Combattre par le Partage et l'Art

là , minuscule au fond de la nuit
petite lumière fébrile
petit bout d'homme sur le fil
d'une chandelle qui luit
là , à genou de toute mon âme
j'écume les remous de l'émoi
je prie , fait vaciller la flamme
ô dieu regarde moi .

Là, fleur fragile sous tes étoiles
chahuter par les tumultes des sèves
qui coule en forme sur la toile
dessinant des espoirs et des rêves
là , pleurs perdu dans la sahel
mirage d'espoir qui se noie
Je prie et abreuve la chamelle
Ô dieu regarde moi

là, Emmanuel de notre-dame
joue le bourdon dans son clocher
d'un beau fa dièse sonne la larme
d'une capitale qui se couchait
là, l'Emmanuel s’évertuait
à résonner de tout son poids
sonnant une prière qui le tuait
Ô dieu regarde moi .


https://www.youtube.com/watch?v=7ZvxKg32WpU


Là, Alors que je m'écrivais
sur les pages d'un écran de fumée
j'ai put entendre s'élever
un somptueux son à humer
Là, Emmanuel comme réveillé
un peu perplexe , un peu largué
venait de prier éveiller
et le haut Dieu l'a regardé ...

Nous étions des enfants ,
se baladant jovialement ,
dans un joli jardin
nous étions innocent
à courir gaiement
à se soucier de rien
Nous étions si content
qu'on suivit insouciant
les appels du malin
Nous sommes maintenant
aux services du serpent
qui réclame notre fin .


Nous avons recherché le sens ,
les pourquoi , les comment
de notre vie d' humain .
En avons goûté le sang ,
et les lambeaux pendant
nous en salissent les mains
Nous avons vu l'amour ,
nous ouvrir grand ses bras
illuminé nos voix .
et puis promis qu'un jour
nous laverons du cobra
l'illusion de nos choix .

Nous étions créatures
attirés sans vergogne
vers l'envie de savoir
Jusqu'à être en sature
de la nouvelle besogne
accompagnant l' avoir
Nous étions ignorant
sans pourquoi , sans comment
nous étions simplement
nous sommes maintenant
prisonnier du serpent
et de ses sifflement .

Nous avons beau cherché
c'est le vain qui s’enivre
et qui revient sans cesse
à chaque réponse trouvé
d'autre questions viennent vivre
et certitudes s'affaissent
Nous avons beau avoir
les plus grandes connaissances
les plus grandes richesse
nous restons sans savoir
ce qui fait notre essence
l'origine des espèces

Nous serons certainement
aujourd'hui ou demain
de retour au jardin
nous serons à cet instant
délivrer du malin
qui nous tendis la main
Nous serons créateurs
reproduisant sans fin
les plans de l'architecte
nous qui sommes un facteur
permettant au divin
qu' équilibre se respecte .

C'est l'embrun dans les yeux que j'observe le monde ,
et le regard planté sur les fleurs qui fanent ,
sur les oiseaux qui tombent , sur les glaces qui fondent
Tant d'embrun dans les yeux que notre terre cane

C'est les entrailles répandues sur le sol stérile
et le coeur mis à nue écorché par nos guerres
C'est les poumons éventrés par cette air infertile
et que vous épandez sur la peau de notre mère

Oui c'est les pieds souillés par l'eau de nos mépris
et la corne transpercée par l'épine du dédain
oh ! c'est bien l'âme meurtrie qu'aujourd'hui je vous prie
Seigneur , oh Éternel , montre nous tes desseins

C'est l'embrun dans les yeux , mais le sourire aux lèvres
confiant qu'un jour heureux vous lèverez le voile
qui nous couvrait vos cieux de nos pupilles mièvres
qui nous montrait l'odieux d'être loin de votre étoile .

C'est les genoux au sol et les paupières baissées
que j'appelle à l'envol de mes frères de mes soeurs
et c'est en conscience de votre infini grandeur
que je m'offre en pénitence de nos esprits blessés

De l'embrun dans mes yeux frétille un doux espoir
Inconnu jusqu'ici tellement il faisait noir
Élevant au rang d'ange l'homme qui ce soir
Uni en moi le plus grand des pouvoir .

J'ai toujours apprécié la poésie depuis tout enfant.
Je ne peux pas passer à côté de ton fil, sans reconnaître que tu as certe l'âme
d'un poète et que tu as un certain talent.
Alors bravo, mon ami ! Dieu donne le moyen de s'exprimer différemment à
chacun et s'exprime aussi différemment en chacun de nous.
Par nos dons divers nous faisons de notre mieux pour Lui ressembler, comme
nous le conseille Jésus dans les Evangiles, cela ne va pas souvent sans souffrances
et même sacrifices.
Dans la poésie nous pouvons laisser libre cours à notre imagination,
et changer la couleur du monde sans conséquences. Merci pour ce cadeau
que tu nous fais sur ce forum !
Fraternellement, ta soeur dans le Christ.

Lumen

Merci pour ton encouragement lumen , cela me va droit au cœur sachant qu'à mes yeux mes écrits sont mon seul talent.

Que Dieu te garde chère sœur. Tu me fais du bien par tes mots.

Fraternellement

Emmanuel P

Il y a des soirs où les mots se taisent,
où la pensée s'absente,
comme un abandon de résistance
qui naît de nos dépôts de braises.
Il y a des soirs où les silences
prennent position en abondance
et remplissent de leurs vides
nos pupilles arides
Il y a des soirs où l'air si dense
manque à notre existence
nous laissant suffoquer
sous leurs doux sobriquets,
il y a des soirs où par défiance
je regarde la mort dans le feu
et là, je suis, sans la moindre méfiance
certain qu'elle me prendra en son creux


Ce soir a un gout d'abandon ,
un toucher de silence
dans l'air, l'odeur du pardon
et l'on peut voir des âmes qui dansent
ce soir on entend les muets
chanter à tue tête cette chance
d'avoir su nous communiquer
que nos défauts font l'abondance ...


Il y a des lieux où errent fantômes
réminiscences de vieux axiomes
venant hanter quelques vivants
somnolant sur leurs divans
des lieux où se ravivent les flammes
où se brandissent les oriflammes
où peuvent renaître nos espoirs
morts sous vos coups de butoir
Des lieux uniques, faunes fantastiques
sites magnifiques et flore magique
d'un esthétisme sans limite
à vous faire devenir ermites


Ce lieu a un gout exotique
un toucher fantasmagorique
et dans son air l'odeur pudique
nous laisse entendre ses harmoniques
Ce lieu que l'aveugle nous montre
en nous en écrivant ses détails
est propice aux plus belles rencontres
à peine franchi son portail


Il y a des hommes qu'on n'oublie pas
et puis tout ceux qu'on ne sait pas
ceux qu'on aimerait toujours garder
ou ceux qu'on ne veut plus regarder
il y a des hommes les bras ouverts
et ceux qui restent recroquevillés
et l'un par l' autre recouvert
peu à peu viennent à scintiller
Il y a des hommes qui sont des femmes
Et des femmes qui sont de grands hommes
celles et ceux qui vous raniment
lorsque c'est vos peurs qui s'animent


Cet homme à le gout d'une dame
une odeur qui vous gagne à l'âme
son air résonne d'un chant exquis
nous laissant voir le paradis
Cet homme sans enveloppe tactile
auras su venir vous toucher
à l'endroit même où les idylles
viennent sur nos torses se coucher .

Il ne fait pour moi plus aucun doute que nous sommes entrer dans la troisième guerre mondiale. Celle ci est d'un nouveau genre, ressemblante au guérilla urbaine, où les ennemis ne sont identifiables que quand ils s'activent, en sommeillent autrement.
Un ennemi que l'on côtoie sans savoir ce qu'il mijote.
Un esprit sans visage, porteur d'une idéologie de la peur, et discréditant les enfants de Dieu, en se revendiquant de lui.
Un ennemi que nombreux imagine musulman, mais qui est en réalité ancrer dans un obscurantisme et qui attise les haines des uns envers les autres entrainant ainsi bon nombre de victime collatérale.
Ainsi ils s'opposent bien souvent à l'homme armée mais le fait en armant nos enfants.
A nouveau combat, nouvelles armes, et cette arme ne tue pas, ne blesse pas.
Cette arme ce nomme indifférence et exemplarité.
Cette arme se nomme amour, respect, tolérance, solidarité.
Cette arme ce nomme prière.
Cette arme appelle au martyr.
Car par l'idée qu'elle représente, elle accepte de mourir, mais n'accepte pas de tuer.
Pour vaincre dans ce nouveau conflit, il nous faudra faire fit de nos peurs, et toujours œuvrer dans la parole du Christ.
Ne vous trompez pas ce n'est pas une guerre de religion, car vos alliés seront juif, musulmans, bouddhistes, athée, et vos ennemis seront de ces même communauté.
C'est une guerre ideologique.
C'est le feu et le sang, face au vin et au pain.
C'est l'imposition face au libre abrite.
C'est la haine face au cœur .

Alors choisissez des maintenant vos armes, et gardez la foi...

c'est une guerre entre le bien et le mal , une guerre contre le Créateur
une arme puissante le ROSAIRE

Bonjour emmanuel,
Très heureuse de vous retrouver ici!!
Votre texte m'interpelle, je vous répond simplement :

Cette arme se nomme amour, respect, tolérance, solidarité. a écrit:

Ces quatre mots nous devons les respecter dans notre vie de tous les jours!!
En Union de Prière
Bien Amicalement

7 mois déjà... nos cœurs ont ils œuvrer?

Et si en réponse à cette haine et cette violence,
Nous faisions chaque jour,
Des actes de paix et d'Amour
Des actes créatifs pour rendre l'innocence,
À nos yeux, à nos cœurs,
troublés  par tant d'horreur.
Et si on se servait de nos pleurs,
Pour arroser les champs de fleurs
Que nous aurons planter, là où tombent nos martyres,
Là où coulent leurs sangs, là où se creusent la terre
Du poids des genoux de leurs pères, de leurs mères
Priant à leurs chevet, triste de les voir si brutalement partir.
Et si on oubliait aujourd'hui de maudire
De salir, de pourrir, d'allègement médire,
Si on leurs répondait par des mains qui s'unissent,
Par des corps enlacés,  des câlins qui guérissent.

Ce jour je veux semer un peu de poésie
Je n'ai guère  d'autres armes contre l'ignominie
Je n'ai pas d'autre incantation, ni même d'autre prière
Que d'appeler du beau là où l'on met en bière
Que d'appeler le très haut pour qu'il donne à mes mots
Le pouvoir de soigner ceux qui n'ont que des maux
à recevoir , ou à offrir
à donner ou à recueillir

Merci à notre poète Emmanuel c'est magnifique
Amitiés

Je voudrai vous rappeler ce que contient la dernière lettre de Lucie de Fatima à son évêque : "La troisième guerre mondiale est celle du combat de la vie."
Une troisième guerre comme la seconde n'y comptez pas; la Vierge Marie le dit, il n'y aura pas de troisième guerre mondiale!
Mais les USA la veulent! C'est pourquoi ils connaîtront la ruine.

Comme quoi, nous sommes d'accord sur la forme....

Un nouveau jour, une nouvelle page,
Un peu d' amour au bord d'une plage,
Et sur le sable les contours d'un cœur en cage
Pour le protéger des vautours qui le saccage.
Mais non ! mes frères, virons donc cette prison
Et transformons en les barreaux par nos bras reliés
Qu' unis autour de ce cœur sacré nous vainquions
Les abominations de ces  êtres fou alliés.

Allez encore un jour, une heure, une seconde
Allez faisons qu' amour inonde les plaies du monde
Ne lachons pas l'affaire, ne laissons pas la haine
Souillée le cœur sacré que l'on veut protéger
Et si l'ennemi encore un peu plus se déchaîne
Montrons que tous unis, il ne peut pas nous déloger .

Allez,  sortez de vos demeures, allez répandre vos cœurs
Allez offrir aux pleurs un peu de réconfort
Allez montrez au monde que l'amour est plus fort
Que les balles et les bombes
Et Qu'il dépasse les tombes

Allez , venez mes frères, on leurs montre à ces fous
Que leurs actes de guerres ne nous mettent pas à genou
Et que l' on continu, à croire , à espérer
Et que l'on continu à vivre et à aimer...

C'est ici, en rapport avec le sujet initiale, que je souhaite semer quelques petites graines.
Mais rien ne dis qu'il n' y aura que poésie, la création à de multiple facette, certes c'est dans les vers que je me sens le plus à l'aise mais demain cela peut être une vidéo , un dessin, une danse , une chanson, de moi, de vous , d'un autre... comme une page au milieu de la mer, ou la magie viens côtoyer de prés les sombres heures de se monde , pour que se garde un peu de lumière. Il ne suffit qu'un petit rayon pour percer les ténèbres , que je ne désespère pas voir à moi se mêler un nous créateur de rêve et d'Amour qui prendront place dans la réalité...

Je remonte ce fil afin de demander aux médiateur si ils peuvent le lier avec le fil comment gagner la troisième guerre mondial.

Ce pseudo fut banni par l'ancienne équipe, mais je suis l'auteur de ce fil.

Merci de votre compréhension.

Merci marie.

En ce qui concerne le titre , oui et non, je le répète je crois que pour vaincre, il nous faudra faire des actes de foi tel que le don total de soi, dans l'art certes mais pas que. Ce sont ici juste quelque brique d'une église à bâtir... des briques en forme de mot, mais bientôt de la musique, bientôt des actes de partages, bientôt, j'espère d'autre se joindront à nous .

Alors je propose le titre suivant.

Combattre par le partage et l'art.

Merci encore de votre compréhension et de vote réactivité.

Tourne, tourne, petite Sarya, tourne, tourne , tourne en rond
Tourne, tourne, petite Sarya , tourne, tourne en rond
Danse, danse jolie enfant, danse et chante gaiement ,
Danse, danse , jolie enfant danse et chante gaiement.

Dans ses yeux de petite fille la vie se pose pas de question,
Elle va droit, va droit devant, toujours en souriant,
Dans son rire de Belle enfant il y a comme un bastion
Un rempart inébranlable née de son cœur innocent .

Danse, danse petite Sarya etc ...


Sa tête tourne, c'est le frisson, garantie de la vie
Le monde autour ,virevolte comme si , n'exister que du jolie
Son cœur palpite, et elle prends gout, au papille qui pétille
Dans cette ronde , elle fait du monde une paradis qui frétille

danse , danse , petite Sarya...etc

Regardez donc, écoutez donc , les joies d'un rire d'enfant
Et voyez donc, comme il procure de si tendre sentiment
Allez venez, rejoindre la danse, des gens qui tourne et qui tourne
Prenez vos mains, et tous ensemble, allez on tourne et on tourne...



Prochainement, un clip à venir sur ce texte ..

Jour après jour, marque la page de quelques mots,
Et viens faire sourire un silence.
Le monde cours , sans avoir le temps de soigner ses maux ,
Sans même souffrir de leurs absences,
Tout va si vite...
Et l'on s'évite...

Nuit après nuit, les rêves s'enchaînent , peu se souviennent,
Mais dans le mien vous étiez beaux
Et le monde cours , toujours, si bien qu'au réveil me reviennent
Les images d'un hier bien plus chaud,
L' hiver s'invite ...
Et on s' évite

Mois après mois, les années passent à perdre haleine
Et de la fin s' approche nos cœurs
Tant le monde cours , a coup d ' amour, à coup de haine
Que dans le mélange née des rancœurs
que l'on effritent ...
Et l' on s' évite ...

Siècle après siècles , nos âmes traversent l' infini
Soufflant l'espoir à nos enfants
Même si le monde cours , reste immuable le paradis
Refuge du bien que l'on défends
Nul se renie...
Tous réunis...