Message de La Sainte Vierge de Kérizinen sur la souffrance
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Message de La Sainte Vierge de Kérizinen sur la souffrance
Message de La Sainte Vierge de Kérizinen reçu par Jeanne-Louise..
Samedi 14 Mars 1964 *La Souffrance*
Que votre foi et votre amour repentants vous fassent revivre les scènes douloureuses du grand mystère de votre salut et vous aident à mieux comprendre le prix de la souffrance et de la Croix.
Ce n’est pas Dieu qui a créé la souffrance, ni la mort : c’est l’homme qui les a introduites par le péché.
Dieu est la vie ; le péché, le rejet de Dieu. Mais quelle merveilleuse trouvaille de l’Amour du Seigneur de transformer, en instrument de salut, ce fruit naturel du péché qu’est la souffrance qui devient une purification pour qui la prend chrétiennement, en s’efforçant de comprendre et d’accepter l’intention de Dieu.
La souffrance est donc une maîtresse de Sagesse Divine, elle vous aide à vivre, dans la foi, votre espérance et votre amour de Dieu seul, nécessaires à qui veut entrer dans sa Joie.
Quand vous souffrez pensez au Christ qui, si près de vous, vous regarde, vous aime et se penche vers vous pour donner un sens à votre souffrance.
Car, depuis le Christ, le sens de la souffrance n’est plus un problème angoissant, mais simplement une ressemblance, une bouleversante élection.
Les persécutés, les innocents, les affligés, les méconnus peuvent reconnaître dans le Christ, la plus sainte, la plus noble image de ce qu’ils sont devenus.
Souffrir est un pouvoir inouï qui vous est conféré, et non une mutilation, non un échec, mais une victoire ; le corps du Christ, désormais, c’est vous.
Il faut que vous continuiez de souffrir pour entrer dans la gloire, y soulevant ceux que le Père vous a confiés.
Si votre pèlerinage terrestre est ponctué par les stations de la voie douloureuse que Jésus Lui-Même a suivie, vous savez, aussi, que cela vous permet de voguer vers le rivage de l’éternelle lumière et de la joie sans fin.
Il faut souffrir et mourir avec le Christ pour vivre avec Lui.
Les joies que vous éprouvez peuvent vous tromper, mais les croix jamais.
Elles sont si précieuses, si méritoires que votre Père Céleste ne veut pas vous en priver, mais au moment même où la peine vous frappe, paternellement et en secret,elle vous parle au cœur, Il en fait le siège et, si vous vous ouvrez à sa grâce, Il fera jaillir de vos lèvres un cri de résignation et de foi en son Amour, où éclate sa Gloire.
Si Dieu vous fait souffrir, soyez persuadés qu’il vous aime.
Il n’y aura qu’au Ciel que vous comprendrez le prix de la souffrance.
Voudriez-vous suivre un chemin autre que celui de Jésus Crucifié ?
Souvenez-vous que, sur le point d’expirer, Il jeta un grand cri : c’était pour appeler tous les hommes au pied de la Croix, pour leur dire comment on aime et comment, eux aussi, doivent pratiquer la charité et accepter la souffrance.
Toutes vos peines, croix, souffrances sont une participation au sacrifice qui lui donne la Terre et lui ouvre les Cieux.
Abandonnez-vous à Celui qui fait mourir et vivre, pour qu’il réalise en vous une œuvre de grâce.
Le mérite qui peut jaillir de vos souffrances n’est pas un bien réservé à celui qui souffre. Fruit de la charité, il vaut pour tout le corps du Christ.
Ainsi toute la souffrance, acceptée par amour, a une puissance rédemptrice.
Des âmes ont été aidées, soutenues, sauvées parce que, tel jour, quelqu’un a prié et souffert pour elles.
Si la Croix vous caresse de ses bras sanglants, soyez courageux et offrez vos peines pour les pauvres âmes délaissées, privées de tout secours et qui luttent dans les ténèbres cherchant, en vain, la clarté du phare puissant capable de les ramener au rivage.
Ainsi, au lieu de vous faire passer uniquement, d’une façon passive et sans mérite, par les purifications nécessaires pour entrer dans sa joie, en permettant, au contraire, que vous atteignent sur terre les conséquences douloureuses du péché, péchés personnels, ou péchés d’autrui..
Dieu vous offre l’occasion, par l’offrande libre de votre peine, de grandir dans son Amour et d’aider à sauver les autres :
C’est vraiment le triomphe de sa Miséricorde.
Ne soyez donc pas dans la tristesse si la souffrance est votre partage, mais qu’une grande joie habite vos cœurs, puisque vous savez d’avance que la victoire est acquise ; elle prend sa source dans le Christ ressuscité.
Faire rayonner la joie sur terre, c’est rendre témoignage au Christ Ressuscité ; c’est éveiller en vos frères le désir d’en connaître le secret, la soif de la partager avec vous.
Myriamir
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Des questions que l'on se pose souvent sur la souffrance.
Samedi 14 Mars 1964 *La Souffrance*
La Vierge Marie :
Que votre foi et votre amour repentants vous fassent revivre les scènes douloureuses du grand mystère de votre salut et vous aident à mieux comprendre le prix de la souffrance et de la Croix.
Ce n’est pas Dieu qui a créé la souffrance, ni la mort : c’est l’homme qui les a introduites par le péché.
Dieu est la vie ; le péché, le rejet de Dieu. Mais quelle merveilleuse trouvaille de l’Amour du Seigneur de transformer, en instrument de salut, ce fruit naturel du péché qu’est la souffrance qui devient une purification pour qui la prend chrétiennement, en s’efforçant de comprendre et d’accepter l’intention de Dieu.
La souffrance est donc une maîtresse de Sagesse Divine, elle vous aide à vivre, dans la foi, votre espérance et votre amour de Dieu seul, nécessaires à qui veut entrer dans sa Joie.
Quand vous souffrez pensez au Christ qui, si près de vous, vous regarde, vous aime et se penche vers vous pour donner un sens à votre souffrance.
Car, depuis le Christ, le sens de la souffrance n’est plus un problème angoissant, mais simplement une ressemblance, une bouleversante élection.
Les persécutés, les innocents, les affligés, les méconnus peuvent reconnaître dans le Christ, la plus sainte, la plus noble image de ce qu’ils sont devenus.
Souffrir est un pouvoir inouï qui vous est conféré, et non une mutilation, non un échec, mais une victoire ; le corps du Christ, désormais, c’est vous.
Il faut que vous continuiez de souffrir pour entrer dans la gloire, y soulevant ceux que le Père vous a confiés.
Si votre pèlerinage terrestre est ponctué par les stations de la voie douloureuse que Jésus Lui-Même a suivie, vous savez, aussi, que cela vous permet de voguer vers le rivage de l’éternelle lumière et de la joie sans fin.
Il faut souffrir et mourir avec le Christ pour vivre avec Lui.
Les joies que vous éprouvez peuvent vous tromper, mais les croix jamais.
Elles sont si précieuses, si méritoires que votre Père Céleste ne veut pas vous en priver, mais au moment même où la peine vous frappe, paternellement et en secret,elle vous parle au cœur, Il en fait le siège et, si vous vous ouvrez à sa grâce, Il fera jaillir de vos lèvres un cri de résignation et de foi en son Amour, où éclate sa Gloire.
Si Dieu vous fait souffrir, soyez persuadés qu’il vous aime.
Il n’y aura qu’au Ciel que vous comprendrez le prix de la souffrance.
Voudriez-vous suivre un chemin autre que celui de Jésus Crucifié ?
Souvenez-vous que, sur le point d’expirer, Il jeta un grand cri : c’était pour appeler tous les hommes au pied de la Croix, pour leur dire comment on aime et comment, eux aussi, doivent pratiquer la charité et accepter la souffrance.
Toutes vos peines, croix, souffrances sont une participation au sacrifice qui lui donne la Terre et lui ouvre les Cieux.
Abandonnez-vous à Celui qui fait mourir et vivre, pour qu’il réalise en vous une œuvre de grâce.
Le mérite qui peut jaillir de vos souffrances n’est pas un bien réservé à celui qui souffre. Fruit de la charité, il vaut pour tout le corps du Christ.
Ainsi toute la souffrance, acceptée par amour, a une puissance rédemptrice.
Des âmes ont été aidées, soutenues, sauvées parce que, tel jour, quelqu’un a prié et souffert pour elles.
Si la Croix vous caresse de ses bras sanglants, soyez courageux et offrez vos peines pour les pauvres âmes délaissées, privées de tout secours et qui luttent dans les ténèbres cherchant, en vain, la clarté du phare puissant capable de les ramener au rivage.
Ainsi, au lieu de vous faire passer uniquement, d’une façon passive et sans mérite, par les purifications nécessaires pour entrer dans sa joie, en permettant, au contraire, que vous atteignent sur terre les conséquences douloureuses du péché, péchés personnels, ou péchés d’autrui..
Dieu vous offre l’occasion, par l’offrande libre de votre peine, de grandir dans son Amour et d’aider à sauver les autres :
C’est vraiment le triomphe de sa Miséricorde.
Ne soyez donc pas dans la tristesse si la souffrance est votre partage, mais qu’une grande joie habite vos cœurs, puisque vous savez d’avance que la victoire est acquise ; elle prend sa source dans le Christ ressuscité.
Vivez dans cette invincible espérance de la Résurrection, et dans la pacifiante certitude d’être associés, par la grâce, à la Vie du Christ.
Faire rayonner la joie sur terre, c’est rendre témoignage au Christ Ressuscité ; c’est éveiller en vos frères le désir d’en connaître le secret, la soif de la partager avec vous.
Myriamir
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Des questions que l'on se pose souvent sur la souffrance.
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