Dérives sociétales

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Le changement de sexe est physiquement impossible et aboutit à un désastre


L'étude de suivi la plus approfondie sur les personnes amputées des organes génitaux, menée en Suède et s'étalant sur 30 ans, montre que 10 à 15 ans après la réassignation chirurgicale, le taux de suicide des personnes amputées des organes génitaux a grimpé jusqu'à 20 fois celui de leurs pairs. Ce que Ryan Anderson a écrit en 2018 (Heritage.org, 9 mars 2018) :
 
- Les hommes amputés ne deviennent pas des femmes, pas plus que les femmes amputées ne deviennent des hommes. Ils deviennent des hommes féminisés ou des femmes masculinisées.
 
- Un examen par l'Université de Birmingham de plus de 100 études de suivi de patients amputés génitaux a conclu qu'aucune des études ne fournissait de preuves concluantes que l'amputation génitale était bénéfique pour les patients.
 
- Les résultats de nombreuses études sur l'amputation génitale ne sont pas fiables car les chercheurs ont perdu la trace de plus de la moitié des participants.
 
- En 2014, une analyse de la littérature scientifique a été réalisée par Hayes, Inc, une société de recherche et de conseil qui évalue les résultats des technologies médicales en matière de sécurité et de santé. Elle a constaté que les données sur les résultats à long terme de l'amputation génitale étaient trop rares pour permettre de tirer des conclusions significatives et a attribué à ces études la note de qualité la plus basse.
 
- Les meilleures études n'ont pas mis en évidence de "changements cliniquement significatifs" après l'amputation génitale.
 
- L'étude la plus vaste et la plus solide ( Long-term follow-up of transsexual people who have had sex reassignment surgery: Cohort Study in Sweden ) a été réalisée en Suède. Elle a mis en évidence les résultats suivants après une amputation génitale :
- La mortalité par suicide a augmenté de 19,1 %.
- La mortalité due aux néoplasmes et aux maladies cardiovasculaires a été multipliée par 2 à 2,5.
- Cette mortalité n'est apparue qu'après 10 ans.
- Les hospitalisations psychiatriques étaient 2,8 fois plus nombreuses, même après ajustement pour tenir compte des maladies psychiatriques antérieures (18 %).