La théorie du genre
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Re: La théorie du genre
En gros "bienvenue dans le nouvel ordre mondial!"
C54637- Aime le Rosaire
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Garabandal- En adoration
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Re: La théorie du genre
En gros "bienvenue dans le nouvel ordre mondial!"
Si vous voulez un aperçu de ce que "préconise" (incite ? oblige ? impose ?) l'OMS,
cliquez sur le lien, ça s'appelle STANDART POUR L'EDUCATION SEXUELLE EN EUROPE(!!)
Rendez-vous page 38 et suivantes...
https://www.sante-sexuelle.ch/wp-content/uploads/2013/11/Standards-OMS_fr.pdf
Si qlq'un pouvait poster les tableaux de la page 38 à 51...
Garabandal- En adoration
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Re: La théorie du genre
Merci à tous et à toutes pour ces informations et en effet, nous sommes rendus dans un temps où l'on nous impose tout.
Notre gouvernement a, soi-disant retardé la GPA qui n'est plus à l'ordre du jour de la politique familiale (histoire de juste calmer un peu les esprits) alors que dans le même temps, mardi dernier 4 février, le Parlement européen a voté et approuvé le rapport Lunacek qui nous l'imposera.
Examiné puis approuvé par les députés européens, le rapport Lunacek, est présenté comme « la feuille de route de l’UE contre l’homophobie et les discriminations fondées sur l'orientation sexuelle et l'identité de genre ».
http://yagg.com/2014/02/04/le-parlement-europeen-approuve-le-rapport-lunacek/
Approuvé avec 394 voix en sa faveur, et 176 contre. Présenté par la parlementaire écologiste Ulrike Lunacek, il prévoit une série d’actions et de dispositions pour les États membres afin de lutter contre les discriminations fondées sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre
Notre gouvernement a, soi-disant retardé la GPA qui n'est plus à l'ordre du jour de la politique familiale (histoire de juste calmer un peu les esprits) alors que dans le même temps, mardi dernier 4 février, le Parlement européen a voté et approuvé le rapport Lunacek qui nous l'imposera.
Examiné puis approuvé par les députés européens, le rapport Lunacek, est présenté comme « la feuille de route de l’UE contre l’homophobie et les discriminations fondées sur l'orientation sexuelle et l'identité de genre ».
http://yagg.com/2014/02/04/le-parlement-europeen-approuve-le-rapport-lunacek/
Approuvé avec 394 voix en sa faveur, et 176 contre. Présenté par la parlementaire écologiste Ulrike Lunacek, il prévoit une série d’actions et de dispositions pour les États membres afin de lutter contre les discriminations fondées sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre
Dernière édition par carine le Ven 21 Mar 2014 - 17:10, édité 1 fois
carine- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: La théorie du genre
Bonjour,
Vidéo reçue ce matin dans la Newsletter de Chrétiens Magazine avec la précision suivante :
"A écouter absolument : cette vidéo est une référence par rapport à toutes les pseudo-présentations".
Yann Carrière, docteur en psychologie, souligne ce qui est selon lui le caractère totalitaire et artificiel de la théorie du genre.
C'est vrai que c'est intéressant à écouter.
Vidéo reçue ce matin dans la Newsletter de Chrétiens Magazine avec la précision suivante :
"A écouter absolument : cette vidéo est une référence par rapport à toutes les pseudo-présentations".
Yann Carrière, docteur en psychologie, souligne ce qui est selon lui le caractère totalitaire et artificiel de la théorie du genre.
C'est vrai que c'est intéressant à écouter.
Invité- Invité
Re: La théorie du genre
Garabandal a écrit:En gros "bienvenue dans le nouvel ordre mondial!"
Si vous voulez un aperçu de ce que "préconise" (incite ? oblige ? impose ?) l'OMS,
cliquez sur le lien, ça s'appelle STANDART POUR L'EDUCATION SEXUELLE EN EUROPE(!!)
Rendez-vous page 38 et suivantes...
https://www.sante-sexuelle.ch/wp-content/uploads/2013/11/Standards-OMS_fr.pdf
Si qlq'un pouvait poster les tableaux de la page 38 à 51...
j'ai essayé par " fichier joint" où c'est indiqué que la taille du fichier ne doit pas dépasser les 5 Mo. Or après enregistrement sur le disque Dur de mon PC le fichier au format PDF de dépasse pas 1 Mo mais je n'arrive pas à l'insérer.
Emmanuel peut nous aider.
Dernière édition par Lotfi le Sam 15 Fév 2014 - 19:02, édité 1 fois
Lotfi- Dans la prière
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Re: La théorie du genre
promeneur a écrit:J'espere que c'est une blague, ça donne envie de vomir...
On nous cache bien des choses, promeneur.
esperance- Contre la Franc Maconnerie
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Angers : le directeur de l’enseignement catholique soutient le gender
Angers : le directeur de l’enseignement catholique soutient le gender
15 FÉVRIER 2014
Le directeur diocésain de l’enseignement catholique du diocèse d’Angers a diffusé un courrier aux chefs d’établissement, qui a été retransmis aux parents d’élèves, parmi lesquels un bon nombre s’étaient plaint auprès des directeurs et enseignants de l’introduction de l’idéologie du gender dans les classes.
Récemment, des parents ont réussi à empêché la diffusion du film « Tom Boy » dans lequel une petite fille se fait passer pour un garçon. Ce directeur nie aux parents d’être les premiers éducateurs de leurs enfants, ce qui est contraire à la doctrine de l’Eglise. Il reproche aux parents de s’être opposés aux initiatives prises par des directeurs d’établissement ! Ainsi, il justifie l’introduction dans l’enseignement de cette idéologie à la mode LGBT, qui consiste à faire perdre aux enfants leurs repères.
Le directeur de l’enseignement catholique depuis 2009, Philippe Trillot, ancien directeur des collège et lycée Saint-Joseph La Pommeraye-Chalonnes-sur-Loire, a écrit :
Trillot
« Ces derniers jours, notre réseau a fait la une des quotidiens. En cause, l’intrusion mardi dernier au collège Saint Martin à Angers de personnes se réclamant de « La manif pour tous » s’insurgeant de la projection à des élèves de 4éme du film Tom Boy, accusé de faire l’apologie de la Théorie du Genre… Cette séance était programmée au cinéma « Les 400 coups » dans le cadre de l’opération « Collège au cinéma » dont l’Enseignement catholique du Maine et Loire est partenaire.
Devant le coup de force inacceptable mené par quelques manifestants et afin d’éviter tout trouble à l’ordre public, la direction de l’établissement a pris, dans l’urgence, la sage décision de ne pas conduire ses élèves à la projection. Monseigneur Delmas et moi-même avons dénoncé fermement ces méthodes et salué la décision du Chef d’établissement, tout en comprenant l’émotion suscitée dans la communauté éducative.
L’Enseignement catholique du diocèse d’Angers ne saurait se faire dicter sa mission par quelque groupe de pression que ce soit.
Il condamne l’attitude de ces personnes se revendiquant de « La manif pour tous » et redit son soutien dans leur difficile mission aux chefs d’établissement et à leurs équipes.
Dans un climat de réelles tensions nées, entre autres, des réformes sociétales récentes et en cours, le projet de l’Enseignement catholique, éclairé par l’Evangile, doit être réaffirmé et nécessite une réflexion nourrie et raisonnée sur le fond et les controverses en cours.
Les services de la Direction diocésaine y travaillent pour aider les responsables des établissements à éclairer le débat dans le souci d’échanges apaisés et respectueux. »
Vous pouvez réagir ici :
Direction Diocésaine de l’Enseignement Catholique (DDEC)
5 Rue du Haut -Pressoir.
BP 61028 – 49010 Angers Cedex 01
Tel : 02 41 79 51 51
15 FÉVRIER 2014
Le directeur diocésain de l’enseignement catholique du diocèse d’Angers a diffusé un courrier aux chefs d’établissement, qui a été retransmis aux parents d’élèves, parmi lesquels un bon nombre s’étaient plaint auprès des directeurs et enseignants de l’introduction de l’idéologie du gender dans les classes.
Récemment, des parents ont réussi à empêché la diffusion du film « Tom Boy » dans lequel une petite fille se fait passer pour un garçon. Ce directeur nie aux parents d’être les premiers éducateurs de leurs enfants, ce qui est contraire à la doctrine de l’Eglise. Il reproche aux parents de s’être opposés aux initiatives prises par des directeurs d’établissement ! Ainsi, il justifie l’introduction dans l’enseignement de cette idéologie à la mode LGBT, qui consiste à faire perdre aux enfants leurs repères.
Le directeur de l’enseignement catholique depuis 2009, Philippe Trillot, ancien directeur des collège et lycée Saint-Joseph La Pommeraye-Chalonnes-sur-Loire, a écrit :
Trillot
« Ces derniers jours, notre réseau a fait la une des quotidiens. En cause, l’intrusion mardi dernier au collège Saint Martin à Angers de personnes se réclamant de « La manif pour tous » s’insurgeant de la projection à des élèves de 4éme du film Tom Boy, accusé de faire l’apologie de la Théorie du Genre… Cette séance était programmée au cinéma « Les 400 coups » dans le cadre de l’opération « Collège au cinéma » dont l’Enseignement catholique du Maine et Loire est partenaire.
Devant le coup de force inacceptable mené par quelques manifestants et afin d’éviter tout trouble à l’ordre public, la direction de l’établissement a pris, dans l’urgence, la sage décision de ne pas conduire ses élèves à la projection. Monseigneur Delmas et moi-même avons dénoncé fermement ces méthodes et salué la décision du Chef d’établissement, tout en comprenant l’émotion suscitée dans la communauté éducative.
L’Enseignement catholique du diocèse d’Angers ne saurait se faire dicter sa mission par quelque groupe de pression que ce soit.
Il condamne l’attitude de ces personnes se revendiquant de « La manif pour tous » et redit son soutien dans leur difficile mission aux chefs d’établissement et à leurs équipes.
Dans un climat de réelles tensions nées, entre autres, des réformes sociétales récentes et en cours, le projet de l’Enseignement catholique, éclairé par l’Evangile, doit être réaffirmé et nécessite une réflexion nourrie et raisonnée sur le fond et les controverses en cours.
Les services de la Direction diocésaine y travaillent pour aider les responsables des établissements à éclairer le débat dans le souci d’échanges apaisés et respectueux. »
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Direction Diocésaine de l’Enseignement Catholique (DDEC)
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Re: La théorie du genre
Merci Milochka,
j'étais dans la même situation,
on a mis les enfants dans le privé.
Plein de parents inquiets sont venus me demander comment faire, c'est simple et pas si onéreux que cela !
Mais un autre danger se pose aussi quand tout l'entourage familial (père mère frère soeur) fait depuis les années 90 un militantisme forcené , privé (endoctrinement familial, climat "gay"), public (vie associative, gay prides, télés).
j'étais dans la même situation,
on a mis les enfants dans le privé.
Plein de parents inquiets sont venus me demander comment faire, c'est simple et pas si onéreux que cela !
Mais un autre danger se pose aussi quand tout l'entourage familial (père mère frère soeur) fait depuis les années 90 un militantisme forcené , privé (endoctrinement familial, climat "gay"), public (vie associative, gay prides, télés).
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Re: La théorie du genre
Au fond, je n'ai jamais compris pourquoi l'institution voulait à tous prix parler d'homosexualité à des gosses qui n'ont pas l'âge de se poser ces questions.
Pour lutter contre les insultes à la récré ("sale pédé", etc.) rien ne vaut la bonne vieille éducation "classique"où l'on apprend à ne pas dire de grossièretés, à s'excuser, à réfréner sa violence physique ou verbale...sans entrer dans le détail et l'explication de certains termes dont les gamins ne comprennentpas le sens.
Le problème n'est pas "l'homophobie", mais le manque d'éducation.
Pour lutter contre les insultes à la récré ("sale pédé", etc.) rien ne vaut la bonne vieille éducation "classique"où l'on apprend à ne pas dire de grossièretés, à s'excuser, à réfréner sa violence physique ou verbale...sans entrer dans le détail et l'explication de certains termes dont les gamins ne comprennentpas le sens.
Le problème n'est pas "l'homophobie", mais le manque d'éducation.
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Re: La théorie du genre
Par Philippe Conte.
Alexandre Soljenitsyne rédige en1995 trois courts récits intitulés « Nos jeunes » qui décrivent les différentes voies par lesquelles la jeunesse soviétique est amenée, dans les années 30, à adhérer à la « nouvelle culture », à la « nouvelle idéologie ». Ce petit ouvrage peu connu est cependant d’une actualité surprenante ! En effet les mécanismes à l’œuvre sont exactement ceux utilisés par les « jusqu’auboutistes » du « gender » aujourd’hui ; avec la différence qu’ils étaient alors appuyés par les moyens de l’OGPU.
Un de ces courts récits est particulièrement intéressant ; c’est le chapitre 2 de la nouvelle intitulée « Nastenka » qui conte la vie d’une jeune fille dont la première éducation date du lycée impérial mais qui doit quitter son établissement pour finir ses études d’enseignante après la révolution.
Dès cet instant apparaissent toutes les techniques propres aux dérives totalitaires : l’établissement où elle est formée est rebaptisé « institut industrialo-pédagogique » puisque, dans la vision nominaliste des idéologies, il suffit de changer l’appellation d’une chose pour changer la chose elle-même ! Dans une logique similaire le gouvernement « proclame Rostov-sur-le-Don ville entièrement alphabétisé » bien que comme le fait remarquer l’auteur « ‘qu’il restât un nombre plus que suffisant d’analphabètes » !
Dans la même veine (où nous pourrions également reconnaître bien des aspects du pédagogisme post 1968),
« les écoles pratiquent la méthode de brigade-laboratoire : l’enseignant ne dirigeait pas la classe et ne mettait pas de notes individuelles. Les élèves étaient répartis en brigades de quatre ou cinq ; pour cela, les bancs étaient tournés dans divers sens, un membre de chaque brigade lisait à mi-voix quelque extrait du manuel sur feuilles volantes. Ensuite, l’enseignant demandait qui allait répondre pour toute la brigade. Ensuite il répondait satisfaisant ou très satisfaisant, c’est S ou TS qui était attribué à chaque membre de la brigade ».
Faut-il rappeler qu’il s’agit, non d’une classe expérimentale de l’école d’aujourd’hui, mais de la dérive d’un système vieux de près d’un siècle dont l’obsolescence a marqué nos jeunes années ?
Ce parallèle effrayant continue par toutes les annotations qui montrent, dans la nouvelle d’Alexandre Soljenitsyne, la « liquidation » des auteurs classiques russes (Dostoïevski, Leskov, Tolstoï,…) devenus « contraires à la ligne » disait-on à l’époque. On dirait aujourd’hui « politiquement incorrecte » où auteurs de « dérapages » ! On peut en effet légitimement s’interroger sur l’avenir de Shakespeare, de Molière, de Balzac, etc. tous victimes consentantes de « stéréotypes de genre » ! Faudra-t-il les expurger comme ce fut le sort de Lermontov et de Pouchkine ?
C’est hélas très envisageable au regard des « relectures » récentes des contes par Hollywood ! Que l’on songe au sort malheureux de Blanche-Neige dans « Blanche-neige et le chasseur » où la pauvre Princesse a, sans doute, fait un détour par les temples Chao-Lin pour apprendre « l’art de la guerre » ! Ou encore à « Maléfique » qui reprend « la Belle au bois dormant » du point de vue de la sorcière devenue également (stéréotype de genre à l’envers ?) chef de guerre pour l’occasion !
Finalement, dans l’Union Soviétique des années trente, on avait fini par envoyer sur les roses ces auteurs ; « dead, white, males » dirait-on aujourd’hui ! On donnait la préférence aux œuvres récentes, des textes du genre :
« Je ne veux plus de nom, donnez-moi en échange une lettre, un surnom ou bien un numéro ». Ce « poème » n’est-il pas un écho anticipé de ces parents qui aujourd’hui souhaiteraient ne pas donner de prénom à leur enfant pour ne pas les prédéterminer dans leur « orientation sexuelle » ?
On sait quel naufrage fut le système soviétique qui par cette « éducation nouvelle » a brisé le ressort moral de sa population. Les enseignants et les parents alors comme aujourd’hui sont pris dans le dilemme de la résistance et la nécessité de permettre aux enfants d’être adaptés au monde où ils devront vivre. Devant les nouvelles consignes, les nouvelles publications, les nouveaux journaux, les nouvelles œuvres, Nastenka se disait :
« impossible, vraiment, de laisser des adolescents prendre du retard, c’était tout de même dans ce monde-ci qu’ils allaient devoir vivre, il fallait les aider à y entrer ».
Choix cruel certainement, choix auquel tout éducateur est aujourd’hui confronté et auquel il ne peut échapper qu’en enracinant les vertus dans le cœur des enfants. Au-delà du contenu du savoir c’est dans l’inhabitation des vertus que nos jeunes trouveront le ressort nécessaire pour la reconstruction des liens sociaux soumis aujourd’hui à l’attrition permanente des idéologies de l’heure.
Observatoire Sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon sur www.osp-frejus-toulon.fr
Alexandre Soljenitsyne rédige en1995 trois courts récits intitulés « Nos jeunes » qui décrivent les différentes voies par lesquelles la jeunesse soviétique est amenée, dans les années 30, à adhérer à la « nouvelle culture », à la « nouvelle idéologie ». Ce petit ouvrage peu connu est cependant d’une actualité surprenante ! En effet les mécanismes à l’œuvre sont exactement ceux utilisés par les « jusqu’auboutistes » du « gender » aujourd’hui ; avec la différence qu’ils étaient alors appuyés par les moyens de l’OGPU.
Un de ces courts récits est particulièrement intéressant ; c’est le chapitre 2 de la nouvelle intitulée « Nastenka » qui conte la vie d’une jeune fille dont la première éducation date du lycée impérial mais qui doit quitter son établissement pour finir ses études d’enseignante après la révolution.
Dès cet instant apparaissent toutes les techniques propres aux dérives totalitaires : l’établissement où elle est formée est rebaptisé « institut industrialo-pédagogique » puisque, dans la vision nominaliste des idéologies, il suffit de changer l’appellation d’une chose pour changer la chose elle-même ! Dans une logique similaire le gouvernement « proclame Rostov-sur-le-Don ville entièrement alphabétisé » bien que comme le fait remarquer l’auteur « ‘qu’il restât un nombre plus que suffisant d’analphabètes » !
Dans la même veine (où nous pourrions également reconnaître bien des aspects du pédagogisme post 1968),
« les écoles pratiquent la méthode de brigade-laboratoire : l’enseignant ne dirigeait pas la classe et ne mettait pas de notes individuelles. Les élèves étaient répartis en brigades de quatre ou cinq ; pour cela, les bancs étaient tournés dans divers sens, un membre de chaque brigade lisait à mi-voix quelque extrait du manuel sur feuilles volantes. Ensuite, l’enseignant demandait qui allait répondre pour toute la brigade. Ensuite il répondait satisfaisant ou très satisfaisant, c’est S ou TS qui était attribué à chaque membre de la brigade ».
Faut-il rappeler qu’il s’agit, non d’une classe expérimentale de l’école d’aujourd’hui, mais de la dérive d’un système vieux de près d’un siècle dont l’obsolescence a marqué nos jeunes années ?
Ce parallèle effrayant continue par toutes les annotations qui montrent, dans la nouvelle d’Alexandre Soljenitsyne, la « liquidation » des auteurs classiques russes (Dostoïevski, Leskov, Tolstoï,…) devenus « contraires à la ligne » disait-on à l’époque. On dirait aujourd’hui « politiquement incorrecte » où auteurs de « dérapages » ! On peut en effet légitimement s’interroger sur l’avenir de Shakespeare, de Molière, de Balzac, etc. tous victimes consentantes de « stéréotypes de genre » ! Faudra-t-il les expurger comme ce fut le sort de Lermontov et de Pouchkine ?
C’est hélas très envisageable au regard des « relectures » récentes des contes par Hollywood ! Que l’on songe au sort malheureux de Blanche-Neige dans « Blanche-neige et le chasseur » où la pauvre Princesse a, sans doute, fait un détour par les temples Chao-Lin pour apprendre « l’art de la guerre » ! Ou encore à « Maléfique » qui reprend « la Belle au bois dormant » du point de vue de la sorcière devenue également (stéréotype de genre à l’envers ?) chef de guerre pour l’occasion !
Finalement, dans l’Union Soviétique des années trente, on avait fini par envoyer sur les roses ces auteurs ; « dead, white, males » dirait-on aujourd’hui ! On donnait la préférence aux œuvres récentes, des textes du genre :
« Je ne veux plus de nom, donnez-moi en échange une lettre, un surnom ou bien un numéro ». Ce « poème » n’est-il pas un écho anticipé de ces parents qui aujourd’hui souhaiteraient ne pas donner de prénom à leur enfant pour ne pas les prédéterminer dans leur « orientation sexuelle » ?
On sait quel naufrage fut le système soviétique qui par cette « éducation nouvelle » a brisé le ressort moral de sa population. Les enseignants et les parents alors comme aujourd’hui sont pris dans le dilemme de la résistance et la nécessité de permettre aux enfants d’être adaptés au monde où ils devront vivre. Devant les nouvelles consignes, les nouvelles publications, les nouveaux journaux, les nouvelles œuvres, Nastenka se disait :
« impossible, vraiment, de laisser des adolescents prendre du retard, c’était tout de même dans ce monde-ci qu’ils allaient devoir vivre, il fallait les aider à y entrer ».
Choix cruel certainement, choix auquel tout éducateur est aujourd’hui confronté et auquel il ne peut échapper qu’en enracinant les vertus dans le cœur des enfants. Au-delà du contenu du savoir c’est dans l’inhabitation des vertus que nos jeunes trouveront le ressort nécessaire pour la reconstruction des liens sociaux soumis aujourd’hui à l’attrition permanente des idéologies de l’heure.
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Re: La théorie du genre
Philon résume le probleme avec beaucoup de bon sens.
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Re: La théorie du genre
Des gosses qui n'ont pas été élevés dans un esprit de respect de la réalité (il faut deux sexes pour procréer) vont avoir un mal fou à grandir dans leur tête.
Plus tard ça pose des problèmes dans les attentes démesurées qui se heurtent aux limites de la réalité.
On est fragilisé dans le lien de filiation qui suppose, autre réalité, la notion d'écoulement du temps : ces gamins mis par le maitre ou la mère en place de "partenaire" sur pied d'égalité, comment vont-ils se situer sur la ligne du temps ? Accepter de devenir adultes ? Accepter leur finitude ?
Et devenir responsables devant Dieu ?
Quand on touche à la différence sexuelle, ça touche à la différence générationnelle car, logiquement, la mort de l'individu (=sa "place" généalogique) et la reproduction sexuée vont de pair. S'il n'y avait qu'un sexe, nous serions comme les amibes, des organimes immortels qui se multiplient en se coupant en deux et se reproduisent à l'identique (la cellule cancéreuse fait de même).
Nous, le Seigneur ne nous fait pas nous reproduire à l'identique, nos enfants ne sont pas nos "clones".
Plus tard ça pose des problèmes dans les attentes démesurées qui se heurtent aux limites de la réalité.
On est fragilisé dans le lien de filiation qui suppose, autre réalité, la notion d'écoulement du temps : ces gamins mis par le maitre ou la mère en place de "partenaire" sur pied d'égalité, comment vont-ils se situer sur la ligne du temps ? Accepter de devenir adultes ? Accepter leur finitude ?
Et devenir responsables devant Dieu ?
Quand on touche à la différence sexuelle, ça touche à la différence générationnelle car, logiquement, la mort de l'individu (=sa "place" généalogique) et la reproduction sexuée vont de pair. S'il n'y avait qu'un sexe, nous serions comme les amibes, des organimes immortels qui se multiplient en se coupant en deux et se reproduisent à l'identique (la cellule cancéreuse fait de même).
Nous, le Seigneur ne nous fait pas nous reproduire à l'identique, nos enfants ne sont pas nos "clones".
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Re: La théorie du genre
Donc nous devons respect aux différences sexuelle et générationnelle qui fondent notre spécificité.
De plus je me demande où seraient dans notre Occident "libéré" les stéréotypes rigides à combattre.
De plus je me demande où seraient dans notre Occident "libéré" les stéréotypes rigides à combattre.
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Re: La théorie du genre
Je partage cet article :
En août 2018, la chercheuse Lisa Littman de l'université de Brown, aux États-Unis, publiait un article dans la revue scientifique PLOS ONE(Public Library of Science), une revue qui n'accepte que des articles expertisés (peer-reviewed). Le titre de l'étude, consultable en ligne, est « Rapid-onset of gender dysphoria in adolescents and young adults : A study of parental reports » (« Manifestation subite de dysphorie de genre chez les adolescents et les jeunes adultes : une étude des rapports parentaux »). L'argument central de l'étude de Lisa Littman est que les nombreux adolescents et jeunes adultes qui se découvrent de manière subite un malaise dans leur corps sexué (« dysphorie de genre ») et cherchent à changer de sexe pourraient être victimes de contagion sociale. Sous l'influence de leurs pairs et surtout des réseaux sociaux ainsi que de la plateforme YouTube, de nombreux adolescents et jeunes adultes relaient la rhétorique des innombrables vidéos en ligne montrant de jeunes gens en processus de réattribution sexuelle (traitements hormonaux, chirurgie, etc.). Selon l'étude du professeur Littman, les parents de ces jeunes gens soupçonnent une forme de mimétisme, notamment eu égard à l'extrême soudaineté du « coming out » et de la fréquentation intense de l'Internet et de vidéos faisant la promotion de la réattribution sexuelle. Certains parents s'inquiètent notamment d'entendre leurs enfants reprendre des formules figées et utiliser le prêt-à-parler des vidéos en ligne.
[size]
L'université de Brown, dans l'État du Rhode Island, s'honore de faire partie de la grappe des Ivy Leagues de la côte est, c'est-à-dire des institutions d'enseignement supérieur les plus vénérables et les plus sélectives, telles que Yale et Harvard. Or, la doyenne de la faculté de santé publique à l'université de Brown, sous la pression des réseaux sociaux et de membres de l'université (étudiants, parents, partenaires sociaux), a fait retirer de son site l'information concernant l'étude du professeur Littman.
Voici des extraits de la lettre de la doyenne Bess Marcus qui justifie le choix du retrait :
« Comme vous le savez peut-être, Brown avait posté une information concernant la recherche sur la dysphorie de genre, publiée par un membre de l'École de santé publique. Suite aux questions soulevées au sujet de la méthode et de la collecte de données liées à l'étude sur “la manifestation soudaine de dysphorie de genre”, l'université a déterminé que le retrait de l'article de notre site d'information était le choix le plus responsable en l'occurrence. La recherche avait été publiée dans la revue scientifique PLOS ONE, qui, dans un commentaire posté le 27 août, annonçait que la revue “ferait contre-expertiser la méthodologie et les analyses de l'étude [du professeur Littman].” Outre le retrait par l'université de l'étude, à cause des inquiétudes ressortissant à la méthodologie employée par son auteure, l'École de santé publique a pris acte des préoccupations de membres de notre communauté, et de leurs craintes que l'étude ne soit utilisée pour discréditer nos efforts pour soutenir la jeunesse transgenre, et qu'elle ne risque d'invalider les perspectives des membres de la communauté transgenre. »
Deux points sont à relever : tout d'abord, la méthodologie d'une étude scientifique au demeurant très prudente et aux conclusions modestes est tenue pour suspecte dès lors qu'elle ne cadre pas avec le dogme de la théorie du genre. En effet, si le désir de changer de sexe, tout au moins chez certains adolescents et jeunes adultes, est un phénomène social, voire un phénomène de mode, alors la théorie du genre s'effondre, ou plutôt révèle son essence idéologique. Que l'on puisse émettre l'hypothèse que le désir de changer de sexe pourrait relever du mimétisme social, voilà qui doit être censuré à tout prix, de peur de révéler que le roi est nu.
Deuxièmement, la politique, dans les universités nord-américaines, et même dans les revues scientifiques, l'emporte désormais sur la recherche de la vérité. Les pressions communautaires, la peur de déplaire ou de passer pour « transphobe » surpassent l'éthique de la recherche, jusque dans le champ de la santé publique. On savait déjà que l'enseignement des sciences humaines, des arts et des lettres, était depuis longtemps phagocyté par l'idéologie identitaire, qu'il se noyait lentement, comme l'a rappelé Michel Guerrin, sous le robinet d'eau tiède du politiquement correct. On est surpris désormais d'apprendre que même les études relatives à la santé sont filtrées par des dispositifs de censure idéologique.[/size]
Or que prétend l'idéologie du genre ? Que la différence sexuelle est, justement, réactionnaire, qu'il faut par conséquent laisser le genre s'exprimer. Ainsi la novlangue du genre ne parle-t-elle même plus de « réattribution sexuelle » (« sex reassignment »), mais de « confirmation d'identité de genre », ce qui signifie que le genre pré-existerait au corps sexué, et se tiendrait pour ainsi dire quelque part dans les replis de la psyché. Il revient dès lors au sujet d'entendre l'appel de son moi « genré » authentique, et à la médecine et à la société de « confirmer » cette authenticité. Tout le reste relève de « l'hétéronormativité », c'est-à-dire d'une oppression biopolitique à combattre.
En attendant, ce sont de plus en plus de jeunes gens qui cherchent vainement à se débarrasser de leur détresse existentielle en se tournant vers la médecine et des traitements endocrinologiques coûteux et irréversibles. C'est d'autant plus stupéfiant que Lisa Littman révèle que certains des jeunes gens souffrant de dysphorie de genre ont été victimes de traumatismes récents susceptibles d'expliquer leur détresse. Combien de jeunes gens devront-ils être sacrifiés pour qu'on s'interroge enfin sur les effets délétères d'une idéologie obscurantiste et de ses sinistres idoles sur la santé publique ?
* Professeur de littérature, université du Minnesota.
À paraître : L'Homme trans : variations sur un préfixe, éditions Léo Scheer
En août 2018, la chercheuse Lisa Littman de l'université de Brown, aux États-Unis, publiait un article dans la revue scientifique PLOS ONE(Public Library of Science), une revue qui n'accepte que des articles expertisés (peer-reviewed). Le titre de l'étude, consultable en ligne, est « Rapid-onset of gender dysphoria in adolescents and young adults : A study of parental reports » (« Manifestation subite de dysphorie de genre chez les adolescents et les jeunes adultes : une étude des rapports parentaux »). L'argument central de l'étude de Lisa Littman est que les nombreux adolescents et jeunes adultes qui se découvrent de manière subite un malaise dans leur corps sexué (« dysphorie de genre ») et cherchent à changer de sexe pourraient être victimes de contagion sociale. Sous l'influence de leurs pairs et surtout des réseaux sociaux ainsi que de la plateforme YouTube, de nombreux adolescents et jeunes adultes relaient la rhétorique des innombrables vidéos en ligne montrant de jeunes gens en processus de réattribution sexuelle (traitements hormonaux, chirurgie, etc.). Selon l'étude du professeur Littman, les parents de ces jeunes gens soupçonnent une forme de mimétisme, notamment eu égard à l'extrême soudaineté du « coming out » et de la fréquentation intense de l'Internet et de vidéos faisant la promotion de la réattribution sexuelle. Certains parents s'inquiètent notamment d'entendre leurs enfants reprendre des formules figées et utiliser le prêt-à-parler des vidéos en ligne.
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L'université de Brown, dans l'État du Rhode Island, s'honore de faire partie de la grappe des Ivy Leagues de la côte est, c'est-à-dire des institutions d'enseignement supérieur les plus vénérables et les plus sélectives, telles que Yale et Harvard. Or, la doyenne de la faculté de santé publique à l'université de Brown, sous la pression des réseaux sociaux et de membres de l'université (étudiants, parents, partenaires sociaux), a fait retirer de son site l'information concernant l'étude du professeur Littman.
Voici des extraits de la lettre de la doyenne Bess Marcus qui justifie le choix du retrait :
« Comme vous le savez peut-être, Brown avait posté une information concernant la recherche sur la dysphorie de genre, publiée par un membre de l'École de santé publique. Suite aux questions soulevées au sujet de la méthode et de la collecte de données liées à l'étude sur “la manifestation soudaine de dysphorie de genre”, l'université a déterminé que le retrait de l'article de notre site d'information était le choix le plus responsable en l'occurrence. La recherche avait été publiée dans la revue scientifique PLOS ONE, qui, dans un commentaire posté le 27 août, annonçait que la revue “ferait contre-expertiser la méthodologie et les analyses de l'étude [du professeur Littman].” Outre le retrait par l'université de l'étude, à cause des inquiétudes ressortissant à la méthodologie employée par son auteure, l'École de santé publique a pris acte des préoccupations de membres de notre communauté, et de leurs craintes que l'étude ne soit utilisée pour discréditer nos efforts pour soutenir la jeunesse transgenre, et qu'elle ne risque d'invalider les perspectives des membres de la communauté transgenre. »
Deux points sont à relever : tout d'abord, la méthodologie d'une étude scientifique au demeurant très prudente et aux conclusions modestes est tenue pour suspecte dès lors qu'elle ne cadre pas avec le dogme de la théorie du genre. En effet, si le désir de changer de sexe, tout au moins chez certains adolescents et jeunes adultes, est un phénomène social, voire un phénomène de mode, alors la théorie du genre s'effondre, ou plutôt révèle son essence idéologique. Que l'on puisse émettre l'hypothèse que le désir de changer de sexe pourrait relever du mimétisme social, voilà qui doit être censuré à tout prix, de peur de révéler que le roi est nu.
Deuxièmement, la politique, dans les universités nord-américaines, et même dans les revues scientifiques, l'emporte désormais sur la recherche de la vérité. Les pressions communautaires, la peur de déplaire ou de passer pour « transphobe » surpassent l'éthique de la recherche, jusque dans le champ de la santé publique. On savait déjà que l'enseignement des sciences humaines, des arts et des lettres, était depuis longtemps phagocyté par l'idéologie identitaire, qu'il se noyait lentement, comme l'a rappelé Michel Guerrin, sous le robinet d'eau tiède du politiquement correct. On est surpris désormais d'apprendre que même les études relatives à la santé sont filtrées par des dispositifs de censure idéologique.[/size]
L'appel du genre
On peut appeler cette emprise de l'idéologie sur la recherche le retour de Lysenko, du nom du tristement célèbre ingénieur soviétique qui avait fabriqué des méthodes agricoles désespérément inefficaces, fondées sur le déni de la génétique mendélienne, jugée réactionnaire et idéaliste. On connaît la suite : pénuries et famines de masses.Or que prétend l'idéologie du genre ? Que la différence sexuelle est, justement, réactionnaire, qu'il faut par conséquent laisser le genre s'exprimer. Ainsi la novlangue du genre ne parle-t-elle même plus de « réattribution sexuelle » (« sex reassignment »), mais de « confirmation d'identité de genre », ce qui signifie que le genre pré-existerait au corps sexué, et se tiendrait pour ainsi dire quelque part dans les replis de la psyché. Il revient dès lors au sujet d'entendre l'appel de son moi « genré » authentique, et à la médecine et à la société de « confirmer » cette authenticité. Tout le reste relève de « l'hétéronormativité », c'est-à-dire d'une oppression biopolitique à combattre.
En attendant, ce sont de plus en plus de jeunes gens qui cherchent vainement à se débarrasser de leur détresse existentielle en se tournant vers la médecine et des traitements endocrinologiques coûteux et irréversibles. C'est d'autant plus stupéfiant que Lisa Littman révèle que certains des jeunes gens souffrant de dysphorie de genre ont été victimes de traumatismes récents susceptibles d'expliquer leur détresse. Combien de jeunes gens devront-ils être sacrifiés pour qu'on s'interroge enfin sur les effets délétères d'une idéologie obscurantiste et de ses sinistres idoles sur la santé publique ?
* Professeur de littérature, université du Minnesota.
À paraître : L'Homme trans : variations sur un préfixe, éditions Léo Scheer
François Bernon- MEDIATEUR
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Re: La théorie du genre
Large diffusion des études de genre dans les ressources officielles de l’Education nationale
VigiGender a transmis à Jean-Michel Blanquer ce rapport sur la diffusion des études de genre au sein des ressources officielles de l’Education nationale mises à disposition des professeurs sur les réseaux CANOPE et EDUSCOL.
...au sein des réseaux CANOPE et EDUSCOL, les tenants du genre, pourtant minoritaires dans l’Education nationale, ont la mainmise totale, sans aucun contradicteur, sur les thèmes de l’égalité fille-garçon, la mixité et la sexualité (cf partie 2 du rapport). Cette situation, qui permet une large diffusion du genre auprès des professeurs et des élèves, est contraire au principe de neutralité de l’école, le genre étant un concept idéologique. En effet, le postulat du genre sur lequel se sont développées les études de genre dans les années 70, selon lequel l’identité sexuée ne serait qu’une construction sociale sans aucune influence du corps sexué, est infondé et scientifiquement invalidé (cf partie 1).
Par ailleurs, une égalité garçon-fille fondée sur le postulat du genre, qui nie la différence sexuelle et son sens anthropologique profond, peut remettre en cause de manière inacceptable l’éducation transmise par les parents et créer des dégâts psychologiques considérables sur les enfants et les jeunes (cf partie 3).
De nombreux professionnels de l’enfance s’accordent à dire que l’enseignement de l’égalité des filles et des garçons ne doit pas passer par une « déconstruction » des différences généralement constatées, qui a un impact néfaste certain sur leur développement psychologique, mais par une éducation au respect de toute personne et à la compréhension de la différence sexuée.
De plus, la « lutte contre les stéréotypes » qui est prônée revient à apprendre aux enfants qu’il n’y a finalement aucune norme, « je fais ce que je veux ». C’est anti-éducatif. L’école n’est pas là pour abandonner l’enfant à tous les possibles, comme s’il n’appartenait à aucune histoire, comme si les adultes n’avaient rien à lui transmettre, comme si la culture n’avait aucun sens et nous privait de notre liberté.
Plus encore, nier les différences entre garçons et filles, en postulant qu’elles sont construites, accroîtra les inégalités réelles entre eux, au détriment des garçons pour ce qui est de l’apprentissage, et de tous pour ce qui est de leur dignité de personne, non réductible à un corps utilisable.
Enfin, les études de genre mettent en danger non seulement le développement psychique des enfants, mais également l’intégrité physique des adolescents les plus vulnérables, par un accroissement des pensées suicidaires.
Il est urgent que le gouvernement mette fin à la diffusion des études de genre sur les réseaux officiels de ressources CANOPE et EDUSCOL de l’Education nationale.
http://www.vigi-gender.fr/etudes-de-genre-ressources-officielles-de-leducation-nationale.php
VigiGender a transmis à Jean-Michel Blanquer ce rapport sur la diffusion des études de genre au sein des ressources officielles de l’Education nationale mises à disposition des professeurs sur les réseaux CANOPE et EDUSCOL.
...au sein des réseaux CANOPE et EDUSCOL, les tenants du genre, pourtant minoritaires dans l’Education nationale, ont la mainmise totale, sans aucun contradicteur, sur les thèmes de l’égalité fille-garçon, la mixité et la sexualité (cf partie 2 du rapport). Cette situation, qui permet une large diffusion du genre auprès des professeurs et des élèves, est contraire au principe de neutralité de l’école, le genre étant un concept idéologique. En effet, le postulat du genre sur lequel se sont développées les études de genre dans les années 70, selon lequel l’identité sexuée ne serait qu’une construction sociale sans aucune influence du corps sexué, est infondé et scientifiquement invalidé (cf partie 1).
Par ailleurs, une égalité garçon-fille fondée sur le postulat du genre, qui nie la différence sexuelle et son sens anthropologique profond, peut remettre en cause de manière inacceptable l’éducation transmise par les parents et créer des dégâts psychologiques considérables sur les enfants et les jeunes (cf partie 3).
De nombreux professionnels de l’enfance s’accordent à dire que l’enseignement de l’égalité des filles et des garçons ne doit pas passer par une « déconstruction » des différences généralement constatées, qui a un impact néfaste certain sur leur développement psychologique, mais par une éducation au respect de toute personne et à la compréhension de la différence sexuée.
De plus, la « lutte contre les stéréotypes » qui est prônée revient à apprendre aux enfants qu’il n’y a finalement aucune norme, « je fais ce que je veux ». C’est anti-éducatif. L’école n’est pas là pour abandonner l’enfant à tous les possibles, comme s’il n’appartenait à aucune histoire, comme si les adultes n’avaient rien à lui transmettre, comme si la culture n’avait aucun sens et nous privait de notre liberté.
Plus encore, nier les différences entre garçons et filles, en postulant qu’elles sont construites, accroîtra les inégalités réelles entre eux, au détriment des garçons pour ce qui est de l’apprentissage, et de tous pour ce qui est de leur dignité de personne, non réductible à un corps utilisable.
Enfin, les études de genre mettent en danger non seulement le développement psychique des enfants, mais également l’intégrité physique des adolescents les plus vulnérables, par un accroissement des pensées suicidaires.
Il est urgent que le gouvernement mette fin à la diffusion des études de genre sur les réseaux officiels de ressources CANOPE et EDUSCOL de l’Education nationale.
http://www.vigi-gender.fr/etudes-de-genre-ressources-officielles-de-leducation-nationale.php
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: La théorie du genre
il faut fonder un espoir sur les générations à venir, qui on l'espère voudront revenir vers un monde plus cohérent.
On le voit sur les plages. Une génération après 68 prônait pour le sans maillot; Les jeunes n'adoptent pas vraiment ce mode de vie.
On le voit sur les plages. Une génération après 68 prônait pour le sans maillot; Les jeunes n'adoptent pas vraiment ce mode de vie.
granny- Contemplatif
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Re: La théorie du genre
https://www.youtube.com/watch?v=-S_2bIMAaWs
en réponse à l’imposition de l’enseignement de l’idéologie du genre dans les écoles Stéphane Duté, l’ex directeur-France de l’organisation espagnole Citizen Go, s’était servi d’un autocar circulant dans les rues de Paris il y a un an, pour alerter l’opinion publique sur cette question et sur le danger qu’elle faisait courir aux enfants. Suite à cette campagne « mobile » très visuelle, Stéphane Duté avait été particulièrement attaqué par plusieurs médias. Il avait également servi de « punching ball » au maire de Paris, Madame Anne Hidalgo.
Idéologie du genre : « C’est une persécution qui se met en place »
Un an après cette campagne, RITV a souhaité revenir sur cette grave question en interrogeant Stéphane Duté. Pour ce catholique convaincu, il ne fait pas le moindre doute que l’idéologie du genre est enseignée aux enfants dès le plus jeune âge dans les écoles de la république mais que cette vérité est tout simplement niée par les intéressés.
La raison est totalement formatée
« Le fait de choisir que je peux être un homme ou une femme, d’avoir 7 ans, d’être un lapin ou un ours, me fait quitter le domaine du réel. Il y a une très grande différence entre cette foi athée du libéralisme déraisonnable, anti-scientifique et la foi catholique. Saint Thomas D’Aquin dit que “Foi et raison marchent main dans la main comme deux affectionnés”. Et bien, ici nous ne sommes pas dans le domaine de la liberté mais dans celui de la foi. Ils posent un acte de foi : si moi aujourd’hui, je décide de m’appeler Véronique et d’être une femme, je suis une femme parce que c’est moi qui le décide ! »
Le papier est rouge ? Tout le monde va dire qu’il est vert…
Pour Stéphane Duté, on voit dans ce genre d’analyse dépourvue de sens toute la différence qui existe entre une religion et une secte. « Une religion, explique-t-il, est toujours cadrée par la raison. C’est le cas pour la religion chrétienne. La secte est cadrée par le lavage de cerveau. C’est d’ailleurs très triste de voir que des étudiants ont le cerveau totalement labouré ! La psychologie, la sociologie ont été parfaitement bien été étudiées par les théoriciens du gender, idem du libéral-socialisme, de l’international socialisme. Quand on ne peut pas se fonder sur la réalité, on est obligé de se fonder sur le mensonge. Comment fait-on avaler des mensonges aux gens ? C’est très simple ! En utilisant la connaissance qu’on a de leur psychologie. C’est ainsi qu’on leur faire avaler n’importe quoi ».
Pour conclure, Stéphane Duté juge que le système mis en place actuellement est un système qui interdit de dire la vérité.
en réponse à l’imposition de l’enseignement de l’idéologie du genre dans les écoles Stéphane Duté, l’ex directeur-France de l’organisation espagnole Citizen Go, s’était servi d’un autocar circulant dans les rues de Paris il y a un an, pour alerter l’opinion publique sur cette question et sur le danger qu’elle faisait courir aux enfants. Suite à cette campagne « mobile » très visuelle, Stéphane Duté avait été particulièrement attaqué par plusieurs médias. Il avait également servi de « punching ball » au maire de Paris, Madame Anne Hidalgo.
Idéologie du genre : « C’est une persécution qui se met en place »
Un an après cette campagne, RITV a souhaité revenir sur cette grave question en interrogeant Stéphane Duté. Pour ce catholique convaincu, il ne fait pas le moindre doute que l’idéologie du genre est enseignée aux enfants dès le plus jeune âge dans les écoles de la république mais que cette vérité est tout simplement niée par les intéressés.
La raison est totalement formatée
« Le fait de choisir que je peux être un homme ou une femme, d’avoir 7 ans, d’être un lapin ou un ours, me fait quitter le domaine du réel. Il y a une très grande différence entre cette foi athée du libéralisme déraisonnable, anti-scientifique et la foi catholique. Saint Thomas D’Aquin dit que “Foi et raison marchent main dans la main comme deux affectionnés”. Et bien, ici nous ne sommes pas dans le domaine de la liberté mais dans celui de la foi. Ils posent un acte de foi : si moi aujourd’hui, je décide de m’appeler Véronique et d’être une femme, je suis une femme parce que c’est moi qui le décide ! »
Le papier est rouge ? Tout le monde va dire qu’il est vert…
Pour Stéphane Duté, on voit dans ce genre d’analyse dépourvue de sens toute la différence qui existe entre une religion et une secte. « Une religion, explique-t-il, est toujours cadrée par la raison. C’est le cas pour la religion chrétienne. La secte est cadrée par le lavage de cerveau. C’est d’ailleurs très triste de voir que des étudiants ont le cerveau totalement labouré ! La psychologie, la sociologie ont été parfaitement bien été étudiées par les théoriciens du gender, idem du libéral-socialisme, de l’international socialisme. Quand on ne peut pas se fonder sur la réalité, on est obligé de se fonder sur le mensonge. Comment fait-on avaler des mensonges aux gens ? C’est très simple ! En utilisant la connaissance qu’on a de leur psychologie. C’est ainsi qu’on leur faire avaler n’importe quoi ».
Pour conclure, Stéphane Duté juge que le système mis en place actuellement est un système qui interdit de dire la vérité.
azais- MEDIATEUR
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Re: La théorie du genre
On ne peut plus échapper aux transformations voulu par certains. De plus en plus, quelque soit la série télévisée, le nouveau mode de vie est sur nos écrans.
oseront-ils dans les dessins animés ??? Quand on voit certains dessins animés à faire peur, on peut imaginer que ça puisse arriver.
oseront-ils dans les dessins animés ??? Quand on voit certains dessins animés à faire peur, on peut imaginer que ça puisse arriver.
granny- Contemplatif
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Re: La théorie du genre
Propos du Pape François sur la "théorie" du genre
Dans l'avion, au travers d'une anecdote, le Pape François accusait les manuels scolaires français de propager la théorie du genre.
"Un père de famille m'a dit qu'il a demandé à son fils de 10 ans ce qu'il voulait faire plus tard. Il lui a répondu qu'il voulait "être une fille".
Le père s'est rendu compte que la théorie du genre était enseignée dans les livres scolaires.
C'est quelque chose de contre-nature.
Avoir des tendances ou changer de sexe, c'est une chose.
Mais c'est autre chose de faire un enseignement dans les écoles sur cette ligne.
Cela change les mentalités.
J'appelle ça de la colonisation idéologique."
https://www.lemonde.fr/religions/article/2016/10/03/critiques-apres-les-propos-du-pape-sur-la-theorie-du-genre-dans-les-manuels-scolaires_5007255_1653130.html
Dans l'avion, au travers d'une anecdote, le Pape François accusait les manuels scolaires français de propager la théorie du genre.
"Un père de famille m'a dit qu'il a demandé à son fils de 10 ans ce qu'il voulait faire plus tard. Il lui a répondu qu'il voulait "être une fille".
Le père s'est rendu compte que la théorie du genre était enseignée dans les livres scolaires.
C'est quelque chose de contre-nature.
Avoir des tendances ou changer de sexe, c'est une chose.
Mais c'est autre chose de faire un enseignement dans les écoles sur cette ligne.
Cela change les mentalités.
J'appelle ça de la colonisation idéologique."
https://www.lemonde.fr/religions/article/2016/10/03/critiques-apres-les-propos-du-pape-sur-la-theorie-du-genre-dans-les-manuels-scolaires_5007255_1653130.html
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: La théorie du genre
"Vous pouvez légitimement vous demander quel est le rapport entre l’homme qui ne veut pas être assigné à son genre, la femme qui considère que les animaux sont aujourd’hui victimes de déportation et de génocide au même titre que les humains ont pu l’être et celle qui considère que la vieillesse est un naufrage et qu’il faut donc en finir le plus vite possible avec la vie.
Tous ces penseurs s’adonnent depuis quelques décennies déjà à ce que l’on pourrait qualifier de véritables « expériences de pensées ». Par exemple, John Money, le fondateur de la théorie du genre, considère que cela devrait être normal d’amputer un membre dont on n’est pas pleinement satisfait. Donna Haraway, elle, connue pour être la théoricienne des cyborgs, confesse qu’elle échange de profonds et langoureux baisers avec son chien afin d’abolir les barrières entre les espèces. Peter Singer, théoricien de la libération animale considère, quant à lui, qu’hommes et animaux devraient pouvoir être autorisés à avoir des relations sexuelles « mutuellement satisfaisantes ». N’oublions pas non plus Hugo Tristram Engelhardt, fondateur de la bioéthique, qui suggère de faire des expérimentations médicales sur des malades au cerveau lésé plutôt que sur des animaux bien portants.
Or, pour Jean-François Braunstein, tout cela ne relève pas seulement de l’« expérience de pensée », il s’agit bien plutôt d’une véritable révolution anthropologique dont les effets commencent à se faire sentir dans le monde réel.
Gender studies, animal studies, bioéthique : la fin du bon sens ?
En proposant une lecture éclairée et informée des fondateurs des gender studies, des animal studies et de la bioéthique, Braunstein permet d’accéder à la racine de tous ces nouveaux courants de pensée dont le dénominateur commun reste la volonté d’abolir toutes les limites et toutes les frontières.
Cette volonté, selon Braunstein, provient, chez tous ces auteurs dont il décortique minutieusement les pensées, du désir d’éviter à tout prix toute douleur psychologique et d’évacuer de la vie-même toute notion de tragédie. L’intention est discutable en soi. Le but de la philosophie n’est-il pas plutôt de nous donner les clefs pour comprendre que la douleur et la tragédie sont consubstantielles à l’existence ? Mais au-delà de l’intention, Braunstein s’attaque aux aberrations auxquelles tous ces nouveaux courants de pensée peuvent conduire. Si le genre n’a rien à voir le sexe, pourquoi ne pas en changer tous les matins ? S’il n’y a plus de différence entre animaux et humains pourquoi ne pas autoriser la zoophilie ? Si on choisit d’interrompre des vies jugées comme indignes d’être vécues, pourquoi ne pas nous débarrasser d’emblée des bébés défectueux ? Autant de questions qui ne peuvent trouver une réponse que dans un sursaut de bon sens que Braunstein appelle de ses vœux. Bon sens parfaitement résumé par la formule de Georges Orwell : « Il faut être un intellectuel pour croire un chose pareille : quelqu’un d’ordinaire ne pourrait jamais atteindre une telle jobardise ». Après les liens qui libèrent, repensons un peu aux frontières qui nous constituent. C’est ce que propose Jean-François Braunstein dans son ouvrage La philosophie devenue folle. Le genre, l’animal, la mort, paru aux éditions Grasset."
Pour lire l'article en entier :
https://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-de-la-philo/le-journal-de-la-philo-du-lundi-01-octobre-2018
Tous ces penseurs s’adonnent depuis quelques décennies déjà à ce que l’on pourrait qualifier de véritables « expériences de pensées ». Par exemple, John Money, le fondateur de la théorie du genre, considère que cela devrait être normal d’amputer un membre dont on n’est pas pleinement satisfait. Donna Haraway, elle, connue pour être la théoricienne des cyborgs, confesse qu’elle échange de profonds et langoureux baisers avec son chien afin d’abolir les barrières entre les espèces. Peter Singer, théoricien de la libération animale considère, quant à lui, qu’hommes et animaux devraient pouvoir être autorisés à avoir des relations sexuelles « mutuellement satisfaisantes ». N’oublions pas non plus Hugo Tristram Engelhardt, fondateur de la bioéthique, qui suggère de faire des expérimentations médicales sur des malades au cerveau lésé plutôt que sur des animaux bien portants.
Or, pour Jean-François Braunstein, tout cela ne relève pas seulement de l’« expérience de pensée », il s’agit bien plutôt d’une véritable révolution anthropologique dont les effets commencent à se faire sentir dans le monde réel.
Gender studies, animal studies, bioéthique : la fin du bon sens ?
En proposant une lecture éclairée et informée des fondateurs des gender studies, des animal studies et de la bioéthique, Braunstein permet d’accéder à la racine de tous ces nouveaux courants de pensée dont le dénominateur commun reste la volonté d’abolir toutes les limites et toutes les frontières.
Cette volonté, selon Braunstein, provient, chez tous ces auteurs dont il décortique minutieusement les pensées, du désir d’éviter à tout prix toute douleur psychologique et d’évacuer de la vie-même toute notion de tragédie. L’intention est discutable en soi. Le but de la philosophie n’est-il pas plutôt de nous donner les clefs pour comprendre que la douleur et la tragédie sont consubstantielles à l’existence ? Mais au-delà de l’intention, Braunstein s’attaque aux aberrations auxquelles tous ces nouveaux courants de pensée peuvent conduire. Si le genre n’a rien à voir le sexe, pourquoi ne pas en changer tous les matins ? S’il n’y a plus de différence entre animaux et humains pourquoi ne pas autoriser la zoophilie ? Si on choisit d’interrompre des vies jugées comme indignes d’être vécues, pourquoi ne pas nous débarrasser d’emblée des bébés défectueux ? Autant de questions qui ne peuvent trouver une réponse que dans un sursaut de bon sens que Braunstein appelle de ses vœux. Bon sens parfaitement résumé par la formule de Georges Orwell : « Il faut être un intellectuel pour croire un chose pareille : quelqu’un d’ordinaire ne pourrait jamais atteindre une telle jobardise ». Après les liens qui libèrent, repensons un peu aux frontières qui nous constituent. C’est ce que propose Jean-François Braunstein dans son ouvrage La philosophie devenue folle. Le genre, l’animal, la mort, paru aux éditions Grasset."
Pour lire l'article en entier :
https://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-de-la-philo/le-journal-de-la-philo-du-lundi-01-octobre-2018
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: La théorie du genre
Sur l'origine féministe et homosexuelle du gender, un interview avec Marguerite Peeters.
Elle avertit depuis des années à propos de ce qu'elle appelle une "nouvelle éthique de la gouvernance mondiale" s'imposant lentement mais sûrement aux peuples, dont la théorie du genre est un produit direct.
« La Théorie du Gender » (« genre en français) est aujourd'hui, à notre insu, diffusée sournoisement sur toute la planète, remettant totalement en cause l'anthropologie judéo-chrétienne »
Cette théorie propose, pour sortir de l'oppression de la différence sexuelle, de « déconstruire le genre, la famille et la reproduction »
« L'ampleur du phénomène est incommensurable. Le 'gender' s'est intégré au cœur des politiques internationales, régionales... des instruments juridiques, des manuels scolaires... des ONG de développement, des Objectifs pour le Développement du Millénaire censés être atteints d'ici 2015. »
L'interview est déjà assez ancienne, et l'avancée de l'offensive "gender" au sein de l'Education nationale en particulier, avec toutes ses conséquences, ne fait que confirmer la justesse de ses propos.
Maintenant jusqu'au niveau juridique : "Parent 1, parent 2" au lieu de "père et mère" sur les formulaires scolaires, cette véritable inversion anthropologique se réalise sous nos yeux :
https://francais.rt.com/france/59050-parent-1-parent-2-assemblee-consacre-homoparentalite-formulaires-scolaires
Elle avertit depuis des années à propos de ce qu'elle appelle une "nouvelle éthique de la gouvernance mondiale" s'imposant lentement mais sûrement aux peuples, dont la théorie du genre est un produit direct.
« La Théorie du Gender » (« genre en français) est aujourd'hui, à notre insu, diffusée sournoisement sur toute la planète, remettant totalement en cause l'anthropologie judéo-chrétienne »
Cette théorie propose, pour sortir de l'oppression de la différence sexuelle, de « déconstruire le genre, la famille et la reproduction »
« L'ampleur du phénomène est incommensurable. Le 'gender' s'est intégré au cœur des politiques internationales, régionales... des instruments juridiques, des manuels scolaires... des ONG de développement, des Objectifs pour le Développement du Millénaire censés être atteints d'ici 2015. »
L'interview est déjà assez ancienne, et l'avancée de l'offensive "gender" au sein de l'Education nationale en particulier, avec toutes ses conséquences, ne fait que confirmer la justesse de ses propos.
Maintenant jusqu'au niveau juridique : "Parent 1, parent 2" au lieu de "père et mère" sur les formulaires scolaires, cette véritable inversion anthropologique se réalise sous nos yeux :
https://francais.rt.com/france/59050-parent-1-parent-2-assemblee-consacre-homoparentalite-formulaires-scolaires
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: La théorie du genre
Les puissants lobbys qui nous gouvernent
"Polytechnicienne, mariée et mère de quatre enfants, Esther Pivet est la coordinatrice du collectif Vigigender, qui assure un travail remarquable d'information auprès des parents et des enseignants sur la diffusion de la théorie du genre à l'école. Elle publie une enquête alarmante !"
"Polytechnicienne, mariée et mère de quatre enfants, Esther Pivet est la coordinatrice du collectif Vigigender, qui assure un travail remarquable d'information auprès des parents et des enseignants sur la diffusion de la théorie du genre à l'école. Elle publie une enquête alarmante !"
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: La théorie du genre
Illustration récente :
"La bibliothèque Louise Michel dans le 20e arrondissement a organisé samedi 16 mars un atelier de lecture de contes « non-genrés « par des drag-queens devant des enfants de 3 à 7 ans. Plusieurs parents indignés ont exprimé leur mécontentement auprès de l’établissement public.
À l’occasion de la ‘Queer Week’ qui se tient du 15 au 23 mars 2019, la bibliothèque a organisé samedi 16 mars un atelier de lecture de contes « non-genrés » animé par des drag-queens. Les drag-queens sont des hommes souvent homosexuels s’habillant en femme et dont certains peuvent se revendiquer comme étant « non-genré », c’est-à-dire ni homme ni femme."
https://m.epochtimes.fr/paris-des-drag-queens-ont-raconte-des-histoires-a-des-enfants-de-3-a-7-ans-dans-une-bibliotheque-publique-du-20eme-arrondissement-767454.html
"La bibliothèque Louise Michel dans le 20e arrondissement a organisé samedi 16 mars un atelier de lecture de contes « non-genrés « par des drag-queens devant des enfants de 3 à 7 ans. Plusieurs parents indignés ont exprimé leur mécontentement auprès de l’établissement public.
À l’occasion de la ‘Queer Week’ qui se tient du 15 au 23 mars 2019, la bibliothèque a organisé samedi 16 mars un atelier de lecture de contes « non-genrés » animé par des drag-queens. Les drag-queens sont des hommes souvent homosexuels s’habillant en femme et dont certains peuvent se revendiquer comme étant « non-genré », c’est-à-dire ni homme ni femme."
https://m.epochtimes.fr/paris-des-drag-queens-ont-raconte-des-histoires-a-des-enfants-de-3-a-7-ans-dans-une-bibliotheque-publique-du-20eme-arrondissement-767454.html
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: La théorie du genre
depuis 2013 la lutte contre les stéréotypes sexués est devenue une priorité du gouvernement, elle doit être appliquée le plus tôt possible à l'école, le plus souvent " à l'insu des parents ou sans que les parents s'en rendent compte"...
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: La théorie du genre
La singerie de l'égalité, construction de l'homme sans Dieu, produit ce genre d'ironie. Eh oui, chassez le naturel, il revient au galop !
"USA : un homme s'identifiant femme écrase la concurrence aux Championnats universitaires féminin
Né homme, Cece Telfer a été autorisée à participer aux Championnats universitaires d'athlétisme féminin parce qu'elle s'identifie femme, et a baissé son taux de testostérone. Elle bat désormais de nombreux records, non sans susciter la polémique..
Athlète aux résultats plutôt moyens lorsqu'il participait aux épreuves masculines, Cece Telfer a franchi un cap en changeant de catégorie, et se mêle désormais aux meilleures femmes au niveau national…
Des résultats largement commentés sur les réseaux sociaux, où beaucoup d'internautes, à l'instar de l'association Save Women sport (Sauvons le sport féminin), se demandent si la place des femmes biologiques dans le sport de haut niveau n'est pas menacée…
«Si les athlètes féminines veulent que cela cesse, elles devraient refuser de participer aux épreuves où elles sont obligées de concourir contre des hommes biologiques.»
pour lire l'article en entier :
https://francais.rt.com/international/62660-usa-homme-identifiant-femme-ecrase-concurrence-championnats-universitaires-feminink
"USA : un homme s'identifiant femme écrase la concurrence aux Championnats universitaires féminin
Né homme, Cece Telfer a été autorisée à participer aux Championnats universitaires d'athlétisme féminin parce qu'elle s'identifie femme, et a baissé son taux de testostérone. Elle bat désormais de nombreux records, non sans susciter la polémique..
Athlète aux résultats plutôt moyens lorsqu'il participait aux épreuves masculines, Cece Telfer a franchi un cap en changeant de catégorie, et se mêle désormais aux meilleures femmes au niveau national…
Des résultats largement commentés sur les réseaux sociaux, où beaucoup d'internautes, à l'instar de l'association Save Women sport (Sauvons le sport féminin), se demandent si la place des femmes biologiques dans le sport de haut niveau n'est pas menacée…
«Si les athlètes féminines veulent que cela cesse, elles devraient refuser de participer aux épreuves où elles sont obligées de concourir contre des hommes biologiques.»
pour lire l'article en entier :
https://francais.rt.com/international/62660-usa-homme-identifiant-femme-ecrase-concurrence-championnats-universitaires-feminink
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: La théorie du genre
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D'autres aberrations encore ... :
https://www.lesalonbeige.fr/enquete-sur-les-consequences-terribles-de-lideologie-du-genre/
https://www.lesalonbeige.fr/le-petit-chaperon-rouge-la-belle-au-bois-dormant-la-legende-de-saint-georges-retires-dune-bibliotheque/
https://www.lesalonbeige.fr/toulon-propagande-lgbtq-avec-largent-du-contribuable/
Etc ...
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D'autres aberrations encore ... :
https://www.lesalonbeige.fr/enquete-sur-les-consequences-terribles-de-lideologie-du-genre/
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Entretien avec Esther Pivet, auteur d’une Enquête sur la théorie du genre :
Vous venez de publier une “Enquête sur la théorie du genre”. Pourtant, depuis Najat Vallaud-Belkacem, nombreux sont les responsables politiques et médiatiques qui ont contesté l’existence d’une telle théorie. Avez-vous fait une enquête sur un fantôme ?
J’ai fait une enquête sur les conséquences terribles de cet odieux mensonge : une baisse de la vigilance de nombreux parents et professeurs entraînant un développement massif de cette théorie dans l’Education nationale, et plus globalement dans toute la culture. Les complices de ce mensonge portent une lourde responsabilité. J’ai écrit ce livre pour le faire savoir au plus grand nombre afin de réveiller un mouvement de résistance avant qu’il ne soit trop tard, et pour qu’un jour les responsables rendent compte de cet insupportable scandale, qui continue de blesser les enfants et les adolescents, cibles malléables prioritaires des militants du genre pour détruire l’ordre naturel.
Comment définiriez-vous la théorie du genre?
C’est une théorie sociologique qui postule que notre identité sexuelle, masculine ou féminine, que certains veulent appeler « genre », ne serait que le résultat d’une construction sociale, sans aucune influence de notre corps sexué, simple instrument pour vivre et pour avoir du plaisir. En niant toute part de nature, cette théorie affirme donc que les différences généralement constatées entre les hommes et les femmes ne seraient que le produit de cette construction, opérée depuis la nuit des temps par les hommes pour asservir les femmes, et qu’il faudrait donc les déconstruire pour arriver à l’égalité entre les hommes et les femmes. Le désir sexuel entre l’homme et la femme serait lui-même le seul produit de la culture. La théorie du genre a pour objectif d’aboutir à une indifférenciation des sexes et des sexualités. Elle veut abolir toute norme sexuelle pour instituer une multiplicité d’identités sexuelles et de formes de sexualité qui doivent toutes être reconnues comme un enrichissement de la diversité.
Pour la théorie du genre, notre identité n’est plus définie par notre sexe biologique, mais par nos désirs, notre ressenti, qui peuvent varier. Ainsi, les nouveaux manuels de SVT de 2ndepour la rentrée 2019 expliquent aux élèves : « L’identité sexuelle, c’est le fait de se sentir un homme, une femme, ni l’un ni l’autre ou les deux » (manuel Hatier), ou encore que « L’identité, c’est le fait de se sentir homme ou femme », en ajustant le curseur entre les deux (manuel Nathan).Une lycéenne a récemment envoyé un mail aux professeurs et à ses camarades de classe pour leur dire que dorénavant, elle n’était plus une fille mais un garçon, et qu’ils étaient priés de l’appeler non plus Marine mais Marin. Une élève en a été bouleversée, les autres trouvent cela normal. Le formatage des esprits des jeunes par la culture, en premier lieu internet et les séries télévisées, fonctionne parfaitement.
https://www.lesalonbeige.fr/le-petit-chaperon-rouge-la-belle-au-bois-dormant-la-legende-de-saint-georges-retires-dune-bibliotheque/
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Le petit chaperon rouge, La belle au bois dormant, la Légende de saint Georges retirés d’une bibliothèque
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Au nom de l’idéologie du genre :L’école primaire publique Tàber de Sarrià de Barcelone a retiré de sa bibliothèque 200 livres accusés par la « commission du genre » de ne pas promouvoir une « vision égalitaire ».
Parmi ces livres, Le petit chaperon rouge, La belle au bois dormant, la Légende de saint Georges.
C’est le tiers des livres qui est ainsi mis hors de portée des enfants. Ils pourront être lus par des enfants plus grands auxquels on aura inculqué l’« esprit critique » de la pensée unique : ces ouvrages doivent être « contextualisés car de nos jours ils n’ont plus aucun sens et sont totalement hors de propos ».
D’autres écoles sont en train de procéder à la même purge.
https://www.lesalonbeige.fr/toulon-propagande-lgbtq-avec-largent-du-contribuable/
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Toulon : propagande LGBTQ avec l’argent du contribuable
Par Michel Janva le 4 juin 2019 0 commentaire
Laure Lavalette, conseillère municipale RN à Toulon, a dénoncé la propagande en faveur de l’idéologie du genre :
Je saisis l’occasion pour vous dire tout le mal que nous pensons du dernier Théma du théatre liberté, #Théma 33 qui se termine dans quelques jours, dénommé “Féminin, Masculin”.
Alors, le programme annonce vite la couleur, il s’agit d’aborder la question du genre.
Quelle part de féminin et de masculin se trouve en chacun de nous? Comment évoluent elles? Peut on remettre en cause les constructions sociales normatives? Autant de questions qui traversent le mouvement queer et nous concernent tous”
Eh bien, figurez vous que non, nous ne sommes pas tous concernés par ces théories nauséabondes.
Figurez vous que personnellement par exemple, mon identité sexuelle ne me pose pas de problème et que je suis très à l’aise avec mes attributs féminins!
En fait, pendant deux mois, le théâtre Liberté s’est livré à de la propagande LGBTQ, et ce avec l’argent du contribuable…
Conférences, tables rondes, courts métrages, ciné rencontre, théâtre, tous les moyens sont bons pour déconstruire un peu plus et se mettre au service de cette idéologie mortifère.
Transidentité, fin du modèle masculin/féminin, promotion du modèle queer, gender fluide, transféminisme, tout y passe avec pour objectif avoué de mettre fin à la domination masculine: il faut tordre le cou au mâle blanc hétérosexuel (d’ailleurs, cela manque un peu de transgenre ou autres drag Queen dans cette assemblée qui, si on en croit le programme de ce Théma n’est pas très représentative de la société!).
Quant à la domination masculine, je préférais le temps où Alain Delon dominait Romy Schneider au bord d’une piscine plutôt que le spectacle donné par la nuit du voguing au théâtre Liberté!
L’exposition “Faux semblants” est une horreur, hyper limite, on y voit des androgynes squelettiques (alors même que les photos des mannequins trop minces sont désormais pénalisées), des trouples… bref l’artillerie lourde bobo est déployée au théâtre Liberté pour semer le trouble et la confusion.
Et cerise sur le gâteau, la marraine est Christiane Taubira, avouez que comme idéologue on ne fait pas mieux.
Alors monsieur le maire, je sais que vous êtes très fier de cette scène nationale mais franchement ces deux derniers mois ont dépassé l’entendement. Sachons raison garder comme vous dites si souvent!
...
Etc ...
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territoire en héritage- Pour la Paix
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Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: La théorie du genre
Territoire en héritage a écrit:D'autres aberrations encore ... :
LGBT in America (extrait d'un article de la NEF)
"En décembre 2018, l’une des deux plus anciennes universités américaines réservées aux femmes, le Stephens Collège de Columbia dans le Missouri, a indiqué qu’après avoir « élargi sa définition de la féminité » pour « inclure à la fois le sexe et le genre », elle va commencer à accepter les candidatures transgenres, sous réserve qu’ils/elles « s’identifient en tant que femmes », soit des individus biologiquement masculins qui se pensent femmes. Le nouveau règlement de l’université stipule que « le programme de premier cycle pour femmes du collège continuera d’admettre et d’inscrire des étudiantes qui vivent comme des femmes, comme il l’a toujours fait. Il admettra et recrutera également des étudiantes qui ne sont pas nées mais s’identifient et vivent en tant que femmes ; ces élèves devront fournir des documents juridiques attestant qu’elles sont des femmes ou qu’elles sont sur le point de devenir des femmes ». Vieux de 185 ans, le Stephens Collège de Columbia n’est donc plus exclusivement féminin. Il n’est pas interdit de se frotter les yeux. Cette université fait du reste des émules : sur les 39 Collèges universitaires féminins, 26 envisagent de revoir leurs procédures d’admissions.
L’inquiétante évolution américaine
Depuis janvier, l’université d’État Montclair, classée meilleure université publique du New Jersey par Forbes, propose un nouveau cours, dans le cadre de son « programme d’études gays, lesbiennes, bisexuelles, transgenres et queer », intitulé « Identités queer dans un monde en transformation : les perspectives sexuelles non humaines ». Selon l’enseignante, Madame Dadas, auteur de plusieurs ouvrages sur les catégories « sexospécifiques », la question des perspectives sexuelles offertes aux LGBT, et en particulier aux homosexuels qui ne veulent pas avoir de rapport avec des humains, mériterait d’être enseignée. Pour elle, ces perspectives sexuelles non humaines concernent « les animaux et bientôt les IA (intelligence artificielle) ».
https://lanef.net/2019/05/31/la-lgbtisation-des-esprits/
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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