Eglise et Décryptage!!!!
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steve2035
Philippe-Antoine
Philippe Emmanuel
pax et bonum
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Cette Vierge que le pape François va prier avant et après ses voyages
Le pape François devant la Vierge Salus populi Romani après une procession de la basilique Saint-Jean-de-Latran à Sainte-Marie-Majeure, pour la Fête-Dieu, le 26 mai 2016.
Comme il le fait traditionnellement avant et après chacun de ses déplacements internationaux, le pape François s’est rendu dimanche à la basilique Sainte-Marie-Majeure, pour prier la Vierge Salus Populi Romani.
C’est un geste que le Saint-Père répète à chaque grande occasion et notamment à chaque départ en voyage.
Ce dimanche 14 janvier, le pape François n’a pas dérogé à cette « habitude », il est allé prier devant l’icône de Vierge Salus Populi Romani.
Le pape François devant la Vierge Salus populi Romani après une procession de la basilique Saint-Jean-de-Latran à Sainte-Marie-Majeure, pour la Fête-Dieu, le 26 mai 2016.
Comme il le fait traditionnellement avant et après chacun de ses déplacements internationaux, le pape François s’est rendu dimanche à la basilique Sainte-Marie-Majeure, pour prier la Vierge Salus Populi Romani.
C’est un geste que le Saint-Père répète à chaque grande occasion et notamment à chaque départ en voyage.
Ce dimanche 14 janvier, le pape François n’a pas dérogé à cette « habitude », il est allé prier devant l’icône de Vierge Salus Populi Romani.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Où a vécu la Sainte Famille en Égypte ?
Jésus n’a pas fait ses premiers pas à Bethléem ou à Nazareth, mais bien en Égypte.
On oublie facilement qu’une partie de l’enfance de Jésus s’est passée en dehors de Bethléem et de la Terre sainte.
Forcée à l’exil par le roi Hérode, la Sainte Famille a fui en Égypte et y est restée plusieurs années.
C’est fascinant d’imaginer cette période de la vie de Jésus.
A-t-il vu les anciennes pyramides ? Et le grand fleuve du Nil ?
Avant d’énumérer les endroits où la Sainte Famille a pu séjourner lors de son exil en Égypte, relisons d’abord le récit de saint Matthieu.
« Après leur départ, voici que l’ange du Seigneur apparaît en songe à Joseph et lui dit :
“Lève-toi ; prends l’enfant et sa mère, et fuis en Égypte.
Reste là-bas jusqu’à ce que je t’avertisse, car Hérode va rechercher l’enfant pour le faire périr.”
Joseph se leva ; dans la nuit, il prit l’enfant et sa mère, et se retira en Égypte, où il resta jusqu’à la mort d’Hérode, pour que soit accomplie la parole du Seigneur prononcée par le prophète :
D’Égypte, j’ai appelé mon fils. » (Mt 2, 13-15)
Les historiens ne sont pas tous d’accord sur la date de la mort du roi Hérode.
Selon certains, il serait mort en 4 av. J.-C., alors que d’autres prétendent qu’il est mort en l’an 1 apr. J.-C.
Quelle que soit la date exacte, selon la tradition, la Sainte Famille a vécu quatre ans en Égypte.
Comme il est beau d’imaginer le petit Jésus faire ses tous premiers pas et prononcer ses premiers mots en Égypte !
Jésus n’a pas fait ses premiers pas à Bethléem ou à Nazareth, mais bien en Égypte.
On oublie facilement qu’une partie de l’enfance de Jésus s’est passée en dehors de Bethléem et de la Terre sainte.
Forcée à l’exil par le roi Hérode, la Sainte Famille a fui en Égypte et y est restée plusieurs années.
C’est fascinant d’imaginer cette période de la vie de Jésus.
A-t-il vu les anciennes pyramides ? Et le grand fleuve du Nil ?
Avant d’énumérer les endroits où la Sainte Famille a pu séjourner lors de son exil en Égypte, relisons d’abord le récit de saint Matthieu.
« Après leur départ, voici que l’ange du Seigneur apparaît en songe à Joseph et lui dit :
“Lève-toi ; prends l’enfant et sa mère, et fuis en Égypte.
Reste là-bas jusqu’à ce que je t’avertisse, car Hérode va rechercher l’enfant pour le faire périr.”
Joseph se leva ; dans la nuit, il prit l’enfant et sa mère, et se retira en Égypte, où il resta jusqu’à la mort d’Hérode, pour que soit accomplie la parole du Seigneur prononcée par le prophète :
D’Égypte, j’ai appelé mon fils. » (Mt 2, 13-15)
Les historiens ne sont pas tous d’accord sur la date de la mort du roi Hérode.
Selon certains, il serait mort en 4 av. J.-C., alors que d’autres prétendent qu’il est mort en l’an 1 apr. J.-C.
Quelle que soit la date exacte, selon la tradition, la Sainte Famille a vécu quatre ans en Égypte.
Comme il est beau d’imaginer le petit Jésus faire ses tous premiers pas et prononcer ses premiers mots en Égypte !
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Quels sont les « principes éthiques » que les chrétiens doivent respecter en politique ?
Alors qu’il était encore cardinal, Benoît XVI a formalisé en 2002, pour la première fois, une liste de "points non négociables" concernant "l’engagement et le comportement des catholiques dans la vie politique".
« En deux mille ans d’histoire, l’engagement des chrétiens dans le monde s’est réalisé sous des formes diverses.
L’une d’entre elles a été la participation à l’action politique ».
En 2002 le cardinal Joseph Ratzinger, alors préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a formalisé dans une note doctrinale les « points non négociables » concernant « l’engagement et le comportement des catholiques dans la vie politique ».
« Quand l’action politique est confrontée à des principes moraux qui n’admettent ni dérogation, ni exception, ni aucun compromis, l’engagement des catholiques devient plus évident et se fait lourd de responsabilités, prévient-il.
Face à ces exigences éthiques fondamentales auxquelles on ne peut renoncer, les chrétiens doivent en effet savoir qu’est en jeu l’essence de l’ordre moral, qui concerne le bien intégral de la personne ».
Retrouvez ci-dessous les principales thématiques sur lesquelles les chrétiens sont appelés à agir.
Alors qu’il était encore cardinal, Benoît XVI a formalisé en 2002, pour la première fois, une liste de "points non négociables" concernant "l’engagement et le comportement des catholiques dans la vie politique".
« En deux mille ans d’histoire, l’engagement des chrétiens dans le monde s’est réalisé sous des formes diverses.
L’une d’entre elles a été la participation à l’action politique ».
En 2002 le cardinal Joseph Ratzinger, alors préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a formalisé dans une note doctrinale les « points non négociables » concernant « l’engagement et le comportement des catholiques dans la vie politique ».
« Quand l’action politique est confrontée à des principes moraux qui n’admettent ni dérogation, ni exception, ni aucun compromis, l’engagement des catholiques devient plus évident et se fait lourd de responsabilités, prévient-il.
Face à ces exigences éthiques fondamentales auxquelles on ne peut renoncer, les chrétiens doivent en effet savoir qu’est en jeu l’essence de l’ordre moral, qui concerne le bien intégral de la personne ».
Retrouvez ci-dessous les principales thématiques sur lesquelles les chrétiens sont appelés à agir.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Pourquoi le Vatican tend la main à la Chine ?
Sous l'impulsion du pape François, le Saint-Siège cherche à normaliser les relations avec la République populaire de Chine.
Quitte à susciter des remous.
L’Église catholique chinoise est un dossier aussi crucial que miné pour le Vatican.
Les récentes déclarations du cardinal chinois Zen ont eu pour effet de mettre en lumière comment le Vatican avait pris de nouvelles orientations diplomatiques à l’égard de la Chine.
En cause, la nomination par le Vatican de deux évêques qui ont été préalablement nommés par le Parti communiste chinois.
En agissant de la sorte, le Vatican semble cautionner l’existence de « Église patriotique » chinoise, dont les évêques sont nommés par le gouvernement.
Pourquoi le Vatican a intérêt à normaliser ses relations avec la Chine ?
Régis Anouilh, ancien journaliste à Église d’Asie, explique que si l’on peut s’interroger sur la méthode, le Vatican a de bonnes raisons de vouloir normaliser ses relations avec la Chine.
« L’Église catholique chinoise est en pleine mutation, et la division entre une Église patriotique et une Église clandestine lui pèse.
Il faut sortir de là ! »
De fait l’Église séculaire, née du travail d’évangélisation des Jésuites change à grande vitesse, et compterait de 10 à 15 millions de fidèles.
Elle est de moins en moins rurale.
On voit naître, par exemple à Shangaï, des paroisses urbaines où se côtoient des chrétiens dont la généalogie remonte au XVIIe siècle et des jeunes convertis, qui découvrent la Bible.
Il ne faudrait pas faire peser sur ces derniers le poids de la division des chrétiens.
Un accord avec le gouvernement pourrait donc être profitable pour tous, à condition bien entendu, que l’Église ne se compromette pas avec lui.
« Certains évêques sont allés beaucoup trop loin dans l’association avec le Parti », regrette Régis Anouilh.
La réaction de défiance de prêtres et de fidèles chinois contre cette attitude est « assez saine », à ses yeux, et il comprend, par conséquent, la réaction du cardinal Zen.
Sous l'impulsion du pape François, le Saint-Siège cherche à normaliser les relations avec la République populaire de Chine.
Quitte à susciter des remous.
L’Église catholique chinoise est un dossier aussi crucial que miné pour le Vatican.
Les récentes déclarations du cardinal chinois Zen ont eu pour effet de mettre en lumière comment le Vatican avait pris de nouvelles orientations diplomatiques à l’égard de la Chine.
En cause, la nomination par le Vatican de deux évêques qui ont été préalablement nommés par le Parti communiste chinois.
En agissant de la sorte, le Vatican semble cautionner l’existence de « Église patriotique » chinoise, dont les évêques sont nommés par le gouvernement.
Pourquoi le Vatican a intérêt à normaliser ses relations avec la Chine ?
Régis Anouilh, ancien journaliste à Église d’Asie, explique que si l’on peut s’interroger sur la méthode, le Vatican a de bonnes raisons de vouloir normaliser ses relations avec la Chine.
« L’Église catholique chinoise est en pleine mutation, et la division entre une Église patriotique et une Église clandestine lui pèse.
Il faut sortir de là ! »
De fait l’Église séculaire, née du travail d’évangélisation des Jésuites change à grande vitesse, et compterait de 10 à 15 millions de fidèles.
Elle est de moins en moins rurale.
On voit naître, par exemple à Shangaï, des paroisses urbaines où se côtoient des chrétiens dont la généalogie remonte au XVIIe siècle et des jeunes convertis, qui découvrent la Bible.
Il ne faudrait pas faire peser sur ces derniers le poids de la division des chrétiens.
Un accord avec le gouvernement pourrait donc être profitable pour tous, à condition bien entendu, que l’Église ne se compromette pas avec lui.
« Certains évêques sont allés beaucoup trop loin dans l’association avec le Parti », regrette Régis Anouilh.
La réaction de défiance de prêtres et de fidèles chinois contre cette attitude est « assez saine », à ses yeux, et il comprend, par conséquent, la réaction du cardinal Zen.
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Le rapport sans concession sur l’état actuel du projet européen
L'Eglise Saint Pierre, à Bordeaux.
Créé pour promouvoir la doctrine sociale de l’Église dans le monde entier, l’Observatoire Van Thuan vient de publier un rapport sur l’Europe qui fera date.
À un an des élections européennes, voilà un rapport qui promet de faire du bruit.
En apparence, ses rédacteurs paraissent danser sur les décombres encore fumantes d’une Europe ruinée.
À y regarder de plus près, on remarque que cette danse n’est ni macabre ni guillerette.
Réaliste, réfléchie et optimiste, elle se danse en trois temps : voici la valse de l’Observatoire Cardinal Van Thuan.
L’Union européenne : un échec dangereux
Présenté à Rome, le vendredi 9 février 2018, ce rapport sur la doctrine sociale de l’Église dans le monde s’intitule « Europe : la fin des illusions ».
Ses auteurs n’ont pas peur d’affirmer que le projet de l’Europe est dans une crise très profonde.
Ils ne craignent pas non plus d’en nommer les maux. Voilà le premier pas de la danse : le constat d’un échec dangereux.
Celui d’une Union européenne qui ne s’intéresse pas à la « recherche de la vérité », contrairement à ses Pères fondateurs, voire à l’Antiquité grecque qui l’avait inspirée.
Aujourd’hui, l’Europe est imprégnée d’une « culture de sécularisation, de matérialisme et de laïcisme », affirme ce rapport. Ses mécanismes, comme ses messages, sont devenus « trop techniques », « fonctionnalistes » et « inconsistants ».
Un exemple ?
On proclame fièrement dans la Constitution la dignité humaine. Mais qu’est-ce que cela signifie concrètement, quand la famille est dénaturée ou que l’on ne prend plus soin de ses anciens ?
Les mots sont creux. Ainsi, on parle de « bien commun » ou de « principe de subsidiarité », mais on ne sait plus bien de quoi il s’agit vraiment.
L'Eglise Saint Pierre, à Bordeaux.
Créé pour promouvoir la doctrine sociale de l’Église dans le monde entier, l’Observatoire Van Thuan vient de publier un rapport sur l’Europe qui fera date.
À un an des élections européennes, voilà un rapport qui promet de faire du bruit.
En apparence, ses rédacteurs paraissent danser sur les décombres encore fumantes d’une Europe ruinée.
À y regarder de plus près, on remarque que cette danse n’est ni macabre ni guillerette.
Réaliste, réfléchie et optimiste, elle se danse en trois temps : voici la valse de l’Observatoire Cardinal Van Thuan.
L’Union européenne : un échec dangereux
Présenté à Rome, le vendredi 9 février 2018, ce rapport sur la doctrine sociale de l’Église dans le monde s’intitule « Europe : la fin des illusions ».
Ses auteurs n’ont pas peur d’affirmer que le projet de l’Europe est dans une crise très profonde.
Ils ne craignent pas non plus d’en nommer les maux. Voilà le premier pas de la danse : le constat d’un échec dangereux.
Celui d’une Union européenne qui ne s’intéresse pas à la « recherche de la vérité », contrairement à ses Pères fondateurs, voire à l’Antiquité grecque qui l’avait inspirée.
Aujourd’hui, l’Europe est imprégnée d’une « culture de sécularisation, de matérialisme et de laïcisme », affirme ce rapport. Ses mécanismes, comme ses messages, sont devenus « trop techniques », « fonctionnalistes » et « inconsistants ».
Un exemple ?
On proclame fièrement dans la Constitution la dignité humaine. Mais qu’est-ce que cela signifie concrètement, quand la famille est dénaturée ou que l’on ne prend plus soin de ses anciens ?
Les mots sont creux. Ainsi, on parle de « bien commun » ou de « principe de subsidiarité », mais on ne sait plus bien de quoi il s’agit vraiment.
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
L’attentat contre une église orthodoxe au Daghestan en cinq questions
Dimanche 18 février, un terroriste a attaqué une église orthodoxe, au cri de Allah Akbar, faisant cinq morts et quatre blessés, avant d'être lui-même abattu.
Dans quel contexte cet attentat intervient-il ?
Le Daghestan, à la frontière de la Tchétchénie, de la Géorgie et de l’Azerbaïdjan est l’une des régions les plus pauvres de Russie.
Peuplée à 90% de musulmans sunnites, elle reste marquée par la guerre de Tchétchénie, qui a eu lieu à sa frontière.
L’attentat de dimanche 18 est intervenu le jour du « dimanche gras », jour de fête religieuse pour les orthodoxes, qui précède le Carême, et visait une église.
De plus, cet attentat a lieu dans la ville symbolique de Kizliar, qui est connue pour être loyaliste. Xavier Moreau, homme d’affaires et analyste politico-stratégique installé à Moscou, rappelle que lors de la guerre en Tchétchénie, le Kremlin a remis des armes à ses habitants pour qu’ils puissent se défendre contre les islamistes tchétchènes.
En visant cette ville pro-russe, on vise la Russie.
Dimanche 18 février, un terroriste a attaqué une église orthodoxe, au cri de Allah Akbar, faisant cinq morts et quatre blessés, avant d'être lui-même abattu.
Dans quel contexte cet attentat intervient-il ?
Le Daghestan, à la frontière de la Tchétchénie, de la Géorgie et de l’Azerbaïdjan est l’une des régions les plus pauvres de Russie.
Peuplée à 90% de musulmans sunnites, elle reste marquée par la guerre de Tchétchénie, qui a eu lieu à sa frontière.
L’attentat de dimanche 18 est intervenu le jour du « dimanche gras », jour de fête religieuse pour les orthodoxes, qui précède le Carême, et visait une église.
De plus, cet attentat a lieu dans la ville symbolique de Kizliar, qui est connue pour être loyaliste. Xavier Moreau, homme d’affaires et analyste politico-stratégique installé à Moscou, rappelle que lors de la guerre en Tchétchénie, le Kremlin a remis des armes à ses habitants pour qu’ils puissent se défendre contre les islamistes tchétchènes.
En visant cette ville pro-russe, on vise la Russie.
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
L’inquiétante offensive médiatique des partisans de l’euthanasie
Alors que 156 parlementaires ont demandé, dans une tribune publiée dans Le Monde, l’inscription d’une « aide active à mourir » dans la loi française, et que plus de 263 000 personnes ont signé une pétition réclamant l’autorisation du suicide assisté et de l’euthanasie, le docteur Claire Fourcade, responsable du pôle de soins palliatifs à la polyclinique Le Languedoc de Narbonne, décrypte pour Aleteia les enjeux d’une telle revendication.
« Il faut, avec des critères stricts, autoriser le suicide assisté et l’euthanasie avec l’assistance de membres du corps médical ».
Ces mots sont ceux d’une pétition signée quelques 263 000 personnes.
Parmi les signataires figurent les écrivains Noëlle Chatelet et Olivier Adam, le médecin Etienne-Emile Beaulieu, Guy Bedos, le philosophe André-Comte Sponville et les journalistes Bruno Masure et Ariane Mnouchkine.
Elle fait écho à une tribune publiée, ce mercredi 28 février, dans Le Monde dans laquelle plus du quart des députés demandent de légiférer en faveur de l’euthanasie afin de « donner aux malades en fin de vie la libre disposition de leurs corps ».
À la frontière entre la science et la vie privée, la question de l’euthanasie revient régulièrement sur le devant de la scène politico-médiatique.
Le docteur Claire Fourcade, responsable du pôle de soins palliatifs à la polyclinique Le Languedoc de Narbonne revient pour Aleteia sur cette proposition.
Alors que 156 parlementaires ont demandé, dans une tribune publiée dans Le Monde, l’inscription d’une « aide active à mourir » dans la loi française, et que plus de 263 000 personnes ont signé une pétition réclamant l’autorisation du suicide assisté et de l’euthanasie, le docteur Claire Fourcade, responsable du pôle de soins palliatifs à la polyclinique Le Languedoc de Narbonne, décrypte pour Aleteia les enjeux d’une telle revendication.
« Il faut, avec des critères stricts, autoriser le suicide assisté et l’euthanasie avec l’assistance de membres du corps médical ».
Ces mots sont ceux d’une pétition signée quelques 263 000 personnes.
Parmi les signataires figurent les écrivains Noëlle Chatelet et Olivier Adam, le médecin Etienne-Emile Beaulieu, Guy Bedos, le philosophe André-Comte Sponville et les journalistes Bruno Masure et Ariane Mnouchkine.
Elle fait écho à une tribune publiée, ce mercredi 28 février, dans Le Monde dans laquelle plus du quart des députés demandent de légiférer en faveur de l’euthanasie afin de « donner aux malades en fin de vie la libre disposition de leurs corps ».
À la frontière entre la science et la vie privée, la question de l’euthanasie revient régulièrement sur le devant de la scène politico-médiatique.
Le docteur Claire Fourcade, responsable du pôle de soins palliatifs à la polyclinique Le Languedoc de Narbonne revient pour Aleteia sur cette proposition.
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Qu’est-ce qu’un presbytère ?
Chez les catholiques, le presbytère est l’endroit où habite le curé d’une paroisse et éventuellement ses vicaires.
Cette habitation dans laquelle un pasteur peut inviter des fidèles est souvent située à proximité immédiate des églises paroissiales.
Le terme est aussi vieux que le christianisme lui-même.
Saint Paul et Saint Pierre utilisaient déjà le terme de « presbuteros » dans leurs lettres écrites en grec (Paul : 1 Tim, 5-17 et Pierre : 1 Pi, 5-1).
Il s’agissait alors, dans chaque nouvelle communauté créée, d’avoir un « conseil des anciens ».
Le mot presbuteros qui signifie « le plus ancien », évoque donc les autorités d’une communauté chrétienne naissante.
Le père Lionel Dewavrin, curé de la paroisse Frédéric Ozanam à Wasquehal (Nord) rappelle à Aleteia que le mot prêtre possède la même étymologie que presbytère mais il est également défini par le mot sacerdos qui signifie « ceux qui offrent le sacrifice ».
Chez les catholiques, le presbytère est l’endroit où habite le curé d’une paroisse et éventuellement ses vicaires.
Cette habitation dans laquelle un pasteur peut inviter des fidèles est souvent située à proximité immédiate des églises paroissiales.
Le terme est aussi vieux que le christianisme lui-même.
Saint Paul et Saint Pierre utilisaient déjà le terme de « presbuteros » dans leurs lettres écrites en grec (Paul : 1 Tim, 5-17 et Pierre : 1 Pi, 5-1).
Il s’agissait alors, dans chaque nouvelle communauté créée, d’avoir un « conseil des anciens ».
Le mot presbuteros qui signifie « le plus ancien », évoque donc les autorités d’une communauté chrétienne naissante.
Le père Lionel Dewavrin, curé de la paroisse Frédéric Ozanam à Wasquehal (Nord) rappelle à Aleteia que le mot prêtre possède la même étymologie que presbytère mais il est également défini par le mot sacerdos qui signifie « ceux qui offrent le sacrifice ».
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Dieu, le cinéaste et ses personnages
Le violon d’Ingres de Bruno de Seguins Pazzis est d'écrire des critiques de films.
Il recense et commente dans un ouvrage conséquent ceux dont le thème évoque la Bible, les saints, le moine, le prêtre, le diable et autres références chrétiennes.
Certes subjectif, cet ouvrage ne fait l’impasse sur aucun film et nous offre une plongée dans leur histoire.
Quand le christianisme fait son cinéma, paru aux éditions du Cerf ce mois-ci, livre un répertoire complet des films à thématique chrétienne
Si l’auteur ne fait pas l’économie de son opinion et ne s’en cache pas, certains syllogismes et avis peuvent déconcerter, d’autres sont cependant très pertinents
On peut généralement se fier à son jugement, guidé par le souci de savoir la présence de la grâce ou de la nourriture spirituelle dans les œuvres qu’il commente.
Aucun film ne lui a échappé et il permet au lecteur de découvrir, ou de redécouvrir, une liste exhaustive d’œuvres cinématographiques, parfois oubliées, célèbres, mythiques, passées inaperçues ou encore perdues dans le flot des productions, du long-métrage de cinéma au téléfilm.
La religion au cinéma une ressource intarissable
Le cinéma demeure un moyen privilégié de transmettre un message, il semble « le langage chrétien par excellence », selon le mot d’Henry Quinson (conseiller pour le film Des hommes et des dieux).
Si le spectateur consent toujours à s’immerger pendant de longues minutes dans un jaillissement d’images, de musique et de textes, à livrer ses sens à cet art, multiple et captivant, c’est « que les oeuvres du 7e art recèlent une puissance particulière », selon l’abbé Chouanard, curé du Coeur Eucharistique de Jésus (Paris) et qui utilise le cinéma comme moyen éducatif auprès des jeunes de son patronage.
« Nous avons tous fait l’expérience de ressortir grandis, meilleurs, après avoir vu un film édifiant », assure à son tour Hubert de Torcy, dans un entretien croisé retranscrit à la fin de l’ouvrage, auquel la réalisatrice Cheyenne Carron a également participé.
De Hollywood à la Nouvelle vague, en passant par le péplum et les nouveautés du XXIe siècle, près de 1 200 films évoquent ce monde entre Terre et Ciel, et il fallait une Bible du cinéma où retranscrire ce long parcours. Pier Paolo Pasolini (L’Évangile selon saint Matthieu), Mel Gibson (La Passion du Christ), John Huston (La Bible), Pavel Lounguine (L’Île), autant de noms associés à des succès marquants, dont les images restent en mémoire longtemps.
La liste est longue, elle continue de croître, comme s’il n’y en avait jamais assez de s’inspirer de la vie des saints, de leurs batailles, de celles du Christ et de bien d’autres figures religieuses.
L’auteur les classe selon leurs thématiques, l’Ancien Testament, le Nouveau, les apparitions de la Sainte Vierge, les saints, le prêtre, le moine, la religieuse et le couvent, le cinéma « réformé », l’ange, le diable, la métaphore chrétienne et s’interroge enfin sur l’avenir du cinéma chrétien.
Le violon d’Ingres de Bruno de Seguins Pazzis est d'écrire des critiques de films.
Il recense et commente dans un ouvrage conséquent ceux dont le thème évoque la Bible, les saints, le moine, le prêtre, le diable et autres références chrétiennes.
Certes subjectif, cet ouvrage ne fait l’impasse sur aucun film et nous offre une plongée dans leur histoire.
Quand le christianisme fait son cinéma, paru aux éditions du Cerf ce mois-ci, livre un répertoire complet des films à thématique chrétienne
Si l’auteur ne fait pas l’économie de son opinion et ne s’en cache pas, certains syllogismes et avis peuvent déconcerter, d’autres sont cependant très pertinents
On peut généralement se fier à son jugement, guidé par le souci de savoir la présence de la grâce ou de la nourriture spirituelle dans les œuvres qu’il commente.
Aucun film ne lui a échappé et il permet au lecteur de découvrir, ou de redécouvrir, une liste exhaustive d’œuvres cinématographiques, parfois oubliées, célèbres, mythiques, passées inaperçues ou encore perdues dans le flot des productions, du long-métrage de cinéma au téléfilm.
La religion au cinéma une ressource intarissable
Le cinéma demeure un moyen privilégié de transmettre un message, il semble « le langage chrétien par excellence », selon le mot d’Henry Quinson (conseiller pour le film Des hommes et des dieux).
Si le spectateur consent toujours à s’immerger pendant de longues minutes dans un jaillissement d’images, de musique et de textes, à livrer ses sens à cet art, multiple et captivant, c’est « que les oeuvres du 7e art recèlent une puissance particulière », selon l’abbé Chouanard, curé du Coeur Eucharistique de Jésus (Paris) et qui utilise le cinéma comme moyen éducatif auprès des jeunes de son patronage.
« Nous avons tous fait l’expérience de ressortir grandis, meilleurs, après avoir vu un film édifiant », assure à son tour Hubert de Torcy, dans un entretien croisé retranscrit à la fin de l’ouvrage, auquel la réalisatrice Cheyenne Carron a également participé.
De Hollywood à la Nouvelle vague, en passant par le péplum et les nouveautés du XXIe siècle, près de 1 200 films évoquent ce monde entre Terre et Ciel, et il fallait une Bible du cinéma où retranscrire ce long parcours. Pier Paolo Pasolini (L’Évangile selon saint Matthieu), Mel Gibson (La Passion du Christ), John Huston (La Bible), Pavel Lounguine (L’Île), autant de noms associés à des succès marquants, dont les images restent en mémoire longtemps.
La liste est longue, elle continue de croître, comme s’il n’y en avait jamais assez de s’inspirer de la vie des saints, de leurs batailles, de celles du Christ et de bien d’autres figures religieuses.
L’auteur les classe selon leurs thématiques, l’Ancien Testament, le Nouveau, les apparitions de la Sainte Vierge, les saints, le prêtre, le moine, la religieuse et le couvent, le cinéma « réformé », l’ange, le diable, la métaphore chrétienne et s’interroge enfin sur l’avenir du cinéma chrétien.
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