le Pr joyeux - Maladies Alzheimer et Parkinson - Les Vaccins -
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le Pr joyeux - Maladies Alzheimer et Parkinson - Les Vaccins -
Dix choses qu’il vaut mieux savoir (et qu’on ne vous a sans doute jamais dites)
Ces maladies, se dit-on, nous attendent tous au tournant, et l’on n’y peut rien… En particulier la première si nous sommes des femmes, et la seconde si nous sommes des hommes. Et si la grande-mère « gagatisait » et que l’oncle paternel a fini par « sucrer les fraises », on panique au premier trou de mémoire, au premier tremblement. Et on s’attend au pire…
Ces deux maladies neurodégénératives, pourtant, sont très rarement d’origine génétique. Il existe bien des formes précoces chez des sujets jeunes ou des cas familiaux qui ont fait évoquer des anomalies (mutations) génétiques qui pourraient être transmissibles à la descendance ou qui augmentent la susceptibilité d’être atteint par les voies de l’épigénétique (alimentation, respiration, environnement, stress…).
En réalité, pour l’Alzheimer, on ne recense actuellement que 0,3 % de formes précoces du fait d’une mutation génétique.
Quant au Parkinson, il n’existerait au maximum que 5 % de formes génétiques, liées à des mutations affectant des gènes spécifiques.
Retenons simplement que l’âge avancé et le sexe féminin augmentent les risques d’Alzheimer. Lorsqu’un cas survient dans la famille touchant le père ou la mère, les descendants ont un risque légèrement supérieur à la population générale de même âge d’être atteints à leur tour. Surtout s’ils ont les mêmes comportements, ceux qui font une grande partie de l’épigénétique : mauvaises habitudes alimentaires, addictions…
Pas de panique, c’est le plus souvent très banal et à mettre sur le compte d’une simple fatigue cérébrale.
Retenez que 60 à 70 % des plus de 65 ans se plaignent d’une façon ou d’une autre de leur mémoire, mais que seulement 4 % développeront une maladie d’Alzheimer.
Si, par contre, vous réalisez que vous n’avez plus beaucoup d’odorat ou que votre palais n’apprécie plus comme avant les bons plats, que votre goût s’est estompé, attention ! Peu de spécialistes savent que la perte de l’odorat est un des premiers signes de la maladie d’Alzheimer, comme du Parkinson, par dégénérescence de neurones situés au niveau du bulbe olfactif. Ce symptôme s’appelle l’anosmie.
Ce signe est rarement signalé par les malades. Ils ne le connaissent pas, d’autant plus que les médecins ne posent pas la question à leurs patients plus ou moins âgés. Pourtant, il s’agit bien d’un des premiers signes de ces redoutables maladies, même s’il reste inconstant.
La perte de l’odorat, qui peut survenir plus d’une dizaine d’années avant que la maladie ne se déclare, est l’un des premiers et des plus importants symptômes à se manifester. Il affecte de 80 à 90 % des personnes atteintes de l’une ou l’autre de ces deux maladies. Des tests de dépistage basés sur l’odorat et le goût sont déjà à l’étude dans les labos les plus avancés.
Il n’est jamais trop tard pour éviter ou ralentir la perte progressive du goût et de l’odorat. Il existe bien des façons de faire travailler son odorat. L’art de la cuisine en est une forme alléchante. Et ce n’est pas le moindre des bienfaits de l’aromathérapie, aujourd’hui largement démocratisée. Le Pr Joyeux a travaillé également à la mise au point d’une méthode spécifique, la « Thyme Olfactive et Gustative Stimulation » (TOS), qui stimule agréablement et en douceur aussi bien l’odorat que le goût.
En réalité, ce sont tous nos sens (et tous nos organes) qui peuvent montrer des signes d’alerte. Prenez l’état des yeux : cataracte, dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) ou glaucome… sont souvent des signes annonciateurs, en particulier le glaucome, le gérontoxon et le xanthélasma (dépôts d’esters de cholestérol) qui doivent être considérés comme une alerte précoce.
Aux Etats-Unis, les chercheurs travaillent à la mise au point de test d’imagerie rétinienne et de dépistage de l’Alzheimer afin de pouvoir déceler la maladie 10 à 15 ans avant l’apparition de ses premiers symptômes.
Ce que l’on ne vous dit pas (ce serait aller à l’inverse de ce qu’on l’on répète depuis des décennies) c’est que l’influence des ions calcium dans la maladie d’Alzheimer a été établie par d’importantes publications internationales. De même des dysfonctionnements importants dans le métabolisme du calcium, comme un déficit en calbindine (une protéine dont la mission est de réguler, certainement freiner l’entrée du calcium au niveau cellulaire), est lié à Parkinson.
Il a été démontré que le calcium joue un rôle dans la production du peptide amyloïde. Les symptômes diminuent si l’on bloque l’un des principaux canaux calciques au niveau des neurones. Ainsi, le Dantrium (Europe) ou Dantrolène (USA), médicament myorelaxant, abaisserait la quantité de peptide amyloïde en diminuant la concentration de calcium intracellulaire. De nombreux travaux seront nécessaires pour trouver la molécule idoine mais, avant tout, se pose la question de la consommation excessive de calcium d’origine animale.
On oublie de nous dire que la famille des benzodiazépines nourrit un futur Alzheimer :
– une prise quotidienne pendant 3 à 6 mois augmente le risque d’Alzheimer de 30 % !
– une prise quotidienne pendant plus de 6 mois augmente les mêmes risques de 60 à 80 % !
Autre grande famille de médicaments dangereux pour le cerveau : les anticholinergiques. Cette autre famille comprend des antihistaminiques, des antidépresseurs, des somnifères, anxiolytiques et bien d’autres traitements. Les anticholinergiques sont aussi employés dans le traitement de l’incontinence par impériosité et dans le Parkinson…
Or les anticholinergiques peuvent eux aussi, à doses élevées et sur le long terme, accroître le risque de démence. Selon une vaste étude américaine publiée en janvier dernier, le risque de démence, dont Alzheimer, est clairement dose-dépendant par rapport à l’exposition cumulée aux anticholinergiques sur dix ans. Au terme de cette étude menée sur près de 3 500 personnes, un peu plus de 23 % des participants ont développé une démence et 80 % l’Alzheimer.
L’utilisation des anticholinergiques entraîne donc un risque accru de démence :
– de 19 % sur des traitements de 91 à 365 jours, – 23 % de 1 à 3 ans,
– de 54 % sur plus de 3 ans.
Une étude américaine a montré que les personnes qui se lavaient les dents moins d’une fois par jour couraient jusqu’à 65 % de risque de développement de démence de plus que celles qui se sont brossé les dents chaque jour ! D’autres études ont aussi conclu que les personnes touchées par la maladie d’Alzheimer présentent dans leur cerveau plus de bactéries liées aux maladies des gencives que les personnes qui ne sont pas atteintes d’Alzheimer.
On trouve aussi des éléments porphyro- monas gingivalis dans le cerveau des patients atteints de démence : cette bactérie est fréquemment retrouvée dans les parodontites chroniques. Les contrôles réguliers chez le médecin dentiste sont plus importants qu’on ne le croit.
Un taux sanguin de cholestérol total variant entre 2 g et 2,50 g est vital pour que les surrénales fabriquent les corticostéroïdes (hormones du stress). Nos neurones ont absolument besoin de bon cholestérol pour fabriquer la myéline, qui permet ni plus ni moins le passage de l’influx nerveux !
C’est aussi grâce à ce bon taux de cholestérol que, chez les femmes âgées, ovaires et surrénales peuvent produire les petites doses quotidiennes d’oestrogènes et de progestérone qui maintiennent une belle féminité. Chez les femmes plus sujettes à l’Alzheimer, les traitements hormonaux de la ménopause n’ont jamais réduit les symptômes. C’est toujours grâce au cholestérol que les hommes peuvent avoir suffisamment de testostérone pour maintenir leur libido et une activité sexuelle satisfaisante pour l’âge. C’est important pour le mental et pour la santé cérébrale aussi !
Retenez surtout que, avant 70 ans, il serait bon d’avoir un taux de cholestérol sanguin d’au moins 2 g et à partir de 75 ans, 2,40 g/l, mais pas moins car les taux bas augmentent le morbidité.
Vous pouvez très bien souffrir de troubles de mémoire, on l’a vu, qui n’expriment qu’une fatigue cérébrale. Mais gare surtout aux méprises chez les personnes âgées dont la santé cognitive peut être vacillante sans qu’il y ait (encore) maladie. Le test le plus utilisé, et depuis une trentaine d’années (!) pour le dépistage de la maladie, le MMSE (Mini Mental State Examination) basé sur un questionnaire de 11 questions, est en effet plus que dépassé. Le score MMSE obtenu varie 0 à 30 (l’idéal étant de 30, moins de 23 indiquant des troubles cognitifs) mais ce résultat ne permet pas de repérer les patients en état de MCI (Mild Cognitive Impairement). Autrement dit, impossible avec ce MMSE de distinguer les individus qui développeront une pathologie de ceux qui resteront stables…
Bien sûr d’autres examens sont couramment demandés en cas de suspicion mais une personne âgée fatiguée n’est pas à l’abri d’un diagnostic hâtif ou prématuré. Cela doit arriver plus souvent qu’on ne le croit.
Un traumatisme crânien minime, par exemple, peut conduire une personne âgée à ce type de mésaventure. Elle s’est cognée la tête mais n’y a pas vraiment prêté attention. Elle oublie l’incident, l’entourage aussi. Mais le choc a engendré un hématome (favorisé par les traitements anticoagulants), entre la dure-mère et le cerveau recouvert de la pie-mère. Rapidement, la personne a des troubles de la mémoire, de reconnaissance, des comportements anormaux qui s’amplifient jour après jour. Ils font penser à une maladie d’Alzheimer débutante. Un scanner permet de faire le diagnostic et de programmer rapidement le traitement qui évacue l’hématome et guérit définitivement le patient. A condition que cet examen soit demandé…
Peu de médecins savent que l’hippocampe est une des seules régions du cerveau où la formation de nouveaux neurones est possible à partir de cellules souches. Une magnifique capacité de neuro-genèse qui a lieu toute la vie de l’individu. Mais attention ! Cette formation de nouveaux neurones n’est possible qu’à trois conditions :
Vous n’êtes pas convaincus ? Lisez ceci :
Si à l’exercice vous ajoutez le rôle protecteur d’une bonne alimentation, ce n’est pas de 50% que vous réduisez vos risques mais bien davantage. Qui sait qu’une alimentation de type méditerranéenne réduit les risques d’Alzheimer de 40 % en moyenne ! Plusieurs études américaines menées sur des milliers de personnes viennent de le démontrer.
D’où l’intérêt de l’alimentation 4 M (Méditerranéenne, Manger Mieux et Meilleur) que nous vous proposons dans ce livre et dont les bases sont :
À ces 7 piliers de l’alimentation méditerranéenne, il faut ajouter évidemment des produits classiques :
Ne pas oublier enfin qu’il n’y a pas meilleur mode de cuisson que la cuisson à la vapeur douce afin de ne pas altérer la qualité nutritionnelle des aliments et d’éviter de produire des radicaux libres (par glycation).
Chanter ou écouter de la musique permet aussi d’atténuer de façon non négligeable les symptômes quand on est malade, et de ralentir la progression de la maladie.
Dans les centres spécialisés « Alzheimer », on fait chanter les patients : le chant, la musicothérapie font partie des thérapies douces qui aident non seulement les malades à atténuer leurs troubles de la parole (les palilalies, répétitions de mots durant des heures) mais aussi à se souvenir et à continuer d’apprendre.
La ventilation, l’effet oxygénant du chant, aide également les personnes atteintes de Parkinson. De plus en plus de scientifiques et de spécialistes s’intéressent au rôle de la musique sur notre mémoire.
La musique existe avant le langage et lui survit dans notre cerveau. Née des émotions, elle module notre humeur, développe nos compétences, renforce les liens sociaux et peut même provoquer des orgasmes ! Nous possédons tous un cerveau musical qui ne demande qu’à nous aider au cours de notre existence.
Le pouvoir de la danse mérite aussi qu’on s’y intéresse de plus près. La tango-thérapie par exemple convainc de plus en plus de thérapeutes s’occupant de patients parkinsoniens. Les bienfaits de cette danse, sa capacité à ralentir les symptômes, sont maintenant reconnus et quantifiés par des études.
Les combinaisons des pas à articuler de cette danse argentine sollicitent l’équilibre corporel. La mémorisation est évidemment nécessaire. Le bénéfice est plus modeste sur la fatigue et la cognition mais il n’en est pas moins réel.
Je pourrais encore vous raconter bien des choses que nous avons découvertes avec Henri Joyeux. Vous apprendre peut-être que l’Alzheimer est une forme de diabète ayant peu ou prou les mêmes causes que les deux types de diabète bien connus, vous parler des solutions naturelles qui permettent d’atténuer et ralentir les symptômes de ces maladies, ou des solutions naturelles qui permettent d’en repousser la survenue voire de les éviter.
Je pourrais vous parler de micro-nutrition anti-dégénérescence cérébrale, de l’intérêt du miel au coucher, ou du carré de chocolat quotidien, vous raconter des histoires de garrigue, de thym et de lavande. Vous passer en revue les 7 marqueurs du vieillissement à surveiller comme le lait sur le feu pour vivre jusqu’au bout la tête sur les épaules et les pieds dans ses bottes… Mais je ne vais quand même pas déflorer complètement cet ouvrage à paraître aux Editions du Rocher, et dont je ne suis qu’un modeste coauteur au côté du combattant de la santé Joyeux ! Si vous voulez en savoir plus, vous trouverez le livre dans toutes les librairies.
Dominique Vialard
Crédit Le Professeur Joyeux nous en apprend de belles sur Alzheimer et Parkinson
article complet:
https://www.sain-et-naturel.com/le-professeur-joyeux-nous-en-apprend-de-belles-sur-alzheimer
1) L’hérédité, la génétique… Une explication trompeuse dans 95% des cas !
Ces maladies, se dit-on, nous attendent tous au tournant, et l’on n’y peut rien… En particulier la première si nous sommes des femmes, et la seconde si nous sommes des hommes. Et si la grande-mère « gagatisait » et que l’oncle paternel a fini par « sucrer les fraises », on panique au premier trou de mémoire, au premier tremblement. Et on s’attend au pire…
Ces deux maladies neurodégénératives, pourtant, sont très rarement d’origine génétique. Il existe bien des formes précoces chez des sujets jeunes ou des cas familiaux qui ont fait évoquer des anomalies (mutations) génétiques qui pourraient être transmissibles à la descendance ou qui augmentent la susceptibilité d’être atteint par les voies de l’épigénétique (alimentation, respiration, environnement, stress…).
En réalité, pour l’Alzheimer, on ne recense actuellement que 0,3 % de formes précoces du fait d’une mutation génétique.
Quant au Parkinson, il n’existerait au maximum que 5 % de formes génétiques, liées à des mutations affectant des gènes spécifiques.
Retenons simplement que l’âge avancé et le sexe féminin augmentent les risques d’Alzheimer. Lorsqu’un cas survient dans la famille touchant le père ou la mère, les descendants ont un risque légèrement supérieur à la population générale de même âge d’être atteints à leur tour. Surtout s’ils ont les mêmes comportements, ceux qui font une grande partie de l’épigénétique : mauvaises habitudes alimentaires, addictions…
2) Le premier signe de l’Alzheimer n’est pas la perte de mémoire, pas plus que les tremblements pour Parkinson
Vous approchez de la soixantaine et depuis quelque temps vous perdez régulièrement vos clés de voiture ou vous ne savez plus où vous avez garé celle-ci ?Pas de panique, c’est le plus souvent très banal et à mettre sur le compte d’une simple fatigue cérébrale.
Retenez que 60 à 70 % des plus de 65 ans se plaignent d’une façon ou d’une autre de leur mémoire, mais que seulement 4 % développeront une maladie d’Alzheimer.
Si, par contre, vous réalisez que vous n’avez plus beaucoup d’odorat ou que votre palais n’apprécie plus comme avant les bons plats, que votre goût s’est estompé, attention ! Peu de spécialistes savent que la perte de l’odorat est un des premiers signes de la maladie d’Alzheimer, comme du Parkinson, par dégénérescence de neurones situés au niveau du bulbe olfactif. Ce symptôme s’appelle l’anosmie.
Ce signe est rarement signalé par les malades. Ils ne le connaissent pas, d’autant plus que les médecins ne posent pas la question à leurs patients plus ou moins âgés. Pourtant, il s’agit bien d’un des premiers signes de ces redoutables maladies, même s’il reste inconstant.
La perte de l’odorat, qui peut survenir plus d’une dizaine d’années avant que la maladie ne se déclare, est l’un des premiers et des plus importants symptômes à se manifester. Il affecte de 80 à 90 % des personnes atteintes de l’une ou l’autre de ces deux maladies. Des tests de dépistage basés sur l’odorat et le goût sont déjà à l’étude dans les labos les plus avancés.
Il n’est jamais trop tard pour éviter ou ralentir la perte progressive du goût et de l’odorat. Il existe bien des façons de faire travailler son odorat. L’art de la cuisine en est une forme alléchante. Et ce n’est pas le moindre des bienfaits de l’aromathérapie, aujourd’hui largement démocratisée. Le Pr Joyeux a travaillé également à la mise au point d’une méthode spécifique, la « Thyme Olfactive et Gustative Stimulation » (TOS), qui stimule agréablement et en douceur aussi bien l’odorat que le goût.
En réalité, ce sont tous nos sens (et tous nos organes) qui peuvent montrer des signes d’alerte. Prenez l’état des yeux : cataracte, dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) ou glaucome… sont souvent des signes annonciateurs, en particulier le glaucome, le gérontoxon et le xanthélasma (dépôts d’esters de cholestérol) qui doivent être considérés comme une alerte précoce.
Aux Etats-Unis, les chercheurs travaillent à la mise au point de test d’imagerie rétinienne et de dépistage de l’Alzheimer afin de pouvoir déceler la maladie 10 à 15 ans avant l’apparition de ses premiers symptômes.
3) Pourquoi ne vous parle-t-on jamais de l’excès de calcium ?
La majorité des gens persiste à penser que le calcium est bon pour la santé, il faut donc en consommer un maximum. Surtout des produits laitiers, ces bons produits de nos terroirs…Ce que l’on ne vous dit pas (ce serait aller à l’inverse de ce qu’on l’on répète depuis des décennies) c’est que l’influence des ions calcium dans la maladie d’Alzheimer a été établie par d’importantes publications internationales. De même des dysfonctionnements importants dans le métabolisme du calcium, comme un déficit en calbindine (une protéine dont la mission est de réguler, certainement freiner l’entrée du calcium au niveau cellulaire), est lié à Parkinson.
Il a été démontré que le calcium joue un rôle dans la production du peptide amyloïde. Les symptômes diminuent si l’on bloque l’un des principaux canaux calciques au niveau des neurones. Ainsi, le Dantrium (Europe) ou Dantrolène (USA), médicament myorelaxant, abaisserait la quantité de peptide amyloïde en diminuant la concentration de calcium intracellulaire. De nombreux travaux seront nécessaires pour trouver la molécule idoine mais, avant tout, se pose la question de la consommation excessive de calcium d’origine animale.
4) Les médicaments font le lit de la maladie
Si vous n’allez pas bien dans votre tête, que vous déprimez, dormez mal, vous tracassez pour un rien, êtes sujet à un stress chronique, on vous met vite en garde. On vous assène que la dépression est, au même titre que le tabagisme, l’un des grands facteurs de risque d’Alzheimer notamment. Un facteur qui interviendrait pour plus de 10%. Ce n’est pas faux, mais ce n’est pas complètement juste. Car on oublie d’ajouter que les médicaments délivrés à gogo pour traiter la déprime, l’anxiété, les troubles du sommeil présentent des effets bien plus délétères pour nos capacités cognitives et qu’une consommation quotidienne de psychotropes pendant plusieurs mois augmente le risque de développer une maladie neuro-dégénérative.On oublie de nous dire que la famille des benzodiazépines nourrit un futur Alzheimer :
– une prise quotidienne pendant 3 à 6 mois augmente le risque d’Alzheimer de 30 % !
– une prise quotidienne pendant plus de 6 mois augmente les mêmes risques de 60 à 80 % !
Autre grande famille de médicaments dangereux pour le cerveau : les anticholinergiques. Cette autre famille comprend des antihistaminiques, des antidépresseurs, des somnifères, anxiolytiques et bien d’autres traitements. Les anticholinergiques sont aussi employés dans le traitement de l’incontinence par impériosité et dans le Parkinson…
Or les anticholinergiques peuvent eux aussi, à doses élevées et sur le long terme, accroître le risque de démence. Selon une vaste étude américaine publiée en janvier dernier, le risque de démence, dont Alzheimer, est clairement dose-dépendant par rapport à l’exposition cumulée aux anticholinergiques sur dix ans. Au terme de cette étude menée sur près de 3 500 personnes, un peu plus de 23 % des participants ont développé une démence et 80 % l’Alzheimer.
L’utilisation des anticholinergiques entraîne donc un risque accru de démence :
– de 19 % sur des traitements de 91 à 365 jours, – 23 % de 1 à 3 ans,
– de 54 % sur plus de 3 ans.
5) Un lien avec l’état de votre bouche
Savez-vous qu’il existe une relation directe entre l’état dentaire et les maladies neurodégénératives ? La réduction de la sensibilité par inflammation bucco-dentaire serait en cause.Une étude américaine a montré que les personnes qui se lavaient les dents moins d’une fois par jour couraient jusqu’à 65 % de risque de développement de démence de plus que celles qui se sont brossé les dents chaque jour ! D’autres études ont aussi conclu que les personnes touchées par la maladie d’Alzheimer présentent dans leur cerveau plus de bactéries liées aux maladies des gencives que les personnes qui ne sont pas atteintes d’Alzheimer.
On trouve aussi des éléments porphyro- monas gingivalis dans le cerveau des patients atteints de démence : cette bactérie est fréquemment retrouvée dans les parodontites chroniques. Les contrôles réguliers chez le médecin dentiste sont plus importants qu’on ne le croit.
6) Le cholestérol protège de la démence
Un taux minimum de cholestérol est nécessaire chez les personnes âgées, contrairement à ce que prônent les laboratoires fabricants qui cherchent à ce que le plus grand nombre de personnes soient sous statines.Un taux sanguin de cholestérol total variant entre 2 g et 2,50 g est vital pour que les surrénales fabriquent les corticostéroïdes (hormones du stress). Nos neurones ont absolument besoin de bon cholestérol pour fabriquer la myéline, qui permet ni plus ni moins le passage de l’influx nerveux !
C’est aussi grâce à ce bon taux de cholestérol que, chez les femmes âgées, ovaires et surrénales peuvent produire les petites doses quotidiennes d’oestrogènes et de progestérone qui maintiennent une belle féminité. Chez les femmes plus sujettes à l’Alzheimer, les traitements hormonaux de la ménopause n’ont jamais réduit les symptômes. C’est toujours grâce au cholestérol que les hommes peuvent avoir suffisamment de testostérone pour maintenir leur libido et une activité sexuelle satisfaisante pour l’âge. C’est important pour le mental et pour la santé cérébrale aussi !
Retenez surtout que, avant 70 ans, il serait bon d’avoir un taux de cholestérol sanguin d’au moins 2 g et à partir de 75 ans, 2,40 g/l, mais pas moins car les taux bas augmentent le morbidité.
7) On vous dit que vous l’avez et ce n’est pas toujours vrai
Bien que les outils diagnostic soient de plus en plus fiables, gare au sur-diagnostic, en particulier de l’Alzheimer.Vous pouvez très bien souffrir de troubles de mémoire, on l’a vu, qui n’expriment qu’une fatigue cérébrale. Mais gare surtout aux méprises chez les personnes âgées dont la santé cognitive peut être vacillante sans qu’il y ait (encore) maladie. Le test le plus utilisé, et depuis une trentaine d’années (!) pour le dépistage de la maladie, le MMSE (Mini Mental State Examination) basé sur un questionnaire de 11 questions, est en effet plus que dépassé. Le score MMSE obtenu varie 0 à 30 (l’idéal étant de 30, moins de 23 indiquant des troubles cognitifs) mais ce résultat ne permet pas de repérer les patients en état de MCI (Mild Cognitive Impairement). Autrement dit, impossible avec ce MMSE de distinguer les individus qui développeront une pathologie de ceux qui resteront stables…
Bien sûr d’autres examens sont couramment demandés en cas de suspicion mais une personne âgée fatiguée n’est pas à l’abri d’un diagnostic hâtif ou prématuré. Cela doit arriver plus souvent qu’on ne le croit.
Un traumatisme crânien minime, par exemple, peut conduire une personne âgée à ce type de mésaventure. Elle s’est cognée la tête mais n’y a pas vraiment prêté attention. Elle oublie l’incident, l’entourage aussi. Mais le choc a engendré un hématome (favorisé par les traitements anticoagulants), entre la dure-mère et le cerveau recouvert de la pie-mère. Rapidement, la personne a des troubles de la mémoire, de reconnaissance, des comportements anormaux qui s’amplifient jour après jour. Ils font penser à une maladie d’Alzheimer débutante. Un scanner permet de faire le diagnostic et de programmer rapidement le traitement qui évacue l’hématome et guérit définitivement le patient. A condition que cet examen soit demandé…
On peut se recréer 700 neurones par jour, et muscler sa mémoire à tout âge
Nous n’avons pas un capital de neurones donné à la naissance qui s’épuise avec l’âge comme on l’a longtemps cru. Il est maintenant établi que chaque jour environ 700 neurones voient le jour dans notre encéphale, plus particulièrement dans une région nommée hippocampe.Peu de médecins savent que l’hippocampe est une des seules régions du cerveau où la formation de nouveaux neurones est possible à partir de cellules souches. Une magnifique capacité de neuro-genèse qui a lieu toute la vie de l’individu. Mais attention ! Cette formation de nouveaux neurones n’est possible qu’à trois conditions :
- de bien nourrir et oxygéner son cerveau,
- de bien le faire travailler,
- d’avoir une belle activité physique qui implique tous les muscles du corps.
9) Le Professeur Joyeux nous en apprend de belles sur Alzheimer et Parkinson : L’activité physique et l’alimentation; pas juste une hypothèse
Justement, une activité physique sérieuse et volontaire est indispensable à la santé. On l’a entendu, on le sait… mais on ne mesure pas à quel point c’est vrai pour l’Alzheimer et Parkinson.Vous n’êtes pas convaincus ? Lisez ceci :
- pratiquer une activité physique modérée réduit considérablement le risque d’Alzheimer en protégeant d’abord l’hippocampe, première région attaquée par la maladie, centre vital de la mémoire et de l’orientation spatiale. Selon les résultats d’une étude publiée en 2014, cette prévention préserve en effet de façon substantielle la perte du volume de l’hippocampe, y compris chez les personnes à risques ;
- pratiquer une activité physique modérée réduit de 50 % le risque de Parkinson (cf. Étude de l’American Academy of Neurology dont les résultats portent sur près de 150 000 personnes de plus de 63 ans suivies pendant dix ans).
Si à l’exercice vous ajoutez le rôle protecteur d’une bonne alimentation, ce n’est pas de 50% que vous réduisez vos risques mais bien davantage. Qui sait qu’une alimentation de type méditerranéenne réduit les risques d’Alzheimer de 40 % en moyenne ! Plusieurs études américaines menées sur des milliers de personnes viennent de le démontrer.
D’où l’intérêt de l’alimentation 4 M (Méditerranéenne, Manger Mieux et Meilleur) que nous vous proposons dans ce livre et dont les bases sont :
- L’huile d’olive
- Le vin (bio), à raison d’un ballon de 125 ml par repas.
- Les produits de la mer : l’idéal est d’en consommer 3 fois par semaine.
- Les fruits, y compris les agrumes et légumes de saison.
- Les petits fromages de chèvre ou de brebis.
- Les oléagineux : amandes, noix, noisettes, pignons sont les rois du calcium végétal qui peut être absorbé jusqu’à 75 % par le tube digestif. En salade avec du persil ou pris par poignées régulièrement, ils constituent le meilleur apport végétal comparé au calcium animal.
- Le soleil…: c’est le meilleur, le plus naturel et le moins cher fabricant de vitamine D. Or, les carences en cette vitamine augmenteraient les risques de neuro-dégénérescence.
À ces 7 piliers de l’alimentation méditerranéenne, il faut ajouter évidemment des produits classiques :
- les viandes blanches provenant d’animaux nourris au plus près de la nature remplaceront au maximum les viandes rouges et les charcuteries ;
- les épices sont également intéressantes pour leurs effets antioxydants et protecteurs : toutes les herbes de Provence, le curry-curcuma, l’ail, les oignons, le gingembre, le thym et le romarin ;
- les boissons abondantes en tisanes: thé vert ou noir, thym- romarin… Elles ont des effets antioxydants, protecteurs du vieillissement, apportent des molécules de l’éveil et de la respiration.
Ne pas oublier enfin qu’il n’y a pas meilleur mode de cuisson que la cuisson à la vapeur douce afin de ne pas altérer la qualité nutritionnelle des aliments et d’éviter de produire des radicaux libres (par glycation).
10) La musique et la danse c’est pas sur ordonnance !
Chantez si vous ne le faites déjà… Chantez tous les jours à tue-tête (bien plus fort que sous la douche), chez vous, dans la voiture, lâchez-vous, ventilez. C’est l’un des meilleurs moyens qui soient d’oxygéner son cerveau.Chanter ou écouter de la musique permet aussi d’atténuer de façon non négligeable les symptômes quand on est malade, et de ralentir la progression de la maladie.
Dans les centres spécialisés « Alzheimer », on fait chanter les patients : le chant, la musicothérapie font partie des thérapies douces qui aident non seulement les malades à atténuer leurs troubles de la parole (les palilalies, répétitions de mots durant des heures) mais aussi à se souvenir et à continuer d’apprendre.
La ventilation, l’effet oxygénant du chant, aide également les personnes atteintes de Parkinson. De plus en plus de scientifiques et de spécialistes s’intéressent au rôle de la musique sur notre mémoire.
La musique existe avant le langage et lui survit dans notre cerveau. Née des émotions, elle module notre humeur, développe nos compétences, renforce les liens sociaux et peut même provoquer des orgasmes ! Nous possédons tous un cerveau musical qui ne demande qu’à nous aider au cours de notre existence.
Le pouvoir de la danse mérite aussi qu’on s’y intéresse de plus près. La tango-thérapie par exemple convainc de plus en plus de thérapeutes s’occupant de patients parkinsoniens. Les bienfaits de cette danse, sa capacité à ralentir les symptômes, sont maintenant reconnus et quantifiés par des études.
Les combinaisons des pas à articuler de cette danse argentine sollicitent l’équilibre corporel. La mémorisation est évidemment nécessaire. Le bénéfice est plus modeste sur la fatigue et la cognition mais il n’en est pas moins réel.
Je pourrais encore vous raconter bien des choses que nous avons découvertes avec Henri Joyeux. Vous apprendre peut-être que l’Alzheimer est une forme de diabète ayant peu ou prou les mêmes causes que les deux types de diabète bien connus, vous parler des solutions naturelles qui permettent d’atténuer et ralentir les symptômes de ces maladies, ou des solutions naturelles qui permettent d’en repousser la survenue voire de les éviter.
Je pourrais vous parler de micro-nutrition anti-dégénérescence cérébrale, de l’intérêt du miel au coucher, ou du carré de chocolat quotidien, vous raconter des histoires de garrigue, de thym et de lavande. Vous passer en revue les 7 marqueurs du vieillissement à surveiller comme le lait sur le feu pour vivre jusqu’au bout la tête sur les épaules et les pieds dans ses bottes… Mais je ne vais quand même pas déflorer complètement cet ouvrage à paraître aux Editions du Rocher, et dont je ne suis qu’un modeste coauteur au côté du combattant de la santé Joyeux ! Si vous voulez en savoir plus, vous trouverez le livre dans toutes les librairies.
Dominique Vialard
Crédit Le Professeur Joyeux nous en apprend de belles sur Alzheimer et Parkinson
article complet:
https://www.sain-et-naturel.com/le-professeur-joyeux-nous-en-apprend-de-belles-sur-alzheimer
brigitte57- Avec le Pape François
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Re: le Pr joyeux - Maladies Alzheimer et Parkinson - Les Vaccins -
Bonjour @brigitte 57
Très intéressant. Ce que je constate, c'est que pendant des années on nous induisait en erreur en préconisant tel ou tel remède. Je me rappelle notamment du fluor qu'il fallait donner systémathiquement à l'enfant pour fortifier les dents et pour finalement s'entendre dire aujourd'hui que ce n'est pas bon, de même pour ce qui est du calcium.
Une de mes soeurs, qui souhaitait arrêter de fumer est allé consulté son médecin de famille. Il lui a prescrit du "champix", une sorte d'anti dépresseur ou calmant qui lui ôtait l'envie de fumer. Mais il lui a précisé que si jamais elle avait des pensées suicidaires, elle devait immédiatement arrêter le traitement. Effectivement, l'envie de fumer avait complètement disparu, mais un jour elle s'est dit qu'elle aimerait bien se voir pendue dans le couloir et cette pensée lui faisait du bien et lui procurait un bien être, mais elle s'est rappelée ce que son médecin lui avait dit et a aussitôt arrêté le traitement. Ce genre de médicament fausse complètement la notion de la douleur et de la souffrance.
Très intéressant. Ce que je constate, c'est que pendant des années on nous induisait en erreur en préconisant tel ou tel remède. Je me rappelle notamment du fluor qu'il fallait donner systémathiquement à l'enfant pour fortifier les dents et pour finalement s'entendre dire aujourd'hui que ce n'est pas bon, de même pour ce qui est du calcium.
Une de mes soeurs, qui souhaitait arrêter de fumer est allé consulté son médecin de famille. Il lui a prescrit du "champix", une sorte d'anti dépresseur ou calmant qui lui ôtait l'envie de fumer. Mais il lui a précisé que si jamais elle avait des pensées suicidaires, elle devait immédiatement arrêter le traitement. Effectivement, l'envie de fumer avait complètement disparu, mais un jour elle s'est dit qu'elle aimerait bien se voir pendue dans le couloir et cette pensée lui faisait du bien et lui procurait un bien être, mais elle s'est rappelée ce que son médecin lui avait dit et a aussitôt arrêté le traitement. Ce genre de médicament fausse complètement la notion de la douleur et de la souffrance.
lacolombe- J'adore l'Eucharistie
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Re: le Pr joyeux - Maladies Alzheimer et Parkinson - Les Vaccins -
brigitte57 a écrit:Dix choses qu’il vaut mieux savoir (et qu’on ne vous a sans doute jamais dites)1) L’hérédité, la génétique… Une explication trompeuse dans 95% des cas !
Ces maladies, se dit-on, nous attendent tous au tournant, et l’on n’y peut rien… En particulier la première si nous sommes des femmes, et la seconde si nous sommes des hommes. Et si la grande-mère « gagatisait » et que l’oncle paternel a fini par « sucrer les fraises », on panique au premier trou de mémoire, au premier tremblement. Et on s’attend au pire…
Ces deux maladies neurodégénératives, pourtant, sont très rarement d’origine génétique. Il existe bien des formes précoces chez des sujets jeunes ou des cas familiaux qui ont fait évoquer des anomalies (mutations) génétiques qui pourraient être transmissibles à la descendance ou qui augmentent la susceptibilité d’être atteint par les voies de l’épigénétique (alimentation, respiration, environnement, stress…).
En réalité, pour l’Alzheimer, on ne recense actuellement que 0,3 % de formes précoces du fait d’une mutation génétique.
Quant au Parkinson, il n’existerait au maximum que 5 % de formes génétiques, liées à des mutations affectant des gènes spécifiques.
Retenons simplement que l’âge avancé et le sexe féminin augmentent les risques d’Alzheimer. Lorsqu’un cas survient dans la famille touchant le père ou la mère, les descendants ont un risque légèrement supérieur à la population générale de même âge d’être atteints à leur tour. Surtout s’ils ont les mêmes comportements, ceux qui font une grande partie de l’épigénétique : mauvaises habitudes alimentaires, addictions…2) Le premier signe de l’Alzheimer n’est pas la perte de mémoire, pas plus que les tremblements pour Parkinson
Vous approchez de la soixantaine et depuis quelque temps vous perdez régulièrement vos clés de voiture ou vous ne savez plus où vous avez garé celle-ci ?
Pas de panique, c’est le plus souvent très banal et à mettre sur le compte d’une simple fatigue cérébrale.
Retenez que 60 à 70 % des plus de 65 ans se plaignent d’une façon ou d’une autre de leur mémoire, mais que seulement 4 % développeront une maladie d’Alzheimer.
Si, par contre, vous réalisez que vous n’avez plus beaucoup d’odorat ou que votre palais n’apprécie plus comme avant les bons plats, que votre goût s’est estompé, attention ! Peu de spécialistes savent que la perte de l’odorat est un des premiers signes de la maladie d’Alzheimer, comme du Parkinson, par dégénérescence de neurones situés au niveau du bulbe olfactif. Ce symptôme s’appelle l’anosmie.
Ce signe est rarement signalé par les malades. Ils ne le connaissent pas, d’autant plus que les médecins ne posent pas la question à leurs patients plus ou moins âgés. Pourtant, il s’agit bien d’un des premiers signes de ces redoutables maladies, même s’il reste inconstant.
La perte de l’odorat, qui peut survenir plus d’une dizaine d’années avant que la maladie ne se déclare, est l’un des premiers et des plus importants symptômes à se manifester. Il affecte de 80 à 90 % des personnes atteintes de l’une ou l’autre de ces deux maladies. Des tests de dépistage basés sur l’odorat et le goût sont déjà à l’étude dans les labos les plus avancés.
Il n’est jamais trop tard pour éviter ou ralentir la perte progressive du goût et de l’odorat. Il existe bien des façons de faire travailler son odorat. L’art de la cuisine en est une forme alléchante. Et ce n’est pas le moindre des bienfaits de l’aromathérapie, aujourd’hui largement démocratisée. Le Pr Joyeux a travaillé également à la mise au point d’une méthode spécifique, la « Thyme Olfactive et Gustative Stimulation » (TOS), qui stimule agréablement et en douceur aussi bien l’odorat que le goût.
En réalité, ce sont tous nos sens (et tous nos organes) qui peuvent montrer des signes d’alerte. Prenez l’état des yeux : cataracte, dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) ou glaucome… sont souvent des signes annonciateurs, en particulier le glaucome, le gérontoxon et le xanthélasma (dépôts d’esters de cholestérol) qui doivent être considérés comme une alerte précoce.
Aux Etats-Unis, les chercheurs travaillent à la mise au point de test d’imagerie rétinienne et de dépistage de l’Alzheimer afin de pouvoir déceler la maladie 10 à 15 ans avant l’apparition de ses premiers symptômes.3) Pourquoi ne vous parle-t-on jamais de l’excès de calcium ?
La majorité des gens persiste à penser que le calcium est bon pour la santé, il faut donc en consommer un maximum. Surtout des produits laitiers, ces bons produits de nos terroirs…
Ce que l’on ne vous dit pas (ce serait aller à l’inverse de ce qu’on l’on répète depuis des décennies) c’est que l’influence des ions calcium dans la maladie d’Alzheimer a été établie par d’importantes publications internationales. De même des dysfonctionnements importants dans le métabolisme du calcium, comme un déficit en calbindine (une protéine dont la mission est de réguler, certainement freiner l’entrée du calcium au niveau cellulaire), est lié à Parkinson.
Il a été démontré que le calcium joue un rôle dans la production du peptide amyloïde. Les symptômes diminuent si l’on bloque l’un des principaux canaux calciques au niveau des neurones. Ainsi, le Dantrium (Europe) ou Dantrolène (USA), médicament myorelaxant, abaisserait la quantité de peptide amyloïde en diminuant la concentration de calcium intracellulaire. De nombreux travaux seront nécessaires pour trouver la molécule idoine mais, avant tout, se pose la question de la consommation excessive de calcium d’origine animale.4) Les médicaments font le lit de la maladie
Si vous n’allez pas bien dans votre tête, que vous déprimez, dormez mal, vous tracassez pour un rien, êtes sujet à un stress chronique, on vous met vite en garde. On vous assène que la dépression est, au même titre que le tabagisme, l’un des grands facteurs de risque d’Alzheimer notamment. Un facteur qui interviendrait pour plus de 10%. Ce n’est pas faux, mais ce n’est pas complètement juste. Car on oublie d’ajouter que les médicaments délivrés à gogo pour traiter la déprime, l’anxiété, les troubles du sommeil présentent des effets bien plus délétères pour nos capacités cognitives et qu’une consommation quotidienne de psychotropes pendant plusieurs mois augmente le risque de développer une maladie neuro-dégénérative.
On oublie de nous dire que la famille des benzodiazépines nourrit un futur Alzheimer :
– une prise quotidienne pendant 3 à 6 mois augmente le risque d’Alzheimer de 30 % !
– une prise quotidienne pendant plus de 6 mois augmente les mêmes risques de 60 à 80 % !
Autre grande famille de médicaments dangereux pour le cerveau : les anticholinergiques. Cette autre famille comprend des antihistaminiques, des antidépresseurs, des somnifères, anxiolytiques et bien d’autres traitements. Les anticholinergiques sont aussi employés dans le traitement de l’incontinence par impériosité et dans le Parkinson…
Or les anticholinergiques peuvent eux aussi, à doses élevées et sur le long terme, accroître le risque de démence. Selon une vaste étude américaine publiée en janvier dernier, le risque de démence, dont Alzheimer, est clairement dose-dépendant par rapport à l’exposition cumulée aux anticholinergiques sur dix ans. Au terme de cette étude menée sur près de 3 500 personnes, un peu plus de 23 % des participants ont développé une démence et 80 % l’Alzheimer.
L’utilisation des anticholinergiques entraîne donc un risque accru de démence :
– de 19 % sur des traitements de 91 à 365 jours, – 23 % de 1 à 3 ans,
– de 54 % sur plus de 3 ans.5) Un lien avec l’état de votre bouche
Savez-vous qu’il existe une relation directe entre l’état dentaire et les maladies neurodégénératives ? La réduction de la sensibilité par inflammation bucco-dentaire serait en cause.
Une étude américaine a montré que les personnes qui se lavaient les dents moins d’une fois par jour couraient jusqu’à 65 % de risque de développement de démence de plus que celles qui se sont brossé les dents chaque jour ! D’autres études ont aussi conclu que les personnes touchées par la maladie d’Alzheimer présentent dans leur cerveau plus de bactéries liées aux maladies des gencives que les personnes qui ne sont pas atteintes d’Alzheimer.
On trouve aussi des éléments porphyro- monas gingivalis dans le cerveau des patients atteints de démence : cette bactérie est fréquemment retrouvée dans les parodontites chroniques. Les contrôles réguliers chez le médecin dentiste sont plus importants qu’on ne le croit.6) Le cholestérol protège de la démence
Un taux minimum de cholestérol est nécessaire chez les personnes âgées, contrairement à ce que prônent les laboratoires fabricants qui cherchent à ce que le plus grand nombre de personnes soient sous statines.
Un taux sanguin de cholestérol total variant entre 2 g et 2,50 g est vital pour que les surrénales fabriquent les corticostéroïdes (hormones du stress). Nos neurones ont absolument besoin de bon cholestérol pour fabriquer la myéline, qui permet ni plus ni moins le passage de l’influx nerveux !
C’est aussi grâce à ce bon taux de cholestérol que, chez les femmes âgées, ovaires et surrénales peuvent produire les petites doses quotidiennes d’oestrogènes et de progestérone qui maintiennent une belle féminité. Chez les femmes plus sujettes à l’Alzheimer, les traitements hormonaux de la ménopause n’ont jamais réduit les symptômes. C’est toujours grâce au cholestérol que les hommes peuvent avoir suffisamment de testostérone pour maintenir leur libido et une activité sexuelle satisfaisante pour l’âge. C’est important pour le mental et pour la santé cérébrale aussi !
Retenez surtout que, avant 70 ans, il serait bon d’avoir un taux de cholestérol sanguin d’au moins 2 g et à partir de 75 ans, 2,40 g/l, mais pas moins car les taux bas augmentent le morbidité.7) On vous dit que vous l’avez et ce n’est pas toujours vrai
Bien que les outils diagnostic soient de plus en plus fiables, gare au sur-diagnostic, en particulier de l’Alzheimer.
Vous pouvez très bien souffrir de troubles de mémoire, on l’a vu, qui n’expriment qu’une fatigue cérébrale. Mais gare surtout aux méprises chez les personnes âgées dont la santé cognitive peut être vacillante sans qu’il y ait (encore) maladie. Le test le plus utilisé, et depuis une trentaine d’années (!) pour le dépistage de la maladie, le MMSE (Mini Mental State Examination) basé sur un questionnaire de 11 questions, est en effet plus que dépassé. Le score MMSE obtenu varie 0 à 30 (l’idéal étant de 30, moins de 23 indiquant des troubles cognitifs) mais ce résultat ne permet pas de repérer les patients en état de MCI (Mild Cognitive Impairement). Autrement dit, impossible avec ce MMSE de distinguer les individus qui développeront une pathologie de ceux qui resteront stables…
Bien sûr d’autres examens sont couramment demandés en cas de suspicion mais une personne âgée fatiguée n’est pas à l’abri d’un diagnostic hâtif ou prématuré. Cela doit arriver plus souvent qu’on ne le croit.
Un traumatisme crânien minime, par exemple, peut conduire une personne âgée à ce type de mésaventure. Elle s’est cognée la tête mais n’y a pas vraiment prêté attention. Elle oublie l’incident, l’entourage aussi. Mais le choc a engendré un hématome (favorisé par les traitements anticoagulants), entre la dure-mère et le cerveau recouvert de la pie-mère. Rapidement, la personne a des troubles de la mémoire, de reconnaissance, des comportements anormaux qui s’amplifient jour après jour. Ils font penser à une maladie d’Alzheimer débutante. Un scanner permet de faire le diagnostic et de programmer rapidement le traitement qui évacue l’hématome et guérit définitivement le patient. A condition que cet examen soit demandé…On peut se recréer 700 neurones par jour, et muscler sa mémoire à tout âge
Nous n’avons pas un capital de neurones donné à la naissance qui s’épuise avec l’âge comme on l’a longtemps cru. Il est maintenant établi que chaque jour environ 700 neurones voient le jour dans notre encéphale, plus particulièrement dans une région nommée hippocampe.
Peu de médecins savent que l’hippocampe est une des seules régions du cerveau où la formation de nouveaux neurones est possible à partir de cellules souches. Une magnifique capacité de neuro-genèse qui a lieu toute la vie de l’individu. Mais attention ! Cette formation de nouveaux neurones n’est possible qu’à trois conditions :
- de bien nourrir et oxygéner son cerveau,
- de bien le faire travailler,
- d’avoir une belle activité physique qui implique tous les muscles du corps.
9) Le Professeur Joyeux nous en apprend de belles sur Alzheimer et Parkinson : L’activité physique et l’alimentation; pas juste une hypothèse
Justement, une activité physique sérieuse et volontaire est indispensable à la santé. On l’a entendu, on le sait… mais on ne mesure pas à quel point c’est vrai pour l’Alzheimer et Parkinson.
Vous n’êtes pas convaincus ? Lisez ceci :
- pratiquer une activité physique modérée réduit considérablement le risque d’Alzheimer en protégeant d’abord l’hippocampe, première région attaquée par la maladie, centre vital de la mémoire et de l’orientation spatiale. Selon les résultats d’une étude publiée en 2014, cette prévention préserve en effet de façon substantielle la perte du volume de l’hippocampe, y compris chez les personnes à risques ;
- pratiquer une activité physique modérée réduit de 50 % le risque de Parkinson (cf. Étude de l’American Academy of Neurology dont les résultats portent sur près de 150 000 personnes de plus de 63 ans suivies pendant dix ans).
Si à l’exercice vous ajoutez le rôle protecteur d’une bonne alimentation, ce n’est pas de 50% que vous réduisez vos risques mais bien davantage. Qui sait qu’une alimentation de type méditerranéenne réduit les risques d’Alzheimer de 40 % en moyenne ! Plusieurs études américaines menées sur des milliers de personnes viennent de le démontrer.
D’où l’intérêt de l’alimentation 4 M (Méditerranéenne, Manger Mieux et Meilleur) que nous vous proposons dans ce livre et dont les bases sont :
- L’huile d’olive
- Le vin (bio), à raison d’un ballon de 125 ml par repas.
- Les produits de la mer : l’idéal est d’en consommer 3 fois par semaine.
- Les fruits, y compris les agrumes et légumes de saison.
- Les petits fromages de chèvre ou de brebis.
- Les oléagineux : amandes, noix, noisettes, pignons sont les rois du calcium végétal qui peut être absorbé jusqu’à 75 % par le tube digestif. En salade avec du persil ou pris par poignées régulièrement, ils constituent le meilleur apport végétal comparé au calcium animal.
- Le soleil…: c’est le meilleur, le plus naturel et le moins cher fabricant de vitamine D. Or, les carences en cette vitamine augmenteraient les risques de neuro-dégénérescence.
À ces 7 piliers de l’alimentation méditerranéenne, il faut ajouter évidemment des produits classiques :
- les viandes blanches provenant d’animaux nourris au plus près de la nature remplaceront au maximum les viandes rouges et les charcuteries ;
- les épices sont également intéressantes pour leurs effets antioxydants et protecteurs : toutes les herbes de Provence, le curry-curcuma, l’ail, les oignons, le gingembre, le thym et le romarin ;
- les boissons abondantes en tisanes: thé vert ou noir, thym- romarin… Elles ont des effets antioxydants, protecteurs du vieillissement, apportent des molécules de l’éveil et de la respiration.
Ne pas oublier enfin qu’il n’y a pas meilleur mode de cuisson que la cuisson à la vapeur douce afin de ne pas altérer la qualité nutritionnelle des aliments et d’éviter de produire des radicaux libres (par glycation).10) La musique et la danse c’est pas sur ordonnance !
Chantez si vous ne le faites déjà… Chantez tous les jours à tue-tête (bien plus fort que sous la douche), chez vous, dans la voiture, lâchez-vous, ventilez. C’est l’un des meilleurs moyens qui soient d’oxygéner son cerveau.
Chanter ou écouter de la musique permet aussi d’atténuer de façon non négligeable les symptômes quand on est malade, et de ralentir la progression de la maladie.
Dans les centres spécialisés « Alzheimer », on fait chanter les patients : le chant, la musicothérapie font partie des thérapies douces qui aident non seulement les malades à atténuer leurs troubles de la parole (les palilalies, répétitions de mots durant des heures) mais aussi à se souvenir et à continuer d’apprendre.
La ventilation, l’effet oxygénant du chant, aide également les personnes atteintes de Parkinson. De plus en plus de scientifiques et de spécialistes s’intéressent au rôle de la musique sur notre mémoire.
La musique existe avant le langage et lui survit dans notre cerveau. Née des émotions, elle module notre humeur, développe nos compétences, renforce les liens sociaux et peut même provoquer des orgasmes ! Nous possédons tous un cerveau musical qui ne demande qu’à nous aider au cours de notre existence.
Le pouvoir de la danse mérite aussi qu’on s’y intéresse de plus près. La tango-thérapie par exemple convainc de plus en plus de thérapeutes s’occupant de patients parkinsoniens. Les bienfaits de cette danse, sa capacité à ralentir les symptômes, sont maintenant reconnus et quantifiés par des études.
Les combinaisons des pas à articuler de cette danse argentine sollicitent l’équilibre corporel. La mémorisation est évidemment nécessaire. Le bénéfice est plus modeste sur la fatigue et la cognition mais il n’en est pas moins réel.
Je pourrais encore vous raconter bien des choses que nous avons découvertes avec Henri Joyeux. Vous apprendre peut-être que l’Alzheimer est une forme de diabète ayant peu ou prou les mêmes causes que les deux types de diabète bien connus, vous parler des solutions naturelles qui permettent d’atténuer et ralentir les symptômes de ces maladies, ou des solutions naturelles qui permettent d’en repousser la survenue voire de les éviter.
Je pourrais vous parler de micro-nutrition anti-dégénérescence cérébrale, de l’intérêt du miel au coucher, ou du carré de chocolat quotidien, vous raconter des histoires de garrigue, de thym et de lavande. Vous passer en revue les 7 marqueurs du vieillissement à surveiller comme le lait sur le feu pour vivre jusqu’au bout la tête sur les épaules et les pieds dans ses bottes… Mais je ne vais quand même pas déflorer complètement cet ouvrage à paraître aux Editions du Rocher, et dont je ne suis qu’un modeste coauteur au côté du combattant de la santé Joyeux ! Si vous voulez en savoir plus, vous trouverez le livre dans toutes les librairies.
Dominique Vialard
Crédit Le Professeur Joyeux nous en apprend de belles sur Alzheimer et Parkinson
article complet:
https://www.sain-et-naturel.com/le-professeur-joyeux-nous-en-apprend-de-belles-sur-alzheimer
Merci Brigitte,
Article à ne pas négliger!!
L'alimentation est un facteur déterminant de santé, bien se nourrir et pratiquer au moins une bonne heure de marche par jour est préconisé pour rester en bonne forme!!
La musique, la danse etc.....
Il faut rester sur ces bonnes habitudes, en tout cas Merci Professeur Joyeux pour ces précieux conseils concernant ces maladies du siècle que sont Alzheimer et Parkinson!!
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: le Pr joyeux - Maladies Alzheimer et Parkinson - Les Vaccins -
oui, on a même essaye de le radier de l'ordre des médecins donc c'est plutôt bon signe....
c'est pour quoi j'ai confiance en lui et dans tout ce qu'il peut nous donner comme informations , il n'est influencé par aucun lobby pharmaceutique et ça , ça ne plait pas toujours s-il se la "joue " en solitaire.
https://professeur-joyeux.com/2016/08/23/a-propos-de-ma-radiation-de-lordre-des-medecins-une
À propos de ma radiation de l’Ordre des médecins : une extrême gravité
Chers AMIS de la SANTÉ,
J’ai appris par voie de presse ma radiation de l’ordre des médecins à compter du 1er décembre 2016. Les médias, dont ceux qui font la publicité des fabricants de vaccins, se sont chargés d’informer très largement le grand public.
Par la décision de la chambre disciplinaire du conseil régional de l’ordre des médecins (Languedoc-Roussillon) du 8 juillet, on veut m’interdire d’exercer mon métier de médecin cancérologue. Comme il ne m’est rien reproché sur le plan strictement professionnel, mais qu’on me reproche de m’être exprimé publiquement, c’est qu’on cherche à me faire taire.
J’ai reçu un très grand nombre d’encouragements, par téléphone ou mails, de France comme de l’étranger, à la fois de collègues, de consoeurs et confrères médecins et d’un très grand nombre de patients connus ou inconnus qui ne comprennent pas une telle décision disciplinaire. Soyez-en ici très chaleureusement remerciés, car je n’ai pas pu le signifier à chacun par manque de temps d’autant qu’il m’a fallu préparer ma défense.
J’ai d’abord été conforté par la position immédiate du conseil de l’ordre des médecins de mon département qui a décidé de faire appel face à la gravité de la sanction. Je remercie très chaleureusement toute l’équipe autour du président du conseil de l’ordre de l’Hérault à Montpellier.
Heureusement, l’appel auprès du Conseil national de l’ordre des médecins a un effet suspensif
J’ai pu poursuivre des consultations bénévoles en différents endroits pendant l’été.
J’ai pris conseil et travaillé avec un avocat, étonné comme moi et mes collègues de Montpellier par la gravité de la sanction. Je conteste non seulement la sanction –la plus lourde qui soit à l’encontre d’un médecin, en principe réservée à des gens qui ont commis des faits pénalement répréhensibles-, mais avant tout je réfute le principe même de toute faute déontologique.
Être mis au ban de la médecine comme si j’avais assassiné, volé, violé, comme si j’étais incompétent et dangereux, après 40 ans d’exercice de ce métier où j’ai tout fait pour donner et donner encore le meilleur de moi-même, être sans cesse au courant des découvertes les plus récentes est insupportable tant pour ma personne, ma famille que pour mes nombreux élèves et les très nombreux patients que j’ai soignés, que je consulte et conseille encore régulièrement.
Je reste déterminé, car les accusations portées contre ma personne sont entachées de nombreuses erreurs. La plus importante est que je ne suis pas contre les vaccins, en particulier obligatoires, mais lanceur d’alerte contre les abus consistant à imposer des vaccins non nécessaires à un nouveau-né de 2 mois et même avant sa mise au monde.
Tout cancérologue doit bien connaître le système immunitaire
Je reconnais à la fois son importance pour comprendre et éviter les nombreuses maladies liées à des défenses immunitaires fortement perturbées, par bactéries, virus, champignons ou parasites dans telle ou telle partie du corps, et l’intérêt des thérapeutiques dites ciblées utilisées de plus en plus efficacement en cancérologie.
Je demande à ce que le carnet de vaccination soit revu de fond en comble, afin que l’allaitement maternel soit proposé en première intention et que les vaccinations dites recommandées restent de la responsabilité exclusive des médecins référents. Sollicités par les familles, contrôlés sans cesse par l’assurance maladie, poussés par les publicités, mes confrères et consoeurs médecins sont parfois désorientés. Ils savent parfaitement que les vaccinations des nouveau-nés dépendent d’abord de la santé des parents et que le système immunitaire d’un enfant nouveau-né en bonne santé a besoin de 1000 jours après sa conception pour être mature et fonctionnel, c’est à dire pas avant l’âge de 2 ans.
On cherche à médicaliser l’émotion dès la naissance ou même avant
Ainsi peut-on proposer la généralisation des vaccinations sans tenir compte de l’état de santé des parents et en ne tenant aucun compte des effets délétères des vaccinations imposées si précocement à des nouveaux nés naturellement fragiles. En dehors de cas très particuliers, la vaccination à 2 mois contre l’hépatite B et dès 9 à 12 ans contre les papilloma virus responsables de maladies sexuellement transmissibles, est totalement abusive et impose de résister à de fausses bonnes solutions car prises en dépit de certaines réalités et parfois du bon sens.
Je crains de ne pas être convoqué, par les responsables de la concertation citoyenne sur les vaccins, pour représenter un très grand nombre de personnes qui perdent chaque jour un peu plus confiance dans la médecine traditionnelle face aux excès thérapeutiques, en particulier avec la généralisation abusive des vaccinations. À la mi-août, la pétition ”Vaccin obligatoire : les Français piégés par la loi et les laboratoires !” a été signée par un grand nombre de personnes, dépassant 1 million 74.000 signataires. Il faut continuer à la faire connaître.
J’ai refusé une pétition pour me soutenir, car j’ai pensé qu’il était plus important et urgent que les 1 million 74.000 signataires soient entendus et qu’enfin soit annoncée la refabrication du seul vaccin obligatoire le DTP sans Aluminium, cet adjuvant dont on ne peut plus cacher les effets délétères, qui est ajouté pour stimuler une immunité encore immature.
À propos de la concertation citoyenne qui veut ”réconcilier les français avec la vaccination”
Sachez que je prépare un argumentaire étayé que j’enverrai à mes collègues nommés par la ministre de la Santé pour le débat sur la vaccination qui a commencé, auquel je n’ai pas été convié. Ce débat citoyen a pour but ”de réconcilier les français avec la vaccination”.
Je crains surtout que ne soit recherchée la couverture vaccinale la plus large, dès la naissance, soi-disant contre le plus grand nombre de maladies. Et cela sans certitude d’efficacité, en utilisant le mot ”exigibilité” pour le plus grand nombre d’institutions (milieu scolaire en particulier) et de structures (crèches, maisons de retraite…).
Être lanceur d’alerte auprès du grand public quand on n’est pas entendu par les responsables politiques est-il si répréhensible ?
Restant à votre service, toujours pour la meilleure santé de vos familles et de vos enfants, je souhaite à toutes et à tous une bonne fin de vacances et une bonne reprise pour celles et ceux qui sont déjà au travail.
Pr Henri Joyeux
c'est pour quoi j'ai confiance en lui et dans tout ce qu'il peut nous donner comme informations , il n'est influencé par aucun lobby pharmaceutique et ça , ça ne plait pas toujours s-il se la "joue " en solitaire.
https://professeur-joyeux.com/2016/08/23/a-propos-de-ma-radiation-de-lordre-des-medecins-une
À propos de ma radiation de l’Ordre des médecins : une extrême gravité
Chers AMIS de la SANTÉ,
J’ai appris par voie de presse ma radiation de l’ordre des médecins à compter du 1er décembre 2016. Les médias, dont ceux qui font la publicité des fabricants de vaccins, se sont chargés d’informer très largement le grand public.
Par la décision de la chambre disciplinaire du conseil régional de l’ordre des médecins (Languedoc-Roussillon) du 8 juillet, on veut m’interdire d’exercer mon métier de médecin cancérologue. Comme il ne m’est rien reproché sur le plan strictement professionnel, mais qu’on me reproche de m’être exprimé publiquement, c’est qu’on cherche à me faire taire.
J’ai reçu un très grand nombre d’encouragements, par téléphone ou mails, de France comme de l’étranger, à la fois de collègues, de consoeurs et confrères médecins et d’un très grand nombre de patients connus ou inconnus qui ne comprennent pas une telle décision disciplinaire. Soyez-en ici très chaleureusement remerciés, car je n’ai pas pu le signifier à chacun par manque de temps d’autant qu’il m’a fallu préparer ma défense.
J’ai d’abord été conforté par la position immédiate du conseil de l’ordre des médecins de mon département qui a décidé de faire appel face à la gravité de la sanction. Je remercie très chaleureusement toute l’équipe autour du président du conseil de l’ordre de l’Hérault à Montpellier.
Heureusement, l’appel auprès du Conseil national de l’ordre des médecins a un effet suspensif
J’ai pu poursuivre des consultations bénévoles en différents endroits pendant l’été.
J’ai pris conseil et travaillé avec un avocat, étonné comme moi et mes collègues de Montpellier par la gravité de la sanction. Je conteste non seulement la sanction –la plus lourde qui soit à l’encontre d’un médecin, en principe réservée à des gens qui ont commis des faits pénalement répréhensibles-, mais avant tout je réfute le principe même de toute faute déontologique.
Être mis au ban de la médecine comme si j’avais assassiné, volé, violé, comme si j’étais incompétent et dangereux, après 40 ans d’exercice de ce métier où j’ai tout fait pour donner et donner encore le meilleur de moi-même, être sans cesse au courant des découvertes les plus récentes est insupportable tant pour ma personne, ma famille que pour mes nombreux élèves et les très nombreux patients que j’ai soignés, que je consulte et conseille encore régulièrement.
Je reste déterminé, car les accusations portées contre ma personne sont entachées de nombreuses erreurs. La plus importante est que je ne suis pas contre les vaccins, en particulier obligatoires, mais lanceur d’alerte contre les abus consistant à imposer des vaccins non nécessaires à un nouveau-né de 2 mois et même avant sa mise au monde.
Tout cancérologue doit bien connaître le système immunitaire
Je reconnais à la fois son importance pour comprendre et éviter les nombreuses maladies liées à des défenses immunitaires fortement perturbées, par bactéries, virus, champignons ou parasites dans telle ou telle partie du corps, et l’intérêt des thérapeutiques dites ciblées utilisées de plus en plus efficacement en cancérologie.
Je demande à ce que le carnet de vaccination soit revu de fond en comble, afin que l’allaitement maternel soit proposé en première intention et que les vaccinations dites recommandées restent de la responsabilité exclusive des médecins référents. Sollicités par les familles, contrôlés sans cesse par l’assurance maladie, poussés par les publicités, mes confrères et consoeurs médecins sont parfois désorientés. Ils savent parfaitement que les vaccinations des nouveau-nés dépendent d’abord de la santé des parents et que le système immunitaire d’un enfant nouveau-né en bonne santé a besoin de 1000 jours après sa conception pour être mature et fonctionnel, c’est à dire pas avant l’âge de 2 ans.
On cherche à médicaliser l’émotion dès la naissance ou même avant
Ainsi peut-on proposer la généralisation des vaccinations sans tenir compte de l’état de santé des parents et en ne tenant aucun compte des effets délétères des vaccinations imposées si précocement à des nouveaux nés naturellement fragiles. En dehors de cas très particuliers, la vaccination à 2 mois contre l’hépatite B et dès 9 à 12 ans contre les papilloma virus responsables de maladies sexuellement transmissibles, est totalement abusive et impose de résister à de fausses bonnes solutions car prises en dépit de certaines réalités et parfois du bon sens.
Je crains de ne pas être convoqué, par les responsables de la concertation citoyenne sur les vaccins, pour représenter un très grand nombre de personnes qui perdent chaque jour un peu plus confiance dans la médecine traditionnelle face aux excès thérapeutiques, en particulier avec la généralisation abusive des vaccinations. À la mi-août, la pétition ”Vaccin obligatoire : les Français piégés par la loi et les laboratoires !” a été signée par un grand nombre de personnes, dépassant 1 million 74.000 signataires. Il faut continuer à la faire connaître.
J’ai refusé une pétition pour me soutenir, car j’ai pensé qu’il était plus important et urgent que les 1 million 74.000 signataires soient entendus et qu’enfin soit annoncée la refabrication du seul vaccin obligatoire le DTP sans Aluminium, cet adjuvant dont on ne peut plus cacher les effets délétères, qui est ajouté pour stimuler une immunité encore immature.
À propos de la concertation citoyenne qui veut ”réconcilier les français avec la vaccination”
Sachez que je prépare un argumentaire étayé que j’enverrai à mes collègues nommés par la ministre de la Santé pour le débat sur la vaccination qui a commencé, auquel je n’ai pas été convié. Ce débat citoyen a pour but ”de réconcilier les français avec la vaccination”.
Je crains surtout que ne soit recherchée la couverture vaccinale la plus large, dès la naissance, soi-disant contre le plus grand nombre de maladies. Et cela sans certitude d’efficacité, en utilisant le mot ”exigibilité” pour le plus grand nombre d’institutions (milieu scolaire en particulier) et de structures (crèches, maisons de retraite…).
Être lanceur d’alerte auprès du grand public quand on n’est pas entendu par les responsables politiques est-il si répréhensible ?
Restant à votre service, toujours pour la meilleure santé de vos familles et de vos enfants, je souhaite à toutes et à tous une bonne fin de vacances et une bonne reprise pour celles et ceux qui sont déjà au travail.
Pr Henri Joyeux
brigitte57- Avec le Pape François
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Re: le Pr joyeux - Maladies Alzheimer et Parkinson - Les Vaccins -
Merci Brigitte,
Trop bien certainement puisqu'il a dénoncé le processus des vaccinations!!
Trop bien certainement puisqu'il a dénoncé le processus des vaccinations!!
Le Dr Henri Joyeux radié par l’Ordre des médecins, pauvres de nous !
Tout le monde connaît le Dr Henri Joyeux, chirurgien cancérologue de métier en particulier, et grand humaniste en général.
Quand on s’intéresse à tout, ce qui est la moindre des choses pour un humaniste, alors on ne parle pas que de cancer.
Mode de vie, famille, médecine alternative, quête du bonheur, lactation, alimentation… tout y passe.
Ce Monsieur parle de tout, écrit énormément d’articles et d’ouvrages, tient une lettre d’information extrêmement lue, ses avis sont parfois décriés, ce qui reflète finalement un excellent niveau de Démocratie contradictoire. Tout va bien.
Un jour, la mouche dans le lait, calamitas ! Dans le pays de Pasteur, Henri Joyeux s’élève contre la pratique vaccinale française.
Tollé Général, hurlements scandalisés aux plus hauts sommets de l’Etat et des chaires d’Universités, anathèmes, insultes !
Un chirurgien qui parle de vaccin, et pourquoi on ne laisserait pas ma concierge donner un avis culinaire aussi, pendant qu’on y est ?
Sa prise de parole, avant qu’elle ne soit déformée jusqu’à une caricature grotesque de vieux crétin sur le retour, était étonnamment simple, écoutez bien.
Juste, il s’étonnait que l’obligation vaccinale des nourrissons portant sur les seules valences Diphtérie, Tétanos et Polio (DTP) soit noyée dans un vaccin y comportant aussi la Coqueluche, Hemophilus et Hépatite B (Hexavalent).
Et alors me direz-vous, si c’est mieux pour le bébé d’être vacciné contre tout d’un coup ?
Voici ce que vous devez savoir, vous allez tomber de vos chaises :
1- L’Etat prend en charge l’indemnisation du risque vaccinal des bébés sur les seules valences DTP. Si il tombe malade après injection d’un Hexavalent, videz vos comptes épargne, vous n’aurez de l’aide de personne, surtout pas de l’Etat qui vous expliquera que cette injection a été faite par votre seul choix.
2- Vous pouvez vous rendre dans la pharmacie de votre choix, vous ne trouverez JAMAIS un DTP dans les temps pour vacciner votre enfant, on rappelle qu’un statut vaccinal non à jour INTERDIT son passage en collectivité (nounou collective, crèche, maternelle).
3- L’Etat impose un DTP mais a laissé les industriels du vaccin escamoter celui-ci pour vous forcer à acheter leur Hexavalent, seul disponible et dix fois plus cher !
4- En réponse à cette interrogation légitime, Marisol Touraine, Ministre de la Santé en exercice, a répondu que « la vaccination, ça ne se discutait pas »
5- Réponse de la Société civile après qu’Henri Joyeux ait lancé une pétition pour que le DTP soit aussi proposé aux parents, UN MILLION de signataires s’étaient manifestés en mars 2016.
Résultat ?
Henri Joyeux a été attaqué par le Conseil National de l’Ordre des Médecins par son Président lui-même, Patrick Bouet, qui avait résumé les « deux infractions » qui lui étaient reprochées : « la tenue de propos non appuyés sur des bases scientifiques [et portant] atteinte à la profession », et « un discours qui peut être dangereux pour la population parce qu’il s’agirait de discréditer le mécanisme de vaccination préventive ».*
Aujourd’hui Henri Joyeux a été radié de l’ordre des médecins pour ce seul fait, qu’on se le dise.
Henri Joyeux n’a jamais contesté la validité de la vaccination DTP, mais la vente forcée des valences Coq/HI/HBV qui y était rattachée.
Son comportement de lanceur d’alerte face à une situation sanitaire révoltante se voit récompensé de la plus triste manière.
Je vous enjoins tous, humblement, à accorder encore quelques secondes de votre temps au visionnage de ceci, commencer pour les gens pressés à 18 minutes et ne ratez surtout pas l’ignominie de ce qui se dit sans complexe à 21’29 », de la bouche du PDG du groupe GSK…
Tout le monde connaît le Dr Henri Joyeux, chirurgien cancérologue de métier en particulier, et grand humaniste en général.
Quand on s’intéresse à tout, ce qui est la moindre des choses pour un humaniste, alors on ne parle pas que de cancer.
Mode de vie, famille, médecine alternative, quête du bonheur, lactation, alimentation… tout y passe.
Ce Monsieur parle de tout, écrit énormément d’articles et d’ouvrages, tient une lettre d’information extrêmement lue, ses avis sont parfois décriés, ce qui reflète finalement un excellent niveau de Démocratie contradictoire. Tout va bien.
Un jour, la mouche dans le lait, calamitas ! Dans le pays de Pasteur, Henri Joyeux s’élève contre la pratique vaccinale française.
Tollé Général, hurlements scandalisés aux plus hauts sommets de l’Etat et des chaires d’Universités, anathèmes, insultes !
Un chirurgien qui parle de vaccin, et pourquoi on ne laisserait pas ma concierge donner un avis culinaire aussi, pendant qu’on y est ?
Sa prise de parole, avant qu’elle ne soit déformée jusqu’à une caricature grotesque de vieux crétin sur le retour, était étonnamment simple, écoutez bien.
Juste, il s’étonnait que l’obligation vaccinale des nourrissons portant sur les seules valences Diphtérie, Tétanos et Polio (DTP) soit noyée dans un vaccin y comportant aussi la Coqueluche, Hemophilus et Hépatite B (Hexavalent).
Et alors me direz-vous, si c’est mieux pour le bébé d’être vacciné contre tout d’un coup ?
Voici ce que vous devez savoir, vous allez tomber de vos chaises :
1- L’Etat prend en charge l’indemnisation du risque vaccinal des bébés sur les seules valences DTP. Si il tombe malade après injection d’un Hexavalent, videz vos comptes épargne, vous n’aurez de l’aide de personne, surtout pas de l’Etat qui vous expliquera que cette injection a été faite par votre seul choix.
2- Vous pouvez vous rendre dans la pharmacie de votre choix, vous ne trouverez JAMAIS un DTP dans les temps pour vacciner votre enfant, on rappelle qu’un statut vaccinal non à jour INTERDIT son passage en collectivité (nounou collective, crèche, maternelle).
3- L’Etat impose un DTP mais a laissé les industriels du vaccin escamoter celui-ci pour vous forcer à acheter leur Hexavalent, seul disponible et dix fois plus cher !
4- En réponse à cette interrogation légitime, Marisol Touraine, Ministre de la Santé en exercice, a répondu que « la vaccination, ça ne se discutait pas »
5- Réponse de la Société civile après qu’Henri Joyeux ait lancé une pétition pour que le DTP soit aussi proposé aux parents, UN MILLION de signataires s’étaient manifestés en mars 2016.
Résultat ?
Henri Joyeux a été attaqué par le Conseil National de l’Ordre des Médecins par son Président lui-même, Patrick Bouet, qui avait résumé les « deux infractions » qui lui étaient reprochées : « la tenue de propos non appuyés sur des bases scientifiques [et portant] atteinte à la profession », et « un discours qui peut être dangereux pour la population parce qu’il s’agirait de discréditer le mécanisme de vaccination préventive ».*
Aujourd’hui Henri Joyeux a été radié de l’ordre des médecins pour ce seul fait, qu’on se le dise.
Henri Joyeux n’a jamais contesté la validité de la vaccination DTP, mais la vente forcée des valences Coq/HI/HBV qui y était rattachée.
Son comportement de lanceur d’alerte face à une situation sanitaire révoltante se voit récompensé de la plus triste manière.
Je vous enjoins tous, humblement, à accorder encore quelques secondes de votre temps au visionnage de ceci, commencer pour les gens pressés à 18 minutes et ne ratez surtout pas l’ignominie de ce qui se dit sans complexe à 21’29 », de la bouche du PDG du groupe GSK…
Système de santé et vaccination en France, Pr H. Joyeux
Rediffusion de notre émission Prévention Santé « La vaccination, pour ou contre »
Ah! Au fait! l’Infanrix Hexa n’est plus disponible à ce jour sans que le groupe GSK n’ait donné la moindre explication ni aux familles, ni aux médecins.
Quand même pas une tornade d’effets secondaires de plus en plus difficile à masquer ?
Reste le tout nouvel Hexavalent, Hexyon.
La revue Prescrire conseille de ne pas l’employer, et les Suisses l’ont refusé…
Pauvre Henri Joyeux, pauvre Démocratie, pauvres Médecins, pauvres bébés, pauvres de nous…
Le Pr Henri Joyeux a annoncé sur RTL ce 12 juillet qu’il fera appel de la décision de radiation de l’Ordre des médecins, rendue le 8 juillet dernier par la chambre disciplinaire du conseil régional de l’Ordre des médecins du Languedoc-Roussillon.
« Il est évident que je vais faire appel et l’appel est suspensif. Je continuerai à consulter, à conseiller », a-t-il expliqué au micro. «
Cette décision vient directement du ministère de la Santé et du Conseil de l’Ordre national qui cherche à me faire taire, mais ils n’y arriveront pas », a-t-il commenté, répétant un argumentaire déjà usé l’été dernier.
Quand même pas une tornade d’effets secondaires de plus en plus difficile à masquer ?
Reste le tout nouvel Hexavalent, Hexyon.
La revue Prescrire conseille de ne pas l’employer, et les Suisses l’ont refusé…
Pauvre Henri Joyeux, pauvre Démocratie, pauvres Médecins, pauvres bébés, pauvres de nous…
Le Pr Henri Joyeux a annoncé sur RTL ce 12 juillet qu’il fera appel de la décision de radiation de l’Ordre des médecins, rendue le 8 juillet dernier par la chambre disciplinaire du conseil régional de l’Ordre des médecins du Languedoc-Roussillon.
« Il est évident que je vais faire appel et l’appel est suspensif. Je continuerai à consulter, à conseiller », a-t-il expliqué au micro. «
Cette décision vient directement du ministère de la Santé et du Conseil de l’Ordre national qui cherche à me faire taire, mais ils n’y arriveront pas », a-t-il commenté, répétant un argumentaire déjà usé l’été dernier.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: le Pr joyeux - Maladies Alzheimer et Parkinson - Les Vaccins -
L’aluminium dans les vaccins – Par le professeur Henri Joyeux
Juin 16, 2018
Juin 16, 2018
Je reçois beaucoup de questions à propos de ma comparution, le 24 mai 2018, devant la chambre disciplinaire du Conseil national de l’Ordre des médecins.
Quel qu’en soit le résultat définitif, je reste confiant dans l’écoute attentive des 5 Juges médecins et de la Présidente membre du Conseil d’État.
Le Président du Conseil de l’Ordre de mon département a clairement exprimé la disproportion entre la radiation prononcée, puis suspendue, et la faute s’il y a faute.
Mon avocat a parfaitement présenté les attaques incessantes dont j’ai été l’objet dans les grands médias, faisant courir le bruit que j’étais radié à jamais de l’Ordre des médecins, que je ne serais plus Professeur, ce qui n’est pas possible, alors que la radiation à peine prononcée en juillet 2016 était immédiatement suspendue par deux appels.
Tous deux ont parfaitement démontré que je n’ai jamais été contre les vaccins, mais seulement contre les excès, et, plus encore, que j’ai voulu révéler certains dangers quand ils ne sont pas indiqués.
Personnellement j’ai expliqué ma démarche de défenseur, lanceur d’alertes pour tous, en particulier les familles et les enfants, et pourquoi j’ai informé par voie de pétition pour être entendu du public le plus large en assumant tous les termes utilisés. C’était et c’est encore le seul moyen de dépasser le blocage médiatique et institutionnel sur ce sujet des vaccins.
La première pétition contre la vaccination massive des jeunes enfants qui se préparait contre les papilloma virus a recueilli, en très peu de temps, plus de 400 000 signatures, et a pu faire reculer les autorités de santé. La deuxième réclamant le retour au classique DTP SANS ALUMINIUM a été signée par près de 1,150 000 personnes.
Ce n’est pas la vaccination qui est remise en cause, ce sont les indications et les effets indésirables.
Les affirmations que j’ai révélées reposent sur un travail continu et encore actuel. J’ai obtenu tous les renseignements nécessaires auprès des collègues les plus compétents, et de la littérature scientifique internationale la plus solide et très active en ce moment.
Le point le plus important concerne l’adjuvant aluminium présent dans les vaccins, dès la première dose obligatoire selon la loi
Chez un nourrisson de 2 mois, la dose d’aluminium métal injectée par la première dose de vaccin est nettement supérieure à la Dose Minimale Toxique fixée par la FDA (Food and Drug Administration) et de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé).
Lire la suite sur le site de France Catholique
Cliquer
Quel qu’en soit le résultat définitif, je reste confiant dans l’écoute attentive des 5 Juges médecins et de la Présidente membre du Conseil d’État.
Le Président du Conseil de l’Ordre de mon département a clairement exprimé la disproportion entre la radiation prononcée, puis suspendue, et la faute s’il y a faute.
Mon avocat a parfaitement présenté les attaques incessantes dont j’ai été l’objet dans les grands médias, faisant courir le bruit que j’étais radié à jamais de l’Ordre des médecins, que je ne serais plus Professeur, ce qui n’est pas possible, alors que la radiation à peine prononcée en juillet 2016 était immédiatement suspendue par deux appels.
Tous deux ont parfaitement démontré que je n’ai jamais été contre les vaccins, mais seulement contre les excès, et, plus encore, que j’ai voulu révéler certains dangers quand ils ne sont pas indiqués.
Personnellement j’ai expliqué ma démarche de défenseur, lanceur d’alertes pour tous, en particulier les familles et les enfants, et pourquoi j’ai informé par voie de pétition pour être entendu du public le plus large en assumant tous les termes utilisés. C’était et c’est encore le seul moyen de dépasser le blocage médiatique et institutionnel sur ce sujet des vaccins.
La première pétition contre la vaccination massive des jeunes enfants qui se préparait contre les papilloma virus a recueilli, en très peu de temps, plus de 400 000 signatures, et a pu faire reculer les autorités de santé. La deuxième réclamant le retour au classique DTP SANS ALUMINIUM a été signée par près de 1,150 000 personnes.
Ce n’est pas la vaccination qui est remise en cause, ce sont les indications et les effets indésirables.
Les affirmations que j’ai révélées reposent sur un travail continu et encore actuel. J’ai obtenu tous les renseignements nécessaires auprès des collègues les plus compétents, et de la littérature scientifique internationale la plus solide et très active en ce moment.
Le point le plus important concerne l’adjuvant aluminium présent dans les vaccins, dès la première dose obligatoire selon la loi
Chez un nourrisson de 2 mois, la dose d’aluminium métal injectée par la première dose de vaccin est nettement supérieure à la Dose Minimale Toxique fixée par la FDA (Food and Drug Administration) et de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé).
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Tribune par le Professeur Henri Joyeux
Le Professeur Joyeux de la Faculté de Médecine de l’Université de Montpellier (Pr. honoraire), Chirurgien Cancérologue & Conférencier, s’engage au service de votre santé par ses messages de prévention des cancers: nutrition & comportements de santé.
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Re: le Pr joyeux - Maladies Alzheimer et Parkinson - Les Vaccins -
Propos anti-vaccin
La radiation du professeur Henri Joyeux est annulée lors d'un procès en appel
En première instance, le professeur montpelliérain, 72 ans, avait été radié par la chambre disciplinaire du Languedoc-Roussillon à cause de ses positions anti-vaccin...
La radiation du professeur Henri Joyeux est annulée lors d'un procès en appel
En première instance, le professeur montpelliérain, 72 ans, avait été radié par la chambre disciplinaire du Languedoc-Roussillon à cause de ses positions anti-vaccin...
Il avait été condamné pour des pétitions anti-vaccins.
La radiation du controversé professeur Henri Joyeux a été annulée en appel, a annoncé ce mardi la chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins.
Cet organe, indépendant du Conseil national de l’Ordre, a estimé que la radiation prononcée en première instance le 8 juillet 2016 n’était « pas suffisamment motivée ».
Selon la décision d’appel, les propos du Pr Joyeux « n’excédaient pas le principe de la liberté d’expression ».
De ce fait, la plainte contre lui du Conseil national de l'Ordre des médecins a été rejetée.
« Je ne suis pas du tout radié, je n’ai pas de blâme. Ça veut dire quoi ?
Ça veut dire que j’ai raison ! », a déclaré le médecin.
En première instance, le professeur montpelliérain, 72 ans, avait été radié par la chambre disciplinaire du Languedoc-Roussillon.
En cause, deux pétitions publiées sur internet en septembre 2014 et mai 2015 par ce médecin cité en exemple par les anti-vaccins et contesté par une large partie de la communauté médicale.
Présence d’aluminium et papillomavirus
La première s’élevait contre une recommandation du Haut conseil de la santé publique, jamais suivie par le gouvernement, préconisant d’abaisser de onze à neuf ans l’âge de la vaccination contre le papillomavirus pour les filles.
La seconde fustigeait le remplacement du vaccin DTPolio trivalent (c’est-à-dire protégeant contre trois maladies, la diphtérie, le tétanos et la polio) par un vaccin hexavalent (protégeant contre six affections).
Cette pétition pointait la présence d’aluminium comme adjuvant dans le vaccin en estimant que cela représentait un danger, ce qui n’est corroboré par aucune étude.
La première pétition « participe de la liberté laissée à tout individu dans un État démocratique d’exprimer son opinion sur un sujet qui le concerne », a jugé l’instance d’appel.
En ce qui concerne la deuxième pétition, « la toxicité de l’aluminium comme adjuvant et la dangerosité du vaccin contre l'hépatite B font l’objet depuis plusieurs années de controverses nourries », a relevé la chambre disciplinaire nationale.
La radiation du controversé professeur Henri Joyeux a été annulée en appel, a annoncé ce mardi la chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins.
Cet organe, indépendant du Conseil national de l’Ordre, a estimé que la radiation prononcée en première instance le 8 juillet 2016 n’était « pas suffisamment motivée ».
Selon la décision d’appel, les propos du Pr Joyeux « n’excédaient pas le principe de la liberté d’expression ».
De ce fait, la plainte contre lui du Conseil national de l'Ordre des médecins a été rejetée.
« Je ne suis pas du tout radié, je n’ai pas de blâme. Ça veut dire quoi ?
Ça veut dire que j’ai raison ! », a déclaré le médecin.
En première instance, le professeur montpelliérain, 72 ans, avait été radié par la chambre disciplinaire du Languedoc-Roussillon.
En cause, deux pétitions publiées sur internet en septembre 2014 et mai 2015 par ce médecin cité en exemple par les anti-vaccins et contesté par une large partie de la communauté médicale.
Présence d’aluminium et papillomavirus
La première s’élevait contre une recommandation du Haut conseil de la santé publique, jamais suivie par le gouvernement, préconisant d’abaisser de onze à neuf ans l’âge de la vaccination contre le papillomavirus pour les filles.
La seconde fustigeait le remplacement du vaccin DTPolio trivalent (c’est-à-dire protégeant contre trois maladies, la diphtérie, le tétanos et la polio) par un vaccin hexavalent (protégeant contre six affections).
Cette pétition pointait la présence d’aluminium comme adjuvant dans le vaccin en estimant que cela représentait un danger, ce qui n’est corroboré par aucune étude.
La première pétition « participe de la liberté laissée à tout individu dans un État démocratique d’exprimer son opinion sur un sujet qui le concerne », a jugé l’instance d’appel.
En ce qui concerne la deuxième pétition, « la toxicité de l’aluminium comme adjuvant et la dangerosité du vaccin contre l'hépatite B font l’objet depuis plusieurs années de controverses nourries », a relevé la chambre disciplinaire nationale.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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