Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Allez hop, si j'ai bien compris, tous les "bons cathos" iront au Paradis et tous ces vilains musulmans sont destinés à la Gehenne éternelle!
Je crains qu'au jour du Jugement les choses ne se passent pas ainsi!
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Philippe-Antoine- Avec les anges
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Rappel de ce dont traitait le début du Fil : l'oeuvre importante et récente du dominicain E-M Gallez ; ayons confiance dans le travail de nos chercheurs et théologiens et dans les fruits de ce travail :
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Le mystère des origines de l’islam enfin éclairci ?
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Le mystère des origines de l’islam enfin éclairci ?
Avec la parution de la thèse d’Édouard-Marie Gallez, Le Messie et son prophète. Aux origines de l’islam (deux tomes, Éd. de Paris, 2005), nous passons véritablement de la légende à l’histoire. Par sa critique impitoyable des sources, l’auteur écarte systématiquement toutes les inventions orientales et toutes les forgeries des prétendus historiens. Il se fonde sur les travaux du petit nombre de chercheurs honnêtes qui, surtout depuis une trentaine d’années, ont osé, dans des études partielles, s’écarter de la version admise par les islamologues patentés.
Voyons d’abord, avant de présenter les travaux d’É.-M. Gallez, quels sont ces savants qui ont étudié de façon scientifique la question de l’apparition au Proche-Orient d’une nouvelle religion dans la première moitié du VIIe siècle.
Les chercheurs
Déjà, dans les années 1950, le dominicain Gabriel Théry (1891-1959), écrivant sous le pseudonyme de Hanna Zakarias [1], avait imaginé une hypothèse [2] capable de rendre compte, principalement à partir d’une analyse du texte officiel du Coran [3], des incohérences et des absurdités qui s’y trouvent. Pour lui, l’islam est une « entreprise juive » mise en œuvre par le rabbin de la Mecque, qui aurait converti au judaïsme un jeune arabe nommé Mohammed. Ayant traduit en langue arabe un résumé du Pentateuque (aujourd’hui perdu, mais dont on retrouve des fragments dans le Coran actuel), ce rabbin aurait tenté d’utiliser cet Arabe pour entraîner son peuple dans l’entreprise messianique de reconquête de la Terre promise… pour le compte des Juifs. Possédant maintenant un livre sacré capable de faire pièce à l’ancien et au nouveau Testament, les Arabes auraient repris ce projet à leur compte. Cette hypothèse, qui ne tenait déjà pas compte de certaines études partielles publiées antérieurement sur le sujet, est aujourd’hui abandonnée à la suite des travaux des chercheurs que nous allons mentionner. Il n’en reste pas moins que nous pouvons saluer le courage de ce savant, qui a contribué à faire sauter la chape de plomb qui étouffait alors la recherche en matière d’islam.
Tout va changer avec la publication en 1977 de la thèse du professeur (à Cambridge, puis à Princeton) Patricia Crone [4] qui, faisant la synthèse des travaux antérieurs et des découvertes récentes, en particulier en matière d’archéologie, donne enfin une explication plausible des événements qui se déroulèrent au Proche-Orient à partir de 614 (prise de Jérusalem par les Perses). Ce grand savant a définitivement établi :
— que l’islam n’est pas né dans le Hedjaz (nord-ouest de la péninsule arabique), mais en Syrie ;
— que le Coran ne peut pas être considéré comme un document historique authentique du VIIe siècle ;
— que le Mahomet historique n’a rien à voir avec le personnage dépeint par la sira ;
— que le mécanisme de la tradition islamique empêche de considérer les textes qui en sont issus comme des documents exploitables par les historiens.
Ces études du professeur Patricia Crone ont inauguré les pistes les plus intéressantes de la recherche actuelle.
D’autres érudits ont continué sur cette lancée :
— Le P. Antoine Moussali (1921-2003), par sa connaissance de l’arabe et de la psalmodie, a rétabli le texte de certains versets du Coran et identifié des ajouts postérieurs dans certaines sourates importantes, permettant de nouvelles interprétations. Ce travail, qui semble indispensable avant toute traduction définitive, n’avait jamais été même commencé par la pléiade de spécialistes qui, depuis le XIXe siècle, se penchent sur cet écrit, et qui faisaient confiance au texte officiel du Coran établi par les docteurs de la foi. Le P. Moussali [5] a dégagé des indices très clairs qui montrent que le « Coran » dont parle (65 fois) l’actuel livre sacré des musulmans était un lectionnaire, traduit de l’araméen en arabe dans les années 610–630. Ce lectionnaire était en usage dans une secte dont nous parlerons plus loin, les judéo-nazaréens. A ce « Coran » primitif, les premiers califes ont ajouté un texte fait d’une compilation d’écrits en arabe, qui, remaniée peu à peu, devint notre actuel Coran au cours du VIIIe siècle.
— D’autres chercheurs se sont attachés à des aspects partiels de la question et à l’établissement de certains points d’histoire. Parmi eux, citons Ray A. Pritz pour son étude sur la secte des judéo-nazaréens – même si l’affirmation de leur disparition au IVe siècle est aujourd’hui contestée – [6] et Alfred-Louis de Prémare pour sa publication de la liste des documents nouveaux découverts et étudiés depuis une trentaine d’années, avec de très intéressantes monographies sur les différents auteurs et chroniques [7], ainsi que son étude sur l’élaboration du corpus coranique aux VIIe et VIIIe siècles [8]. Travail indispensable, même si on peut regretter qu’il ait montré trop de timidité à en tirer les conclusions qui pourraient sembler logiques et fait dans ses commentaires sur Mahomet quelques erreurs pour sacrifier à la vérité officielle.
— Cependant la véritable synthèse de toutes ces études est la thèse d’un jeune savant, Édouard-Marie Gallez qui a été soutenue en novembre 2004, sous le titre Du messianisme nazaréen au prophétisme islamique. Cette thèse a été publiée en juillet 2005 sous le titre Le Messie et son prophète. Aux origines de l’islam. Les quelques notes qui vont suivre ne font qu’exposer cette nouvelle hypothèse historique qui donne enfin une explication plausible de la naissance de l’islam.
Les Qurayshites
Les Arabes sont un très vieux peuple du Proche et Moyen-Orient, qui n’a jamais eu d’histoire propre. Divisés en de nombreuses tribus nomades ou sédentaires, ils formaient déjà une des composantes de l’empire perse de Darius Ier à la fin du Ve siècle avant J.-C. Les textes bibliques en parlent comme de riches négociants faisant le commerce des aromates, de l’or et des pierres précieuses, ou des pasteurs nomades vivant de brigandage. La razzia leur permettait de compléter leur ordinaire par l’appropriation de biens divers et d’esclaves. Ils peuplaient les confins de la Mésopotamie, le long de l’Euphrate, et à l’est de la Syrie.
Ces nomades étaient devenus partiellement sédentaires, formant à partir de la fin du IIIe siècle, deux royaumes, les Lakhmides autour de Hira (en Mésopotamie, sur l’Euphrate), et les Ghassanides avec trois lieux de résidence aux confins du désert de Syrie et dans le Golan [9]. « En raison de leur mobilité et de leurs capacités guerrières, les Ghassan étaient pour Byzance des alliés indispensables, qu’il lui fallait ménager – écrit A.-L. de Prémare –. Aussi jouaient-ils, comme les Lakhmides leurs ennemis du côté perse, un rôle important sur l’échiquier politique ». Au IVe siècle, une autre tribu, celle des Saracènes (Saraceni) [10], sous la direction de la « reine » Mauvia (Mawiyya) tentera de secouer la tutelle de Rome : après avoir battu les troupes de l’empereur arien Valens (373), elle finit par s’entendre avec les Romains. C’est à partir de cette date que les Arabes commencèrent à prendre conscience de leur force militaire : au VIe siècle, ils se mirent, comme mercenaires, au service des deux grands empires qui se disputaient la suprématie au Proche-Orient, Byzance et les Perses. Les Ghassanides seront vassaux de Byzance, les Lakhmides de la Perse.
Mais parmi les différentes tribus arabes, il y en a une qui va prendre une importance considérable dans l’histoire, celle des Qoréchites (en arabe qurays), dont est issu Mahomet. L’écrivain syrien Narsaï, écrivant vers 485, mentionne déjà la cruauté des Qurays au cours des razzias qu’ils faisaient dans la région de Beith Aramayé, à l’ouest de l’Assyrie [11]. Il semble qu’au VIe siècle, ils se soient reconvertis dans le commerce, peut-être à cause d’une christianisation, au moins superficielle [12]. De plus, de nombreux noms de lieux portent leur nom en Syrie, et non dans le Hedjaz, comme on pourrait s’y attendre. Le géographe René Dussaud [13] a relevé le nom d’une rivière qui porte leur nom (nar al quraysiy) qui traverse les ruines d’un village d’Arabes semi-nomades (un caravansérail, centre de commerce et halte pour les caravanes) appelé Khan el-Qourashiyé, situé à 30 kilomètres au nord-est de Lattaquié. Les chroniques nous donnent encore d’autres indications sur l’activité de ces Arabes, qui se situe entre la Syrie et la Palestine : la Chronique de Jacob d’Édesse (fin du VIIe siècle), traduite par A.-L. de Prémare [14] précise que Mahomet « alla pour le commerce en terres de Palestine, des Arabaya [région arabe de Mésopotamie] et de Phénicie des Tyriens ». D’autres traditions mentionnées par ce même chercheur situent autour de Gaza le lieu de l’activité commerciale de Mahomet et la tombe de son arrière-grand-père ; sa famille y possédait des terres [15].
Les judéo-nazaréens
Mais revenons en arrière pour parler d’une autre force, spirituelle celle-là, sans laquelle l’islam n’aurait pas pu naître, la secte des judéo-nazaréens. Leur existence, très mal connue jusqu’à ces dernières années, a été mise en valeur par Ray A. Pritz dans son étude Nazarene Jewish Christianity… Rappelons que c’est ce chercheur qui les a baptisés « judéo-nazaréens » pour éviter les ambiguïtés du vocable « nazaréens » sous lequel ils étaient connus jusqu’ici [16]. Il s’agit d’une déviation des chrétiens d’origine juive appartenant à la communauté du premier évêque de Jérusalem, Jacques (l’apôtre Jacques le Mineur ou le « frère de Jésus » Jacques le Juste ? La question est pendante), mort martyr en 62 après J.-C. Ces judéo-nazaréens (avec É.-M. Gallez, adoptons cette dénomination qui, à défaut d’être reconnue par tous les islamisants, a le mérite d’être claire) croient que Jésus n’est pas mort sur la croix (il y aurait eu une substitution), mais qu’il est gardé en réserve au ciel dans une perspective politique de conquête du monde.
Parmi les écrits qui expriment cette idéologie politico-religieuse, il faut détacher le Deuxième livre de Baruch ou Livre syriaque de Baruch, un apocryphe datant des années 80 après J.-C. [17]. Tout en prônant l’observation scrupuleuse de la Loi dans le présent, ce texte annonce pour l’avenir un monde nouveau et bien concret, qui viendra sur la terre après les douze époques de cette vallée de larmes. Alors, le Messie, qui est comparé à une vigne et à une source d’eau vive, régnera sur le monde entier, tandis que Jérusalem sera rebâtie. Ce n’est qu’au terme du règne messianique qu’aura lieu la résurrection des corps : « C’est pour toute la terre que cela arrivera. […] Dès que sera accompli ce qui doit arriver dans ces parties [du temps], le Messie commencera de se révéler [18] ». Il y a dans ces textes, « une vision dialectique du monde », selon l’expression d’É.-M. Gallez. En effet, les judéo-nazaréens se distinguent de façon polémique des judéo-chrétiens (les chrétiens de Palestine) et des juifs orthodoxes. Ne reconnaissant que leur seul Évangile, copié de celui de Matthieu, à l’exclusion des autres, ils reprochent aux chrétiens d’avoir contaminé de paganisme la pure tradition juive, le Messie-Jésus ne devant pas être « mêlé » à Dieu. Aux juifs, ils ne pardonnent pas la lapidation de Jacques le Juste, la non reconnaissance du Messie, et surtout l’introduction, dans le corpus des livres sacrés, de la Mishna et des Talmudin, qui donnent une fausse interprétation de la Tora. Ils se considèrent donc comme les représentants de la vérité entre deux erreurs opposées.
Les judéo-nazaréens étaient coupés du monde religieux juif et chrétien. La plupart des exégètes sont incapables de les définir clairement. C’est le cas par exemple de saint Jérôme qui, en 404, écrit à saint Augustin à leur propos [19] : « Tandis qu’ils veulent tout ensemble être juifs et chrétiens, [ces hérétiques] ne sont ni juifs ni chrétiens. » En réalité, ils voulaient fortement se distinguer des uns et des autres ! Aussi bien, le petit nombre de documents que nous possédons sur cette secte ne signifie aucunement qu’elle ait cessé d’exister et de prospérer avant le IVe siècle, ni même bien au-delà, contrairement à l’opinion de Ray A. Pritz. En effet, celui-ci ignore un témoignage capital qui n’a pas échappé à un autre chercheur, Simon-Claude Mimouni [20], à savoir celui du pèlerin anonyme de Plaisance qui, vers 570, visita la Palestine. Il fait état d’une communauté d’Hébreux qui ne s’entendaient pas avec les chrétiens, mais qui n’étaient pas non plus des juifs talmudistes. Il ne pouvait s’agir que de judéo-nazaréens, analyse É.-M. Gallez, qui donne d’autres preuves épigraphiques se trouvant en particulier dans des villages ruinés du plateau du Golan.
Mais le texte capital qui nous fournit la preuve que, au VIIe siècle, les judéo-nazaréens n’avaient nullement disparu, c’est… le Coran lui-même, aussi curieux que cela puisse paraître. A condition, bien sûr, d’étudier ce Coran non avec les lunettes roses de la légende musulmane, mais avec les outils de l’analyse historique et théologique, comme É.-M. Gallez. En effet, le Coran que nous connaissons mentionne un « coran » auquel il se réfère, et cela soixante-cinq fois. Comme il ne peut pas se référer à lui-même, il s’agit bien d’un autre texte. Quel est-il ? Pour répondre à la question, il faut faire appel à l’étymologie. Le mot quran vient de qara , verbe hébreu signifiant crier, lire ou réciter en public. C’est également le sens du syriaque qorono qui désignait un florilège chrétien d’extraits bibliques destiné à la lecture publique, appelé aussi « lectionnaire ». Cela s’applique parfaitement à l’usage que les musulmans firent du Coran élaboré par les califes à partir du VIIIe siècle, qui servait à des lectures journalières. Mais de quel lectionnaire s’agit-il dans les sourates qui parlent du « coran » ? La S. 3, 113 fait allusion à « une communauté debout (umma) [qui] récite les versets de Dieu durant la nuit et ils se prosternent ». Ce n’est évidemment pas la communauté naissante des musulmans, mais une autre, qui est désignée ailleurs (S. 5, 66) : « Parmi eux [les Juifs] il y a une communauté qui va sans dévier ». Cette communauté qui, selon une tradition biblique ancienne, se lève la nuit pour réciter des psaumes, est évidemment celle de l’auteur qui, n’étant pas un Juif orthodoxe (ceux-ci constituent l’autre communauté, qui « dévie »), ne peut que faire partie du groupe judéo-nazaréen qui nous occupe. Des citations de nombreuses autres sourates viennent apporter des arguments supplémentaires à cette analyse d’É.-M. Gallez.
Ainsi, nous avons la preuve que les judéo-nazaréens n’avaient pas du tout disparu au début du VIIe siècle, puisque leur lectionnaire, avec le Pentateuque (tora) et l’Évangile (celui de Matthieu, injil) se retrouve mentionné dans l’actuel Coran. A partir de ce moment, nous avons une « grille » qui va nous faire avancer dans l’explication des événements qui se sont produits dans la première moitié du VIIe siècle. Cette découverte d’Édouard-Marie Gallez va lui permettre de bâtir une hypothèse scientifique qui « colle » à la réalité géographique et historique.
Les apories de l’histoire officielle
Mais voyons d’abord ce qui s’est passé et comment la pseudo-histoire officielle nous explique la naissance et le développement de cette religion guerrière qui, comme un raz de marée, va bientôt submerger non seulement le Moyen-Orient, mais une partie du bassin méditerranéen. Le début du VIIe siècle est une période de troubles dans l’Empire romain d’Orient. L’empereur Maurice est détrôné et assassiné par un centurion, Phocas, qui est élevé au trône par ses soldats (602). Ce dernier laisse ravager et conquérir ses provinces d’Asie par le Perse Chosroès II (Khusraw II). Mais en 610, il est à son tour détrôné et tué par Héraclius, le fils de l’exarque ou gouverneur général de la province d’Afrique. Attaqué de tous les côtés par diverses peuplades, l’Empire est sauvé par Sergius, le patriarche de Constantinople, qui fait jurer à Héraclius de le défendre, alors qu’il voulait transporter le centre du pouvoir à Carthage. Mais les Perses continuent leurs conquêtes et en 614 s’emparent de Jérusalem, emportant la sainte Croix à Ctésiphon (aujourd’hui Bagdad), leur capitale. Ayant enfin pu réunir une armée suffisante, Héraclius recommence la conquête de l’Asie mineure à partir de 622 et finit par vaincre les Perses à Ninive (628). Chosroès II est renversé par une révolution de palais et ses successeurs restituent aux Byzantins toutes leurs conquêtes, ainsi que la sainte Croix qu’Héraclius replace solennellement à Jérusalem (631). C’est alors que les Arabes, qui n’avaient pas participé en tant que peuple à ces événements, vont soudain apparaître et tout balayer sur leur passage, faisant en l’espace d’un siècle la conquête de la Palestine, de la Syrie, de la Perse, de l’Égypte, puis dans un second temps, du Maghreb et de l’Espagne (632-750).
Les explications données par les historiens officiels sur la rapidité de cette conquête sont les suivantes : le Prophète, inspiré par Dieu, aurait essayé de convertir les polythéistes de la Mecque. Il aurait été d’abord expulsé et se serait replié sur Yatrib (future Médine), où il aurait composé le Coran et créé l’islam, levé une armée, reconquis la Mecque, et de là serait monté vers le nord, comme un ouragan renversant tout sur son passage.
Or cette version, qui ressemble à un conte des mille et une nuits [21], butte contre les impossibilités ou les absurdités suivantes :
— La Mecque, située dans un lieu particulièrement insalubre, n’existait pas au temps de Mahomet. Cette ville a été créée quelques dizaines d’années plus tard par les califes, pour des raisons religieuses et politiques [22].
— Le Coran est truffé d’histoires juives et de recommandations d’appliquer les prescriptions de la religion judaïque. Or les sources juives, comme le reconnaît Prémare [23], sont muettes sur la présence de colonies juives dans cette partie du Hedjaz. Et ce n’est pas l’activité de marchand de Mahomet qui a pu lui donner une pareille érudition.
— L’idéologie messianique de conquête du monde, qui était celle des conquérants arabes, est dénoncée par l’évêque de Jérusalem Sophrone en 635 [24]. Or cette idéologie n’est pas arabe, ces peuples s’étant contentés jusqu’au VIIe siècle de guerroyer pour faire du butin ou d’être mercenaires des Byzantins ou des Perses.
— Contrairement à ce qu’affirme A.-L. de Prémare après les islamologues officiels, Mahomet n’a jamais revendiqué pour lui la qualité de prophète. Dans les documents d’époque cités, il est écrit que les gens disaient qu’il l’était, ce qui n’est pas la même chose [25].
Des essais d’explication
Voilà quelques objections (il y en a d’autres) qui sont insurmontables pour la vulgate officielle. Le père Gabriel Théry avait bien vu les trois dernières, et, pour y répondre, avait avancé l’hypothèse du rabbin de la Mecque, mentor de Mahomet, qui l’aurait initié au Pentateuque, aux commentaires rabbiniques de la Bible et aux arcanes de la religion juive. Il expliquait aussi l’importance de l’Évangile (injil) dans le Coran par la nécessité pour le rabbin de tenir compte de la communauté chrétienne de la Mecque.
Les découvertes de Patricia Crone ont ruiné l’hypothèse du rabbin et de son adversaire le curé. De toute façon, comment un juif, pour qui Jésus est un imposteur, aurait-il pu parler de façon laudative du Messie et de sa mère Marie ? Cette fausse piste devait donc être abandonnée : les Juifs « orthodoxes » n’étaient nullement responsables de la création de l’islam, c’est un fait maintenant établi.
Une autre raison historique militait encore contre cette thèse : les Juifs venaient de subir, de la part des Perses, des persécutions qui ne les mettaient pas en position de force. En 614, par haine des Byzantins chrétiens, ils avaient aidé Chosroès à faire le siège de Jérusalem. Pour les récompenser, le « Roi des Rois » leur avait confié l’administration de la ville. Ils en profitèrent pour se livrer à un grand massacre de chrétiens, si bien que les Perses leur retirèrent cette charge, les expulsèrent de la ville et les déportèrent dans plusieurs villes de leur empire.
Il fallait donc trouver autre chose. C’est ce qu’a fait É.-M. Gallez en avançant l’hypothèse de l’alliance des Arabes qurayshites et du groupe des judéo-nazaréens : hypothèse qui, nous allons le voir, non seulement intègre les découvertes récentes (ou qui avaient été oubliées) de la science historique, mais surtout répond à toutes les objections que nous venons de mentionner, tout en expliquant les obscurités qui entourent l’apparition et le développement d’une nouvelle religion au VIIe siècle, l’islam.
Nous nous bornerons, dans le cadre de cette recension, à mentionner les principaux points de cette hypothèse scientifique :
— L’islam est né de la conjonction, dans la première moitié du VIIe siècle, de trois éléments : les peuplades arabes puissantes et riches, lasses de combattre pour des étrangers (Byzantins et Perses) et récemment humiliées par eux ; ensuite le groupe de chrétiens hérétiques de sang juif, les judéo-nazaréens, porteurs d’une idéologie messianique de conquête non seulement de la Terre (la Palestine), mais du monde entier ; enfin un homme, Mahomet, appartenant à une tribu arabe de marchands, disposant donc du « nerf de la guerre » nécessaire au démarrage et à la poursuite d’une opération de cette envergure.
— Un contingent d’Arabes ennemis des Byzantins aurait participé activement au siège de Jérusalem par les Perses en 614. En 622, devant l’avance des armées d’Héraclius qui a commencé la reconquête de l’Anatolie, les Qurayshites de Mahomet et les judéo-nazaréens qui les accompagnent – et qui sans doute avaient participé au massacre des chrétiens – décident d’émigrer (ils se nomment d’ailleurs ainsi, les « émigrés », muhadjirun) à Yatrib, la grande oasis du Hedjaz, où les armées byzantines ne risquent pas d’aller les chercher.
— Là, Mahomet et les docteurs judéo-nazaréens qui l’entourent (les liens entre eux étaient anciens, et il est probable qu’il avait épousé une jeune femme de ce groupe, nommée Khadija ou autrement) ont une idée de génie : déguiser cette fuite en un repli stratégique pour la reconquête de la Terre (la Palestine), rappelant non seulement l’épisode égyptien de l’Exode, mais aussi ce qu’avaient fait les Macchabées. Pour bien affirmer cette volonté agressive, ils vont jusqu’à rebaptiser Yatrib en Médine, allusion à la petite ville de Modin [26] d’où ces héros juifs, après avoir abandonné Jérusalem (167 avant J.-C.) étaient repartis pour y revenir victorieux, fondant un éphémère royaume asmonéen de 163 à 135 av. J.-C. Une autre façon frappante d’exalter ce repli en l’intégrant dans une stratégie offensive fut de transformer 622 en l’an I du calendrier musulman.
— C’est ce repli de Jérusalem sur Yatrib (et non de La Mecque sur Yatrib, comme le prétend la vulgate officielle), où vivaient déjà d’autres judéo-nazaréens, qui fut nommé l’Hégire (= l’exode). De 622 à 634, Mahomet a sans doute fort à faire pour asseoir sa domination sur les Arabes de la péninsule. Il tente plusieurs opérations militaires, en particulier en 629 où il se fait battre à Mouta, au sud-est de la mer Morte. Ce n’est qu’en 634 que les opérations d’invasion commencent du côté de la Syrie, sous la direction de Mahomet lui-même (qui est censé être mort depuis deux ans), selon divers documents très anciens.
— Ce sont les califes successeurs de Mahomet qui mettront en œuvre son plan. La prise de Jérusalem a lieu sans combat par les troupes d’Omar en 635, 636 ou 637. Omar, maître de la ville, fait déblayer l’esplanade du Temple, devenue un dépôt d’immondices et, avec ses alliés judéo-nazaréens, offre un sacrifice pour faire revenir le Messie.
— Celui-ci ne se manifestant pas, les Arabes (les Qurayshites et les Ghassanides, naguère au service de Byzance, qui les ont rejoints) se débarrassent de leurs mentors, les docteurs de la foi judéo-nazaréens, et prennent à leur compte leur lectionnaire, le Coran, qu’ils font réécrire par ceux d’entre eux qui acceptent de « collaborer », pour en faire un livre sacré qui fasse pièce à celui des juifs (la Bible) et à celui des chrétiens (les Évangiles).
– Cette lente élaboration (qui durera près de deux siècles) d’une religion de conquête sera la base de l’expansion islamique qui s’étendra vers la Perse et le bassin méditerranéen…
Mahomet
Mais le plus grand mérite de la thèse d’É.-M. Gallez est de donner enfin son vrai relief au personnage de Mahomet. Laissant de côté la sira, qui en fait un personnage aussi peu crédible que le sont de nos jours les biographies officielles d’un Staline ou d’un Mao, ce grand érudit, s’appuyant principalement sur les (trop) rares témoignages des chroniques du temps, nous peint un de ces grands hommes qui ont marqué l’histoire de leur forte personnalité.
En effet, il fut à la fois négociant, prédicateur, conquérant et chef d’état, plus exactement « Seigneur des Arabes ».
- Négociant, grâce à son appartenance à la tribu des Qurayshites et son mariage avec Khadija, la riche cousine d’un des « prêtres » judéo-nazaréens, Mahomet se déplaçait pour son commerce à travers la Palestine, la Mésopotamie et le Liban-Sud, et Yatrib.
- Prédicateur « très bien instruit et à l’aise avec l’histoire de Moïse », Mahomet « proclamait la venue du Messie », selon certaines chroniques [27]. Il laissait dire (sans l’affirmer) qu’il était un prophète annonçant en réalité non la venue, mais le retour [28] du Messie-Jésus qui devait être précédé par la « libération de la Terre [la Palestine] » et « la restauration de la Maison de Dieu [reconstruction du Temple] ».
- Conquérant, Mahomet l’est par son « charisme » de chef de guerre, sa capacité de fédérer les tribus arabes et de leur imposer une idéologie guerrière, mais surtout par sa stratégie consistant à profiter de l’épuisement des deux grands empires pour lancer une grande offensive, et sa tactique géniale de repli sur Yatrib pour mieux revenir vers la Palestine en donnant à ces opérations un caractère messianique.
- Chef d’État enfin, Mahomet l’est par l’instauration de la nouvelle théocratie du califat, et sa vision de la communauté des croyants (umma) transcendant les nations et les empires, qui doit s’imposer au monde entier divisé en territoires soumis (dar el islam) et zones de guerre (dar el harb). Des projets qu’il n’aura pas le temps de mettre en œuvre, mais qui seront réalisés et développés par les califes qui lui succéderont.
Maxime Lenôtre
Édouard-Marie Gallez, Le messie et son prophète. Aux origines de l’Islam, Éditions de Paris (13, rue Saint-Honoré, B.P. 30107, 78000 Versailles), 2005, 2 vol. de 524 et 582 p., 14 x 20 (35 et 39 €).
[Recension parue dans Le Sel de la terre n°55, Décembre 2005.]
Sur le même sujet, voir : Le grand secret de l’Islam.
Chronologie succincte du IIIe au VIIIe siècle – Proche et Moyen-Orient
233 – Les Perses sont battus par Alexandre-Sévère.
243 – Campagne victorieuse de Gordien III.
260 – Victoire perse à Édesse. Capture de l’empereur Valérien.
284 – Carus envahit la Perse, mais meurt au combat avec son fils.
330 – Constantinople capitale de l’Empire romain.
364 – Partage de l’Empire romain : Occident (Valentinien Ier) – Orient (Valens).
527 – Guerre continuelle entre l’Empire romain d’Orient et les Perses Sassanides. Les Perses attaquent Justinien.
532 – Victoire des Perses et paix temporaire. Les Byzantins paient un tribut.
572 – Justin II refuse de payer le tribut. La guerre reprend.
591 – Maurice obtient l’annulation du tribut.
601 – Les Perses s’emparent de la Syrie, de la Palestine et de l’Égypte.
614 – Les Perses (Chosroès II) s’emparent de Jérusalem. Massacre des chrétiens. Incendie de l’Église du Saint-Sépulcre. La sainte Croix est emportée à Ctésiphon, capitale de l’empire perse.
627 – Victoire d’Héraclius à Ninive. Chosroès II est déposé, enfermé dans une salle de son palais où il meurt de faim. La Syrie est reprise à ses successeurs. La vraie Croix est rapportée à Jérusalem.
633 – Les Arabes attaquent la Perse. Victoire de Kadiysia (sur l’Euphrate). Chute de Ctésiphon (actuelle Bagdad). Les Perses se replient sur l’Iran. Prise de Persépolis par les Arabes. — Expédition d’Héraclius pour reprendre la vraie Croix à Jérusalem et l’apporter à Constantinople. — Abandon de la Syrie par les Byzantins.
635 – Chute de Damas.
635, 636 ou 637 – Jérusalem prise sans combat par les troupes du calife Omar.
639 – Les Arabes pénètrent en Égypte.
640 – Victoire arabe d’Héliopolis.
673 – Première attaque contre Constantinople.
718 – Deuxième attaque contre Constantinople. Les Arabes finissent par lever le siège.
243 – Campagne victorieuse de Gordien III.
260 – Victoire perse à Édesse. Capture de l’empereur Valérien.
284 – Carus envahit la Perse, mais meurt au combat avec son fils.
330 – Constantinople capitale de l’Empire romain.
364 – Partage de l’Empire romain : Occident (Valentinien Ier) – Orient (Valens).
527 – Guerre continuelle entre l’Empire romain d’Orient et les Perses Sassanides. Les Perses attaquent Justinien.
532 – Victoire des Perses et paix temporaire. Les Byzantins paient un tribut.
572 – Justin II refuse de payer le tribut. La guerre reprend.
591 – Maurice obtient l’annulation du tribut.
601 – Les Perses s’emparent de la Syrie, de la Palestine et de l’Égypte.
614 – Les Perses (Chosroès II) s’emparent de Jérusalem. Massacre des chrétiens. Incendie de l’Église du Saint-Sépulcre. La sainte Croix est emportée à Ctésiphon, capitale de l’empire perse.
627 – Victoire d’Héraclius à Ninive. Chosroès II est déposé, enfermé dans une salle de son palais où il meurt de faim. La Syrie est reprise à ses successeurs. La vraie Croix est rapportée à Jérusalem.
633 – Les Arabes attaquent la Perse. Victoire de Kadiysia (sur l’Euphrate). Chute de Ctésiphon (actuelle Bagdad). Les Perses se replient sur l’Iran. Prise de Persépolis par les Arabes. — Expédition d’Héraclius pour reprendre la vraie Croix à Jérusalem et l’apporter à Constantinople. — Abandon de la Syrie par les Byzantins.
635 – Chute de Damas.
635, 636 ou 637 – Jérusalem prise sans combat par les troupes du calife Omar.
639 – Les Arabes pénètrent en Égypte.
640 – Victoire arabe d’Héliopolis.
673 – Première attaque contre Constantinople.
718 – Deuxième attaque contre Constantinople. Les Arabes finissent par lever le siège.
Afrique du Nord
647 – Première tentative pour conquérir la Tunisie dirigée par un chrétien, Grégoire, gouverneur de l’Empereur d’Orient. Les Arabes se replient sur Égypte, contre le paiement d’un tribut.
661 – Transfert de la capitale, de Médine à Damas.
670 – Les Arabes reprennent leur progression le long de la côte, laissant de côté les grandes villes.
682 – Les Arabes atteignent l’Atlantique.
683 – Défaite à Biskra contre les Kabyles.
698 – Chute de Carthage, qui est détruite.
661 – Transfert de la capitale, de Médine à Damas.
670 – Les Arabes reprennent leur progression le long de la côte, laissant de côté les grandes villes.
682 – Les Arabes atteignent l’Atlantique.
683 – Défaite à Biskra contre les Kabyles.
698 – Chute de Carthage, qui est détruite.
Conquête des îles par la flotte arabe
648 – Chypre.
654 – Rhodes.
655 – la Sicile.
720 – la Sardaigne.
654 – Rhodes.
655 – la Sicile.
720 – la Sardaigne.
Espagne et Gaule
711 – Le Berbère Tarik, lieutenant de l’émir d’Afrique du Nord, bat le roi wisigoth Roederic (Rodrigo des chansons de geste sur « la perte de l’Espagne »).
720 – Prise de Narbonne.
721 – Défaite arabe devant Toulouse.
732 – Razzias d’Abd-er-Rahmane : Carcassonne, Nîmes, Autun, Bordeaux. — Défaite à Ballan-Miré et Poitiers (Charles Martel).
759 – Reconquête de la Narbonnaise par Pépin le Bref.
720 – Prise de Narbonne.
721 – Défaite arabe devant Toulouse.
732 – Razzias d’Abd-er-Rahmane : Carcassonne, Nîmes, Autun, Bordeaux. — Défaite à Ballan-Miré et Poitiers (Charles Martel).
759 – Reconquête de la Narbonnaise par Pépin le Bref.
[1] — Hanna Zakarias, De Moïse à Mohammed. L’islam entreprise juive, tomes I et II, Cahors 1955 (autoédition). Les tomes III et IV furent publiés en 1964 (Éditions du Scorpion) par son disciple Joseph Bertuel.
[2] — Rappelons qu’il y a une grande différence entre une « vue » sur une question, que l’auteur veut imposer en choisissant ses arguments, et une hypothèse, qui est un instrument scientifique permettant d’analyser la réalité historique et qui peut ensuite être abandonnée si elle ne rend pas compte de tous les faits (en particulier des nouvelles découvertes).
[3] — Le livre sacré de l’islam. Aucun manuscrit conservé jusqu’à nos jours, et peu de fragments connus, sont antérieurs au IXe siècle : les plus anciens, s’il s’agit de ceux du musée Topkapi à Istamboul, datent en réalité du IXe siècle.
[4] — Patricia Crone, Hagarism. The making of the islamic world (en collaboration avec Michaël Cook), Cambridge University Press, 1977. Ses études sur l’islam se poursuivront par deux autres ouvrages : — Meccan trade and the rise of islam, Oxford, Blackwell, 1987 ; — God’s Caliph (en collaboration avec Martin Hinds), Cambridge University Press, 1986.
[5] — A Moussali, La croix et le croissant, Éditions de Paris, 1998 ; — Judaïsme, christianisme et islam, Éditions de Paris, 2005.
[6] — Ray A. Pritz , Nazarene Jewish Christianity, from the end of New Testament period until its disappearence in the fourth century, Jerusalem-Leiden, Brill, 1988.
[7] — A-L de Prémare, Les fondations de l’islam, Seuil, mars 2002.
[8] — A-L de Prémare, Aux origines du Coran, Paris Téraèdre, 2004.
[9] — A.-L. de Prémare, les fondations…, p. 44. Le plus important de ces centres était Jabyra dans le Golan, Jilliq, à une douzaine de kilomètres autour de Damas, sans doute pour le campement des troupes, et Dumayr à 30 kilomètres au nord-est de Damas, vers Palmyre.
[10] — Saint Jérôme précise que ces tribus « vivant sous la tente » nomadisaient dans le désert de Syrie, et Ammien Marcellin ajoute : le Sinaï.
[11] — Alphonse Mingana, Leaves from the ancient Qurans possibly pre-othmanic, Cambridge University Press, 1914, p. XIII.
[12] — Dans l’empire byzantin, à partir de 380 (édit de Théodose), le christianisme est devenu religion d’État. Ce qui n’empêcha pas les hérésies nestorienne et monophysite de prospérer avec ou sans la protection de l’empereur.
[13] — René Dussaud, Topographie historique de la Syrie antique et médiévale, Paris, Geuthner, 1927.
[14] — Les fondations de l’islam, op. cit. p. 38-39.
[15] — Ibid., p. 70, 74-76, 78.
[16] — Le terme « nazaréen » peut désigner :
– une peuplade signalée par Pline l’Ancien (23-79) installée à l’ouest de l’Oronte, qui a laissé son nom à de nombreux lieux (Wadi-n-nasara, monts des Nozairi…) ;
– des hérétiques appelés aussi « ébionites », signalés par saint Irénée (+ vers 208) dans son Contra Haereses, par Eusèbe de Césarée (263-339), saint Jérôme (347-420) et saint Augustin (355-430) : des « pauvres » (de l’hébreu ebionim), baptistes et végétariens – il ne s’agissait pas de diététique, mais d’une ascèse respectant les formes supérieures d’âme animale, à cause de la croyance à la réincarnation –, gnostiques croyant que Jésus n’est qu’Adam revenu sur terre et qu’il est l’âme source de toutes les autres ;
– des chrétiens d’origine juive restés attachés aux prescriptions de la Tora, reconnaissant Jésus comme le Messie attendu, mais niant sa divinité. (Ce sont ceux qui nous intéressent ici, et qui sont baptisés « judéo-nazaréens » par Ray A. Pritz.)
– enfin, et plus généralement, les chrétiens dans les Talmudin.
[17] — La Bible. Écrits intertestamentaires, Paris, Gallimard, 1987.
[18] — Ibid., p. 1504.
[19] — Lettre 112, 13.
[20] — Simon-Claude Mimouni, Le judéo-christianisme ancien. Essais historiques. Paris, Cerf 1998, p. 63-67.
[21] — Maxime Rodinson, un des vulgarisateurs de l’histoire officielle de Mahomet et de l’islam, avoue lui-même qu’il n’a pu faire autrement que d’utiliser « des données tirées de sources sur lesquelles nous n’avons que peu de garanties de véracité » (Mahomet, 1961, p. 12). Ce qu’A.-L. de Prémare commente : « Autant dire que toute biographie du prophète de l’islam n’a de valeur que celle d’un roman que l’on espère historique » (op. cit., p. 30).
[22] — La démonstration irréfutable en a été faite par Patricia Crone dans son étude Meccan trade and the rise of islam, Princeton University Press, 1980. Ces acquis de la recherche sont contestés par A.-L. de Prémare (op. cit. p. 53) sans qu’il donne un seul argument.
[23] — Ibid., p. 98.
[24] — A.-L. de Prémare, ibid., p. 53.
[25] — Ibid. p. 149 et passim.
[26] — É.-M. Gallez montre que c’est la seule étymologie possible et crédible, la transformation du o en e ne présentant aucune difficulté dans la langue arabe, où les consonnes comptent davantage que les voyelles.
[27] — Citations tirées de l’Histoire d’Héraclius par l’évêque Sebeos (ou Pseudo-Sebeos), chronique arménienne étudiée par Patricia Crone (Hagarism…, 1977) et de la Doctrina Jacobi ou Didascalie de Jacob, texte de 634 étudié par Robert G. Hoyland dans Seeing islam as others saw it…, Princeton, 1997.
[28] — Le mot « venue » de la Doctrina Jacobi est à interpréter dans ce sens, puisque le Coran, qui reprend l’idéologie judéo-nazaréenne, admet que le Messie est déjà venu, qu’il n’est pas mort sur la croix, mais a été enlevé au Ciel pour être gardé en réserve.
[2] — Rappelons qu’il y a une grande différence entre une « vue » sur une question, que l’auteur veut imposer en choisissant ses arguments, et une hypothèse, qui est un instrument scientifique permettant d’analyser la réalité historique et qui peut ensuite être abandonnée si elle ne rend pas compte de tous les faits (en particulier des nouvelles découvertes).
[3] — Le livre sacré de l’islam. Aucun manuscrit conservé jusqu’à nos jours, et peu de fragments connus, sont antérieurs au IXe siècle : les plus anciens, s’il s’agit de ceux du musée Topkapi à Istamboul, datent en réalité du IXe siècle.
[4] — Patricia Crone, Hagarism. The making of the islamic world (en collaboration avec Michaël Cook), Cambridge University Press, 1977. Ses études sur l’islam se poursuivront par deux autres ouvrages : — Meccan trade and the rise of islam, Oxford, Blackwell, 1987 ; — God’s Caliph (en collaboration avec Martin Hinds), Cambridge University Press, 1986.
[5] — A Moussali, La croix et le croissant, Éditions de Paris, 1998 ; — Judaïsme, christianisme et islam, Éditions de Paris, 2005.
[6] — Ray A. Pritz , Nazarene Jewish Christianity, from the end of New Testament period until its disappearence in the fourth century, Jerusalem-Leiden, Brill, 1988.
[7] — A-L de Prémare, Les fondations de l’islam, Seuil, mars 2002.
[8] — A-L de Prémare, Aux origines du Coran, Paris Téraèdre, 2004.
[9] — A.-L. de Prémare, les fondations…, p. 44. Le plus important de ces centres était Jabyra dans le Golan, Jilliq, à une douzaine de kilomètres autour de Damas, sans doute pour le campement des troupes, et Dumayr à 30 kilomètres au nord-est de Damas, vers Palmyre.
[10] — Saint Jérôme précise que ces tribus « vivant sous la tente » nomadisaient dans le désert de Syrie, et Ammien Marcellin ajoute : le Sinaï.
[11] — Alphonse Mingana, Leaves from the ancient Qurans possibly pre-othmanic, Cambridge University Press, 1914, p. XIII.
[12] — Dans l’empire byzantin, à partir de 380 (édit de Théodose), le christianisme est devenu religion d’État. Ce qui n’empêcha pas les hérésies nestorienne et monophysite de prospérer avec ou sans la protection de l’empereur.
[13] — René Dussaud, Topographie historique de la Syrie antique et médiévale, Paris, Geuthner, 1927.
[14] — Les fondations de l’islam, op. cit. p. 38-39.
[15] — Ibid., p. 70, 74-76, 78.
[16] — Le terme « nazaréen » peut désigner :
– une peuplade signalée par Pline l’Ancien (23-79) installée à l’ouest de l’Oronte, qui a laissé son nom à de nombreux lieux (Wadi-n-nasara, monts des Nozairi…) ;
– des hérétiques appelés aussi « ébionites », signalés par saint Irénée (+ vers 208) dans son Contra Haereses, par Eusèbe de Césarée (263-339), saint Jérôme (347-420) et saint Augustin (355-430) : des « pauvres » (de l’hébreu ebionim), baptistes et végétariens – il ne s’agissait pas de diététique, mais d’une ascèse respectant les formes supérieures d’âme animale, à cause de la croyance à la réincarnation –, gnostiques croyant que Jésus n’est qu’Adam revenu sur terre et qu’il est l’âme source de toutes les autres ;
– des chrétiens d’origine juive restés attachés aux prescriptions de la Tora, reconnaissant Jésus comme le Messie attendu, mais niant sa divinité. (Ce sont ceux qui nous intéressent ici, et qui sont baptisés « judéo-nazaréens » par Ray A. Pritz.)
– enfin, et plus généralement, les chrétiens dans les Talmudin.
[17] — La Bible. Écrits intertestamentaires, Paris, Gallimard, 1987.
[18] — Ibid., p. 1504.
[19] — Lettre 112, 13.
[20] — Simon-Claude Mimouni, Le judéo-christianisme ancien. Essais historiques. Paris, Cerf 1998, p. 63-67.
[21] — Maxime Rodinson, un des vulgarisateurs de l’histoire officielle de Mahomet et de l’islam, avoue lui-même qu’il n’a pu faire autrement que d’utiliser « des données tirées de sources sur lesquelles nous n’avons que peu de garanties de véracité » (Mahomet, 1961, p. 12). Ce qu’A.-L. de Prémare commente : « Autant dire que toute biographie du prophète de l’islam n’a de valeur que celle d’un roman que l’on espère historique » (op. cit., p. 30).
[22] — La démonstration irréfutable en a été faite par Patricia Crone dans son étude Meccan trade and the rise of islam, Princeton University Press, 1980. Ces acquis de la recherche sont contestés par A.-L. de Prémare (op. cit. p. 53) sans qu’il donne un seul argument.
[23] — Ibid., p. 98.
[24] — A.-L. de Prémare, ibid., p. 53.
[25] — Ibid. p. 149 et passim.
[26] — É.-M. Gallez montre que c’est la seule étymologie possible et crédible, la transformation du o en e ne présentant aucune difficulté dans la langue arabe, où les consonnes comptent davantage que les voyelles.
[27] — Citations tirées de l’Histoire d’Héraclius par l’évêque Sebeos (ou Pseudo-Sebeos), chronique arménienne étudiée par Patricia Crone (Hagarism…, 1977) et de la Doctrina Jacobi ou Didascalie de Jacob, texte de 634 étudié par Robert G. Hoyland dans Seeing islam as others saw it…, Princeton, 1997.
[28] — Le mot « venue » de la Doctrina Jacobi est à interpréter dans ce sens, puisque le Coran, qui reprend l’idéologie judéo-nazaréenne, admet que le Messie est déjà venu, qu’il n’est pas mort sur la croix, mais a été enlevé au Ciel pour être gardé en réserve.
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Etat des lieux de l'islamisme en France
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Joachim Véliocas était l’invité de Radio Courtoisie le 22 décembre 2017.
Il présente sa dernière enquête Mosquées Radicales , ce qu’on y dit, ce qu’on y lit, éditions DMM, 2016, 320 pages.
https://m.youtube.com/watch?v=9cIyA2Q7kbA
Zamie- Enfant de Dieu
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Beau poste Charles-Édouard!Charles-Edouard a écrit:
"— 2 Parce que l’islam est « la vraie religion » (Coran 61.9), ceux qui n’en font pas partie ne peuvent être que des pervers et des maudits (Coran 3.10,82,110 ; 4.48,56,76,91 ; 7.144 ; 9.17,34 ; 11.14 ; 13.15,33 ; 14.30 ; 16.28-9 ; 18.103-6 ; 21.98 ; 22.19-22,55 ; 25.21 ; 33.64 ; 40.63 ; 48.13) que les musulmans doivent combattre sans cesse (Coran 2.193 ; 8.39 ; 61.4,10-12) à l’exemple d’Allah, par la ruse (Coran 3.54 ; 4.142 ; 8.30 ; 86.16), la terreur (Coran 3.151 ; 8.12,60 ; 33.26 ; 59.2), et toutes sortes de tortures (Coran 5.33 ; 8.65 ; 9.29,123 ; 25.77) comme la décapitation (Coran 8.12 ; 47.4) ou la crucifixion (Coran 5.33) en vue de les éliminer (Coran 2.193 ; 8.39 ; 9.5,111,123 ; 47.4) et anéantir définitivement (Coran 2.191 ; 4.89,91 ; 6.45 ; 9.5,30,36,73 ; 33.60-62 ; 66.9)." (Extrait de "Interroger l'islam, 1235 questions à poser aux musulmans", éditions DMM, 2014, U 2)
En savoir plus sur http://www.islam-et-verite.com/pages/pages-cachees/islam/djihad/un-vrai-musulman-sincere-et-coherent.html#Vs5f41FbLwj5J6tC.99
Le titre est ironique..
Sur la décapitiation dans le Coran: Sourate8 verset 12. Et ton Seigneur révéla aux Anges: «Je suis avec vous: affermissez donc les croyants. Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants. Frappez donc au-dessus des cous et frappez-les sur tous les bouts des doigts.
Coran 47 : 4
« 4 Quand vous rencontrez des incroyants, frappez-leur la nuque jusqu’à les abattre et liez-les bien fort. Puis quand cesse le fardeau de la guerre, libérez-les ou exigez rançon. Voilà. Si Dieu voulait, il se déferait d’eux, mais il vous éprouve les uns par les autres. Ceux qui combattent dans le sentier de Dieu, Dieu ne perdra pas leurs œuvres. »
Chers amis,
Dans notre espérance,
celle qui nous est demandée de proclamer,
bien des adaptes choisiront et acclameront après l'avoir annoncée:
Oui Jésus est celui que je cherche:
On ne m'avait pas encore demandé
lequel...
Maintenant que je sais que je peux choisir je choisis Jésus!
Croyons-nous en la force de l'Évangile?
N'écoutons pas la prétention contraire.
Oui les musulmans sont intéressés.
Sommes-nous à annoncer l'Évangile?
Ou à supposer que d'avance on lui dira non?
La moisson est abondante à recueillir chez tous nos frères et sœurs dont l'humanité tout entière en est!
Amicalement!
AndréBryand
Dernière édition par Bryand le Mer 12 Fév 2020 - 16:39, édité 1 fois
Bryand- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
...un autre point de vue :
""""
De la dignité de l'islam. Réfutation de quelques thèses de la nouvelle islamophobie chrétienne
Un pamphlet vigoureux contre un courant de la pensée chrétienne qui cherche à dévaloriser l'islam :
(...)
Michel Orcel, docteur ès lettres et sciences humaines et spécialiste d’islamologie , "à la faveur des recherches sur l’état de l’islamologie contemporaine […] a découvert avec effroi qu’une bonne part de ce qu’on nomme aujourd’hui l’islamophobie savante est intimement liée à l’Eglise." Dans un petit livre dense intitulé De la dignité de l’islam et décliné en sept chapitres, l’auteur se propose d’examiner et de réfuter quelques thèses de ce qu’il considère comme la nouvelle islamophobie chrétienne (...) """"
(Michel Orcel, docteur ès lettres et sciences humaines et spécialiste d’islamologie)
https://www.nonfiction.fr/article-4934-lislam-nouvelle-cible-du-christianisme.htm
Sans vouloir faire l'apologie d'une religion qui n'est pas la mienne, je me méfie tout de même de ces "thèses" prétendument "savantes" que l'on prend à tort pour "Parole d'Evangile".
""""
De la dignité de l'islam. Réfutation de quelques thèses de la nouvelle islamophobie chrétienne
Un pamphlet vigoureux contre un courant de la pensée chrétienne qui cherche à dévaloriser l'islam :
(...)
Michel Orcel, docteur ès lettres et sciences humaines et spécialiste d’islamologie , "à la faveur des recherches sur l’état de l’islamologie contemporaine […] a découvert avec effroi qu’une bonne part de ce qu’on nomme aujourd’hui l’islamophobie savante est intimement liée à l’Eglise." Dans un petit livre dense intitulé De la dignité de l’islam et décliné en sept chapitres, l’auteur se propose d’examiner et de réfuter quelques thèses de ce qu’il considère comme la nouvelle islamophobie chrétienne (...) """"
(Michel Orcel, docteur ès lettres et sciences humaines et spécialiste d’islamologie)
https://www.nonfiction.fr/article-4934-lislam-nouvelle-cible-du-christianisme.htm
*****************
Sans vouloir faire l'apologie d'une religion qui n'est pas la mienne, je me méfie tout de même de ces "thèses" prétendument "savantes" que l'on prend à tort pour "Parole d'Evangile".
Philippe-Antoine- Avec les anges
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Je vous conseille ce petit livre sur le "dialogue" islamo chrétien : "Dieu des chrétiens, Dieu des musulmans" par François Jourdan et préfacé par Rémi Brague. On y voit très clairement que l'Islam n'a rien à voir avec le christianisme et que les prétendues figures reconnues par l'Islam (Abraham, Noé, Moïse, Jésus, Marie...) ne sont pas les mêmes en réalité. L'Islam a revisité à sa sauce l'Ancien et le Nouveau Testament. Le dire n'est pas être islamophobe me semble-t il.
ivanced- Aime la Bible
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
François Jourdan est prêtre eudiste, docteur en théologie, en histoire des religions et en anthropologie religieuse. Délégué du diocèse de Paris pour les relations avec l'Islam de 98 à 2008, il a enseigné à Rome, à l'Institut pontifical d'études arabes et islamiques et à Paris à l'Institut Catholique et à l'Ecole Cathédrale. Il est aujourd'hui directeur de l'Institut de science et de théologie des religions de l'Institut Catholique de Toulouse
ivanced- Aime la Bible
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
ivanced a écrit:Je vous conseille ce petit livre sur le "dialogue" islamo chrétien : "Dieu des chrétiens, Dieu des musulmans" par François Jourdan et préfacé par Rémi Brague. On y voit très clairement que l'Islam n'a rien à voir avec le christianisme et que les prétendues figures reconnues par l'Islam (Abraham, Noé, Moïse, Jésus, Marie...) ne sont pas les mêmes en réalité. L'Islam a revisité à sa sauce l'Ancien et le Nouveau Testament. Le dire n'est pas être islamophobe me semble-t il.
Oui, mais à ce moment là si l'Abraham des musulmans n'a rien à voir avec celui des chrétiens, comment se fait-il que le Concile Vatican II [(cf. Nostra Aetate(*)] le mentionne comme étant une référence commune aux 2 religions?
(Concernant la Personne de Jesus, Ok, nous sommes d'accord pour les musulmans il n'est qu'un prophète alors que pour nous , il est le Fils de Dieu 2eme Personne de la Sainte Trinité)
(*)
La religion musulmane :
L’Église regarde aussi avec estime les musulmans, qui adorent le Dieu unique, vivant et subsistant, miséricordieux et tout-puissant, créateur du ciel et de la terre [5], qui a parlé aux hommes. Ils cherchent à se soumettre de toute leur âme aux décrets de Dieu, même s’ils sont cachés, comme s’est soumis à Dieu Abraham, auquel la foi islamique se réfère volontiers. Bien qu’ils ne reconnaissent pas Jésus comme Dieu, ils le vénèrent comme prophète ; ils honorent sa Mère virginale, Marie, et parfois même l’invoquent avec piété. De plus, ils attendent le jour du jugement, où Dieu rétribuera tous les hommes après les avoir ressuscités. Aussi ont-ils en estime la vie morale et rendent-ils un culte à Dieu, surtout par la prière, l’aumône et le jeûne.
Même si, au cours des siècles, de nombreuses dissensions et inimitiés se sont manifestées entre les chrétiens et les musulmans, le saint Concile les exhorte tous à oublier le passé et à s’efforcer sincèrement à la compréhension mutuelle, ainsi qu’à protéger et à promouvoir ensemble, pour tous les hommes, la justice sociale, les valeurs morales, la paix et la liberté
Philippe-Antoine- Avec les anges
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Philippe-Antoine a écrit:ivanced a écrit:Je vous conseille ce petit livre sur le "dialogue" islamo chrétien : "Dieu des chrétiens, Dieu des musulmans" par François Jourdan et préfacé par Rémi Brague. On y voit très clairement que l'Islam n'a rien à voir avec le christianisme et que les prétendues figures reconnues par l'Islam (Abraham, Noé, Moïse, Jésus, Marie...) ne sont pas les mêmes en réalité. L'Islam a revisité à sa sauce l'Ancien et le Nouveau Testament. Le dire n'est pas être islamophobe me semble-t il.
Oui, mais à ce moment là si l'Abraham des musulmans n'a rien à voir avec celui des chrétiens, comment se fait-il que le Concile Vatican II [(cf. Nostra Aetate(*)] le mentionne comme étant une référence commune aux 2 religions?
(Concernant la Personne de Jesus, Ok, nous sommes d'accord pour les musulmans il n'est qu'un prophète alors que pour nous , il est le Fils de Dieu 2eme Personne de la Sainte Trinité)
(*)
La religion musulmane :
L’Église regarde aussi avec estime les musulmans, qui adorent le Dieu unique, vivant et subsistant, miséricordieux et tout-puissant, créateur du ciel et de la terre [5], qui a parlé aux hommes. Ils cherchent à se soumettre de toute leur âme aux décrets de Dieu, même s’ils sont cachés, comme s’est soumis à Dieu Abraham, auquel la foi islamique se réfère volontiers. Bien qu’ils ne reconnaissent pas Jésus comme Dieu, ils le vénèrent comme prophète ; ils honorent sa Mère virginale, Marie, et parfois même l’invoquent avec piété. De plus, ils attendent le jour du jugement, où Dieu rétribuera tous les hommes après les avoir ressuscités. Aussi ont-ils en estime la vie morale et rendent-ils un culte à Dieu, surtout par la prière, l’aumône et le jeûne.
Même si, au cours des siècles, de nombreuses dissensions et inimitiés se sont manifestées entre les chrétiens et les musulmans, le saint Concile les exhorte tous à oublier le passé et à s’efforcer sincèrement à la compréhension mutuelle, ainsi qu’à protéger et à promouvoir ensemble, pour tous les hommes, la justice sociale, les valeurs morales, la paix et la liberté
Le Concile met en avant la proximité avec les musulmans du fait du monothéisme mais derrière, ça ne va pas plus loin. Le Concile appelle à la paix , ce qui est rassurant. Mais le mieux est de lire ce livre, court et pas cher. Je ne peux pas vous remettre tous les passages ou il est question d'Abraham.
ivanced- Aime la Bible
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Philippe-Antoine a écrit:...un autre point de vue :
""""
De la dignité de l'islam. Réfutation de quelques thèses de la nouvelle islamophobie chrétienne
Un pamphlet vigoureux contre un courant de la pensée chrétienne qui cherche à dévaloriser l'islam :
(...)
Michel Orcel, docteur ès lettres et sciences humaines et spécialiste d’islamologie , "à la faveur des recherches sur l’état de l’islamologie contemporaine […] a découvert avec effroi qu’une bonne part de ce qu’on nomme aujourd’hui l’islamophobie savante est intimement liée à l’Eglise." Dans un petit livre dense intitulé De la dignité de l’islam et décliné en sept chapitres, l’auteur se propose d’examiner et de réfuter quelques thèses de ce qu’il considère comme la nouvelle islamophobie chrétienne (...) """"
(Michel Orcel, docteur ès lettres et sciences humaines et spécialiste d’islamologie)
https://www.nonfiction.fr/article-4934-lislam-nouvelle-cible-du-christianisme.htm*****************
Sans vouloir faire l'apologie d'une religion qui n'est pas la mienne, je me méfie tout de même de ces "thèses" prétendument "savantes" que l'on prend à tort pour "Parole d'Evangile".
En fait, ils sont nombreux à travailler, ex-musulmans,
à dénoncer les faussetés inculquées (par le Coran, ou devrions-nous dire son interprétation)
qui trompent tant les adeptes radicaux musulmans,
ou en voie de le devenir,
et l'ensemble de l'humanité, toute concernée, dont en particulier le monde chrétien.
Le travail se fait dans les rangs-mêmes des musulmans:
parmi eux, de nombreux ex-musulmans qui tentent de convertir d'autres musulmans.
Faire la part des choses afin qu'un meilleur discernement gagne de plus en plus d'adeptes (parmi les plus radicaux)
pour une interprétation pacifique ...
En fait ils dénoncent toutes formes de violence au cours de l'histoire
et tentent de proposer des objectifs pacifiques communs à l'humanité.
Ce mouvement porte des fruits par un travail assidu.
Il est bon de connaître leurs efforts multiples:
ce groupe a fondé des associations dans de nombreux pays:
MOUVEMENT DES EX-MUSULMANS DE Belgique --
page de présentation avec de nombreux liens:
http://www.exmusulman.org/index.html
On peut même leur poser nos questions par courriel...
Bryand- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Bon maintenant que le pot aux roses est dévoilé, on attend la suite pour continuer de creuser le sujet : "le grand secret du talmudisme rabbinique".
Mais bon ce sera pas dans Valeurs actuelles, Riposte laique, et même catholique, ou Boulevard Voltaire je pense
Mais bon ce sera pas dans Valeurs actuelles, Riposte laique, et même catholique, ou Boulevard Voltaire je pense
Maurice d'Elbée- Aime la Divine Volonté
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Qu'avons-nous à craindre des ténèbres?Maurice d'Elbée a écrit:Bon maintenant que le pot aux roses est dévoilé,
on attend la suite pour continuer de creuser le sujet :
"le grand secret du talmudisme rabbinique".
Mais bon ce sera pas dans Valeurs actuelles,
Riposte laique,
et même catholique,
ou Boulevard Voltaire je pense
Elles font leur oeuvre, la lumière fait la sienne.
Seule cette dernière sera victorieuse, et avec elle la victoire donnée à tous ceux qui y collaborent...
Dieu choisit bien qui il veut pour cette oeuvre à laquelle sont appelés tant laïcs que missionnés cléricaux...
Ces talmudistes cabalistes ne sont pas d'hier, aux lendemains du pharisaïsme correspondant...
Luc 12: 1 ss
« Sur ces entrefaites, la foule s'étant rassemblée par milliers, au point qu'on s'écrasait les uns les autres,
il se mit à dire, et d'abord à ses disciples :
" Méfiez-vous du levain - c'est-à-dire de l'hypocrisie - des Pharisiens.
Rien, en effet, n'est voilé qui ne sera révélé,
rien de caché qui ne sera connu.
C'est pourquoi tout ce que vous aurez dit dans les ténèbres sera entendu au grand jour,
et ce que vous aurez dit à l'oreille
dans les pièces les plus retirées sera proclamé sur les toits. »
Il faut souligner tout effort à ce dévoilement, exemples présagés quel que soit leur provenance.
Bryand- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Moi je n'ai pas peur des ténèbres, je veux que la lumière soit faite sur toutes les fausses religions et pas que certaines mais pas d'autres
Maurice d'Elbée- Aime la Divine Volonté
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Et quelles sont ces fausses religions?Maurice d'Elbée a écrit:Moi je n'ai pas peur des ténèbres,
je veux que la lumière soit faite
sur toutes les fausses religions
et pas que certaines mais pas d'autres
Sont-elles déclarées fausses automatiquement?
Et par qui?
Une religion renferme quantité de peuples, des hommes , des femmes, des enfants qui n'ont pas encore reçu ce à quoi ils sont conviés: recevoir pleine lumière. Pour cela le Seigneur compte sur NOUS...
Beaucoup d'entres elles sont en recherches sincères
et ont même annoncé (par leurs sages) la venue d'un libérateur
que l'on devine être l'annonce du Christ que nous avons la chance d'avoir.
Ce Christ, et ce que nous transmet notre ''religion''
ne sont pas notre propriété privée.
Le Christ est venue pour toutes les nations dont parmi elles un grand nombre est en recherche permanente.
Les premiers venus (premiers quant à ceux qui ne sont pas encore arrivés)
n'ont pas de prévalence sur le coeur du Père,
comme dans l'exemple du fils aîné qui jalousait son cadet qui fut reçu avec grand honneur le moment venu de son retour dans la maison paternelle. Cette maison est demeure ouverte à tous les nouveaux arrivants.
Bryand- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Il n'y a qu'une seule vraie religion, celle de la Sainte Eglise Catholique et Apostolique Romaine, fondée par Notre Seigneur Jésus-Christ sur Pierre.
Toutes les autres religions sont donc fausses, c'est l'Eglise infaillible qui le dit (si vous avez d'autres questions sur le catholicisme n'hésitez pas).
Toutes les autres religions sont donc fausses, c'est l'Eglise infaillible qui le dit (si vous avez d'autres questions sur le catholicisme n'hésitez pas).
Maurice d'Elbée- Aime la Divine Volonté
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
En page 1 de ce fil on peut lire :
Lettre de saint Paul Apôtre aux Galates - Chapitre 1
06 Je m’étonne que vous abandonniez si vite celui qui vous a appelés par la grâce du Christ, et que vous passiez à un Évangile différent.
07 Ce n'en est pas un autre : il y a seulement des gens qui jettent le trouble parmi vous et qui veulent changer l’Évangile du Christ.
08 Pourtant, si nous-mêmes, ou si un ange du ciel vous annonçait un Évangile différent de celui que nous vous avons annoncé, qu’il soit anathème !
09 Nous l’avons déjà dit, et je le répète encore : si quelqu’un vous annonce un Évangile différent de celui que vous avez reçu, qu’il soit anathème !
Sur la nécessité de distinguer les deux alliances. Une qui rend libre (le christianisme) et l'autre qui rend esclave (le judaïsme et son hérésie arabisé l'Islam).
Lettre de saint Paul Apôtre aux Galates - Chapitre 4
21 Dites-moi, vous qui voulez être soumis à la Loi, n’entendez-vous pas ce que dit la Loi ?
22 Il y est écrit en effet qu’Abraham a eu deux fils, l’un né de la servante, et l’autre de la femme libre.
23 Le fils de la servante a été engendré selon la chair ; celui de la femme libre l’a été en raison d’une promesse de Dieu.
24 Ces événements ont un sens symbolique : les deux femmes sont les deux Alliances. La première Alliance, celle du mont Sinaï, qui met au monde des enfants esclaves, c’est Agar, la servante.
25 Agar est le mont Sinaï en Arabie, elle correspond à la Jérusalem actuelle, elle qui est esclave ainsi que ses enfants,
26 tandis que la Jérusalem d’en haut est libre, et c’est elle, notre mère.
27 L’Écriture dit en effet : Réjouis-toi, femme stérile, toi qui n’enfantes pas ; éclate en cris de joie, toi qui ne connais pas les douleurs de l’enfantement, car les enfants de la femme délaissée sont plus nombreux que ceux de la femme qui a son mari.
28 Et vous, frères, vous êtes, comme Isaac, des enfants de la promesse.
29 Mais de même qu’autrefois le fils engendré selon la chair persécutait le fils engendré selon l’Esprit, de même en est-il aujourd’hui.
30 Or, que dit l’Écriture ? Renvoie la servante et son fils, car le fils de la servante ne peut être héritier avec le fils de la femme libre.
31 Dès lors, frères, nous ne sommes pas les enfants d’une servante, nous sommes ceux de la femme libre.
Contre la fausse doctrine surtout issue de l'Islam l'Epître aux Colossiens est plus que clair. Prophétique !
Lettre de saint Paul Apôtre aux Colossiens - Chapitre 2
16 Alors, que personne ne vous juge pour des questions de nourritureet de boisson, ou à propos de fête, de nouvelle lune ou de sabbat :
17 tout cela n’est que l’ombre de ce qui devait venir, mais la réalité, c’est le Christ.
18 Ne vous laissez pas frustrer de votre récompense par ceux qui veulent vous humilier par un culte des anges et qui s’évadent dans des visions et se laissent vainement gonfler d’orgueil par des idées purement humaines.
19 Ces gens-là ne sont pas en union avec la tête, avec Celui par qui tout le corps poursuit sa croissance en Dieu, grâce aux articulations et aux ligaments qui maintiennent sa cohésion.
20 Si, avec le Christ, vous êtes morts aux forces qui régissent le monde, pourquoi subir des prescriptions légales comme si votre vie dépendait encore du monde :
21 « Ne prends pas ceci, ne goûte pas cela, ne touche pas cela »,
22 alors que toutes ces choses sont faites pour disparaître quand on s’en sert ! Ce ne sont là que des préceptes et des enseignements humains,
23 qui ont des airs de sagesse, de religion personnelle, d’humilité et de rigueur pour le corps, mais ne sont d’aucune valeur pour maîtriser la chair.
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t32581-le-grand-secret-de-l-islam-la-face-cache-de-la-religion-musulmane
Lettre de saint Paul Apôtre aux Galates - Chapitre 1
06 Je m’étonne que vous abandonniez si vite celui qui vous a appelés par la grâce du Christ, et que vous passiez à un Évangile différent.
07 Ce n'en est pas un autre : il y a seulement des gens qui jettent le trouble parmi vous et qui veulent changer l’Évangile du Christ.
08 Pourtant, si nous-mêmes, ou si un ange du ciel vous annonçait un Évangile différent de celui que nous vous avons annoncé, qu’il soit anathème !
09 Nous l’avons déjà dit, et je le répète encore : si quelqu’un vous annonce un Évangile différent de celui que vous avez reçu, qu’il soit anathème !
Sur la nécessité de distinguer les deux alliances. Une qui rend libre (le christianisme) et l'autre qui rend esclave (le judaïsme et son hérésie arabisé l'Islam).
Lettre de saint Paul Apôtre aux Galates - Chapitre 4
21 Dites-moi, vous qui voulez être soumis à la Loi, n’entendez-vous pas ce que dit la Loi ?
22 Il y est écrit en effet qu’Abraham a eu deux fils, l’un né de la servante, et l’autre de la femme libre.
23 Le fils de la servante a été engendré selon la chair ; celui de la femme libre l’a été en raison d’une promesse de Dieu.
24 Ces événements ont un sens symbolique : les deux femmes sont les deux Alliances. La première Alliance, celle du mont Sinaï, qui met au monde des enfants esclaves, c’est Agar, la servante.
25 Agar est le mont Sinaï en Arabie, elle correspond à la Jérusalem actuelle, elle qui est esclave ainsi que ses enfants,
26 tandis que la Jérusalem d’en haut est libre, et c’est elle, notre mère.
27 L’Écriture dit en effet : Réjouis-toi, femme stérile, toi qui n’enfantes pas ; éclate en cris de joie, toi qui ne connais pas les douleurs de l’enfantement, car les enfants de la femme délaissée sont plus nombreux que ceux de la femme qui a son mari.
28 Et vous, frères, vous êtes, comme Isaac, des enfants de la promesse.
29 Mais de même qu’autrefois le fils engendré selon la chair persécutait le fils engendré selon l’Esprit, de même en est-il aujourd’hui.
30 Or, que dit l’Écriture ? Renvoie la servante et son fils, car le fils de la servante ne peut être héritier avec le fils de la femme libre.
31 Dès lors, frères, nous ne sommes pas les enfants d’une servante, nous sommes ceux de la femme libre.
Contre la fausse doctrine surtout issue de l'Islam l'Epître aux Colossiens est plus que clair. Prophétique !
Lettre de saint Paul Apôtre aux Colossiens - Chapitre 2
16 Alors, que personne ne vous juge pour des questions de nourritureet de boisson, ou à propos de fête, de nouvelle lune ou de sabbat :
17 tout cela n’est que l’ombre de ce qui devait venir, mais la réalité, c’est le Christ.
18 Ne vous laissez pas frustrer de votre récompense par ceux qui veulent vous humilier par un culte des anges et qui s’évadent dans des visions et se laissent vainement gonfler d’orgueil par des idées purement humaines.
19 Ces gens-là ne sont pas en union avec la tête, avec Celui par qui tout le corps poursuit sa croissance en Dieu, grâce aux articulations et aux ligaments qui maintiennent sa cohésion.
20 Si, avec le Christ, vous êtes morts aux forces qui régissent le monde, pourquoi subir des prescriptions légales comme si votre vie dépendait encore du monde :
21 « Ne prends pas ceci, ne goûte pas cela, ne touche pas cela »,
22 alors que toutes ces choses sont faites pour disparaître quand on s’en sert ! Ce ne sont là que des préceptes et des enseignements humains,
23 qui ont des airs de sagesse, de religion personnelle, d’humilité et de rigueur pour le corps, mais ne sont d’aucune valeur pour maîtriser la chair.
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t32581-le-grand-secret-de-l-islam-la-face-cache-de-la-religion-musulmane
Zamie- Enfant de Dieu
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Maurice Elbée,Maurice d'Elbée a écrit:Il n'y a qu'une seule vraie religion, celle de la Sainte Eglise Catholique et Apostolique Romaine,
fondée par Notre Seigneur Jésus-Christ sur Pierre.
Toutes les autres religions sont donc fausses,
c'est l'Eglise infaillible qui le dit (si vous avez d'autres questions sur le catholicisme n'hésitez pas).
Et cette Église est universelle avec le mandat d'annoncer la Parole accueillante de Dieu.
Parmi nous, ceux qui diraient autrement, détrompons-nous:
par exemple:
Orthodoxe et Anglicans ne sont pas des hérétiques
et les divisions sont autres choses qu'une réprobation
que seule l'Église mandatée pourrait de toute façon définir.
Ce sont nos frères et sœurs, toujours selon la définition de l'Église catholique.
Après divisions, seule l'Église (qui en sont les responsables officiels?
l'autorité qui encore depuis presque 2000 ans est autorisée
à nommer les administrateurs dirigeants)
appelle encore et encore
dans l'oeuvre que Dieu lui a confiée,
et cette oeuvre est bien autre chose que ce que supposent
toutes les théologies laïques inventées qui ont mis l'Europe
dans les guerres de religions par de multiples doctrines différemment interprétées...
Si la doctrine est une seule et même doctrine,
comment se fait-il qu'il y ait tant d'interprétations COMPULSIVES?
Ce n'est pas une doctrine
(laquelle sinon? parmi celles de ceux qui se font des interprètes qui ne peuvent même pas l'expliquer... )
qui sauve, mais bien la grâce de Dieu.
Jean 6: 36-37
« Mais je vous l'ai dit : vous me voyez et vous ne croyez pas.
Tous ceux que me donne le Père viendront à moi,
et celui qui vient à moi, je ne le jetterai pas dehors... »
Le chemin de la conversion est parfois long:
ce fut celui de nos ancêtres...
le rôle de l'Évangile est de les chercher.
Nous fûmes trouvés parce que malgré nos retards Dieu n'a pas cessé de nous chercher.
Juger à l'avance que qui que ce soit est condamné serait un contre-évangile...
Qui condamne? Ce n'est pas l'insistance de Dieu, mais bien toujours l'intolérance d'un dogmatisme sectaire laïque... Ce n'est pas l'attitude de l'Église officielle.
Quand on croit on énonce toujours la joie de l'espérance
que ceux que Dieu cherche se laisseront trouver...
Attitude d'accueil et d'espérance quant à ce qui nous est demandé...
Dieu seul lit dans les cœurs.
À tous il demande l'espérance du salut pour tous nos frères et sœurs qui ne sont pas encore arrivés.
Amicalement!
AndréBryand
Dernière édition par Bryand le Jeu 13 Fév 2020 - 20:42, édité 1 fois
Bryand- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Bryand a écrit:
Et cette Église est universelle avec le mandat d'annoncer la Parole accueillante de Dieu.
De l'annoncer et non de la compromettre.
Bryand a écrit:Parmi nous, ceux qui diraient autrement, détrompons-nous:
par exemple:
Orthodoxe et Anglicans ne sont pas des hérétiques
Rompre avec l'Eglise n'est donc pas une erreur, une hérésie, d'après vous ?
Henri VIII a donc eu raison de créer sa propre église suite au refus du pape de ne pas déclarer son mariage nul ?
Bryand a écrit:et les divisions sont autres choses qu'une réprobation
que seule l'Église mandatée pourrait de toute façon définir.
La division est donc une bonne chose ? Il paraît qu'elle est l'arme principale du Diable.
Bryand a écrit:Ce sont nos frères et sœurs, toujours selon la définition de l'Église catholique.
Un hérétique n'est pas plus, et pas moins, mon frère qu'un autre être humain.
Bryand a écrit:Après divisions, seule l'Église (responsables? l'autorité qui a les seuls répondeurs) appelle encore et encore
dans son oeuvre à elle-seule confiée,
L'autorité est la base de l'unité, l'obéissance est une des principales vertus chrétiennes face à la rébellion qui vient toujours du Démon.
Bryand a écrit:et cette oeuvre est bien autre chose que ce que supposent
toutes les théologies laïques inventées qui ont mis l'Europe
dans les guerres de religions par de multiples doctrines différemment interprétées...
Si la doctrine est une seule et même doctrine,
comment se fait-il qu'il y ait tant d'interprétations COMPULSIVES?
Car Satan est prince de ce monde et règne en répandant erreurs et divisions.
Préserver la doctrine intacte est un combat à mener sans quoi vous ne défendez plus rien.
Bryand a écrit:Ce n'est pas une doctrine
(laquelle sinon? parmi celles de ceux qui se font des interprètes qui ne peuvent même pas l'expliquer... )
qui sauve, mais bien la grâce de Dieu.
La grâce de Dieu sauvent ceux qui en sont dignes.
Bryand a écrit:Jean 6: 36-37
« Mais je vous l'ai dit : vous me voyez et vous ne croyez pas.
Tous ceux que me donne le Père viendront à moi,
et celui qui vient à moi, je ne le jetterai pas dehors... »
Ce qui prime n'est pas votre interprétation personnelle et protestante des Saintes Écritures mais le magistère et l'autorité de la Sainte Eglise Catholique.
Bryand a écrit:Le chemin de la conversion est parfois long:
ce fut celui de nos ancêtres...
le rôle de l'Évangile est de les chercher.
Nous fûmes trouvés parce que malgré nos retards Dieu n'a pas cessé de nous chercher.
Pour bien cheminer il faut un seul cap.
Bryand a écrit:Juger à l'avance que qui que ce soit est condamné serait un contre-évangile...
Il ne s'agit pas de juger les personnes, seul Dieu en a le pouvoir, mais les hérésies, ce qui est le rôle de l'Eglise.
Bryand a écrit:Qui condamne? Ce n'est pas l'insistance de Dieu, mais bien toujours l'intolérance d'un dogmatisme sectaire laïque...
Le grand-maître du Grand Orient ne dirait pas autre chose.
Bryand a écrit:Quand on croit on énonce toujours la joie de l'espérance
que ceux que Dieu cherche se laisseront trouver...
Attitude d'accueil et d'espérance quant à ce qui nous est demandé...
Dieu seul lit dans les cœurs.
Les gens ont besoin de solides points d'appui et de repères, de vérité et d'exigence. La mièvrerie confuse ne remplit pas les âmes.
Bryand a écrit:À tous il demande l'espérance du salut pour tous nos frères et sœurs qui ne sont pas encore arrivés.
Nous nous rejoignons sur ce point cher ami.
Maurice d'Elbée- Aime la Divine Volonté
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
@M. d'Albée
Ce que vous dites n'a plus rien à voir avec le sujet;
ni même de près ou de loin avec le suivi de mon propos.
Ce genre de cultisme ne m'intéresse pas:
votre entorse à la si belle doctrine de l'Église catholique n'y vient pas...
Soyons concrets et non allusifs:
François 1er est toujours le pape légitime en cette nouvelle décennie 2020,
qui fait suite aux autres depuis presque 2000 ans,
digne successeur de Benoît:
souverain pontife irremplaçable et nommé officiellement.
Pourrions-nous vous entendre dire qui est le pape VIVANT de l'Église présentement
et celui de votre église s'il est différent?
Je ne me souviens pas de vous avoir vu sur le forum francechretienne...
Amicalement!
AndréB
Ce que vous dites n'a plus rien à voir avec le sujet;
ni même de près ou de loin avec le suivi de mon propos.
Ce genre de cultisme ne m'intéresse pas:
votre entorse à la si belle doctrine de l'Église catholique n'y vient pas...
Soyons concrets et non allusifs:
François 1er est toujours le pape légitime en cette nouvelle décennie 2020,
qui fait suite aux autres depuis presque 2000 ans,
digne successeur de Benoît:
souverain pontife irremplaçable et nommé officiellement.
Pourrions-nous vous entendre dire qui est le pape VIVANT de l'Église présentement
et celui de votre église s'il est différent?
Je ne me souviens pas de vous avoir vu sur le forum francechretienne...
Amicalement!
AndréB
Bryand- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Inscription : 14/07/2013
Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Benoit XVI est toujours pape.
Bien à vous,
Maurice d'Elbée.
Bien à vous,
Maurice d'Elbée.
Maurice d'Elbée- Aime la Divine Volonté
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Inscription : 06/09/2019
Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Prouvez-le!Maurice d'Elbée a écrit:Benoit XVI est toujours pape.
Bien à vous,
Maurice d'Elbée.
Vous m'avez prétendu protestant...
Et votre dernière allégation est pour le moins apparentée tout autant au même manque de discernement...
Tous ceux qui ont reconnu le Pape Benoît reconnaissent aussi son successeur qui restent tous deux bien liés.
Alors prouvez ce qui vous fait paraître vous le protestant, puisque vous protestez...
Amicalement!
AndréBryand
Bryand- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Je ne protestais que contre vos hérésies cher ami.
Maurice d'Elbée- Aime la Divine Volonté
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Et quelles sont-elles?Maurice d'Elbée a écrit:Je ne protestais que contre vos hérésies cher ami.
Peut-être qu'en même temps pourriez-vous expliquer les raisons de vos intrigues.
Désolé je n'ai pas trop bien compris vos arias.
Bryand- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Il y a quelque chose de dérisoire à opposer les deux Papes et se déclarer pour l'un ou pour l'autre. C'est dans la tête et non dans la réalité. Ce sont les actes du Pape actuel qui font avancer l'Église.
Concernant le dialogue islamo-chrétien : le Pape a dit que Dieu ne peut jamais servir de caution à la violence contre son frère et dans ce sens là le document sur la fraternité humaine signé à Abu Dhabi peut être considéré comme un grand pas en avant vers la paix.
Et en ce qui concerne la vérité des textes, objectivement les choses sont bien plus faciles pour le chrétien qui ne défend pas une religion du Livre alors que le musulman prétend que le Coran descend du Ciel et qu'il ne peut être falsifié. Regarder la vérité en face exigera pour eux bien plus de courage. Mais seule la vérité libère.
Concernant le dialogue islamo-chrétien : le Pape a dit que Dieu ne peut jamais servir de caution à la violence contre son frère et dans ce sens là le document sur la fraternité humaine signé à Abu Dhabi peut être considéré comme un grand pas en avant vers la paix.
Et en ce qui concerne la vérité des textes, objectivement les choses sont bien plus faciles pour le chrétien qui ne défend pas une religion du Livre alors que le musulman prétend que le Coran descend du Ciel et qu'il ne peut être falsifié. Regarder la vérité en face exigera pour eux bien plus de courage. Mais seule la vérité libère.
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
"le document sur la fraternité humaine ...peut être considéré comme un grand pas vers la paix", et donc dans le prolongement, le pacte sur l'éducation gobale activé le 14 mai. C'est l'éclairage du forum. Toute autre considération n'est pas à prendre en compte...
véronique69- Contemplatif
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
véronique69 a écrit:"le document sur la fraternité humaine ...peut être considéré comme un grand pas vers la paix", et donc dans le prolongement, le pacte sur l'éducation gobale activé le 14 mai. C'est l'éclairage du forum. Toute autre considération n'est pas à prendre en compte...
et le prolongement de "Laudato Si" ce qui explique les murmures déjà...
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Bryand a écrit:Et quelles sont-elles?Maurice d'Elbée a écrit:Je ne protestais que contre vos hérésies cher ami.
Peut-être qu'en même temps pourriez-vous expliquer les raisons de vos intrigues.
Désolé je n'ai pas trop bien compris vos arias.
Disons plus exactement votre soutien aux hérésies, puisque vous dîtes par exemple que l'anglicanisme n'en est pas une alors qu'il a bien été condamné comme tel par l’Église.
Je n'intrigue pas, je défends haut et clair la pure doctrine de l’Église contre les assauts pernicieux du relativisme et de l'indifférentisme.
Bien à vous,
Maurice d'Elbée
Maurice d'Elbée- Aime la Divine Volonté
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Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Frère d'Elbée,Maurice d'Elbée a écrit:Bryand a écrit:Et quelles sont-elles?Maurice d'Elbée a écrit:Je ne protestais que contre vos hérésies cher ami.
Peut-être qu'en même temps pourriez-vous expliquer les raisons de vos intrigues.
Désolé je n'ai pas trop bien compris vos arias.
Disons plus exactement votre soutien aux hérésies, puisque vous dîtes par exemple que l'anglicanisme n'en est pas une alors qu'il a bien été condamné comme tel par l’Église.
Je n'intrigue pas, je défends haut et clair la pure doctrine de l’Église contre les assauts pernicieux du relativisme et de l'indifférentisme.
Bien à vous,
Maurice d'Elbée
Ce n'est pas par opposition que je dois rétablir vos erreurs.
J'essaie seulement de démontrer votre rejet de cette unité
sur laquelle l'Église a toujours travaillé de préserver.
Cette unité n'est pas déjà faite.
L'Église doit enseigner la doctrine une, soit,
mais les différentes dissidences
continues elles aussi à être interpellées fraternellement à se raviser après leur apparition.
Il en a toujours été ainsi depuis les débuts de l'Église.
L'Église n'est pas déjà construite,
et par définition l'Église n'est pas en soi autrement
qu'en plein travail de la réalisation de ce qui lui a été confiée:
l'unité des enfants de Dieu dispersés.
Jean 11: 52
Jésus étant mort
« afin de rassembler dans l'unité les enfants de Dieu dispersés...»
Les divisions sont toujours très complexes,
tant ce qui les occasionne
que ce qui fait appel aux procédés qui doivent s'ensuivre.
Ces Églises, orthodoxe et anglicane ont été divisées et leurs divisions nourries par des rois et des empereurs d'il y a plusieurs siècles.
Donc des millions de divisés le sont devenus par des décisions indépendamment de leur volonté?
On ne condamne pas ainsi ! Et cela même si des erreurs se sont installées en leur sein.
Tous sont appelés à la conversion.
Des centaines de générations sont nées dans ces pays:
... et d'avance selon vous il faudrait les condamner?
En 2009 on se souvient que des centaines de prêtres anglicans avaient quitté leur Église pour venir frapper à la porte du Vatican.
L'engagement fraternel des prises de conscience en est un demandé par Dieu à son Église.
Laissons-les à ce travail: notre rôle est de bien prier pour la conversion de toute âme et la réussite de la mission de l'Église...
Orthodoxes et Anglicans font partie de l'Église!
AUTRE RENCONTRE, outre celle de la reine (gouverneur de l'Église anglicane) accompagnée du prince Philip en 2014
https://www.lexpress.fr/actualites/1/actualite/deux-souverains-se-rencontrent-elizabeth-recue-par-le-pape-argentin_1505775.html
nous pouvons encore souligner cette quatrième rencontre
de l'archevêque de Cantorbéry Justin Welby en 2017, primat de l'Église d'Angleterre
https://www.cath.ch/newsf/4e-rencontre-entre-pape-larcheveque-de-canterbury/
Vous prêchez votre propre doctrine.
Corroborez ce que vous annoncez.
Jusqu'à date vous ne l'avez pas fait.
Une séparation n'est pas une exclusion définitive.
Nous reconnaissons la véritable Église par l'unité qu'elle cherche à construire.
À suivre.
Amicalement!
AndréBryand
Dernière édition par Bryand le Ven 21 Fév 2020 - 13:40, édité 1 fois
Bryand- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Inscription : 14/07/2013
Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Je prêche la doctrine de l’Église, qui encourage bien sûr un hérétique à revenir sur son erreur mais qui condamne sans faiblesse et sans compromission l'erreur en elle-même. Il faut être attentionné pour le malade et sans pitié pour le virus.
Maurice d'Elbée- Aime la Divine Volonté
- Messages : 825
Inscription : 06/09/2019
Re: Le grand secret de l'islam, la face caché de la religion musulmane
Faudrait-il encore en connaître l’antidote.Maurice d'Elbée a écrit:Je prêche la doctrine de l’Église,
qui encourage bien sûr un hérétique à revenir sur son erreur
mais qui condamne sans faiblesse et sans compromission l'erreur en elle-même.
Il faut être attentionné pour le malade
et sans pitié pour le virus.
Pouvez-vous donner un exemple et dire qui vous a donné cette fonction?
Par exemple ceux qui ont lancé les guerres de religions
ont fait le même genre de bévues en raisonnant ainsi:
de se croire investis à juger même la doctrine
qui ne dit nulle part de faire ce que vous faites.
Tant sectaires que catholiques ou protestants doctrinistes laïcs,
au grand désarroi des autorités, l'ont fait et le font encore...
Il faut croire en l'Évangile.
Cela ne semble pas votre penchant.
Peut-être aimeriez-vous recevoir une méthode d'enseignement,
ou si vous en avez une, je crois que nous aimerions la connaître.
Celle qui s'oppose à ce que je vois dit bien:
Genre:
1 Corinthiens 13: 2 et suivants
« Quand bien même j'aurais le don de prophétie
et que je connaîtrais tous les mystères et toute la science,
quand j'aurais la plénitude de la foi,
une foi à transporter des montagnes,
si je n'ai pas la charité, je ne suis rien.
Quand je distribuerais tous mes biens en aumônes,
quand je livrerais mon corps aux flammes,
si je n'ai pas la charité, cela ne me sert de rien.
La charité est longanime ; la charité est serviable ;
elle n'est pas envieuse ; la charité ne fanfaronne pas, ne se gonfle pas ;
elle ne fait rien d'inconvenant, ne cherche pas son intérêt, ne s'irrite pas, ne tient pas compte du mal ;
elle ne se réjouit pas de l'injustice, mais elle met sa joie dans la vérité.
Elle excuse tout, croit tout, espère tout, supporte tout.
La charité ne passe jamais.
Les prophéties ? elles disparaîtront. Les langues ? elles se tairont. La science ? elle disparaîtra.
Car partielle est notre science, partielle aussi notre prophétie.
Mais quand viendra ce qui est parfait, ce qui est partiel disparaîtra.
Lorsque j'étais enfant, je parlais en enfant,
je pensais en enfant, je raisonnais en enfant ;
une fois devenu homme, j'ai fait disparaître ce qui était de l'enfant. »
Fraternellement!
ANDRÉBryand
Dernière édition par Bryand le Mar 18 Fév 2020 - 11:16, édité 2 fois
Bryand- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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