Consacrer Une Minute avec Marie!!!
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
18 février – 1er dimanche de carême - Sainte Bernadette Soubirous (+ 1879)
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Marie inaugure une humanité nouvelle
À cause de son fiat, nous pouvons dire que la conduite de Marie tout au long de la vie terrestre de son Fils a été éclairée par la Sagesse divine.
Ève a désobéi au commandement de Dieu et par conséquent elle a enfanté une humanité profondément marquée par le péché.
Marie, elle, est tout auréolée de la présence divine.
Lors de l’Annonciation ce n’est pas le serpent, ou le démon à qui elle fait face mais l’ange du Seigneur.
Et parce qu’en toute liberté elle obéit à la voix du Seigneur, Marie engendre la vie.
Elle inaugure une humanité nouvelle : elle est mère de la vie en Christ.
Marie fut une bonne guide car elle conduisit l’enfant Jésus au temple, ce qui fait comprendre qu’avec Joseph ils lui ont prodigué une solide éducation religieuse depuis son plus jeune âge.
Dans l’épisode de l’enfant Jésus retrouvé au temple, l’évangéliste précise que c’est elle qui parle :
« Ton père et moi nous te cherchions avec angoisse » (Lc 2, 48).
La Sainte Vierge s’est exprimée dans l’intérêt de toute la famille et nous montre que dans une famille, la singularité n’exclut pas la communion, la collaboration.
Dieudonné Cardinal Nzapalainga
Archevêque Métropolitain de Bangui (République Centrafricaine)
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Marie inaugure une humanité nouvelle
À cause de son fiat, nous pouvons dire que la conduite de Marie tout au long de la vie terrestre de son Fils a été éclairée par la Sagesse divine.
Ève a désobéi au commandement de Dieu et par conséquent elle a enfanté une humanité profondément marquée par le péché.
Marie, elle, est tout auréolée de la présence divine.
Lors de l’Annonciation ce n’est pas le serpent, ou le démon à qui elle fait face mais l’ange du Seigneur.
Et parce qu’en toute liberté elle obéit à la voix du Seigneur, Marie engendre la vie.
Elle inaugure une humanité nouvelle : elle est mère de la vie en Christ.
Marie fut une bonne guide car elle conduisit l’enfant Jésus au temple, ce qui fait comprendre qu’avec Joseph ils lui ont prodigué une solide éducation religieuse depuis son plus jeune âge.
Dans l’épisode de l’enfant Jésus retrouvé au temple, l’évangéliste précise que c’est elle qui parle :
« Ton père et moi nous te cherchions avec angoisse » (Lc 2, 48).
La Sainte Vierge s’est exprimée dans l’intérêt de toute la famille et nous montre que dans une famille, la singularité n’exclut pas la communion, la collaboration.
Dieudonné Cardinal Nzapalainga
Archevêque Métropolitain de Bangui (République Centrafricaine)
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
19 février – France
4e apparition à Lourdes
Belle et douce Marie par Michael Lonsdale
« Tous les jours je prie la Vierge Marie, et même plusieurs fois.
Au milieu de mes activités je lui adresse un mot, comme cela, en passant.
Je sais qu’elle est là, toute proche de moi, je sais qu’elle m’écoute, qu’elle va m’exaucer.
Tant de gens souffrent autour de moi, alors je les présente à Marie, à Jésus, au Saint Esprit, les trois présences les plus fortes dans ma vie, celles qui me portent et qui soulagent ceux que je leur confie.
J’aime dire le « Je vous salue Marie » en toutes circonstances, c’est une prière brève, qui nous élève.
Je peux la dire chez moi, dans les transports publics, sur scène même pendant la réplique d’un autre comédien.
Mon rapport à Marie est très intérieur, très secret.
Le soir avant de m’endormir, je me place sous sa protection, je ressens sa bienveillance, son amour. »
Michael Lonsdale
Acteur français né en 1931
Dans Belle et douce Marie, la Vierge des peintres que Michael Lonsdale vient de publier en décembre 2017 aux Éditions Philippe Rey : un album de 125 pages aux très nombreux tableaux couleur représentant Marie, accompagnés de textes magnifiques sur la Vierge
4e apparition à Lourdes
Belle et douce Marie par Michael Lonsdale
« Tous les jours je prie la Vierge Marie, et même plusieurs fois.
Au milieu de mes activités je lui adresse un mot, comme cela, en passant.
Je sais qu’elle est là, toute proche de moi, je sais qu’elle m’écoute, qu’elle va m’exaucer.
Tant de gens souffrent autour de moi, alors je les présente à Marie, à Jésus, au Saint Esprit, les trois présences les plus fortes dans ma vie, celles qui me portent et qui soulagent ceux que je leur confie.
J’aime dire le « Je vous salue Marie » en toutes circonstances, c’est une prière brève, qui nous élève.
Je peux la dire chez moi, dans les transports publics, sur scène même pendant la réplique d’un autre comédien.
Mon rapport à Marie est très intérieur, très secret.
Le soir avant de m’endormir, je me place sous sa protection, je ressens sa bienveillance, son amour. »
Michael Lonsdale
Acteur français né en 1931
Dans Belle et douce Marie, la Vierge des peintres que Michael Lonsdale vient de publier en décembre 2017 aux Éditions Philippe Rey : un album de 125 pages aux très nombreux tableaux couleur représentant Marie, accompagnés de textes magnifiques sur la Vierge
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
20 février - Jacinta Marto, voyante de Fatima (+1920)
France : 5e apparition à Lourdes
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« Son cœur était plein ; son âme était réduite au silence »
« Comment Marie eut-elle pu n’être pas silencieuse ?
Une créature qui avait vécu si longtemps avec le Créateur ne pouvait parler beaucoup ; son cœur était plein ; son âme était réduite au silence.
Elle était avec Jésus depuis douze longues années, de longues années relativement à la formation des habitudes, quoiqu’elles eussent passé pour Marie comme une extase sainte, pleine d’un douloureux amour.
Elle avait porté Jésus dans ses bras.
Elle avait veillé sur lui pendant qu’il dormait.
Elle lui avait donné sa nourriture ; elle l’avait regardé dans les yeux.
Il lui avait sans cesse dévoilé son cœur.
Elle avait appris à le rendre.
Toutes les similitudes avec Dieu étaient passées dans l’âme de Marie.
Nous savons combien Dieu est silencieux. »
Frédéric William Faber
Dans Belle et douce Marie, la Vierge des peintres, de Michael Lonsdale, page 54.
Un bel album de 125 pages que Michael Lonsdale vient de publier en décembre 2017 aux Éditions Philippe Rey, avec de très nombreux tableaux couleur représentant Marie, accompagnés de textes magnifiques sur la Vierge.
France : 5e apparition à Lourdes
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« Son cœur était plein ; son âme était réduite au silence »
« Comment Marie eut-elle pu n’être pas silencieuse ?
Une créature qui avait vécu si longtemps avec le Créateur ne pouvait parler beaucoup ; son cœur était plein ; son âme était réduite au silence.
Elle était avec Jésus depuis douze longues années, de longues années relativement à la formation des habitudes, quoiqu’elles eussent passé pour Marie comme une extase sainte, pleine d’un douloureux amour.
Elle avait porté Jésus dans ses bras.
Elle avait veillé sur lui pendant qu’il dormait.
Elle lui avait donné sa nourriture ; elle l’avait regardé dans les yeux.
Il lui avait sans cesse dévoilé son cœur.
Elle avait appris à le rendre.
Toutes les similitudes avec Dieu étaient passées dans l’âme de Marie.
Nous savons combien Dieu est silencieux. »
Frédéric William Faber
Dans Belle et douce Marie, la Vierge des peintres, de Michael Lonsdale, page 54.
Un bel album de 125 pages que Michael Lonsdale vient de publier en décembre 2017 aux Éditions Philippe Rey, avec de très nombreux tableaux couleur représentant Marie, accompagnés de textes magnifiques sur la Vierge.
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
La Question du Mardi
En association avec
Une Minute avec Marie et les Questions de fond d'Aleteia
En association avec
Une Minute avec Marie et les Questions de fond d'Aleteia
Prier, en quoi ça consiste pour un chrétien ?
Père Pierre Descouvemont
Pierre Descouvemont, né en 1927, ordonné en 1950, est un prêtre du diocèse de Cambrai et docteur en théologie....
Pierre Descouvemont, né en 1927, ordonné en 1950, est un prêtre du diocèse de Cambrai et docteur en théologie....
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
21 février – France
Saint Pierre Damien
Lire
Le médecin le plus inutile au monde
Médecin et président du Bureau des constatations médicales de Lourdes, Alessandro de Franciscis doit à l'Immaculée Conception, dont l'Église célèbre la fête le 8 décembre, sa vocation de pédiatre :
« J'ai attrapé, à 17 ans, une maladie incurable : la « lourdite ».
Ce virus, très contagieux, se transmet par contact avec les personnes malades et handicapées.
L'épicentre de l'infection ?
Une grotte.
Les symptômes ?
Une joie profonde et ce sentiment d'être en famille.
Oui, quand je suis rentré à Naples, mon port natal, après mon premier pèlerinage à Lourdes, en juin 1973, j'étais un brancardier très atteint.
Mais je ne me doutais pas encore à quel point l'Immaculée Conception guiderait ma vie.
Je dois en effet à la Vierge Marie d'être, à 61 ans, le médecin le plus inutile au monde !
Étant président du Bureau des constatations médicales du sanctuaire marial de Lourdes, c'est vers moi que les pèlerins se tournent en disant :
« Bonjour, je suis guéri ! » »
Découvrir plus sur mariedenazareth.com :
Récit des apparitions de Lourdes
Saint Pierre Damien
Lire
Le médecin le plus inutile au monde
Médecin et président du Bureau des constatations médicales de Lourdes, Alessandro de Franciscis doit à l'Immaculée Conception, dont l'Église célèbre la fête le 8 décembre, sa vocation de pédiatre :
« J'ai attrapé, à 17 ans, une maladie incurable : la « lourdite ».
Ce virus, très contagieux, se transmet par contact avec les personnes malades et handicapées.
L'épicentre de l'infection ?
Une grotte.
Les symptômes ?
Une joie profonde et ce sentiment d'être en famille.
Oui, quand je suis rentré à Naples, mon port natal, après mon premier pèlerinage à Lourdes, en juin 1973, j'étais un brancardier très atteint.
Mais je ne me doutais pas encore à quel point l'Immaculée Conception guiderait ma vie.
Je dois en effet à la Vierge Marie d'être, à 61 ans, le médecin le plus inutile au monde !
Étant président du Bureau des constatations médicales du sanctuaire marial de Lourdes, c'est vers moi que les pèlerins se tournent en disant :
« Bonjour, je suis guéri ! » »
Découvrir plus sur mariedenazareth.com :
Récit des apparitions de Lourdes
Récit des apparitions de Lourdes
Le matin du jeudi 11 février 1858, Bernadette, sa sœur Marie dite Toinette et Jeanne Abadie, une amie, partent glaner du bois entre le Gave et le canal du moulin. Jeanne et Toinette passent le canal à gué, le moulin en amont étant arrêté : il y a du bois de l'autre côté.
Bernadette n'ose les suivre à cause de son asthme. Elle reste sur l'île, face à la grotte, à une douzaine de mètres.
Finalement, tandis qu'elle se déchausse pour rejoindre les autres, elle entend par deux fois un bruit, « comme un coup de vent ».
Elle s'étonne, car il n'y a pas de vent.
Elle se retourne pour vérifier :
« Les peupliers ne remuaient pas. Je continuai à me déchausser et j'entends la même rumeur.
Je levai la tête en regardant la grotte. »
La niche du rocher, située à trois mètres environ de hauteur, est envahie d'une lumière, précisera plus tard Bernadette, et dans cette lumière, aquerô [cela] », dit-elle prudemment en patois.
Car ce qu'elle voit, c'est bien une silhouette féminine : sa présence pénétrante est ineffable.
Elle la décrira ainsi :
« Une dame habillée de blanc ; elle avait une robe blanche, un voile blanc, une ceinture bleue et une rose jaune sur chaque pied.
Je me frottai les yeux, je croyais me tromper. Je mis la main à la poche et trouvai mon chapelet ».
Mais Bernadette n'arrive pas à lever la main jusqu'au front pour faire le signe de croix.
Quand la Vierge le fait elle-même dans le creux du rocher, alors Bernadette fait le signe de la croix et récite le chapelet avec la Dame. La prière terminée, la Dame disparaît brusquement.
Le dimanche 14 février, Sur les recommandations de son entourage qui craint un phénomène démoniaque, Bernadette asperge l'apparition l'eau bénite.
La Dame sourit et incline la tête. La prière du chapelet terminée, elle disparaît.
N.B. Le mercredi 17 février est le mercredi des cendres :
Quatorze apparitions se déroulent dans le temps du carême.
Le jeudi 18 février, Bernadette doit demander à l’apparition d’écrire son nom : elle tend la plume et le papier, mais reçoit seulement cette réponse en langue occitane, dans le « patois de Lourdes » :
« Ce n’est pas nécessaire.»
Puis elle lui adresse cette courtoise invitation :
« Voulez-vous avoir la grâce de venir ici pendant quinze jours ? »
Ensuite la Dame dit quelque chose que la traduit habituellement ainsi :
« Je ne vous promets pas de vous rendre heureuse en ce monde, mais dans l'autre. »
Il semble alors que la Dame prophétise la destinée ultérieure de Bernadette, qui sera si souvent malade.
Mais en réalité, le texte original se traduit d'une manière plus positive :
« Je vous promets de vous rendre heureuse, non pas dans ce monde mais dans l'autre. ».
Autrement dit, « je vous promets de vous rendre heureuse... », c'est la promesse d'une béatitude.
En tout cas, c'est une invitation à regarder l'autre monde, la vie en Dieu, la vie éternelle.
Le 19 février, Bernadette vient à la Grotte avec un cierge bénit et allumé.
C'est de ce geste qu'est née la coutume de porter des cierges et de les allumer devant la Grotte.
Le 20 février, la Dame lui a appris une prière personnelle. A la fin de la vision, une grande tristesse envahit Bernadette.
Le 21 février, La Dame se présente à Bernadette le matin de bonne heure. Une centaine de personnes l'accompagnent.
Elle est ensuite interrogée par le commissaire de police Jacomet.
Il veut lui faire dire ce qu'elle a vu.
Bernadette ne lui parle que d' "Aquero" (cela).
Le lundi 22 février, ses parents interdisent à Bernadette de retourner à la grotte.
Pourtant, une force irrésistible l’y entraîne, mais elle n’y voit rien, comme si la Vierge elle-même se conformait aux injonctions de ses parents.
Le 23 février, entourée de cent cinquante personnes, Bernadette se rend à la Grotte.
L'Apparition lui révèle un secret "rien que pour elle".
Le 24 février, l'Apparition parle à nouveau :
« Pénitence ! Pénitence ! Pénitence !
Vous prierez Dieu pour les pécheurs.
Allez baiser la terre pour la conversion des pécheurs. »
Et Bernadette baise la terre...
Le 25 février : Appel à la pénitence. Une source d’eau.
Trois cents personnes sont présentes.
Bernadette raconte :
"Elle me dit d'aller boire à la source (...).
Je ne trouvai qu'un peu d'eau vaseuse. Au quatrième essai je pus boire.
Elle me fit également manger une herbe qui se trouvait près de la fontaine puis la vision disparut et je m'en allai."
L'herbe, la dorine, est une herbe amère. L'eau est sale, Bernadette se relève toute barbouillée. C’est la consternation des plus fervents supporters.
Devant la foule qui lui demande:
"Sais-tu qu'on te croit folle de faire des choses pareilles ?, elle répond :
"C'est pour les pécheurs."
Les messages sont répétés :
« Pénitence ! Pénitence ! Pénitence !.... »
« Vous prierez Dieu pour les pécheurs. »
« Allez baiser la terre en pénitence pour la conversion des pécheurs. »
Le 27 février, Bernadette accomplit de nouveau les gestes de pénitence (baiser la terre, manger des herbes amères, boire l'eau).
Le 28 février, plus de mille personnes assistent à l'extase. Bernadette accomplit de nouveau les gestes de pénitence (manger des herbes amères, boire l'eau).
Elle est ensuite emmenée chez le juge Ribes qui la menace de prison.
Durant la nuit du 28 février au 1° mars, Catherine Latapie trempe son bras déboîté dans l'eau de la source : son bras et sa main retrouvent leur souplesse.
Les guérisons ont ainsi commencé dès le temps des apparitions.
La plupart sont liées à l'eau de la source.
Bernadette a toujours refusé que cette eau soit appelée miraculeuse ou que les guérisons lui soient, personnellement, attribuées.
Pour elle, seules la foi et la prière obtiennent les guérisons.
Le 1° mars, Bernadette accomplit de nouveau les gestes de pénitence.
Le 2 mars : Une chapelle et une procession
Vers la fin de la quinzaine, Bernadette apporta courageusement au curé Peyramale ce message :
« Allez dire aux prêtres de faire bâtir une chapelle et qu’on y vienne en procession.»
Elle fut reçue par l’une des plus célèbres et plus foudroyantes colères du curé, homme généreux entre tous, mais au sang chaud.
Il était secrètement écartelé : attiré par ces apparitions dont le bénéfice s’imposait au confessionnal par un afflux de conversions ; et inquiet, car la presse et la société bourgeoise ironisaient sur cette tocade populaire autour d’une « hallucinée ».
A peine avait-elle prononcé le mot « procession » que l’avalanche déferla. Elle dut partir sans avoir pu rouvrir la bouche.
Elle retourna pourtant le jour même.
Le curé de Lourdes ne veut savoir qu'une chose : le nom de la Dame.
Il exige en plus une preuve : voir fleurir en plein hiver le rosier (l'églantier) de la Grotte.
Le 3 mars : Dès 7 heures le matin, en présence de trois mille personnes, Bernadette se rend à la Grotte, mais la vision n'apparaît pas !
Après l'école, elle entend l'invitation intérieure de la Dame.
Elle se rend à la Grotte et lui redemande son nom. La réponse est un sourire.
Le curé Peyramale lui redit :
"Si la Dame désire vraiment une chapelle, qu'elle dise son nom et qu'elle fasse fleurir le rosier de la Grotte".
Le 4 mars : Tout le monde attendait pour ce dernier jour de la quinzaine un grand miracle ou une révélation majeure parce que le message du 18 février avait dit :
« Voulez-vous avoir la grâce de venir ici pendant quinze jours ? » et la quinzaine s’achevait le 4 mars.
8 000 personnes affluaient des deux côtés du Gave.
En ce « grand jour », ni miracle, ni révélation. La vision est silencieuse.
L’apparition n’a toujours pas dit son nom.
Bernadette ne sait même pas si elle reviendra à la grotte...
- Du 5 au 25 mars, Bernadette ne ressent plus l'irrésistible attrait qui l'amenait à la grotte. Pendant cette période sans apparitions, Bernadette fait sa première communion -
Le 25 mars 1858 : "Je suis l’immaculée conception"
Bernadette est attirée à la grotte, très tôt le matin, sans préavis, le 25 mars, jour de l’Annonciation.
Elle a toujours le même souci : quel est le nom d’Aquerô, exigé par M. le curé. Bernadette le demande avec la formule cérémonieuse longuement préparée :
« Mademoiselle, voulez-vous avoir la bonté de me dire qui vous êtes, s’il vous plaît ? »
L’apparition sourit mais ne répond pas.
Bernadette répète.
La vision révèle enfin son nom, mais le rosier (ou églantier) sur lequel elle pose les pieds au cours de ses Apparitions ne fleurit pas.
Bernadette raconte :
"Elle leva les yeux au ciel, joignant en signe de prière ses mains qui étaient tendues et ouvertes vers la terre, et me dit:
Que soy era immaculada councepciou".
Après une réaction un peu brusque, le brave curé s'éclipse car il sent les sanglots monter en lui.
En effet, quatre ans plus tôt, en 1854, le pape Pie IX a proclamé le dogme de Marie conçue sans péché.
- Fin du carême. Pâque cette année-là est fêté le 4 avril.-
7 avril (mercredi de Pâques) : Pendant cette Apparition, Bernadette tient son cierge allumé.
La flamme entoure longuement sa main sans la brûler. Ce fait est immédiatement constaté par le médecin, le docteur Douzous.
La dernière apparition : le 16 juillet (fête de N-D du mont Carmel)
Parmi les enfants, une épidémie de visionnaires de plus en plus ridicules avait amené les autorités à barricader la grotte.
Le 16 juillet, Bernadette ressent le mystérieux appel de la Grotte, mais l'accès à Massabielle est interdit et fermé par une palissade. Elle se rend donc en face, de l'autre côté du Gave... et voit la Vierge Marie, une ultime fois :
"Il me semblait que j'étais devant la grotte, à la même distance que les autres fois, je voyais seulement la Vierge, jamais je ne l'ai vue aussi belle !".
Source : fr.lourdes-france.org
Complété par quelques extraits de : René LAURENTIN et Dom Bernard BILLET, « Lourdes », dans : René LAURENTIN et Patrick SBALCHIERO, Dictionnaire encyclopédique des apparitions de la Vierge. Fayard, Paris 2007.
Rappelons que R. LAURENTIN a publié :
Sens de Lourdes (Paris, Lethielleux, 1954), suivie de son Etude méthodique sur les apparitions de Lourdes (30 vol.), puis il a publié Lourdes, documents authentiques I (Paris, Lethielleux, 7 vol., à partir de 1957).
Bernadette n'ose les suivre à cause de son asthme. Elle reste sur l'île, face à la grotte, à une douzaine de mètres.
Finalement, tandis qu'elle se déchausse pour rejoindre les autres, elle entend par deux fois un bruit, « comme un coup de vent ».
Elle s'étonne, car il n'y a pas de vent.
Elle se retourne pour vérifier :
« Les peupliers ne remuaient pas. Je continuai à me déchausser et j'entends la même rumeur.
Je levai la tête en regardant la grotte. »
La niche du rocher, située à trois mètres environ de hauteur, est envahie d'une lumière, précisera plus tard Bernadette, et dans cette lumière, aquerô [cela] », dit-elle prudemment en patois.
Car ce qu'elle voit, c'est bien une silhouette féminine : sa présence pénétrante est ineffable.
Elle la décrira ainsi :
« Une dame habillée de blanc ; elle avait une robe blanche, un voile blanc, une ceinture bleue et une rose jaune sur chaque pied.
Je me frottai les yeux, je croyais me tromper. Je mis la main à la poche et trouvai mon chapelet ».
Mais Bernadette n'arrive pas à lever la main jusqu'au front pour faire le signe de croix.
Quand la Vierge le fait elle-même dans le creux du rocher, alors Bernadette fait le signe de la croix et récite le chapelet avec la Dame. La prière terminée, la Dame disparaît brusquement.
Le dimanche 14 février, Sur les recommandations de son entourage qui craint un phénomène démoniaque, Bernadette asperge l'apparition l'eau bénite.
La Dame sourit et incline la tête. La prière du chapelet terminée, elle disparaît.
N.B. Le mercredi 17 février est le mercredi des cendres :
Quatorze apparitions se déroulent dans le temps du carême.
Le jeudi 18 février, Bernadette doit demander à l’apparition d’écrire son nom : elle tend la plume et le papier, mais reçoit seulement cette réponse en langue occitane, dans le « patois de Lourdes » :
« Ce n’est pas nécessaire.»
Puis elle lui adresse cette courtoise invitation :
« Voulez-vous avoir la grâce de venir ici pendant quinze jours ? »
Ensuite la Dame dit quelque chose que la traduit habituellement ainsi :
« Je ne vous promets pas de vous rendre heureuse en ce monde, mais dans l'autre. »
Il semble alors que la Dame prophétise la destinée ultérieure de Bernadette, qui sera si souvent malade.
Mais en réalité, le texte original se traduit d'une manière plus positive :
« Je vous promets de vous rendre heureuse, non pas dans ce monde mais dans l'autre. ».
Autrement dit, « je vous promets de vous rendre heureuse... », c'est la promesse d'une béatitude.
En tout cas, c'est une invitation à regarder l'autre monde, la vie en Dieu, la vie éternelle.
Le 19 février, Bernadette vient à la Grotte avec un cierge bénit et allumé.
C'est de ce geste qu'est née la coutume de porter des cierges et de les allumer devant la Grotte.
Le 20 février, la Dame lui a appris une prière personnelle. A la fin de la vision, une grande tristesse envahit Bernadette.
Le 21 février, La Dame se présente à Bernadette le matin de bonne heure. Une centaine de personnes l'accompagnent.
Elle est ensuite interrogée par le commissaire de police Jacomet.
Il veut lui faire dire ce qu'elle a vu.
Bernadette ne lui parle que d' "Aquero" (cela).
Le lundi 22 février, ses parents interdisent à Bernadette de retourner à la grotte.
Pourtant, une force irrésistible l’y entraîne, mais elle n’y voit rien, comme si la Vierge elle-même se conformait aux injonctions de ses parents.
Le 23 février, entourée de cent cinquante personnes, Bernadette se rend à la Grotte.
L'Apparition lui révèle un secret "rien que pour elle".
Le 24 février, l'Apparition parle à nouveau :
« Pénitence ! Pénitence ! Pénitence !
Vous prierez Dieu pour les pécheurs.
Allez baiser la terre pour la conversion des pécheurs. »
Et Bernadette baise la terre...
Le 25 février : Appel à la pénitence. Une source d’eau.
Trois cents personnes sont présentes.
Bernadette raconte :
"Elle me dit d'aller boire à la source (...).
Je ne trouvai qu'un peu d'eau vaseuse. Au quatrième essai je pus boire.
Elle me fit également manger une herbe qui se trouvait près de la fontaine puis la vision disparut et je m'en allai."
L'herbe, la dorine, est une herbe amère. L'eau est sale, Bernadette se relève toute barbouillée. C’est la consternation des plus fervents supporters.
Devant la foule qui lui demande:
"Sais-tu qu'on te croit folle de faire des choses pareilles ?, elle répond :
"C'est pour les pécheurs."
Les messages sont répétés :
« Pénitence ! Pénitence ! Pénitence !.... »
« Vous prierez Dieu pour les pécheurs. »
« Allez baiser la terre en pénitence pour la conversion des pécheurs. »
Le 27 février, Bernadette accomplit de nouveau les gestes de pénitence (baiser la terre, manger des herbes amères, boire l'eau).
Le 28 février, plus de mille personnes assistent à l'extase. Bernadette accomplit de nouveau les gestes de pénitence (manger des herbes amères, boire l'eau).
Elle est ensuite emmenée chez le juge Ribes qui la menace de prison.
Durant la nuit du 28 février au 1° mars, Catherine Latapie trempe son bras déboîté dans l'eau de la source : son bras et sa main retrouvent leur souplesse.
Les guérisons ont ainsi commencé dès le temps des apparitions.
La plupart sont liées à l'eau de la source.
Bernadette a toujours refusé que cette eau soit appelée miraculeuse ou que les guérisons lui soient, personnellement, attribuées.
Pour elle, seules la foi et la prière obtiennent les guérisons.
Le 1° mars, Bernadette accomplit de nouveau les gestes de pénitence.
Le 2 mars : Une chapelle et une procession
Vers la fin de la quinzaine, Bernadette apporta courageusement au curé Peyramale ce message :
« Allez dire aux prêtres de faire bâtir une chapelle et qu’on y vienne en procession.»
Elle fut reçue par l’une des plus célèbres et plus foudroyantes colères du curé, homme généreux entre tous, mais au sang chaud.
Il était secrètement écartelé : attiré par ces apparitions dont le bénéfice s’imposait au confessionnal par un afflux de conversions ; et inquiet, car la presse et la société bourgeoise ironisaient sur cette tocade populaire autour d’une « hallucinée ».
A peine avait-elle prononcé le mot « procession » que l’avalanche déferla. Elle dut partir sans avoir pu rouvrir la bouche.
Elle retourna pourtant le jour même.
Le curé de Lourdes ne veut savoir qu'une chose : le nom de la Dame.
Il exige en plus une preuve : voir fleurir en plein hiver le rosier (l'églantier) de la Grotte.
Le 3 mars : Dès 7 heures le matin, en présence de trois mille personnes, Bernadette se rend à la Grotte, mais la vision n'apparaît pas !
Après l'école, elle entend l'invitation intérieure de la Dame.
Elle se rend à la Grotte et lui redemande son nom. La réponse est un sourire.
Le curé Peyramale lui redit :
"Si la Dame désire vraiment une chapelle, qu'elle dise son nom et qu'elle fasse fleurir le rosier de la Grotte".
Le 4 mars : Tout le monde attendait pour ce dernier jour de la quinzaine un grand miracle ou une révélation majeure parce que le message du 18 février avait dit :
« Voulez-vous avoir la grâce de venir ici pendant quinze jours ? » et la quinzaine s’achevait le 4 mars.
8 000 personnes affluaient des deux côtés du Gave.
En ce « grand jour », ni miracle, ni révélation. La vision est silencieuse.
L’apparition n’a toujours pas dit son nom.
Bernadette ne sait même pas si elle reviendra à la grotte...
- Du 5 au 25 mars, Bernadette ne ressent plus l'irrésistible attrait qui l'amenait à la grotte. Pendant cette période sans apparitions, Bernadette fait sa première communion -
Le 25 mars 1858 : "Je suis l’immaculée conception"
Bernadette est attirée à la grotte, très tôt le matin, sans préavis, le 25 mars, jour de l’Annonciation.
Elle a toujours le même souci : quel est le nom d’Aquerô, exigé par M. le curé. Bernadette le demande avec la formule cérémonieuse longuement préparée :
« Mademoiselle, voulez-vous avoir la bonté de me dire qui vous êtes, s’il vous plaît ? »
L’apparition sourit mais ne répond pas.
Bernadette répète.
La vision révèle enfin son nom, mais le rosier (ou églantier) sur lequel elle pose les pieds au cours de ses Apparitions ne fleurit pas.
Bernadette raconte :
"Elle leva les yeux au ciel, joignant en signe de prière ses mains qui étaient tendues et ouvertes vers la terre, et me dit:
Que soy era immaculada councepciou".
Après une réaction un peu brusque, le brave curé s'éclipse car il sent les sanglots monter en lui.
En effet, quatre ans plus tôt, en 1854, le pape Pie IX a proclamé le dogme de Marie conçue sans péché.
- Fin du carême. Pâque cette année-là est fêté le 4 avril.-
7 avril (mercredi de Pâques) : Pendant cette Apparition, Bernadette tient son cierge allumé.
La flamme entoure longuement sa main sans la brûler. Ce fait est immédiatement constaté par le médecin, le docteur Douzous.
La dernière apparition : le 16 juillet (fête de N-D du mont Carmel)
Parmi les enfants, une épidémie de visionnaires de plus en plus ridicules avait amené les autorités à barricader la grotte.
Le 16 juillet, Bernadette ressent le mystérieux appel de la Grotte, mais l'accès à Massabielle est interdit et fermé par une palissade. Elle se rend donc en face, de l'autre côté du Gave... et voit la Vierge Marie, une ultime fois :
"Il me semblait que j'étais devant la grotte, à la même distance que les autres fois, je voyais seulement la Vierge, jamais je ne l'ai vue aussi belle !".
Source : fr.lourdes-france.org
Complété par quelques extraits de : René LAURENTIN et Dom Bernard BILLET, « Lourdes », dans : René LAURENTIN et Patrick SBALCHIERO, Dictionnaire encyclopédique des apparitions de la Vierge. Fayard, Paris 2007.
Rappelons que R. LAURENTIN a publié :
Sens de Lourdes (Paris, Lethielleux, 1954), suivie de son Etude méthodique sur les apparitions de Lourdes (30 vol.), puis il a publié Lourdes, documents authentiques I (Paris, Lethielleux, 7 vol., à partir de 1957).
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
22 février - Bienheureuse Isabelle de France (+1270), fondatrice d'un couvent consacré à « l'Humilité de Notre Dame »
Lire
La Sainte Vierge connaissait-elle l’avenir ?
La Sainte Vierge connaissait-elle l’avenir ?
C’est la question posée par un jeune lecteur à la journaliste Juliette Levivier de l’hebdomadaire Famille Chrétienne (France) et voici sa réponse :
« Ta question m’a un peu surprise !
Je ne voyais pas vraiment Marie comme une « Madame Irma » de Galilée !
Tu me demandes d’abord si Marie savait à l’avance qu’elle serait la mère du Sauveur.
Certainement pas.
Saint Luc précise d’ailleurs qu’elle était « toute bouleversée ».
Choisie pour être la mère du Sauveur, tu imagines ?
Elle, la toute humble, comment se serait-elle doutée qu’elle recevrait une telle grâce ?
Marie ne pouvait pas imaginer le plan de Dieu avant qu’il ne se réalise, mais, comme toutes les filles d’Israël (et plus que toute autre), elle attendait avec ferveur le Sauveur promis par Dieu.
Le Seigneur avait préparé son cœur pour qu’elle puisse recevoir et accueillir paisiblement une telle nouvelle.
Le « oui » de Marie a été préparé de longue date par son espérance du Salut, par sa prière, par sa charité parfaite, mais elle ne le savait pas. »
Lire
La Sainte Vierge connaissait-elle l’avenir ?
La Sainte Vierge connaissait-elle l’avenir ?
C’est la question posée par un jeune lecteur à la journaliste Juliette Levivier de l’hebdomadaire Famille Chrétienne (France) et voici sa réponse :
« Ta question m’a un peu surprise !
Je ne voyais pas vraiment Marie comme une « Madame Irma » de Galilée !
Tu me demandes d’abord si Marie savait à l’avance qu’elle serait la mère du Sauveur.
Certainement pas.
Saint Luc précise d’ailleurs qu’elle était « toute bouleversée ».
Choisie pour être la mère du Sauveur, tu imagines ?
Elle, la toute humble, comment se serait-elle doutée qu’elle recevrait une telle grâce ?
Marie ne pouvait pas imaginer le plan de Dieu avant qu’il ne se réalise, mais, comme toutes les filles d’Israël (et plus que toute autre), elle attendait avec ferveur le Sauveur promis par Dieu.
Le Seigneur avait préparé son cœur pour qu’elle puisse recevoir et accueillir paisiblement une telle nouvelle.
Le « oui » de Marie a été préparé de longue date par son espérance du Salut, par sa prière, par sa charité parfaite, mais elle ne le savait pas. »
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
23 février – Allemagne, Wangen/Wigratzbad
Apparition de Marie Mère Immaculée de la Victoire à Cäcilia Geyer (1938), culte autorisé
« Je foulerai aux pieds la tête du serpent infernal »
Wigratzbad est un village proche de la Bavière, en Allemagne.
C'est un important lieu de pèlerinage, connu surtout par les apparitions de la Vierge Marie.
On y vénère Notre-Dame sous le titre de "L’Immaculée Conception, Mère de la Victoire."
Au cours de l’octave de l’Immaculée Conception de Marie, le 15 décembre 1936, tandis qu’Hitler était déjà à la tête de l'Allemagne, ont commencé les apparitions de la Vierge, d’abord à Antonie Rädler, qui fut guérie de la grippe espagnole, puis le 22 février 1938, à Cäcilia Geyer.
La Vierge demanda à Cäcilia :
"Édifiez-moi ici une chapelle, je foulerai aux pieds la tête du serpent infernal.
Les gens viendront ici en foule, et je répandrai sur eux des flots de grâces.
Le 17 juin 1938, le gouvernement allemand autorisait la construction de la chapelle dédiée à Marie "Mère de la Victoire".
L'inauguration avait été fixée au 8 décembre, pour l'Immaculée Conception, mais Antonie fut arrêtée par les nazis le 21 novembre.
Or, durant la nuit du 7 au 8 décembre 1938, la Vierge lui apparut et lui annonça sa libération imminente.
Antonie fut libérée le 18 décembre 1938.
Dès lors, l'affluence s'accrut à Wigratzbad.
D’après un article de Paulette Leblanc
nouvl.evangelisation.free.fr
Source
Mgr André de Witte
Evêque du diocèse de Ruy Barbosa – BA, Brésil
Interview exclusive de Thácio Siqueira pour Une Minute avec Marie
Apparition de Marie Mère Immaculée de la Victoire à Cäcilia Geyer (1938), culte autorisé
« Je foulerai aux pieds la tête du serpent infernal »
Wigratzbad est un village proche de la Bavière, en Allemagne.
C'est un important lieu de pèlerinage, connu surtout par les apparitions de la Vierge Marie.
On y vénère Notre-Dame sous le titre de "L’Immaculée Conception, Mère de la Victoire."
Au cours de l’octave de l’Immaculée Conception de Marie, le 15 décembre 1936, tandis qu’Hitler était déjà à la tête de l'Allemagne, ont commencé les apparitions de la Vierge, d’abord à Antonie Rädler, qui fut guérie de la grippe espagnole, puis le 22 février 1938, à Cäcilia Geyer.
La Vierge demanda à Cäcilia :
"Édifiez-moi ici une chapelle, je foulerai aux pieds la tête du serpent infernal.
Les gens viendront ici en foule, et je répandrai sur eux des flots de grâces.
Le 17 juin 1938, le gouvernement allemand autorisait la construction de la chapelle dédiée à Marie "Mère de la Victoire".
L'inauguration avait été fixée au 8 décembre, pour l'Immaculée Conception, mais Antonie fut arrêtée par les nazis le 21 novembre.
Or, durant la nuit du 7 au 8 décembre 1938, la Vierge lui apparut et lui annonça sa libération imminente.
Antonie fut libérée le 18 décembre 1938.
Dès lors, l'affluence s'accrut à Wigratzbad.
D’après un article de Paulette Leblanc
nouvl.evangelisation.free.fr
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Mgr André de Witte
Evêque du diocèse de Ruy Barbosa – BA, Brésil
Interview exclusive de Thácio Siqueira pour Une Minute avec Marie
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
24 février – Italie : Notre Dame des Sept Douleurs (1879) - + Paul Claudel (1955)
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Elle se laisse prendre, dans la confiance
« La Vierge aimait s’offrir : au Dieu de ses Pères, comme et mieux que ne l’avaient fait avant elle les saintes femmes de l’Écriture :
Sarah, Rebecca, Judith, Esther, Ruth…
Comme les auteurs des Psaumes dont elle faisait sa prière constante…
Mais voilà qu’elle est prise au piège d’un mariage qu’elle n’a sans doute pas souhaité, mais où elle voit une volonté du Seigneur, pourtant sans cohérence avec son dessein primitif.
Elle se laisse prendre, dans la confiance d’une issue quelque part, Dieu ne pouvant se contredire.
Comme fera plus tard sainte Cécile, si admirée en cela par sainte Thérèse de Lisieux, vierge résolue, acceptant pourtant sans crainte de se laisser marier.
Tout s’arrangera pour Marie, en effet, dans l’accord de son fiancé.
Lequel, tout pareillement, s’était offert en plénitude au même Dieu d’Israël.
Ce fut pour lui grande stupeur d’apprendre de sa bouche que celle qui lui était donnée pour fiancée, ou qu’il choisissait, était déjà « engagée ».
Et il s’est laissé prendre !
Mais ça ne fait que commencer pour lui, car la voilà enceinte ! Là encore, Dieu fournira une solution… mais que ce fut dur ! »
Père Francis Volle, cpcr
Tiré du livre Flashes originaux sur le Mystère de Noël, Éditions « Joyeuses Lumières », 2003.
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Elle se laisse prendre, dans la confiance
« La Vierge aimait s’offrir : au Dieu de ses Pères, comme et mieux que ne l’avaient fait avant elle les saintes femmes de l’Écriture :
Sarah, Rebecca, Judith, Esther, Ruth…
Comme les auteurs des Psaumes dont elle faisait sa prière constante…
Mais voilà qu’elle est prise au piège d’un mariage qu’elle n’a sans doute pas souhaité, mais où elle voit une volonté du Seigneur, pourtant sans cohérence avec son dessein primitif.
Elle se laisse prendre, dans la confiance d’une issue quelque part, Dieu ne pouvant se contredire.
Comme fera plus tard sainte Cécile, si admirée en cela par sainte Thérèse de Lisieux, vierge résolue, acceptant pourtant sans crainte de se laisser marier.
Tout s’arrangera pour Marie, en effet, dans l’accord de son fiancé.
Lequel, tout pareillement, s’était offert en plénitude au même Dieu d’Israël.
Ce fut pour lui grande stupeur d’apprendre de sa bouche que celle qui lui était donnée pour fiancée, ou qu’il choisissait, était déjà « engagée ».
Et il s’est laissé prendre !
Mais ça ne fait que commencer pour lui, car la voilà enceinte ! Là encore, Dieu fournira une solution… mais que ce fut dur ! »
Père Francis Volle, cpcr
Tiré du livre Flashes originaux sur le Mystère de Noël, Éditions « Joyeuses Lumières », 2003.
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
25 février – Italie, Venise : Vierge Nicopeia - 9° apparition à Lourdes - Charles VII reçoit Jeanne d'Arc à Chinon
« Je m’appelle Marie »
« Je suis née en Judée, il y a plus de deux mille ans, dans un petit village.
Mon nom aurait été enfoui dans l’oubli du temps si, une nuit, je n’avais eu la grâce de pouvoir accepter une incroyable mission.
Car cette nuit-là, Dieu s’est servi de moi pour accomplir un prodige de bonté et d’amour, pour tous les hommes, jusqu’à la fin des temps.
Je m’appelle Marie.
Voici mon histoire… voici celle de mon fils. »
Mon nom aurait été enfoui dans l’oubli du temps si, une nuit, je n’avais eu la grâce de pouvoir accepter une incroyable mission.
Car cette nuit-là, Dieu s’est servi de moi pour accomplir un prodige de bonté et d’amour, pour tous les hommes, jusqu’à la fin des temps.
Je m’appelle Marie.
Voici mon histoire… voici celle de mon fils. »
Vierge Marie
Extrait du roman Je m’appelle Marie, composé par Élisabeth Bourgois, dans le respect complet des Évangiles, aux Éditions du Cerf, Paris 2017.
En donnant la parole à la Vierge Marie, l’auteur raconte simplement et de façon très vivante l’histoire de la Sainte Famille au milieu de son entourage, à travers les yeux et le cœur de Marie : une performance audacieuse et réussie.
Un cadeau à répandre pour faire connaître l’Évangile.
Extrait du roman Je m’appelle Marie, composé par Élisabeth Bourgois, dans le respect complet des Évangiles, aux Éditions du Cerf, Paris 2017.
En donnant la parole à la Vierge Marie, l’auteur raconte simplement et de façon très vivante l’histoire de la Sainte Famille au milieu de son entourage, à travers les yeux et le cœur de Marie : une performance audacieuse et réussie.
Un cadeau à répandre pour faire connaître l’Évangile.
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
26 février – Russie
Bienheureuse Vierge Meschecia (1492)
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« Les Paraguayens sont « marials » par nature »
Au Paraguay, le sanctuaire de Notre-Dame de Caacupé (petite ville à 50 km à l’est de la capitale) est l’un des grands sanctuaires marials du pays et chaque année la Solennité de l’Immaculée Conception y marque également la fête de Notre Dame des Miracles en cette petite ville de Caacupé, « capitale spirituelle du Paraguay ».
L’Évêque émérite de Caacupé, Mgr Claudio Giménez Medina, qui fut pendant 22 ans ordinaire de la ville où se trouve le sanctuaire, explique de façon originale l’Immaculée Conception :
« L’Immaculée est intacte et saint Paul dit que nous avons été créés, avant la création du monde, intacts et irrépréhensibles en Jésus Christ.
Il s’agit d’une aide importante dont n’a pas bénéficié seulement Notre Dame mais nous aussi, bien que Notre Dame ait été préservée du péché originel. »
« Les Paraguayens, remarque Mgr Gimenez, sont marials par nature.
Le Paraguay est né avec Notre Dame de l’Assomption qui a marqué le destin du peuple.
Sa capitale, Asunción, a été fondée un 15 août.
Le pays, le peuple, la nation naquirent avec la présence de Notre Dame parmi nous et les Franciscains mirent au cœur de notre peuple l’amour de Notre Dame, en particulier de Notre Dame de l’Immaculée Conception ».
Agence Fides 22/12/2017Cliquer
Caacupé
Notre-Dame des miracles
Un centre national
Cette petite ville de 20 000 habitants attire l’attention du tout le pays quand vient le moment de la fête du 8 décembre.
Ce sanctuaire est un grand centre de pèlerinage, le centre religieux où se sont rencontré la patrie et l’église, où l’image a accompagné tout le processus de formation de la nationalité du Paraguay.
A l’origine, un homme, Indien, Guarani, échappé d’une attaque de sauvages, offre une statue comme ex-voto, dans un petit oratoire.
Le premier sanctuaire date de 1770. La basilique actuelle remonte à 1940.
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Fête
8 décembre
Les pèlerins commencent à venir durant les deux semaines qui précèdent la fête, certains montent à genoux les 5 km qui séparent la gare de la colline du sanctuaire. Ils chantent :
« C’est ton peuple, Vierge pure !
Il te donne son amour et sa foi.
Toi, donnes-lui paix et bonheur,
Dans ton Eden de Caacupé »
Jean Paul II, le 18 mai 1988 à Caacupé et confia à Marie l’Eglise de ce pays.
La statue de Marie
Cette statue représente Marie revêtue d’une tunique blanche, d’un manteau bleu avec un liseré d’or.
Elle écrase la tête d’un serpent, allusion directe aux textes bibliques de la Genèse et de l’Apocalypse (Gn 3, 15 et Ap 12).
Bienheureuse Vierge Meschecia (1492)
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« Les Paraguayens sont « marials » par nature »
Au Paraguay, le sanctuaire de Notre-Dame de Caacupé (petite ville à 50 km à l’est de la capitale) est l’un des grands sanctuaires marials du pays et chaque année la Solennité de l’Immaculée Conception y marque également la fête de Notre Dame des Miracles en cette petite ville de Caacupé, « capitale spirituelle du Paraguay ».
L’Évêque émérite de Caacupé, Mgr Claudio Giménez Medina, qui fut pendant 22 ans ordinaire de la ville où se trouve le sanctuaire, explique de façon originale l’Immaculée Conception :
« L’Immaculée est intacte et saint Paul dit que nous avons été créés, avant la création du monde, intacts et irrépréhensibles en Jésus Christ.
Il s’agit d’une aide importante dont n’a pas bénéficié seulement Notre Dame mais nous aussi, bien que Notre Dame ait été préservée du péché originel. »
« Les Paraguayens, remarque Mgr Gimenez, sont marials par nature.
Le Paraguay est né avec Notre Dame de l’Assomption qui a marqué le destin du peuple.
Sa capitale, Asunción, a été fondée un 15 août.
Le pays, le peuple, la nation naquirent avec la présence de Notre Dame parmi nous et les Franciscains mirent au cœur de notre peuple l’amour de Notre Dame, en particulier de Notre Dame de l’Immaculée Conception ».
Agence Fides 22/12/2017Cliquer
Caacupé
Notre-Dame des miracles
Un centre national
Cette petite ville de 20 000 habitants attire l’attention du tout le pays quand vient le moment de la fête du 8 décembre.
Ce sanctuaire est un grand centre de pèlerinage, le centre religieux où se sont rencontré la patrie et l’église, où l’image a accompagné tout le processus de formation de la nationalité du Paraguay.
A l’origine, un homme, Indien, Guarani, échappé d’une attaque de sauvages, offre une statue comme ex-voto, dans un petit oratoire.
Le premier sanctuaire date de 1770. La basilique actuelle remonte à 1940.
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Fête
8 décembre
Les pèlerins commencent à venir durant les deux semaines qui précèdent la fête, certains montent à genoux les 5 km qui séparent la gare de la colline du sanctuaire. Ils chantent :
« C’est ton peuple, Vierge pure !
Il te donne son amour et sa foi.
Toi, donnes-lui paix et bonheur,
Dans ton Eden de Caacupé »
Jean Paul II, le 18 mai 1988 à Caacupé et confia à Marie l’Eglise de ce pays.
La statue de Marie
Cette statue représente Marie revêtue d’une tunique blanche, d’un manteau bleu avec un liseré d’or.
Elle écrase la tête d’un serpent, allusion directe aux textes bibliques de la Genèse et de l’Apocalypse (Gn 3, 15 et Ap 12).
Note: vous noterez qu'ici et sur presque tous mes postes un texte est donné la suite est une recherche personnelle, je le signale car j'ai été prévenue qu'il y avait plagiat de la part d'un autre forum!!
Pour moi aucun problème si cela peut servir à l'évangélisation, par contre ce qui serait souhaitable c'est que cette personne donne la source!
Merci de votre compréhension
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
27 février – Italie : Notre Dame de La Route (1617) – 10e apparition à Lourdes
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Grand rassemblement de chapelet au Far West
Le 12 décembre 2017, jour de la fête de Notre Dame de Guadalupe, a eu lieu un grand rassemblement pour prier le Rosaire à travers les États-Unis.
Le « Rosaire sur les côtes et les frontières » (en anglais “Rosary on the Coasts and Borders”) a été l'initiative d'un groupe de fans de Church Militant à l’exemple de l’initiative polonaise du 7 octobre 2017 qui avait entouré le pays d’une chaîne humaine priant le chapelet (des événements similaires ont eu lieu aussi en Italie et en Irlande).
L'intention de ces prières aux États-Unis a été de « demander à la Vierge de sauver le pays du déni de la foi chrétienne et pour obtenir l’abolition de l'avortement ».
La fête de Notre Dame de Guadalupe a été choisie d'abord, parce que c’est la seule apparition mariale du Nouveau Monde reconnue officiellement par l'Église catholique.
Ensuite, parce que le pape Pie XII a nommé Notre Dame de Guadalupe Patronne des Amériques en 1946.
Les Canadiens ont également été invités à participer par l’organisation qui leur a adressé ce message
« Tournez-vous vers le Sud le 12 décembre et joignez-vous à nous pour jeter au ciel une bulle de protection à travers ces vastes terres.
Et quand vous ferez votre propre Rosaire canadien, nous nous tournerons vers le Nord... et nous vous rejoindrons dans le ciel pour le Canada ! »
Source
Santa Paula, Californie, 1er décembre 2017 (LifeSiteNews)
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Grand rassemblement de chapelet au Far West
Le 12 décembre 2017, jour de la fête de Notre Dame de Guadalupe, a eu lieu un grand rassemblement pour prier le Rosaire à travers les États-Unis.
Le « Rosaire sur les côtes et les frontières » (en anglais “Rosary on the Coasts and Borders”) a été l'initiative d'un groupe de fans de Church Militant à l’exemple de l’initiative polonaise du 7 octobre 2017 qui avait entouré le pays d’une chaîne humaine priant le chapelet (des événements similaires ont eu lieu aussi en Italie et en Irlande).
L'intention de ces prières aux États-Unis a été de « demander à la Vierge de sauver le pays du déni de la foi chrétienne et pour obtenir l’abolition de l'avortement ».
La fête de Notre Dame de Guadalupe a été choisie d'abord, parce que c’est la seule apparition mariale du Nouveau Monde reconnue officiellement par l'Église catholique.
Ensuite, parce que le pape Pie XII a nommé Notre Dame de Guadalupe Patronne des Amériques en 1946.
Les Canadiens ont également été invités à participer par l’organisation qui leur a adressé ce message
« Tournez-vous vers le Sud le 12 décembre et joignez-vous à nous pour jeter au ciel une bulle de protection à travers ces vastes terres.
Et quand vous ferez votre propre Rosaire canadien, nous nous tournerons vers le Nord... et nous vous rejoindrons dans le ciel pour le Canada ! »
Source
Santa Paula, Californie, 1er décembre 2017 (LifeSiteNews)
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
La Question du Mardi
En association avec
Une Minute avec Marie et les Questions de fond d'Aleteia
Une Minute avec Marie et les Questions de fond d'Aleteia
Le Christianisme a-t-il favorisé l’émancipation des femmes ?
Emanuelle Pastore
Emanuelle Pastore est consacrée de Regnum Christi.
Elle travaille au service de la pastorale de la jeunesse et collabore à plusieurs projets d'évangélisation...
Emanuelle Pastore est consacrée de Regnum Christi.
Elle travaille au service de la pastorale de la jeunesse et collabore à plusieurs projets d'évangélisation...
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M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
28 février- Italie : Notre Dame des Larmes (1522) - 11e apparition à Lourdes
Notre Dame des Larmes - Cliquer -
« On ne saurait parler d'elle : on la chante »
« On ne saurait parler d'elle : on la chante.
Difficile de raisonner à son sujet : on L'aime et on l'invoque.
Elle est objet non de spéculations de l'esprit, mais de poésie.
Les plus grands génies de l'univers ont mis leurs pinceaux et leurs plumes à son service.
Si Jésus incarne le Verbe, le Logos, la Lumière, la Raison, Marie personnifie l'Art, la Beauté, l'Amour.
Marie, chef-d'œuvre du Créateur, est celle en qui l'Esprit Saint a donné libre cours à son génie, celle en qui il a déversé le flot de ses inspirations.
Comme elle est belle, Marie !
Jamais on ne pourra assez la chanter. »
Chiara Lubich et les Focolari
Pour comprendre le mouvement des « Focolari », il faut suivre l'itinéraire de leur fondatrice, Chiara Lubich.
Elle reçut sa vocation à Lorette (sanctuaire-relique de la maison de Nazareth, en Italie), elle vécut un extraordinaire charisme d'unité et elle fonda « les Focolari », de rayonnement mondial.
Aurore d'une vocation.
Chiara Lubich est née à Trente en 1920 dans une famille chrétienne modeste et socialiste.
En 1939 elle devient enseignante dans une école primaire de sa ville natale et s'inscrit à la faculté de philosophie de l'université de Venise.
En 1939, elle visite avec des jeunes de l'Action Catholique le sanctuaire marial de Lorette et elle découvre sa vocation, tout à fait nouvelle en son genre.
Le 7 décembre 1943 elle s'engage dans le Tiers ordre franciscain avec le vœu de chasteté et elle prend le nom de Chiara. Cette date est considérée comme la naissance du mouvement des focolari.
La nuit du 13 mai 1944, sa maison est détruite par le bombardement sur la ville de Trente. Pendant que sa famille se réfugie sur les montagnes près de chez eux, elle reste à Trente, et avec ses compagnes, elle essaie de suivre l'Évangile « à la lettre ».
Le mouvement se développe.
- En 1948, elle rencontre pour la première fois Igino Giordani au Parlement italien. Député, écrivain, journaliste et père de quatre fils, il sera un cofondateur du mouvement dont il contribuera grandement à développer l'aspect social et spirituel.
- En 1949, elle rencontre le père Pasquale Foresi, il sera le premier prêtre focolarino. Il est aussi considéré comme un co-fondateur à cause de sa contribution aux études théologiques, aux statuts du mouvement, au premier centre Mariapoli (« cité de Marie »), et à la cité communautaire de Loppiano.
- Le mouvement des « focolari » s'est rapidement développé avec différentes branches : pour les femmes consacrées, les hommes, les jeunes (GEN, generazione nuove), les prêtres (GENS), les enfants, les familles (famiglie nuove).
- Le mouvement a une revue (en français « Nouvelle cité »), et une maison d'édition (Città Nuova) fondée en 1959.
- En 1962, le pape Jean XXIII a donné une approbation à la partie masculine du mouvement, sous le nom de Opera di Maria (Œuvre de Marie).
Une reconnaissance de la société civile.
Chiara Lubich a été désignée, en tant que fondatrice du Mouvement des Focolari, pour de nombreuses distinctions dans la société civile :
Prix Templeton, 1977, Londres.
Prix UNESCO de l'éducation pour la paix, 1996, Paris.
Prix européen des droits de l'homme, 1998, Conseil de l'Europe à Strasbourg.
En outre, elle a reçu de nombreux doctorats honoris causa (en théologie, philosophie, psychologie, etc.) dans différentes universités européennes, sud-américaines et asiatiques.
Avec les hommes de toutes les religions.
Chiara Lubich a été invitée à parler aux chrétiens d'autres confessions, aux hommes d'autres religions, et aux hommes sans référence religieuse. Partout elle interpelle par son message d'amour et d'unité :
« Plus qu'un dialogue, il s'agit d'un vivre ensemble qui trouve son expression concrète dans des actes de solidarité et le respect de nos diversités. »[1]
Le Genfest est un festival international et inter-religieux organisé pour les jeunes de 18 à 30 ans par le mouvement des Focolari. (concerts, échanges, témoignages, danses, flashmob, rencontres...)
Dans l'Eglise.
En 1982, Jean Paul II sollicite la première rencontre annuelle internationale avec les "Evêques amis du mouvement des Focolari".
Il s'agit de vivre une spiritualité de la communion d'une manière effective et affective.
En 1990, le conseil pontifical pour les laïcs approuve les statuts généraux de « l'Oeuvre de Marie » ou « mouvement des Focolari ». Les statuts précisent que c'est une femme qui dirigera les Focolari (dimension mariale).
En 1991, Chiara Lubich lance « l'économie de communion ».
La première assemblée internationale de l'économie de communion a eu lieu durant la Mariapoli de Ginetta (São Paulo, Brésil), en 1991. Il s'agit de remplacer la société de consommation par une « économie du don », parce que l'homme est créé « à l'image de Dieu qui est amour »[2].
Le 13 mars 2008, elle demande et obtient une décharge pour rentrer à sa maison de Rocca di Papa où elle s'éteint sereinement le lendemain, à l'âge de 88 ans. Elle est enterrée par le Cardinal Bertone.
Sources :
http://www.centrochiaralubich.org/it/chiara-lubich/nota-biografica.html
http://focolari.fr
http://www.focolare.org/it/chiara-lubich/chi-e-chiara/costruendo-lopera-di-maria/
[1] http://focolari.fr
[2]Chiara Lubich pendant à Rocca di Papa, 10 novembre 1991
www.focolare.org/it/news/2012/01/21/rapporto-economia-di-comunione-201011/
www.edc-online.org/en/component/docman/doc_download/1216-rapportoedc2010-11.html
Synthèse F. Breynaert
Chiara Lubich (1920-2008) et les Focolari
Chiara Lubich parle de Marie
L’économie de communion (Focolari)
Fondatrice du mouvement des Focolari (Italie)
Notre Dame des Larmes - Cliquer -
« On ne saurait parler d'elle : on la chante »
« On ne saurait parler d'elle : on la chante.
Difficile de raisonner à son sujet : on L'aime et on l'invoque.
Elle est objet non de spéculations de l'esprit, mais de poésie.
Les plus grands génies de l'univers ont mis leurs pinceaux et leurs plumes à son service.
Si Jésus incarne le Verbe, le Logos, la Lumière, la Raison, Marie personnifie l'Art, la Beauté, l'Amour.
Marie, chef-d'œuvre du Créateur, est celle en qui l'Esprit Saint a donné libre cours à son génie, celle en qui il a déversé le flot de ses inspirations.
Comme elle est belle, Marie !
Jamais on ne pourra assez la chanter. »
Chiara Lubich et les Focolari
Pour comprendre le mouvement des « Focolari », il faut suivre l'itinéraire de leur fondatrice, Chiara Lubich.
Elle reçut sa vocation à Lorette (sanctuaire-relique de la maison de Nazareth, en Italie), elle vécut un extraordinaire charisme d'unité et elle fonda « les Focolari », de rayonnement mondial.
Aurore d'une vocation.
Chiara Lubich est née à Trente en 1920 dans une famille chrétienne modeste et socialiste.
En 1939 elle devient enseignante dans une école primaire de sa ville natale et s'inscrit à la faculté de philosophie de l'université de Venise.
En 1939, elle visite avec des jeunes de l'Action Catholique le sanctuaire marial de Lorette et elle découvre sa vocation, tout à fait nouvelle en son genre.
Le 7 décembre 1943 elle s'engage dans le Tiers ordre franciscain avec le vœu de chasteté et elle prend le nom de Chiara. Cette date est considérée comme la naissance du mouvement des focolari.
La nuit du 13 mai 1944, sa maison est détruite par le bombardement sur la ville de Trente. Pendant que sa famille se réfugie sur les montagnes près de chez eux, elle reste à Trente, et avec ses compagnes, elle essaie de suivre l'Évangile « à la lettre ».
Le mouvement se développe.
- En 1948, elle rencontre pour la première fois Igino Giordani au Parlement italien. Député, écrivain, journaliste et père de quatre fils, il sera un cofondateur du mouvement dont il contribuera grandement à développer l'aspect social et spirituel.
- En 1949, elle rencontre le père Pasquale Foresi, il sera le premier prêtre focolarino. Il est aussi considéré comme un co-fondateur à cause de sa contribution aux études théologiques, aux statuts du mouvement, au premier centre Mariapoli (« cité de Marie »), et à la cité communautaire de Loppiano.
- Le mouvement des « focolari » s'est rapidement développé avec différentes branches : pour les femmes consacrées, les hommes, les jeunes (GEN, generazione nuove), les prêtres (GENS), les enfants, les familles (famiglie nuove).
- Le mouvement a une revue (en français « Nouvelle cité »), et une maison d'édition (Città Nuova) fondée en 1959.
- En 1962, le pape Jean XXIII a donné une approbation à la partie masculine du mouvement, sous le nom de Opera di Maria (Œuvre de Marie).
Une reconnaissance de la société civile.
Chiara Lubich a été désignée, en tant que fondatrice du Mouvement des Focolari, pour de nombreuses distinctions dans la société civile :
Prix Templeton, 1977, Londres.
Prix UNESCO de l'éducation pour la paix, 1996, Paris.
Prix européen des droits de l'homme, 1998, Conseil de l'Europe à Strasbourg.
En outre, elle a reçu de nombreux doctorats honoris causa (en théologie, philosophie, psychologie, etc.) dans différentes universités européennes, sud-américaines et asiatiques.
Avec les hommes de toutes les religions.
Chiara Lubich a été invitée à parler aux chrétiens d'autres confessions, aux hommes d'autres religions, et aux hommes sans référence religieuse. Partout elle interpelle par son message d'amour et d'unité :
« Plus qu'un dialogue, il s'agit d'un vivre ensemble qui trouve son expression concrète dans des actes de solidarité et le respect de nos diversités. »[1]
Le Genfest est un festival international et inter-religieux organisé pour les jeunes de 18 à 30 ans par le mouvement des Focolari. (concerts, échanges, témoignages, danses, flashmob, rencontres...)
Dans l'Eglise.
En 1982, Jean Paul II sollicite la première rencontre annuelle internationale avec les "Evêques amis du mouvement des Focolari".
Il s'agit de vivre une spiritualité de la communion d'une manière effective et affective.
En 1990, le conseil pontifical pour les laïcs approuve les statuts généraux de « l'Oeuvre de Marie » ou « mouvement des Focolari ». Les statuts précisent que c'est une femme qui dirigera les Focolari (dimension mariale).
En 1991, Chiara Lubich lance « l'économie de communion ».
La première assemblée internationale de l'économie de communion a eu lieu durant la Mariapoli de Ginetta (São Paulo, Brésil), en 1991. Il s'agit de remplacer la société de consommation par une « économie du don », parce que l'homme est créé « à l'image de Dieu qui est amour »[2].
Le 13 mars 2008, elle demande et obtient une décharge pour rentrer à sa maison de Rocca di Papa où elle s'éteint sereinement le lendemain, à l'âge de 88 ans. Elle est enterrée par le Cardinal Bertone.
Sources :
http://www.centrochiaralubich.org/it/chiara-lubich/nota-biografica.html
http://focolari.fr
http://www.focolare.org/it/chiara-lubich/chi-e-chiara/costruendo-lopera-di-maria/
[1] http://focolari.fr
[2]Chiara Lubich pendant à Rocca di Papa, 10 novembre 1991
www.focolare.org/it/news/2012/01/21/rapporto-economia-di-comunione-201011/
www.edc-online.org/en/component/docman/doc_download/1216-rapportoedc2010-11.html
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Chiara Lubich (1920-2008) et les Focolari
Chiara Lubich parle de Marie
L’économie de communion (Focolari)
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
"La victoire viendra par Marie" passe déjà les 50.000 vues sur YouTube !
« LA VICTOIRE VIENDRA PAR MARIE » (47 minutes), a été réalisée à partir d'une conférence sur la Vierge Marie donnée le 27 novembre 2017 dans une paroisse de Paris.
Cette synthèse sur le mystère de la Mère de Dieu publiée le 1er janvier dernier a déjà passé les 50.000 vues sur YouTube, et nous recevons beaucoup de réactions très enthousiastes.
Vidéo réalisée à partir d'une conférence sur la Vierge Marie donnée le 27 novembre 2017 dans une paroisse de Paris.
Il s'agit d'une synthèse et d'un résumé sur le mystère de la Mère de Dieu qui est infiniment vaste, élevé, profond.
Cette synthèse sur le mystère de la Mère de Dieu publiée le 1er janvier dernier a déjà passé les 50.000 vues sur YouTube, et nous recevons beaucoup de réactions très enthousiastes.
Vidéo réalisée à partir d'une conférence sur la Vierge Marie donnée le 27 novembre 2017 dans une paroisse de Paris.
Il s'agit d'une synthèse et d'un résumé sur le mystère de la Mère de Dieu qui est infiniment vaste, élevé, profond.
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
1 mars – Italie : Notre Dame de Machaby (1800) – 12e apparition à Lourdes
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Pour répondre à la prière de sa Mère
« Les dernières paroles jaillies du Cœur aimant de Marie ont été prononcées lors des noces de Cana.
« Comme le vin venait à manquer, la mère de Jésus lui dit :
« Ils n'ont pas de vin. »
Et Jésus lui dit :
« Femme, que me veux-tu ?
Mon heure n'est pas encore venue. »
La sollicitude aimante du Cœur maternel de Marie éclate à nouveau.
Pour l'heure, à Cana, elle intercède pour un vin terrestre, celui qui réjouira les convives et gardera les époux de la confusion.
De nos jours encore, la Vierge Marie intercède auprès de son Fils et demande pour eux le vin spirituel de l'Évangile.
Si les jarres remplies d'eau représentent l'Ancienne Alliance, le vin des noces figure la Nouvelle Alliance, le vin nouveau de l'Évangile, à verser dans des outres neuves.
Marie, en bonne mère, demande pour ses enfants qu'ils reçoivent l'Évangile, que s'ouvrent leurs cœurs au sens de l'Écriture, que leur soit accordée « l'intelligence du Mystère du Christ ».
Parce que Dieu est absent de notre monde, parce que notre temps manque du vin de l'Évangile et persécute l'Église, parce que l'Église manque de saints, la Vierge Marie intercède auprès de Jésus, et, quoique son heure ne soit pas venue, il fera des miracles pour répondre à la prière de sa Mère.
Ses désirs sont les siens, tant leurs cœurs sont accordés jusqu'à ne faire qu'un seul Cœur. »
Père Jean
Abbaye Sainte-Marie de Lagrasse (Aude, France)
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Pour répondre à la prière de sa Mère
« Les dernières paroles jaillies du Cœur aimant de Marie ont été prononcées lors des noces de Cana.
« Comme le vin venait à manquer, la mère de Jésus lui dit :
« Ils n'ont pas de vin. »
Et Jésus lui dit :
« Femme, que me veux-tu ?
Mon heure n'est pas encore venue. »
La sollicitude aimante du Cœur maternel de Marie éclate à nouveau.
Pour l'heure, à Cana, elle intercède pour un vin terrestre, celui qui réjouira les convives et gardera les époux de la confusion.
De nos jours encore, la Vierge Marie intercède auprès de son Fils et demande pour eux le vin spirituel de l'Évangile.
Si les jarres remplies d'eau représentent l'Ancienne Alliance, le vin des noces figure la Nouvelle Alliance, le vin nouveau de l'Évangile, à verser dans des outres neuves.
Marie, en bonne mère, demande pour ses enfants qu'ils reçoivent l'Évangile, que s'ouvrent leurs cœurs au sens de l'Écriture, que leur soit accordée « l'intelligence du Mystère du Christ ».
Parce que Dieu est absent de notre monde, parce que notre temps manque du vin de l'Évangile et persécute l'Église, parce que l'Église manque de saints, la Vierge Marie intercède auprès de Jésus, et, quoique son heure ne soit pas venue, il fera des miracles pour répondre à la prière de sa Mère.
Ses désirs sont les siens, tant leurs cœurs sont accordés jusqu'à ne faire qu'un seul Cœur. »
Père Jean
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
2 février - Purification de la Sainte Vierge - Présentation de Jésus au Temple
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Voici l’heure où Marie, Vierge et Reine, vint au temple avec son Fils
« C’était le jour de la Purification de la Vierge.
J’étais à Foligno, dans l’église des Frères Mineurs.
Et la voix parla, elle me dit :
« Voici l’heure où Marie, Vierge et Reine, vint au temple avec son Fils. »
Mon âme écouta avec un grand amour, et, ayant écouté, elle fut ravie ; et dans son ravissement elle vit entrer la Reine, et elle alla au-devant d’elle, tremblante de respect.
J’hésitais pourtant ; je craignais d’approcher.
Elle me rassura, et tendit vers moi Jésus, et me dit :
« Ô toi qui aimes mon Fils, reçois celui que tu aimes. »
Elle le déposa dans mes bras ; il était enveloppé de langes ; il avait les yeux fermés comme dans le sommeil.
La Reine s’assit, comme une femme fatiguée.
Ses gestes étaient si beaux, son attitude si merveilleuse, sa personne si noble, sa vue si sublime, que mes yeux ne pouvaient se fixer sur Jésus seul, et étaient forcés de regarder sa mère.
Tout à coup l’enfant s’éveilla dans mes bras.
Ses langes étaient tombés, il ouvrit et leva les yeux.
Jésus me regarda ; dans ce coup d’œil il me vainquit absolument.
La splendeur sortait de ses yeux, et sa joie brillait comme une flamme aveuglante.
Alors il apparut dans sa majesté immense, ineffable, et il me dit :
« Celui qui ne m’aura pas vu petit ne me verra pas grand. »
Il ajouta :
« Je suis venu à toi, et je m’offre à toi pour que tu t’offres à moi. »
Livre des visions et instructions n°45
Ste Angèle de Foligno (1248-1309)
Angèle est née en 1248 à Foligno, près d'Assise (Italie).
Elle s'est mariée vers 1268 et mena une vie assez frivole.
Elle commence à se convertir en 1285, par une bonne confession.
Trois ans plus tard, durant l'année 1288, elle perd sa mère, son mari et ses enfants.
Elle accentue alors sa vie spirituelle, et, en 1291, elle fut admise dans le Tiers Ordre de saint François.
Elle meurt en 1309.
Son cheminement spirituel a été marqué par une bonne confession générale, suivie d'une conversion qui pas à pas a été de plus en plus profonde.
Elle bénéficie aussi de grâces sensibles, c'est-à-dire qu'elle se sent parfois très unie à Dieu, bénie de la Vierge Marie...
Elle dit parfois « mon cœur est celui de Dieu et le cœur de Dieu est le mien».
Encouragée, elle continue à vouloir réparer ses péchés passés par un amour plus fervent, mais elle sent que par elle-même elle ne peut rien donner à Dieu.
Et voici que, sur son chemin mystique, Angèle comprend en profondeur la réalité centrale: ce qui la sauvera de son «indignité» et de «l'enfer qu'elle mérite», ce ne sera pas son «union avec Dieu» et sa possession de la «vérité», mais Jésus crucifié, «sa crucifixion pour moi», son amour[1].
Autrement dit, à la fin de sa vie, ce qu'elle donne à Dieu, c'est ce que Dieu lui-même lui donne.
En un mot, « dans l'itinéraire spirituel d'Angèle, le passage de la conversion à l'expérience mystique, de ce qui peut être exprimé à l'inexprimable, a lieu à travers le Crucifix. »[2]
Elle a donc un message très actuel à transmettre de nos jours où beaucoup, sous l'influence des mystiques musulmans (sufis) ou des religions orientales, sont tentés par une union à Dieu ou au divin, sans le Christ.
Angèle de Foligno (1309) fut déclarée bienheureuse en 1701 et canonisée le 9 octobre 2013 par le pape François.
Elle est fêtée le 4 janvier.
[1] Tout ceci est expliqué en détail dans l'audience du pape Benoît XVI, ci-dessous.
[2] Benoît XVI, audience générale du 13 octobre 2010
Ste Angèle de Foligno (1248-1309)
Angèle de Foligno (Benoît XVI)
L’Incarnation (Ste Angèle de Foligno †1309)
2 février (Ste Angèle de Foligno †1309)
Passion de Jésus, compassion de Marie, voies de la délivrance (Ste Angèle de Foligno †1309)
L’Ascension (Ste Angèle de Foligno †1309)
Une communion spirituelle (Ste Angèle de Foligno)
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Voici l’heure où Marie, Vierge et Reine, vint au temple avec son Fils
« C’était le jour de la Purification de la Vierge.
J’étais à Foligno, dans l’église des Frères Mineurs.
Et la voix parla, elle me dit :
« Voici l’heure où Marie, Vierge et Reine, vint au temple avec son Fils. »
Mon âme écouta avec un grand amour, et, ayant écouté, elle fut ravie ; et dans son ravissement elle vit entrer la Reine, et elle alla au-devant d’elle, tremblante de respect.
J’hésitais pourtant ; je craignais d’approcher.
Elle me rassura, et tendit vers moi Jésus, et me dit :
« Ô toi qui aimes mon Fils, reçois celui que tu aimes. »
Elle le déposa dans mes bras ; il était enveloppé de langes ; il avait les yeux fermés comme dans le sommeil.
La Reine s’assit, comme une femme fatiguée.
Ses gestes étaient si beaux, son attitude si merveilleuse, sa personne si noble, sa vue si sublime, que mes yeux ne pouvaient se fixer sur Jésus seul, et étaient forcés de regarder sa mère.
Tout à coup l’enfant s’éveilla dans mes bras.
Ses langes étaient tombés, il ouvrit et leva les yeux.
Jésus me regarda ; dans ce coup d’œil il me vainquit absolument.
La splendeur sortait de ses yeux, et sa joie brillait comme une flamme aveuglante.
Alors il apparut dans sa majesté immense, ineffable, et il me dit :
« Celui qui ne m’aura pas vu petit ne me verra pas grand. »
Il ajouta :
« Je suis venu à toi, et je m’offre à toi pour que tu t’offres à moi. »
Livre des visions et instructions n°45
Ste Angèle de Foligno (1248-1309)
Angèle est née en 1248 à Foligno, près d'Assise (Italie).
Elle s'est mariée vers 1268 et mena une vie assez frivole.
Elle commence à se convertir en 1285, par une bonne confession.
Trois ans plus tard, durant l'année 1288, elle perd sa mère, son mari et ses enfants.
Elle accentue alors sa vie spirituelle, et, en 1291, elle fut admise dans le Tiers Ordre de saint François.
Elle meurt en 1309.
Son cheminement spirituel a été marqué par une bonne confession générale, suivie d'une conversion qui pas à pas a été de plus en plus profonde.
Elle bénéficie aussi de grâces sensibles, c'est-à-dire qu'elle se sent parfois très unie à Dieu, bénie de la Vierge Marie...
Elle dit parfois « mon cœur est celui de Dieu et le cœur de Dieu est le mien».
Encouragée, elle continue à vouloir réparer ses péchés passés par un amour plus fervent, mais elle sent que par elle-même elle ne peut rien donner à Dieu.
Et voici que, sur son chemin mystique, Angèle comprend en profondeur la réalité centrale: ce qui la sauvera de son «indignité» et de «l'enfer qu'elle mérite», ce ne sera pas son «union avec Dieu» et sa possession de la «vérité», mais Jésus crucifié, «sa crucifixion pour moi», son amour[1].
Autrement dit, à la fin de sa vie, ce qu'elle donne à Dieu, c'est ce que Dieu lui-même lui donne.
En un mot, « dans l'itinéraire spirituel d'Angèle, le passage de la conversion à l'expérience mystique, de ce qui peut être exprimé à l'inexprimable, a lieu à travers le Crucifix. »[2]
Elle a donc un message très actuel à transmettre de nos jours où beaucoup, sous l'influence des mystiques musulmans (sufis) ou des religions orientales, sont tentés par une union à Dieu ou au divin, sans le Christ.
Angèle de Foligno (1309) fut déclarée bienheureuse en 1701 et canonisée le 9 octobre 2013 par le pape François.
Elle est fêtée le 4 janvier.
[1] Tout ceci est expliqué en détail dans l'audience du pape Benoît XVI, ci-dessous.
[2] Benoît XVI, audience générale du 13 octobre 2010
Ste Angèle de Foligno (1248-1309)
Angèle de Foligno (Benoît XVI)
L’Incarnation (Ste Angèle de Foligno †1309)
2 février (Ste Angèle de Foligno †1309)
Passion de Jésus, compassion de Marie, voies de la délivrance (Ste Angèle de Foligno †1309)
L’Ascension (Ste Angèle de Foligno †1309)
Une communion spirituelle (Ste Angèle de Foligno)
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
3 mars – Italie
Notre Dame du secours
Sainte Guénolé - 14e apparition à Lourdes
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« Dans quel sens la foi de Marie a été une marche ? »
« Le Concile Vatican II affirme que Marie « avança dans son pèlerinage de foi ».
C’est pourquoi elle nous précède dans ce pèlerinage, elle nous accompagne, nous soutient.
Dans quel sens la foi de Marie a été une marche ?
Dans le sens que, toute sa vie, elle a suivi son Fils : c’est lui – lui Jésus – la route, c’est lui le chemin ! Progresser dans la foi, avancer dans ce pèlerinage spirituel qu’est la foi, n’est autre que suivre Jésus ; l’écouter et se laisser guider par ses paroles ; voir comment il se comporte et mettre nos pieds dans ses pas, avoir ses sentiments et ses attitudes mêmes.
Et quels sont les sentiments et les attitudes de Jésus ?
Humilité, miséricorde, proximité, mais aussi ferme refus de l’hypocrisie, de la duplicité, de l’idolâtrie.
Le chemin de Jésus est celui de l’amour fidèle jusqu’au bout, jusqu’au sacrifice de sa vie, c’est le chemin de la Croix.
C’est pourquoi le chemin de la foi passe par la Croix et Marie l’a compris dès le début, quand Hérode voulait tuer Jésus qui venait de naître.
(…) Quand est arrivée l’«heure » de Jésus, l’heure de la passion : alors la foi de Marie a été la petite flamme dans la nuit, (…) et quand elle a appris que le tombeau était vide, dans son cœur a débordé la joie de la foi, la foi chrétienne en la mort et résurrection de Jésus Christ.
Parce que la foi nous conduit toujours à la joie, et elle, elle est la Mère de la joie : qui nous enseigne à aller par ce chemin de la joie et à vivre cette joie ! »
Pape François
Place Saint-Pierre, samedi 12 octobre 2013, Année de la Foi
Lire
Source
Notre Dame du secours
Sainte Guénolé - 14e apparition à Lourdes
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« Dans quel sens la foi de Marie a été une marche ? »
« Le Concile Vatican II affirme que Marie « avança dans son pèlerinage de foi ».
C’est pourquoi elle nous précède dans ce pèlerinage, elle nous accompagne, nous soutient.
Dans quel sens la foi de Marie a été une marche ?
Dans le sens que, toute sa vie, elle a suivi son Fils : c’est lui – lui Jésus – la route, c’est lui le chemin ! Progresser dans la foi, avancer dans ce pèlerinage spirituel qu’est la foi, n’est autre que suivre Jésus ; l’écouter et se laisser guider par ses paroles ; voir comment il se comporte et mettre nos pieds dans ses pas, avoir ses sentiments et ses attitudes mêmes.
Et quels sont les sentiments et les attitudes de Jésus ?
Humilité, miséricorde, proximité, mais aussi ferme refus de l’hypocrisie, de la duplicité, de l’idolâtrie.
Le chemin de Jésus est celui de l’amour fidèle jusqu’au bout, jusqu’au sacrifice de sa vie, c’est le chemin de la Croix.
C’est pourquoi le chemin de la foi passe par la Croix et Marie l’a compris dès le début, quand Hérode voulait tuer Jésus qui venait de naître.
(…) Quand est arrivée l’«heure » de Jésus, l’heure de la passion : alors la foi de Marie a été la petite flamme dans la nuit, (…) et quand elle a appris que le tombeau était vide, dans son cœur a débordé la joie de la foi, la foi chrétienne en la mort et résurrection de Jésus Christ.
Parce que la foi nous conduit toujours à la joie, et elle, elle est la Mère de la joie : qui nous enseigne à aller par ce chemin de la joie et à vivre cette joie ! »
Pape François
Place Saint-Pierre, samedi 12 octobre 2013, Année de la Foi
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
4 mars
Italie : Notre Dame des Sept Douleurs (1603)
Saint Casimir
15e apparition à Lourdes
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Présence de saint Joseph, époux de la Vierge Marie
En ce mois de saint Joseph qui a commencé le premier mars, il est bon de rappeler à quel point le si discret saint époux de Marie est présent tout au long de l’histoire de l’Église.
En voici quelques repères :
Saint Joseph est apparu en France à Cotignac (1660), invitant un berger à soulever une pierre pour trouver une source.
En Pologne à Kalisz (1670), saint Joseph a guéri un homme en lui révélant un tableau représentant la famille, l'Esprit Saint, Dieu le Père - tableau intitulé Allez à Joseph.
En 1870, le pape Pie IX confia l'Église à la protection spéciale de saint Joseph, le déclarant « patron de l'Église Catholique ».
En 1879, les apparitions silencieuses de Knock, en Irlande, montrent la Vierge Marie, saint Joseph, saint Jean, l'autel et le Christ Agneau.
En octobre 1917, saint Joseph est vu par les voyants de Fatima.
De 1904 à 1967 au Québec, le Frère André construit sur un mont un monumental oratoire à saint Joseph - miracles et guérisons abondent...
Au début du XXIe siècle, au Brésil, sont alléguées des apparitions à Itapiranga qui recommandent la dévotion au cœur très chaste de saint Joseph, le mercredi qui suit la solennité du Sacré Cœur de Jésus.
Le pape François a célébré sa messe d'intronisation le 19 mars, fête de saint Joseph.
En la première année de son pontificat, il a promulgué un décret pour que soit nommé saint Joseph dans le canon de toutes les prières eucharistiques.
Joseph
Italie : Notre Dame des Sept Douleurs (1603)
Saint Casimir
15e apparition à Lourdes
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Présence de saint Joseph, époux de la Vierge Marie
En ce mois de saint Joseph qui a commencé le premier mars, il est bon de rappeler à quel point le si discret saint époux de Marie est présent tout au long de l’histoire de l’Église.
En voici quelques repères :
Saint Joseph est apparu en France à Cotignac (1660), invitant un berger à soulever une pierre pour trouver une source.
En Pologne à Kalisz (1670), saint Joseph a guéri un homme en lui révélant un tableau représentant la famille, l'Esprit Saint, Dieu le Père - tableau intitulé Allez à Joseph.
En 1870, le pape Pie IX confia l'Église à la protection spéciale de saint Joseph, le déclarant « patron de l'Église Catholique ».
En 1879, les apparitions silencieuses de Knock, en Irlande, montrent la Vierge Marie, saint Joseph, saint Jean, l'autel et le Christ Agneau.
En octobre 1917, saint Joseph est vu par les voyants de Fatima.
De 1904 à 1967 au Québec, le Frère André construit sur un mont un monumental oratoire à saint Joseph - miracles et guérisons abondent...
Au début du XXIe siècle, au Brésil, sont alléguées des apparitions à Itapiranga qui recommandent la dévotion au cœur très chaste de saint Joseph, le mercredi qui suit la solennité du Sacré Cœur de Jésus.
Le pape François a célébré sa messe d'intronisation le 19 mars, fête de saint Joseph.
En la première année de son pontificat, il a promulgué un décret pour que soit nommé saint Joseph dans le canon de toutes les prières eucharistiques.
Joseph
Pour bien regarder le mystère de Joseph, il n'est pas inutile d'essayer de prendre la dimension de son mystère en contemplant son origine dans le passé (terminus a quo) et son déploiement final dans l'avenir (terminus ad quem) en passant par son rôle et sa place uniques par rapport à la Vierge Marie, par rapport au mystère de Dieu et à son plan de Dieu, par rapport à l'Eglise et par le modèle qu'il constitue pour chacun de nous.
1 - « Fils de David », héritier des promesses
Selon les promesses de Dieu, le Messie devait naître de l’arbre de Jessé (Isaïe 11,1), dans la lignée de David (2 Samuel 7,5-16).
C’est par Joseph, lui-même « de la maison et de la descendance de David » (Luc 2,4), que s’accomplissent toutes ces promesses.
L’Ange l’appelle « Fils de David »(Matthieu 1,20) et Joseph le sera jusqu’à sa mort, après laquelle c’est à Jésus lui-même que sera donné ce titre (Luc 18,38-39)
2 - « Epoux de la Vierge Marie », dans un vrai mariage
« Joseph fit ce que l'Ange du Seigneur lui avait prescrit : il prit chez lui son épouse »; ce qui est engendré en elle « vient de l'Esprit-Saint » (Mt 1, 20) : ne faut-il pas conclure, devant ces expressions, que son amour d'homme est, lui aussi, régénéré par l'Esprit-Saint?
» (Jean Paul II, Redemptoris custos 19)
L'amour établit une communion. Joseph « participe » au mystère de l'Incarnation, avec Marie, « entraîné dans la réalité du même événement salvifique » (Jean Paul II, Redemptoris custos 1)
En participant au mystère, Joseph soutient la foi de Marie :
« En ayant devant les yeux le texte des deux évangélistes, Matthieu et Luc, on peut dire également que Joseph est le premier à participer à la foi de la Mère de Dieu, et qu'ainsi il soutient son épouse dans la foi à l'Annonciation divine. »
Il est « placé par Dieu » auprès de Marie pour la soutenir dans son « pèlerinage de la foi. » (Jean Paul II, Redemptoris Custos, § 5)
3 - « Père de Jésus », nourricier, gardien et éducateur
- Le titre de père, reconnu à saint Joseph par Marie et par Jésus (Lc 2, 48) montre que la paternité humaine n'est pas seulement, comme chez les animaux, l'acte simple de la génération, mais elle comprend d'autres fonctions, comme l'accueil et l'éducation.
Saint Joseph a accueilli Jésus et lui a donné le nom, la subsistance, l'éducation, le métier et la condition sociale, sans rien négliger de ses devoirs de père.
- Saint Joseph pourrait être vu comme le patron des enfants dans le sein de leur mère, car l'ange lui dit de prendre Marie pour femme alors qu'elle était enceinte de Jésus (Mt 1 18-25).
Il fut le protecteur de Jésus avant sa naissance.
- Pendant la fuite en Egypte, la famille est confiée à la garde de Joseph, qui se laisse guider par Dieu.
La liturgie rappelle qu'« à saint Joseph a été confiée la garde des mystères du salut à l'aube des temps nouveaux » et elle précise qu'« il fut le serviteur fidèle et prudent à qui Dieu confia la Famille pour qu'il veille comme un père sur son Fils unique ».
Dieu a jugé suffisante pour son Fils la fidélité et la prudence de Joseph.
4 - Protecteur et patron de l'Eglise universelle
Joseph est apparu en France à Cotignac (1660), invitant un berger à soulever une pierre pour trouver une source...
En Pologne à Kalisz (1670), Joseph a guéri un homme en lui révélant un tableau représentant la famille, l'Esprit Saint, Dieu le Père - tableau intitulé "Allez à Joseph".
En 1870, le pape Pie IX confia l'Eglise à la protection spéciale de saint Joseph, le déclarant « patron de l'Eglise Catholique.
» En 1879, les apparitions silencieuses de Knock, en Irlande, montrent la Vierge Marie, saint Joseph, saint Jean, l'autel et le Christ Agneau. En octobre 1917, saint Joseph est vu par les voyants de Fatima. De 1904 à 1967 au Québec, le frère André construit sur un mont un monumental oratoire à saint Joseph - miracles et guérisons abondent...
Au début du XXI° siècle, au Brésil, sont alléguées des apparitions à Itapiranga qui recommandent la dévotion au coeur très chaste de saint Joseph, le mercredi qui suit la solennité du Sacré Coeur de Jésus.
Le pape François a célébré sa messe d'intronisation le 19 mars, fête de saint Joseph. En la première année de son pontificat, il a promulgué un décret pour que soit nommé saint Joseph dans le canon de toutes les prières eucharistiques.
5 - Modèle de vie intérieure (silence, prière, travail)
Joseph est un modèle de silence : les Écritures constituent notre seule source d’information directe concernant saint Joseph et elles nous invitent à l’écoute de son silence.
Joseph peut être regardé comme le Chérubin qui veille sur l’Arche de la Nouvelle Alliance et sa contemplation du mystère de Dieu le conduit naturellement au silence de l’émerveillement.
Joseph est un modèle d'oraison et de vie intérieure : citons par exemple Thérèse d'Avila :
« Depuis plusieurs années, ce me semble, que je lui demande [à saint Joseph] quelque chose le jour de sa fête, il m'a toujours exaucée ; lorsque ma demande n'est pas tout à fait juste, il la redresse, pour mon plus grand bien. [...]
Les personnes d'oraison, en particulier, devraient toujours s'attacher à lui ; car je ne sais comment on peut penser à la Reine des Anges au temps qu'elle vécut auprès de l'enfant Jésus, sans remercier saint Joseph de les avoir si efficacement aidés.
Que ceux qui ne trouveraient pas de maître pour leur enseigner l'oraison prennent pour maître ce glorieux saint, et ils ne s'égareront pas en chemin. » (Thérèse d'Avila, autobiographie VI, 7-huit)
Joseph rendit le travail humain proche du mystère de la Rédemption : « Le travail humain, en particulier le travail manuel, prend un accent spécial dans l'Évangile.
Il est entré dans le mystère de l'Incarnation en même temps que l'humanité du Fils de Dieu, de même aussi qu'il a été racheté d'une manière particulière.
Grâce à son atelier où il exerçait son métier en même temps que Jésus, Joseph rendit le travail humain proche du mystère de la Rédemption. » (Jean-Paul II, Redemptoris Custos, 22).
Ce fait nous concerne tous. Citons par exemple Thérèse de Lisieux :
« Tout est si grand en religion... ramasser une épingle par amour peut convertir une âme.
Quel mystère !...
Ah! c'est Jésus qui peut seul donner un tel prix à nos actions, aimons-le donc de toutes nos forces... »
Thérèse de l'Enfant Jésus, Lettre 164 à Léonie (22 mai 1894)
6 - Le XXIème siècle permettra de découvrir Joseph
C'est l'opinion de grands saints comme Padre Pio, ou de mystiques comme Marthe Robin et c'est aussi certainement le souhait de la Vierge Marie, qui pousse à tourner les regards vers Saint Joseph, comme elle l'a fait à Fatima en annonçant longtemps à l'avance et en mettant en lumière spécialement lors de la dernière apparition la figure de Joseph portant Jésus et bénissant le monde.
1 - « Fils de David », héritier des promesses
Selon les promesses de Dieu, le Messie devait naître de l’arbre de Jessé (Isaïe 11,1), dans la lignée de David (2 Samuel 7,5-16).
C’est par Joseph, lui-même « de la maison et de la descendance de David » (Luc 2,4), que s’accomplissent toutes ces promesses.
L’Ange l’appelle « Fils de David »(Matthieu 1,20) et Joseph le sera jusqu’à sa mort, après laquelle c’est à Jésus lui-même que sera donné ce titre (Luc 18,38-39)
2 - « Epoux de la Vierge Marie », dans un vrai mariage
« Joseph fit ce que l'Ange du Seigneur lui avait prescrit : il prit chez lui son épouse »; ce qui est engendré en elle « vient de l'Esprit-Saint » (Mt 1, 20) : ne faut-il pas conclure, devant ces expressions, que son amour d'homme est, lui aussi, régénéré par l'Esprit-Saint?
» (Jean Paul II, Redemptoris custos 19)
L'amour établit une communion. Joseph « participe » au mystère de l'Incarnation, avec Marie, « entraîné dans la réalité du même événement salvifique » (Jean Paul II, Redemptoris custos 1)
En participant au mystère, Joseph soutient la foi de Marie :
« En ayant devant les yeux le texte des deux évangélistes, Matthieu et Luc, on peut dire également que Joseph est le premier à participer à la foi de la Mère de Dieu, et qu'ainsi il soutient son épouse dans la foi à l'Annonciation divine. »
Il est « placé par Dieu » auprès de Marie pour la soutenir dans son « pèlerinage de la foi. » (Jean Paul II, Redemptoris Custos, § 5)
3 - « Père de Jésus », nourricier, gardien et éducateur
- Le titre de père, reconnu à saint Joseph par Marie et par Jésus (Lc 2, 48) montre que la paternité humaine n'est pas seulement, comme chez les animaux, l'acte simple de la génération, mais elle comprend d'autres fonctions, comme l'accueil et l'éducation.
Saint Joseph a accueilli Jésus et lui a donné le nom, la subsistance, l'éducation, le métier et la condition sociale, sans rien négliger de ses devoirs de père.
- Saint Joseph pourrait être vu comme le patron des enfants dans le sein de leur mère, car l'ange lui dit de prendre Marie pour femme alors qu'elle était enceinte de Jésus (Mt 1 18-25).
Il fut le protecteur de Jésus avant sa naissance.
- Pendant la fuite en Egypte, la famille est confiée à la garde de Joseph, qui se laisse guider par Dieu.
La liturgie rappelle qu'« à saint Joseph a été confiée la garde des mystères du salut à l'aube des temps nouveaux » et elle précise qu'« il fut le serviteur fidèle et prudent à qui Dieu confia la Famille pour qu'il veille comme un père sur son Fils unique ».
Dieu a jugé suffisante pour son Fils la fidélité et la prudence de Joseph.
4 - Protecteur et patron de l'Eglise universelle
Joseph est apparu en France à Cotignac (1660), invitant un berger à soulever une pierre pour trouver une source...
En Pologne à Kalisz (1670), Joseph a guéri un homme en lui révélant un tableau représentant la famille, l'Esprit Saint, Dieu le Père - tableau intitulé "Allez à Joseph".
En 1870, le pape Pie IX confia l'Eglise à la protection spéciale de saint Joseph, le déclarant « patron de l'Eglise Catholique.
» En 1879, les apparitions silencieuses de Knock, en Irlande, montrent la Vierge Marie, saint Joseph, saint Jean, l'autel et le Christ Agneau. En octobre 1917, saint Joseph est vu par les voyants de Fatima. De 1904 à 1967 au Québec, le frère André construit sur un mont un monumental oratoire à saint Joseph - miracles et guérisons abondent...
Au début du XXI° siècle, au Brésil, sont alléguées des apparitions à Itapiranga qui recommandent la dévotion au coeur très chaste de saint Joseph, le mercredi qui suit la solennité du Sacré Coeur de Jésus.
Le pape François a célébré sa messe d'intronisation le 19 mars, fête de saint Joseph. En la première année de son pontificat, il a promulgué un décret pour que soit nommé saint Joseph dans le canon de toutes les prières eucharistiques.
5 - Modèle de vie intérieure (silence, prière, travail)
Joseph est un modèle de silence : les Écritures constituent notre seule source d’information directe concernant saint Joseph et elles nous invitent à l’écoute de son silence.
Joseph peut être regardé comme le Chérubin qui veille sur l’Arche de la Nouvelle Alliance et sa contemplation du mystère de Dieu le conduit naturellement au silence de l’émerveillement.
Joseph est un modèle d'oraison et de vie intérieure : citons par exemple Thérèse d'Avila :
« Depuis plusieurs années, ce me semble, que je lui demande [à saint Joseph] quelque chose le jour de sa fête, il m'a toujours exaucée ; lorsque ma demande n'est pas tout à fait juste, il la redresse, pour mon plus grand bien. [...]
Les personnes d'oraison, en particulier, devraient toujours s'attacher à lui ; car je ne sais comment on peut penser à la Reine des Anges au temps qu'elle vécut auprès de l'enfant Jésus, sans remercier saint Joseph de les avoir si efficacement aidés.
Que ceux qui ne trouveraient pas de maître pour leur enseigner l'oraison prennent pour maître ce glorieux saint, et ils ne s'égareront pas en chemin. » (Thérèse d'Avila, autobiographie VI, 7-huit)
Joseph rendit le travail humain proche du mystère de la Rédemption : « Le travail humain, en particulier le travail manuel, prend un accent spécial dans l'Évangile.
Il est entré dans le mystère de l'Incarnation en même temps que l'humanité du Fils de Dieu, de même aussi qu'il a été racheté d'une manière particulière.
Grâce à son atelier où il exerçait son métier en même temps que Jésus, Joseph rendit le travail humain proche du mystère de la Rédemption. » (Jean-Paul II, Redemptoris Custos, 22).
Ce fait nous concerne tous. Citons par exemple Thérèse de Lisieux :
« Tout est si grand en religion... ramasser une épingle par amour peut convertir une âme.
Quel mystère !...
Ah! c'est Jésus qui peut seul donner un tel prix à nos actions, aimons-le donc de toutes nos forces... »
Thérèse de l'Enfant Jésus, Lettre 164 à Léonie (22 mai 1894)
6 - Le XXIème siècle permettra de découvrir Joseph
C'est l'opinion de grands saints comme Padre Pio, ou de mystiques comme Marthe Robin et c'est aussi certainement le souhait de la Vierge Marie, qui pousse à tourner les regards vers Saint Joseph, comme elle l'a fait à Fatima en annonçant longtemps à l'avance et en mettant en lumière spécialement lors de la dernière apparition la figure de Joseph portant Jésus et bénissant le monde.
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
5 mars – Italie Notre Dame Du Miracle (1440)
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Max Jacob (1944) poète juif converti
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Apparition éclatante à Zeitoun en 1970
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L’alliée la plus précieuse de Dieu
La mère est, avec le prêtre, l’alliée la plus précieuse de Dieu.
La Vierge Marie est l’image la plus magnifique de l’amour maternel, l’image aussi de l’amour merveilleux de Dieu pour les hommes.
Dans la Bulle Ineffabilis Deus (8 décembre 1854), le pape Pie IX exhorte les fidèles à se mettre sous sa protection et sa conduite :
« Que les enfants de l’Église catholique, Nos Fils bien-aimés, entendent nos paroles, et qu’animés chaque jour d’une piété, d’une vénération, d’un amour plus ardents, ils continuent d’honorer, d’invoquer, de prier la Bienheureuse Mère de Dieu, la Vierge Marie, conçue sans la tache originelle ; et que, dans tous leurs périls, dans leurs angoisses, dans leurs nécessités, dans leurs doutes et dans leurs craintes, ils se réfugient avec une entière confiance auprès de cette très douce Mère de miséricorde et de grâce. »
Les bouleversements survenus dans la société ces dernières années ont donné à la maternité une actualité particulièrement brûlante (…). Du respect que l’on porte à la mère, dépend la solidité du fondement des peuples.
« Plus l’humanité s’éloigne de Dieu, plus il lui devient difficile de comprendre et d’apprécier l’apport personnel de la femme. (...)
Les femmes doivent voir une haute marque de distinction dans le fait que Dieu est apparu sur les bras d’une mère, et qu’il a mené jusqu’au bout, au côté d’une mère, son existence de Dieu fait homme. »
Cardinal Joseph Mindszenty (1892-1975), Primat de Hongrie
Extrait de La Mère, miroir de Dieu, éditions Parthénon, 312 pages
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Max Jacob (1944) poète juif converti
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Apparition éclatante à Zeitoun en 1970
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L’alliée la plus précieuse de Dieu
La mère est, avec le prêtre, l’alliée la plus précieuse de Dieu.
La Vierge Marie est l’image la plus magnifique de l’amour maternel, l’image aussi de l’amour merveilleux de Dieu pour les hommes.
Dans la Bulle Ineffabilis Deus (8 décembre 1854), le pape Pie IX exhorte les fidèles à se mettre sous sa protection et sa conduite :
« Que les enfants de l’Église catholique, Nos Fils bien-aimés, entendent nos paroles, et qu’animés chaque jour d’une piété, d’une vénération, d’un amour plus ardents, ils continuent d’honorer, d’invoquer, de prier la Bienheureuse Mère de Dieu, la Vierge Marie, conçue sans la tache originelle ; et que, dans tous leurs périls, dans leurs angoisses, dans leurs nécessités, dans leurs doutes et dans leurs craintes, ils se réfugient avec une entière confiance auprès de cette très douce Mère de miséricorde et de grâce. »
Les bouleversements survenus dans la société ces dernières années ont donné à la maternité une actualité particulièrement brûlante (…). Du respect que l’on porte à la mère, dépend la solidité du fondement des peuples.
« Plus l’humanité s’éloigne de Dieu, plus il lui devient difficile de comprendre et d’apprécier l’apport personnel de la femme. (...)
Les femmes doivent voir une haute marque de distinction dans le fait que Dieu est apparu sur les bras d’une mère, et qu’il a mené jusqu’au bout, au côté d’une mère, son existence de Dieu fait homme. »
Cardinal Joseph Mindszenty (1892-1975), Primat de Hongrie
Extrait de La Mère, miroir de Dieu, éditions Parthénon, 312 pages
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
6 mars – Italie, Padoue : Notre Dame des Grâces (1630)
« Je ne suis pas mort ! »
Alors qu'Olivier, de Toulouse (France) se trouve en soins intensifs, sur le point de mourir, son frère Bertrand, qui est à Lourdes (France), prie pour lui.
Sauvé, Olivier vient rendre grâce à Notre Dame pour son intercession :
« Voici ce qui m'est arrivé.
J'étais victime d'un choc septique viral – ce que l'on appelle couramment, une septicémie.
Les risques d'en réchapper existent, mais tout dépend du temps écoulé passé avant d'être pris en charge.
Parfois, il suffit de quelques minutes de trop pour qu'il soit trop tard.
Or de longues heures s’étaient écoulées avant ma prise en charge !
Le 2 avril 2016, en fin de matinée, je reprends conscience.
Le soir, à 21h30, mon frère Bertrand, alerté par ma fille, fait la route pour venir à mon chevet.
Il me déclare d'emblée :
« J'arrive de Lourdes, où j'ai passé la journée à la chapelle des confessions.
Tu sais, pendant tout ce temps, je n'ai eu de cesse de prier pour toi. »
Le 9 avril, ma fille est venue me chercher pour me ramener à la maison.
Depuis, j'ai repris une vie tout à fait normale !
Après ce qui m'est arrivé – je ne suis pas mort ! – je n'ai eu qu'une idée en tête et qu'un désir ardent dans mon cœur :
De Toulouse (France), me rendre le plus vite possible à Lourdes pour rendre grâce à Notre Dame pour son intercession.
Ce vœu a été exaucé le 11 mai 2016. »
Source
Olivier (France)
Publié dans Lourdes Journal des Grâces #5 Juillet 2016
« Je ne suis pas mort ! »
Alors qu'Olivier, de Toulouse (France) se trouve en soins intensifs, sur le point de mourir, son frère Bertrand, qui est à Lourdes (France), prie pour lui.
Sauvé, Olivier vient rendre grâce à Notre Dame pour son intercession :
« Voici ce qui m'est arrivé.
J'étais victime d'un choc septique viral – ce que l'on appelle couramment, une septicémie.
Les risques d'en réchapper existent, mais tout dépend du temps écoulé passé avant d'être pris en charge.
Parfois, il suffit de quelques minutes de trop pour qu'il soit trop tard.
Or de longues heures s’étaient écoulées avant ma prise en charge !
Le 2 avril 2016, en fin de matinée, je reprends conscience.
Le soir, à 21h30, mon frère Bertrand, alerté par ma fille, fait la route pour venir à mon chevet.
Il me déclare d'emblée :
« J'arrive de Lourdes, où j'ai passé la journée à la chapelle des confessions.
Tu sais, pendant tout ce temps, je n'ai eu de cesse de prier pour toi. »
Le 9 avril, ma fille est venue me chercher pour me ramener à la maison.
Depuis, j'ai repris une vie tout à fait normale !
Après ce qui m'est arrivé – je ne suis pas mort ! – je n'ai eu qu'une idée en tête et qu'un désir ardent dans mon cœur :
De Toulouse (France), me rendre le plus vite possible à Lourdes pour rendre grâce à Notre Dame pour son intercession.
Ce vœu a été exaucé le 11 mai 2016. »
Source
Olivier (France)
Publié dans Lourdes Journal des Grâces #5 Juillet 2016
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
•La Question du Mardi•
En association avec
Une Minute avec Marie et les Questions de fond d'Aleteia
Une Minute avec Marie et les Questions de fond d'Aleteia
En quoi la liturgie nous entraîne-t-elle à la prière ?
Père Alain Dumont
Prêtre de la Communauté de l'Emmanuel Curé de Saint-Symphorien-en-Côte-Chalonnaise
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
7 mars – Italie : Apparition de la Madonna Del Monte Berico (1426)
Une source d’eau jaillirait de la roche !
Dans le nord de l’Italie, proche de Vicence, la Vierge Marie apparut à une vieille femme, Vincenza Parisi, le 1er août 1428, alors que la ville, décimée par la peste, était à la dernière extrémité.
La Vierge promit à Vicenza la fin de l’épidémie si l’on décidait de construire une église sur le mont Berico.
La vieille femme redescendit en ville et on la crut :
Le Conseil décida de construire en un temps très bref, cette église.
La Vierge avait parlé à Vincenza d’une source d’eau qui jaillirait de la roche vive sur le lieu où l’on construirait le sanctuaire, et c’est ce qui se produisit.
Au cours des travaux, jaillit en guise de source une quantité d’eau merveilleuse et incroyable… au point de déborder comme un fleuve abondant !
Conformément à la seconde promesse de la Vierge, l’argent afflua pour la construction.
Finalement, la grande peste disparut et, l’église ayant été achevée en trois mois, toute cette province fut totalement libérée de cette calamité et ne souffrit absolument plus de cette maladie.
Le très fréquenté sanctuaire de la Madone du mont Berico est devenu l’un des lieux de dévotion mariale les plus importants d’Europe :
« Le premier dimanche du mois nous avons en moyenne vingt-deux mille confessions », rapportent les Servites de Marie, qui gardent depuis 1435 ce très beau site et son magnifique panorama.
D’après un article de Pina Baglioni, de la revue 30 jours
La Vierge promit à Vicenza la fin de l’épidémie si l’on décidait de construire une église sur le mont Berico.
La vieille femme redescendit en ville et on la crut :
Le Conseil décida de construire en un temps très bref, cette église.
La Vierge avait parlé à Vincenza d’une source d’eau qui jaillirait de la roche vive sur le lieu où l’on construirait le sanctuaire, et c’est ce qui se produisit.
Au cours des travaux, jaillit en guise de source une quantité d’eau merveilleuse et incroyable… au point de déborder comme un fleuve abondant !
Conformément à la seconde promesse de la Vierge, l’argent afflua pour la construction.
Finalement, la grande peste disparut et, l’église ayant été achevée en trois mois, toute cette province fut totalement libérée de cette calamité et ne souffrit absolument plus de cette maladie.
Le très fréquenté sanctuaire de la Madone du mont Berico est devenu l’un des lieux de dévotion mariale les plus importants d’Europe :
« Le premier dimanche du mois nous avons en moyenne vingt-deux mille confessions », rapportent les Servites de Marie, qui gardent depuis 1435 ce très beau site et son magnifique panorama.
D’après un article de Pina Baglioni, de la revue 30 jours
VICENZA : Monte Berico
A l'origine, une apparition et la fin de la peste :
De 1426 à 1430, Vicenza, dans le nord de l’Italie, fut ravagée par une épidémie de peste.
Le 7 mars 1426, Vincenza Parisi, soixante-dix ans, voit sur la colline de Monte Berico, proche de Vicence, «une reine vêtue d’habits plus resplendissants que le soleil et enveloppée de mille parfums».
Vincenza défaille et tombe à terre.
Alors l’apparition la relève et lui dit :
« Je suis la Vierge Marie, la Mère du Christ mort en croix, pour le salut des hommes.
Je te prie d’aller dire en mon nom au peuple de Vicence de construire en ce lieu une église en mon honneur, s’il veut retrouver la santé, sans quoi la peste ne cessera pas. »
Le 25 août 1428 débute la construction du sanctuaire.
A l’automne suivant est érigée l’église primitive.
En 1429, les Frères de Brigitte de Venise construisent un couvent près du sanctuaire.
En 1430, l’apparition fut l’objet d’un procès conclu positivement.
Vincenza est un haut lieu de l’ordre des Servites.
Le sanctuaire actuel
Le sanctuaire est construit dans un élégant style baroque.
L’image qui est vénérée est une « mère de la miséricorde » et représente Marie dans l’acte de protéger dans son manteau les fidèles.
A l’extérieur, sur le mont, les 15 mystères du rosaire sont représentés.
Œuvres : séminaire religieux des Servites de Marie ; centre de culture mariale.
Séjour : maison du pèlerin.
Fêtes :
15 août
8 septembre
Site officiel (traduit en français) : http://www.monteberico.it/sito/francese/francese.php
Cf. Domenico MARCUZZI, Santuari mariani d’Italia, edizioni Paoline, Roma 1982, p. 109
GAMBA Marino, Apparizioni mariane nel corso di due millenni, Udine, Segno, 1999, p.297 René LAURENTIN et Patrick SBALCHIERO, «MONTE BERICO», dans : René LAURENTIN et Patrick SBALCHIERO, Dictionnaire encyclopédique des apparitions de la Vierge, Fayard, Paris 2007.
A l'origine, une apparition et la fin de la peste :
De 1426 à 1430, Vicenza, dans le nord de l’Italie, fut ravagée par une épidémie de peste.
Le 7 mars 1426, Vincenza Parisi, soixante-dix ans, voit sur la colline de Monte Berico, proche de Vicence, «une reine vêtue d’habits plus resplendissants que le soleil et enveloppée de mille parfums».
Vincenza défaille et tombe à terre.
Alors l’apparition la relève et lui dit :
« Je suis la Vierge Marie, la Mère du Christ mort en croix, pour le salut des hommes.
Je te prie d’aller dire en mon nom au peuple de Vicence de construire en ce lieu une église en mon honneur, s’il veut retrouver la santé, sans quoi la peste ne cessera pas. »
Le 25 août 1428 débute la construction du sanctuaire.
A l’automne suivant est érigée l’église primitive.
En 1429, les Frères de Brigitte de Venise construisent un couvent près du sanctuaire.
En 1430, l’apparition fut l’objet d’un procès conclu positivement.
Vincenza est un haut lieu de l’ordre des Servites.
Le sanctuaire actuel
Le sanctuaire est construit dans un élégant style baroque.
L’image qui est vénérée est une « mère de la miséricorde » et représente Marie dans l’acte de protéger dans son manteau les fidèles.
A l’extérieur, sur le mont, les 15 mystères du rosaire sont représentés.
Œuvres : séminaire religieux des Servites de Marie ; centre de culture mariale.
Séjour : maison du pèlerin.
Fêtes :
15 août
8 septembre
Site officiel (traduit en français) : http://www.monteberico.it/sito/francese/francese.php
Cf. Domenico MARCUZZI, Santuari mariani d’Italia, edizioni Paoline, Roma 1982, p. 109
GAMBA Marino, Apparizioni mariane nel corso di due millenni, Udine, Segno, 1999, p.297 René LAURENTIN et Patrick SBALCHIERO, «MONTE BERICO», dans : René LAURENTIN et Patrick SBALCHIERO, Dictionnaire encyclopédique des apparitions de la Vierge, Fayard, Paris 2007.
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
8 mars - Saint Jean de Dieu (+ 1550)
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Quand la Vierge Marie fait le « buzz » sur le net
Le moteur de recherche Google vient de publier son classement français des significations les plus recherchées sur le Web :
Oligarchie, ergonome, régalien, PMA et Assomption sont, dans l’ordre, les cinq mots, ou sigles, dont les définitions ont été les plus recherchées durant ces douze derniers mois, soit en 2017.
On notera que l’Assomption de la Vierge Marie y est en excellente position : numéro 5 !
Ce qui donne à Google l’occasion d’expliquer à ses utilisateurs- via Wikipedia - le dogme de l’Assomption :
« L'Assomption de Marie est la croyance religieuse orthodoxe et catholique selon laquelle la Vierge Marie, mère de Jésus, n'est pas morte comme tout un chacun, mais est entrée directement dans la gloire de Dieu (ce qu'on traduirait communément par « montée au ciel »). »
Merci donc pour cette occasion - fortuite peut-être mais bien réelle - d’évangélisation mariale !
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Quand la Vierge Marie fait le « buzz » sur le net
Le moteur de recherche Google vient de publier son classement français des significations les plus recherchées sur le Web :
Oligarchie, ergonome, régalien, PMA et Assomption sont, dans l’ordre, les cinq mots, ou sigles, dont les définitions ont été les plus recherchées durant ces douze derniers mois, soit en 2017.
On notera que l’Assomption de la Vierge Marie y est en excellente position : numéro 5 !
Ce qui donne à Google l’occasion d’expliquer à ses utilisateurs- via Wikipedia - le dogme de l’Assomption :
« L'Assomption de Marie est la croyance religieuse orthodoxe et catholique selon laquelle la Vierge Marie, mère de Jésus, n'est pas morte comme tout un chacun, mais est entrée directement dans la gloire de Dieu (ce qu'on traduirait communément par « montée au ciel »). »
Merci donc pour cette occasion - fortuite peut-être mais bien réelle - d’évangélisation mariale !
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
9 mars – Italie, Trévise : Notre Dame Des Miracles 1510 - Saint Dominique Savio (1842 - 1857)
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Mes amis seront Jésus et Marie !
Dominique Savio (Italien) fait sa première communion à sept ans en 1849, et il écrit ses résolutions :
« 1) Je me confesserai très souvent et je communierai toutes les fois que mon confesseur me le permettra.
2) Je veux sanctifier les jours de fête.
3) Mes amis seront Jésus et Marie.
4) La mort mais pas de péchés. »
Don Bosco passant dans la région en octobre 1854, on lui parle de Dominique et il est « stupéfait de découvrir l'œuvre que la grâce divine avait déjà accomplie en un garçon si jeune. »
Le 8 décembre 1854, quand le pape Pie IX proclame le dogme de l'Immaculé Conception, Dominique se consacre à la Sainte Vierge et renouvelle les promesses de sa première communion :
« Marie je vous donne mon cœur; faites qu'il soit toujours vôtre.
Jésus et Marie, soyez toujours mes amis, mais de grâce, faites-moi mourir plutôt que d'avoir le malheur de commettre un seul péché. »
Sa vie est alors tellement transformée qu'à partir de ce jour, Don Bosco se met à noter ses faits et gestes pour ne pas les oublier.
Il tombe malade en 1857.
Le 9 mars, il agonise : le visage lumineux, il expire les mains jointes et croisées sur la poitrine, sans le moindre mouvement ; il a 15 ans.
Sa vie fut écrite par Don Bosco, lequel ne pouvait évoquer son souvenir sans pleurer.
Saint Dominique Savio (1842-1857)
Saint Dominique Savio naquit à Riva di Chieri, près de Turin. Il était le deuxième d'une famille de dix enfants.
Doué d'une tendre piété et d'une intelligence précoce, dès l'âge de quatre ans Dominique récite l'Angélus trois fois par jour ; le récit de la Passion le bouleverse.
A cinq ans, il assiste à la messe qu'il est admis à servir avant d'avoir atteint ses six ans.
Il s'acquittera toujours de cette pieuse fonction avec un grand recueillement.
Sa ferveur exceptionnelle lui valut la grâce de recevoir la Eucharistie dès l'âge de sept ans, contrairement aux habitudes de l'époque.
Le jour de sa première communion, il écrivit une série de résolutions qu'il voulait garder toute sa vie :
« Je sanctifierai tous les jours de fête ; je me confesserai souvent et je communierai aussi souvent que mon confesseur me le permettra ; Jésus et Marie seront mes amis.
Je préfère mourir plutôt que de pécher ».
A douze ans Dominique dédie sa vie à l'Immaculée
Dans l'espoir de devenir prêtre plus tard, le petit Dominique franchit, pieds nus, seize kilomètres par jour pour aller s'instruire.
La grande pauvreté de sa famille incite le curé de sa paroisse à le conduire chez Don Bosco qui prendra un soin tout paternel de cette âme d'élite.
C'est en octobre 1854, à l'âge de douze ans et demi que Dominique fut présenté au saint prêtre de Turin.
L'adolescent lui ouvrit son âme toute grande, surtout par la confession hebdomadaire.
Le 8 décembre 1854, alors que l'univers chrétien tout entier acclamait la Vierge, proclamée Immaculée, Dominique Lui dédiait toute sa vie et Lui consacrait particulièrement sa pureté d'adolescent.
L'amour de la pureté poussait notre jeune saint à bannir de l'institut de Don Bosco tout ce qui pouvait nuire à la belle vertu.
Au printemps 1855, l'appel à la sainteté retentit dans l'âme angélique de Dominique:
«Dieu me veut saint !», répétait-il à Don Bosco.
Cherchant à ressembler à Jésus en Son mystère de souffrance, envahi de plus en plus par l'amour de Jésus Rédempteur, il s'ingénie au sacrifice et fonce dans la voie des pénitences extraordinaires.
Mais « Non, objecte Don Bosco ; ton devoir d'étudiant, la joie permanente au service des autres, voilà ta sainteté ».
Avec quelques amis il fonde la Compagnie de l'Immaculée
Dominique obéit de bon coeur à cette formule d'ascèse toute salésienne.
Chaque jour, il rencontre Jésus dans l'Eucharistie.
On se rend vite compte que ses actions de grâces sont de purs ravissements.
Lorsque, un peu plus tard, il propose la fondation de la Compagnie de l'Immaculée, ses compagnons lui demandent ce qu'ils auront à faire :
«D'abord, explique le jeune saint, nous aimerons la Vierge de tout notre coeur.
Nous Lui demanderons aussi de nous protéger pendant la vie et surtout à l'heure de la mort.
Enfin, chaque fois qu'il y aura une de Ses fêtes, on fera tout son possible pour la rendre belle et on communiera.»
Les durs hivers de Turin achevèrent de détériorer sa santé qui n'avait jamais été brillante ; elle chancela grièvement au début de l'année 1857.
Malgré le courage et la joie héroïque de Dominique, il dut interrompre sa classe de seconde et rentrer dans sa famille à Mondonio pour tenter d'y refaire ses forces.
Hélas ! Huit jours après son arrivée à la maison, il expirait dans les bras de son père.
Dominique avait 14 ans et 11 mois.
(Résumé O.D.M. d'après une image et R. P. Mongour, édition 1950, p. 52, p. 72)
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Mes amis seront Jésus et Marie !
Dominique Savio (Italien) fait sa première communion à sept ans en 1849, et il écrit ses résolutions :
« 1) Je me confesserai très souvent et je communierai toutes les fois que mon confesseur me le permettra.
2) Je veux sanctifier les jours de fête.
3) Mes amis seront Jésus et Marie.
4) La mort mais pas de péchés. »
Don Bosco passant dans la région en octobre 1854, on lui parle de Dominique et il est « stupéfait de découvrir l'œuvre que la grâce divine avait déjà accomplie en un garçon si jeune. »
Le 8 décembre 1854, quand le pape Pie IX proclame le dogme de l'Immaculé Conception, Dominique se consacre à la Sainte Vierge et renouvelle les promesses de sa première communion :
« Marie je vous donne mon cœur; faites qu'il soit toujours vôtre.
Jésus et Marie, soyez toujours mes amis, mais de grâce, faites-moi mourir plutôt que d'avoir le malheur de commettre un seul péché. »
Sa vie est alors tellement transformée qu'à partir de ce jour, Don Bosco se met à noter ses faits et gestes pour ne pas les oublier.
Il tombe malade en 1857.
Le 9 mars, il agonise : le visage lumineux, il expire les mains jointes et croisées sur la poitrine, sans le moindre mouvement ; il a 15 ans.
Sa vie fut écrite par Don Bosco, lequel ne pouvait évoquer son souvenir sans pleurer.
Saint Dominique Savio (1842-1857)
Saint Dominique Savio naquit à Riva di Chieri, près de Turin. Il était le deuxième d'une famille de dix enfants.
Doué d'une tendre piété et d'une intelligence précoce, dès l'âge de quatre ans Dominique récite l'Angélus trois fois par jour ; le récit de la Passion le bouleverse.
A cinq ans, il assiste à la messe qu'il est admis à servir avant d'avoir atteint ses six ans.
Il s'acquittera toujours de cette pieuse fonction avec un grand recueillement.
Sa ferveur exceptionnelle lui valut la grâce de recevoir la Eucharistie dès l'âge de sept ans, contrairement aux habitudes de l'époque.
Le jour de sa première communion, il écrivit une série de résolutions qu'il voulait garder toute sa vie :
« Je sanctifierai tous les jours de fête ; je me confesserai souvent et je communierai aussi souvent que mon confesseur me le permettra ; Jésus et Marie seront mes amis.
Je préfère mourir plutôt que de pécher ».
A douze ans Dominique dédie sa vie à l'Immaculée
Dans l'espoir de devenir prêtre plus tard, le petit Dominique franchit, pieds nus, seize kilomètres par jour pour aller s'instruire.
La grande pauvreté de sa famille incite le curé de sa paroisse à le conduire chez Don Bosco qui prendra un soin tout paternel de cette âme d'élite.
C'est en octobre 1854, à l'âge de douze ans et demi que Dominique fut présenté au saint prêtre de Turin.
L'adolescent lui ouvrit son âme toute grande, surtout par la confession hebdomadaire.
Le 8 décembre 1854, alors que l'univers chrétien tout entier acclamait la Vierge, proclamée Immaculée, Dominique Lui dédiait toute sa vie et Lui consacrait particulièrement sa pureté d'adolescent.
L'amour de la pureté poussait notre jeune saint à bannir de l'institut de Don Bosco tout ce qui pouvait nuire à la belle vertu.
Au printemps 1855, l'appel à la sainteté retentit dans l'âme angélique de Dominique:
«Dieu me veut saint !», répétait-il à Don Bosco.
Cherchant à ressembler à Jésus en Son mystère de souffrance, envahi de plus en plus par l'amour de Jésus Rédempteur, il s'ingénie au sacrifice et fonce dans la voie des pénitences extraordinaires.
Mais « Non, objecte Don Bosco ; ton devoir d'étudiant, la joie permanente au service des autres, voilà ta sainteté ».
Avec quelques amis il fonde la Compagnie de l'Immaculée
Dominique obéit de bon coeur à cette formule d'ascèse toute salésienne.
Chaque jour, il rencontre Jésus dans l'Eucharistie.
On se rend vite compte que ses actions de grâces sont de purs ravissements.
Lorsque, un peu plus tard, il propose la fondation de la Compagnie de l'Immaculée, ses compagnons lui demandent ce qu'ils auront à faire :
«D'abord, explique le jeune saint, nous aimerons la Vierge de tout notre coeur.
Nous Lui demanderons aussi de nous protéger pendant la vie et surtout à l'heure de la mort.
Enfin, chaque fois qu'il y aura une de Ses fêtes, on fera tout son possible pour la rendre belle et on communiera.»
Les durs hivers de Turin achevèrent de détériorer sa santé qui n'avait jamais été brillante ; elle chancela grièvement au début de l'année 1857.
Malgré le courage et la joie héroïque de Dominique, il dut interrompre sa classe de seconde et rentrer dans sa famille à Mondonio pour tenter d'y refaire ses forces.
Hélas ! Huit jours après son arrivée à la maison, il expirait dans les bras de son père.
Dominique avait 14 ans et 11 mois.
(Résumé O.D.M. d'après une image et R. P. Mongour, édition 1950, p. 52, p. 72)
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M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
10 mars – Italie, Bari
Notre Dame Des Miracles (1576)
Cliquer
2018 : « Année Benoîte » au sanctuaire Notre-Dame du Laus
Niché au cœur des Hautes-Alpes (France), à 900m d’altitude, le sanctuaire Notre-Dame du Laus fait partie des trésors à découvrir.
La beauté et le calme des lieux ne sont pas les seuls atouts de ce sanctuaire marial au paysage exceptionnel ; fort de 54 années d’apparitions de la Vierge Marie, le Laus porte aussi un message et propose une expérience spirituelle hors du commun.
2018 pourrait bien être l’année idéale pour découvrir ou redécouvrir ce sanctuaire haut-alpin explique le Père Ludovic Frère, vicaire général du diocèse de Gap et Embrun.
Trois anniversaires sont fêtés conjointement à Notre-Dame du Laus en 2018 :
Les 300 ans de la fin des apparitions, les 300 ans de la mort de Benoîte Rencurel (logiquement, puisqu’elle a bénéficié d’apparitions jusqu’à la fin de sa vie) et les 10 ans de la reconnaissance officielle du caractère surnaturel des événements survenus à la bergère du Laus.
La figure de Benoîte Rencurel a nécessairement marqué ce sanctuaire : la bergère a eu ses premières rencontres avec la Vierge Marie à 17 ans ; elle en aura jusqu’à ses 71 ans.
La Belle Dame du Laus a accompagné la bergère tout au long de sa vie, dans sa jeunesse comme dans sa vieillesse.
Sessions, pèlerinages et jours de fête se succèderont à Notre-Dame du Laus durant toute l’année 2018.
Programme et informations sont disponibles sur le site du sanctuaire : Cliquer
Benoîte vous attend !
Venez donc lui rendre visite dans les Hautes-Alpes !
Notre Dame Des Miracles (1576)
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2018 : « Année Benoîte » au sanctuaire Notre-Dame du Laus
Niché au cœur des Hautes-Alpes (France), à 900m d’altitude, le sanctuaire Notre-Dame du Laus fait partie des trésors à découvrir.
La beauté et le calme des lieux ne sont pas les seuls atouts de ce sanctuaire marial au paysage exceptionnel ; fort de 54 années d’apparitions de la Vierge Marie, le Laus porte aussi un message et propose une expérience spirituelle hors du commun.
2018 pourrait bien être l’année idéale pour découvrir ou redécouvrir ce sanctuaire haut-alpin explique le Père Ludovic Frère, vicaire général du diocèse de Gap et Embrun.
Trois anniversaires sont fêtés conjointement à Notre-Dame du Laus en 2018 :
Les 300 ans de la fin des apparitions, les 300 ans de la mort de Benoîte Rencurel (logiquement, puisqu’elle a bénéficié d’apparitions jusqu’à la fin de sa vie) et les 10 ans de la reconnaissance officielle du caractère surnaturel des événements survenus à la bergère du Laus.
La figure de Benoîte Rencurel a nécessairement marqué ce sanctuaire : la bergère a eu ses premières rencontres avec la Vierge Marie à 17 ans ; elle en aura jusqu’à ses 71 ans.
La Belle Dame du Laus a accompagné la bergère tout au long de sa vie, dans sa jeunesse comme dans sa vieillesse.
Sessions, pèlerinages et jours de fête se succèderont à Notre-Dame du Laus durant toute l’année 2018.
Programme et informations sont disponibles sur le site du sanctuaire : Cliquer
Benoîte vous attend !
Venez donc lui rendre visite dans les Hautes-Alpes !
Le Laus (05, Hautes Alpes) : Basilique Notre-Dame
(Hautes-Alpes, diocèse d’Embrun)
1664- 1718 : Des apparitions exceptionnellement longues [1]
Le Laus est un sanctuaire unique en France et en Europe par la durée et la diversité de ses apparitions (1664-1718).
A partir de 1664, la vénérable Benoîte Rencurel a bénéficié d'apparitions de la Vierge, du Christ, d'anges et de différents saints en différents lieux : à Saint Etienne d'Avançon, au vallon des Fours, à Pindreau, au Laus (« dans la chapelle d’où s’exhalent de bonnes odeurs »), à Embrun, à Gap, à La Saulce et à Marseille (pendant l’invasion des Savoyards).
Ces apparitions ont duré durant 54 ans, jusqu’à la mort de Benoîte (1718).
Un haut lieu de la réconciliation
"Combien de personnes ont dit que le Laus était le refuge des pécheurs, là où Dieu les inspire de faire de bonnes confessions, lève la honte de ceux qui ne les osent pas dire, assistés des avis de Benoîte qui leur découvre tout leur intérieur, leur donne courage le temps de bien s'examiner, et de bons confesseurs qui les renvoient très contents!" (Manuscrits du Laus, Pierre Gaillard).
1666-1669 :Un sanctuaire construit par les pauvres [2]
Deux prêtres qui, tant bien que mal, se mettent d’accord…
Avec la bénédiction de l’archevêque d’Embrun, le père Gaillard et le père Lambert se mettent d’accord sur les plans de la construction d’une église au Laus.
Le père Gaillard, enthousiaste, voulait une église de 30m de long, l’autre le raisonne et réduit le plan à 24m de long, mais le premier ruse et n’ajoute qu’à la fin le chœur long de 6m, et finalement le père Lambert, loin de s’en offusquer, le rejoint !
Un peuple de pauvres qui se mobilise...
Durant l’été 1666, on commence à charrier les pierres de la vallée vers le Laus, et les pèlerins sont sollicités pour gravir l’escarpement avec les matériaux.
« Chacun en prenait une ». La foule des priants se mue en fourmis ouvrières. Chacun apporte sa pierre à l’édification du pèlerinage.
Mis à contribution, les pèlerins le sont aussi financièrement. C’est tout un peuple de pauvres qui se mobilise pour construire son église.
Benoîte prie...
Benoîte ne s’occupe pas de la construction de l’Eglise, elle prie et passe souvent ses nuits en prière dans la petite chapelle où la Vierge lui est si souvent apparue.
Il est fort probable que ce soit à l’occasion de la pose de la première pierre que Benoîte Rencurel est devenue tertiaire dominicaine.
Le tiers ordre est une association de laïcs qui partagent la spiritualité d’un ordre religieux. Benoîte partage la vocation de pénitence et de prédication de la famille dominicaine.
1692-1712 : Le temps des persiflages [3]
Le sanctuaire du Laus a été fort rayonnant jusqu’à l’arrivée des hordes de soldats savoyards, qui traumatisèrent toute la région en l’an 1692. Benoîte est partie 6 semaines en exil.
Au Laus, c’est la désolation. A son retour, le pèlerinage reprend, mais le climat a bien changé.
Par exemple, le père d’Archias, nommé supérieur du Laus, interdit à Benoîte de parler aux pèlerins, elle ne peut rien faire qui lui permettrait d’entrer en contact avec eux.
D’année en année, des prêtres hostiles poursuivent leur travail de sape, freinant le rythme des confessions, refusant l’absolution (influence janséniste).
C’est le temps des fausses rumeurs et des persiflages.
Le père Rostolland mène des attaques de plus en plus violentes. Benoîte reste calme, elle prie.
Les apparitions continuent.
En 1712, l’évêque confie le pèlerinage et le sanctuaire à la congrégation des Pères gardistes ; le père Bertet s’installe au Laus, avec enthousiasme, mais il est confronté aux prêtres en place qui n’hésitaient pas à lancer aux pèlerins
« Restez dans vos paroisses, que venez-vous faire ici ? »
Mais le vent tourne, et progressivement les pères gardistes prennent en charge tout le sanctuaire.
Il y eut alors plus de confession et de retraites que jamais. Depuis lors, le sanctuaire n’a plus cessé d’attirer des foules de pèlerins, jusqu’à nos jours.
Reconnaissance officielle [4]
Quelques mois après son arrivée sur le diocèse de Gap et d'Embrun, fin 2003, Mgr Jean-Michel di Falco Léandri a souhaité relancer le procès de béatification de la Benoîte Rencurel.
Au cours d'un voyage à Rome on lui a fait remarquer qu'aucun de ses prédécesseurs n'avait reconnu officiellement les apparitions, étape importante dans la procédure de béatification d'une personne ayant bénéficié d'apparitions.
Après trois années de recherche et de réflexion, sept spécialistes ont présenté leurs conclusions respectives, unanimes.
Le résultat de cette enquête a ensuite été communiqué à Rome, conformément aux directives de la Congrégation pour la doctrine de la Foi.
Le 4 mai 2008, Mgr Jean-Michel di Falco Léandri, évêque du diocèse de Gap et d'Embrun, reconnaît officiellement le caractère surnaturel des apparitions de la Vierge à Benoîte Rencurel.
La reconnaissance officielle est proclamée au cours de la messe célébrée dans la Basilique Notre-Dame du Laus en présence du Nonce apostolique en France, Mgr Fortunato Baldelli, et d'une trentaine de cardinaux et d'évêques du monde entier.
La “grâce du Laus” [5]
La “grâce du Laus” est de rendre la démarche de conversion plus aisée et plus complète, en particulier dans le sacrement du pardon, la confession. Ce que la Vierge Marie a appris à Benoîte demeure valable aujourd’hui : on ne se convertit vraiment qu’en étant encouragé par la douceur de la miséricorde.
La présence maternelle de la “Mère de Dieu” agit en ce sens avec une force palpable. C’est pourquoi on aime l’appeler ici :
“Refuge des pécheurs”.
L’huile de la lampe
L'huile de la lampe du tabernacle de la basilique de Notre-Dame du Laus est un signe de la puissance de Dieu et de sa miséricorde.
Encore de nos jours, de nombreuses guérisons physiques et spirituelles l'attestent.
Accueil
L'accueil au sanctuaire est permanent. La messe et les confessions sont quotidiennes.
Le site officiel précise l’accueil, le logement, la bibliothèque, les randonnées, les veillées, les horaires de messes… Tel : 04 92 50 30 73
Fêtes
- Le lundi de Pentecôte
- Le 15 août (Assomption)
[1] Zenit.org
[2] Jean Michel di Falco Léandri, Benoîte Rencurel, la visionnaire du Laus, Parole et Silence, 2008, p. 57-67
[3] Jean Michel di Falco Léandri, Benoîte Rencurel, la visionnaire du Laus, Parole et Silence, 2008, p. 127-139
[4] Zenit.org
[5] Cf. Le site officiel
Le Laus
•Benoîte Rencurel, visionnaire du Laus (1647-1718)
•Les guérisons à Notre-Dame du Laus
•Quelques leçons de sainte Marie à Benoîte
Un mot sur ces fêtes
•La Pentecôte et la Vierge Marie
•8 septembre : Nativité de la Vierge Marie, solennité catholique
•15 août : L'Assomption (rite romain)
(Hautes-Alpes, diocèse d’Embrun)
1664- 1718 : Des apparitions exceptionnellement longues [1]
Le Laus est un sanctuaire unique en France et en Europe par la durée et la diversité de ses apparitions (1664-1718).
A partir de 1664, la vénérable Benoîte Rencurel a bénéficié d'apparitions de la Vierge, du Christ, d'anges et de différents saints en différents lieux : à Saint Etienne d'Avançon, au vallon des Fours, à Pindreau, au Laus (« dans la chapelle d’où s’exhalent de bonnes odeurs »), à Embrun, à Gap, à La Saulce et à Marseille (pendant l’invasion des Savoyards).
Ces apparitions ont duré durant 54 ans, jusqu’à la mort de Benoîte (1718).
Un haut lieu de la réconciliation
"Combien de personnes ont dit que le Laus était le refuge des pécheurs, là où Dieu les inspire de faire de bonnes confessions, lève la honte de ceux qui ne les osent pas dire, assistés des avis de Benoîte qui leur découvre tout leur intérieur, leur donne courage le temps de bien s'examiner, et de bons confesseurs qui les renvoient très contents!" (Manuscrits du Laus, Pierre Gaillard).
1666-1669 :Un sanctuaire construit par les pauvres [2]
Deux prêtres qui, tant bien que mal, se mettent d’accord…
Avec la bénédiction de l’archevêque d’Embrun, le père Gaillard et le père Lambert se mettent d’accord sur les plans de la construction d’une église au Laus.
Le père Gaillard, enthousiaste, voulait une église de 30m de long, l’autre le raisonne et réduit le plan à 24m de long, mais le premier ruse et n’ajoute qu’à la fin le chœur long de 6m, et finalement le père Lambert, loin de s’en offusquer, le rejoint !
Un peuple de pauvres qui se mobilise...
Durant l’été 1666, on commence à charrier les pierres de la vallée vers le Laus, et les pèlerins sont sollicités pour gravir l’escarpement avec les matériaux.
« Chacun en prenait une ». La foule des priants se mue en fourmis ouvrières. Chacun apporte sa pierre à l’édification du pèlerinage.
Mis à contribution, les pèlerins le sont aussi financièrement. C’est tout un peuple de pauvres qui se mobilise pour construire son église.
Benoîte prie...
Benoîte ne s’occupe pas de la construction de l’Eglise, elle prie et passe souvent ses nuits en prière dans la petite chapelle où la Vierge lui est si souvent apparue.
Il est fort probable que ce soit à l’occasion de la pose de la première pierre que Benoîte Rencurel est devenue tertiaire dominicaine.
Le tiers ordre est une association de laïcs qui partagent la spiritualité d’un ordre religieux. Benoîte partage la vocation de pénitence et de prédication de la famille dominicaine.
1692-1712 : Le temps des persiflages [3]
Le sanctuaire du Laus a été fort rayonnant jusqu’à l’arrivée des hordes de soldats savoyards, qui traumatisèrent toute la région en l’an 1692. Benoîte est partie 6 semaines en exil.
Au Laus, c’est la désolation. A son retour, le pèlerinage reprend, mais le climat a bien changé.
Par exemple, le père d’Archias, nommé supérieur du Laus, interdit à Benoîte de parler aux pèlerins, elle ne peut rien faire qui lui permettrait d’entrer en contact avec eux.
D’année en année, des prêtres hostiles poursuivent leur travail de sape, freinant le rythme des confessions, refusant l’absolution (influence janséniste).
C’est le temps des fausses rumeurs et des persiflages.
Le père Rostolland mène des attaques de plus en plus violentes. Benoîte reste calme, elle prie.
Les apparitions continuent.
En 1712, l’évêque confie le pèlerinage et le sanctuaire à la congrégation des Pères gardistes ; le père Bertet s’installe au Laus, avec enthousiasme, mais il est confronté aux prêtres en place qui n’hésitaient pas à lancer aux pèlerins
« Restez dans vos paroisses, que venez-vous faire ici ? »
Mais le vent tourne, et progressivement les pères gardistes prennent en charge tout le sanctuaire.
Il y eut alors plus de confession et de retraites que jamais. Depuis lors, le sanctuaire n’a plus cessé d’attirer des foules de pèlerins, jusqu’à nos jours.
Reconnaissance officielle [4]
Quelques mois après son arrivée sur le diocèse de Gap et d'Embrun, fin 2003, Mgr Jean-Michel di Falco Léandri a souhaité relancer le procès de béatification de la Benoîte Rencurel.
Au cours d'un voyage à Rome on lui a fait remarquer qu'aucun de ses prédécesseurs n'avait reconnu officiellement les apparitions, étape importante dans la procédure de béatification d'une personne ayant bénéficié d'apparitions.
Après trois années de recherche et de réflexion, sept spécialistes ont présenté leurs conclusions respectives, unanimes.
Le résultat de cette enquête a ensuite été communiqué à Rome, conformément aux directives de la Congrégation pour la doctrine de la Foi.
Le 4 mai 2008, Mgr Jean-Michel di Falco Léandri, évêque du diocèse de Gap et d'Embrun, reconnaît officiellement le caractère surnaturel des apparitions de la Vierge à Benoîte Rencurel.
La reconnaissance officielle est proclamée au cours de la messe célébrée dans la Basilique Notre-Dame du Laus en présence du Nonce apostolique en France, Mgr Fortunato Baldelli, et d'une trentaine de cardinaux et d'évêques du monde entier.
La “grâce du Laus” [5]
La “grâce du Laus” est de rendre la démarche de conversion plus aisée et plus complète, en particulier dans le sacrement du pardon, la confession. Ce que la Vierge Marie a appris à Benoîte demeure valable aujourd’hui : on ne se convertit vraiment qu’en étant encouragé par la douceur de la miséricorde.
La présence maternelle de la “Mère de Dieu” agit en ce sens avec une force palpable. C’est pourquoi on aime l’appeler ici :
“Refuge des pécheurs”.
L’huile de la lampe
L'huile de la lampe du tabernacle de la basilique de Notre-Dame du Laus est un signe de la puissance de Dieu et de sa miséricorde.
Encore de nos jours, de nombreuses guérisons physiques et spirituelles l'attestent.
Accueil
L'accueil au sanctuaire est permanent. La messe et les confessions sont quotidiennes.
Le site officiel précise l’accueil, le logement, la bibliothèque, les randonnées, les veillées, les horaires de messes… Tel : 04 92 50 30 73
Fêtes
- Le lundi de Pentecôte
- Le 15 août (Assomption)
[1] Zenit.org
[2] Jean Michel di Falco Léandri, Benoîte Rencurel, la visionnaire du Laus, Parole et Silence, 2008, p. 57-67
[3] Jean Michel di Falco Léandri, Benoîte Rencurel, la visionnaire du Laus, Parole et Silence, 2008, p. 127-139
[4] Zenit.org
[5] Cf. Le site officiel
Le Laus
•Benoîte Rencurel, visionnaire du Laus (1647-1718)
•Les guérisons à Notre-Dame du Laus
•Quelques leçons de sainte Marie à Benoîte
Un mot sur ces fêtes
•La Pentecôte et la Vierge Marie
•8 septembre : Nativité de la Vierge Marie, solennité catholique
•15 août : L'Assomption (rite romain)
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
11 mars – Italie
Madonna Miracolosa (1855) - naissance de sainte Jacinta de Fatima
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Jésus, Marie, Joseph priaient en famille
Jésus, Marie, Joseph priaient ensemble en partageant des passages de la Torah, en récitant les grandes bénédictions.
Ils disaient entre eux, shalôm, paix, que ce soit au lever ou au coucher, aux repas ou au travail.
Cette paix ne désignait pas seulement l’absence de guerres ou une vie tranquille, mais le bien-être de leur famille, l’harmonie avec la nature et avec Dieu.
Lorsque Jésus sillonnera les routes de la Palestine, il s’inspirera de son expérience familiale pour raconter des paraboles.
Il puisera dans les réalités de son village des éléments qui nourriront sa prédication de la Bonne Nouvelle : naissances, morts, travail, semailles, moissons, figuiers, vignes, brebis.
Jésus n’a pas glorifié la famille, il ne l’a pas dénigrée non plus.
Il a inauguré un nouveau type de relation où l’humanité est une immense famille dans laquelle on vit l’amour et le pardon.
Il privilégie les petits, les faibles, les enfants, parce qu’ils sont des signes du Royaume de Dieu.
« Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait » (Matthieu 25, 40).
Jacques Gautier (Canada)
Texte paru en partie dans le Prions en Église Canada, 27 décembre 2015, p. 36-37
.
Madonna Miracolosa (1855) - naissance de sainte Jacinta de Fatima
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Jésus, Marie, Joseph priaient en famille
Jésus, Marie, Joseph priaient ensemble en partageant des passages de la Torah, en récitant les grandes bénédictions.
Ils disaient entre eux, shalôm, paix, que ce soit au lever ou au coucher, aux repas ou au travail.
Cette paix ne désignait pas seulement l’absence de guerres ou une vie tranquille, mais le bien-être de leur famille, l’harmonie avec la nature et avec Dieu.
Lorsque Jésus sillonnera les routes de la Palestine, il s’inspirera de son expérience familiale pour raconter des paraboles.
Il puisera dans les réalités de son village des éléments qui nourriront sa prédication de la Bonne Nouvelle : naissances, morts, travail, semailles, moissons, figuiers, vignes, brebis.
Jésus n’a pas glorifié la famille, il ne l’a pas dénigrée non plus.
Il a inauguré un nouveau type de relation où l’humanité est une immense famille dans laquelle on vit l’amour et le pardon.
Il privilégie les petits, les faibles, les enfants, parce qu’ils sont des signes du Royaume de Dieu.
« Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait » (Matthieu 25, 40).
Jacques Gautier (Canada)
Texte paru en partie dans le Prions en Église Canada, 27 décembre 2015, p. 36-37
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La vie de prière de la Sainte Famille
Respectueuse des rythmes de prière de la religion hébraïque, la Famille priait à la synagogue ou au temple, en commun avec ses corréligionnaires et observait les rites du judaïsme (circoncision, présentation au temple et autres fêtes religieuses), mais elle priait aussi en privé, dans le calme foyer de Nazareth.
Et l'on priait ensemble, en famille, quotidiennement, mais aussi dans la solitude personnelle d'une chambre.
En outre, Marie, Jésus et Joseph pratiquaient de façon constante l'oraison du coeur.
Si bien qu'il serait juste de dire que l'atmosphère familiale dans le foyer de la Famille était celle, recueillie, d'une prière sans cesse.
Une façon nouvelle de s'entretenir avec Dieu
La prière de la Famille annonçait aussi une façon nouvelle de s'entretenir avec Dieu : toute faite d'intimité et de simplicité confiante, ces caractéristiques spirituelles qui sont les attributs de l'amour...
Comme tout Israël, Marie attendait la venue du Messie. Elle l'attendait de toute son âme, de toutes ses forces, de toute son espérance.
Petite enfant, c'est certainement pour qu'Il vienne enfin qu'elle avait offert à Dieu sa vie et sa virginité.
Et pour entretenir la mémoire des événements du salut, elle venait en pèlerinage au Temple de Jérusalem, trois fois par an.
Or, tandis que les calendriers des fêtes exigeaient que seuls les hommes viennent en pèlerinage, la pratique du pèlerinage au premier siècle était devenue pour beaucoup une affaire familiale.
Peu à peu le Temple accepte la présence de la femme
La société patriarcale avait dû s'ouvrir, peut-être sous l'influence de la société romaine, à une mentalité qui respecte davantage la femme.
Le Temple était essentiellement une institution masculine : seuls les mâles étaient prêtres, seules des bêtes mâles étaient offertes.
Puisque, à l’époque du second Temple, beaucoup de familles entières avaient pris l'habitude de venir en pèlerinage, on finira par permettre à des femmes de présenter le sacrifice de Pâque.
Bien plus, la présence des femmes obligera les prêtres à introduire une cérémonie spéciale pour la fête des Tentes : l'illumination de la cour des femmes en soirée.
Cependant les femmes et les hommes y assisteront séparés. Pour la Pentecôte on acceptera que les femmes apportent les premiers fruits, car les premiers à en bénéficier étaient les prêtres.
Rabbi Gamaliel avait même décidé d'ajouter une bénédiction spéciale quand il rencontrait une belle femme au temple :
"Béni soit l’auteur de la beauté".
La maison familiale, véritable lieu de la prière juive
Jérusalem était le centre de prière trois fois par an, mais le véritable lieu de prière juive était la maison familiale.
La maison de la Famille à Nazareth, au sein même de la vie religieuse d'Israël, était déjà, à elle toute seule non seulement la première église domestique, mais la première église tout court ...
Chapitre : La vie de prière de la sainte famille (Vie à Nazareth)
Respectueuse des rythmes de prière de la religion hébraïque, la Famille priait à la synagogue ou au temple, en commun avec ses corréligionnaires et observait les rites du judaïsme (circoncision, présentation au temple et autres fêtes religieuses), mais elle priait aussi en privé, dans le calme foyer de Nazareth.
Et l'on priait ensemble, en famille, quotidiennement, mais aussi dans la solitude personnelle d'une chambre.
En outre, Marie, Jésus et Joseph pratiquaient de façon constante l'oraison du coeur.
Si bien qu'il serait juste de dire que l'atmosphère familiale dans le foyer de la Famille était celle, recueillie, d'une prière sans cesse.
Une façon nouvelle de s'entretenir avec Dieu
La prière de la Famille annonçait aussi une façon nouvelle de s'entretenir avec Dieu : toute faite d'intimité et de simplicité confiante, ces caractéristiques spirituelles qui sont les attributs de l'amour...
Comme tout Israël, Marie attendait la venue du Messie. Elle l'attendait de toute son âme, de toutes ses forces, de toute son espérance.
Petite enfant, c'est certainement pour qu'Il vienne enfin qu'elle avait offert à Dieu sa vie et sa virginité.
Et pour entretenir la mémoire des événements du salut, elle venait en pèlerinage au Temple de Jérusalem, trois fois par an.
Or, tandis que les calendriers des fêtes exigeaient que seuls les hommes viennent en pèlerinage, la pratique du pèlerinage au premier siècle était devenue pour beaucoup une affaire familiale.
Peu à peu le Temple accepte la présence de la femme
La société patriarcale avait dû s'ouvrir, peut-être sous l'influence de la société romaine, à une mentalité qui respecte davantage la femme.
Le Temple était essentiellement une institution masculine : seuls les mâles étaient prêtres, seules des bêtes mâles étaient offertes.
Puisque, à l’époque du second Temple, beaucoup de familles entières avaient pris l'habitude de venir en pèlerinage, on finira par permettre à des femmes de présenter le sacrifice de Pâque.
Bien plus, la présence des femmes obligera les prêtres à introduire une cérémonie spéciale pour la fête des Tentes : l'illumination de la cour des femmes en soirée.
Cependant les femmes et les hommes y assisteront séparés. Pour la Pentecôte on acceptera que les femmes apportent les premiers fruits, car les premiers à en bénéficier étaient les prêtres.
Rabbi Gamaliel avait même décidé d'ajouter une bénédiction spéciale quand il rencontrait une belle femme au temple :
"Béni soit l’auteur de la beauté".
La maison familiale, véritable lieu de la prière juive
Jérusalem était le centre de prière trois fois par an, mais le véritable lieu de prière juive était la maison familiale.
La maison de la Famille à Nazareth, au sein même de la vie religieuse d'Israël, était déjà, à elle toute seule non seulement la première église domestique, mais la première église tout court ...
Chapitre : La vie de prière de la sainte famille (Vie à Nazareth)
•Dans la maison de Nazareth, la vie de prière en famille
•Les bénédictions quotidiennes
•La bénédiction, cœur de la prière hébraïque
•Marie et le sh’ma Israël
•Marie et la lecture de la Torah
•Les grandes fêtes en Israël
•Marie parmi les pauvres de YHWH, les mystiques du peuple de l’Israël
•Lc 1, 38 : La prière de la Vierge Marie (St Bernard)
•Le Magnificat et la prière d'Israël (F. Manns)
•Avec la Sainte Famille, la piété est renouvelée
•Les bénédictions quotidiennes
•La bénédiction, cœur de la prière hébraïque
•Marie et le sh’ma Israël
•Marie et la lecture de la Torah
•Les grandes fêtes en Israël
•Marie parmi les pauvres de YHWH, les mystiques du peuple de l’Israël
•Lc 1, 38 : La prière de la Vierge Marie (St Bernard)
•Le Magnificat et la prière d'Israël (F. Manns)
•Avec la Sainte Famille, la piété est renouvelée
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
12 mars – Italie
Notre Dame de l'Orme (1610)
A Saint Luc on n’ose rien ajouter
Dans une entrevue avec la revue Le sourire de Marie, le professeur Jérôme Lejeune, généticien français, découvreur de la trisomie 21 et fervent disciple de Marie, évoquait ainsi son combat contre l’avortement :
« Lutter contre est stérile, c’est lutter pour qui vaut la peine ; un médecin lutte pour la vie, il ne peut pas changer de camp.
Les enfants très petits, encore au ventre de leur mère, sont aussi vivants que les autres.
Beaucoup plus jeunes seulement.
La gravité d’un homicide ne se pèse pas en kilogrammes de victime.
Le plus illustre des médecins (saint Luc) a fait sentir en quelques mots ce merveilleux de la plus tendre enfance.
Relisez la Visitation.
Quel âge avait le petit prophète qui tressaillit en Élisabeth à l’approche de Marie portant notre maître ?
Six mois ; Saint Luc a noté le détail.
Mais quel âge avait Jésus ?
L’Évangile dit simplement qu’après l’Annonciation, la Vierge se hâta vers sa cousine : « Maria festinavit ».
Comme les voyages là-bas ne peuvent être bien longs, la forme humaine de Jésus devait être incroyablement jeune au moment de la visite.
Saint Luc a dit cela si bien qu’on n’ose rien y ajouter. »
J. Lejeune
Extraits d’une Interview pour Le Sourire de Marie, journal paroissial, 1977.
Notre Dame de l'Orme (1610)
A Saint Luc on n’ose rien ajouter
Dans une entrevue avec la revue Le sourire de Marie, le professeur Jérôme Lejeune, généticien français, découvreur de la trisomie 21 et fervent disciple de Marie, évoquait ainsi son combat contre l’avortement :
« Lutter contre est stérile, c’est lutter pour qui vaut la peine ; un médecin lutte pour la vie, il ne peut pas changer de camp.
Les enfants très petits, encore au ventre de leur mère, sont aussi vivants que les autres.
Beaucoup plus jeunes seulement.
La gravité d’un homicide ne se pèse pas en kilogrammes de victime.
Le plus illustre des médecins (saint Luc) a fait sentir en quelques mots ce merveilleux de la plus tendre enfance.
Relisez la Visitation.
Quel âge avait le petit prophète qui tressaillit en Élisabeth à l’approche de Marie portant notre maître ?
Six mois ; Saint Luc a noté le détail.
Mais quel âge avait Jésus ?
L’Évangile dit simplement qu’après l’Annonciation, la Vierge se hâta vers sa cousine : « Maria festinavit ».
Comme les voyages là-bas ne peuvent être bien longs, la forme humaine de Jésus devait être incroyablement jeune au moment de la visite.
Saint Luc a dit cela si bien qu’on n’ose rien y ajouter. »
J. Lejeune
Extraits d’une Interview pour Le Sourire de Marie, journal paroissial, 1977.
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
13 mars – 3 mars – Italie
Notre Dame de Rose (1635)
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« Jésus est venu vers moi dans un rêve »
Le nombre de chrétiens d’origine musulmane est en augmentation dans les grandes villes iraniennes.
Daniel Shayesteh, ancien musulman converti au christianisme, a accordé une entrevue à Aide aux Églises dans le Monde (AEM), dont voici des extraits :
« Au début, sous l’ayatollah Khomeini, nous étions unis en tant que hauts dirigeants ; (…) nous voulions devenir la puissance musulmane la plus forte du monde et promouvoir l’islam au rang de religion unique et mondiale.
Peu après la révolution, la discorde a éclaté au sein des dirigeants.
J’étais l’un des fondateurs de la garde révolutionnaire, également connue sous le nom de Hezbollah en Iran.
Mais je n’y suis pas resté longtemps pour cause de désaccord avec le gouvernement.
J’ai alors fait de la prison sous Khomeini.
Nous étions cinq dans notre cellule et quatre ont été tués.
Certains de mes anciens amis, au pouvoir à l’époque, m’ont aidé à être libéré.
Cela m’a permis de quitter l’Iran.
Ayant fui en Turquie, j’ai décidé de terminer mon doctorat à l’Université d’Istanbul.
Cela m’a permis de comparer les cultures, les religions et les philosophies les plus importantes du monde.
J’ai été étonné par les valeurs chrétiennes dans tous les domaines de la vie.
Je les ai comparées à ce que j’avais appris ; j’ai été étonné de découvrir qu’en Occident, la véritable raison du développement de la vie, de l’économie et du leadership est dans la Bible.
Plus tard, Jésus est venu vers moi dans un rêve (…).
J’ai lu d’un coup deux fois les Évangiles, et j’ai ensuite donné mon cœur à Jésus-Christ. »
Notre Dame de Rose (1635)
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« Jésus est venu vers moi dans un rêve »
Le nombre de chrétiens d’origine musulmane est en augmentation dans les grandes villes iraniennes.
Daniel Shayesteh, ancien musulman converti au christianisme, a accordé une entrevue à Aide aux Églises dans le Monde (AEM), dont voici des extraits :
« Au début, sous l’ayatollah Khomeini, nous étions unis en tant que hauts dirigeants ; (…) nous voulions devenir la puissance musulmane la plus forte du monde et promouvoir l’islam au rang de religion unique et mondiale.
Peu après la révolution, la discorde a éclaté au sein des dirigeants.
J’étais l’un des fondateurs de la garde révolutionnaire, également connue sous le nom de Hezbollah en Iran.
Mais je n’y suis pas resté longtemps pour cause de désaccord avec le gouvernement.
J’ai alors fait de la prison sous Khomeini.
Nous étions cinq dans notre cellule et quatre ont été tués.
Certains de mes anciens amis, au pouvoir à l’époque, m’ont aidé à être libéré.
Cela m’a permis de quitter l’Iran.
Ayant fui en Turquie, j’ai décidé de terminer mon doctorat à l’Université d’Istanbul.
Cela m’a permis de comparer les cultures, les religions et les philosophies les plus importantes du monde.
J’ai été étonné par les valeurs chrétiennes dans tous les domaines de la vie.
Je les ai comparées à ce que j’avais appris ; j’ai été étonné de découvrir qu’en Occident, la véritable raison du développement de la vie, de l’économie et du leadership est dans la Bible.
Plus tard, Jésus est venu vers moi dans un rêve (…).
J’ai lu d’un coup deux fois les Évangiles, et j’ai ensuite donné mon cœur à Jésus-Christ. »
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
La Question du Mardi
En association avec
Une Minute avec Marie et les Questions de fond d'Aleteia
Une Minute avec Marie et les Questions de fond d'Aleteia
Jésus-Christ est-il vraiment unique dans l'histoire de toutes les religions ?
Mgr André-Joseph Léonard
Docteur et maître agrégé en philosophie, il est nommé évêque de Namur le 7 février 1991, puis archevêque de Malines-Bruxelles le 18 janvier 2010...
Docteur et maître agrégé en philosophie, il est nommé évêque de Namur le 7 février 1991, puis archevêque de Malines-Bruxelles le 18 janvier 2010...
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Re: Consacrer Une Minute avec Marie!!!
14 mars – Russie
Vierge de saint Théodore
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Le 8 décembre, jour férié marial aux Philippines
Rodrigo Duterte, l’actuel président des Philippines, a signé le 28 décembre 2017 « le décret déclarant le 8 décembre de chaque année un jour férié spécial dans tout le pays pour commémorer la fête de l'Immaculée Conception de Marie, la sainte patronne des Philippines ».
Aux Philippines, la fête de l’Immaculée Conception n’était pas, jusqu’ici, intégrée dans le calendrier des jours fériés et chômés. Le jour de Noël (25 décembre) et la Solennité de Marie, Mère de Dieu (1er janvier), étaient d’ores et déjà des jours fériés afin de permettre aux chrétiens de participer à la messe.
Devant le Sénat, le sénateur Vicente C. Sotto III a souligné la foi des Philippins, à 80,58% catholiques selon les statistiques de 2016, et la dévotion populaire à l’égard de la Vierge Marie, dont témoignent « les festivités organisées par chaque ville en l’honneur de la Sainte Vierge, tout au long de l’année ».
Signé par le président Duterte, ce décret qui fait du 8 décembre un jour férié entrera en vigueur en 2018.
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Le 8 décembre, jour férié marial aux Philippines
Rodrigo Duterte, l’actuel président des Philippines, a signé le 28 décembre 2017 « le décret déclarant le 8 décembre de chaque année un jour férié spécial dans tout le pays pour commémorer la fête de l'Immaculée Conception de Marie, la sainte patronne des Philippines ».
Aux Philippines, la fête de l’Immaculée Conception n’était pas, jusqu’ici, intégrée dans le calendrier des jours fériés et chômés. Le jour de Noël (25 décembre) et la Solennité de Marie, Mère de Dieu (1er janvier), étaient d’ores et déjà des jours fériés afin de permettre aux chrétiens de participer à la messe.
Devant le Sénat, le sénateur Vicente C. Sotto III a souligné la foi des Philippins, à 80,58% catholiques selon les statistiques de 2016, et la dévotion populaire à l’égard de la Vierge Marie, dont témoignent « les festivités organisées par chaque ville en l’honneur de la Sainte Vierge, tout au long de l’année ».
Signé par le président Duterte, ce décret qui fait du 8 décembre un jour férié entrera en vigueur en 2018.
Les Eglises orientales et l'Immaculée
En ce qui concerne la conception, les Orientaux héritent de la théologie de saint Grégoire de Nysse qui explique que par un raisonnement théologique que la conception de l'embryon est un seul et unique acte de Dieu qui crée simultanément le corps et l'âme, et sans lequel l'acte procréateur des époux serait impuissant.
En Occident, St Thomas (Luther et bien d'autres), influencés par Aristote, furent éloignés de cette doctrine simple. Mais le renouveau patristique en Occident rapproche actuellement sur ce point l'Eglise d'Occident de l'Eglise d'Orient.
En ce qui concerne le péché originel, de manière schématique
En Occident, le péché originel était compris comme un acte commis par Adam en qui chacun est impliqué à travers une responsabilité personnelle véritable.
Par contre, selon la théologie orientale, les descendants d'Adam ne sont pas responsables d'un péché qu'ils n'ont pas personnellement commis
. Pour eux donc le péché originel consisterait simplement à être héritiers des conséquences de la faute commise par les premiers parents, c'est-à-dire des passions (pathos), de la corruption (phthora) et de la mort (thanatos), on peut donc dire à la fois que Marie n'est pas exempte du péché originel et qu'elle est toute immaculée.
L'Eglise orthodoxe, comme la tradition des pères de l'Eglise, met l'accent sur la perspective positive de sanctification. L'Eglise orthodoxe préfère parler de Marie "pétrie de l'Esprit Saint", ou "Toute " (Panaghia). (Lire plus sur Marie et l'Esprit Saint...)
Le L'Immaculée conception au concile Vatican IIconcile Vatican II et les papes ultérieurs en ont tenu compte et ont formulé le mystère de l'Immaculée Conception en associant à la perspective de l'exemption du péché la perspective positive "pétrie de l'Esprit Saint".
Chapitre
Les Eglises orientales et l'Immaculée
•Marie, Mère du nouvel Adam (Narsaï 399-502)
•L'Eglise orthodoxe et l'Immaculée (liturgie)
•Le péché originel et Marie (Bartholomaios I°)
•L'action de l'Esprit dans la conception de la Vierge (Theophane de Nicée † 1381)
•Anne et Joachim (N. Cabasilas † 1391)
•Immaculée, mais pas exempte du péché originel (J. Popovitch, orthodoxe)
•Sans tâche originelle (Elias Miniatés 1669-1714)
•La Sagesse construit sa maison
•Mère immaculée (N. Nissiotis, 1983)
En ce qui concerne la conception, les Orientaux héritent de la théologie de saint Grégoire de Nysse qui explique que par un raisonnement théologique que la conception de l'embryon est un seul et unique acte de Dieu qui crée simultanément le corps et l'âme, et sans lequel l'acte procréateur des époux serait impuissant.
En Occident, St Thomas (Luther et bien d'autres), influencés par Aristote, furent éloignés de cette doctrine simple. Mais le renouveau patristique en Occident rapproche actuellement sur ce point l'Eglise d'Occident de l'Eglise d'Orient.
En ce qui concerne le péché originel, de manière schématique
En Occident, le péché originel était compris comme un acte commis par Adam en qui chacun est impliqué à travers une responsabilité personnelle véritable.
Par contre, selon la théologie orientale, les descendants d'Adam ne sont pas responsables d'un péché qu'ils n'ont pas personnellement commis
. Pour eux donc le péché originel consisterait simplement à être héritiers des conséquences de la faute commise par les premiers parents, c'est-à-dire des passions (pathos), de la corruption (phthora) et de la mort (thanatos), on peut donc dire à la fois que Marie n'est pas exempte du péché originel et qu'elle est toute immaculée.
L'Eglise orthodoxe, comme la tradition des pères de l'Eglise, met l'accent sur la perspective positive de sanctification. L'Eglise orthodoxe préfère parler de Marie "pétrie de l'Esprit Saint", ou "Toute " (Panaghia). (Lire plus sur Marie et l'Esprit Saint...)
Le L'Immaculée conception au concile Vatican IIconcile Vatican II et les papes ultérieurs en ont tenu compte et ont formulé le mystère de l'Immaculée Conception en associant à la perspective de l'exemption du péché la perspective positive "pétrie de l'Esprit Saint".
Chapitre
Les Eglises orientales et l'Immaculée
•Marie, Mère du nouvel Adam (Narsaï 399-502)
•L'Eglise orthodoxe et l'Immaculée (liturgie)
•Le péché originel et Marie (Bartholomaios I°)
•L'action de l'Esprit dans la conception de la Vierge (Theophane de Nicée † 1381)
•Anne et Joachim (N. Cabasilas † 1391)
•Immaculée, mais pas exempte du péché originel (J. Popovitch, orthodoxe)
•Sans tâche originelle (Elias Miniatés 1669-1714)
•La Sagesse construit sa maison
•Mère immaculée (N. Nissiotis, 1983)
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