Combattre par le Partage et l'Art

On se délecte des dites d'autrui, mais se partager soi , c'est plus dur.
Pourtant nous sommes témoins des jours que nous vivons...
Il nous est aisé de parler de ceci ou cela, de leurs mauvaises actions,
Ou de leurs bon sentiments, mais quand est il de soi, de nous. Quand parlons nous de nous. Ce n'est pas égoïste de parler de soi, c'est juste réalistes.

Je suis ma propre réalité, je vois le monde de par mes yeux , comme vous vous le voyez de par les votre. Quoi de plus logique alors que de parler de ce qu'on voit. De témoigner de ce qu'on voit.

Mais dans ces jours ce que je vois est sous écrans....

Pourtant, le ciel est bleu, les oiseaux chantent, l'abeille butine, la fourmi travaille pour sa communauté.
Pourtant la vie crépite et le vent souffle, les eaux s'écoulent dans le rivières, mais dans nos écrans, tag de malheurs s' y promènent qu'on en oublierait presque que la vie est remplie de splendeur...

Il glisse sur l'air, battant des ailes,
Et se dirige vers la lumière,
Comme attiré.
Ploc , il se cogne à un mur invisible.
Assommé, il chancelle,
Mais ce n'est pas peu fier ,
Qu'il va réitérer ...
Ploc, rebelote , le mur invisible.
Il ne comprends pas.
La lumière c'est son chemin
Celle qui le dirige ,
Pour accomplir sa vie.
Il n'abandonnera pas,
Il faut qu'avant demain,
Que ses gènes érigent
Une suite à sa vie.
Ploc, le mur persiste et signe,
Ces forces l'abandonnent
Sous ces chocs qui le sonnent .
Ploc, le papillon se résigne,
Battu par la tromperie
D'un feu artificiel
Il meurt sous la duperie
D'une lampe jouant le ciel ...

Il s'éprend de l'amour pour ne plus les maudire
Lui qui perdit l' humour en lisant ces mots d' ires,
Ces paroles funestes qui viennent vous saisir,
Ces bafouilles qui infestent d' horreur vos plaisirs.
Il voudrait diffuser sur les ondes hertziennes
Des messages infusés de romance vénitienne,
Pour plonger dans vos cœurs, l'alimenter des sèves
Qui détruisent les rancœurs et nourrissent les rêves .
Il voudrait enfanter le plus beau des jardins,
Qui viendrait enchanter mamamouchi Jourdain
Ou les âmes endurcis ou les esprits meurtris
Leur offrant le sursis d'un oasis fleuri.

Mais il n'était qu'un homme,
Qu'un homme avec des mots,
Qu'un vers sur une pomme,
Une pomme dont il est maux,
Qu'un parasite en somme,
Qu'un buveur de pommeau,
Qu'un de ceux qu'on dégomme
D'un petit coup de plumeau .
Mais il n'était qu'un homme
Un homme se jouant des mots,
Qui croqua dans la pomme,
Pensant soigner ses maux,
Un simple petit bonhomme,
Aussi flasque qu'un ormeau ,
Qui rêvait voir les hommes,
Sourire comme leurs marmots .

Il se voyait poète, artisan de la rime
Même si pour être honnête , son talent est infime
Il croyait dur comme fer , qu'avec ses petits vers
Il réduisait l'enfer , réchauffer les hivers ,
Il posait ses dessins bâtis avec des lettres
Aux milieux des essaims, où les brebis viennent paitre,
Avec l'espoir en lui qu'il viendrait à faire naitre
Dans le cœur d' autrui la flamme de son maitre
Il y mettait son âme toute la force de sa foi
Quelque perles de larmes, de la colère parfois
Il y mettait sa vie, de ses peines de ses joies,
Et toute son envie pour que tel un feu grégeois
L'amour se propage
Sur tous nos visages .

Mais je n'étais qu' un homme...

Merci de ces partages.
L'art convainc souvent mieux que la théologie,
et nous attire vers l'Amour Salvateur à grand coup de rimes tendres.

Merci de ton passage Sofoyal.

Merci Marie.


Allez au delà de soi, dépasser ses limites,
L'accomplissement où le sport nous invite
Faire plus que l'on pensait pouvoir
Essayez, juste pour voir.
Le dépassement de soi, au delà des limites
Quand le corps accomplit ce que l'esprit invite
À faire plus qu'on pouvait
Essayez, pour rêver.
Le plus grand des combats, c'est celui qu'on se livre
Quand seul face à soi même, on puise force qui enivre
Quand au bout de son souffle, quand à perte d' haleine
On pousse encore d'un pas qu'on gonfle encore la veine
Pour atteindre la ligne, pour rejoindre la rive
Et se réjouir des efforts qui font qu'on y arrive .

C' est de voir tant de guerre, que je voulu la paix
C'est d'écrire tant de mot, que l'on a voulut taire
C'est de me fermer le clapet, que d'oser dire ses maux
Qui viennent comme naguère me fendre de leurs épées.

Le peuple se déchire , quelque chose à casser,
Et l'esprit de tout dire commence à s'effacer
Serait ce  que Satan soit venu par ici
Corrompre la vertu
Serait ce que le diable ai joué lui aussi
à faire du pouvoir de nouveaux anges déchu...

[modo   "XXXX  il y a dans mes vers, une alerte pour xxx. Attention que xxxx n'empiète pas sur qui tu es et qui tu suis... ne te perds pas..."

une attaque pernicieuse et gravement préjudiciable contre la personne   sur le forum est inadmissible  et passible d'un avertissement sévère