Pourquoi certains Juifs se balancent-ils en priant ?
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Pourquoi certains Juifs se balancent-ils en priant ?
Pourquoi certains Juifs se balancent-ils en priant ?
Voici quelques-unes des raisons de cette attitude :
– Par référence au verset : « Tous mes os diront : Hachem ! qui est comme toi, qui délivres l’affligé de celui qui est plus fort que lui, et l’affligé et le pauvre de celui qui les pille ? » (Psaumes 35, 10 – Voir Rema ad Choul‘han ‘aroukh Ora‘h ‘hayim 48, 1).
– Par référence au verset : « Mon alliance avec lui était la vie et la paix, et Je les lui ai données pour qu’il craignît ; et il Me craignit et trembla devant Mon Nom » (Malachie 2, 5).
– Certaines personnes réservent leur balancement à l’étude de la Tora , car celle-ci a été donnée dans le tremblement (voir Chemoth 20, 15 – Voir Rema ibid .).
– Selon une opinion rapportée dans Berakhoth 28b, il est recommandé de se prosterner pendant la prière jusqu’à ce que toutes ses vertèbres se dissocient les unes des autres.
– On a également relié le balancement pendant la prière aux deux éléments fondamentaux du service divin : la crainte et l’amour de Hachem . Ce balancement serait une manifestation extérieure de ces deux éléments, l’inclinaison vers l’avant exprimant l’amour, et le retrait vers l’arrière manifestant la crainte.
– Selon une expression employée dans Ha-ketav weha-qabala ( Wayiqra 23, 2) par rabbi Ya‘aqov Tsewi Mecklenbourg, a‘hrei ha-pe‘ouloth nimchakhoth ha-levavoth (« les cœurs suivent les mouvements [du corps] »). Cette formule est souvent utilisée par ceux qui considèrent que le balancement pendant la prière favorise la concentration.
http://www.techouvot.com/le_balancement_pendant_la_priere-vt2492.html
J'avais lu aussi que le faite de ce balancer d'avant en arrière fait du bien au cerveau!
Les autistes le font aussi! regardez ce que j'ai trouvé sur internet:
c'est la concentration. En fait c'est même une méthode de mémorisation : on mémorise mieux un texte quand on se balance, probablement parce que ça imprime un rythme (de la même façon qu'il est plus facile de se rappeler un long texte en vers qu'en prose, parce que les vers sont rythmés alors que la prose est arythmique).
https://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20091031172307AAONmhg
Pour les autiste ou ceux qui se sentent pas bien des explications:
http://www.forum-depression.com/topic16106.html
Je me souviens que moi aussi petit je me balançais d'avant en arrière!
On appelle le fait de ce balancer:
"Rythmies de l'adulte éveillé et conscient"
Trouvé aussi:
Répétition d'oscillations de grande amplitude observées dès les premiers mois de la vie.
Il s'agit de balancements latéraux de la tête, puis du corps à quatre pattes d'avant en arrière, puis en position assise et même debout. Ils semblent bercer l'enfant, notamment dans les moments d'endormissement ou de solitude et d'ennui.
Ils s'observent plus fréquemment chez les enfants affectivement carencés, déficients mentaux ou psychotiques.
http://www.psychologies.com/Dico-Psycho/Balancement
Le balancement
Cela n’a rien de comparable aux tics. C’est un processus d’endormissement : en se berçant, l’enfant s’autostimule pour entrer dans le sommeil. Générale-ment, il balance sa tête ou son tronc de manière très rythmée. Il peut aussi être agité de la même façon dans son sommeil profond. Ces mouvements sont normaux et passeront avec l’âge.
Plus impressionnants sont les enfants qui tapent leur tête contre la paroi de leur lit ou contre le mur au moment de l’endormissement ou tout au long de leur sommeil. Dans la plupart des cas cette manie cesse vers l’âge de 4 ans mais peut se prolonger jusqu’à 5-6 ans. Elle est souvent précédée par des mouvement de roulement rythmés du corps ou de la tête. Différentes études ont mis en rapport ce comportement avec un problème ophtalmique ; il est donc recommandé de faire examiner régulièrement les enfants ayant cette habitude.
Différents traitements sont possibles selon les « écoles », tous ont des efficacités relatives. Le premier souci du médecin est d’abord de dédramatiser la situation auprès des parents et de leur conseiller d’éviter toute manifestation autoritaire ou sarcastique. Certains médecins sont partisans de la psychothérapie et de la relaxation ; d’autres pensent que la rémission ne peut se faire qu’avec des médicaments tels que des neuroleptiques. Malheureusement, à leur efficacité certaine, ils associent des manifestations secondaires comme somnolence et apathie. Enfin, une troisième voie est possible, celle de l’homéopathie.
L’avis du spécialiste
Les petites manies et les rituels ne doivent pas être confondus. Beaucoup de ces derniers sont encore présents à l’âge adulte : nous avons des expressions favorites de langage, nous aimons dormir d’un côté du lit, nous avons certaines habitudes alimentaires. Ces rites se construisent dès l’enfance et il est donc normal de les trouver chez l’enfant où ils sont véritablement magiques, l’aidant à atténuer toutes les anxiétés dues au changement et à l’inconnu. Très différentes sont les petites manies répétitives, par exemple les tics, qui gênent l’enfant dans sa sociabilité, provoquant la réprimande des parents et la moquerie de ses camarades. Leur traitement consiste avant tout en une mise à plat des raisons psychologiques qui ont vu naître de tels comportements. La relaxation est souvent efficace sur des manifestations qui sont l’expression somatisée d’une angoisse qui n’a pu être exprimée. Il est bon de ne pas attendre que ces petites manies deviennent encore plus fréquentes ou plus compliquées pour consulter un médecin. Plus elles sont ancrées, plus elles sont difficiles à traiter et plus elles hypothèquent l’image de soi chez cet enfant en plein développement.
http://www.medisite.fr/enfant-le-balancement.1149.119.html
Voici quelques-unes des raisons de cette attitude :
– Par référence au verset : « Tous mes os diront : Hachem ! qui est comme toi, qui délivres l’affligé de celui qui est plus fort que lui, et l’affligé et le pauvre de celui qui les pille ? » (Psaumes 35, 10 – Voir Rema ad Choul‘han ‘aroukh Ora‘h ‘hayim 48, 1).
– Par référence au verset : « Mon alliance avec lui était la vie et la paix, et Je les lui ai données pour qu’il craignît ; et il Me craignit et trembla devant Mon Nom » (Malachie 2, 5).
– Certaines personnes réservent leur balancement à l’étude de la Tora , car celle-ci a été donnée dans le tremblement (voir Chemoth 20, 15 – Voir Rema ibid .).
– Selon une opinion rapportée dans Berakhoth 28b, il est recommandé de se prosterner pendant la prière jusqu’à ce que toutes ses vertèbres se dissocient les unes des autres.
– On a également relié le balancement pendant la prière aux deux éléments fondamentaux du service divin : la crainte et l’amour de Hachem . Ce balancement serait une manifestation extérieure de ces deux éléments, l’inclinaison vers l’avant exprimant l’amour, et le retrait vers l’arrière manifestant la crainte.
– Selon une expression employée dans Ha-ketav weha-qabala ( Wayiqra 23, 2) par rabbi Ya‘aqov Tsewi Mecklenbourg, a‘hrei ha-pe‘ouloth nimchakhoth ha-levavoth (« les cœurs suivent les mouvements [du corps] »). Cette formule est souvent utilisée par ceux qui considèrent que le balancement pendant la prière favorise la concentration.
http://www.techouvot.com/le_balancement_pendant_la_priere-vt2492.html
J'avais lu aussi que le faite de ce balancer d'avant en arrière fait du bien au cerveau!
Les autistes le font aussi! regardez ce que j'ai trouvé sur internet:
c'est la concentration. En fait c'est même une méthode de mémorisation : on mémorise mieux un texte quand on se balance, probablement parce que ça imprime un rythme (de la même façon qu'il est plus facile de se rappeler un long texte en vers qu'en prose, parce que les vers sont rythmés alors que la prose est arythmique).
https://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20091031172307AAONmhg
Pour les autiste ou ceux qui se sentent pas bien des explications:
http://www.forum-depression.com/topic16106.html
Je me souviens que moi aussi petit je me balançais d'avant en arrière!
On appelle le fait de ce balancer:
"Rythmies de l'adulte éveillé et conscient"
Trouvé aussi:
Répétition d'oscillations de grande amplitude observées dès les premiers mois de la vie.
Il s'agit de balancements latéraux de la tête, puis du corps à quatre pattes d'avant en arrière, puis en position assise et même debout. Ils semblent bercer l'enfant, notamment dans les moments d'endormissement ou de solitude et d'ennui.
Ils s'observent plus fréquemment chez les enfants affectivement carencés, déficients mentaux ou psychotiques.
http://www.psychologies.com/Dico-Psycho/Balancement
Le balancement
Cela n’a rien de comparable aux tics. C’est un processus d’endormissement : en se berçant, l’enfant s’autostimule pour entrer dans le sommeil. Générale-ment, il balance sa tête ou son tronc de manière très rythmée. Il peut aussi être agité de la même façon dans son sommeil profond. Ces mouvements sont normaux et passeront avec l’âge.
Plus impressionnants sont les enfants qui tapent leur tête contre la paroi de leur lit ou contre le mur au moment de l’endormissement ou tout au long de leur sommeil. Dans la plupart des cas cette manie cesse vers l’âge de 4 ans mais peut se prolonger jusqu’à 5-6 ans. Elle est souvent précédée par des mouvement de roulement rythmés du corps ou de la tête. Différentes études ont mis en rapport ce comportement avec un problème ophtalmique ; il est donc recommandé de faire examiner régulièrement les enfants ayant cette habitude.
Différents traitements sont possibles selon les « écoles », tous ont des efficacités relatives. Le premier souci du médecin est d’abord de dédramatiser la situation auprès des parents et de leur conseiller d’éviter toute manifestation autoritaire ou sarcastique. Certains médecins sont partisans de la psychothérapie et de la relaxation ; d’autres pensent que la rémission ne peut se faire qu’avec des médicaments tels que des neuroleptiques. Malheureusement, à leur efficacité certaine, ils associent des manifestations secondaires comme somnolence et apathie. Enfin, une troisième voie est possible, celle de l’homéopathie.
L’avis du spécialiste
Les petites manies et les rituels ne doivent pas être confondus. Beaucoup de ces derniers sont encore présents à l’âge adulte : nous avons des expressions favorites de langage, nous aimons dormir d’un côté du lit, nous avons certaines habitudes alimentaires. Ces rites se construisent dès l’enfance et il est donc normal de les trouver chez l’enfant où ils sont véritablement magiques, l’aidant à atténuer toutes les anxiétés dues au changement et à l’inconnu. Très différentes sont les petites manies répétitives, par exemple les tics, qui gênent l’enfant dans sa sociabilité, provoquant la réprimande des parents et la moquerie de ses camarades. Leur traitement consiste avant tout en une mise à plat des raisons psychologiques qui ont vu naître de tels comportements. La relaxation est souvent efficace sur des manifestations qui sont l’expression somatisée d’une angoisse qui n’a pu être exprimée. Il est bon de ne pas attendre que ces petites manies deviennent encore plus fréquentes ou plus compliquées pour consulter un médecin. Plus elles sont ancrées, plus elles sont difficiles à traiter et plus elles hypothèquent l’image de soi chez cet enfant en plein développement.
http://www.medisite.fr/enfant-le-balancement.1149.119.html
Re: Pourquoi certains Juifs se balancent-ils en priant ?
Oui ya des autistes qui donnent aussi des coups de têtes dans les murs. Cest une manière comme une autre de montrer à Dieu qu'on est un peu têtu
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