AVORTEMENT
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Gaëlle
Michael 7
seamus7
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invité1- Combat avec Sainte Marie
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Re: AVORTEMENT
Superbe chant ! Qui sont ces frères Martineau ? Jamais entendu parler (ce qui n'a rien d'étonnant d'ailleurs)
seamus7- Combat avec l'Archange Michel
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Re: AVORTEMENT
5ie commandement:
Homicide point ne seras,
De fait ni volontairement.
L'avortement est un meurtre quoiqu'en dise les pro-choix.
Michael :roll:
Homicide point ne seras,
De fait ni volontairement.
L'avortement est un meurtre quoiqu'en dise les pro-choix.
Michael :roll:
Michael 7- Aime le Rosaire
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Re: AVORTEMENT
Un terme qui ne reflète d’ailleurs que la lâcheté de ces gens-là. Pro-mort serait plus adéquat. Mais si peu politiquement correct…Michael 7 a écrit:5ie commandement:
Homicide point ne seras,
De fait ni volontairement.
L'avortement est un meurtre quoiqu'en dise les pro-choix.
Michael :roll:
seamus7- Combat avec l'Archange Michel
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Re: AVORTEMENT
Voici une vidéo d'une pro-avortement...
La jeune femme utilise certains mots sans en connaître le sens :"discernement, avortement dans de bonnes conditions, éducation sexuelle", etc"
A l'écouter, tout est truqué, ceux qui défendent la Vie sont des manipulateurs, et un avortement est en réalité quelque chose de bénin, non sanglant, qui se fait dans de "bonnes conditions" et que de toute façon un foetus de 2 mois ne ressemble encore à rien...
et pour se renseigner sur l'avortement.... un petit détour par la bibliothèque du quartier !
Et l'éducation sexuelle... quand on pense que de nos jours, dans les écoles, on apprend à des enfants de CM2 dans une école catholique, vous ne rêvez pas (!) à enfiler un préservatif sur un tube de colle.... si c'est ça l'éducation sexuelle.... après on se demande pourquoi tant de jeunes sont pro-avortement, avortent, luttent pour ce "droit", sont paumés, etc. Ce n'est pas leur faute ! C'est notre société antichrist qui l'a voulu ainsi !
Tout cela est bien triste ! Et en attendant tant de bébés tués... et tant de souffrances car bien des mamans regrettent.
Le tout exprimé sur un ton glacé, n'est-ce pas ?!
Mim
La jeune femme utilise certains mots sans en connaître le sens :"discernement, avortement dans de bonnes conditions, éducation sexuelle", etc"
A l'écouter, tout est truqué, ceux qui défendent la Vie sont des manipulateurs, et un avortement est en réalité quelque chose de bénin, non sanglant, qui se fait dans de "bonnes conditions" et que de toute façon un foetus de 2 mois ne ressemble encore à rien...
et pour se renseigner sur l'avortement.... un petit détour par la bibliothèque du quartier !
Et l'éducation sexuelle... quand on pense que de nos jours, dans les écoles, on apprend à des enfants de CM2 dans une école catholique, vous ne rêvez pas (!) à enfiler un préservatif sur un tube de colle.... si c'est ça l'éducation sexuelle.... après on se demande pourquoi tant de jeunes sont pro-avortement, avortent, luttent pour ce "droit", sont paumés, etc. Ce n'est pas leur faute ! C'est notre société antichrist qui l'a voulu ainsi !
Tout cela est bien triste ! Et en attendant tant de bébés tués... et tant de souffrances car bien des mamans regrettent.
Le tout exprimé sur un ton glacé, n'est-ce pas ?!
Mim
invité1- Combat avec Sainte Marie
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Re: AVORTEMENT
Site très intéressant pour s'informer sur l'avortement
http://laissezlesvivre.free.fr/sosfm/avortement.htm
Une grossesse vous préoccupe ?
Vous ne savez pas à qui confier vos problèmes ?
Notre service SOS FUTURES MÈRES vous apportera aide discrète, bénévole et efficace pour vous et votre enfant !
À L'INITIATIVE DE LAISSEZ-LES-VIVRE, LE SERVICE SOS FUTURES MÈRES EST À L'ŒUVRE DEPUIS 1972
Créée à l'assemblée constitutive du 27 novembre 1970 (déclaration légale au J.O. du 21 janvier 1971), l'association Laissez-les-Vivre est la plus ancienne de toutes les associations spécifiquement pro-vie qui existent aujourd'hui. Elle a, la première, constitué un corpus doctrinal sur les divers aspects de la lutte contre l'avortement légal et entendu, dès l'origine, compléter ce travail par l'aide concrète aux futures mères menacées par l'avortement.
Alors que l'on n'en était encore qu'à la préparation psychologique de l'opinion en vue de lui faire accepter la loi Veil, et que la pratique de l'avortement se réfugiait dans la clandestinité, le professeur Paul Chauchard, alors président de Laissez-les-Vivre, écrivait, dans le premier éditorial, du Courrier ( n° l, janvier 1971, p.3), sous le titre Au-delà des interdictions et des autorisations : « La femme qui se découvre enceinte et pense que cela ne lui est pas possible, a besoin immédiatement d'une aide psychologique, d'un soutien, d'une amitié cordiale. Elle aura certes besoin d'une aide matérielle, mais immédiatement il faut la sortir de l'angoisse et de l'affolement. L'expérience montre qu'un appui affectif et affectueux qui ne donne pas de " bons " conseils ou des directives moralistes aide à se reprendre, y voir clair et trouver la possibilité d'accepter l'enfant. (...) Prenons donc conscience de notre responsabilité dans les avortements qui se passent à notre insu dans notre quartier. Nous pouvons dès aujourd'hui les empêcher, si nous y croyons, jusqu'à accepter de perdre notre temps pour cette entraide, qui ne s'arrête pas à la naissance. (...) Face à l'engagement des militants de l'avortement, nous avons besoin de l'engagement passionné de militants faisant l'impossible pour aider les mères désespérées à pouvoir assumer leur maternité ».
Immédiatement, surtout après la grande réunion de la Mutualité du 5 mars 1971, tenue sous la présidence de Mme Marie-Madeleine Dienesch, ancien secrétaire d'État à l'Action Sociale, LLV reçut « le S.O.S. de futures mères qui voulaient sauver leur enfant des pressions d'un entourage enclin à l'avortement. Très naturellement ces futures mères attendaient que LLV prenne fait et cause avec elles, dans la lutte pour la vie ». (Courrier n° 14)
C'est donc selon ces objectifs et pour répondre à des demandes instantes que, dès avant la loi Veil se structura empiriquement et se développa une activité d'aide et de solidarité visant à faciliter l'accueil de l'enfant. Dans le numéro 8 du Courrier (novembre-décembre 1972), une brève note indique l'orientation prise par cette activité : « Notre service "S.O.S. futures mères" prend une importance croissante. Il aura permis, en 1972 le sauvetage, avec leur enfant, de plusieurs jeunes femmes en détresse dont, pour certaines, l'entourage exigeait l'avortement ». Avec l'expression "SOS Futures Mères", appelée à la notoriété, qui apparaît ici pour la première fois, s'institutionnalise donc peu à peu la pratique elle-même, au point que, en 1975, l'année de la loi Veil, il apparut indispensable de modifier officiellement le nom de Laissez-les-Vivre en Laissez-les-Vivre - SOS Futures Mères.
Actuellement la structure du mouvement est constituée de délégations régionales ou départementales et d'un réseau national d'antennes téléphoniques en renouvellement permanent et constamment tenu à jour, où les répondantes du SOS Futures Mères sont au service des futures mamans qui font appel à elles, soit pour se faire soutenir en vue de pouvoir mener à terme leur grossesse, soit pour se faire aider à accueillir dignement leur enfant. Il s'agit présentement du plus ancien réseau de France, mis en place en vue de l'aide à la maternité et son action est, pour ainsi dire, quotidienne. Sa responsable actuelle, une ancienne infirmière en chef du service néonatal d'un hôpital public, est la quatrième depuis la création du service SOS Futures Mères de LLV - SOS FM. Le réseau qu'elle anime est soutenu par un ensemble de personnes qui, à travers la France, tricotent des layettes ou des petites couvertures, s'emploient à diriger vers nous les dons d'objets de bébé de première nécessité qui nous permettent des assistances immédiates. La brochure du XXVème anniversaire (1996) : Mon bébé m'a sauvée du trou noir relate quelques cas significatifs des sauvetages auxquels le SOS Futures Mères a participé ces dernières années.
Association qui propose un service SOS futures mères :
http://laissezlesvivre.free.fr/sosfm/antennes_sos.htm
http://laissezlesvivre.free.fr/sosfm/avortement.htm
Une grossesse vous préoccupe ?
Vous ne savez pas à qui confier vos problèmes ?
Notre service SOS FUTURES MÈRES vous apportera aide discrète, bénévole et efficace pour vous et votre enfant !
À L'INITIATIVE DE LAISSEZ-LES-VIVRE, LE SERVICE SOS FUTURES MÈRES EST À L'ŒUVRE DEPUIS 1972
Créée à l'assemblée constitutive du 27 novembre 1970 (déclaration légale au J.O. du 21 janvier 1971), l'association Laissez-les-Vivre est la plus ancienne de toutes les associations spécifiquement pro-vie qui existent aujourd'hui. Elle a, la première, constitué un corpus doctrinal sur les divers aspects de la lutte contre l'avortement légal et entendu, dès l'origine, compléter ce travail par l'aide concrète aux futures mères menacées par l'avortement.
Alors que l'on n'en était encore qu'à la préparation psychologique de l'opinion en vue de lui faire accepter la loi Veil, et que la pratique de l'avortement se réfugiait dans la clandestinité, le professeur Paul Chauchard, alors président de Laissez-les-Vivre, écrivait, dans le premier éditorial, du Courrier ( n° l, janvier 1971, p.3), sous le titre Au-delà des interdictions et des autorisations : « La femme qui se découvre enceinte et pense que cela ne lui est pas possible, a besoin immédiatement d'une aide psychologique, d'un soutien, d'une amitié cordiale. Elle aura certes besoin d'une aide matérielle, mais immédiatement il faut la sortir de l'angoisse et de l'affolement. L'expérience montre qu'un appui affectif et affectueux qui ne donne pas de " bons " conseils ou des directives moralistes aide à se reprendre, y voir clair et trouver la possibilité d'accepter l'enfant. (...) Prenons donc conscience de notre responsabilité dans les avortements qui se passent à notre insu dans notre quartier. Nous pouvons dès aujourd'hui les empêcher, si nous y croyons, jusqu'à accepter de perdre notre temps pour cette entraide, qui ne s'arrête pas à la naissance. (...) Face à l'engagement des militants de l'avortement, nous avons besoin de l'engagement passionné de militants faisant l'impossible pour aider les mères désespérées à pouvoir assumer leur maternité ».
Immédiatement, surtout après la grande réunion de la Mutualité du 5 mars 1971, tenue sous la présidence de Mme Marie-Madeleine Dienesch, ancien secrétaire d'État à l'Action Sociale, LLV reçut « le S.O.S. de futures mères qui voulaient sauver leur enfant des pressions d'un entourage enclin à l'avortement. Très naturellement ces futures mères attendaient que LLV prenne fait et cause avec elles, dans la lutte pour la vie ». (Courrier n° 14)
C'est donc selon ces objectifs et pour répondre à des demandes instantes que, dès avant la loi Veil se structura empiriquement et se développa une activité d'aide et de solidarité visant à faciliter l'accueil de l'enfant. Dans le numéro 8 du Courrier (novembre-décembre 1972), une brève note indique l'orientation prise par cette activité : « Notre service "S.O.S. futures mères" prend une importance croissante. Il aura permis, en 1972 le sauvetage, avec leur enfant, de plusieurs jeunes femmes en détresse dont, pour certaines, l'entourage exigeait l'avortement ». Avec l'expression "SOS Futures Mères", appelée à la notoriété, qui apparaît ici pour la première fois, s'institutionnalise donc peu à peu la pratique elle-même, au point que, en 1975, l'année de la loi Veil, il apparut indispensable de modifier officiellement le nom de Laissez-les-Vivre en Laissez-les-Vivre - SOS Futures Mères.
Actuellement la structure du mouvement est constituée de délégations régionales ou départementales et d'un réseau national d'antennes téléphoniques en renouvellement permanent et constamment tenu à jour, où les répondantes du SOS Futures Mères sont au service des futures mamans qui font appel à elles, soit pour se faire soutenir en vue de pouvoir mener à terme leur grossesse, soit pour se faire aider à accueillir dignement leur enfant. Il s'agit présentement du plus ancien réseau de France, mis en place en vue de l'aide à la maternité et son action est, pour ainsi dire, quotidienne. Sa responsable actuelle, une ancienne infirmière en chef du service néonatal d'un hôpital public, est la quatrième depuis la création du service SOS Futures Mères de LLV - SOS FM. Le réseau qu'elle anime est soutenu par un ensemble de personnes qui, à travers la France, tricotent des layettes ou des petites couvertures, s'emploient à diriger vers nous les dons d'objets de bébé de première nécessité qui nous permettent des assistances immédiates. La brochure du XXVème anniversaire (1996) : Mon bébé m'a sauvée du trou noir relate quelques cas significatifs des sauvetages auxquels le SOS Futures Mères a participé ces dernières années.
Association qui propose un service SOS futures mères :
http://laissezlesvivre.free.fr/sosfm/antennes_sos.htm
invité1- Combat avec Sainte Marie
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Re: AVORTEMENT
:puker: Ecoeurant ! :pukel: Cette pauvre conne se voit sans doute en héroïne des temps modernes, libératrice de la femme et de sa servitude millénaire… Pauvre petite cervelle formatée, incapable du moindre raisonnement et ne sachant que répéter en boucle le programme qu’on lui a implanté !MadameMim a écrit:Voici une vidéo d'une pro-avortement...
La jeune femme utilise certains mots sans en connaître le sens :"discernement, avortement dans de bonnes conditions, éducation sexuelle", etc"
A l'écouter, tout est truqué, ceux qui défendent la Vie sont des manipulateurs, et un avortement est en réalité quelque chose de bénin, non sanglant, qui se fait dans de "bonnes conditions" et que de toute façon un foetus de 2 mois ne ressemble encore à rien...
et pour se renseigner sur l'avortement.... un petit détour par la bibliothèque du quartier !
Et l'éducation sexuelle... quand on pense que de nos jours, dans les écoles, on apprend à des enfants de CM2 dans une école catholique, vous ne rêvez pas (!) à enfiler un préservatif sur un tube de colle.... si c'est ça l'éducation sexuelle.... après on se demande pourquoi tant de jeunes sont pro-avortement, avortent, luttent pour ce "droit", sont paumés, etc. Ce n'est pas leur faute ! C'est notre société antichrist qui l'a voulu ainsi !
Tout cela est bien triste ! Et en attendant tant de bébés tués... et tant de souffrances car bien des mamans regrettent.
Le tout exprimé sur un ton glacé, n'est-ce pas ?!
Mim
J’ai entendu, un 8 mars d’il y a 3 ou 4 ans, une oligophrène de la même espèce se plaindre carrément du mal qu’on les femmes à se faire avorter (sic), un discours dont elle ne mesurait même pas le ridicule 30 ans après la loi Veil…
seamus7- Combat avec l'Archange Michel
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Re: AVORTEMENT
http://www.calcatholic.com/news/newsArticle.aspx?id=c8131de3-7dd4-4207-b894-5babc35a34c8
“Abortion is a demonic industry,” he told the Philadelphia Bulletin. “Abortion is blood sacrifice of innocent blood to the devil. The clinics are like temples, the doctors are like priests, the medical table is like their altar. It’s a ritualized sacrifice. They have a dogma called choice, a hierarchy called Planned Parenthood, and guardian angels in the form of police guards that will arrest you if you try to stop them.”
"L'avortement est une industrie démoniaque", dit le Père Euteneuer, dans le Bulletin de Philadelphie.
"L'Avortement est un sacrifice sanglant de sang innocent au diable.
Les cliniques sont comme des temples,
les médecins comme des prêtres,
la table d'opération comme leur autel.
C'est un sacrifice ritualisé.
Ils ont un dogme nommé "choix",
une hiérarchie nommée "Planning Familial",
et des policiers pour anges gardiens qui vous arrêteront si vous tentez de les empêcher."
“Abortion is a demonic industry,” he told the Philadelphia Bulletin. “Abortion is blood sacrifice of innocent blood to the devil. The clinics are like temples, the doctors are like priests, the medical table is like their altar. It’s a ritualized sacrifice. They have a dogma called choice, a hierarchy called Planned Parenthood, and guardian angels in the form of police guards that will arrest you if you try to stop them.”
"L'avortement est une industrie démoniaque", dit le Père Euteneuer, dans le Bulletin de Philadelphie.
"L'Avortement est un sacrifice sanglant de sang innocent au diable.
Les cliniques sont comme des temples,
les médecins comme des prêtres,
la table d'opération comme leur autel.
C'est un sacrifice ritualisé.
Ils ont un dogme nommé "choix",
une hiérarchie nommée "Planning Familial",
et des policiers pour anges gardiens qui vous arrêteront si vous tentez de les empêcher."
invité1- Combat avec Sainte Marie
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Re: AVORTEMENT
Je n’avais pas vu les choses sous cet angle, mais c’est tout à fait vrai, l’IVG est une religion satanique finalement !
seamus7- Combat avec l'Archange Michel
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Re: AVORTEMENT
oui ! j'ai trouvé ça bien expliqué et ça peut servir pour démontrer l'horreur de l'avortement autour de soi !
A bientôt !
Mim
A bientôt !
Mim
invité1- Combat avec Sainte Marie
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Re: AVORTEMENT
Avortement : l'accès à l'IVG médicamenteuse facilitée à Paris
Publié le vendredi 28 août 2009 à 09h11
L'Interruption Volontaire de Grossesse (IVG) médicamenteuse va être accessible dans 5 plannings familiaux parisiens à partir du mois de septembre. Ce service facilitera les démarches des femmes qui veulent avorter.
Une femme qui veut interrompre sa grossesse est confrontée à de nombreux obstacles : en plus des difficultés psychologiques et émotionnelles liées à l'IVG, un parcours du combattant administratif et médical l'attend.
Avec la réforme des hôpitaux et leur système de rentabilisation de la pratique médicale, l'IVG n'est pas un acte "financièrement rentable", selon Michel Teboul, responsable du centre IVG de l'hôpital Broussais à Paris, qui vient de fermer.
Les établissements privés se désengagent de cet acte et sont de surcroît inaccessibles aux femmes les plus démunies. Les délais pour l'obtention d'un rendez-vous sont parfois très longs, trop longs pour un acte médical qui ne peut pas attendre.
Fatima Lalem, adjointe à la mairie de Paris chargée de l'égalité femmes-hommes dénonce une "offre de service défaillante" dans la capitale et une "dégradation" de l'accès à l'IVG. Elle pointe également du doigt les "tabous qui perdurent" et le "désinvestissement des médecins".
C'est pourquoi la mairie de Paris a décidé d'ouvrir 5 centres de planning familial à l'IVG médicamenteuse, qui peut être pratiquée jusqu'à 7 semaines d'aménorrhée (absence de règles) contre 14 semaines pour l'acte chirurgical. Les centres sont situés rue Ridder dans le 14 ème arrondissement, rue Curnonsky et rue Boursault dans le 17ème, rue Cavé dans le 18ème et rue Curial dans le 19ème.
Chaque année en France, entre 3 000 et 5 000 femmes doivent se rendre à l'étranger pour avorter, faute d'avoir pu obtenir un rendez-vous à temps pour pratiquer une IVG en France.
Lu sur :
http://www.vedura.fr/actualite/5619-avortement-acces-ivg-medicamenteuse-facilitee-paris
Il faut arrêter le massacre des tout-petits !!!
Pour vous informer sur l'actualité de l'avortement et les actions que l'on peut mener de notre côté, consultez régulièrement le site :
http://www.radio-silence.tv/index.php?menug=9&menuh=1
Lau
Publié le vendredi 28 août 2009 à 09h11
L'Interruption Volontaire de Grossesse (IVG) médicamenteuse va être accessible dans 5 plannings familiaux parisiens à partir du mois de septembre. Ce service facilitera les démarches des femmes qui veulent avorter.
Une femme qui veut interrompre sa grossesse est confrontée à de nombreux obstacles : en plus des difficultés psychologiques et émotionnelles liées à l'IVG, un parcours du combattant administratif et médical l'attend.
Avec la réforme des hôpitaux et leur système de rentabilisation de la pratique médicale, l'IVG n'est pas un acte "financièrement rentable", selon Michel Teboul, responsable du centre IVG de l'hôpital Broussais à Paris, qui vient de fermer.
Les établissements privés se désengagent de cet acte et sont de surcroît inaccessibles aux femmes les plus démunies. Les délais pour l'obtention d'un rendez-vous sont parfois très longs, trop longs pour un acte médical qui ne peut pas attendre.
Fatima Lalem, adjointe à la mairie de Paris chargée de l'égalité femmes-hommes dénonce une "offre de service défaillante" dans la capitale et une "dégradation" de l'accès à l'IVG. Elle pointe également du doigt les "tabous qui perdurent" et le "désinvestissement des médecins".
C'est pourquoi la mairie de Paris a décidé d'ouvrir 5 centres de planning familial à l'IVG médicamenteuse, qui peut être pratiquée jusqu'à 7 semaines d'aménorrhée (absence de règles) contre 14 semaines pour l'acte chirurgical. Les centres sont situés rue Ridder dans le 14 ème arrondissement, rue Curnonsky et rue Boursault dans le 17ème, rue Cavé dans le 18ème et rue Curial dans le 19ème.
Chaque année en France, entre 3 000 et 5 000 femmes doivent se rendre à l'étranger pour avorter, faute d'avoir pu obtenir un rendez-vous à temps pour pratiquer une IVG en France.
Lu sur :
http://www.vedura.fr/actualite/5619-avortement-acces-ivg-medicamenteuse-facilitee-paris
Il faut arrêter le massacre des tout-petits !!!
Pour vous informer sur l'actualité de l'avortement et les actions que l'on peut mener de notre côté, consultez régulièrement le site :
http://www.radio-silence.tv/index.php?menug=9&menuh=1
Lau
invité1- Combat avec Sainte Marie
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Fécondation "in vitro" = "avortement raffiné"
La fécondation in vitro, un "avortement raffiné"
Un projet de loi prévoyant une peine de prison pour le recours à la fécondation in vitro (FIV), sera examiné la semaine prochaine par le parlement polonais.
Initiative d'un groupe de citoyens "Contra in vitro", le projet a réuni en sa faveur plus de 160.000 signatures. Il propose que "toute personne dont l'action conduit à la fécondation in vitro" soit passible d'une peine de prison allant jusqu'à 3 ans.
Les évêques polonais ont notamment qualifié la fécondation in vitro de "sorte d'avortement raffiné" puisque cette méthode "fait périr de nombreux embryons" à chaque tentative. Dans Evangelium Vitae, Jean-Paul II écrivait (n°14) :
"Même les diverses techniques de reproduction artificielle, qui sembleraient être au service de la vie et qui sont des pratiques comportant assez souvent cette intention, ouvrent en réalité la porte à de nouveaux attentats contre la vie. Mis à part le fait qu'elles sont moralement inacceptables parce qu'elles séparent la procréation du contexte intégralement humain de l'acte conjugal, ces techniques enregistrent aussi de hauts pourcentages d'échec, non seulement en ce qui concerne la fécondation, mais aussi le développement ultérieur de l'embryon, exposé au risque de mort dans des délais généralement très brefs. En outre, on produit parfois des embryons en nombre supérieur à ce qui est nécessaire pour l'implantation dans l'utérus de la femme et ces « embryons surnuméraires », comme on les appelle, sont ensuite supprimés ou utilisés pour des recherches qui, sous prétexte de progrès scientifique ou médical, réduisent en réalité la vie humaine à un simple « matériel biologique » dont on peut librement disposer."
Michel Janva
Lu sur :
http://www.lesalonbeige.blogs.com/
Un projet de loi prévoyant une peine de prison pour le recours à la fécondation in vitro (FIV), sera examiné la semaine prochaine par le parlement polonais.
Initiative d'un groupe de citoyens "Contra in vitro", le projet a réuni en sa faveur plus de 160.000 signatures. Il propose que "toute personne dont l'action conduit à la fécondation in vitro" soit passible d'une peine de prison allant jusqu'à 3 ans.
Les évêques polonais ont notamment qualifié la fécondation in vitro de "sorte d'avortement raffiné" puisque cette méthode "fait périr de nombreux embryons" à chaque tentative. Dans Evangelium Vitae, Jean-Paul II écrivait (n°14) :
"Même les diverses techniques de reproduction artificielle, qui sembleraient être au service de la vie et qui sont des pratiques comportant assez souvent cette intention, ouvrent en réalité la porte à de nouveaux attentats contre la vie. Mis à part le fait qu'elles sont moralement inacceptables parce qu'elles séparent la procréation du contexte intégralement humain de l'acte conjugal, ces techniques enregistrent aussi de hauts pourcentages d'échec, non seulement en ce qui concerne la fécondation, mais aussi le développement ultérieur de l'embryon, exposé au risque de mort dans des délais généralement très brefs. En outre, on produit parfois des embryons en nombre supérieur à ce qui est nécessaire pour l'implantation dans l'utérus de la femme et ces « embryons surnuméraires », comme on les appelle, sont ensuite supprimés ou utilisés pour des recherches qui, sous prétexte de progrès scientifique ou médical, réduisent en réalité la vie humaine à un simple « matériel biologique » dont on peut librement disposer."
Michel Janva
Lu sur :
http://www.lesalonbeige.blogs.com/
invité1- Combat avec Sainte Marie
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Re: AVORTEMENT
http://www.libertepolitique.com/liberte-deducation/570-qjai-subi-une-ivgq-lettre-au-mateur-de-lucation-nationale
TEMOIGNAGE
Monsieur le Médiateur, la question scientifique du bac de Première L sur l'avortement m'a énormément angoissée et affectée. J'ai en effet moi même subi une IVG en 1979. Dans cette épreuve, on a demandé à des jeunes gens et jeunes filles de dégager des arguments en faveur de l'IVG sans leur demander de réfléchir aux conséquences irréversibles d'un avortement, conséquences avec lesquelles je vis depuis plus de 25 ans.
À 18 ans, avant mon recours à l'IVG, j'étais persuadée que la loi Veil était un grand progrès pour les femmes. Je n'aurais donc pas eu de difficultés à trouver les réponses demandées pour cette épreuve du bac. La réalité vécue de l'IVG et des années de souffrance en raison de ce choix m'ont amené à totalement réviser mon avis.
Aujourd'hui, après des années de dépression suite à cette décision, je ne conseillerais l'IVG à personne. Je sais maintenant qu'il y a des moyens moins violents pour la mère et l'enfant à naître face à une grossesse non désirée que l'IVG.
Au lieu d'avoir à vivre chaque jour avec le cauchemar refoulé ou conscient d'avoir fait supprimer mon premier enfant à naître, je serais par exemple si heureuse aujourd'hui de savoir mon enfant en vie dans une famille adoptive, de pouvoir le retrouver à présent que j'ai ma propre famille, comme c'est possible dans certains pays. Le système américain de l'adoption ouverte où la mère biologique choisit la famille adoptive et peut avoir des nouvelles ou contacts avec l'enfant est tellement moins brutal que l'adoption avec accouchement sous X pratiquée en France.
Que sont neuf mois de grossesse contrainte où l'on donne la vie face au fait d'avoir donner la mort, à des années de dépression et à une blessure au fond de mon cœur qui ne s'effacera qu'à la fin de mon existence?
L' IVG a ajouté pour moi un traumatisme violent, à une situation déjà bien difficile de grossesse non désirée, à un âge où je ne pouvais le gérer.
Les adolescentes d'aujourd'hui ont le droit d'être mieux informées que je ne l'ai été sur la réalité des dommages physiques, psychologiques, émotionnels et spirituels d'une IVG. Je pense en particulier au calvaire de gérer un tel secret face à mes quatre enfants nés plus de 15 ans après cet IVG . (Exemple de questions possibles de leur part : “Maman, comment puis je croire que tu m'aimes si tu as fait avorter mon demi-frère ou ma demi-sœur?” ou bien “Et moi, maman m'aurais tu fait avorter ?”).
Je n'ai jamais rencontré de femmes ayant regretté avoir conduit à terme une grossesse non désirée mais j'ai rencontré beaucoup de femmes souffrant silencieusement de leur avortement depuis des années. Nous préférons généralement le silence car qui peut comprendre une douleur aussi profonde à moins de l'avoir vécue ?
Cette douleur est telle que pour continuer à vivre, il n'y a pas beaucoup d'autre choix que de la refouler. Ce que j'ai fait pendant des années jusqu'à ce que mon psychisme, épuisé par ces efforts, craque. J'ai vécu par exemple entre 1990 et 1993, sept épisodes délirants suivis de dépressions avec envies suicidaires nécessitant à chaque fois des hospitalisations en psychiatrie, coûteuses pour la société et douloureuses pour mes proches.
Ce n'est qu'en 1995, en tenant mon premier fils dans mes bras que j'ai réalisé ce que j'avais perdu. Dans l' IVG, il y avait eu cette réalité, occultée pendant 16 ans, d'un être humain distinct de moi peu de temps après sa conception. J'ai compris la très grande perte que j'avais subie, que mes accès délirants n'étaient pas dus à de la folie mais tout simplement au deuil de mon enfant que je n'avais pas fait.
Ce deuil n'a pas été facile. Comment faire le deuil de quelqu'un dont on n'a pas voulu, dont on a nié l'existence et que l'on a fait supprimer, même si l'on se rend compte des années plus tard de sa très grande erreur ? Comment faire le deuil de son bébé que l'on ne tiendra jamais dans ses bras ? Avec beaucoup d'aide et plusieurs années supplémentaires, de nombreuses personnes pour écouter, beaucoup de femmes passées par les mêmes souffrances avec qui échanger, on y parvient malgré tout. Aujourd'hui, je ne fais plus de dépression et le diagnostic de psychose maniaco-dépressive placé trop vite sur moi entre 1990 et 1993 n'est plus qu'un lointain et mauvais souvenir. Malgré tout, le sujet du bac sur l'avortement, imposant une telle prise de position unilatéralement favorable, m'a fortement perturbée…
Alors même si c'est douloureux et angoissant de parler, je crois que les adolescentes et les femmes aujourd'hui ont le droit de connaître précisément les conséquences irréversibles de l'avortement et d'y réfléchir à l'avance au lieu de se précipiter tête baissée, comme moi à 18 ans, dans la “solution” de l'IVG.
Mon avortement représente le moment le plus triste de ma vie. Le moment où je suis passé de la relative insouciance de l'enfance et espérance de l'adolescence à une vie changée pour toujours. Je peux aujourd'hui essayer de décrire cet événement par l'image d'un passage dans un nuage de radiation nucléaire. Même si superficiellement, on essaye de continuer à vivre comme avant , les ressorts profonds de l'être ont été cassés, sans avoir compris comment une telle chose avait pu se passer.
Si une seule femme évitait grâce à ce témoignage, la souffrance de l'avortement face à une grossesse non désirée, mon IVG sortirait pour moi du non sens. Je ne comprends donc pas pourquoi l'Éducation nationale promeut l'IVG par un tel sujet au lieu d'aider les adolescents à réfléchir sur les conséquences dramatiques et irréversibles de l'avortement.
En vous demandant pardon à l'avance pour ce témoignage peu accordé à l'air du temps, je vous prie de croire, Monsieur le médiateur, à l'assurance de toute ma considération.
A.-M. O'Malley
TEMOIGNAGE
"J'ai subi une IVG."
Lettre au médiateur de l'Éducation nationale
Lettre au médiateur de l'Éducation nationale
Monsieur le Médiateur, la question scientifique du bac de Première L sur l'avortement m'a énormément angoissée et affectée. J'ai en effet moi même subi une IVG en 1979. Dans cette épreuve, on a demandé à des jeunes gens et jeunes filles de dégager des arguments en faveur de l'IVG sans leur demander de réfléchir aux conséquences irréversibles d'un avortement, conséquences avec lesquelles je vis depuis plus de 25 ans.
À 18 ans, avant mon recours à l'IVG, j'étais persuadée que la loi Veil était un grand progrès pour les femmes. Je n'aurais donc pas eu de difficultés à trouver les réponses demandées pour cette épreuve du bac. La réalité vécue de l'IVG et des années de souffrance en raison de ce choix m'ont amené à totalement réviser mon avis.
Aujourd'hui, après des années de dépression suite à cette décision, je ne conseillerais l'IVG à personne. Je sais maintenant qu'il y a des moyens moins violents pour la mère et l'enfant à naître face à une grossesse non désirée que l'IVG.
Au lieu d'avoir à vivre chaque jour avec le cauchemar refoulé ou conscient d'avoir fait supprimer mon premier enfant à naître, je serais par exemple si heureuse aujourd'hui de savoir mon enfant en vie dans une famille adoptive, de pouvoir le retrouver à présent que j'ai ma propre famille, comme c'est possible dans certains pays. Le système américain de l'adoption ouverte où la mère biologique choisit la famille adoptive et peut avoir des nouvelles ou contacts avec l'enfant est tellement moins brutal que l'adoption avec accouchement sous X pratiquée en France.
Que sont neuf mois de grossesse contrainte où l'on donne la vie face au fait d'avoir donner la mort, à des années de dépression et à une blessure au fond de mon cœur qui ne s'effacera qu'à la fin de mon existence?
L' IVG a ajouté pour moi un traumatisme violent, à une situation déjà bien difficile de grossesse non désirée, à un âge où je ne pouvais le gérer.
Les adolescentes d'aujourd'hui ont le droit d'être mieux informées que je ne l'ai été sur la réalité des dommages physiques, psychologiques, émotionnels et spirituels d'une IVG. Je pense en particulier au calvaire de gérer un tel secret face à mes quatre enfants nés plus de 15 ans après cet IVG . (Exemple de questions possibles de leur part : “Maman, comment puis je croire que tu m'aimes si tu as fait avorter mon demi-frère ou ma demi-sœur?” ou bien “Et moi, maman m'aurais tu fait avorter ?”).
Je n'ai jamais rencontré de femmes ayant regretté avoir conduit à terme une grossesse non désirée mais j'ai rencontré beaucoup de femmes souffrant silencieusement de leur avortement depuis des années. Nous préférons généralement le silence car qui peut comprendre une douleur aussi profonde à moins de l'avoir vécue ?
Cette douleur est telle que pour continuer à vivre, il n'y a pas beaucoup d'autre choix que de la refouler. Ce que j'ai fait pendant des années jusqu'à ce que mon psychisme, épuisé par ces efforts, craque. J'ai vécu par exemple entre 1990 et 1993, sept épisodes délirants suivis de dépressions avec envies suicidaires nécessitant à chaque fois des hospitalisations en psychiatrie, coûteuses pour la société et douloureuses pour mes proches.
Ce n'est qu'en 1995, en tenant mon premier fils dans mes bras que j'ai réalisé ce que j'avais perdu. Dans l' IVG, il y avait eu cette réalité, occultée pendant 16 ans, d'un être humain distinct de moi peu de temps après sa conception. J'ai compris la très grande perte que j'avais subie, que mes accès délirants n'étaient pas dus à de la folie mais tout simplement au deuil de mon enfant que je n'avais pas fait.
Ce deuil n'a pas été facile. Comment faire le deuil de quelqu'un dont on n'a pas voulu, dont on a nié l'existence et que l'on a fait supprimer, même si l'on se rend compte des années plus tard de sa très grande erreur ? Comment faire le deuil de son bébé que l'on ne tiendra jamais dans ses bras ? Avec beaucoup d'aide et plusieurs années supplémentaires, de nombreuses personnes pour écouter, beaucoup de femmes passées par les mêmes souffrances avec qui échanger, on y parvient malgré tout. Aujourd'hui, je ne fais plus de dépression et le diagnostic de psychose maniaco-dépressive placé trop vite sur moi entre 1990 et 1993 n'est plus qu'un lointain et mauvais souvenir. Malgré tout, le sujet du bac sur l'avortement, imposant une telle prise de position unilatéralement favorable, m'a fortement perturbée…
Alors même si c'est douloureux et angoissant de parler, je crois que les adolescentes et les femmes aujourd'hui ont le droit de connaître précisément les conséquences irréversibles de l'avortement et d'y réfléchir à l'avance au lieu de se précipiter tête baissée, comme moi à 18 ans, dans la “solution” de l'IVG.
Mon avortement représente le moment le plus triste de ma vie. Le moment où je suis passé de la relative insouciance de l'enfance et espérance de l'adolescence à une vie changée pour toujours. Je peux aujourd'hui essayer de décrire cet événement par l'image d'un passage dans un nuage de radiation nucléaire. Même si superficiellement, on essaye de continuer à vivre comme avant , les ressorts profonds de l'être ont été cassés, sans avoir compris comment une telle chose avait pu se passer.
Si une seule femme évitait grâce à ce témoignage, la souffrance de l'avortement face à une grossesse non désirée, mon IVG sortirait pour moi du non sens. Je ne comprends donc pas pourquoi l'Éducation nationale promeut l'IVG par un tel sujet au lieu d'aider les adolescents à réfléchir sur les conséquences dramatiques et irréversibles de l'avortement.
En vous demandant pardon à l'avance pour ce témoignage peu accordé à l'air du temps, je vous prie de croire, Monsieur le médiateur, à l'assurance de toute ma considération.
A.-M. O'Malley
invité1- Combat avec Sainte Marie
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Re: AVORTEMENT
Très touchant et tellement vrai ! Merci, Lau1
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Gaëlle- Combat avec l'Archange Michel
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Re: AVORTEMENT
Couteaux propres mais cerveaux infectés...
Le Projet de loi 34 du Gouvernement du Québec exige que, à partir du 30 septembre 2009, les avortoirs privés respectent certaines normes minimales de sécurité, entre autres concernant la stérilisation des équipements chirurgicaux.
Il est bien entendu très louable de protéger la santé des mères. Par contre, les couteaux propres sont tout aussi mortels pour les bébés que les couteaux infectés.
Quoi? Vous dites que j'exagère, que tuer les bébés est illégal au Canada? Pauvre vous, votre cerveau est infecté. Allez lire le jugement de la Cour suprême du Canada en 1988: un bébé a beau respirer et gigoter, si son pied gauche est encore dans le canal de la naissance, la Cour suprême prétend que ce n'est pas une personne humaine.
Un bébé de 17 semaines in utero:
Le bébé commence à avoir du sommeil rapide («REM sleep»)
(Source: Courtoisie California Pro Life Council)
Au Canada, n'importe qui peut tuer n'importe quel enfant pour n'importe quelle raison, de la conception jusqu'à ce que le dernier morceau sorte (excluant le cordon ombilical et le placenta). Ne me croyez pas sur parole, allez parler à n'importe quel avocat qui connaît le Code criminel du Canada.
Quoi? Vous dites que j'exagère, que la femme a le droit de faire ce qu'elle veut avec son corps? Pauvre vous, votre cerveau est infecté. Comment sait-on si quelque chose fait partie du corps d'une femme? Trois indices: (1) chaque cellule a le même code génétique; (2) le même sang circule partout; (3) chaque composante collabore pour la même fin (garder cette femme en vie).
Qu'en est-il du «truc-machin» dans le ventre de la femme enceinte? (1) Le code génétique n'est pas le même (il est un mélange du père et de la mère); (2) le même sang ne circule pas (le placenta établit une barrière entre les deux, et souvent le bébé n'a pas le même groupe sanguin que la mère); (3) les composantes ont des fins différentes (ce qui grandit dans l'utérus ne devient pas un rein ou un poumon de la mère, mais bien un bébé). Ne me croyez pas sur parole, allez parler à n'importe quel biologiste.
Quoi? Vous dites que j'exagère, que je suis sans coeur pour les pauvres petites filles de 13 ans qui se sont fait violer par leur père? Pauvre vous, votre cerveau est infecté. D'abord, depuis quand un bébé a-t-il moins de dignité humaine si son père est un criminel? Ensuite, au Québec entre 30% et 42% des bébés à naître se font avorter (la grande majorité par des mères de plus de 19 ans). La célèbrissime fille de 13 ans violée par son père ne peut pas porter à elle seule tout ce fardeau!
Quoi? Vous dites que j'exagère, qu'il n'est pas question de ré-ouvrir le débat sur l'avortement? Pauvre vous, votre cerveau est infecté. Il n'y a jamais eu de débat démocratique et rigoureux sur l'avortement dans ce pays. Ne me croyez pas sur parole: allez chercher des traces d'un tel débat, vous n'en trouverez pas.
En conclusion, ne laissez pas les couteaux propres du Gouvernement infecter votre cerveau!
Notice de propriété intellectuelle
Gilles. Ville de Québec - Canada
Le Projet de loi 34 du Gouvernement du Québec exige que, à partir du 30 septembre 2009, les avortoirs privés respectent certaines normes minimales de sécurité, entre autres concernant la stérilisation des équipements chirurgicaux.
Il est bien entendu très louable de protéger la santé des mères. Par contre, les couteaux propres sont tout aussi mortels pour les bébés que les couteaux infectés.
Quoi? Vous dites que j'exagère, que tuer les bébés est illégal au Canada? Pauvre vous, votre cerveau est infecté. Allez lire le jugement de la Cour suprême du Canada en 1988: un bébé a beau respirer et gigoter, si son pied gauche est encore dans le canal de la naissance, la Cour suprême prétend que ce n'est pas une personne humaine.
Un bébé de 17 semaines in utero:
Le bébé commence à avoir du sommeil rapide («REM sleep»)
(Source: Courtoisie California Pro Life Council)
Au Canada, n'importe qui peut tuer n'importe quel enfant pour n'importe quelle raison, de la conception jusqu'à ce que le dernier morceau sorte (excluant le cordon ombilical et le placenta). Ne me croyez pas sur parole, allez parler à n'importe quel avocat qui connaît le Code criminel du Canada.
Quoi? Vous dites que j'exagère, que la femme a le droit de faire ce qu'elle veut avec son corps? Pauvre vous, votre cerveau est infecté. Comment sait-on si quelque chose fait partie du corps d'une femme? Trois indices: (1) chaque cellule a le même code génétique; (2) le même sang circule partout; (3) chaque composante collabore pour la même fin (garder cette femme en vie).
Qu'en est-il du «truc-machin» dans le ventre de la femme enceinte? (1) Le code génétique n'est pas le même (il est un mélange du père et de la mère); (2) le même sang ne circule pas (le placenta établit une barrière entre les deux, et souvent le bébé n'a pas le même groupe sanguin que la mère); (3) les composantes ont des fins différentes (ce qui grandit dans l'utérus ne devient pas un rein ou un poumon de la mère, mais bien un bébé). Ne me croyez pas sur parole, allez parler à n'importe quel biologiste.
Quoi? Vous dites que j'exagère, que je suis sans coeur pour les pauvres petites filles de 13 ans qui se sont fait violer par leur père? Pauvre vous, votre cerveau est infecté. D'abord, depuis quand un bébé a-t-il moins de dignité humaine si son père est un criminel? Ensuite, au Québec entre 30% et 42% des bébés à naître se font avorter (la grande majorité par des mères de plus de 19 ans). La célèbrissime fille de 13 ans violée par son père ne peut pas porter à elle seule tout ce fardeau!
Quoi? Vous dites que j'exagère, qu'il n'est pas question de ré-ouvrir le débat sur l'avortement? Pauvre vous, votre cerveau est infecté. Il n'y a jamais eu de débat démocratique et rigoureux sur l'avortement dans ce pays. Ne me croyez pas sur parole: allez chercher des traces d'un tel débat, vous n'en trouverez pas.
En conclusion, ne laissez pas les couteaux propres du Gouvernement infecter votre cerveau!
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Gilles. Ville de Québec - Canada
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: AVORTEMENT
Oui Gaëlle !
on a besoin d'entendre de tels témoignages. On a comme l'impression que l'on essaie de nous cacher ce que peuvent vivre par la suite ces femmes, la douleur que certaines gardent tout au long de leur vie, une absence douloureuse, le regret d'avoir tué un petit être qu'elles auraient pu serrer dans leurs bras ou confier à une autre famille (adoptive...) ...
Quand on entend parler de l'avortement, on ne parle que de l'acte, du meurtre.... mais de l'après avortement, rarement et c'est pourtant ce qui pourrait faire le plus réfléchir certaines personnes...
j'ai une amie qui a avorté dans sa jeunesse. A présent, il lui arrive de rêver de ce fils et elle le voit âgé de 18 ans.... et ça lui fait mal !
Il ne faut pas hésiter à faire circuler ce témoignage autour de soi, surtout auprès de la jeunesse...
Merci Gilles pour ton article.... c'est horrible ! mais on ne peut plus fermer les yeux !
Lau
on a besoin d'entendre de tels témoignages. On a comme l'impression que l'on essaie de nous cacher ce que peuvent vivre par la suite ces femmes, la douleur que certaines gardent tout au long de leur vie, une absence douloureuse, le regret d'avoir tué un petit être qu'elles auraient pu serrer dans leurs bras ou confier à une autre famille (adoptive...) ...
Quand on entend parler de l'avortement, on ne parle que de l'acte, du meurtre.... mais de l'après avortement, rarement et c'est pourtant ce qui pourrait faire le plus réfléchir certaines personnes...
j'ai une amie qui a avorté dans sa jeunesse. A présent, il lui arrive de rêver de ce fils et elle le voit âgé de 18 ans.... et ça lui fait mal !
Il ne faut pas hésiter à faire circuler ce témoignage autour de soi, surtout auprès de la jeunesse...
Merci Gilles pour ton article.... c'est horrible ! mais on ne peut plus fermer les yeux !
Lau
invité1- Combat avec Sainte Marie
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Re: AVORTEMENT
Témoignage poignant en effet, mais qui restera probablement lettre morte hélas. Les « milieux officiels » n’ont d’oreilles que pour les témoignages de femmes qui n’ont pas subi de traumatisme par l’avortement (il y en a), et les met en avant, aux côté de femmes en détresse qui ne savent pas ce qu’elles font et voient l’avortement comme une issue de secours… Car ce n'est nullement une affaire de politique ou une mesure sociale, comme cela a été prétexté : on a affaire à des idéologues en ce qui concerne les promoteurs, et à des pleutres en ce qui concerne les responsables…
seamus7- Combat avec l'Archange Michel
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Re: AVORTEMENT
seamus7 a écrit:Témoignage poignant en effet, mais qui restera probablement lettre morte hélas. Les « milieux officiels » n’ont d’oreilles que pour les témoignages de femmes qui n’ont pas subi de traumatisme par l’avortement (il y en a), et les met en avant, aux côté de femmes en détresse qui ne savent pas ce qu’elles font et voient l’avortement comme une issue de secours… Car ce n'est nullement une affaire de politique ou une mesure sociale, comme cela a été prétexté : on a affaire à des idéologues en ce qui concerne les promoteurs, et à des pleutres en ce qui concerne les responsables…
Bien d'accord !
Lau
invité1- Combat avec Sainte Marie
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Re: AVORTEMENT
25 août, 2010
Mexique : une installation d'art contemporain salue les 50.000 avortements réalisés depuis la légalisation
Le Réseau pour les droits sexuels et reproductifs au Mexique (DDSER) a « fêté » à sa façon le passage de la barre des 50.000 avortements depuis la légalisation du crime dans le District fédéral, et les deux ans de sa déclaration de constitutionnalité par la Cour suprême, en déployant une interminable banderole ornée de 50.000 silhouettes de femmes depuis la place de l'Ange de l'Indépendance jusqu'à l'Hémicycle. 50.000 figurines découpées selon un modèle enfantin « installées » sur 4 kilomètres et demi, c'est une façon bien singulière de se réjouir d'autant d'actes de violences et d'un nombre encore plus grand de victimes, puisqu'au-délà des tout-petits sacrifiés sur l'autel du « droit des femmes », il y a aussi les mères qui portent désormais la peine de leurs enfants disparus, et leurs proches qui peuvent être aussi frappés, plus ou moins directement.
On avait réalisé pour fêter ce grand événement une réplique (?) en carton de la statue de la Patrie que l'on promena à travers la ville. La presse mexicaine évoque les dizaines de femmes qui ont participé à cette marche pour célébrer l'avortement sûr et légal, ce qui en langage journalistique veut dire entre 21 et 99 personnes tout au plus.
Cette « manifestation plastique » se voulait le début d'une « campagne citoyenne » pour montrer que, 200 ans après l'indépendance mexicaine, on a « bien avancé quant aux droits sexuels et reproductifs des femmes » mais que « beaucoup reste à faire » – beaucoup de choses dont les pères de l'indépendance n'ont même pas rêvé.
D'où le ton batailleur de cette manifestation d'art contemporain qui entendait, selon Jornada, exiger secteurs les plus conservateurs de la société le « respect de l'Etat laïc » :
« Nous sommes ici pour leur rappeler l'histoire, pour leur rappeler que [dénoncer] l'ingérence de l'Eglise dans la vie politique et sociale du pays ne consiste et ne consistera pas à nier les croyances religieuses. Ce qui se refuse, dans l'Etat laïc, c'est la régulation de la morale sociale par les institutions religieuses, qui tentent d'imposer leur propre vision du monde comme s'il s'agissait d'un mandat divin. »
Té !
© leblogdejeannesmits.
Mexique : une installation d'art contemporain salue les 50.000 avortements réalisés depuis la légalisation
Les yeux bandés, des figurines de carton : c'est ça, la dignité de la femme ? Source photo : Jornada. |
On avait réalisé pour fêter ce grand événement une réplique (?) en carton de la statue de la Patrie que l'on promena à travers la ville. La presse mexicaine évoque les dizaines de femmes qui ont participé à cette marche pour célébrer l'avortement sûr et légal, ce qui en langage journalistique veut dire entre 21 et 99 personnes tout au plus.
Cette « manifestation plastique » se voulait le début d'une « campagne citoyenne » pour montrer que, 200 ans après l'indépendance mexicaine, on a « bien avancé quant aux droits sexuels et reproductifs des femmes » mais que « beaucoup reste à faire » – beaucoup de choses dont les pères de l'indépendance n'ont même pas rêvé.
D'où le ton batailleur de cette manifestation d'art contemporain qui entendait, selon Jornada, exiger secteurs les plus conservateurs de la société le « respect de l'Etat laïc » :
« Nous sommes ici pour leur rappeler l'histoire, pour leur rappeler que [dénoncer] l'ingérence de l'Eglise dans la vie politique et sociale du pays ne consiste et ne consistera pas à nier les croyances religieuses. Ce qui se refuse, dans l'Etat laïc, c'est la régulation de la morale sociale par les institutions religieuses, qui tentent d'imposer leur propre vision du monde comme s'il s'agissait d'un mandat divin. »
Té !
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P4572- Dans la prière
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Re: AVORTEMENT
Les Anges et tous les Saints vous attendent à la Messe de Toussaint et des Défunts ; laissez vos occupations matérielles pour un moment et allez honorer Dieu qui vient vous visiter et où l'Église prie dans le Monde entier. Soyez unis par la prière la plus puissante qui est l'Eucharistie. Aimez votre Dieu ; honorez-Le, Lui qui se sacrifie chaque seconde pour le monde, pour tous les enfants du Monde afin que l'Amour remplace la haine, que la Paix remplace les exactions à répétition qui tuent chaque jour par les armes mais aussi, et cela n'est pas une affaire de conflit, par les avortements à répétition qui laissent mourir Mes enfants et déstabilisent les mères qui ont un profond regret une fois la tuerie effectuée, car on ne peut trouver de mot plus juste pour qualifier la mort de ces êtres qui ne demandent qu'à vivre puisque c'est Dieu Mon Père qui leur a donné une âme dès la conception. Non ! ce ne sont pas des "amas de cellules", ce sont des êtres humains en gestation. Il faut vous rappeler ceci et le dire autour de vous : des prières sont prévues dans les Cathédrales tous les premiers samedis du mois pour ces enfants et leurs parents. Merci de participer. Amen +
http://trinite.1.free.fr/MESSAGES2010/30oct.htm
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Michael- Dans la prière
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Re: AVORTEMENT
merci Mikael pour ce message
Violaine
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