, pendant le quatrième jour ou la quatrième période de la création comme nous pouvons le lire :

Ge 1 : 14 "Dieu dit : Qu’il y ait des luminaires dans l’étendue du Ciel, pour séparer le jour d’avec la nuit ; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années…" 19."Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le quatrième jour."

Alors, les trois premiers jours qui était non quantifiable étaient fixés en fonction de quoi puisque la notion de temps ordinaires a commencé le quatrième jour ? C’était fixé en fonction de l’aboutissement des évolutions qui se déroulaient dans l’Univers. On comprend par là que les journées bibliques étaient des périodes.

Sans comprendre ou connaître la notion de temps selon la Bible dans le schéma biblique de la création, on ne peut même pas s’engager dans un débat entre scientifiques et religieux.

Comme nous l’avons dit, le premier jour de la création décrit des phénomènes auxquelles nous ne pouvons jamais observer dans notre univers actuel. On ne peut même pas les reconstituer à travers un film de science-fiction. Aucun Pasteur ne peut en faire un sermon. Dans les grandes encyclopédies des commentaires bibliques, personnes n’a su les restituer. Cela parce que tout schéma de la création doit répondre aux exigences scientifiques et non des discours basés sur la foi. Et, le Modèle Cosmologique Universel prouve que le schéma de la création contenue dans la Bible et la torah répond à ces exigences.

Nous avons même saisi le Vatican pour la validation de ce Modèle par le Saint-Père. Pourquoi ? Parce que nous ne voulons plus que les théologiens s’engagent devant les scientifiques la tête basse sur la création de l’Univers.

Ce que nous allons décrire ici fait partie des certains grands événements qui se sont déroulés dans l’Avant Big-bang. Je dis certains parce que mes recherches sont encore en cours pour mieux déceler les mystères qui se cachent dans la littérature du premier jour biblique. Pour les résoudre, il faut des connaissances élémentaires soient elles en astronomie et en théologie, particulièrement le Principe de la création.

2. L’Avant Big-bang

Alors quels sont ces grands indices qui nous prouvent que l’Univers condensé fut une réalité biblique ?

Pour reconstituer l’histoire d’un lieu, les archéologues se servent des indices. Par exemple, aujourd’hui on n’est en train de chercher des indices pour voir s’il y avait l’eau et la vie sur la planète Mars. Quand dans un lieu désertique, on trouve par exemple la présence des coquilles, et que ces derniers ne vivent que dans les endroits humides, on déduit qu’il y avait de l’eau dans ce milieu. La datation de cette coquille va permettre désormais de comprendre à quel époque l’endroit a connu la présence de l’eau. Il en est de même si on rencontre des vases, leur constitution peut dévoiler l’état d’avancement de la civilisation qui y résidé.

Le schéma biblique de la création nous vient de l’antiquité dont les écritures étaient basées sur des symboles et des signes. Les traducteurs ont mis des conjonctions pour rendre leurs textes compréhensibles. Mais pour mieux reconstituer effectivement ce qu’a voulu dire son auteur, comprendre sa pensée il faut, comme dans un lieu désertique se servir des indices.

L’histoire de la création de l’origine à l’homme est une histoire évolutive. Aucun verset ne peut être indépendant de l’autre. La situation du départ doit connaître une évolution une fois qu’on avance dans la lecture. Même les versets démontrant une apparition simultanée d’une chose ont eu leur accomplissement à partir des situations qui sont décrites dans les versets antérieures.

Par exemple dans le verset : « Que la lumière soit », pourquoi dès le commencement cette phrase n’avait pas été prononcé afin que Dieu travaille dans la lumière ? tout simplement parce que une lumière n’apparait qu’avec un soubassement. Et le soubassement pour cette apparition, c’est ce qui se passait dans les versets antérieurs tels que nous allons le voir dans ce texte.

Nous avons dit que l’histoire de la création étant écrit dans l’antiquité sur des papyrus, pour mieux connaître la pensée de l’auteur, il faut se servir des grands indices.

Première indice : l’univers a commencé dans le vide

Gn 1 : 1-2 « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. 2 La terre était informe et vide :

Il est dit au commencement Dieu créa le ciel et la terre, mais cette terre fut informe et vide selon la Bible Louis Segond. Une chose qui est informe et vide, c’est comme une gaz dont on peut sentir mais qu’on ne peut voir et par conséquence on ne peut l’attribuer une forme. Ici, l’auteur veut nous dire au départ que l’Univers n’a été qu’une sphère vide. Cela est confirmée dans la Bible version Septante où il est écrit : « Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. La terre était invisible et vide ». La Bible version Septante contient la traduction originale parce qu’elle a été traduite par eux-mêmes les Juifs de l’hébreu en Grec en l’an 270 ap.JC. Les autres traducteurs des Bibles ne comprenant pas ce que veut dire « une terre invisible et vide », ont commencé par mettre leurs commentaires, tels que tohu-bohu, informe, vague, néant, nue, etc…

Selon la science, le vide absolu n’existe pas. Même dans le vide, il y a toujours de l’énergie. Donc, même si au départ, l’univers qualifie par le nom « terre invisible », mais, il y avait de l’énergie qualifié par « un esprit de Dieu, un souffle de Dieu ou un vent de Dieu » selon différentes versions. C’est cette énergie qui démontrait qu’on était dans une sphère physique appelée « terre invisible et vide », par rapport à la sphère spirituel ; invisible aussi, connut sous le nom de « ciel ».

Deuxième indice : L’abime ou le premier trou noir

Gn 1 :2 La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux.

Dans un univers vide au commencement rempli seulement de l’énergie, le verset « l’esprit de Dieu se mouvant sur les eaux », veut dire qu’il y avait un courant gravitationnel qui s’exerçait sur les particules qualifiées des « eaux » au premier jour biblique, l’entrainant dans un axe. Cela a provoqué un effondrement dans le tissu de l’espace créant ce que la Bible qualifié d’un abîme par le verset : « il y avait les ténèbres dans la surface de l’abîme ». Ainsi, nous voyons qu’il n’y a aucun terme qui a été utilisé au hasard dans le schéma biblique de la création. Tout a suivi un processus physique que nous sommes en train de reconstituer au premier jour, soit à l’Avant Big-bang.

L’abîme est défini dans le glossaire de Free bible comme un trou où se déroule des événements inconnus à l’intérieur et que rien ne peut y échapper une fois tomber ou entrer dedans. Les astrophysiciens se retrouvent à travers cette définition et savent qu’il s’agit de ce que la science qualifie à ce jour des trous noirs.

L’Avant Big-bang fut une période énergétique. La formation de premier trou noir qualifié « d’abime » dans la Bible, a suivi le même processus selon la nouvelle hypothèse que les astrophysiciens viennent d’avancer pour la formation des trous noirs supermassif se trouvant au centre des galaxies. Cette hypothèse que nous avons déjà infirmé dans nos précédentes publications, viens d’être confirmé dans le Magazine « SCIENCE&VIE » n° 1263 décembre 2022 dans l’article qui s’intitule : « la nouvelle histoire des trous noirs supermassif » de Benoit Rey. D’après cette nouvelle hypothèse, les trous noirs supermassif étaient créé par l’effondrement des particules et de la matière sans que cela aboutisse à la formation des étoiles.

En effet, Dans l’article ci-dessus, l’auteur parle de ce qui s’est passé dans l’Après Big-bang, mais, nous nous lui disons que c’est le même scénario aussi qui s’est déroulé dans l’Avant Big-bang au moment où, il n’y avait que le chaos, forma ce que la Bible qualifie d’abime. Bibliquement, cette condensation de la matière est décrit par le verset « l’esprit de Dieu se mouvant dans l’eau », et c’est ce qui a provoqué la première déformation du tissu de l’espace qualifié « d’abîme » dans la Bible et du trou noir par les astrophysiciens.

Et, comme on le sait, les trous noirs sont invisibles dans le ciel et ne sont repéré qu’à travers les mouvements des étoiles qui gravitent tout aux alentours. Ils répondent effectivement à la description biblique à savoir, « il y a les ténèbres à la surface de l’abime ». Donc, nous venons de décrire le processus de formation de l’abime en nous basant seulement sur les versets bibliques.

Si, le schéma biblique de la création était écrit après toutes ces découvertes scientifiques, on aurait dit que son auteur a triché dans la science. Mais, ce récit a été écrit 1500 ans av J.C. avec des termes de l’époque c’est-à-dire « esprit à la place de l’énergie », « eau à la place des particules », « abîme à la place du trou noir » et «la lumière à la place du rayonnement ». Comme on le voit, Il ne s’agit pas des concordismes, mais plutôt des synonymes.

Troisième indice : Le rayonnement fossile ou la première lumière de l’Univers

Gn 1 :3 « Dieu dit : Que la lumière soit! Et la lumière fut ».

Le troisième grand indice pour aboutir à l’Univers condensé qui fait partie du titre de notre thème, c’est la présence de la lumière. Nous avons dit pour qu’une lumière apparaisse d’une manière physique, il faut un soubassement, tout comme la présence des vases ou des coquilles dans un lieu permet de reconstituer son passé.

Selon la physique, une lumière ne peut jaillir que là où il y a eu réchauffement de la matière. L’augmentation de la température de cette matière, provoquant une chaleur, permet le dégagement de la lumière. C’est le cas du Soleil par exemple où la température de la matière dans son noyau doit dépasser 10 millions de degrés pour engendrer des réactions nucléaires et nous envoi la lumière.

Ainsi, en disant « Dieu dit que la lumière soit », physiquement, cette lumière est apparue en fonction de ce qui se passé quand l’esprit de Dieu se mouvait sur les eaux. C’était une façon pour l’auteur de dire que ce n’était pas une lumière qui était apparu au hasard mais, il y avait un Être qui avait le contrôle de la situation qu’il appela Dieu. C’est comme quand on dit « un tel a fait bouillir l’eau ». Mais, cette eau a bouilli suite à une certaine combinaison des phénomènes physiques, notamment la présence de la chaleur ou du feu qui fait mouvoir les molécules.

Donc, Entre un Univers vide au départ, et la présence de la lumière après, cela nous permet de reconstituer ce qui s’est passé entre les deux événements dans le schéma biblique de la création. Même si ce n’était pas des paroles miraculeuses qui avait fait illuminer cette lumière, mais, cela faisait partie du schéma divine, avons-nous dit. Nous avons déjà prévenu au départ que, dans le Modèle Cosmologique Universel, le schéma de la création est restitué selon l’astronomie et non la théologie.

En effet, Du point de vue physique, pour qu’il y ait une lumière, quelque chose de physique ou de la matière devrait d’abord subir une pression. Cela nous permet de revenir aux précédents versets. Selon le schéma biblique de la création, la première lumière était apparue quand Dieu a dit « que la lumière soit, et la lumière fut » au premier jour biblique.

Pour qu’il puisse avoir la lumière, on nous dit d’abord « l’esprit de Dieu se mouvait sur les eaux ». En nous basant sur ce verset, les seules matières à subir une pression de « l’esprit de Dieu » qui en fait représenter l’énergie, ce sont les eaux. Ce verset, nous démontre qu’il y avait une intense activité avant qu’on aboutisse à l’émission de la lumière. L’eau courante d’elle-même ne peut émettre de la lumière sauf si on le fait subir le craquage, c’est-à-dire la séparation entre l’hydrogène et l’oxygène et on procède après au réchauffement de l’hydrogène seul.

Mais, dans ce verset, nous voyons que la lumière a été émis après le verset qui dit : « un esprit de Dieu se mouvait sur les eaux » (Gn 1 :2). Par-là, on sait directement que ces eaux ne représentaient pas les eaux courantes, mais qu’elles s’agissaient plutôt de la matière. Et, les seules matières qu’on peut retrouver dans un univers invisible et vide, représentait bibliquement par les termes « une terre informe et vide », ce sont les particules.

Nous avons aussi dit dans les précédentes vulgarisations que les termes bibliques « une terre informe et vide » au commencement de l’Univers signifie un univers vide mais, remplit de l’énergie. C’est cette énergie que l’auteur a désigné par les termes « un esprit de Dieu ». Ceci en se mouvant sur une matière que l’auteur qualifie des « eaux » qui n’étaient autres que des particules, a fait germer la lumière.

Pour que cette lumière soit émise selon le verset qui dit que « la lumière soit, et la lumière fut ! cette matière a dû passer d’abord par un grand réchauffement jusqu’à atteindre le niveau d’une protoétoile. C’est ce que d’autres astrophysiciens disent qu’il y avait une étoile qui s’était effondrée avant le Big-bang. Pour les croyants non astrophysiciens, nous sommes en train d’expliquer comment ce processus se passe dans l’observation et dans l’expérimentation pour bien comprendre les phénomènes du premier jour biblique.

Donc, pendant que toutes les particules se déversaient en un seul axe, formant une sorte de trou noir qualifié d’abime par la Bible, et, avant qu’elles ne puissent se condenser à l’extrême, cette matière qualifiée des eaux par la Bible a émis la première lumière de l’univers provoqué par son réchauffement. Cela est décrit bibliquement par le verset « Dieu dit que la lumière soit et la lumière fut ! ».

Maintenant la question que nous devrons nous poser est : quel lien y’a-t-il entre le rayonnement fossile ou fonds diffus cosmologique et « la lumière fut ! » selon la Bible ?

En effet, après avoir émis la première lumière connut bibliquement par les termes « Et, la lumière fut ! » dans l’Avant Big-bang, L’Univers a continué son cycle de condensation jusqu’à l’extrême. Les énergies, les particules, les photons, tous furent tellement condensés à l’extrême que même la lumière ne put s’échapper. Elle ne réapparaîtra que 380.000 ans plus tard après le Big-bang avec l’expansion de l’univers. Les astrophysiciens ont surnommé cette lumière connut bibliquement par les termes « que la lumière soit et la lumière fut ! » par le nom du rayonnement fossile ou fonds diffus cosmologique.

Donc, le rayonnement fossile est reconnu scientifiquement comme étant la première lumière qui est apparu dans l’univers. Cette lumière existe jusqu’à nos jours et ses fluctuations se remarquent parfois dans nos écrans des télévisions. Cette lumière était la conséquence du réchauffement de l’Univers durant sa condensation dans la période d’Avant le Big-bang connut sous le nom de « rayons lumineux incident » selon les termes du Prix Nobel de Physique Roger Penrose dans le diagramme de Minkowski.

Lors du Big-bang, la température de l’univers varié entre 10⁴³ °C à 10¹⁵°C. Actuellement, avec l’expansion de l’Univers, ce réchauffement s’est stabilisé à -270°C, malgré que cette expansion continue toujours à se poursuivre.

Donc, C’est l’émergence de cette lumière qui est connu actuellement sous le nom du rayonnement fossile découvert en 1965, suivit d’autres événements décrit dans le premier jour biblique, qui a clôturé la période d’avant Big-bang ou le premier jour biblique ou la première période de l’UNIVERS.

Par-là, nous déduisons que le rayonnement fossile porte la signature de l’Avant big-bang. Le schéma biblique de la création, restituait dans le Modèle Cosmologique Universel, est le seul schéma qui nous décrit ce qui s’est passé durant cette période. Ainsi, ce n’est qu’à travers un regard minutieux de ce rayonnement qu’on pouvait déchiffrer ce qui s’est passé dans l’Avant Big-bang tel que cela est décrit dans la Bible.

Moi, je me limite seulement aux théories. Le reste est une question des astrophysiciens de la NASA. Qui à eux de se décider un jour s’il faille monter un télescope pour vérifier ces informations. C’est ce jour-là que Dieu sera glorifié universellement, malgré qu’ils trouveront encore des arguments pour dire que tout a été fait selon le hasard de la nature.

Dans cette vulgarisation, nous avons seulement reconstituer ce qui s’est passé physiquement le premier jour biblique ou la période d’avant Big-bang en allant de l’origine de l’Univers jusqu’au jaillissement de la lumière. C’est cette lumière qui démontre effectivement que la matière primitive était en train de se réchauffer et c’est ce qui fait que les astrophysiciens nous disent que lors du Big-bang la température de l’Univers frôlait plusieurs milliards des milliards de degrés.

Ainsi, nous venons de résoudre l’énigme sur la provenance de cette élévation de température constaté dans l’univers condensé, ainsi que de la provenance du rayonnement fossile, en nous basant sur les découvertes faites sur l’analyse du schéma biblique de la création restituer dans le « Modèle Cosmologique Universel ».

En conclusion, Pendant que l’Univers se contracter, il s’est fortement réchauffé en émettant la première lumière connue sous les termes bibliques : « Et, la lumière fut ». Après l’Univers a fini par atteindre un point extrême de condensation si bien que même la lumière ne pouvait plus s’échapper. Cela a permis à tous les extrêmes de bénéficier d’une même température. D’où le titre de notre vulgarisation « L’univers condensé est Biblique ».

L’univers condensé, c’est ce que l’Astronome Belges, l’Abbé Georges Lemaître avait qualifié de l’atome primitif. Pour aboutir à cette conclusion, l’Astronome Belges l’Abbé Georges Lemaître a analysé l’Univers à partir des évènements qui se déroule en aval, alors que le Modèle Cosmologique Universel démontre comment l’Univers s’était condensé en analysant en amont les évènements qui se sont déroulés à partir du commencement de l’Univers.

Il faut noter que c’est la théorie de l’atome primitif de l’Astronome Belges, l’Abbé Georges Lemaître qui est devenu à ces jours la théorie du Big-bang ou la théorie de l’univers condensé. On comprend par-là que la théorie du Big-bang est biblique.

En effet, Après cette condensation à l’extrême, L’univers a connu une expansion fulgurante qualifiée de Big-bang selon les termes scientifiques ou « séparation des eaux d'avec les eaux » selon les termes bibliques. Et, 380.000 ans plus tard, la lumière (Dieu dit que la lumière soit et la lumière fut !) est réapparue et connut à ces jours sous le nom du rayonnement fossile.

Pour ceux qui veulent apprendre davantage en détail, je leur recommande mes livres qui expliquent l'Univers selon le Modèle Cosmologique Universel. Avec ces livres, vous aurez toutes les éclaircissements sur le schéma biblique de la création. Ces livres viennent d'apporter un nouveau souffle dans la théologie et une révolution dans la science, parce que c'est pour la première fois que la sphère de l'Avant big-bang est aussi expliquée clairement.

Je suis prête à répondre aux invitations de tous les médias, et des facultés des théologies. Je demande aussi aux réalisateurs de film scientifiques et documentaires, que je suis prêt pour la mise en scène réelle des premiers instants de notre univers selon le schéma biblique de la création, qui n’est autre que la vraie vérité sur le commencement de notre Univers. Ce qu’on lut dans la Bible sur le schéma de la création n’est que la forme qui est différente du fond. Le fond, je suis le seul à l’avoir restitué dans le Modèle Cosmologique Universel.

Pour ceux qui veulent entrer en contact avec moi :

- Mon email est flavienphanzu@gmail.com

Comment cité un extrait de cet article :

- Flavien PHANZU MWAKA, l’Avant Big-bang à la lumière, éd. Librinova, Paris 2022.