Eglise et Décryptage!!!!
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steve2035
Philippe-Antoine
Philippe Emmanuel
pax et bonum
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Pourquoi les orthodoxes se signent-ils « à l’envers » ?
Chrétiens russes orthodoxe
Le signe de la croix est le symbole chrétien par excellence.
Tracé de la main droite sur le corps, ce sacramental est pratiqué de diverses façons selon les traditions.
Le sens dans lequel il est exécuté distingue d’ailleurs les catholiques des orthodoxes.
Mais quelle est la signification de ces subtilités ?
Le signe de la croix est le geste par lequel les chrétiens signifient la bénédiction de leur personne au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Des pratiques analogues sont connues d’autres religions, et il est d’ailleurs difficile de ne pas voir dans certaines traditions juives la préfiguration de ce symbole chrétien si particulier, manifestation physique et ostentatoire d’une démarche spirituelle et personnelle.
Cette pratique apparaît vraisemblablement très tôt dans l’histoire du christianisme, et il est frappant de constater que son évolution a suivi celle de l’Eglise, et notamment du schisme entre Orient et Occident, puisque deux manières de se signer distinguent désormais les chrétiens catholiques et orthodoxes.
La tradition qui s’est imposée en Occident et qui domine chez les catholiques latins est de se signer de haut en bas, puis de gauche à droite.
Il est souvent tracé avec la main droite ouverte, les cinq doigts joints évoquant les cinq plaies du Christ.
Mais cet usage est relativement récent et se différencie de la pratique primitive, qui a toujours cours dans le monde chrétien oriental.
En effet, à l’origine, les chrétiens se signent de haut en bas puis de droite à gauche.
Le pouce, l’index et le majeur sont joints, évoquant la Trinité consubstantielle et indivisible tandis que l’annulaire et l’auriculaire rabattus contre la paume de la main évoquent les deux natures — humaine et divine — du Christ.
Lire aussi : Pourquoi seuls les chrétiens font-ils le signe de croix ?
Chrétiens russes orthodoxe
Le signe de la croix est le symbole chrétien par excellence.
Tracé de la main droite sur le corps, ce sacramental est pratiqué de diverses façons selon les traditions.
Le sens dans lequel il est exécuté distingue d’ailleurs les catholiques des orthodoxes.
Mais quelle est la signification de ces subtilités ?
Le signe de la croix est le geste par lequel les chrétiens signifient la bénédiction de leur personne au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Des pratiques analogues sont connues d’autres religions, et il est d’ailleurs difficile de ne pas voir dans certaines traditions juives la préfiguration de ce symbole chrétien si particulier, manifestation physique et ostentatoire d’une démarche spirituelle et personnelle.
Cette pratique apparaît vraisemblablement très tôt dans l’histoire du christianisme, et il est frappant de constater que son évolution a suivi celle de l’Eglise, et notamment du schisme entre Orient et Occident, puisque deux manières de se signer distinguent désormais les chrétiens catholiques et orthodoxes.
La tradition qui s’est imposée en Occident et qui domine chez les catholiques latins est de se signer de haut en bas, puis de gauche à droite.
Il est souvent tracé avec la main droite ouverte, les cinq doigts joints évoquant les cinq plaies du Christ.
Mais cet usage est relativement récent et se différencie de la pratique primitive, qui a toujours cours dans le monde chrétien oriental.
En effet, à l’origine, les chrétiens se signent de haut en bas puis de droite à gauche.
Le pouce, l’index et le majeur sont joints, évoquant la Trinité consubstantielle et indivisible tandis que l’annulaire et l’auriculaire rabattus contre la paume de la main évoquent les deux natures — humaine et divine — du Christ.
Lire aussi : Pourquoi seuls les chrétiens font-ils le signe de croix ?
source:https://fr.aleteia.org/2017/11/03/pourquoi-les-orthodoxes-se-signent-ils-a-lenvers/?utm_campaign=NL_fr&utm_source=daily_newsletter&utm_medium=mail&utm_content=NL_fr
Inde : sœur Rani Maria, modèle pour les chrétiens persécutés, béatifiée
La sœur clarisse Rani Maria Vattalil a été assassinée le 25 février 1995 d’une cinquantaine de coups de couteau par un hindou qui s’est repenti après avoir été « pardonné et adopté » par toute sa famille.
Jusqu’au dernier coup infligé par son meurtrier, un extrémiste hindou, qui lui a couru après alors qu’elle essayait de s’enfuir, Rani Maria ne cessa de crier le nom de Jésus.
En mars dernier, le Vatican a reconnu son martyre, et le 4 novembre, elle sera béatifiée par le cardinal Angelo Amato, préfet de la congrégation pour les causes des saints, à Indore où sont prévues également des veillées spéciales en la cathédrale Saint-François d’Assise.
Le lendemain, dimanche, une messe d’action de grâce, présidée par le nonce apostolique Mgr Giambattista Diquattro, aura lieu en l’église du Sacré-Cœur à Udainagar (60km d’Indore) où vivait sœur Rani Maria, en présence des milliers de fidèles attendus de tout le pays pour l’occasion.
Née le 29 janvier 1954 à Pulluvazhy, un petit village près de Kochi, la capitale commerciale du Kerala, Rani Maria est entrée au couvent des clarisses franciscaines à Kidangoor, en 1972 et prononça ses premiers vœux deux ans plus tard.
Transférée dans le diocèse d’Indore en 1992, elle se consacra aux travailleurs agricoles sans terre, se battant pour leurs droits et contre l’oppression des propriétaires terriens et exploitants sociaux au prix de sa vie.
La sœur clarisse Rani Maria Vattalil a été assassinée le 25 février 1995 d’une cinquantaine de coups de couteau par un hindou qui s’est repenti après avoir été « pardonné et adopté » par toute sa famille.
Jusqu’au dernier coup infligé par son meurtrier, un extrémiste hindou, qui lui a couru après alors qu’elle essayait de s’enfuir, Rani Maria ne cessa de crier le nom de Jésus.
En mars dernier, le Vatican a reconnu son martyre, et le 4 novembre, elle sera béatifiée par le cardinal Angelo Amato, préfet de la congrégation pour les causes des saints, à Indore où sont prévues également des veillées spéciales en la cathédrale Saint-François d’Assise.
Le lendemain, dimanche, une messe d’action de grâce, présidée par le nonce apostolique Mgr Giambattista Diquattro, aura lieu en l’église du Sacré-Cœur à Udainagar (60km d’Indore) où vivait sœur Rani Maria, en présence des milliers de fidèles attendus de tout le pays pour l’occasion.
Née le 29 janvier 1954 à Pulluvazhy, un petit village près de Kochi, la capitale commerciale du Kerala, Rani Maria est entrée au couvent des clarisses franciscaines à Kidangoor, en 1972 et prononça ses premiers vœux deux ans plus tard.
Transférée dans le diocèse d’Indore en 1992, elle se consacra aux travailleurs agricoles sans terre, se battant pour leurs droits et contre l’oppression des propriétaires terriens et exploitants sociaux au prix de sa vie.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Croix de Ploërmel : la laïcité ne peut s’exercer sans discernement
La sculpture en bronze représentant Jean Paul II.
Œuvre de l'artiste Zurab Tsereteli, offerte à la ville de Ploërmel dans le Morbihan.
Le Conseil d’État juge contraire à la loi du 9 décembre 1905 l’installation d’une croix en surplomb d’une statue du pape Jean-Paul II érigée sur une place de la commune de Ploërmel (Morbihan).
Auteur d’un manuel universitaire sur la laïcité qui vient de paraître, Le Droit des cultes et de la laïcité (éd. Gualino), le professeur Ramu de Bellescize explique la décision du Conseil d’État.
La laïcité ne peut s’exercer sans discernement.
La sculpture en bronze représentant Jean Paul II.
Œuvre de l'artiste Zurab Tsereteli, offerte à la ville de Ploërmel dans le Morbihan.
Le Conseil d’État juge contraire à la loi du 9 décembre 1905 l’installation d’une croix en surplomb d’une statue du pape Jean-Paul II érigée sur une place de la commune de Ploërmel (Morbihan).
Auteur d’un manuel universitaire sur la laïcité qui vient de paraître, Le Droit des cultes et de la laïcité (éd. Gualino), le professeur Ramu de Bellescize explique la décision du Conseil d’État.
La laïcité ne peut s’exercer sans discernement.
Aleteia :
Le 30 avril 2015, la justice a enjoint le maire de Ploërmel de faire procéder au retrait de la statue de Jean Paul II installée dans sa ville.
Puis, la cour administrative d’appel de Nantes a annulé le jugement.
Finalement, le Conseil d’État prononce un jugement de Salomon : oui à la statue du Pape, non à la croix.
Pourquoi la loi de 1905 est-elle aussi difficile à suivre ?
Ramu de Bellescize :
Le 30 avril 2015, la justice a enjoint le maire de Ploërmel de faire procéder au retrait de la statue de Jean Paul II installée dans sa ville.
Puis, la cour administrative d’appel de Nantes a annulé le jugement.
Finalement, le Conseil d’État prononce un jugement de Salomon : oui à la statue du Pape, non à la croix.
Pourquoi la loi de 1905 est-elle aussi difficile à suivre ?
Ramu de Bellescize :
suite de l'Article du 30 Octobre 2017
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Jean Paul Ier, un pasteur doté d’une « extraordinaire sensibilité culturelle et sociale »
Le quotidien des évêques italiens, Avvenire, a publié le 4 novembre 2017 une préface du cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’État du Saint-Siège, à un ouvrage consacré à Jean Paul Ier.
Ce livre, indique le haut prélat, facilite l’étude de l’œuvre de ce pontife en chassant « l’hypothèse du complot » autour de sa mort.
Cet ouvrage retranscrit notamment un témoignage de sœur Margherita Marin, une des deux religieuses à avoir découvert le corps du souverain pontife le 28 septembre 1978.
Dans ce document également publié par Avvenire, la religieuse déclare que le pontife avait été retrouvé dans son lit, semblant dormir et avec un « léger sourire ».
Lire aussi : Le pape Jean Paul Ier bientôt vénérable ?
Ce livre, salue le secrétaire d’État, éclaircit ainsi quelques points « restés dans les limbes, amplifiés et travestis » sur la mort du 263e pape.
Et permet donc, note-il avec satisfaction, d’ouvrir la voie à de nouvelles études sérieuses sur l’œuvre d’Albino Luciani, dégagées de « l’hypothèse du complot » et des « illusions ».
Son enseignement sur la miséricorde et la tendresse de Dieu
Bien que n’ayant siégé que 33 jours sur le trône de Pierre, écrit le cardinal Parolin, Jean Paul Ier a renforcé le désir d’une « Église conciliaire proche de la douleur des gens et de leur soif de charité ».
Il s’agissait d’un pasteur proche du peuple de Dieu, avec « une extraordinaire sensibilité culturelle et sociale ».
Ainsi, tout en étant « ferme sur l’essentiel de la foi » et dans son gouvernement de l’Église, Jean Paul Ier a su manifester « proximité, humilité, simplicité+ ».
Et quarante ans après son bref pontificat, son enseignement sur la miséricorde et la tendresse de Dieu reste « plus que jamais actuel », souligne le « numéro 2 » du Saint-Siège.
Écrit par la vice-postulatrice de la cause en béatification de Jean Paul Ier, cet ouvrage doit paraître en Italie le 7 novembre prochain.
Le quotidien des évêques italiens, Avvenire, a publié le 4 novembre 2017 une préface du cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’État du Saint-Siège, à un ouvrage consacré à Jean Paul Ier.
Ce livre, indique le haut prélat, facilite l’étude de l’œuvre de ce pontife en chassant « l’hypothèse du complot » autour de sa mort.
Cet ouvrage retranscrit notamment un témoignage de sœur Margherita Marin, une des deux religieuses à avoir découvert le corps du souverain pontife le 28 septembre 1978.
Dans ce document également publié par Avvenire, la religieuse déclare que le pontife avait été retrouvé dans son lit, semblant dormir et avec un « léger sourire ».
Lire aussi : Le pape Jean Paul Ier bientôt vénérable ?
Ce livre, salue le secrétaire d’État, éclaircit ainsi quelques points « restés dans les limbes, amplifiés et travestis » sur la mort du 263e pape.
Et permet donc, note-il avec satisfaction, d’ouvrir la voie à de nouvelles études sérieuses sur l’œuvre d’Albino Luciani, dégagées de « l’hypothèse du complot » et des « illusions ».
Son enseignement sur la miséricorde et la tendresse de Dieu
Bien que n’ayant siégé que 33 jours sur le trône de Pierre, écrit le cardinal Parolin, Jean Paul Ier a renforcé le désir d’une « Église conciliaire proche de la douleur des gens et de leur soif de charité ».
Il s’agissait d’un pasteur proche du peuple de Dieu, avec « une extraordinaire sensibilité culturelle et sociale ».
Ainsi, tout en étant « ferme sur l’essentiel de la foi » et dans son gouvernement de l’Église, Jean Paul Ier a su manifester « proximité, humilité, simplicité+ ».
Et quarante ans après son bref pontificat, son enseignement sur la miséricorde et la tendresse de Dieu reste « plus que jamais actuel », souligne le « numéro 2 » du Saint-Siège.
Écrit par la vice-postulatrice de la cause en béatification de Jean Paul Ier, cet ouvrage doit paraître en Italie le 7 novembre prochain.
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Jean Paul Ier, un pasteur doté d’une « extraordinaire sensibilité culturelle et sociale »
Le quotidien des évêques italiens, Avvenire, a publié le 4 novembre 2017 une préface du cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’État du Saint-Siège, à un ouvrage consacré à Jean Paul Ier.
Ce livre, indique le haut prélat, facilite l’étude de l’œuvre de ce pontife en chassant « l’hypothèse du complot » autour de sa mort.
Cet ouvrage retranscrit notamment un témoignage de sœur Margherita Marin, une des deux religieuses à avoir découvert le corps du souverain pontife le 28 septembre 1978.
Dans ce document également publié par Avvenire, la religieuse déclare que le pontife avait été retrouvé dans son lit, semblant dormir et avec un « léger sourire ».
Lire aussi : Le pape Jean Paul Ier bientôt vénérable ?
Ce livre, salue le secrétaire d’État, éclaircit ainsi quelques points « restés dans les limbes, amplifiés et travestis » sur la mort du 263e pape.
Et permet donc, note-il avec satisfaction, d’ouvrir la voie à de nouvelles études sérieuses sur l’œuvre d’Albino Luciani, dégagées de « l’hypothèse du complot » et des « illusions ».
Son enseignement sur la miséricorde et la tendresse de Dieu
Bien que n’ayant siégé que 33 jours sur le trône de Pierre, écrit le cardinal Parolin, Jean Paul Ier a renforcé le désir d’une « Église conciliaire proche de la douleur des gens et de leur soif de charité ».
Il s’agissait d’un pasteur proche du peuple de Dieu, avec « une extraordinaire sensibilité culturelle et sociale ».
Ainsi, tout en étant « ferme sur l’essentiel de la foi » et dans son gouvernement de l’Église, Jean Paul Ier a su manifester « proximité, humilité, simplicité+ ».
Et quarante ans après son bref pontificat, son enseignement sur la miséricorde et la tendresse de Dieu reste « plus que jamais actuel », souligne le « numéro 2 » du Saint-Siège.
Écrit par la vice-postulatrice de la cause en béatification de Jean Paul Ier, cet ouvrage doit paraître en Italie le 7 novembre prochain.
Le quotidien des évêques italiens, Avvenire, a publié le 4 novembre 2017 une préface du cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’État du Saint-Siège, à un ouvrage consacré à Jean Paul Ier.
Ce livre, indique le haut prélat, facilite l’étude de l’œuvre de ce pontife en chassant « l’hypothèse du complot » autour de sa mort.
Cet ouvrage retranscrit notamment un témoignage de sœur Margherita Marin, une des deux religieuses à avoir découvert le corps du souverain pontife le 28 septembre 1978.
Dans ce document également publié par Avvenire, la religieuse déclare que le pontife avait été retrouvé dans son lit, semblant dormir et avec un « léger sourire ».
Lire aussi : Le pape Jean Paul Ier bientôt vénérable ?
Ce livre, salue le secrétaire d’État, éclaircit ainsi quelques points « restés dans les limbes, amplifiés et travestis » sur la mort du 263e pape.
Et permet donc, note-il avec satisfaction, d’ouvrir la voie à de nouvelles études sérieuses sur l’œuvre d’Albino Luciani, dégagées de « l’hypothèse du complot » et des « illusions ».
Son enseignement sur la miséricorde et la tendresse de Dieu
Bien que n’ayant siégé que 33 jours sur le trône de Pierre, écrit le cardinal Parolin, Jean Paul Ier a renforcé le désir d’une « Église conciliaire proche de la douleur des gens et de leur soif de charité ».
Il s’agissait d’un pasteur proche du peuple de Dieu, avec « une extraordinaire sensibilité culturelle et sociale ».
Ainsi, tout en étant « ferme sur l’essentiel de la foi » et dans son gouvernement de l’Église, Jean Paul Ier a su manifester « proximité, humilité, simplicité+ ».
Et quarante ans après son bref pontificat, son enseignement sur la miséricorde et la tendresse de Dieu reste « plus que jamais actuel », souligne le « numéro 2 » du Saint-Siège.
Écrit par la vice-postulatrice de la cause en béatification de Jean Paul Ier, cet ouvrage doit paraître en Italie le 7 novembre prochain.
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Un évêque ne démissionne pas, il « renonce »
15 août 2009 : Le cardinal André VINGT-TROIS, archevêque de Paris, lors de la Messe solennelle de l'Assomption, Notre-Dame de Paris (75), France.
Le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, fête ce mardi 7 novembre son 75e anniversaire. Selon le droit canonique, il doit remettre au Pape sa « démission ». La formule exacte est « renonciation ».
Un évêque (ou un archevêque) ne démissionne pas de sa fonction, il « renonce » à son « office ».
Selon le canon 401, « l’évêque diocésain qui a atteint soixante-quinze ans accomplis est prié de présenter la renonciation à son office au pontife suprême qui y pourvoira après examen de toutes les circonstances ».
Une norme établie par Paul VI
Un « rescrit » du pape François en date du 3 novembre 2014 a maintenu cette règle des 75 ans, alors que l’idée de repousser la retraite des évêques à 78 ans avait circulé.
La norme, envisagée par les pères du concile Vatican II, a été établie par Paul VI et confirmée par Jean Paul II.
Elle concerne aussi les titulaires d’offices désignés par nomination pontificale.
Le droit permet et encourage également la renonciation avant 75 ans des évêques qui le « considère nécessaire pour maladie ou pour tout autre motif grave ».
Seule exception à propos de la limite d’âge : celle-ci est fixée à 80 ans pour les membres des dicastères nommés par le Pape.
C’est aussi l’âge limite des cardinaux électeurs lors du conclave qui élit le Pape.
15 août 2009 : Le cardinal André VINGT-TROIS, archevêque de Paris, lors de la Messe solennelle de l'Assomption, Notre-Dame de Paris (75), France.
Le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, fête ce mardi 7 novembre son 75e anniversaire. Selon le droit canonique, il doit remettre au Pape sa « démission ». La formule exacte est « renonciation ».
Un évêque (ou un archevêque) ne démissionne pas de sa fonction, il « renonce » à son « office ».
Selon le canon 401, « l’évêque diocésain qui a atteint soixante-quinze ans accomplis est prié de présenter la renonciation à son office au pontife suprême qui y pourvoira après examen de toutes les circonstances ».
Une norme établie par Paul VI
Un « rescrit » du pape François en date du 3 novembre 2014 a maintenu cette règle des 75 ans, alors que l’idée de repousser la retraite des évêques à 78 ans avait circulé.
La norme, envisagée par les pères du concile Vatican II, a été établie par Paul VI et confirmée par Jean Paul II.
Elle concerne aussi les titulaires d’offices désignés par nomination pontificale.
Le droit permet et encourage également la renonciation avant 75 ans des évêques qui le « considère nécessaire pour maladie ou pour tout autre motif grave ».
Seule exception à propos de la limite d’âge : celle-ci est fixée à 80 ans pour les membres des dicastères nommés par le Pape.
C’est aussi l’âge limite des cardinaux électeurs lors du conclave qui élit le Pape.
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Le Secours catholique tord le cou aux préjugés sur la pauvreté
Des bénévoles de la Conférence Saint-Vincent de Paul et de l'association Août Secours Alimentaire (ASA) préparent les denrées alimentaires à distribuer à des familles démunies au gymnase de l'école Saint Joseph à Pantin, le 22 août 2015.
Le Secours catholique a publié son rapport 2017 sur l’état de la pauvreté en France, en partenariat avec le Crédit coopératif.
L'association déconstruit des lieux communs sur les pauvres.
Forte de son expérience sur le terrain, auprès de 1,5 million de personnes, dont 700 000 enfants, le Secours catholique aide à mieux cerner la pauvreté en France.
Celle-ci concerne les personnes qui vivent en dessous du seuil de pauvreté, c’est-à-dire avec moins de 1 015 euros par mois (seuil à 60 % du revenu médian).
Pour rédiger son dernier rapport, ainsi qu’un dossier intitulé « Pauvreté : les préjugés face à la réalité », l’association a travaillé avec le sociologue Serge Paugam, connu pour avoir élaboré le concept de « disqualification sociale ».
L’étude rapporte les cas de 85 000 situations distinctes.
Des bénévoles de la Conférence Saint-Vincent de Paul et de l'association Août Secours Alimentaire (ASA) préparent les denrées alimentaires à distribuer à des familles démunies au gymnase de l'école Saint Joseph à Pantin, le 22 août 2015.
Le Secours catholique a publié son rapport 2017 sur l’état de la pauvreté en France, en partenariat avec le Crédit coopératif.
L'association déconstruit des lieux communs sur les pauvres.
Forte de son expérience sur le terrain, auprès de 1,5 million de personnes, dont 700 000 enfants, le Secours catholique aide à mieux cerner la pauvreté en France.
Celle-ci concerne les personnes qui vivent en dessous du seuil de pauvreté, c’est-à-dire avec moins de 1 015 euros par mois (seuil à 60 % du revenu médian).
Pour rédiger son dernier rapport, ainsi qu’un dossier intitulé « Pauvreté : les préjugés face à la réalité », l’association a travaillé avec le sociologue Serge Paugam, connu pour avoir élaboré le concept de « disqualification sociale ».
L’étude rapporte les cas de 85 000 situations distinctes.
Les enfants très touchés
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
De l’unionisme à l’œcuménisme : aller ensemble vers Dieu
30e rencontres internationales pour la paix.
Prière œcuménique des chrétiens
L’histoire des Églises est, aussi, une histoire de divisions, de conflits, de scissions et de guerres d’influence.
L’esprit œcuménique se veut être un palliatif aux blessures engendrées par ces guerres plus ou moins ouvertes entre les chrétiens.
Les Églises sont des institutions, des autorités spirituelles d’importance variables, mais qui toutes partagent le même objectif de perpétuer le christianisme selon leurs doctrines respectives.
Ces différentes doctrines ont donné lieu à la multiplication des autorités en dépit de la vocation unitaire, universelle et apostolique de l’Église fondée par saint Pierre : on pense notamment au grand schisme entre les Églises d’Orient et d’Occident en l’an 1054, séparant l’Église catholique romaine de l’Église orthodoxe.
Ces divisions ont parfois alimenté des rivalités entre les Églises, profitant de diverses occasions pour tenter de soustraire des fidèles aux autres confessions chrétiennes afin de réunir tout le monde sous une même autorité ainsi augmentée dans sa puissance.
Cette volonté de ramener tous les chrétiens dans un même giron a été appelée « unionisme », et engendra parfois des grandes souffrances, creusant les plaies causées par les divisions.
Ainsi par exemple, une partie du monde orthodoxe a pu être particulièrement touchée par le rattachement à la Rome catholique de certaines Églises appartenant à sa tradition — formant ce que l’on appelle parfois les Églises uniates — survenues dans des contextes politico-religieux souvent troublés.
Lire aussi : Oecuménisme
Pourquoi les chrétiens sont-ils divisés ?
Quant à moi je retiendrais ceci, mais faut-il seulement en prendre conscience et l'appliquer...Qui se dit Chrétien de nos jours doit collaborer à une entente parfaite, la division est de mise et n'allons pas chercher loin.... mais Dieu seul Jugera!!!!
CLIQUER
L’œcuménisme : une aspiration commune des chrétiens à s’élever vers Dieu
Contre les vexations causées par l’unionisme, l’oecuménisme privilégie l’entente et la compréhension mutuelle entre les toutes les traditions chrétiennes.
Né à la fin du XIXe et incarné en France par la figure de l’abbé Paul Couturier, l’œcuménisme repose sur une idée simple : l’objectif commun des chrétiens n’est pas de rassembler tout le monde sous une seule et unique autorité, mais d’aller ensemble vers Dieu selon Sa volonté.
Cette intuition relativement récente est certainement dictée par le constat que les différentes confessions et traditions chrétiennes sont trop anciennes, trop solidement construites avec leurs spécificités pour être méprisées et combattues les unes par les autres comme les hérésies des premiers siècles.
Mais il ne s’agit en aucun cas pour chaque confession chrétienne de renier ses convictions et sa doctrine pour reconnaître celles des autres comme absolument vraies.
Il s’agit bien davantage de considérer que la figure du Christ qui réunit catholiques, orthodoxes, anglicans et protestants, fonde le socle d’une connaissance mutuelle qui ne peut être qu’enrichissante, et interdit l’indifférence et l’arrogance entre chacun.
C’est dans le dialogue et le respect entre les différentes traditions chrétiennes que nous pouvons espérer tous nous approcher de Dieu :
l’œcuménisme vise à briser l’incompréhension entre les chrétiens par l’étude et la rencontre devenues inévitables, surtout après les tribulations de l’histoire contemporaine.
Les persécutions russes de 1917 ont, par exemple, provoqué l’immigration de nombreux orthodoxes en France, notamment à Lyon où les réfugiés ont été accueillis par l’abbé Paul Couturier, tandis que certains mouvements protestants ont gagné en importance avec le renouveau charismatique dans la seconde moitié du XXe siècle.
Après l’apaisement des tensions et des guerres ouvertes entre chrétiens, l’œcuménisme représente donc une nouvelle étape dans l’Histoire : celle du respect et de la considération qui, sans impliquer de concessions irréfléchies, vise à créer une certaine synergie, poursuivant prudemment et intelligemment l’objectif d’unité qui s’impose en chrétienté.
La prière pour l’unité des chrétiens initiée par l’abbé Paul Couturier précise bien que l’objectif est
« l’unité que Dieu voudra, par les moyens qu’Il voudra. »
30e rencontres internationales pour la paix.
Prière œcuménique des chrétiens
L’histoire des Églises est, aussi, une histoire de divisions, de conflits, de scissions et de guerres d’influence.
L’esprit œcuménique se veut être un palliatif aux blessures engendrées par ces guerres plus ou moins ouvertes entre les chrétiens.
Les Églises sont des institutions, des autorités spirituelles d’importance variables, mais qui toutes partagent le même objectif de perpétuer le christianisme selon leurs doctrines respectives.
Ces différentes doctrines ont donné lieu à la multiplication des autorités en dépit de la vocation unitaire, universelle et apostolique de l’Église fondée par saint Pierre : on pense notamment au grand schisme entre les Églises d’Orient et d’Occident en l’an 1054, séparant l’Église catholique romaine de l’Église orthodoxe.
Ces divisions ont parfois alimenté des rivalités entre les Églises, profitant de diverses occasions pour tenter de soustraire des fidèles aux autres confessions chrétiennes afin de réunir tout le monde sous une même autorité ainsi augmentée dans sa puissance.
Cette volonté de ramener tous les chrétiens dans un même giron a été appelée « unionisme », et engendra parfois des grandes souffrances, creusant les plaies causées par les divisions.
Ainsi par exemple, une partie du monde orthodoxe a pu être particulièrement touchée par le rattachement à la Rome catholique de certaines Églises appartenant à sa tradition — formant ce que l’on appelle parfois les Églises uniates — survenues dans des contextes politico-religieux souvent troublés.
Lire aussi : Oecuménisme
Pourquoi les chrétiens sont-ils divisés ?
Quant à moi je retiendrais ceci, mais faut-il seulement en prendre conscience et l'appliquer...Qui se dit Chrétien de nos jours doit collaborer à une entente parfaite, la division est de mise et n'allons pas chercher loin.... mais Dieu seul Jugera!!!!
Marc 12 30 et
Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force.
31
Voici le second:
Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n'y a pas d'autre commandement plus grand que ceux-là.
Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force.
31
Voici le second:
Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n'y a pas d'autre commandement plus grand que ceux-là.
Pour obéir au Christ et pour que cesse le scandale de la division des chrétiens qui est un obstacle à l’évangélisation, nous sommes tous appelés à mieux nous connaître, à prier et à collaborer pour la gloire de Dieu et le bien de l’humanité, tout en approfondissant notre foi avec l’aide des théologiens, pour parvenir à la profession de la même foi. a écrit:
CLIQUER
L’œcuménisme : une aspiration commune des chrétiens à s’élever vers Dieu
Contre les vexations causées par l’unionisme, l’oecuménisme privilégie l’entente et la compréhension mutuelle entre les toutes les traditions chrétiennes.
Né à la fin du XIXe et incarné en France par la figure de l’abbé Paul Couturier, l’œcuménisme repose sur une idée simple : l’objectif commun des chrétiens n’est pas de rassembler tout le monde sous une seule et unique autorité, mais d’aller ensemble vers Dieu selon Sa volonté.
Cette intuition relativement récente est certainement dictée par le constat que les différentes confessions et traditions chrétiennes sont trop anciennes, trop solidement construites avec leurs spécificités pour être méprisées et combattues les unes par les autres comme les hérésies des premiers siècles.
Mais il ne s’agit en aucun cas pour chaque confession chrétienne de renier ses convictions et sa doctrine pour reconnaître celles des autres comme absolument vraies.
Il s’agit bien davantage de considérer que la figure du Christ qui réunit catholiques, orthodoxes, anglicans et protestants, fonde le socle d’une connaissance mutuelle qui ne peut être qu’enrichissante, et interdit l’indifférence et l’arrogance entre chacun.
C’est dans le dialogue et le respect entre les différentes traditions chrétiennes que nous pouvons espérer tous nous approcher de Dieu :
l’œcuménisme vise à briser l’incompréhension entre les chrétiens par l’étude et la rencontre devenues inévitables, surtout après les tribulations de l’histoire contemporaine.
Les persécutions russes de 1917 ont, par exemple, provoqué l’immigration de nombreux orthodoxes en France, notamment à Lyon où les réfugiés ont été accueillis par l’abbé Paul Couturier, tandis que certains mouvements protestants ont gagné en importance avec le renouveau charismatique dans la seconde moitié du XXe siècle.
Après l’apaisement des tensions et des guerres ouvertes entre chrétiens, l’œcuménisme représente donc une nouvelle étape dans l’Histoire : celle du respect et de la considération qui, sans impliquer de concessions irréfléchies, vise à créer une certaine synergie, poursuivant prudemment et intelligemment l’objectif d’unité qui s’impose en chrétienté.
La prière pour l’unité des chrétiens initiée par l’abbé Paul Couturier précise bien que l’objectif est
« l’unité que Dieu voudra, par les moyens qu’Il voudra. »
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Le « réveil » religieux de la Première Guerre mondiale
Des soldats français assistant à une messe à Mailly-Champagne (Marne), en février 1917.
Xavier Boniface est professeur d’histoire contemporaine à l'Université de Picardie Jules Verne et auteur de "L'Histoire religieuse de la Grande Guerre" (Fayard, 2014).
Il revient pour Aleteia sur les aspects religieux du premier conflit mondial.
Aleteia :
Quand éclate la guerre en 1914, la république anticléricale n’a pas hésité à mobiliser une grande partie du clergé en âge de se battre.
Quel rôle fut assigné aux hommes d’Église dans cette guerre ?
Xavier Boniface :
Le clergé était soumis au service militaire depuis 1889 (loi des « curés sac au dos »).
Les prêtres sont donc mobilisés comme tous les hommes de leurs classes d’âge en 1914 : les plus âgés (qui ont accompli leur service avant 1905) sont affectés dans le service de santé, comme infirmiers, brancardiers, secrétaires…
Les plus jeunes sont mobilisés dans toutes les armes.
Les religieux, non reconnus à l’époque du concordat, sont en théorie aussi mobilisables dans n’importe quelle unité, mais certains servent dans des formations sanitaires.
Quelques dizaines d’aumôniers titulaires sont également prévus.
Ils sont recrutés dans les classes d’âge non mobilisables.
Des soldats français assistant à une messe à Mailly-Champagne (Marne), en février 1917.
Xavier Boniface est professeur d’histoire contemporaine à l'Université de Picardie Jules Verne et auteur de "L'Histoire religieuse de la Grande Guerre" (Fayard, 2014).
Il revient pour Aleteia sur les aspects religieux du premier conflit mondial.
Aleteia :
Quand éclate la guerre en 1914, la république anticléricale n’a pas hésité à mobiliser une grande partie du clergé en âge de se battre.
Quel rôle fut assigné aux hommes d’Église dans cette guerre ?
Xavier Boniface :
Le clergé était soumis au service militaire depuis 1889 (loi des « curés sac au dos »).
Les prêtres sont donc mobilisés comme tous les hommes de leurs classes d’âge en 1914 : les plus âgés (qui ont accompli leur service avant 1905) sont affectés dans le service de santé, comme infirmiers, brancardiers, secrétaires…
Les plus jeunes sont mobilisés dans toutes les armes.
Les religieux, non reconnus à l’époque du concordat, sont en théorie aussi mobilisables dans n’importe quelle unité, mais certains servent dans des formations sanitaires.
Quelques dizaines d’aumôniers titulaires sont également prévus.
Ils sont recrutés dans les classes d’âge non mobilisables.
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Sœur Leonella Sgorbati, martyre en Somalie, bientôt béatifiée
La missionnaire italienne de la Consolata a été assassinée le 17 septembre 2006, à Mogadiscio, par deux extrémistes musulmans.
Le 17 septembre 2006, sœur Leonella Sgorbati est abattue en pleine rue avec son garde de corps par des extrémistes musulmans, aux abords de l’hôpital pédiatrique de Mogadiscio, en Somalie.
Ses derniers mots avant de mourir ont été :
« Je pardonne ! Je pardonne ! ».
Le pardon… la signature de son martyre !
Un mot qu’elle avait fait sien, jour après jour, avec héroïsme, trouvant le courage de surmonter toutes les peurs que peut susciter de vivre dans un pays déchiré par dix années de guerre civile, de famine, de banditisme et de fondamentalisme religieux.
« Il y a une balle avec mon nom écrit dessus et Dieu seul sait quand elle arrivera », disait-elle.
Mais sa vie, elle l’avait donnée au Seigneur et elle ajoutait toujours :
« Il peut faire de moi ce qu’il veut ».
La reconnaissance de son martyre en « haine de la foi » par le pape François, le 8 novembre dernier, ouvre la voie à sa béatification.
Depuis octobre 2008, sa croix est conservée dans la basilique Saint-Barthélemy sur l’île, à Rome, consacrée à la mémoire des nouveaux martyrs des XXe et XXIe siècles
La missionnaire italienne de la Consolata a été assassinée le 17 septembre 2006, à Mogadiscio, par deux extrémistes musulmans.
Le 17 septembre 2006, sœur Leonella Sgorbati est abattue en pleine rue avec son garde de corps par des extrémistes musulmans, aux abords de l’hôpital pédiatrique de Mogadiscio, en Somalie.
Ses derniers mots avant de mourir ont été :
« Je pardonne ! Je pardonne ! ».
Le pardon… la signature de son martyre !
Un mot qu’elle avait fait sien, jour après jour, avec héroïsme, trouvant le courage de surmonter toutes les peurs que peut susciter de vivre dans un pays déchiré par dix années de guerre civile, de famine, de banditisme et de fondamentalisme religieux.
« Il y a une balle avec mon nom écrit dessus et Dieu seul sait quand elle arrivera », disait-elle.
Mais sa vie, elle l’avait donnée au Seigneur et elle ajoutait toujours :
« Il peut faire de moi ce qu’il veut ».
La reconnaissance de son martyre en « haine de la foi » par le pape François, le 8 novembre dernier, ouvre la voie à sa béatification.
Depuis octobre 2008, sa croix est conservée dans la basilique Saint-Barthélemy sur l’île, à Rome, consacrée à la mémoire des nouveaux martyrs des XXe et XXIe siècles
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Le Seigneur des anneaux a-t-il un rapport avec la foi catholique ?
Alors qu'Amazon vient d'acquérir les droits du "Seigneur des anneaux" pour près de 250 millions de dollars pour en faire une série, retour sur une question fondamentale : où se niche la partie catho dans la célèbre trilogie de Tolkien ?
Le Seigneur des anneaux a-t-il un rapport avec la foi catholique ?
Tolkien le croyait fermement et il a essayé de l’expliquer, lui qui disait :
« Le Seigneur des Anneaux est bien entendu une œuvre fondamentalement religieuse et catholique ; de manière inconsciente dans un premier temps, puis de manière consciente lorsque je l’ai retravaillée ».
John Ronald Reuld Tolkien (1892-1973) fut professeur en langue et littérature anglaise à l’université d’Oxford.
Sa passion pour la philologie, l’étude des langues et des dialectes, l’a amené à s’intéresser de près aux mythes et récits anciens.
Il se lamentait du fait que son propre pays ait perdu son fond de culture mythologique, et s’est alors donné pour tâche d’en élaborer une.
Cela donnera le Silmarillon, cadre dans lequel s’inscrit l’histoire du Seigneur des Anneaux.
Tout en empruntant largement aux mythes païens et nordiques, il a cependant choisi de construire une histoire fictive qui soit cohérente avec sa propre foi catholique
SOURCE
Quand l’art urbain fait polémique, quels recours pour l’artiste ?
L’intégration des œuvres d’art dans la rue ne laisse pas le public indifférent et déclenche souvent la polémique.
Quel que soit le message qu’elles véhiculent, elles se trouvent parfois mises en cause, à tort ou à raison.
Face aux pressions de l’opinion publique, des institutions, ou de groupuscules idéologiques, quels sont les recours de l’artiste ?
Par une décision du 25 octobre 2017, le Conseil d’État a ordonné le retrait de la croix surplombant la statue de Jean Paul II établie sur la place du même nom, dans la commune de Ploërmel.
Cette décision inédite censure l’art religieux dans l’espace public.
Si sa légitimité fait l’objet d’intenses discussions, la question de son application demeure d’autant plus incertaine que le droit protège l’œuvre de toute altération.
.
Alors qu'Amazon vient d'acquérir les droits du "Seigneur des anneaux" pour près de 250 millions de dollars pour en faire une série, retour sur une question fondamentale : où se niche la partie catho dans la célèbre trilogie de Tolkien ?
Le Seigneur des anneaux a-t-il un rapport avec la foi catholique ?
Tolkien le croyait fermement et il a essayé de l’expliquer, lui qui disait :
« Le Seigneur des Anneaux est bien entendu une œuvre fondamentalement religieuse et catholique ; de manière inconsciente dans un premier temps, puis de manière consciente lorsque je l’ai retravaillée ».
John Ronald Reuld Tolkien (1892-1973) fut professeur en langue et littérature anglaise à l’université d’Oxford.
Sa passion pour la philologie, l’étude des langues et des dialectes, l’a amené à s’intéresser de près aux mythes et récits anciens.
Il se lamentait du fait que son propre pays ait perdu son fond de culture mythologique, et s’est alors donné pour tâche d’en élaborer une.
Cela donnera le Silmarillon, cadre dans lequel s’inscrit l’histoire du Seigneur des Anneaux.
Tout en empruntant largement aux mythes païens et nordiques, il a cependant choisi de construire une histoire fictive qui soit cohérente avec sa propre foi catholique
SOURCE
Quand l’art urbain fait polémique, quels recours pour l’artiste ?
L’intégration des œuvres d’art dans la rue ne laisse pas le public indifférent et déclenche souvent la polémique.
Quel que soit le message qu’elles véhiculent, elles se trouvent parfois mises en cause, à tort ou à raison.
Face aux pressions de l’opinion publique, des institutions, ou de groupuscules idéologiques, quels sont les recours de l’artiste ?
Par une décision du 25 octobre 2017, le Conseil d’État a ordonné le retrait de la croix surplombant la statue de Jean Paul II établie sur la place du même nom, dans la commune de Ploërmel.
Cette décision inédite censure l’art religieux dans l’espace public.
Si sa légitimité fait l’objet d’intenses discussions, la question de son application demeure d’autant plus incertaine que le droit protège l’œuvre de toute altération.
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Le patronage, un exemple d’engagement politique
@AbChouanard | Twitter
C’est sa passion de l’éducation et de sa vocation qui ont convaincu l’abbé Chouanard de relancer il y a deux ans un patronage dans sa paroisse du XXe arrondissement de Paris, et à transmettre à son tour ce qu’il a reçu pour construire sa vie d’homme.
L’abbé Chouanard en est convaincu.
Le patronage est une oeuvre d’avenir pour être là où “la République et l’Église se sont désinvesties du champ éducatif populaire, surtout après 1968.
On a renoncé à ces œuvres propres, soit disant pour être plus présent au cœur du monde.
Mais aujourd’hui, tous les centres aérés sont des imitations de patronage. On a eu un problème d’identité, de difficulté à se situer en pensant qu’on pouvait aller plus loin dans la présence, lâchant ce que nous faisions bien“.
@AbChouanard | Twitter
C’est sa passion de l’éducation et de sa vocation qui ont convaincu l’abbé Chouanard de relancer il y a deux ans un patronage dans sa paroisse du XXe arrondissement de Paris, et à transmettre à son tour ce qu’il a reçu pour construire sa vie d’homme.
L’abbé Chouanard en est convaincu.
Le patronage est une oeuvre d’avenir pour être là où “la République et l’Église se sont désinvesties du champ éducatif populaire, surtout après 1968.
On a renoncé à ces œuvres propres, soit disant pour être plus présent au cœur du monde.
Mais aujourd’hui, tous les centres aérés sont des imitations de patronage. On a eu un problème d’identité, de difficulté à se situer en pensant qu’on pouvait aller plus loin dans la présence, lâchant ce que nous faisions bien“.
Lire aussi
Qu’est-ce qu’un patronage ?
Qu’est-ce qu’un patronage ?
Paris : l’église de la Trinité fête ses 150 ans avec les plus pauvres
Église de la Trinité à Paris.
Située au cœur du IXe arrondissement de Paris, non loin de la gare Saint-Lazare, l’église de la Trinité fête ces jours-ci son 150e anniversaire.
Comme les immeubles qui l’entourent, l’église de la Trinité a été construite sous Napoléon III, au moment de la modernisation de Paris initiée par le préfet Haussmann. Elle est aujourd’hui un repère visible d’un quartier dynamique et jeune qu’elle contribue largement à animer.
Une église chargée d’histoire
L’église que nous connaissons aujourd’hui a été construite à partir d’une première église, qui fut édifiée en 1852 rue de Clichy, et qui, par la suite, a été transférée quelques centaines de mètres plus au sud, et surélevée, à l’endroit actuel.
Les travaux de cet édifice à l’allure déconcertante s’achèvent en 1867.
Il en ressort une église de type basilical de style néo-Renaissance aux dimensions impressionnantes, longue de 90 mètres et large de 34 mètres.
Quant à son clocher, il culmine à 65 mètres.
L’église a d’ailleurs été conçue pour être vue depuis l’Opéra de Paris.
Son architecte, Théodore Ballu, qui a une rue à son nom située non loin de la Trinité, construisit également la basilique Sainte-Clotilde.
Comme Saint-François-Xavier (VIIe arrondissement) construite à la même époque, l’église de la Trinité a une ossature métallique, ce qui explique que l’édifice ait pu être doté de proportions importantes.
En journée, l’église est convenablement éclairée grâce à des vitraux de verre blanc. Ceux de l’abside en revanche sont colorés.
Église de la Trinité à Paris.
Située au cœur du IXe arrondissement de Paris, non loin de la gare Saint-Lazare, l’église de la Trinité fête ces jours-ci son 150e anniversaire.
Comme les immeubles qui l’entourent, l’église de la Trinité a été construite sous Napoléon III, au moment de la modernisation de Paris initiée par le préfet Haussmann. Elle est aujourd’hui un repère visible d’un quartier dynamique et jeune qu’elle contribue largement à animer.
Une église chargée d’histoire
L’église que nous connaissons aujourd’hui a été construite à partir d’une première église, qui fut édifiée en 1852 rue de Clichy, et qui, par la suite, a été transférée quelques centaines de mètres plus au sud, et surélevée, à l’endroit actuel.
Les travaux de cet édifice à l’allure déconcertante s’achèvent en 1867.
Il en ressort une église de type basilical de style néo-Renaissance aux dimensions impressionnantes, longue de 90 mètres et large de 34 mètres.
Quant à son clocher, il culmine à 65 mètres.
L’église a d’ailleurs été conçue pour être vue depuis l’Opéra de Paris.
Son architecte, Théodore Ballu, qui a une rue à son nom située non loin de la Trinité, construisit également la basilique Sainte-Clotilde.
Comme Saint-François-Xavier (VIIe arrondissement) construite à la même époque, l’église de la Trinité a une ossature métallique, ce qui explique que l’édifice ait pu être doté de proportions importantes.
En journée, l’église est convenablement éclairée grâce à des vitraux de verre blanc. Ceux de l’abside en revanche sont colorés.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Les 10 bons mots du pape le plus drôle de l’histoire
Qui a dit que les papes n’avaient pas le sens de l’humour ?
La répartie et la jovialité du pape saint Jean XXIII restent une marque de son pontificat.
Aleteia vous propose un florilège de ses bons mots.
Angelo Guiseppe Roncalli, le pape saint Jean XXIII, est né en Italie en 1881 et a été ordonné prêtre en 1904 à 23 ans.
Pendant la Deuxième Guerre mondiale, alors délégué apostolique en Turquie, il permet le sauvetage d’un grand nombre de juifs recherchés par le pouvoir nazi, en leur accordant un « visa de transit » de la délégation apostolique.
En 1958, après la mort du pape Pie XII, il est élu au trône de Saint-Pierre et grâce à son charisme, sa bonne humeur et sa générosité légendaire, il n’aura fallu que peu de temps pour qu’il soit appelé « le bon pape ».
De par sa volonté de faire dialoguer la mission de l’Église d’annoncer l’Évangile avec toutes les réalités humaines, il convoque le concile Vatican II pour réfléchir à la manière dont la pastorale de l’Église peut répondre aux nouveaux défis d’un monde en mutation.
Saint Jean XXIII a rejoint le Père le 3 juillet 1969, a été béatifié par saint Jean Paul II au cours du Jubilé de l’an 2000 et a été canonisé par le pape François en avril 2014.
Sa fête est célébrée le 11 octobre.
Qui a dit que les papes n’avaient pas le sens de l’humour ?
La répartie et la jovialité du pape saint Jean XXIII restent une marque de son pontificat.
Aleteia vous propose un florilège de ses bons mots.
Angelo Guiseppe Roncalli, le pape saint Jean XXIII, est né en Italie en 1881 et a été ordonné prêtre en 1904 à 23 ans.
Pendant la Deuxième Guerre mondiale, alors délégué apostolique en Turquie, il permet le sauvetage d’un grand nombre de juifs recherchés par le pouvoir nazi, en leur accordant un « visa de transit » de la délégation apostolique.
En 1958, après la mort du pape Pie XII, il est élu au trône de Saint-Pierre et grâce à son charisme, sa bonne humeur et sa générosité légendaire, il n’aura fallu que peu de temps pour qu’il soit appelé « le bon pape ».
De par sa volonté de faire dialoguer la mission de l’Église d’annoncer l’Évangile avec toutes les réalités humaines, il convoque le concile Vatican II pour réfléchir à la manière dont la pastorale de l’Église peut répondre aux nouveaux défis d’un monde en mutation.
Saint Jean XXIII a rejoint le Père le 3 juillet 1969, a été béatifié par saint Jean Paul II au cours du Jubilé de l’an 2000 et a été canonisé par le pape François en avril 2014.
Sa fête est célébrée le 11 octobre.
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Ces chrétiens qui sont entrés dans l’Avent depuis la mi-octobre
En Israël, depuis une trentaine d'années, les catholiques parlant hébreu célèbrent ce qu'ils appellent le « Grand Avent ».
Une période qui commence non pas quatre semaines mais onze semaines avant Noël.
Au cours du « Grand Avent », les catholiques israéliens commémorent les figures bibliques qui ont préparé la voie pour le Messie.
Cette période démarre avec le dimanche de la semaine de la fête juive de Sim’hat Torah ou « joie de la Torah », début de la nouvelle année liturgique juive, célébrée le jeudi 12 octobre cette année.
Le livre de la Genèse est alors lu dans les synagogues.
Les catholiques hébréophones en profitent pour commencer le Grand Avent avec la commémoration d’Adam et Ève.
Les grands personnages de l’Ancien Testament
Les catholiques de cette région célèbrent ensuite Noé, les Patriarches (d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, fondateurs du peuple juif), les Matriarches (Sarah épouse d’Abraham, Rebecca, épouse d’Isaac, Rachel et Léa, épousent de Jacob), Joseph, Moïse et David.
Les quatre derniers dimanche sont ensuite dédiés aux prophètes, à Jean le Baptiste, à la joie de l’Avent, où comme les autres catholiques ils sont invités à entrer dans l’attente joyeuse de la célébration de Noël, et à Marie.
En Israël, depuis une trentaine d'années, les catholiques parlant hébreu célèbrent ce qu'ils appellent le « Grand Avent ».
Une période qui commence non pas quatre semaines mais onze semaines avant Noël.
Au cours du « Grand Avent », les catholiques israéliens commémorent les figures bibliques qui ont préparé la voie pour le Messie.
Cette période démarre avec le dimanche de la semaine de la fête juive de Sim’hat Torah ou « joie de la Torah », début de la nouvelle année liturgique juive, célébrée le jeudi 12 octobre cette année.
Le livre de la Genèse est alors lu dans les synagogues.
Les catholiques hébréophones en profitent pour commencer le Grand Avent avec la commémoration d’Adam et Ève.
Les grands personnages de l’Ancien Testament
Les catholiques de cette région célèbrent ensuite Noé, les Patriarches (d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, fondateurs du peuple juif), les Matriarches (Sarah épouse d’Abraham, Rebecca, épouse d’Isaac, Rachel et Léa, épousent de Jacob), Joseph, Moïse et David.
Les quatre derniers dimanche sont ensuite dédiés aux prophètes, à Jean le Baptiste, à la joie de l’Avent, où comme les autres catholiques ils sont invités à entrer dans l’attente joyeuse de la célébration de Noël, et à Marie.
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Qu’est-ce qu’un conjurador ?
Le conjurador de Serralongue.
Ce style d’édifice religieux est typique des Pyrénées catalanes, d’un côté comme de l’autre de la frontière.
Rencontre avec René Magna, créateur du musée de Serralongue, un petit village des Pyrénées-Orientales qui détient un de ces vestiges architecturaux.
Guerres, pandémies, invasions, sécheresse, grêles.
Comme son nom l’indique, le conjurador servait à conjurer le sort et tout ce qui pouvait porter atteinte aux peuples qui vivaient dans ces contrées éloignées.
« On priait Dieu de différentes façons », nous explique René Magna et « ces édicules sont caractéristiques de notre région mais côté espagnol, ils appellent cela des pregadores (lieu où l’on prie), pourtant ce sont les mêmes monuments ».
Faire face au danger
Dans le conjurador nous retrouvons quatre statues des évangélistes orientées vers les points cardinaux.
Saint Luc est au sud, saint Matthieu au nord tandis que saint Jean est au levant et saint Marc au couchant.
L’usage était d’implorer le saint qui faisait face au danger contre lequel on priait pour se prémunir.
Néanmoins, la conjuration va s’estomper vers le milieu du XVIIe siècle.
À l’origine, cet édicule de trois mètres sur trois avait une toiture en tuiles romanes mais lors de la dernière restauration faite par les comtes en 1792, ils avaient installé des lauzes (pierres plates).
Malheureusement à l’heure actuelle et pour des raisons économiques, la Délégation régionale des affaires culturelles (DRAC) de Montpellier a fait poser des ardoises.
Le conjurador de Serralongue.
Ce style d’édifice religieux est typique des Pyrénées catalanes, d’un côté comme de l’autre de la frontière.
Rencontre avec René Magna, créateur du musée de Serralongue, un petit village des Pyrénées-Orientales qui détient un de ces vestiges architecturaux.
Guerres, pandémies, invasions, sécheresse, grêles.
Comme son nom l’indique, le conjurador servait à conjurer le sort et tout ce qui pouvait porter atteinte aux peuples qui vivaient dans ces contrées éloignées.
« On priait Dieu de différentes façons », nous explique René Magna et « ces édicules sont caractéristiques de notre région mais côté espagnol, ils appellent cela des pregadores (lieu où l’on prie), pourtant ce sont les mêmes monuments ».
Faire face au danger
Dans le conjurador nous retrouvons quatre statues des évangélistes orientées vers les points cardinaux.
Saint Luc est au sud, saint Matthieu au nord tandis que saint Jean est au levant et saint Marc au couchant.
L’usage était d’implorer le saint qui faisait face au danger contre lequel on priait pour se prémunir.
Néanmoins, la conjuration va s’estomper vers le milieu du XVIIe siècle.
À l’origine, cet édicule de trois mètres sur trois avait une toiture en tuiles romanes mais lors de la dernière restauration faite par les comtes en 1792, ils avaient installé des lauzes (pierres plates).
Malheureusement à l’heure actuelle et pour des raisons économiques, la Délégation régionale des affaires culturelles (DRAC) de Montpellier a fait poser des ardoises.
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Marie du 65 a écrit:Le Seigneur des anneaux a-t-il un rapport avec la foi catholique ?
Alors qu'Amazon vient d'acquérir les droits du "Seigneur des anneaux" pour près de 250 millions de dollars pour en faire une série, retour sur une question fondamentale : où se niche la partie catho dans la célèbre trilogie de Tolkien ?
Le Seigneur des anneaux a-t-il un rapport avec la foi catholique ?
Tolkien le croyait fermement et il a essayé de l’expliquer, lui qui disait :
« Le Seigneur des Anneaux est bien entendu une œuvre fondamentalement religieuse et catholique ; de manière inconsciente dans un premier temps, puis de manière consciente lorsque je l’ai retravaillée ».
Vous nous direz dès que cette série est en ligne
merci de cette info
elle me passsionne
quiconque a vu le Seigneur des Anneaux ... aime le Roi
alleluia
Re: Eglise et Décryptage!!!!
Père Nathan a écrit:Marie du 65 a écrit:Le Seigneur des anneaux a-t-il un rapport avec la foi catholique ?
Alors qu'Amazon vient d'acquérir les droits du "Seigneur des anneaux" pour près de 250 millions de dollars pour en faire une série, retour sur une question fondamentale : où se niche la partie catho dans la célèbre trilogie de Tolkien ?
Le Seigneur des anneaux a-t-il un rapport avec la foi catholique ?
Tolkien le croyait fermement et il a essayé de l’expliquer, lui qui disait :
« Le Seigneur des Anneaux est bien entendu une œuvre fondamentalement religieuse et catholique ; de manière inconsciente dans un premier temps, puis de manière consciente lorsque je l’ai retravaillée ».
Vous nous direz dès que cette série est en ligne
merci de cette info
elle me passsionne
quiconque a vu le Seigneur des Anneaux ... aime le Roi
alleluia
Bonjour Père,
Voici un lien datant du 4 Novembre 2017
Le Seigneur des anneaux :
Une série en préparation !
http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18668505.html
Bonne Fête de l'Avent!!!
Avec toute mon Amitié
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Pourquoi les messes de minuit ont des horaires qui varient ?
Pourquoi les messes de minuit ont des horaires qui varient ?
Crèche de Noël.
L’heure de la messe de minuit varie selon les paroisses… car il s’agit en réalité de la messe de la nuit de Noël. Certaines paroisses ou abbayes attendent parfois le milieu de la nuit pour célébrer Noël.
La messe de minuit est en fait la messe de la nuit de Noël, cette nuit où on célèbre le passage des ténèbres à la lumière grâce à la naissance d’un enfant que le texte d’Isaïe (Is 9/1-6), nomme « Prince de la paix ».
Elle est précédée d’une veillée pour se préparer à la célébration du mystère de la Nativité.
Outre les cantiques traditionnels comme Il est né le divin enfant, Venez divin messie, Les anges dans nos campagnes, ou Douce nuit, la crèche est au centre de cette célébration aussi y voit-on parfois des crèches vivantes ou des processions à la crèche.
La première messe de minuit fut célébrée en 440 par le pape Sixte III.
Crèche de Noël.
L’heure de la messe de minuit varie selon les paroisses… car il s’agit en réalité de la messe de la nuit de Noël. Certaines paroisses ou abbayes attendent parfois le milieu de la nuit pour célébrer Noël.
La messe de minuit est en fait la messe de la nuit de Noël, cette nuit où on célèbre le passage des ténèbres à la lumière grâce à la naissance d’un enfant que le texte d’Isaïe (Is 9/1-6), nomme « Prince de la paix ».
Elle est précédée d’une veillée pour se préparer à la célébration du mystère de la Nativité.
Outre les cantiques traditionnels comme Il est né le divin enfant, Venez divin messie, Les anges dans nos campagnes, ou Douce nuit, la crèche est au centre de cette célébration aussi y voit-on parfois des crèches vivantes ou des processions à la crèche.
La première messe de minuit fut célébrée en 440 par le pape Sixte III.
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Jérusalem Qui garantit l’accès au lieux saints ?
Jérusalem
Qui garantit l’accès au lieux saints ?
En décidant de reconnaître Jérusalem comme capitale de l'État d’Israël, le président américain, Donald Trump, certains craignent un accès aux lieux saints plus difficiles.
Qu'en est-il vraiment ?
Si Jérusalem est au cœur du conflit israélo-palestinien, depuis 1947 c’est notamment à cause de son statut de ville sainte pour les trois monothéismes.
En effet, chaque changement de statut de la ville peut laisser craindre un changement dans l’accès aux lieux saints.
La ville « trois fois sainte »
Située en Terre Sainte, région où a vécu Jésus, Jérusalem bénéficie d’un statut particulier chez les chrétiens, puisque c’est la ville où il est arrêté, crucifié et où il ressuscite.
On y trouve logiquement de nombreux lieux saints.
L’église du Saint-Sépulcre, érigée sur le lieu de la tombe du Christ est le plus emblématique d’entre eux.
Elle abrite aussi de nombreuses églises chrétiennes comme l’église de Toutes-les-nations, située au pied du monte des Oliviers, qui renferme le rocher au pied duquel, Jésus pria durant son agonie, avant son arrestation (Luc 22, 41), l’église Sainte-Anne bâtie à l’endroit où la Vierge Marie serait née, l’église orthodoxe du sépulcre de la Sainte Vierge, qui hébergerait selon la tradition la tombe de la mère de Jésus, de son mari Joseph et de ses parents Anne et Joachim, ou encore l’église Saint-Pierre en Gallicante, qui remémore le moment où l’apôtre Pierre a pleuré après avoir renié trois fois son Seigneur après le chant du coq (gallus en latin). Le souvenir du martyr de Jacques le juste, « frère du Seigneur » selon Paul (Galates 1, 19) et « évêque » de Jérusalem, y est aussi vénéré.
Jérusalem, ville foulée par les trois Patriarches, Abraham, Isaac et Jacob, est également un lieu très important pour les juifs.
Il s’agit de la capitale de la monarchie unifiée d’Israël sous les règnes de David et Salomon, les deux plus grands rois hébreux.
C’est elle qui abrite le Temple de Jérusalem, détruit deux fois par les Babyloniens puis par les Romains en 70 ap. J.-C.
Aujourd’hui, il ne reste de cet édifice que le Mur des Lamentations, lieu de pèlerinage au cours des trois fêtes de pèlerinage : ainsi, tous les ans durant la fête de Pessa’h (Pâque juive).
Pour finir, Jérusalem est également sainte pour les musulmans qui reprennent une partie importante des traditions juives et chrétiennes.
À l’origine, Mahomet et ses disciples priaient en direction de cette ville (Qibla), avant de s’orienter finalement vers La Mecque.
C’est également le lieu où Mahomet aurait, selon la tradition musulmane, effectué l’isrâ’, « voyage nocturne » miraculeux de La Mecque à Jérusalem, qui précède le mi`râj (« ascension »), où le prophète serait monté aux cieux puis descendu aux enfers en compagnie de l’ange Gabriel (Djibril).
La mosquée al-Aqsa et le dôme du Rocher, premier monument musulman, tous deux bâtis sur l’esplanade des Mosquées, à Jérusalem-Est, rappellent ces événements.
L’esplanade forme le troisième lieu saint de l’islam sunnite.
Qui garantit l’accès au lieux saints ?
En décidant de reconnaître Jérusalem comme capitale de l'État d’Israël, le président américain, Donald Trump, certains craignent un accès aux lieux saints plus difficiles.
Qu'en est-il vraiment ?
Si Jérusalem est au cœur du conflit israélo-palestinien, depuis 1947 c’est notamment à cause de son statut de ville sainte pour les trois monothéismes.
En effet, chaque changement de statut de la ville peut laisser craindre un changement dans l’accès aux lieux saints.
La ville « trois fois sainte »
Située en Terre Sainte, région où a vécu Jésus, Jérusalem bénéficie d’un statut particulier chez les chrétiens, puisque c’est la ville où il est arrêté, crucifié et où il ressuscite.
On y trouve logiquement de nombreux lieux saints.
L’église du Saint-Sépulcre, érigée sur le lieu de la tombe du Christ est le plus emblématique d’entre eux.
Elle abrite aussi de nombreuses églises chrétiennes comme l’église de Toutes-les-nations, située au pied du monte des Oliviers, qui renferme le rocher au pied duquel, Jésus pria durant son agonie, avant son arrestation (Luc 22, 41), l’église Sainte-Anne bâtie à l’endroit où la Vierge Marie serait née, l’église orthodoxe du sépulcre de la Sainte Vierge, qui hébergerait selon la tradition la tombe de la mère de Jésus, de son mari Joseph et de ses parents Anne et Joachim, ou encore l’église Saint-Pierre en Gallicante, qui remémore le moment où l’apôtre Pierre a pleuré après avoir renié trois fois son Seigneur après le chant du coq (gallus en latin). Le souvenir du martyr de Jacques le juste, « frère du Seigneur » selon Paul (Galates 1, 19) et « évêque » de Jérusalem, y est aussi vénéré.
Jérusalem, ville foulée par les trois Patriarches, Abraham, Isaac et Jacob, est également un lieu très important pour les juifs.
Il s’agit de la capitale de la monarchie unifiée d’Israël sous les règnes de David et Salomon, les deux plus grands rois hébreux.
C’est elle qui abrite le Temple de Jérusalem, détruit deux fois par les Babyloniens puis par les Romains en 70 ap. J.-C.
Aujourd’hui, il ne reste de cet édifice que le Mur des Lamentations, lieu de pèlerinage au cours des trois fêtes de pèlerinage : ainsi, tous les ans durant la fête de Pessa’h (Pâque juive).
Pour finir, Jérusalem est également sainte pour les musulmans qui reprennent une partie importante des traditions juives et chrétiennes.
À l’origine, Mahomet et ses disciples priaient en direction de cette ville (Qibla), avant de s’orienter finalement vers La Mecque.
C’est également le lieu où Mahomet aurait, selon la tradition musulmane, effectué l’isrâ’, « voyage nocturne » miraculeux de La Mecque à Jérusalem, qui précède le mi`râj (« ascension »), où le prophète serait monté aux cieux puis descendu aux enfers en compagnie de l’ange Gabriel (Djibril).
La mosquée al-Aqsa et le dôme du Rocher, premier monument musulman, tous deux bâtis sur l’esplanade des Mosquées, à Jérusalem-Est, rappellent ces événements.
L’esplanade forme le troisième lieu saint de l’islam sunnite.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
On passe petit à petit vers l''interdiction des Prières puis viendra la construction du Temple où siègera un autre Messie qui n'est que l'Anti-Christ.....
1-90% des Juifs séduits
2-100% des Evangeliques séduits.
3-Tomberont dans le piege et le Peché Musulmans Catholiques et Orthodoxes qui nombreux d'entre eux qui reconnaîtront l'anti-Christ.
Dans la Tradition Musulmane sont identifiés les Salafistes et les Saoudiens ( selon les textes),dans la tradition Chretienne il y a ce fameux texte:
Jean 5:43
1-90% des Juifs séduits
2-100% des Evangeliques séduits.
3-Tomberont dans le piege et le Peché Musulmans Catholiques et Orthodoxes qui nombreux d'entre eux qui reconnaîtront l'anti-Christ.
Dans la Tradition Musulmane sont identifiés les Salafistes et les Saoudiens ( selon les textes),dans la tradition Chretienne il y a ce fameux texte:
Jean 5:43
Louis Segond Bible Je suis venu au nom de mon Père, et vous ne me recevez pas; si un autre vient en son propre nom, vous le recevrez. |
Lotfi- Dans la prière
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Il est évident que cette ville doit être protégée !! au vu de tout ce qui se passe elle doit être protégée plus que jamais.
Le pire qu'il pourrait arriver serait de voir détruire cet endroit, je pense qu'il pourrait y avoir de grosses répercutions.
Le pire qu'il pourrait arriver serait de voir détruire cet endroit, je pense qu'il pourrait y avoir de grosses répercutions.
granny- Contemplatif
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Texte supprimé!!
Aucun lien avec le sujet
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Yeshoua- Avec Saint Joseph
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
À la découverte d’une incroyable Bible du XIIIe siècle
ÉDITIONS DES SAINTS PERES
Une aventure éditoriale sans précédent.
Jessica Nelson, cofondatrice des Éditions des Saints Pères et Xavier-Laurent Salvador, professeur de Lettres modernes à l’Université, ont décidé de rendre accessible à tous la Bible de Guyart des Moulins, une fascinante Bible du XIIIe siècle.
Nous les avons rencontrés.
Aleteia :
Quelle est la signification historique de la Bible de Guyart des Moulins ?
Xavier-Laurent Salvador :
C’est la première traduction intégrale de la Bible en français qui suive précisément le texte.
Depuis le XIe siècle, la Bible était racontée en français, mais sous forme de vers.
Cela permettait de réécrire les récits bibliques sans s’attarder sur les passages difficiles ou pouvant sembler en contradiction avec l’enseignement traditionnel.
Dans l’histoire de la langue, on dit que le vers peut mentir alors que la prose doit dire la vérité.
Écrire en vers permettait de s’arranger avec la vérité de la traduction.
Il n’en est plus question avec cette traduction en prose.
Par ailleurs, à la suite du texte sont compilés des commentaires explicatifs de la Bible, provenant cette fois d’un ouvrage de Pierre le Mangeur, un théologien du XIIe siècle.
C’est ce qui fait de cet ouvrage une vraie encyclopédie du Moyen Âge.
ÉDITIONS DES SAINTS PERES
Une aventure éditoriale sans précédent.
Jessica Nelson, cofondatrice des Éditions des Saints Pères et Xavier-Laurent Salvador, professeur de Lettres modernes à l’Université, ont décidé de rendre accessible à tous la Bible de Guyart des Moulins, une fascinante Bible du XIIIe siècle.
Nous les avons rencontrés.
Aleteia :
Quelle est la signification historique de la Bible de Guyart des Moulins ?
Xavier-Laurent Salvador :
C’est la première traduction intégrale de la Bible en français qui suive précisément le texte.
Depuis le XIe siècle, la Bible était racontée en français, mais sous forme de vers.
Cela permettait de réécrire les récits bibliques sans s’attarder sur les passages difficiles ou pouvant sembler en contradiction avec l’enseignement traditionnel.
Dans l’histoire de la langue, on dit que le vers peut mentir alors que la prose doit dire la vérité.
Écrire en vers permettait de s’arranger avec la vérité de la traduction.
Il n’en est plus question avec cette traduction en prose.
Par ailleurs, à la suite du texte sont compilés des commentaires explicatifs de la Bible, provenant cette fois d’un ouvrage de Pierre le Mangeur, un théologien du XIIe siècle.
C’est ce qui fait de cet ouvrage une vraie encyclopédie du Moyen Âge.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Le « saint Vincent de Paul de Marseille » bientôt béatifié ?
Le pape François a autorisé le 18 décembre 2017 la Congrégation pour les causes des saints à promulguer les décrets de reconnaissance d’un miracle ou du martyre de 18 personnes vénérables.
Parmi ces serviteurs de Dieu, un Français, le père Jean-Baptiste Fouque.
Surnommé « Le saint Vincent de Paul de Marseille », le père Jean-Baptiste Fouque (1851-1926), a dédié sa vie à l’action sociale et à la fondation d’œuvres, notamment une maison d’accueil pour jeunes filles, un centre pour garçons abandonnés, un restaurant pour domestiques et employées sans familles et une œuvre pour personnes âgées.
Le pape François a autorisé le 18 décembre 2017 la Congrégation pour les causes des saints à promulguer les décrets de reconnaissance d’un miracle ou du martyre de 18 personnes vénérables.
Parmi ces serviteurs de Dieu, un Français, le père Jean-Baptiste Fouque.
Surnommé « Le saint Vincent de Paul de Marseille », le père Jean-Baptiste Fouque (1851-1926), a dédié sa vie à l’action sociale et à la fondation d’œuvres, notamment une maison d’accueil pour jeunes filles, un centre pour garçons abandonnés, un restaurant pour domestiques et employées sans familles et une œuvre pour personnes âgées.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Frère Venard :
« On peut affirmer que Jésus n’est d’aucun parti aujourd’hui »
Le soir du 24 décembre, France 2 a tenté en quelques minutes une fresque « politique » de la vie de Jésus.
« De quel parti était le Nazaréen ? » :
Iinterrogé par la chaîne française, le dominicain Olivier-Thomas Venard, professeur de Nouveau Testament et vice-directeur de l’École biblique de Jérusalem, nous en dit un peu plus long…
Aleteia :
Jésus était-il un révolutionnaire ? Un agitateur ?
Frère Olivier-Thomas Venard :
Si un révolutionnaire est quelqu’un qui use de violence, non, ce ne fut pas le cas de Jésus, à la différence d’autres Judéens ou Galiléens de son époque ou des « zélotes » qui luttèrent contre l’occupation romaine, dans la génération qui le suivit.
Cependant, le fait est que Jésus fut mis à mort comme un agitateur, avec sur son poteau d’exécution ce panneau d’accusation si énigmatique :
« INRI
Jésus de Nazareth roi des Juifs. »
Pour les Romains en charge du maintien de l’ordre en Judée, en même temps que d’une moquerie anti-juive, il s’agit clairement un motif politique.
Et de fait, à sa manière, Jésus renverse l’ordre établi et peut être décrit comme révolutionnaire.
« On peut affirmer que Jésus n’est d’aucun parti aujourd’hui »
Le soir du 24 décembre, France 2 a tenté en quelques minutes une fresque « politique » de la vie de Jésus.
« De quel parti était le Nazaréen ? » :
Iinterrogé par la chaîne française, le dominicain Olivier-Thomas Venard, professeur de Nouveau Testament et vice-directeur de l’École biblique de Jérusalem, nous en dit un peu plus long…
Aleteia :
Jésus était-il un révolutionnaire ? Un agitateur ?
Frère Olivier-Thomas Venard :
Si un révolutionnaire est quelqu’un qui use de violence, non, ce ne fut pas le cas de Jésus, à la différence d’autres Judéens ou Galiléens de son époque ou des « zélotes » qui luttèrent contre l’occupation romaine, dans la génération qui le suivit.
Cependant, le fait est que Jésus fut mis à mort comme un agitateur, avec sur son poteau d’exécution ce panneau d’accusation si énigmatique :
« INRI
Jésus de Nazareth roi des Juifs. »
Pour les Romains en charge du maintien de l’ordre en Judée, en même temps que d’une moquerie anti-juive, il s’agit clairement un motif politique.
Et de fait, à sa manière, Jésus renverse l’ordre établi et peut être décrit comme révolutionnaire.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
L’Épiphanie 2018, rendez-vous de prière et solidarité avec les Églises d’Afrique
© Fondation Jean Paul II pour le Sahel
Le 7 janvier prochain aura lieu la Quête de l’Épiphanie 2018 pour les Églises en Afrique, un moment privilégié pour une solidarité plus marquée à leur endroit.
Dans la plupart des diocèses à travers le monde, la quête de l’Epiphanie 2018 — célébrée le dimanche 7 janvier — sera affectée aux besoins de l’Eglise d’Afrique.
À quelques mois du prochain synode des évêques sur les jeunes, cette quête s’inscrit dans une démarche de réflexion et de prière axée tout particulièrement sur la jeunesse africaine qui a particulièrement « soif de démocratie, en opposition à la corruption et à la violence qui gangrènent nombre de gouvernements africains », souligne l’association de soutien Aide aux Églises d’Afrique chargée de la gestion et de la distribution de fonds.
Une jeunesse « parfois déboussolée », poursuit l’association, une jeunesse qui « a soif d’une vie normale, en opposition à la misère liée au chômage ou à la faim ; soif de vivre en paix dans leurs pays, en opposition aux risques graves qu’ils osent prendre — malgré tout — en quittant leurs pays, pour des rêves vite déçus » dans des pays qui « bien souvent » ne peuvent plus, ou ne veulent plus, les accueillir.
*
Thème de la Quête cette année :
« Jeunes d’Afrique, témoins de l’Évangile », pour tous ces jeunes de tous milieux qui osent dire et vivre leur foi souvent au péril de leur vie.
© Fondation Jean Paul II pour le Sahel
Le 7 janvier prochain aura lieu la Quête de l’Épiphanie 2018 pour les Églises en Afrique, un moment privilégié pour une solidarité plus marquée à leur endroit.
Dans la plupart des diocèses à travers le monde, la quête de l’Epiphanie 2018 — célébrée le dimanche 7 janvier — sera affectée aux besoins de l’Eglise d’Afrique.
À quelques mois du prochain synode des évêques sur les jeunes, cette quête s’inscrit dans une démarche de réflexion et de prière axée tout particulièrement sur la jeunesse africaine qui a particulièrement « soif de démocratie, en opposition à la corruption et à la violence qui gangrènent nombre de gouvernements africains », souligne l’association de soutien Aide aux Églises d’Afrique chargée de la gestion et de la distribution de fonds.
Une jeunesse « parfois déboussolée », poursuit l’association, une jeunesse qui « a soif d’une vie normale, en opposition à la misère liée au chômage ou à la faim ; soif de vivre en paix dans leurs pays, en opposition aux risques graves qu’ils osent prendre — malgré tout — en quittant leurs pays, pour des rêves vite déçus » dans des pays qui « bien souvent » ne peuvent plus, ou ne veulent plus, les accueillir.
*
Thème de la Quête cette année :
« Jeunes d’Afrique, témoins de l’Évangile », pour tous ces jeunes de tous milieux qui osent dire et vivre leur foi souvent au péril de leur vie.
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Un bon moyen pour soutenir les prêtres dans leur vocation
Les volontaires de l'Alliance saint Jean-Marie Vianney, présents dans le monde entier, se relaient pour prier et jeûner à l’intention de prêtres confrontés à de grandes difficultés et souffrances.
L’Alliance saint Jean-Marie Vianney, a été initiée par un groupe de fidèles laïcs et un prêtre espagnol, convaincus au plus profond de la puissance de la prière pour soutenir la vocation des prêtres.
La plupart de ces prêtres connaissent, ou ont connu, des difficultés : abandon de la prêtrise ou autres incidents portant atteinte à la fidélité de leur vocation, maladie, décès…
L’esprit de l’Alliance est avant tout de consoler le Cœur Sacerdotal de Jésus, plus fortement blessé par ceux qu’Il a choisi pour les élever à être Lui-même.
Son principe :
Jeûner et Prier par groupes de six, dix ou douze personnes, en se relayant jour et nuit, à l’exception des dimanches et des temps liturgiques de joie comme à Noël et la période de joie pascale.
Les volontaires de l'Alliance saint Jean-Marie Vianney, présents dans le monde entier, se relaient pour prier et jeûner à l’intention de prêtres confrontés à de grandes difficultés et souffrances.
L’Alliance saint Jean-Marie Vianney, a été initiée par un groupe de fidèles laïcs et un prêtre espagnol, convaincus au plus profond de la puissance de la prière pour soutenir la vocation des prêtres.
La plupart de ces prêtres connaissent, ou ont connu, des difficultés : abandon de la prêtrise ou autres incidents portant atteinte à la fidélité de leur vocation, maladie, décès…
L’esprit de l’Alliance est avant tout de consoler le Cœur Sacerdotal de Jésus, plus fortement blessé par ceux qu’Il a choisi pour les élever à être Lui-même.
Son principe :
Jeûner et Prier par groupes de six, dix ou douze personnes, en se relayant jour et nuit, à l’exception des dimanches et des temps liturgiques de joie comme à Noël et la période de joie pascale.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Vers la béatification de « l’Ange des clochards »
Que je n'aime pas ce mot "clochard" mais bon c'est dans l'article
L’archidiocèse de Milan ouvre la phase diocésaine de la cause en béatification du frère camillien Ettore Boschini. Pour tant de croyants et non croyants, sa sainteté est une évidence.
L’archevêque de Milan, Mgr Mario Delpini, a ouvert le 19 décembre dernier la phase diocésaine de la cause en béatification du serviteur de Dieu Ettore Boschini, camillien, qui a dépensé toute sa vie auprès des plus démunis en Lombardie, sa région d’origine, mais également dans toute l’Italie et en Colombie — « parce que des pauvres il y en a partout », disait-il — où tant de centres poursuivent son action.
Source et Suite
Que je n'aime pas ce mot "clochard" mais bon c'est dans l'article
L’archidiocèse de Milan ouvre la phase diocésaine de la cause en béatification du frère camillien Ettore Boschini. Pour tant de croyants et non croyants, sa sainteté est une évidence.
L’archevêque de Milan, Mgr Mario Delpini, a ouvert le 19 décembre dernier la phase diocésaine de la cause en béatification du serviteur de Dieu Ettore Boschini, camillien, qui a dépensé toute sa vie auprès des plus démunis en Lombardie, sa région d’origine, mais également dans toute l’Italie et en Colombie — « parce que des pauvres il y en a partout », disait-il — où tant de centres poursuivent son action.
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Quelle est la seule partie de l’Europe où le nombre de catholiques progresse ?
Quelle est la seule partie de l’Europe où le nombre de catholiques progresse ?
En Suède, "ceux qui deviennent catholiques veulent vraiment trouver la Vérité, car il y a un très fort relativisme" souligne Anders Arborelius, l'unique cardinal scandinave.
Créé cardinal par le pape François lors du consistoire du 28 juin 2017, le cardinal Anders Arborelius, évêque de Stockholm (Suède) a pris possession le 6 décembre dernier de son église titulaire de Sainte-Marie-des-Anges-et-des-Martyrs à Rome (Italie).
Il nous éclaire sur la situation des catholiques en Suède.
Quel a été l’impact de la visite du pape François en Suède en octobre-novembre 2016 ?
Ce fut une visite très importante pour tout le monde, et spécialement pour les catholiques, qui ont été encouragés.
Mais aussi pour les autres chrétiens, qui de plus en plus regardent le pape François comme un symbole de l’unité entre chrétiens.
D’une certaines manière, ils peuvent s’identifier avec son message, avec sa personne.
Cela ne signifie pas qu’ils acceptent tout le bagage dogmatique catholique, mais ils regardent le pontife comme la personne du dialogue entre tous les chrétiens.
En Suède, "ceux qui deviennent catholiques veulent vraiment trouver la Vérité, car il y a un très fort relativisme" souligne Anders Arborelius, l'unique cardinal scandinave.
Créé cardinal par le pape François lors du consistoire du 28 juin 2017, le cardinal Anders Arborelius, évêque de Stockholm (Suède) a pris possession le 6 décembre dernier de son église titulaire de Sainte-Marie-des-Anges-et-des-Martyrs à Rome (Italie).
Il nous éclaire sur la situation des catholiques en Suède.
Quel a été l’impact de la visite du pape François en Suède en octobre-novembre 2016 ?
Ce fut une visite très importante pour tout le monde, et spécialement pour les catholiques, qui ont été encouragés.
Mais aussi pour les autres chrétiens, qui de plus en plus regardent le pape François comme un symbole de l’unité entre chrétiens.
D’une certaines manière, ils peuvent s’identifier avec son message, avec sa personne.
Cela ne signifie pas qu’ils acceptent tout le bagage dogmatique catholique, mais ils regardent le pontife comme la personne du dialogue entre tous les chrétiens.
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Pérou
Des détenus fabriquent 300 000 chapelets pour la visite du Pape
Plusieurs centaines de détenus, encouragés par les organisateurs à ne pas avoir honte de leur condition, prennent très à cœur leur engagement et se donnent à fond.
Ces trois derniers mois, quelques 650 détenus péruviens ne chôment pas.
Dans la perspective de la visite du pape François dans leur pays du 18 au 21 janvier prochain, des prisonniers, hommes et des femmes, issus d’une douzaine de centres de détention ont confectionné environ 300 000 chapelets de leurs propres mains.
Ils sont destinées aux différents événements et célébrations qui jalonneront le voyage du Saint-Père.
L’initiative a été prise par l’Institut national pénitentiaire, en coordination avec l’archidiocèse de Lima, rapporte Fides.
Elle donne à tous ces détenus le sentiment de faire partie intégrante de ce grand climat de joie et d’espérance qui caractérise les voyages du Saint-Père depuis le début de son pontificat.
Les ventes de ces chapelets, aideront entre autres à couvrir les frais de l’organisation du voyage soutenue par l’Église de Lima, dont ceux des quelques 20 000 jeunes bénévoles recrutés pour en assurer le bon fonctionnement.
Une autre partie des fonds ira aux détenus eux-mêmes qui font partie du programme à l’intérieur de ces prisons dites « productives ».
Des détenus fabriquent 300 000 chapelets pour la visite du Pape
Plusieurs centaines de détenus, encouragés par les organisateurs à ne pas avoir honte de leur condition, prennent très à cœur leur engagement et se donnent à fond.
Ces trois derniers mois, quelques 650 détenus péruviens ne chôment pas.
Dans la perspective de la visite du pape François dans leur pays du 18 au 21 janvier prochain, des prisonniers, hommes et des femmes, issus d’une douzaine de centres de détention ont confectionné environ 300 000 chapelets de leurs propres mains.
Ils sont destinées aux différents événements et célébrations qui jalonneront le voyage du Saint-Père.
L’initiative a été prise par l’Institut national pénitentiaire, en coordination avec l’archidiocèse de Lima, rapporte Fides.
Elle donne à tous ces détenus le sentiment de faire partie intégrante de ce grand climat de joie et d’espérance qui caractérise les voyages du Saint-Père depuis le début de son pontificat.
Les ventes de ces chapelets, aideront entre autres à couvrir les frais de l’organisation du voyage soutenue par l’Église de Lima, dont ceux des quelques 20 000 jeunes bénévoles recrutés pour en assurer le bon fonctionnement.
Une autre partie des fonds ira aux détenus eux-mêmes qui font partie du programme à l’intérieur de ces prisons dites « productives ».
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Re: Eglise et Décryptage!!!!
Pourquoi les hosties ne peuvent pas se passer de gluten ?
L'Eucharistie est réalisée avec du pain azyme, et le simili pain qui ne contient plus de trace de gluten ne peut pas lui être substitué.
Comment l'Église justifie-t-elle cette exigence ?
Dans une lettre adressée à tous les présidents des conférences épiscopales, le cardinal Ratzinger — le futur Benoît XVI — rappelait en 2003 les règles émises par la congrégation de la doctrine de la foi.
Le texte prévoit tous les cas d’intolérance au pain ou au vin, afin que personne ne soit privé de communion eucharistique, pour des raisons de problèmes de santé.
Les pains contenant seulement des traces de gluten sont considérés comme des matières valides, et les intolérants complets peuvent communier au seul vin.
Mais les hosties totalement privées de gluten sont considérées comme « matière invalide ».
Le père Gilles Drouin, prêtre chargé d’enseignement au séminaire d’Issy-les-Moulineaux, nous explique l’intransigeance de la Congrégation.
L'Eucharistie est réalisée avec du pain azyme, et le simili pain qui ne contient plus de trace de gluten ne peut pas lui être substitué.
Comment l'Église justifie-t-elle cette exigence ?
Dans une lettre adressée à tous les présidents des conférences épiscopales, le cardinal Ratzinger — le futur Benoît XVI — rappelait en 2003 les règles émises par la congrégation de la doctrine de la foi.
Le texte prévoit tous les cas d’intolérance au pain ou au vin, afin que personne ne soit privé de communion eucharistique, pour des raisons de problèmes de santé.
Les pains contenant seulement des traces de gluten sont considérés comme des matières valides, et les intolérants complets peuvent communier au seul vin.
Mais les hosties totalement privées de gluten sont considérées comme « matière invalide ».
Le père Gilles Drouin, prêtre chargé d’enseignement au séminaire d’Issy-les-Moulineaux, nous explique l’intransigeance de la Congrégation.
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