LE GOUROU NEALE DONALD WALSCH/CONVERSATIONS AVEC DIEU!
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Re: LE GOUROU NEALE DONALD WALSCH/CONVERSATIONS AVEC DIEU!
Mais rien de contradictoire avec les encadrés plus haut !
Dieu dit que nous avons notre libre arbitre, Il n'a pas dit que l'on ferait le chemin sans chuter. Et même si, à chaque pas nous chutons avec l'intention de nous relever et de continuer la route, on arrivera peut-être à destination (espérance)
Alors ne refusez pas votre main à celui qui à chuté et qui ne parvient pas a se relever seul, et n'attendez pas non plus qu'il vous la demande (charité) mais agissez avec "prudence"!
Le pèlerin- Va recevoir Jésus Christ
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Re: LE GOUROU NEALE DONALD WALSCH/CONVERSATIONS AVEC DIEU!
Voici une petite fable que j'ai écrite il n'y a pas si longtemps: (j'aime beaucoup écrire)
Il était une fois, un royaume gouverné par un roi tyrannique et despote, Ce royaume souffrait de nombreux maux et de guerres sans fin. Le jeune prince, pourtant très pieux, était pour son père source de déception, il refusait de condamner, ni même de soutenir son père dans ses croisades.
Un jour, le roi mourut au cours d’un affrontement et le prince fut sacré roi. Il découvrit les caisses vides du royaume, et poussé par les nobles de sa cour, leva un nouvel impôt à contre cœur, sachant que son peuple en souffrirait plus encore.
Alors il pratiquait en secret la charité. Il allait incognito au cœur du royaume distribuer à son peuple ce qu’il pouvait sans trop attirer l’attention... Mais un jour un fermier le reconnu, et poussé par la colère, poignarda le jeune roi et le laissa pour mort. Heureusement, le roi était prudent et n’allait pas seul pratiquer l’aumône, il était accompagné d’un de ses plus fidèle ami de la cour... Ce dernier donna l’alerte, ramena le roi au château et fit arrêter le fermier pour le jeter en prison en l’attente de son procès.
Le jeune roi souffrit trois jour durant en sa chair, le quatrième il sembla avoir recouvré ses forces et le premier acte qu’il fit, fut de rendre visite à son agresseur. Tout le monde à l’extérieur, nobles, clergé, bourgeois, et pauvres scandaient sans cesse :
- « qu’on mette à mort ce pauvre fou qui a voulu tuer notre roi ! »
Encore chancelant de la blessure qu’il avait subite, il se présenta accompagné d’un garde à la grille de la gaule du détenu. Il entra. Reconnaissant le roi, le fermier prit peur, le croyant venu pour assurer lui même sa vengeance, il se recroquevilla dans un coin de sa cellule en se protégeant la tête.
- « n’aie crainte » lui dit le jeune roi en s’accroupissant péniblement et tendant comme une mainte protectrice dans sa direction.
Le fermier, pas vraiment rassuré, baissa lentement les bras et comprit à la vue de l’expression du roi qu’il n’était pas venu en ennemi. Le regard du roi était plein de compassion et cela le déconcerta. Il fit signe au roi en désignant son cou qu’il avait la gorge tellement sèche qu’il aurait grand peine a parler. Le roi regardant autour de lui constata qu’il n’y avait pas la cruche d’eau qu’on met généralement aux prisonniers. Il se redressa et se tournant vers le garde lui demanda sévèrement :
- « Pourquoi cet homme n’a t il pas d’eau ? »
Le garde, l’air étonné répondit timidement :
- « Monseigneur, il a intenté à votre vie ! »
Le roi tourna la tête à nouveau vers le fermier les yeux compatissants et dit :
- « Tu dis vrai »
Il tourna à nouveau la tête vers le garde, reprit des yeux sévère et poursuivit :
- « Mais c’est contre ma vie qu’il a intenté, pas contre la tienne... Trouve lui de l’eau ! » dit il sévèrement.
Après une seconde d’hésitation due à son étonnement, le garde s’exécuta. Il saisi une cruche dans la cellule voisine, vida l’eau souillée et la remplit immédiatement à la pompe à main qui se trouvait non loin de la... Il accourt pour apporter la cruche au prisonnier mais au passage, le roi lui arrache des mains.
- « A présent cours à mes cuisines personnelles, demande qu’on prépare un repas, du vin, et apporte le »
- « Monseigneur ? » interrogea le garde saisi de stupeur.
Le roi insista du regard et le garde partit en courant.
Le jeune roi s’approcha à nouveau du fermier, s’accroupit et lui donna la cruche en lui conseillant de boire lentement. Les yeux du fermier semblèrent changer alors qu’il buvait, le soulagement les emplissait. Ayant retrouvé l’usage de la parole, il arrêta de boire serra la cruche contre lui et demanda :
- « Monseigneur, pourquoi être si bon avec moi ? »
Le jeune roi lui sourit et dit
- « Dis moi d’abord ce qui à motivé ton geste, ensuite je te donnerais mes raisons »
Le fermier, baissant les yeux répondit :
- « Votre nouvel impôt va nous tuer mon seigneur. Ma jolie petite fille est déjà morte de faim et de maladie au printemps de l’année dernière, je ne désire pas que mon fils cadet subisse le même sort »
Le roi fermant les yeux parce que chargé de larmes réfléchit un instant. Il tourne la tête vers la petite lucarne de la cellule d’où viennent les cris incessants de la foule.
- « Les entends tu ? » dit il au fermier
- « Je les entends monseigneur.. et quand la nuit arrive et que les cris cessent, dans le silence, j’ai l’impression d’entendre leur prière au seigneur notre Dieu afin qu’on me mette à mort » répondit le fermier.
- « Ces prières, tu ne les rêve pas, je les entends aussi dans mes songes » répliqua le roi encore plus attristé « Il faut que tu comprennes que je suis roi d’un peuple élevé comme les loups »
Il se redressa, s’approcha de la lucarne et plaçant son visage dans la lumière. il respira a plein poumon et ajouta d’une voix douce :
- « La mission d’un bon roi est de préparer les loups à devenir des agneaux, aussi je me dois de les apprivoiser, afin qu’il me laissent les approcher, parce que ma couronne ne me protège pas d’une morsure. Ensuite je pourrais leur blanchir le poil et leur dessiner de belles boucles »
- « Monseigneur » dit le fermier « jamais un loup ne deviendra un agneau ! » ajouta t il les yeux pleins d’incompréhension
- « Tu dis vrai » et se tournant vers le fermier et s’accroupissant à nouveau ajouta « Mais si il plaît suffisamment à un loup de vivre comme un agneau, alors Dieu acceptera t il peut être de les faire mourir en tant que loup et renaître en tant qu’agneau » termina t il en souriant.
Le roi s’asseya le dos appuyé contre le mur face au fermier.
« Pour que ce miracle s’accomplisse, il faut parfois que j’alourdisse encore un peu plus la charge de mon bon peuple. Cette charge que je leur impose, je la pose aussi sur mon cœur... Dieu me demande alors le plus beau de mes agneaux en sacrifice afin que s’accomplisse sa volonté et qu’un loup paré de ses boucles blanches, quelque-part, devienne agneau. »
« Monseigneur... Ma petite fille ? » dit le fermier en versant quelques larmes.
« Soit certain qu’elle devait être l’agneau le plus agréable dans mon troupeau pour qu’il nous l’enlève. » répondit le roi.
Le fermier se mit alors a pleurer à chaudes larmes.
« Oh monseigneur, comment me pardonnerez vous ? » dit le fermier en pleurant, se cachant les mains dans son visage.
« Je t’avais déjà pardonné, avant même que tu brandisses ton poignard » lui répondit le roi.
Après un long silence le roi regarda le fermier fixement et reprit la parole.
« Comprendra tu qu’il faille que je te condamne ? »
Le fermier baissa la tête et dit :
« Oui monseigneur, j’ai fauté »
Le roi se décolla du mur s’approcha du fermier s’accroupit à nouveau et releva la tête du fermier délicatement par le menton.
« Non, tu n’as pas fauté... C’est la charge dont j’ai hérité qui a fauté... Si ce royaume était parfait, il n’y aurait pas de loups, pas d’impôts, pas de fermier empli de colère assassine, pas de condamnations... Ton acte, je le prend à ma charge sur mon coeur, avec toutes les autres charges que j’impose à mon bon peuple... »
Le roi se redressa alors et regarda à nouveau la lumière de la minuscule lucarne d’où s’échappe aussi les cris de la foule.
« Si je te condamne, c’est parce qu’il y a encore beaucoup de loups... De loups qui ne comprendraient pas que je ne le fasse pas... Des loups qui se délecterais d’un de mes plus beaux agneaux, alors que je ne les réserve que pour Dieu. »
Et se tournant une dernière fois vers le fermier, les yeux chargés de larmes dit :
« Pardonne moi de te sacrifier à l’autel de Dieu, mais dans ton manteau je glisserais ma couronne afin qu’elle témoigne de l’amour que j’ai pour lui et pour le bel agneau que je lui envoie »
Il était une fois, un royaume gouverné par un roi tyrannique et despote, Ce royaume souffrait de nombreux maux et de guerres sans fin. Le jeune prince, pourtant très pieux, était pour son père source de déception, il refusait de condamner, ni même de soutenir son père dans ses croisades.
Un jour, le roi mourut au cours d’un affrontement et le prince fut sacré roi. Il découvrit les caisses vides du royaume, et poussé par les nobles de sa cour, leva un nouvel impôt à contre cœur, sachant que son peuple en souffrirait plus encore.
Alors il pratiquait en secret la charité. Il allait incognito au cœur du royaume distribuer à son peuple ce qu’il pouvait sans trop attirer l’attention... Mais un jour un fermier le reconnu, et poussé par la colère, poignarda le jeune roi et le laissa pour mort. Heureusement, le roi était prudent et n’allait pas seul pratiquer l’aumône, il était accompagné d’un de ses plus fidèle ami de la cour... Ce dernier donna l’alerte, ramena le roi au château et fit arrêter le fermier pour le jeter en prison en l’attente de son procès.
Le jeune roi souffrit trois jour durant en sa chair, le quatrième il sembla avoir recouvré ses forces et le premier acte qu’il fit, fut de rendre visite à son agresseur. Tout le monde à l’extérieur, nobles, clergé, bourgeois, et pauvres scandaient sans cesse :
- « qu’on mette à mort ce pauvre fou qui a voulu tuer notre roi ! »
Encore chancelant de la blessure qu’il avait subite, il se présenta accompagné d’un garde à la grille de la gaule du détenu. Il entra. Reconnaissant le roi, le fermier prit peur, le croyant venu pour assurer lui même sa vengeance, il se recroquevilla dans un coin de sa cellule en se protégeant la tête.
- « n’aie crainte » lui dit le jeune roi en s’accroupissant péniblement et tendant comme une mainte protectrice dans sa direction.
Le fermier, pas vraiment rassuré, baissa lentement les bras et comprit à la vue de l’expression du roi qu’il n’était pas venu en ennemi. Le regard du roi était plein de compassion et cela le déconcerta. Il fit signe au roi en désignant son cou qu’il avait la gorge tellement sèche qu’il aurait grand peine a parler. Le roi regardant autour de lui constata qu’il n’y avait pas la cruche d’eau qu’on met généralement aux prisonniers. Il se redressa et se tournant vers le garde lui demanda sévèrement :
- « Pourquoi cet homme n’a t il pas d’eau ? »
Le garde, l’air étonné répondit timidement :
- « Monseigneur, il a intenté à votre vie ! »
Le roi tourna la tête à nouveau vers le fermier les yeux compatissants et dit :
- « Tu dis vrai »
Il tourna à nouveau la tête vers le garde, reprit des yeux sévère et poursuivit :
- « Mais c’est contre ma vie qu’il a intenté, pas contre la tienne... Trouve lui de l’eau ! » dit il sévèrement.
Après une seconde d’hésitation due à son étonnement, le garde s’exécuta. Il saisi une cruche dans la cellule voisine, vida l’eau souillée et la remplit immédiatement à la pompe à main qui se trouvait non loin de la... Il accourt pour apporter la cruche au prisonnier mais au passage, le roi lui arrache des mains.
- « A présent cours à mes cuisines personnelles, demande qu’on prépare un repas, du vin, et apporte le »
- « Monseigneur ? » interrogea le garde saisi de stupeur.
Le roi insista du regard et le garde partit en courant.
Le jeune roi s’approcha à nouveau du fermier, s’accroupit et lui donna la cruche en lui conseillant de boire lentement. Les yeux du fermier semblèrent changer alors qu’il buvait, le soulagement les emplissait. Ayant retrouvé l’usage de la parole, il arrêta de boire serra la cruche contre lui et demanda :
- « Monseigneur, pourquoi être si bon avec moi ? »
Le jeune roi lui sourit et dit
- « Dis moi d’abord ce qui à motivé ton geste, ensuite je te donnerais mes raisons »
Le fermier, baissant les yeux répondit :
- « Votre nouvel impôt va nous tuer mon seigneur. Ma jolie petite fille est déjà morte de faim et de maladie au printemps de l’année dernière, je ne désire pas que mon fils cadet subisse le même sort »
Le roi fermant les yeux parce que chargé de larmes réfléchit un instant. Il tourne la tête vers la petite lucarne de la cellule d’où viennent les cris incessants de la foule.
- « Les entends tu ? » dit il au fermier
- « Je les entends monseigneur.. et quand la nuit arrive et que les cris cessent, dans le silence, j’ai l’impression d’entendre leur prière au seigneur notre Dieu afin qu’on me mette à mort » répondit le fermier.
- « Ces prières, tu ne les rêve pas, je les entends aussi dans mes songes » répliqua le roi encore plus attristé « Il faut que tu comprennes que je suis roi d’un peuple élevé comme les loups »
Il se redressa, s’approcha de la lucarne et plaçant son visage dans la lumière. il respira a plein poumon et ajouta d’une voix douce :
- « La mission d’un bon roi est de préparer les loups à devenir des agneaux, aussi je me dois de les apprivoiser, afin qu’il me laissent les approcher, parce que ma couronne ne me protège pas d’une morsure. Ensuite je pourrais leur blanchir le poil et leur dessiner de belles boucles »
- « Monseigneur » dit le fermier « jamais un loup ne deviendra un agneau ! » ajouta t il les yeux pleins d’incompréhension
- « Tu dis vrai » et se tournant vers le fermier et s’accroupissant à nouveau ajouta « Mais si il plaît suffisamment à un loup de vivre comme un agneau, alors Dieu acceptera t il peut être de les faire mourir en tant que loup et renaître en tant qu’agneau » termina t il en souriant.
Le roi s’asseya le dos appuyé contre le mur face au fermier.
« Pour que ce miracle s’accomplisse, il faut parfois que j’alourdisse encore un peu plus la charge de mon bon peuple. Cette charge que je leur impose, je la pose aussi sur mon cœur... Dieu me demande alors le plus beau de mes agneaux en sacrifice afin que s’accomplisse sa volonté et qu’un loup paré de ses boucles blanches, quelque-part, devienne agneau. »
« Monseigneur... Ma petite fille ? » dit le fermier en versant quelques larmes.
« Soit certain qu’elle devait être l’agneau le plus agréable dans mon troupeau pour qu’il nous l’enlève. » répondit le roi.
Le fermier se mit alors a pleurer à chaudes larmes.
« Oh monseigneur, comment me pardonnerez vous ? » dit le fermier en pleurant, se cachant les mains dans son visage.
« Je t’avais déjà pardonné, avant même que tu brandisses ton poignard » lui répondit le roi.
Après un long silence le roi regarda le fermier fixement et reprit la parole.
« Comprendra tu qu’il faille que je te condamne ? »
Le fermier baissa la tête et dit :
« Oui monseigneur, j’ai fauté »
Le roi se décolla du mur s’approcha du fermier s’accroupit à nouveau et releva la tête du fermier délicatement par le menton.
« Non, tu n’as pas fauté... C’est la charge dont j’ai hérité qui a fauté... Si ce royaume était parfait, il n’y aurait pas de loups, pas d’impôts, pas de fermier empli de colère assassine, pas de condamnations... Ton acte, je le prend à ma charge sur mon coeur, avec toutes les autres charges que j’impose à mon bon peuple... »
Le roi se redressa alors et regarda à nouveau la lumière de la minuscule lucarne d’où s’échappe aussi les cris de la foule.
« Si je te condamne, c’est parce qu’il y a encore beaucoup de loups... De loups qui ne comprendraient pas que je ne le fasse pas... Des loups qui se délecterais d’un de mes plus beaux agneaux, alors que je ne les réserve que pour Dieu. »
Et se tournant une dernière fois vers le fermier, les yeux chargés de larmes dit :
« Pardonne moi de te sacrifier à l’autel de Dieu, mais dans ton manteau je glisserais ma couronne afin qu’elle témoigne de l’amour que j’ai pour lui et pour le bel agneau que je lui envoie »
Le pèlerin- Va recevoir Jésus Christ
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Inscription : 27/03/2013
Re: LE GOUROU NEALE DONALD WALSCH/CONVERSATIONS AVEC DIEU!
Bonsoir pèlerin
Vous lire m'a fait rire et tant mieux, cela fait du bien. Je ne notais pas "espérance" entre parenthèses pour la vertu théologale mais ai lu "charité" comme telle.
De toute manière, je suis d’accord avec plusieurs choses que vous notez tel que, entre autres :
Quant au jugement, nous ne sommes pas là pour savoir qui est sauvé ou non, cela appartient à Dieu, à Son infinie Miséricorde, et à la ferme volonté de l’être humain …
Le temps de répondre, vous avez noté le conte qui est à saisir pleinement avant de pouvoir commenter ... et ce soir il y a veillée pascale alors à plus tard
Vous lire m'a fait rire et tant mieux, cela fait du bien. Je ne notais pas "espérance" entre parenthèses pour la vertu théologale mais ai lu "charité" comme telle.
De toute manière, je suis d’accord avec plusieurs choses que vous notez tel que, entre autres :
Mais simplement, m’en tiens aux écritures en ce qui concerne la géhenne que Jésus, Lui-même, a citée plusieurs fois.... si nous avions pu de son vivant sur la terre être aimant auprès d'elle et lui transmettre la connaissance qui mène a la vérité?
Quant au jugement, nous ne sommes pas là pour savoir qui est sauvé ou non, cela appartient à Dieu, à Son infinie Miséricorde, et à la ferme volonté de l’être humain …
Le temps de répondre, vous avez noté le conte qui est à saisir pleinement avant de pouvoir commenter ... et ce soir il y a veillée pascale alors à plus tard
carine- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Inscription : 28/10/2009
Re: LE GOUROU NEALE DONALD WALSCH/CONVERSATIONS AVEC DIEU!
Quant au jugement, nous ne sommes pas là pour savoir qui est sauvé ou non, cela appartient à Dieu, à Son infinie Miséricorde, et à la ferme volonté de l’être humain …
Effectivement seul Dieu lit dans les coeurs, mais réfléchissez à un point particulier: Si des âmes ne peuvent pas être sauvé, est il possible de parler de miséricorde "infinie"? Ou est ce une limite que vous décrivez comme une "ferme volonté de l'être humain"?
Bonne veillée pascale
Le pèlerin- Va recevoir Jésus Christ
- Messages : 40
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Localisation : Nord de France
Inscription : 27/03/2013
Re: LE GOUROU NEALE DONALD WALSCH/CONVERSATIONS AVEC DIEU!
Le pèlerin,
Dieu peut sauver l'homme, mais seulement et seulement si l'homme le veut.
Dieu tend la main à l'homme, c'est donc à l'homme de décider de sa destination éternelle.
Effectivement, la miséricorde de Dieu est infinie car Dieu ne se lassera jamais d'aimer et de vouloir sauver l'homme, mais c'est toujours ce dernier qui choisit sa route.
Dieu peut sauver l'homme, mais seulement et seulement si l'homme le veut.
Dieu tend la main à l'homme, c'est donc à l'homme de décider de sa destination éternelle.
Effectivement, la miséricorde de Dieu est infinie car Dieu ne se lassera jamais d'aimer et de vouloir sauver l'homme, mais c'est toujours ce dernier qui choisit sa route.
esperance- Contre la Franc Maconnerie
- Messages : 326
Inscription : 28/06/2007
Re: LE GOUROU NEALE DONALD WALSCH/CONVERSATIONS AVEC DIEU!
Merci à toi, Le pèlerin, d'être intervenu avec ouverture d'esprit, ça fait du bien.
Lancelot, je trouve ton jugement un peu inquisiteur. En effet, j'ai moi-même lu la trilogie, et je ne comprends pas ta réaction.
D'une part, Dieu explique dans ces dialogues que l'enfer n'existe pas, ou ce n'est que la tourmente des hommes assaillis par leur remords (d'où la rémission des péchés, au passage), par la haine qu'ils ont dans le coeur, en somme par leur démons, et tout cela manifesté dans le monde immatériel. Cet enfer, nous le créons, et pouvons d'ailleurs le vivre ici sur Terre, nombreux sont les pessimistes et les dépressifs, mais nombreux sont aussi ceux qui ont découvert l'évangile et ont vu le royaume, "qui est au milieu de nous", par une renaissance d'esprit.
D'autre part, il utilise, certes, des expressions employant le mot "diable", mais intentionnellement, avec beaucoup d'humour et de pédagogie, pour purger Neale de toutes ses conceptions rigides.
Il explique, en effet, que rien n'est interdit, car nous disposons du libre-arbitre et que tout est sacré. Par ailleurs, rien n'est fait contre la volonté de Dieu, et tout suit un but.
Adolf Hitler, en l'occurrence, que nous nous acharnons tant à condamner, n'était en fait que la conséquence d'une conscience collective, et le mal qu'il a fait servit à rétablir un équilibre nécessaire. Ce n'est pas un blasphème d'affirmer cela, le blasphème, c'est de dire que Dieu ne guide pas bien ses enfants, et que sa création n'est pas parfaite, car de ce fait, lui non plus n'est pas parfait.
Comme dit Paulo Coelho, un écrivain que j'aime beaucoup: chacun accomplit sa propre tâche sur cette Terre.
Et si nous ne comprenons pas les voies du seigneur, contentons-nous de nous rappeler qu'il est juste et bon, quoiqu'il fasse.
Dieu raconte aussi à Neale que le diable est un personnage de fiction, inventé par des patriarches afin qu'il serve d'objet de peur et permette un contrôle plus aisé des esprits. Souvenez-vous l'époque des croisades, où l'on disait qu'il était bon de tuer d'autres hommes, était-ce cela, l'église de Dieu ? Nous sommes tous d'accord que non, je suppose.
Selon mon interprétation personnelle de la Bible, je pense que le diable, symbolisé par l'animal du serpent, est une image de l'ego humain, accompagné de toutes ses peurs, ses tourments, ses désirs et ses tentations qui l'éloignent de l'amour.
Et si nous raisonnons à propos de l'omni-science/potence de Dieu, nous pouvons nous demander logiquement pourquoi permettrait-il qu'un vulgaire lutin rouge importune ses créatures bien-aimées.
Jésus avait prédit la trahison de Judas et sa condamnation. Lorsqu'il veilla dans la forêt avant d'être capturé, il fut tenté de fuir, et se mit à prier Dieu d'éloigner de lui ce calice. Si vous avez vu le film "La passion du Christ" de Mel Gibson, vous devez vous rappeler de cette scène très bien faite, où Satan envoie un serpent accabler Jésus. Ce serpent est le calice dont il parle, la tentation, mais il la dépassa et terrassa le serpent d'un coup de pied.
Ce qui dérange certains religieux dans cette trilogie, c'est que Dieu est explicite à propos de sa nature: il se définit en tant que tout, et non en tant que personnage.
Lorsque vous personnifiez Dieu et lui attribuez un rôle de juge inquisiteur, vous l'associez au diable.
Le mot "amour" (dans sa forme la plus inconditionnelle et divine) est omniprésent dans ces dialogues, allons, jugeons l'arbre par ses fruits.
Quoiqu'il en soit, ce que j'ai lu ne contredit absolument pas les évangiles, ou en tous cas mon interprétation de ceux-ci, puisque je ne crois qu'en Dieu (donc pas au diable, qui serait le dieu du mal... ).
Si l'Homme s'incarne, c'est pour se réaliser, trouver le royaume, ce paradis perdu qui n'est nulle part ailleurs que dans son coeur, mais dont il a été chassé lorsqu'il s'est laissé tenter par son "diabolique" ego. Voilà, en guise de synthèse, ce que j'ai compris des textes.
Le royaume de Dieu sera instauré sur Terre lorsque tous les Hommes auront conscience que l'amour est la clef de notre prospérité, et que l'ego est en train de nous mener vers un chaos infernal.
En toute humilité.
Lancelot, je trouve ton jugement un peu inquisiteur. En effet, j'ai moi-même lu la trilogie, et je ne comprends pas ta réaction.
D'une part, Dieu explique dans ces dialogues que l'enfer n'existe pas, ou ce n'est que la tourmente des hommes assaillis par leur remords (d'où la rémission des péchés, au passage), par la haine qu'ils ont dans le coeur, en somme par leur démons, et tout cela manifesté dans le monde immatériel. Cet enfer, nous le créons, et pouvons d'ailleurs le vivre ici sur Terre, nombreux sont les pessimistes et les dépressifs, mais nombreux sont aussi ceux qui ont découvert l'évangile et ont vu le royaume, "qui est au milieu de nous", par une renaissance d'esprit.
D'autre part, il utilise, certes, des expressions employant le mot "diable", mais intentionnellement, avec beaucoup d'humour et de pédagogie, pour purger Neale de toutes ses conceptions rigides.
Il explique, en effet, que rien n'est interdit, car nous disposons du libre-arbitre et que tout est sacré. Par ailleurs, rien n'est fait contre la volonté de Dieu, et tout suit un but.
Adolf Hitler, en l'occurrence, que nous nous acharnons tant à condamner, n'était en fait que la conséquence d'une conscience collective, et le mal qu'il a fait servit à rétablir un équilibre nécessaire. Ce n'est pas un blasphème d'affirmer cela, le blasphème, c'est de dire que Dieu ne guide pas bien ses enfants, et que sa création n'est pas parfaite, car de ce fait, lui non plus n'est pas parfait.
Comme dit Paulo Coelho, un écrivain que j'aime beaucoup: chacun accomplit sa propre tâche sur cette Terre.
Et si nous ne comprenons pas les voies du seigneur, contentons-nous de nous rappeler qu'il est juste et bon, quoiqu'il fasse.
Dieu raconte aussi à Neale que le diable est un personnage de fiction, inventé par des patriarches afin qu'il serve d'objet de peur et permette un contrôle plus aisé des esprits. Souvenez-vous l'époque des croisades, où l'on disait qu'il était bon de tuer d'autres hommes, était-ce cela, l'église de Dieu ? Nous sommes tous d'accord que non, je suppose.
Selon mon interprétation personnelle de la Bible, je pense que le diable, symbolisé par l'animal du serpent, est une image de l'ego humain, accompagné de toutes ses peurs, ses tourments, ses désirs et ses tentations qui l'éloignent de l'amour.
Et si nous raisonnons à propos de l'omni-science/potence de Dieu, nous pouvons nous demander logiquement pourquoi permettrait-il qu'un vulgaire lutin rouge importune ses créatures bien-aimées.
Jésus avait prédit la trahison de Judas et sa condamnation. Lorsqu'il veilla dans la forêt avant d'être capturé, il fut tenté de fuir, et se mit à prier Dieu d'éloigner de lui ce calice. Si vous avez vu le film "La passion du Christ" de Mel Gibson, vous devez vous rappeler de cette scène très bien faite, où Satan envoie un serpent accabler Jésus. Ce serpent est le calice dont il parle, la tentation, mais il la dépassa et terrassa le serpent d'un coup de pied.
Ce qui dérange certains religieux dans cette trilogie, c'est que Dieu est explicite à propos de sa nature: il se définit en tant que tout, et non en tant que personnage.
Lorsque vous personnifiez Dieu et lui attribuez un rôle de juge inquisiteur, vous l'associez au diable.
Le mot "amour" (dans sa forme la plus inconditionnelle et divine) est omniprésent dans ces dialogues, allons, jugeons l'arbre par ses fruits.
Quoiqu'il en soit, ce que j'ai lu ne contredit absolument pas les évangiles, ou en tous cas mon interprétation de ceux-ci, puisque je ne crois qu'en Dieu (donc pas au diable, qui serait le dieu du mal... ).
Si l'Homme s'incarne, c'est pour se réaliser, trouver le royaume, ce paradis perdu qui n'est nulle part ailleurs que dans son coeur, mais dont il a été chassé lorsqu'il s'est laissé tenter par son "diabolique" ego. Voilà, en guise de synthèse, ce que j'ai compris des textes.
Le royaume de Dieu sera instauré sur Terre lorsque tous les Hommes auront conscience que l'amour est la clef de notre prospérité, et que l'ego est en train de nous mener vers un chaos infernal.
En toute humilité.
Dernière édition par Olympus-13 le Mer 18 Sep 2013 - 18:51, édité 1 fois
Olympus-13- Avec les chérubins
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Re: LE GOUROU NEALE DONALD WALSCH/CONVERSATIONS AVEC DIEU!
Message plein de sens et de sagesse (y compris tous les autres), merci encore de ton intervention, car j'ai trouvé quelques commentaires vraiment stupides.Le pèlerin a écrit:Personne ne peut remplir davantage la coupe d'un autre qui est déjà pleine sans la faire déborder. Mais il appartient à chacun de définir la nature de ce que sa coupe contient, et le cas échéant, de la vider entièrement ou partiellement pour y recevoir un vin nouveau. On appelle ça "évoluer"... Goûter la vie... y chercher un sens...
Ne prétendez pas connaitre Dieu de peur qu'il vous rit au nez au jour de votre jugement. Vous ne l'avez jamais vu et personne ne l'as jamais mesuré... Celui qui prétend le connaitre est un fou, fou parce qu'il s'est prit pour Dieu lui même... Mais celui qui en fait son père, son ami, et qui l'écoute parler en son coeur, qui redevient un enfant sur les bancs de l'école, le visage appuyé sur ses mains, le regard plein d'étoiles, émerveillé par la connaissance, celui là est sur la bonne voie... Dieu n'est pas là où on vous dit qu'il est, il est tout, mais son trône est posé sur nos coeurs... peu importe ou vous pointez le doigt pour le désigner, vous avez à la fois raison et tord... Rappelez vous les paroles de jésus, comprenez les enfin, et vous parviendrez a comprendre les autres et leur discours! Ils ne sont pas plus stupides que vous ou plus ignorant, ils sont sur "leur" voie... Et même si il leur arrive de commettre des erreurs, reconnaissez que vous n'avez pas a les juger parce que pour en arriver où vous en êtes vous avez aussi commis des erreurs...
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