Re: Prométhée - La Relecture de La Loi de Bioéthique en 2018

par **Pierre L.** Jeu 30 Juil 2020 - 17:14

Je pleure chaque soir quand je pense à la maltraitance des enfants qui n'ont pas vu le jour, ça me dévaste.

Prier pour eux et pour moi svp

par **Scala-Coeli** Jeu 30 Juil 2020 - 18:17

Pierre L. a écrit:Je pleure chaque soir quand je pense à la maltraitance des enfants qui n'ont pas vu le jour, ça me dévaste.

Prier pour eux et pour moi svp

C'est difficile, mais sachez que c'est une grâce donnée par notre Père du Ciel que pleurer pour la dévastation de Sa création.

En Union de prières avec vous.

par Invité Jeu 30 Juil 2020 - 18:42

François Bernon a écrit:Un premier amendement visant à autoriser la «Ropa» - une méthode qui autorise une femme en couple à se faire implanter un embryon conçu avec les ovocytes de sa partenaire - a été rejeté à 78 voix contre 31.

En fin d’après-midi, tous les amendements sur la PMA post-mortem ont été rejetés.

Merci
C'est déjà ça.

Bon:
Plus on s'enfonce dans la boue, plus on se rapproche de la victoire du christ
C'est notre consolation .

Mais a pleurer effectivement tous ces enfants qui seront "sacrifiés" avant que cela advienne

par Invité Sam 1 Aoû 2020 - 9:57

Discours de mgr aillet (Merci à lui)

https://www.lesalonbeige.fr/mgr-aillet-la-societe-sengouffre-dans-la-dictature-il-y-a-une-manipulation-des-esprits-grace-a-une-gestion-par-la-peur/

par **Desiderius Ulixes** Sam 1 Aoû 2020 - 10:39

Nicolas-p a écrit:Discours de mgr aillet (Merci à lui)

https://www.lesalonbeige.fr/mgr-aillet-la-societe-sengouffre-dans-la-dictature-il-y-a-une-manipulation-des-esprits-grace-a-une-gestion-par-la-peur/

En même temps, attention avec le Salon Beige, ils ont publié sur leur Blog la vidéo de Denis Rancourt qui nie l'efficacité du port du masque par tous. La même qui a été diffusée ici...

par **azais** Ven 7 Aoû 2020 - 12:38

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Manifestation devant le Sénat à Paris en France contre le projet de loi bioéthique, le 19 janvier 2020. (AFP or licensors)
[size=42]https://www.vaticannews.va/fr/monde/news/2020-07/revision-des-lois-de-bioethique-une-derive-eugenique-et-transhu.html[/size]
[size=42]Lois de bioéthique: une dérive eugénique et transhumaniste[/size]
Après moins d'une semaine de débats à l'Assemblée Nationale, le texte de révision des lois de bioéthique a été voté en deuxième lecture dans la nuit du 31 juillet au 1 août. Le texte devra encore passer au Sénat.

Entretien réalisé par Delphine Allaire – Cité du Vatican
Le texte a été voté au coeur de la nuit par 60 voix contre 37 et 4 abstentions, sous des applaudissements de la majorité. Il doit encore néanmoins repasser devant le Sénat, probablement début 2021. Si l'ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes seules a été adoptée, la PMA post-mortem et le don d’ovocytes dans un couple de femmes, méthode dite ROPA de maternité partagée, ont, eux, été rejetés par les députés. Les nombreuses questions ethiques soulevées par le texte n'ont pas pour autant été évacuées. Dans un communiqué de presse, Caroline Roux, déléguée générale adjointe d’Alliance Vita dénonce une «complète rupture éthique. La majorité présidentielle a fait prévaloir l’intérêt d’adultes au détriment des droits de l’enfant, et s’est obstinée à intensifier la manipulation du vivant, sans aucun principe de précaution», souligne t-elle.

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20/07/2020

Mgr d’Ornellas: «La bioéthique a besoin d’une salutaire prise de conscience»

Ce texte de loi contient en effet une multitude d’autres mesures controversées comme la manipulation prolongée de l’embryon, la création d’embryons transgéniques et chimériques ou l’autoconservation des ovocytes sans motif médical.
Alexandra Henrion-Caude, généticienne, directrice de l’Institut de recherche Simplissima, membre du comité Ethique Ile-de-France, alerte sur les risques de dérive eugéniste
Retranscription de l'entretien:
«Une loi de bioéthique se définit comme ayant pour but d’encadrer le développement du progrès pour protéger les droits fondamentaux de la personne. Dans le cas présent, il n’y a ni encadrement d’un développement du progrès, ni protection des droits fondamentaux de la personne, quel qu’en soit l’âge ou le stade de développement. C’est une loi de rupture, de transgression par rapport à l’humanité, de transgression sociétale, qui compromet durablement la santé des individus.
Déjà, car elle autorise l’État à devenir géniteur. L’État se permet d’avoir un accès aux ovocytes, en proposant aux femmes de les conserver. Cela lui permet de faire des expériences sur l’embryon jusqu’à 14 jours.
Deuxièmement, le droit à l’enfant. Le Sénat en France avait dit qu’il fallait inscrire en préalable de cette loi la mention que nul n’avait le droit à l’enfant. Les parlementaires à l’Assemblée ont restauré la notion de droit d’une personne sur une autre, en supprimant cette phrase: «Nul n’a le droit à l’enfant».
Enfin, ce projet de loi supprime tous les liens de parenté biologique pour les remplacer par des liens d’intention.
Quels sont les dangers de cette loi relatifs à la manipulation du vivant?
Elle autorise les modification de l’espèce humaine, la création d’embryons génétiquement modifiés, mais aussi la création de nouvelles espèces, générées par le mélange homme-animal, les fameuses chimères. Elle institue enfin l’eugénisme, selon des critères numérologiques du nombre de chromosomes.
Ensuite, c’est une loi qui n’a aucune indication médicale, et se revendique comme telle. Elle n’informe pas des risques encourus sur la santé des enfants à naître. Des risques notables d’infertilité des générations futures, qui n’auront d’autres choix que de recourir aussi à la procréation médicalement assistée. L’autre aspect, c’est l’augmentation des maladies épigénétiques, jusqu’à quatre fois chez les enfants issus de PMA. On n’en informe jamais les parents.
Comment expliquez-vous cette volonté politique paradoxale de révolutionner ainsi la biologie?
Il y a un mensonge, car sur 34 points de cette loi, 30 ne concernent pas la PMA pour toutes, mais relèvent des transgressions que je vous ai énumérées: conservation des ovocytes, chimères homme-animal, modifications génétiques. La raison avancée pour laquelle cette loi doit être discutée là, en plein cœur de l’été alors que l’Hémicycle est vide, c’est car elle représente une urgence sanitaire. Mais qui dit urgence sanitaire, dit indication médicale. Or, elle n’en a pas. Cette loi revendique être un accompagnement des changements sociétaux. Ca n’est pas exact, car des homosexuelles femmes qui ont des enfants, cela a déjà eu lieu depuis des années, avec un contact physiologique, par insémination naturelle ou artificielle. C’est donc un passage en force, sans respect des débats, pour une loi qui n’est un progrès pour personne.»

par **Isabelle-Marie** Lun 10 Aoû 2020 - 7:28

Suggestion de l'abbé Viot qui pourrait favoriser la prise de conscience, bien des personnes, même non pratiquantes, étant encore sensibles à l'honneur de funérailles chrétiennes :

"Pour le bien des âmes en général, il conviendrait de faire savoir aux catholiques qui, malgré les avertissements de leurs évêques, ont voté cette loi ou qui l’approuvent de quelque manière que ce soit, qu’ils encourent l’excommunication. En bafouant la loi naturelle et en ouvrant la porte à des crimes contre l’humanité, je pense qu’ils se sont eux-mêmes excommuniés. Ils n’ont donc plus accès à aucun des sacrements de l’Église, sinon la pénitence. Il serait d’ailleurs charitable de les avertir que les honneurs des funérailles chrétiennes risquent de leur être refusés, point qui est sans doute le plus sensible de tous, même pour des gens moyennement croyants. Il appartiendrait aux spécialistes en droit canon d’étudier cette question si l’Église voulait donner suite à cette suggestion. Elle m’apparait comme le seul moyen fort pour elle de manifester clairement et publiquement sa désapprobation. Laquelle se place bien évidemment dans la perspective de la repentance des pécheurs et de l’enseignement du peuple de Dieu demeuré fidèle."

https://www.lesalonbeige.fr/la-terreur-cette-arme-revolutionnaire/

par Philippe-Antoine Lun 10 Aoû 2020 - 7:50

Isabelle-Marie a écrit:Suggestion de l'abbé Viot qui pourrait favoriser la prise de conscience, bien des personnes, même non pratiquantes, étant encore sensibles à l'honneur de funérailles chrétiennes :

"Pour le bien des âmes en général, il conviendrait de faire savoir aux catholiques qui, malgré les avertissements de leurs évêques, ont voté cette loi ou qui l’approuvent de quelque manière que ce soit, qu’ils encourent l’excommunication. En bafouant la loi naturelle et en ouvrant la porte à des crimes contre l’humanité, je pense qu’ils se sont eux-mêmes excommuniés. Ils n’ont donc plus accès à aucun des sacrements de l’Église, sinon la pénitence. Il serait d’ailleurs charitable de les avertir que les honneurs des funérailles chrétiennes risquent de leur être refusés, point qui est sans doute le plus sensible de tous, même pour des gens moyennement croyants. Il appartiendrait aux spécialistes en droit canon d’étudier cette question si l’Église voulait donner suite à cette suggestion. Elle m’apparait comme le seul moyen fort pour elle de manifester clairement et publiquement sa désapprobation. Laquelle se place bien évidemment dans la perspective de la repentance des pécheurs et de l’enseignement du peuple de Dieu demeuré fidèle."

https://www.lesalonbeige.fr/la-terreur-cette-arme-revolutionnaire/

Oui, bien d'accord, mais l'excommunication a t-elle encore un sens pour ces personnes déjà "mortes" spirituellement ? Voter ou faire voter, voire même simplement approuver des lois aussi abominables que celles-ci n'est-il pas un péché mortel?

par **Isabelle-Marie** Lun 10 Aoû 2020 - 9:02

Philippe-Antoine a écrit:
Isabelle-Marie a écrit:Suggestion de l'abbé Viot qui pourrait favoriser la prise de conscience, bien des personnes, même non pratiquantes, étant encore sensibles à l'honneur de funérailles chrétiennes :

"Pour le bien des âmes en général, il conviendrait de faire savoir aux catholiques qui, malgré les avertissements de leurs évêques, ont voté cette loi ou qui l’approuvent de quelque manière que ce soit, qu’ils encourent l’excommunication. En bafouant la loi naturelle et en ouvrant la porte à des crimes contre l’humanité, je pense qu’ils se sont eux-mêmes excommuniés. Ils n’ont donc plus accès à aucun des sacrements de l’Église, sinon la pénitence. Il serait d’ailleurs charitable de les avertir que les honneurs des funérailles chrétiennes risquent de leur être refusés, point qui est sans doute le plus sensible de tous, même pour des gens moyennement croyants. Il appartiendrait aux spécialistes en droit canon d’étudier cette question si l’Église voulait donner suite à cette suggestion. Elle m’apparait comme le seul moyen fort pour elle de manifester clairement et publiquement sa désapprobation. Laquelle se place bien évidemment dans la perspective de la repentance des pécheurs et de l’enseignement du peuple de Dieu demeuré fidèle."

https://www.lesalonbeige.fr/la-terreur-cette-arme-revolutionnaire/
Oui, bien d'accord, mais l'excommunication a t-elle encore un sens pour ces personnes déjà "mortes" spirituellement ? Voter ou faire voter, voire même simplement approuver des lois aussi abominables que celles-ci n'est-il pas un péché mortel?

mais cela peut éveiller les consciences Désolé

même des non catholiques, en rappelant que l'enfer existe et que nous avons une âme à sauver.

par Philippe-Antoine Lun 10 Aoû 2020 - 10:45

Isabelle-Marie a écrit:(...)
mais cela peut éveiller les consciences même des non catholiques, en rappelant que l'enfer existe et que nous avons une âme à sauver.

Pour une infime partie, vous avez sans doute raison. Sauver ne serait-ce qu'une seule âme c''est déjà une énorme victoire!
Par contre, malheureusement, pour l'immense majorité, la seule chose que les gens comprennent c'est quand on s'attaque à leur porte-monnaie, mais de ce côté là la veritable Eglise du Christ n'a aucun moyen de pression vu que ce sont les financiers à l'instar de Judas qui tirent les ficelles de la bourse.

par **François Bernon** Jeu 3 Juin 2021 - 10:55

Article concernant les chimères et la fameuse règle des 14 jours qui n'en est pas !

Des chercheurs des États-Unis et de la Chine ont annoncé en avril qu'ils avaient créé les toutes premières chimères homme-primate. En mélangeant des cellules souches humaines avec des embryons de singe macaque, les scientifiques ont produit des créatures avec des cellules des deux espèces.
La création de tels êtres est profondément troublante et soulève des questions sur les raisons pour lesquelles cela a été fait et où cela pourrait mener. Quel est l'intérêt de cette recherche ? Aurons-nous des singes aux traits humains qui courent dans les laboratoires du pays ? Qui décide où tracer la ligne entre la recherche que nous devrions souhaiter et la recherche que nous ne devrions pas ?
Nous pouvons être enclins à croire que l'industrie biotechnologique se réglementera elle-même, qu'elle établira et suivra des normes éthiques qui respectent la vie humaine, ou du moins essaiera de bonne foi de tenir compte des préoccupations du public. Cela a été l'approche par le passé. Mais aujourd'hui, nous en savons suffisamment sur les antécédents de l'industrie pour ne plus nous attendre à ce qu'elle se contrôle.

Les expériences produisant des chimères qui combinent des organismes humains et animaux ne sont pas nouvelles. Pendant des années, les scientifiques ont greffé des cellules et des organes humains – souvent de fœtus avortés – à des souris. Ces souris « humanisées » ont des caractéristiques humaines spécifiques, telles que le sang humain ou les cellules du système immunitaire. L'objectif général de telles expériences est d'acquérir une meilleure compréhension du développement humain ou de la maladie qu'il n'est possible d'étudier simplement les souris.
Mais cette récente expérience avec des singes va plus loin. Les chercheurs ont injecté des cellules souches pluripotentes humaines dans un embryon de macaque précoce. Cette procédure peut, en principe, conduire à la croissance d'organes et de tissus humains dans tout l'organisme. Les scientifiques pensent qu'en apportant les bons ajustements génétiques aux embryons animaux et aux cellules souches humaines, ils peuvent produire des chimères contenant des organes ou des tissus humains spécifiques. Ces chimères pourraient alors servir de sujets expérimentaux pour étudier le développement humain et la maladie ou pour tester des médicaments. Ils pourraient même être utilisés pour cultiver des organes humains à des fins de transplantation.
Alors pourquoi des singes ? Les scientifiques ont eu du mal à faire en sorte que les cellules souches humaines contribuent beaucoup aux embryons d'animaux lointainement apparentés comme les porcs , alors ces chercheurs se sont plutôt tournés vers une espèce plus étroitement apparentée. Leur objectif immédiat en expérimentant avec des chimères homme-singe n'était pas de créer des organismes en partie humains et en partie singes. Les chercheurs notent dans leur articleet lors d'entretiens avec les médias, ils n'ont jamais laissé ces embryons chimériques se développer et les ont détruits avant qu'ils n'aient eu la chance de se développer au-delà d'un certain stade. L'objectif était plutôt d'affiner les techniques de fabrication de chimères afin de mieux comprendre comment rendre les chimères « chez des espèces plus éloignées de l'évolution qui, pour diverses raisons, notamment sociales, économiques et éthiques, pourraient être plus appropriées » pour des thérapies potentielles. En d'autres termes, les scientifiques reconnaissent les implications potentiellement troublantes de leur travail.

D'une part, les chimères sont prometteuses car elles pourraient ressembler suffisamment aux humains pour être utiles – capables de faire croître des organes humains ou de servir de modèles précis à certains aspects de la biologie humaine. D'un autre côté, les chimères sont prometteuses car elles pourraient être suffisantes, contrairement aux humains, pour ne pas soulever des drapeaux rouges éthiques concernant leur utilisation de cette manière, car on pourrait affirmer qu'elles ne sont essentiellement que des animaux. Ainsi, les chimères pourraient offrir aux chercheurs non seulement un moyen technique d'augmenter l'approvisionnement en organes humains, mais une justification morale pour les récolter, à savoir que si les organes sont humains, les animaux dont ils font partie ne le sont pas.
C'est justement ce qui rend la recherche sur les chimères si prometteuse, donc, qui la rend aussi si troublante. Nous voulons que les scientifiques créent un porc suffisamment humain pour que les organes que nous en prélevons fonctionnent pour notre corps, sans être si humains que nous devions nous soucier de ce que ces organes feront à nos âmes.

Pas seulement des parties du corps

Les avocats voudraient nous faire croire que ce genre de recherche est justifié car les chimères ne contiennent que des cellules ou des organes humains, et cela n'en fait pas des personnes humaines. Qu'est-ce que cela signifie vraiment?
Lorsque nous créons des chimères en ajoutant des cellules souches pluripotentes à un embryon précoce, les cellules humaines grandissent et se développent aux côtés des cellules de l'embryon animal « hôte » de manière unifiée. Ces cellules humaines appartiennent toujours à une personne réelle, qu'il s'agisse d'un embryon humain qui a été détruit pour créer des cellules souches embryonnaires ou d'un donneur encore vivant dont les cellules de la peau ont été reprogrammées en une lignée de cellules souches. Les cellules humaines conserveront l'identité génétique humaine de cette personne tout au long de la vie de la chimère. Mais ils travailleront et grandiront aux côtés de cellules animales génétiquement distinctes, échangeant des métabolites, envoyant et recevant des signaux, se liant ensemble pour former des tissus organisés et répondre aux besoins de cette créature curieuse et mélangée. Dans tout cela, les cellules restent humaines, et elles resteront les cellules dela personne humaine particulière d'où ils ont été pris. Comment cette personne peut - elle alors se rapporter à la chimère dans laquelle sa propre chair et son sang cohabitent avec la chair et le sang d'un animal, dans une créature qui sera expérimentée et probablement tuée, peut-être pour donner à cette personne une vie... organe salvateur ?
Nous pourrions carrément écarter ces préoccupations en posant un strict dualisme entre l'esprit et le corps - en insistant sur le fait que le corps et ses composants ne sont qu'accessoires aux capacités mentales qui font d'un humain une personne dont la vie mérite d'être respectée. Mais bien que cette position puisse sembler être un moyen raisonnable de justifier notre intuition selon laquelle un porc qui contient un rein humain n'est à peu près qu'un porc et ne ressemble en rien à un être humain, nous ne devons pas oublier notre autre intuition, que la présence du corps humain, même en partie, doit imposer notre respect. Comme l'éthicien Paul Ramsey l'a observé dans The Patient as Person(1970), il n'y a « pas de vie qui ne soit la vie incarnée ; aucun homme dont la vie n'est pas… l'âme (le sujet) de son corps, et le corps de son âme.
Au lieu de cet engagement à respecter la vie incarnée de l'être humain, la recherche chimérique vise à brouiller la frontière non seulement entre l'animal et l'humain, mais aussi entre le corps et la personne. Il démonte et mélange le corps humain vivant, pour le traiter comme un objet d'exploitation, plutôt que la présence physique de la personne, le siège de l'âme.

Notre régime « éthique »

Aux États-Unis, les seules réglementations régissant ce type de recherche sont des politiques sur ce que le gouvernement fédéral financera et ne financera pas. Ainsi, le seul obstacle réglementaire potentiel pour les chercheurs est d'obtenir un financement de sources autres que le gouvernement. L'obstacle n'est pas suffisant pour empêcher les scientifiques américains de mener des recherches sur les chimères - en effet, la moitié de l'équipe de recherche entre humains et primates était américaine, travaillant au Salk Institute en Californie. Le gouvernement fédéral a maintenu pendant des années une politique de ne pas financer la recherche impliquant la création de chimères humains-primates avec des cellules souches humaines. Un moratoire de 2015 interdisant le financement fédéral est toujours en place. Mais à la suite de cette récente expérience, il y a une pression renouvelée sur le gouvernement pour annuler ce moratoire afin de permettre le financement de ce type d'étude.
Selon un article du Wall Street Journal , les National Institutes of Health attendent de prendre une décision politique jusqu'à ce que la Société internationale pour la recherche sur les cellules souches (ISSCR) mette à jour ses directives politiques en mai. * L'ISSCR est essentiellement un groupe de pression sur les cellules souches, dont les recommandations actuelles sur la recherche sur les chimères homme-animal n'offrent que de vagues conseils procédurauxsur le processus d'examen que les établissements de recherche devraient suivre. L'organisation n'offre pas de véritables conseils éthiques, et les déclarations publiques de l'organisation et des membres de son comité d'éthique, comme Insoo Hyun, ont minimisé les préoccupations éthiques concernant l'expérience récente : « Je ne vois pas ce type de recherche comme problématique sur le plan éthique. Il vise de nobles objectifs humanitaires », a déclaré Hyun à NPR en avril.
Les scientifiques, pour leur part, ont justifié leurs expériences en notant dans leur article qu'ils étaient "entièrement concentrés sur les embryons chimériques ex vivo " - ce qui signifie que les embryons n'ont jamais été implantés - et qu'ils ont limité leur travail au "développement d'embryons chimériques à un stade précoce". " En d' autres termes, ils ont tué avec diligence les chimères animal-humain embryonnaire avant de pouvoir se transformer en quelque chose comme un « monstre » , comme l' un des chercheurs l' ont mis dans une interview.
Quelle confiance devons-nous accorder aux chercheurs et aux groupes comme l'ISSCR pour établir des principes moraux solides pour réguler ce type de recherche ? D'une part, il s'agit d'un domaine scientifique complexe, et il existe de nombreux détails techniques importants que les experts scientifiques et les éthiciens connaissant bien la science seront bien placés pour comprendre. D'un autre côté, précisément parce qu'il s'agit d'un sujet si scientifiquement et moralement complexe, impliquant le brouillage des frontières éthiques, nous devrons faire confiance à quiconque prend ce genre de décisions.
Les chercheurs seront toujours confrontés à la tentation d'aller un peu trop loin et de dissimuler ou de déformer la signification morale d'une expérience donnée dans une brume de jargon technique obscur. Mais un groupe comme l'ISSCR, qui existe pour représenter les intérêts des scientifiques, pourrait tomber dans la tentation de simplement adopter et ratifier les principes éthiques de ses membres.
Par exemple, une règle qui découlerait du raisonnement éthique des scientifiques qui ont créé ces chimères homme-singe - une règle que l'ISSCR pourrait très bien adopter - serait de détruire toutes les chimères potentiellement controversées avant qu'elles n'atteignent un certain stade de développement. Une telle règle empêcherait l' apparition de créatures troublantes ressemblant à des humains sortant des laboratoires scientifiques. Mais plutôt que d'interdire leur création, cela exigerait leur destruction. La règle servirait les intérêts de la communauté scientifique en apaisant simplement les préoccupations du public sans y répondre honnêtement.

Changer les règles

Pour mieux comprendre pourquoi les experts scientifiques et éthiques ne méritent pas qu'on leur confie la responsabilité de l'autorégulation, nous pouvons considérer un épisode antérieur de l'histoire de la recherche sur l'embryon humain.
Il existe une norme de longue date consistant à cultiver des embryons humains en laboratoire pendant seulement quatorze jours après la fécondation. La règle a été établie à la fin des années 1970 et au début des années 1980 en réponse à la nouvelle pratique de la fécondation in vitro, et est devenue loi dans certains pays, comme le Royaume-Uni , alors qu'aux États-Unis, elle a fonctionné comme une directive volontaire.
Pourquoi quatorze jours ? Deux semaines est un bon nombre rond, mais il est également associé à la formation de la « strie primitive » dans l'embryon précoce, un événement qui marque le début de la différenciation de l'embryon en types cellulaires de base du corps. Comme Patrick Lee et Robert P. George l'ont soutenu dans ces pages (« The First Fourteen Days of Human Life », été 2006), dater le début d'une vie humaine à la formation de la séquence primitive est arbitraire et incohérent par rapport au fait de reconnaître que chaque vie humaine commence à la conception. Ainsi, la règle des quatorze jours a peu de fondement solide dans des faits biologiques moralement pertinents.
La règle des 14 jours n'a pas été proposée par les dirigeants politiques responsables devant le public. C'était le produit des délibérations des commissions de bioéthique du ruban bleu, où des experts en science, droit, théologie et éthique ont discuté des questions techniques et morales et ont publié des rapports volumineux sur leurs conclusions qui ont influencé les directives promulguées par des associations professionnelles comme l'ISSCR. Écrivant dans Nature en 2016 , trois éthiciens précisent que la règle ne doit pas être comprise comme un moyen de limiter ce que les scientifiques devraient faire, mais comme un moyen de limiter l'indignation du public face à ce qu'ils font :

La règle des 14 jours n'a jamais été conçue comme une ligne claire indiquant le début du statut moral des embryons humains. Il s'agit plutôt d'un outil de politique publique conçu pour se tailler un espace pour l'enquête scientifique et montrer simultanément du respect pour les divers points de vue sur la recherche sur l'embryon humain.

En d'autres termes, soutiennent ces éthiciens, la règle a toujours été souple et pragmatique, et non un principe moral.
En effet, le délai de 14 jours est si flexible que, selon un rapport de mars publiédans le MIT Technology Review , les chercheurs ont désormais l'intention de l'abandonner. Pourquoi? Parce que ces dernières années, ils ont développé des techniques pour garder les embryons humains en vie dans le laboratoire pendant plus de 14 jours, et donc la règle pose désormais un sérieux obstacle à leurs recherches.
Ne passons pas à côté du fiel de tout cela : pendant des décennies, la règle des 14 jours a été la façon dont les chercheurs sur les embryons humains ont démontré publiquement qu'ils imposaient des contraintes éthiques à leur recherche. En réalité, la règle est arbitraire, ne repose sur aucun principe éthique significatif, a été reconnue par les éthiciens comme un simple outil de relations publiques et n'a jamais imposé aucune contrainte aux chercheurs. Et maintenant que cela pourrait les contraindre, ils s'en débarrassent. Comme pour s'assurer que nous ne manquions pas l'essentiel, la nouvelle version des directives de l'ISSCR qui devraient proposer une plus grande permissivité sur la recherche sur les chimères sont les mêmes directives qui abandonneront la règle des 14 jours. **

Si les règles éthiques de la recherche sont aussi flexibles, que se passera-t-il lorsque les chercheurs décideront que les avantages des chimères homme-singe à maturité sont trop importants pour être ignorés ? Une chimère homme-singe dotée d'un vaste tissu neural humain et dotée d'une mémoire et de capacités cognitives supérieures serait extrêmement troublante. Mais ce serait sûrement aussi un meilleur modèle de maladies neurologiques mal comprises comme la maladie d'Alzheimer que les souris et les rats sur lesquels les scientifiques s'appuient actuellement. Développer des remèdes contre la maladie d'Alzheimer serait exactement le genre de « grand objectif humanitaire » auquel Insoo Hyun a fait référence, et que les éthiciens pourraient utiliser pour justifier l'expérimentation sur un singe avec un esprit plus humain.
Une fois qu'une telle expérience est techniquement faisable, pourquoi les experts qui ont créé les règles limitant cette recherche ne continueraient-ils pas à décrire ces règles comme non pas une "ligne claire" mais un "outil de politique publique" qui peut facilement être ajusté en tant que les enjeux changent ?

Une conscience sérieuse

Notre confiance dans les scientifiques pour s'autoréguler de manière responsable devrait être faible. Mais il existe un autre moyen de parvenir à un compromis entre les opinions publiques concurrentes sur la recherche sur l'embryon. Considérez la politique du président George W. Bush sur la recherche sur les cellules souches , qui limitait le financement fédéral à l'étude d'un petit nombre de lignées cellulaires existantes. Bush n'essayait pas de s'adapter aux points de vue des personnes préoccupées par la recherche sur les cellules souches embryonnaires, il représentait plutôt leurs points de vue par des actions politiques.
La politique n'était pas une limitation particulièrement stricte de la recherche sur les cellules souches humaines, car elle autorisait le financement de la recherche sur les lignées cellulaires existantes tout en interdisant le financement de la recherche sur de nouvelles. Son objectif était de réduire l'incitation à détruire les embryons pour la recherche. Ce compromis visait à permettre la poursuite des travaux les plus prometteurs, tout en orientant la recherche dans des directions moins problématiques sur le plan éthique. Néanmoins, la politique était très controversée . Il a été utilisé comme une question de coin par les démocrates tout au long des deux mandats de Bush, et il s'est avéré si impopulaire que les candidats républicains suivants n'ont pas cherché à y revenir. Autant dire que ce n'était pas un outil efficace pour gérer l'opinion publique.
Mais, en grande partie parce que la politique a été conçue comme une véritable tentative de représenter une position morale particulière – que la recherche destructrice d'embryons est fausse – cela a fait une différence. Il a en fait fixé des limites, quoique modestes, à la manière dont la recherche était menée. Ces limites ont modifié les incitations pour les scientifiques travaillant sur les cellules souches humaines. Parce que les limites de financement étaient un réel inconvénient, et pas seulement une mesure symbolique destinée à tenir compte des points de vue des groupes lésés, elles ont forcé les scientifiques à prendre au sérieux des arguments éthiques qu'ils auraient pu ignorer autrement.
Bien que la politique ait été abandonnée sous l'administration Obama, alors qu'elle était en place, elle a contribué à pousser la communauté scientifique à développer une alternative moralement acceptable aux cellules souches embryonnaires - ce qu'on appelle les cellules souches pluripotentes induites, dérivées d'adultes. Cette alternative a contribué à changer la façon dont la recherche dans ce domaine est menée à ce jour.
Dans son livre de 1970 sur les technologies de reproduction, Fabricated Man , Paul Ramsey a écrit :

Nous devons poser les questions éthiques avec une conscience sérieuse et non frivole. Un homme de conscience frivole annonce qu'il y a des dilemmes éthiques à venir que nous devons considérer de toute urgence avant que l'avenir ne nous rattrape. Par cela, il entend souvent que nous devons concevoir une nouvelle éthique qui fournira la rationalisation pour faire à l'avenir ce que les hommes sont tenus de faire en raison des nouvelles actions et interventions que la science aura rendues possibles. En revanche, un homme de conscience sérieuse veut dire en soulevant des questions éthiques urgentes qu'il peut y avoir certaines choses que les hommes ne devraient jamais faire. Les bonnes choses que font les hommes ne peuvent être complétées que par les choses qu'ils refusent de faire.

Au cours du demi-siècle depuis que Ramsey a écrit ces mots, nous avons été témoins de beaucoup de frivolité de conscience de la part de ceux qui sont chargés de réfléchir et de gouverner notre pouvoir croissant sur la nature - de la gestation pour autrui au diagnostic génétique préimplantatoire en passant par la recherche sur l'embryon et le clonage, et maintenant des chimères humains-primates. La communauté scientifique et ses facilitateurs bioéthiques proposent désormais le même type de rationalisation dans lequel ils se sont engagés depuis des décennies : écarter les êtres humains gênants ou controversés qu'ils créent en les tuant avant que quiconque ne puisse le remarquer.
Mais si nous avons le courage d'agir, la volonté de faire face aux questions éthiques de notre temps avec une conscience sérieuse, nous devons dire qu'il ya des choses que nous ne devrions jamais faire.

* MISE À JOUR : Le 26 mai, après la mise sous presse de cet article, l'ISSCR a publié ses directives mises à jour , qui offraient des recommandations sur la façon dont les chercheurs peuvent procéder à la création de chimères homme-animal, y compris des chimères avec des cellules d'humains et de primates non humains. Les nouvelles directives soulignent la nécessité de « procéder progressivement, en s'arrêtant à des moments bien définis » dans le développement de chimères homme-animal - en d'autres termes, que les chercheurs doivent faire attention à tuer les embryons chimériques homme-animal qu'ils créent.
** MISE À JOUR : Comme prévu, la mise à jour de mai des directives de l'ISSCR a effectivement supprimé la règle des 14 jours.

https://www.thenewatlantis.com/publications/just-say-no-to-human-monkey-chimeras

par **Yeshoua** Jeu 3 Juin 2021 - 13:49

Il ne faut pas enfermer se genre de débat ou le ramener sans cesse à la sphère "scientifique", se genre de procédé est déjà une négation
Se sont aux croyants et aux hommes de bonne volonté de se prononcer, quand aux catholique quel excuse? Bien que l'animation immédiate ne soit pas prononcé en un dogme, aucun d'eux ne peut être reçu à la Lumière de Foi (et de la raison) sans l'animation immédiate, c'est clair comme le jour sur la nuit.
Débat stérile qui n'a d'autre but de faire perdre le temps.

par **azais** Jeu 3 Juin 2021 - 15:45

Pas tant perdre du temps que ça : cet article montre que la creation d'hommes animaux n'est pas un mythe mais une realité

Et que la loi bioethique qui va etre debattue ne traite pas des questions " en l'air" alors que l'opnon est TOTALEMENT à cent lieux de penser a ce qui se passe dans les laboratoires , et en France dans ceux de Procreation medicale assistée (alias PMA)

N'avons nous pas à poser nos questions aux candidats aux regionales sur cette question et leur intention d'intervenir dans quel sens dans les debats politiques determinants des semaines qui viennent ?

Et à defaut a mobiliser nos paroisses là dessus et nos réseaux internet.

Certes l'article est trop long mais le dernier paragraphe suffit avec le lien pour attirer l'attention, et pour le croyant, simultanément la prière voire le jeûne et la reparation comme nous y invitait Mgr Germany archeveque de lyon la semaine dernière et membre de la Commission Bioethique épiscopale

On ne va pas tout de même dire que le CEF n'aura rien fait pour nous sensibiliser profondément depuis 2018 !!!

par **François Bernon** Jeu 3 Juin 2021 - 20:03

La commission spéciale #bioéthique adopte le #PJLBioethique selon une version proche de la 2ème lecture: #PMAsansPere autoconservation gamètes #embryon transgénique #chimères création #gamètes artificiels copies d'#embryon humain

par **Yeshoua** Ven 4 Juin 2021 - 21:02

azais Pas tant perdre du temps que ça : cet article montre que la creation d'hommes animaux n'est pas un mythe mais une realité

Mon message ne nie pas ce fait, je crois simplement qu'il ne faut pas regarder qu'une facette de cet horreur ("science" ou Dieu n'existe pas et donc en dehors en réel... )

Il nous faut pour nous même (et ceux qui nous lisent) de vrais repère (catholique) sinon oui c'est une perte de temps, des débats sans fin ou les ténèbres prennent toute la place.

Qui n'est pas au courant de se qui se passe actuellement? L'actualité nous le rappelle, bien qu'elle soit étouffé sous une vague de bruits (les gens tout comme nous) avons besoin de fondements véritable (comme le fait très bien votre site d’ailleurs -https://bioethiquecatholique.fr/-

Quant aux religieux, je vous dirais qu'en tant que fidèle se qu'on attend d'un intendant, c'est qu'il soit dispensateur des Mystères de Dieu comme nous le dit Saint Paul en 1Co.4

par **Isabelle-Marie** Mer 9 Juin 2021 - 9:10

François Bernon a écrit:Notre confiance dans les scientifiques pour s'autoréguler de manière responsable devrait être faible.

Le padre Pio disait qu'ils iront jusqu'au bout des possibilités transgressives de leurs recherches. Et je ne sais plus qui : que la science était transgressive par essence, ce qui est logique puisqu'elle nie Dieu, elle est Négation de Dieu par principe, spirituel et méthodologique (le corps-machine depuis Descartes étant son modèle principiel).
La médecine contenait donc dans l'oeuf ce vers quoi nous voyons qu'elle mène tout droit : le bio-pouvoir, avec ses deux mamelles que sont la reproduction artificielle et l'euthanasie. Mais il faut dire que cela elle n'aurait pu l'obtenir sans le consentement idolâtre de l'humanité, féminine en particulier, Paul VI l'avait bien compris au moment d'Humanae Vitae. Et si elle ne se convertit pas, elle ira jusqu'au bout de la déshumanisation et folie auto-destructrice qu'elle porte, comme le ver dans le fruit !

"Sainte Hildegarde...toi qui as cultivé avec sagesse les arcanes de la théologie, de la médecine, et des arts, nous te confions les scientifiques, les médecins, les artistes, afin qu’ils reconnaissent l’origine divine dans tout ce qu’ils découvrent."

embryon - Prométhée - La Relecture de La Loi de Bioéthique en 2018 - Page 29 Hild10

par **nath.** Mer 9 Juin 2021 - 9:23

Isabelle-Marie a écrit:
François Bernon a écrit:Notre confiance dans les scientifiques pour s'autoréguler de manière responsable devrait être faible.

Le padre Pio disait qu'ils iront jusqu'au bout des possibilités transgressives de leurs recherches. Et je ne sais plus qui : que la science était transgressive par essence, ce qui est logique puisqu'elle nie Dieu, elle est Négation de Dieu par principe, spirituel et méthodologique (le corps-machine depuis Descartes étant son modèle principiel).
La médecine contenait donc dans l'oeuf ce vers quoi nous voyons qu'elle mène tout droit : le bio-pouvoir, avec ses deux mamelles que sont la reproduction artificielle et l'euthanasie. Mais il faut dire que cela elle n'aurait pu l'obtenir sans le consentement idolâtre de l'humanité, féminine en particulier, Paul VI l'avait bien compris au moment d'Humanae Vitae. Et si elle ne se convertit pas, elle ira jusqu'au bout de la déshumanisation et folie auto-destructrice qu'elle porte, comme le ver dans le fruit !

"Sainte Hildegarde...toi qui as cultivé avec sagesse les arcanes de la théologie, de la médecine, et des arts, nous te confions les scientifiques, les médecins, les artistes, afin qu’ils reconnaissent l’origine divine dans tout ce qu’ils découvrent."

La science répond à la question Comment, quand la foi répond à la question Pourquoi? Elles ne s'opposent pas mais se complètent.
Et la science quantique démontre l'existence de Dieu !

Dans ce bel enseignement, l'existence de Dieu se prouvé entre autre par la science.

par **Isabelle-Marie** Mer 9 Juin 2021 - 9:38

nath. a écrit:
Isabelle-Marie a écrit:
François Bernon a écrit:Notre confiance dans les scientifiques pour s'autoréguler de manière responsable devrait être faible.

Le padre Pio disait qu'ils iront jusqu'au bout des possibilités transgressives de leurs recherches. Et je ne sais plus qui : que la science était transgressive par essence, ce qui est logique puisqu'elle nie Dieu, elle est Négation de Dieu par principe, spirituel et méthodologique (le corps-machine depuis Descartes étant son modèle principiel).
La médecine contenait donc dans l'oeuf ce vers quoi nous voyons qu'elle mène tout droit : le bio-pouvoir, avec ses deux mamelles que sont la reproduction artificielle et l'euthanasie. Mais il faut dire que cela elle n'aurait pu l'obtenir sans le consentement idolâtre de l'humanité, féminine en particulier, Paul VI l'avait bien compris au moment d'Humanae Vitae. Et si elle ne se convertit pas, elle ira jusqu'au bout de la déshumanisation et folie auto-destructrice qu'elle porte, comme le ver dans le fruit !

"Sainte Hildegarde...toi qui as cultivé avec sagesse les arcanes de la théologie, de la médecine, et des arts, nous te confions les scientifiques, les médecins, les artistes, afin qu’ils reconnaissent l’origine divine dans tout ce qu’ils découvrent."

La science répond à la question Comment, quand la foi répond à la question Pourquoi? Elles ne s'opposent pas mais se complètent.
Et la science quantique démontre l'existence de Dieu !

Dans ce bel enseignement, l'existence de Dieu se prouvé entre autre par la science.

C'est depuis Newton que l'on donne cette définition et non ! la réponse au pourquoi n'est pas dans la foi, ce n'est pas ce que dit l'Église catholique.

"Et la science quantique démontre l'existence de Dieu !"

Mais espérons qu'elle est sur la voie de la conversion au seul vrai Dieu : car bien des spiritualités New Age se réclament de la physique quantique...

par **François Bernon** Mer 9 Juin 2021 - 10:20

comme me dit un ami ce matin, nous sommes en train de sombrer...

Voilà à quoi servent, entre autre, les chimères :

"Alors que le NSC suivait ces indices disparates, les virologues du gouvernement américain les conseillant ont signalé une étude soumise pour la première fois en avril 2020. Onze de ses 23 coauteurs travaillaient pour l'Académie des sciences médicales militaires, l'institut de recherche médicale de l'armée chinoise. En utilisant la technologie d'édition de gènes connue sous le nom de CRISPR, les chercheurs ont conçu des souris avec des poumons humanisés, puis ont étudié leur sensibilité au SRAS-CoV-2. Alors que les responsables du NSC travaillaient à reculons à partir de la date de publication pour établir un calendrier pour l'étude, il est devenu clair que les souris avaient été conçues au cours de l'été 2019, avant même le début de la pandémie. Les responsables du NSC se sont demandés : l'armée chinoise avait-elle fait passer des virus à travers des modèles de souris humanisés, pour voir lesquels pourraient être infectieux pour les humains ?"

https://www.vanityfair.com/news/2021/06/the-lab-leak-theory-inside-the-fight-to-uncover-covid-19s-origins

As the NSC tracked these disparate clues, U.S. government virologists advising them flagged one study first submitted in April 2020. Eleven of its 23 coauthors worked for the Academy of Military Medical Sciences, the Chinese army’s medical research institute. Using the gene-editing technology known as CRISPR, the researchers had engineered mice with humanized lungs, then studied their susceptibility to SARS-CoV-2. As the NSC officials worked backward from the date of publication to establish a timeline for the study, it became clear that the mice had been engineered sometime in the summer of 2019, before the pandemic even started. The NSC officials were left wondering: Had the Chinese military been running viruses through humanized mouse models, to see which might be infectious to humans?

par **François Bernon** Mer 9 Juin 2021 - 11:06

Le projet de loi bioéthique : « Un désaccord abyssal » pour Mgr d’Ornellas

Mgr Pierre d’Ornellas, archevêque de Rennes, responsable du Groupe bioéthique de la conférence des évêques de France, s’est exprimé le le 7 juin 2021 dans une tribune publiée dans Ouest-France, sur le débat relatif au projet de loi bioéthique qui revient à l’Assemblée nationale pour une 3e lecture.

Pourquoi donc relancer le débat sur le projet de loi de bioéthique à l’Assemblée nationale ? Il manifeste un désaccord si abyssal ! Députés et sénateurs n’ont pas réussi à s’entendre. Deux visions s’affrontent. Hélas, le véritable dialogue paraît impossible, voire non souhaité.
En effet, la majorité de l’Assemblée refuse d’entendre le Sénat. Ces députés maintiennent leurs options sans prêter attention aux arguments des sénateurs. Or, l’existence des deux Chambres est gage de démocratie, grâce au dialogue entre elles. Il suppose qu’on accueille les arguments de l’autre pour y réfléchir, et qu’on cherche ensemble la meilleure voie en s’étant accordés sur une compréhension de l’être humain. Le non-dialogue conduit au déni de démocratie. Cela engendre un grave abus de pouvoir. Il est dangereux de gouverner seul, sans altérité.

VOIR AUSSI : Comprendre les enjeux du projet de loi bioéthique (Dossier de la Cef)

Quelles sont ces deux visions ?
L’une a pour pierre angulaire la dignité humaine et son respect inconditionnel. Elle inspire le « modèle français de bioéthique » depuis 1994. À l’aune de ce respect, sont évaluées les possibilités techniques dans le domaine biomédical. Si la dignité est partagée par tous, la recherche du bien commun est vitale afin que chacun puisse se développer selon cette dignité, sans discrimination aucune. Au nom de la justice et du bien commun, une attention est prioritaire pour que le soin soit accordé aux personnes fragilisées par l’infertilité ou la maladie.
L’autre promeut les désirs individuels au nom de l’égalité, quelles que soient les différences objectives des situations, ce qui s’apparente davantage à un égalitarisme entre tous. C’est en vue de la réalisation de ces désirs que sont examinées et promues les techniques. La distinction entre les personnes atteintes d’infertilité et les autres n’a plus de raison d’être, puisque seuls leurs désirs sont considérés.
Avec ce projet de loi, le « projet parental », où s’expriment les désirs individuels des adultes, s’est substitué à la dignité. C’est ainsi qu’en fonction des désirs, la loi, si ce projet est voté, privera certains d’avoir un père, tandis que d’autres en auront le droit. Quelle discrimination ! Basée sur les désirs individuels, la loi sera donc injuste et bafouera un droit élémentaire : chaque être humain nouveau-né a le droit d’avoir un père et une mère. Mais comment des désirs individuels n’engendreraient-ils pas des discriminations ?

VOIR AUSSI : Fiches du groupe de travail bioéthique

De fait, ce projet de loi soumet l’être humain venant en ce monde au pouvoir des adultes. Avec ce projet, puisque la technique le permet, ceux-ci pourront réaliser leurs désirs librement. Si la dignité demeurait la référence cardinale de la bioéthique en France, alors le respect des droits de celle ou celui qui vient au monde ne les priverait pas de leur ascendance paternelle. Ce qui serait heureux car « le rôle du père est essentiel », discerne le CCNE (Avis n° 126).
Jean-Louis Touraine, député-rapporteur pour ce projet de loi, vient d’affirmer son « credo » : « L’intérêt supérieur de l’enfant est notre credo, notre obsession, de la première à la dernière ligne. » Comment admettre que la privation légale de père et que la soumission au pouvoir des adultes, mais aussi la conservation des ovocytes pour convenance personnelle (sans critère thérapeutique), sont dans l’intérêt de l’enfant ? Par ailleurs, quand le « credo » est « obsession », la radicalisation n’est pas loin. Il y a fort à parier qu’il rende incapable d’écouter les arguments de l’autre, qu’il engendre l’intolérance et tue le dialogue. Le « modèle français de bioéthique » est en train de mourir, faute de démocratie !

par **François Bernon** Jeu 10 Juin 2021 - 9:13

Projet de loi bioéthique adopté en 3ème lecture à l’Assemblée nationale : « la belle affaire, c’est une supercherie »

Troisième et dernier jour de débat sur le projet de loi bioéthique examiné par les députés en 3^ème lecture. Après une après-midi occupée à débattre de l’article 4 relatif au régime de filiation à l’égard de deux mères, et une soirée à discuter de la recherche sur l’embryon humain, du diagnostic prénatal et de l’avortement tardif, les députés ont adopté le projet de loi par 84 voix contre 43.

Sans surprise la majorité des députés a rejeté tous les amendements visant à limiter les dégâts sociétaux et bioéthiques. La version de l’assemblée en 2^èmelecture a été de nouveau votée pour cette 3^ème lecture. Pour rappel elle comporte notamment la PMA pour les femmes homosexuelles et célibataires (article 1), l’accès aux origines sans possibilité d’établir de filiation avec le géniteur (article 2), l’autoconservation des ovocytes (article 2), la filiation à l’égard de deux mères (article 4), la recherche sur l’embryon humain jusqu’à 14 jours, la libéralisation de la recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines (CSEh), la création de gamètes artificiels, de copies d’embryons humains (articles 14 et 15), d’embryons chimères, d’embryons transgéniques (article 17), la banalisation de l’avortement tardif (article 20), etc.

« Un simulacre de débat »

On retiendra de ce débat en séance la règle du temps programmé. Les amendements sont rarement défendus faute de temps imparti. Seul l’orateur du groupe peut prendre la parole un peu plus souvent. Pour l’opposition, c’est Patrick Hetzel (LR) qui endosse ce rôle avec brio. « La belle affaire, c’est une supercherie », dénonce-t-il alors qu’on veut faire croire à un « mieux-disant éthique ». Les formules répétées avec dextérité par le président de séance : « Amendements n°…est défendu, qui est pour, qui est contre, il est rejeté »resteront en mémoire.

par **Yeshoua** Sam 12 Juin 2021 - 20:19

Finalement(comme je l'ai pressentie plus haut via les avis) cette nouvelle "théologie" qui est prôné dans les messages posté (révalteur) est une pure hérésie, elle est purement laïque, elle est spectatrice de son propre désespoir, elle n'a d'autre socle que le pouvoir de César et des caprice du monde de la finance ou tout lui est donné Et rendu.... l'ame humaine et des cœurs deviennent propriété de L’état (Descendons dans la rue et faisons du bruit ... se qui rappelle ironiquement Le prophète Elie se moquant des prophètes de Baal (1Rois 18...)

Pas étonnant qu'en je lis les messages et le climat actuel qu'on en sois arrivé la, le discernement n'existe plus chez les catholiques.

Attendons les prochaines élection, on choisiras les pires, et ont dira "Seigneur" donne la sagesse à ceux qui nous dirigent....

par **azais** Dim 13 Juin 2021 - 17:45

Yeshoua a écrit:Finalement(comme je l'ai pressentie plus haut via les avis) cette nouvelle "théologie" qui est prôné dans les messages posté (révalteur) est une pure hérésie, elle est purement laïque, elle est spectatrice de son propre désespoir, elle n'a d'autre socle que le pouvoir de César et des caprice du monde de la finance ou tout lui est donné Et rendu.... l'ame humaine et des cœurs deviennent propriété de L’état (Descendons dans la rue et faisons du bruit ... se qui rappelle ironiquement Le prophète Elie se moquant des prophètes de Baal (1Rois 18...)
Pas étonnant qu'en je lis les messages et le climat actuel qu'on en sois arrivé la, le discernement n'existe plus chez les catholiques.
Attendons les prochaines élection, on choisiras les pires, et ont dira "Seigneur" donne la sagesse à ceux qui nous dirigent....

avez vous ecrit aux deputés et aujourdhui aux senateurs . on vous a donné ici les moyens de vous inspirer et leur dire votre appui à etre responsable en conscience sur des points clés . Il ne s'agit donc pas seulement d'observer et de discuter vous ne croyez pas ?

un exemple sur Twitter à Mme Blin , députée , sur video de son intervention à l'AN ,intervenant contre la GPA (fort justement d'ailleurs ) :

embryon - Prométhée - La Relecture de La Loi de Bioéthique en 2018 - Page 29 Default_profile_normal

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@vergeronbruno En réponse à @AnneLaureBlin et @Republicains_An
votre intervention est juste et interpellation au garde des sceaux opportune .... regret vif que aucune intervention n'ait mis en cause la loi du 26 janvier 2016 ,qui legalise la creation PMA d'etres humains par fecondation de gamètes IPS ,et plus tard ......à quelles fins ?

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@vergeronbruno En réponse à @AnneLaureBlin et @Republicains_An
je vous ai envoyé un mail pendant les debats avec propositions d'amendements : pas de reponse . Je suis decu . vous n'évoquez aucun des points signalés qui sont substantiellement des crimes contre l'humanité à devoiler et stopper immediatement !!!

embryon - Prométhée - La Relecture de La Loi de Bioéthique en 2018 - Page 29 Default_profile_normal

@vergeronbruno En réponse à @AnneLaureBlin et @Republicains_An
il en est aussi du clonage humain d'embryons (voire leur chimerisation dejà jusqu'au 14 è jour bien sur ),est ce parce que on ne peut pas revenir sur les failles de la loi bioethique qu il ne faut pas en parler ? le preambule ne le qualifie t il pas de crime contre l'humanité ?

par **Yeshoua** Dim 13 Juin 2021 - 22:37

Finalement(comme je l'ai pressentie plus haut via les avis) cette nouvelle "théologie" qui est prôné dans les messages posté (révalteur) est une pure hérésie, elle est purement laïque, elle est spectatrice de son propre désespoir, elle n'a d'autre socle que le pouvoir de César et des caprice du monde de la finance ou tout lui est donné Et rendu.... l'ame humaine et des cœurs deviennent propriété de L’état (Descendons dans la rue et faisons du bruit ... se qui rappelle ironiquement Le prophète Elie se moquant des prophètes de Baal (1Rois 18...)

Pas étonnant qu'en je lis les messages et le climat actuel qu'on en sois arrivé la, le discernement n'existe plus chez les catholiques.

Attendons les prochaines élection, on choisiras les pires, et ont dira "Seigneur" donne la sagesse à ceux qui nous dirigent....

*Il faut noter que la Parole de Dieu emploi le mot "pharmakeia" en grec , on devine par l’étymologie signification, et son actualité evidente pour désigner (dennoncer) la fausse "science" à l'encontre du Corps Temple de Dieu:
Épître aux Galates 5:20, comparé à Apocalypse 21:8, 22:15 et Actes des Apôtres 8:9, 13:6)
Libre à chacun d'appeler "vautour" un "médecin", mais la traduction commune , sorcier, me parais plus approprié.

par **azais** Dim 13 Juin 2021 - 22:59

je n'ai rien compris , désolé

par **François Bernon** Mar 15 Juin 2021 - 16:44

#PJLbioéthique La commission spéciale du sénat rejette le texte voté en 3ème lecture à l'Assemblée Nationale, par 18 voix contre 5 : "il n'est pas utile de rediscuter sur le fond tant les désaccords sont profonds" avec l'AN.

Rejet du #PJLbioéthique par la Commission spéciale du Sénat : Les sénateurs s'exprimeront le 24 juin en séance lors de la discussion générale et de la présentation d'une question prioritaire qui visera à rejeter le texte de l'Assemblée.

par **azais** Mar 15 Juin 2021 - 18:36

et le 27 juin l assemblee nationale pourra revoter definitivement son texte

par **azais** Lun 28 Juin 2021 - 23:44

azais a écrit:et le 27 juin l assemblee nationale pourra revoter definitivement son texte

Demain est une journée terrifiante

Les mêmes qui prétendent vouloir nous protéger avec leurs piqûre anti Covid, leur test PCR, leur couvre-feu, leur enfermement à domicile, le masquage des enfants et de leurs parents, montent des campagnes de propagande de terreur, mettent en place des lois ignobles appelées « loi bioéthiques »

https://www.genethique.org/wp-content/uploads/2021/06/version-2021-06-10.pdf

le texte est passé une dernière fois devant le Sénat le 24 juin, fête de la Saint-Jean, le Sénat a rejeté le texte mais repasse devant l'AN, demain le 29 juin, fête des saints apôtres Pierre et Paul.

embryon - Prométhée - La Relecture de La Loi de Bioéthique en 2018 - Page 29 1_imag10

Cœur Immaculé de Marie

Ô Mère des hommes et des peuples, toi qui connais toutes leurs souffrances et leurs espérances, toi qui ressens d'une façon maternelle toutes les luttes entre le bien et le mal, entre la lumière et les ténèbres qui secouent le monde contemporain, reçois l'appel que nous adressons directement à ton Cœur.
Aide-nous à vaincre la menace du mal qui s'enracine si facilement dans le cœur des hommes d'aujourd'hui et qui, avec ses effets incommensurables, pèse déjà sur la vie actuelle et semble fermer les voies vers l'avenir !
Des péchés contre la vie de l'homme depuis ses premiers moments, délivre-nous !
Que se révèle encore une fois dans l'histoire du monde l'infinie puissance salvifique de la Rédemption, la puissance de l'amour miséricordieux ! Qu'il arrête le mal ! Qu'il transforme les consciences ! Que dans ton Cœur Immaculé se manifeste pour tous la lumière de l'espérance !

par **Yeshoua** Mar 29 Juin 2021 - 13:57

En Union de prière

Profitons en se jour solennel pour confier cette intention à la prière de toute l’Église, au Vêpres. (Nous pouvons et nous sommes invités à y "glisser" nos intentions libre à la fin des prière d'intercession des Saints Offices)

Hymnes des Vèpres
Bienheureux Pierre, pasteur des âmes, recevez avec clémence Les prières de ceux qui vous invoquent, brisez par votre parole Les liens de nos péchés, vous à qui fut donné le pouvoir D'ouvrir le ciel aux humains, ou d'en fermer l'entrée.

Docteur éminent, ô Paul, réglez notre vie, Attirez nos cœurs jusqu'au ciel, à votre suite, Et pendant que la Foi ne découvre la pleine lumière qu 'au travers d'un voile, Faites que la charité semblable au soleil soit seule à régner parmi nous.
Gloire éternelle, honneur,puissance et jubilation soit à la Trinité,
qui dans l'Unité gouverne toutes choses pendant tous les Siècles des siècles.
Amen

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