Vous arrêterez peut-être de boire du lait après avoir vu cette vidéo !

je bois énormément de lait, et pourtant mon ossature n'est pas ce qu'elle devrait être.

Moi je n'en bois jamais et même pas de yaourts, il y a assez de calcium dans notre nourriture. Je n'écoute pas les pubs car on nous ment pour nous faire acheter toute sorte d'aliments mauvais pour notre santé.

Gilles,

Professeur JOYEUX explication sur le lait de vache(=poison pour l'homme)

Le lait perd en popularité

Les Québécois en consomment près de 25 % moins qu’il y a 20 ans et la chute continue

Les producteurs de lait du Québec ne s’inquiètent pas de la baisse de consommation de lait parce que d’autres produits laitiers comme le yogourt et le fromage, et même le lait au chocolat sont en croissance.

«Un verre de lait, c’est bien, mais deux, c’est mieux.» Ce slogan semble être de moins en moins populaire auprès des Québécois dont la consommation de lait a diminué de près de 25 % en 20 ans.

«Ce n’est vraiment pas rien comme réduction et elle se poursuit d’année en année. Même si la population augmente, les gens ne boivent pas plus de lait», explique le professeur en distribution et politiques agroalimentaires à l’université de Guelph, le Dr Sylvain Charlebois.

Chaque Québécois buvait en moyenne 94 litres de lait par année en 1995. En 2014, ce chiffre est descendu à 72 litres, soit une baisse de 22,9 %, selon Statistique Canada.

Compétition
Il s’agit d’une chute importante au pays, la moyenne canadienne se situant autour de 18 %.
Plusieurs hypothèses sont avancées pour expliquer cette diminution. On note notamment l’arrivée massive de boissons concurrentes, comme le lait de soya ou d’amande.

«Le lait n’est pas essentiel à la santé. Il contient beaucoup de nutriments, mais on peut en retrouver dans les boissons végétales enrichies et dans d’autres aliments», indique le blogueur et nutritionniste chez Extenso à l'Université de Montréal, Bernard Lavallée.

La montée du végétarisme et du végétalisme pourrait aussi expliquer cette diminution, selon lui.

Trop de pub ?
Mais l’industrie du lait au Québec investit quelque 20 millions de dollars en publicité chaque année. Les publicités, bien que populaires et saluées par les critiques, n’ont pas l’effet escompté selon le Dr Charlebois.

«C’est une somme colossale. C’est plus que Volkswagen et McDonald’s mis ensemble, alors qu’ils ne font que nous répéter qu’il faut boire notre dose quotidienne de lait», critique-t-il.

Le Dr Charlebois croit que l’industrie laitière aurait avantage à miser sur la mise en marché de produits novateurs plutôt que sur de belles annonces.


Nouvelle stratégie
«Il faudrait une stratégie adaptée aux consommateurs. Aux États-Unis, par exemple, ils ont créé un nouveau produit à base de lait qu’on pense être le nouveau Gatorade. Il faut se donner les moyens d’attirer une génération qui a délaissé le lait», soutient-il.

M. Lavallée croit qu’il y a peut-être un retour du balancier lié à ce bombardement de messages.
«On a peut-être trop mis le lait sur un piédestal. Les gens se sont fait taper sur la tête de boire du lait parce que c’était bon, mais maintenant, ils sont tannés de se faire dire quoi faire», suggère le nutritionniste.

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Vente de produits laitiers en épicerie de juillet 2014 à juillet 2015 au Québec

• Lait au chocolat: + 6,6%
  

• Yogourt: + 3,7%
  

• Lait: + 1%
  

• Beurre: + 3%
  

• Fromage: + 1,8%
  

Source: Les producteurs de lait du Québec

L’intérêt pour les autres produits laitiers reste

Les Producteurs laitiers du Québec concèdent que le fameux verre de lait est moins populaire qu’avant, mais l’intérêt pour les autres produits laitiers continue de grandir.


«En ne parlant que du lait, on ne regarde que l’arbre, et pas la forêt. Le yogourt et le fromage sont vraiment populaires et on connaît une recrudescence de l’intérêt pour le beurre», soutient François Dumontier, conseiller en relations publiques de l’association qui regroupe quelque 5900 fermes laitières québécoises.

Les recettes totales des producteurs de lait pour 2014 ont connu une augmentation de 2,5 %, passant de 2,36 à 2,42 milliards $.


Le marché des produits laitiers en général se porte donc bien, selon M. Dumontier.

Plus de 400 fromages
«Les étalages des produits laitiers dans les épiceries sont importants. L’offre est vraiment diversifiée et nombreuse», mentionne-t-il.

Le lait a atteint son plein potentiel selon lui, contrairement aux boissons naturelles.


«Le lait est un marché qui est arrivé à maturité, alors c’est certain qu’on n’a pas de potentiel de croissance comme le lait de soya, mais l’innovation est vraiment présente dans d’autres produits laitiers», mentionne-t-il.

Le fameux lait au chocolat reste quant à lui toujours aussi populaire (voir tableau).

Les autres produits laitiers continuent de se développer, tels que le fromage et le yogourt, ce qui garde l’intérêt du consommateur bien vivant.

«On a plus de 400 fromages d’ici, on est loin d’être resté au Petit Québec et au Cracker Barrel. L’arrivée du yogourt grec a aussi amené de nouveaux produits vraiment populaires chez les consommateurs», cite-t-il en exemple.

@Gilles

Merci là je vois

IL Y A LA THEORIE ........les médecins ont surement raison...

ma grand mère , paysanne , a bu du lait jusqu'à 96 ans , du lait de sa ferme qu'elle faisait bouillir avant de le consommer .
elle est morte de vieillesse , sans maladie , ses cheveux grisonnaient très peu à 96 ans .
il y avait d'autres exemples dans nos campagnes .......