Que pensez-vous du féminisme ?

Le féminisme c'est aussi la lutte des femmes pour être libérées de l'injuste domination mâle!

Il faudrait ne pas voir tout le temps la perversion des choses.

Cela ferait passer les chrétiens pour d'insupportables et ringards passéistes .


Dire que le suprématisme masculin n'a pas offusqué le genre humain
est d'un aveuglement stupéfiant;
Tout comme d'omettre volontairement de dire qu'il l'a divisé au lieu de le rassembler.

La perversion du féminisme
n'est que le pendant multimillénaire
de la perversion de la virilité masculine!

Cela il faut le dire...aussi....
Ou geindre...

Il faudrait que vous documentiez les propos, neb, on passe du droit romain au XX ème siècle, hop, sans nuances ni transitions.
De fait nous projetons sur les époques antérieures notre modernocentrisme et sa grille de lecture individualiste pour conclure un peu vite "c'était affreux".

C'est étonnant :
bien des gens affirment en raisons de ces droits (ouvrir un compte, voter, etc) que c'"est mieux maintenant" sans voir que chaque époque a sa cohérence (voter sous l'Ancien régime ?) et sans voir ce que l'Eglise a toujours fait pour protéger les femmes, atténuer les violences, défendre le libre choix du conjoint.
Aujourd'hui que la violence domestique est très médiatisée, on oublie que, avec la loi Veil, la femme a droit de vie et de mort sur l'enfant : le droit de tuer a changé de camp.
Le féminisme promeut deux "droits" qui posent problème à la conscience et dont les Chrétiens ont lieu de s'alarmer : droit à la pillule et à l'ivg(et divorce facile)
Avec tous les effets néfastes que ça a depuis 4 ou 5 décennies sur le mariage , le lien social, le lien conjugal, la famille...

J"hésite à croire à cette idée d'une horrible "domination masculine" (et j'ai pourtant lu Bourdieu)
c'est plutôt des changements dans les modes de production et l'avènement du libéralisme (économique et sociétal) qui évacuent un type de structure sociale traditionnelle et crée de nouvelles structures dont nous avons la possibilité de douter de leur côté "meilleur" ou "progressiste" étant donné qu'elles génèrent de nouvelles formes de violences et de souffrances : vilipender une "domination masculine" qui n'a plus cours nous aveugle sur les nouvelles dominations/souffrances/violences.

Bon, et à partir de ce constat : époque différente = plus de droits dans certains domaines + moins de sécurité et plus de violence dans certains autres (habilement privatisés),
je proposerais d'examiner pourquoi règne précisément la liberté dans ce domaine-ci, la souffrance et l'insécurité dans ce domaine_là.
Pour éventuellement nous demander si "le passé" n'a pas à nous apprendre des choses; s'il est à rejeter globalement; si les nouvelles libertés valent vraiment le sacrifice des anciennes stabilités.
Paraphrasant le cardinal Sarah je dirais volontiers que sans la famille, il n'y a plus de société.t

Le droit à la parole pour les femmes est très bon, il n'y a rien de mal là-dedans. 
Si vous trouvez que le féminisme à apporter beaucoup de mal, il faut voir que les hommes aussi en font partie.
Ne rejeté pas la faute sur les femmes encore une fois, rejeté la faute sur la société. 
si vous pouviez demander l'avis à Dieu vous verriez que Dieu à une opinion peut-être bien différente que l'opinion des antiféministes.

Mais le droit à la parole n'est pas tant lié à un sexe qu'à un type de régime. Un homme du Tiers-Etat sous Louis XIII n'avait pas ce droit.
Il n'exclut pas en outre de se positionner en critique du féminisme :  sinon ce serait  contraire à la liberté qu'il revendique.

Ce n'est pas sur les femmes que je rejette la faute ni sur les hommes mais sur l'idéologie marchande et sur le double libéralisme (économique et sociétal).
Dieu ne veut pas que l'on soit battues, violées, etc(ce dont le féminisme accuse en bloc "le passé")
Mais veut-Il la double journée, la solitude, la répudiation après 40 ans, les enfants de divorcés, les 40 % de mariage aboutissant au divorce, l'ivg et la pillule, la banalisation de l'adultère ou encore la "diabolisation" caricaturale de Son Eglise ou encore du masculin en général ?
Il veut la famille aimante. Nous avons cru que le rejet sans nuances, la diabolisation des structures traditionnelles y conduiraient mais voilà que c'est l'inverse qui se produit.
Ayons le courage intellectuel de le reconnaitre.

http://www.ichtus.fr/le-role-educateur-de-la-femme/

Cette analyse du mystère de la femme me semble pertinente ...

Le dossier ouvert dans illuminati vous prouvent que le point central qui est utilisé pour la destruction des familles donc de nos sociétés est la femme.

Pour ceux qui ont envie de savoir:

https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t31893-henry-makow-denonce-le-feminisme-et-le-nouvel-ordre-mondial

Merci Elysé !
Avant de lire les documents je voudrais m'excuser auprès de Carmila car mon propos n'était pas d'accuser les femmes.
En fait je critique une idéologie qui me semble fausse sous un air aimable et qui promet la liberté mais cette liberté se retourne contre nous

La participation des femmes à la vie publique :
la participation du citoyen au gouvernement est une invention de la Révolution.
Force est de constater que les élites ont tendance à la monopoliser, d'une part, à abritir /abêtir le citoyen basique (nivellement par le bas du niveau scolaire, culture de masse, médias aux mains des élites, manipulation de l'opinion publique...)de façon qu'il s'en désintéresse /qu'il n'ait pas le savoir nécessaire pour y participer.
C'est plus une question de classe sociale que de sexe : le droit théorique de s'exprimer (urnes, journaux, medias...)ne donne pas en soi de pouvoir réel. Les décisions importantes (emplois, retraites, écoles, hopitaux) sont prises loin de notre sphère d'influence. C'est plus le marché financier /les lobbies qui gouvernent que l'électeur ! Le citoyen basique a le droit de consommer, de se laisser endormir par des spectacles, encore heureux s'il a un emploi.
Le travail féminin :
une invention du féminisme ? Allons donc !
Nous trimons plus souvent qu'à notre tour depiuis que le travail existe.
L'oisiveté des bourgeoises corsetées du XIX ème siècle qui sert de bête noire aux féministes concerne en réalité un petit pourcentage de femmes : la bourgeoisie, nouvelle classe économiquement dominante tient à se démarquer des valeurs de l'aristocratie XVIIIème de l'Ancien régime" (oisive, licencieuse)par la vertu. En même temps le bourgeois enrichi imite d'aristocrate par l'entretien de la femme qui montre par sa (relative)oisiveté la richesse du mari. Dans la classe ouvrière règne au contraire une certaine débauche (relire "Germinal" et "l'Assommoir" de Zola).

Ceci pour dire que le féminisme n'a ni inventé ni forcément favorisé le travail féminin ni la participation féminine au gouvernement ou à la culture et à la vie spirituelle (témoins Marguerite de Navarre, Madame de Maintenon, Sainte Thérèse d'Avila...)
MAIS QU EN REVANCHE IL EST L INVENTEUR DE LA SEPARATION efficace ENTRE LA SEXUALITE ET LA FECONDITE
(pillule, ivg) .
C'est cela que je critique
et c'est cela qui donne le coup d'archet à l'"évolution" de l'Occident vers ce que Aldous Huxley décrivait comme "Le Meilleur des Mondes".
Résumé :
d'abord on favorise une sexualité sans fécondité (pillule, ivg)
ce qui éloigne les sexes l'un de l'autre (on n'est pas obligé d'avoir des gosses, donc pourquoi rester ensemble, s'engager, s'accommoder de nos différences, etc.)
étape suivante : on favorise des couples inféconds (homosexuels) en leur donnant droit d'adopter (question : adopter qui ? Qui va "faire" ce gosse ? D'où commercialisation du ventre, des gamètes, du bébé...)
D'où plus tard peut-être l'utérus artificiel (aboutissement logique de la séparation sexualité-reproduction).

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