LES ULTIMES "CADEAUX" DE GEORGE W. BUSH

Obama nous promet des lendemains qui déchantent, mais l'autre vieux dictateur n'a pas encore dit son dernier mot ! Bush souhaite en effet causer du tort à son peuple et au monde entier jusqu'au dernier moment... Quel répugnant personnage !


CRAPULEUX : LES DERNIERS « CADEAUX » DE GEORGE W. BUSH A LA SOCIETE AMERICAINE ET AU MONDE DURANT SES 100 DERNIERS JOURS DE POUVOIR !!!



Chers amis,


Une chose est absolument certaine en ce qui concerne la politique américaine : George W. Bush restera dans l’histoire des USA et du monde un président maudit, pourri jusqu’au trognon, caligulesque, sanguinaire, liberticide et totalitaire. Ce triste sire est parvenu, à lui seul et en quelques années, par le truchement d’élections remportées de façon frauduleuse en 2000, à mettre en place le plus grand crime de terrorisme d’état jamais organisé (le 11 septembre 2001), à mener des guerres aussi coûteuses qu’inutiles, et à faire supprimer les libertés dans son pays et dans le monde ! Il est donc clair que les justes garderont de ce dirigeant diabolique une image très sombre.

IL RESTE A CE DICTATEUR QUELQUE 100 JOURS AVANT DE PASSER LE POUVOIR A OBAMA, 100 JOURS PENDANT LESQUELS IL VA ENCORE SE MAINTENIR AU POUVOIR ET PENDANT LESQUELS IL PEUT ENCORE FAIRE TOUT LE MAL POSSIBLE ET IMAGINABLE AUTOUR DE LUI, CE DONT IL NE VA PAS SE PRIVER, COMME L’ARTICLE CI-DESSOUS NOUS LE REVELE.

Cet article pèche par l’espoir irraisonné, utopique et faux que les Américains placent en Barack Obama (nous avons vu précédemment, en détail, qu’Obama se placera hélas dans la continuité de Bush).

Néanmoins, il nous signale amplement que BUSH EST EN TRAIN DE TOUT FAIRE POUR METTRE DES BATONS DANS LES ROUES DE SON SUCCESSEUR, ET POUR CREER LE PLUS DE TROUBLES POSSIBLES ! ENCOURAGEMENT DES INEPTIES ECONOMIQUES, DEPENSES AFIN DE RECOMPENSER LES « AMIS » ET LES SPONSORS, DILAPIDATION DU FRIC PAR LES MILITAIRES, CONSOLIDATION DU POUVOIR DES MEGABANQUES, AFFAIBLISSEMENT DES REGLES VISANT A PROTEGER LES CONSOMMATEURS ET L'ENVIRONNEMENT… SONT AUTANT DE POINTS MALVEILLANTS QUI FONT PARTIE DES PROJETS POUR LES 100 DERNIERS JOURS DE POUVOIR DE GEORGE W. BUSH !

Bush est si dangereux qu’il pourrait encore commettre des faits excessivement graves d’ici la passation de pouvoir à Obama.

L’avenir des Etats-Unis reste de toute façon extrêmement ténébreux, puisque nous avons vu que le nouveau président (Obama) possède déjà des buts guerriers, belliqueux et liberticides, et est vendu aux mêmes élites mondialistes que son prédécesseur.

A moins d’une révolution rapide, les USA et le monde ne sont décidément pas sortis de l’auberge !

L’article, traduit pour vous en français, ci-dessous…

BONNE REVOLUTION… OU BON ESCLAVAGE ! Vic.



Source: http://www.informationclearinghouse.info/article21151.htm

LES 100 DERNIERS JOURS DE BUSH SONT CEUX QUI SONT A SURVEILLER


Par Jesse Jackson

Le 4 novembre 2008 "Chicago Sun-Times" (cf. http://www.suntimes.com/news/jackson/1258113,CST-EDT-jesse04.article ) - L'air craque d’anticipation. Les doigts sont croisés. Il est difficile de respirer. L’espoir, si longtemps enfermé dans un placard, commence marteler à la porte.

Et lançant la prudence dans le vent, beaucoup sont déjà en train de parler des 100 premiers jours de Barack Obama. Va-t-il placer directement à l'ordre du jour l’investissement Apollo, fournir l'argent pour la refonte des bâtiments, mettre en application l'utilisation des énergies renouvelables et créer des emplois en même temps afin de réduire notre dépendance du pétrole étranger? Va-t-il présenter un plan de soins de santé exhaustif, ou commencer par couvrir tous les enfants? Donnera-t-on enfin aux travailleurs enfin le droit de se syndiquer, une fois de plus? Comment va-t-il traiter les mesures de secours concernant l'hypothèque et/ou aider les villes accablées par la pauvreté?

Mais alors même que nos esprits, contre toute discipline, regardent au-delà de cette journée pour la victoire possible et le changement, nous ferions mieux de commencer à payer attention sur une autre période de 100 jours – celle des derniers mois en fonction du président Bush.

Bush et son vice-président Cheney, représentent une ère conservatrice qui a échoué - et ils le savent. Alors que l'administration aborde ses 100 derniers jours, il semble y avoir un regain d'activité: des règlements afin de devancer la nouvelle ère de responsabilité d’Obama; une avalanche de contrats pour récompenser des amis et un verrouillage dans les engagements, un sauvetage de Wall Street qui pompe l'argent par la fenêtre.

Réfléchissez à ceci : le secrétaire du Trésor Henry Paulson est en train de remettre $ 350 milliards pour les banques, dessinant un cercle spécial autour de neuf banques - y compris Goldman Sachs, l'entreprise qu’il dirigeait précédemment - clairement trop grand que pour échouer. Cet argent n’a apparemment pas de conditions, bien que tout le but était que les banques recommencent à prêter une fois de plus l'une à l'autre, aux entreprises et aux particuliers.

A présent, il semble que les banques projettent d'accumuler l'argent cash, de l'utiliser pour aider à payer des fusions avec les autres banques en bonne santé (pas les banques faibles), ou de verser des dividendes et des primes. Et Paulson, au lieu de les réprimander publiquement, a fait savoir que les fusions seraient une bonne chose.

Au lieu de refaire travailler le système bancaire pour les petites entreprises et les gens, notre argent est utilisé pour consolider la force de quelques mégabanques.

Il ya eu une augmentation rapide des dépenses militaires au cours des derniers mois. Le Pentagone est-il en train d’être appelé pour aider à soutenir l'économie - et peut-être McCain - durant ces dernières semaines? Ou, plus probablement, est-ce que le Pentagone pompe du fric pour récompenser ses amis et pour placer un verrou sur ses dépenses avant que le nouveau shérif arrive en ville?

Le Washington Post rapporte que la Maison-Blanche "travaille afin de faire adopter une série de règlements fédéraux, dont un grand nombre aurait pour effet d'affaiblir les règles visant à protéger les consommateurs et l'environnement, avant que le Président Bush quitte ses fonctions en janvier".

Environ 90 nouvelles règles sont en préparation, et au moins neuf sont considérées comme étant « économiquement significatives » car elles imposeraient des coûts ou promouvraient des avantages que la société qui dépassent 100 millions $ par an. Beaucoup d’entre elles apporteront des changements que la nouvelle administration aura du mal à inverser pour les années à venir. Davantage d’émissions provenant des centrales électriques, davantage d’exemptions provenant des déclarations ayant un impact sur l’environnement; l'autorisation d'exploiter les lignes de gaz naturel à des niveaux plus élevés de pression - ces changements pourraient être les dernières calamités placées sur nous par l'administration Bush.

Le Congrès - l'ancien, pas le nouveau qui vient juste d'être élu - revient en session extraordinaire juste après l'élection. Les représentants Henry Waxman et John Conyers seraient bien inspirés de convoquer des audiences spéciales pour essayer de freiner ce que Bush a préparé pour ses 100 derniers jours. Ne laissons pas la nouvelle aube qui est possible être assombrie par les nuages qui subsistent d’une vieille époque qui a échoué.