les femmes vont-elles prêcher à la messe ???
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les femmes vont-elles prêcher à la messe ???
LES FEMMES VONT-ELLE PRECHER A LA MESSE ?
ROME, 7 mars 2016
La messe, non. En ce qui concerne l'ordination sacerdotale des femmes, François avait tout de suite coupé court, peu de temps après avoir été élu pape. "La porte est fermée de manière définitive", avait-il déclaré lors de la première de ses conférences de presse aériennes.
L’homélie fait aussi partie de la messe. Par conséquent elle serait également exclue pour les femmes.
Et cependant, il y a de cela quelques jours, "Donne Chiesa Mondo" - le supplément féminin de "L'Osservatore Romano" - a consacré la quasi-totalité de son numéro de mars précisément à réclamer le feu vert pour que, pendant la messe, les femmes aient la possibilité de prononcer l'homélie :
> Donne che predicano
"Donne Chiesa Mondo" - dirigé par Lucetta Scaraffia, qui enseigne l’histoire à l'université de Rome et qui est une éditorialiste importante du quotidien du Saint-Siège - a un caractère officiel égal à celui de "L'Osservatore".
Un caractère officiel qui est mis à profit par le moine Enzo Bianchi, prieur de la communauté de Bose et consulteur du conseil pontifical pour l'unité des chrétiens. À la dernière page du supplément, tirant les fils de la proposition, il définit lui-même les "trois conditions" sur la base desquelles celle-ci devra être mise en œuvre :
> A tre condizioni
La première condition – écrit Bianchi – est le "mandatum prædicandi" que l’évêque devra conférer aux fidèles, femmes et hommes, qu’il considère comme aptes à prononcer des homélies.
La seconde est la bénédiction que le prêtre qui célèbre devra donner pendant la messe, avant l’homélie, à la femme ou à l’homme auxquels il confie la prédication, afin de montrer que celle-ci fait partie du même acte de culte.
La troisième condition est que le fidèle qui prêche, femme ou homme, soit conscient non seulement de son propre charisme mais également de la nécessité d’exercer celui-ci avec l’autorisation de l’évêque, au moyen d’une "imposition des mains qui est une bénédiction, pas un sacrement".
Présenté de cette manière, le parcours semble dépourvu d’obstacles. Mais, en réalité, il ne l’est pas du tout.
Pour le moment, il y a le code de droit canonique, qui interdit aux simples fidèles, que ce soient des hommes ou des femmes, de prononcer l’homélie.
En effet le canon 767 § 1 dit ceci : "Parmi les formes de prédication l'homélie, qui est une partie de la liturgie elle-même et qui est réservée au prêtre ou au diacre, tient une place éminente".
Il y a aussi l’interdiction circonstanciée qui est faite aux simples fidèles de prêcher pendant la messe, interdiction qui a été formulée de manière conjointe par huit dicastères de la curie romaine, en 1997, avec l'approbation spécifique de Jean-Paul II :
> Instruction sur quelques questions concernant la collaboration des fidèles laïcs au ministère des prêtres
Cette instruction dit entre autres choses :
"L'homélie, forme éminente de prédication, fait partie intégrante de la liturgie. Durant la célébration de l'Eucharistie, l'homélie doit donc être réservée au ministre sacré, prêtre ou diacre. Les fidèles non-ordonnés en sont exclus, même s'ils remplissent le rôle d''assistants pastoraux' ou de catéchistes, auprès de n'importe quel type de communauté ou de groupe. Il ne s'agit pas en effet d'une plus grande facilité d'exposition – un cas éventuel – ni de préparation théologique, mais d’une fonction réservée à ceux qui sont consacrés par le sacrement de l'Ordre sacré ; ce qui fait que l'évêque diocésain lui-même n'est pas autorisé à dispenser de la norme de ce canon, étant donné qu'il ne s'agit pas d'une loi purement disciplinaire, mais d'une loi qui concerne les fonctions d'enseignement et de sanctification étroitement liées entre elles".
Et par conséquent :
"Il faut considérer comme abrogée par le canon 767 § 1 toute norme antérieure qui aurait admis des fidèles non-ordonnés à prononcer l'homélie durant la célébration de la Messe".
Et il y a également les siècles d’histoire de l’Église pendant lesquels la prédication pendant la messe n’a pas été permise aux simples fidèles.
Bien entendu, il ne manque pas, dans l’histoire, d’exemples éminents de femmes qui ont prêché, y compris dans les cathédrales et à la demande d’évêques et de papes. "Donne Chiesa Mondo" donne beaucoup d’importance aux 61 "homélies" qui nous restent d’Hildegarde de Bingen (1098-1179), proclamée docteur de l’Église par Benoît XVI. Et Bianchi cite encore d’autres cas.
Cependant, en ce qui concerne ces femmes de grande envergure, il s’agissait, plutôt que d’homélies à proprement parler, de prédications prononcées en dehors de la messe, qui n’étaient pas interdites à leur époque, pas plus qu’elles ne le sont aujourd’hui.
En revanche, en ce qui concerne les homélies au sens propre prononcées par des laïcs, les seuls exemples d’autorisations récentes qui soient mentionnés par Bianchi sont la permission "ad experimentum" qui fut accordée par Paul VI en 1973 à la conférence des évêques d’Allemagne pour une durée de huit ans et, toujours en 1973, la "Directive sur les messes pour enfants".
Dans la pratique, comme chacun sait, les entorses à la règle sont nombreuses aujourd’hui. Cependant Bianchi déplore qu’elles soient réalisées "de manière sauvage ou, ce qui est pire encore, de manière déguisée", par exemple lorsque de telles homélies prononcées par des femmes et des hommes [laïcs] sont appelées "résonances".
Cette dernière pratique est celle des fidèles du Chemin néocatéchuménal, mais leur rituel liturgique hors normes concerne la totalité de la messe. Benoît XVI lui-même n’est pas parvenu à les ramener dans le droit chemin sur ce point ; quant à François, il les laisse aller à la dérive.
Dans d’autres cas qui portaient sur l'homélie proprement dite, le Saint-Siège est intervenu sporadiquement. C’est ainsi que, il y a de cela une quinzaine d’années, il a interdit à la Communauté de Sant'Egidio de confier, au cours de ses messes, la prédication à des laïcs, au premier rang desquels son fondateur Andrea Riccardi.
Toutefois peu de gens savent que le pape François est lui aussi intervenu pour réaffirmer cette interdiction, d’une manière générale.
En effet on peut lire, aux paragraphes 4 et 5 de la "Directive relative à l’homilétique" promulguée en 2014 sous la forme d’un décret de la congrégation pour le culte divin, avec l'approbation du pape :
"En raison de sa nature liturgique, l’homélie comporte également une signification sacramentelle : le Christ est présent à la fois dans l’assemblée qui est réunie pour écouter sa parole et dans la prédication du ministre, par l’intermédiaire de qui le Seigneur lui-même, qui s’est exprimé un jour à la synagogue de Nazareth, instruit maintenant son peuple. […] En tant que partie intégrante du culte de l’Église, l’homélie doit être prononcée uniquement par les évêques, par les prêtres ou par les diacres, […] ou, en tout cas, par quelqu’un qui a reçu les ordres sacrés pour présider ou pour se tenir à l’autel".
Chose étonnante, "Donne Chiesa Mondo" ne fait absolument aucune référence à cette "Directive" qui a été approuvée par François, un pape qui donne une très grande importance aux homélies, à en juger par le fait qu’il en prononce une chaque matin à la Maison Sainte-Marthe et par ce qu’il en a dit dans son exhortation apostolique "Evangelii gaudium", qui a valeur de programme.
Le supplément féminin de "L'Osservatore Romano" accorde en revanche une large place à une sympathique religieuse dominicaine suédoise, Madeleine Fredell, "féministe, exploratrice d’une théologie créative et vivante, politiquement engagée", qui ne dissimule pas qu’elle se sent "également appelée à être prêtre" et qui, ne pouvant pas le devenir, conclut en disant :
"Il n’y a qu’une seule chose que je regrette, cependant, et c’est de ne pas pouvoir prononcer l'homélie pendant la messe. La prédication, c’est ma vocation en tant que dominicaine, et puisque je peux prêcher presque partout, y compris parfois dans l’Église luthérienne, je suis convaincue qu’écouter la voix des femmes au moment de l’homélie enrichirait notre culte catholique".
La directive promulguée en 2014 avec l'approbation du pape François :
http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/ccdds/documents/rc_con_ccdds_doc_20140629_direttorio-omiletico_it.html
http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1351248?fr=y
Bastiano ( le voie du ciel à garabandal)
Violaine
ROME, 7 mars 2016
La messe, non. En ce qui concerne l'ordination sacerdotale des femmes, François avait tout de suite coupé court, peu de temps après avoir été élu pape. "La porte est fermée de manière définitive", avait-il déclaré lors de la première de ses conférences de presse aériennes.
L’homélie fait aussi partie de la messe. Par conséquent elle serait également exclue pour les femmes.
Et cependant, il y a de cela quelques jours, "Donne Chiesa Mondo" - le supplément féminin de "L'Osservatore Romano" - a consacré la quasi-totalité de son numéro de mars précisément à réclamer le feu vert pour que, pendant la messe, les femmes aient la possibilité de prononcer l'homélie :
> Donne che predicano
"Donne Chiesa Mondo" - dirigé par Lucetta Scaraffia, qui enseigne l’histoire à l'université de Rome et qui est une éditorialiste importante du quotidien du Saint-Siège - a un caractère officiel égal à celui de "L'Osservatore".
Un caractère officiel qui est mis à profit par le moine Enzo Bianchi, prieur de la communauté de Bose et consulteur du conseil pontifical pour l'unité des chrétiens. À la dernière page du supplément, tirant les fils de la proposition, il définit lui-même les "trois conditions" sur la base desquelles celle-ci devra être mise en œuvre :
> A tre condizioni
La première condition – écrit Bianchi – est le "mandatum prædicandi" que l’évêque devra conférer aux fidèles, femmes et hommes, qu’il considère comme aptes à prononcer des homélies.
La seconde est la bénédiction que le prêtre qui célèbre devra donner pendant la messe, avant l’homélie, à la femme ou à l’homme auxquels il confie la prédication, afin de montrer que celle-ci fait partie du même acte de culte.
La troisième condition est que le fidèle qui prêche, femme ou homme, soit conscient non seulement de son propre charisme mais également de la nécessité d’exercer celui-ci avec l’autorisation de l’évêque, au moyen d’une "imposition des mains qui est une bénédiction, pas un sacrement".
Présenté de cette manière, le parcours semble dépourvu d’obstacles. Mais, en réalité, il ne l’est pas du tout.
Pour le moment, il y a le code de droit canonique, qui interdit aux simples fidèles, que ce soient des hommes ou des femmes, de prononcer l’homélie.
En effet le canon 767 § 1 dit ceci : "Parmi les formes de prédication l'homélie, qui est une partie de la liturgie elle-même et qui est réservée au prêtre ou au diacre, tient une place éminente".
Il y a aussi l’interdiction circonstanciée qui est faite aux simples fidèles de prêcher pendant la messe, interdiction qui a été formulée de manière conjointe par huit dicastères de la curie romaine, en 1997, avec l'approbation spécifique de Jean-Paul II :
> Instruction sur quelques questions concernant la collaboration des fidèles laïcs au ministère des prêtres
Cette instruction dit entre autres choses :
"L'homélie, forme éminente de prédication, fait partie intégrante de la liturgie. Durant la célébration de l'Eucharistie, l'homélie doit donc être réservée au ministre sacré, prêtre ou diacre. Les fidèles non-ordonnés en sont exclus, même s'ils remplissent le rôle d''assistants pastoraux' ou de catéchistes, auprès de n'importe quel type de communauté ou de groupe. Il ne s'agit pas en effet d'une plus grande facilité d'exposition – un cas éventuel – ni de préparation théologique, mais d’une fonction réservée à ceux qui sont consacrés par le sacrement de l'Ordre sacré ; ce qui fait que l'évêque diocésain lui-même n'est pas autorisé à dispenser de la norme de ce canon, étant donné qu'il ne s'agit pas d'une loi purement disciplinaire, mais d'une loi qui concerne les fonctions d'enseignement et de sanctification étroitement liées entre elles".
Et par conséquent :
"Il faut considérer comme abrogée par le canon 767 § 1 toute norme antérieure qui aurait admis des fidèles non-ordonnés à prononcer l'homélie durant la célébration de la Messe".
Et il y a également les siècles d’histoire de l’Église pendant lesquels la prédication pendant la messe n’a pas été permise aux simples fidèles.
Bien entendu, il ne manque pas, dans l’histoire, d’exemples éminents de femmes qui ont prêché, y compris dans les cathédrales et à la demande d’évêques et de papes. "Donne Chiesa Mondo" donne beaucoup d’importance aux 61 "homélies" qui nous restent d’Hildegarde de Bingen (1098-1179), proclamée docteur de l’Église par Benoît XVI. Et Bianchi cite encore d’autres cas.
Cependant, en ce qui concerne ces femmes de grande envergure, il s’agissait, plutôt que d’homélies à proprement parler, de prédications prononcées en dehors de la messe, qui n’étaient pas interdites à leur époque, pas plus qu’elles ne le sont aujourd’hui.
En revanche, en ce qui concerne les homélies au sens propre prononcées par des laïcs, les seuls exemples d’autorisations récentes qui soient mentionnés par Bianchi sont la permission "ad experimentum" qui fut accordée par Paul VI en 1973 à la conférence des évêques d’Allemagne pour une durée de huit ans et, toujours en 1973, la "Directive sur les messes pour enfants".
Dans la pratique, comme chacun sait, les entorses à la règle sont nombreuses aujourd’hui. Cependant Bianchi déplore qu’elles soient réalisées "de manière sauvage ou, ce qui est pire encore, de manière déguisée", par exemple lorsque de telles homélies prononcées par des femmes et des hommes [laïcs] sont appelées "résonances".
Cette dernière pratique est celle des fidèles du Chemin néocatéchuménal, mais leur rituel liturgique hors normes concerne la totalité de la messe. Benoît XVI lui-même n’est pas parvenu à les ramener dans le droit chemin sur ce point ; quant à François, il les laisse aller à la dérive.
Dans d’autres cas qui portaient sur l'homélie proprement dite, le Saint-Siège est intervenu sporadiquement. C’est ainsi que, il y a de cela une quinzaine d’années, il a interdit à la Communauté de Sant'Egidio de confier, au cours de ses messes, la prédication à des laïcs, au premier rang desquels son fondateur Andrea Riccardi.
Toutefois peu de gens savent que le pape François est lui aussi intervenu pour réaffirmer cette interdiction, d’une manière générale.
En effet on peut lire, aux paragraphes 4 et 5 de la "Directive relative à l’homilétique" promulguée en 2014 sous la forme d’un décret de la congrégation pour le culte divin, avec l'approbation du pape :
"En raison de sa nature liturgique, l’homélie comporte également une signification sacramentelle : le Christ est présent à la fois dans l’assemblée qui est réunie pour écouter sa parole et dans la prédication du ministre, par l’intermédiaire de qui le Seigneur lui-même, qui s’est exprimé un jour à la synagogue de Nazareth, instruit maintenant son peuple. […] En tant que partie intégrante du culte de l’Église, l’homélie doit être prononcée uniquement par les évêques, par les prêtres ou par les diacres, […] ou, en tout cas, par quelqu’un qui a reçu les ordres sacrés pour présider ou pour se tenir à l’autel".
Chose étonnante, "Donne Chiesa Mondo" ne fait absolument aucune référence à cette "Directive" qui a été approuvée par François, un pape qui donne une très grande importance aux homélies, à en juger par le fait qu’il en prononce une chaque matin à la Maison Sainte-Marthe et par ce qu’il en a dit dans son exhortation apostolique "Evangelii gaudium", qui a valeur de programme.
Le supplément féminin de "L'Osservatore Romano" accorde en revanche une large place à une sympathique religieuse dominicaine suédoise, Madeleine Fredell, "féministe, exploratrice d’une théologie créative et vivante, politiquement engagée", qui ne dissimule pas qu’elle se sent "également appelée à être prêtre" et qui, ne pouvant pas le devenir, conclut en disant :
"Il n’y a qu’une seule chose que je regrette, cependant, et c’est de ne pas pouvoir prononcer l'homélie pendant la messe. La prédication, c’est ma vocation en tant que dominicaine, et puisque je peux prêcher presque partout, y compris parfois dans l’Église luthérienne, je suis convaincue qu’écouter la voix des femmes au moment de l’homélie enrichirait notre culte catholique".
La directive promulguée en 2014 avec l'approbation du pape François :
http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/ccdds/documents/rc_con_ccdds_doc_20140629_direttorio-omiletico_it.html
http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1351248?fr=y
Bastiano ( le voie du ciel à garabandal)
Violaine
Dernière édition par violaine le Ven 18 Mar 2016 - 8:37, édité 1 fois
violaine- Avec les anges
- Messages : 6385
Localisation : bretagne
Inscription : 10/12/2009
Re: les femmes vont-elles prêcher à la messe ???
Oui, merci chère @Violaine !
Grâce à toi et à Bastiano - connus par le biais de ce forum il y a quelques années - mes yeux se sont grandement ouverts !
Rendons grâce à ces petits instruments que Dieu met sur nos chemins caillouteux pour avancer dans la vraie Foi en Dieu.
Dieu, voyant notre bonne volonté, nous aide ainsi dans la recherche de la Vérité.
Très bon et saint Vendredi de la Passion.
Françoise.
Grâce à toi et à Bastiano - connus par le biais de ce forum il y a quelques années - mes yeux se sont grandement ouverts !
Rendons grâce à ces petits instruments que Dieu met sur nos chemins caillouteux pour avancer dans la vraie Foi en Dieu.
Dieu, voyant notre bonne volonté, nous aide ainsi dans la recherche de la Vérité.
Très bon et saint Vendredi de la Passion.
Françoise.
F123456- Aime le chapelet
- Messages : 423
Inscription : 25/07/2015
Re: les femmes vont-elles prêcher à la messe ???
oui Françoise,
c'est comme cela que nous nous sanctifions, Dieu permet cela , ces graces nous devons les donner afin qu'elles servent au salut de tous nos frères en Jésus.
en ce temps de la passion, suivons Jésus et n'oublions pas demain de fêter notre bon Saint Joseph, modèle d'humilité et de pureté.
en union avec toi
violaine
c'est comme cela que nous nous sanctifions, Dieu permet cela , ces graces nous devons les donner afin qu'elles servent au salut de tous nos frères en Jésus.
en ce temps de la passion, suivons Jésus et n'oublions pas demain de fêter notre bon Saint Joseph, modèle d'humilité et de pureté.
en union avec toi
violaine
violaine- Avec les anges
- Messages : 6385
Localisation : bretagne
Inscription : 10/12/2009
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