vers une guerre civile ?attentats aux églises aux écoles...
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vers une guerre civile ?attentats aux églises aux écoles...
QUI SONT LES GENS A QUI ON BRULE DES VOITURES ? DES MINISTRES OU DES GENS DE REVENU TRES MODESTE COMME MOI A QUI EN A BRULé LA VOITURE DANS LA NUIT DE SAMEDI A DIMANCHE DANS LE VAL D OISE DANS UNE VILLE D HABITUDE TRANQUILLE
JE DEMANCE L INSTALLATION D UN COUVRE FEU ET LA RMée FRANCAISE DANS LES BANLIEUES ET DES CONDAMNATIONS EXEMPLAIRES AVEC INDEMNISATION DES VICTIMES DEPUIS LE DEBUS DES EMEUTES ( PAR RAPPORT AUX PLAINTES DEPOSés A LA POLICE POUR VOITURES INCENDIées ET AGRESSION PAR DES JEUNES )
A Sète dans le sud du pays, deux cocktails molotovs ont été lancés contre le presbytère d'une église
Les incendiaires s'en sont pris aussi à des églises, aux écoles ( maternelles) etc...
La province la plus touchée pour la 11ème nuit de violences urbaines
Pour la première fois depuis le déclenchement des violences urbaines il y a onze jours, les incendies volontaires - dont le nombre a encore augmenté dans la nuit de dimanche à lundi - ont été plus nombreux en province qu'en région parisienne.
Outre les 982 voitures brûlées en province, dénombrées lundi matin par le directeur général de la Police nationale (DGPN) Michel Gaudin - au lieu de 554 la nuit précédente - les incendiaires s'en sont pris aussi à des églises, des locaux de police, des écoles, des entreprises, des commerces et des services publics.
Deux cocktails Molotov ont été lancés sur le presbytère de l'église de l'Ile de Thau à Sète (Hérault). L'église Saint-Edouard, de Lens, (Pas-de-Calais) a également été touchée par un engin incendiaire.
Les locaux de police n'ont pas été épargnés : un a été attaqué à Nîmes tandis qu'à Perpignan, un véhicule en feu a été projeté sur le poste de police du quartier du Moulin-à-Vent.
Un autre véhicule-bélier a été utilisé contre un poste de police de Rouen alors qu'un commissariat de Clermont-Ferrand faisait l'objet d'une tentative. Dans ce dernier cas, les pompiers ont réussi à éteindre le feu avant que le bâtiment ne soit endommagé.
Au total, 274 communes ont été touchées, a expliqué M. Gaudin en précisant que plusieurs policiers avaient été blessés. A Toulouse, les pompiers et la police ont d'ailleurs noté une agressivité plus forte que la veille.
Cinq écoles ont été visées - une maternelle à Nantes, une à Saint-Etienne, une à Allonnes (Sarthe), une à Lille et une à La Tour-du-Pin (Isère) - ainsi que des lieux culturels : une bibliothèque municipale a été incendiée à Béthancourt (Doubs) où le feu a mis en danger la structure même du bâtiment. L'annexe d'un centre socio-culturel de Schiltigheim a également été brûlée.
Parmi les entreprises ou les commerces, une menuiserie a été entièrement détruite à Grand-Charmont (Doubs). Quelques cocktails Molotov ont été lancés contre deux garages et un magasin de peinture à Perpignan. Une concession Renault à Brest et une concession Toyota à Metz ont été partiellement incendiées. A Nantes, ce sont une boulangerie et un supermarché qui ont été brûlés.
Un feu de voitures s'est propagé aussi à une usine de robots ménagers de Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire), détruisant des entrepôts de pièces produites. Les 150 salariés pourraient se retrouver au chômage technique.
Les villes les plus touchées en province, selon le DGPN, sont Saint-Etienne, Toulouse et Lille. Le sénateur-maire de Saint-Etienne Michel Thiollière (UMP-Rad), a qualifié dimanche soir d'"inexcusables" ces actes qui "touchent le plus souvent nos concitoyens les plus pauvres".
Des services publics ont également été visés. A Toulouse, les incendiaires s'en sont pris sans succès à la maison du droit et de la justice de La Reynerie et ont jeté une voiture enflammée dans l'entrée du métro.
Des départs d'incendie d'un local municipal à Fâches-Thumesnil (Nord) et d'un local sportif à Douai (Nord) ont été maîtrisés. A Nogent-sur-Oise (Oise), un départ de feu dans le local d'un centre de loisirs a été constaté.
Les six véhicules de la Poste du village de La Ville-Dieu-du-Temple (Tarn-et-Garonne) ont aussi été détruits. Ils s'ajoutent aux nombreux autobus et tramways brûlés à Nantes, Orléans, Montbéliard ou Rombas (Moselle).
Nouveau bilan record des émeutes urbaines en France
AFP 07.11.2005 - 15:28
La onzième nuit d'émeutes en France a été marquée par l'incendie de 1.408 véhicules et l'interpellation de 395 personnes, le plus lourd bilan depuis le 27 octobre et, pour la première fois, par la part majoritaire prise par la province dans ces violences.
Jean-Jacques Le Chenadec, dans le coma après avoir été victime d'une agression qui pourrait être liée aux violences urbaines vendredi soir à Stains (Seine-Saint-Denis), est décédé lundi, a annoncé sa veuve qui était reçue par le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy.
Les chiffres des violences de la nuit de dimanche à lundi ont été révélés lundi matin, au lendemain de l'appel du président de la République Jacques Chirac au rétablissement de l'ordre public, après les 1.295 véhicules incendiés et 312 personnes interpellées dans la nuit de samedi à dimanche.
La situation dans les banlieues sera débattue mardi à partir de 15H00 par les députés à l'Assemblée, en séance plénière, après une déclaration du Premier ministre Dominique de Villepin.
L'Union des organisations islamiques de France (UOIF) a appelé les jeunes musulmans concernés à "calmer leur colère, à méditer et à se conformer à la fatwa" édictée dimanche, face à ces évènements "graves et répétés".
Selon cette fatwa édictée par l'UOIF, considérée comme proche des Frères musulmans, "il est formellement interdit à tout musulman recherchant la satisfaction et la grâce divine de participer à quelque action qui frappe de façon aveugle des biens privés ou publics ou qui peut attenter à la vie d'autrui". Lundi matin, au cours d'une conférence de presse, le directeur général de la police nationale (DGPN) Michel Gaudin a précisé que la région parisienne avec 426 véhicules incendiés, dont 18 à Paris (741 la nuit précédente, dont 36 à Paris) a été moins touchée que la province où 982 véhicules ont été brûlés (554 la nuit précédente).
"La vague et l'onde de choc" de la région parisienne a gagné la province, a commenté M. Gaudin qui s'exprimait en présence du directeur général de la gendarmerie nationale (DGGN) le général Guy Parayre et du directeur de la défense et de la sécurité civile au ministère de l'Intérieur Christian de Lavernée. 274 communes ont été touchées (211), a ajouté M. Gaudin qui a annoncé que 36 policiers avaient été blessés (21).
Les villes les plus touchées en province, selon le DGPN, sont Marseille, Saint-Etienne, Toulouse et Lille. M. Gaudin a affirmé que les émeutiers ont fait preuve de "volonté anti-institutionnelle", précisant que trois écoles, deux mairies annexes et trois postes de police (Perpignan, Clermont-Ferrand et Nîmes) ont été détruits ou fortement endommagés par le feu. Parmi les policiers blessés, deux ont été la cible de tirs de grenaille à la cité de la Grande Borne à Grigny (Essonne). Le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy leur a rendu visite dès dimanche soir à l'hôpital d'Evry où des éclats de plomb leur ont été extraits. M. Sarkozy a déploré que ces tirs de grenaille visaient la tête des policiers avant de se rendre à la cité des Tarterêts à Corbeil-Essonnes où des nombreux jets de cocktails molotov ont été lancés tout au long de la soirée. Il avait auparavant visité la direction départementale de la sécurité publique de Seine-Saint-Denis, où il a souhaité que "l'ordre républicain revienne dans tous les quartiers".
"Sinon, a-t-il dit, ce sera soit l'ordre des bandes, soit l'ordre des mafias, soit un autre ordre". Des jets d'engins incendiaires ont à nouveau été relevés dans de nombreux endroits comme à la Ricamarie (Loire) où un bus a été visé. Deux églises ont par ailleurs été touchées par des engins incendiaires : celle de Saint-Edouard à Lens (Pas-de-Calais) et le presbytère de l'île de Thau à Sète (Hérault). De nombreux établissements scolaires ont été également pris pour cibles : une école maternelle à Nantes, une crèche à Saint-Maurice (Val-de-Marne), une école du quartier à Strasbourg, deux autres à Saint-Etienne.
Un bureau de police à Clermont-Ferrand a été totalement détruit tandis qu'à Perpignan, un véhicule en feu a été projeté sur le poste de police du quartier du Moulin-à-Vent. D'autres bâtiments publics ont été pris pour cibles: à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), un centre social a été ravagé tandis qu'à Trappes (Yvelines) c'est une trésorerie principale qui a été endommagée. Un entrepôt pharmaceutique de Suresnes (Hauts-de-Seine) a été touché. En début de soirée, le président Jacques Chirac était sorti de la réserve qu'il observait depuis onze jours en demandant le "rétablissement de la sécurité et de l'ordre public". M. de Villepin a annoncé "un renforcement des forces de sécurité partout sur le territoire où cela est nécessaire" et une "accélération des procédures de justice" afin notamment de "faire en sorte que les individus interpellés puissent être déférés devant les tribunaux en comparution immédiate".
REFUSONS L ISLAMISME DES JEUNES ET APPELONS L armée a l aide
Jean-Jacques Le Chenadec, l'homme de 60 ans agressé vendredi lors des violences à Stains, en Seine-Saint-Denis, est mort lundi à l'hôpital. L'information a été confirmée par la mairie de Stains
JE DEMANCE L INSTALLATION D UN COUVRE FEU ET LA RMée FRANCAISE DANS LES BANLIEUES ET DES CONDAMNATIONS EXEMPLAIRES AVEC INDEMNISATION DES VICTIMES DEPUIS LE DEBUS DES EMEUTES ( PAR RAPPORT AUX PLAINTES DEPOSés A LA POLICE POUR VOITURES INCENDIées ET AGRESSION PAR DES JEUNES )
A Sète dans le sud du pays, deux cocktails molotovs ont été lancés contre le presbytère d'une église
Les incendiaires s'en sont pris aussi à des églises, aux écoles ( maternelles) etc...
La province la plus touchée pour la 11ème nuit de violences urbaines
Pour la première fois depuis le déclenchement des violences urbaines il y a onze jours, les incendies volontaires - dont le nombre a encore augmenté dans la nuit de dimanche à lundi - ont été plus nombreux en province qu'en région parisienne.
Outre les 982 voitures brûlées en province, dénombrées lundi matin par le directeur général de la Police nationale (DGPN) Michel Gaudin - au lieu de 554 la nuit précédente - les incendiaires s'en sont pris aussi à des églises, des locaux de police, des écoles, des entreprises, des commerces et des services publics.
Deux cocktails Molotov ont été lancés sur le presbytère de l'église de l'Ile de Thau à Sète (Hérault). L'église Saint-Edouard, de Lens, (Pas-de-Calais) a également été touchée par un engin incendiaire.
Les locaux de police n'ont pas été épargnés : un a été attaqué à Nîmes tandis qu'à Perpignan, un véhicule en feu a été projeté sur le poste de police du quartier du Moulin-à-Vent.
Un autre véhicule-bélier a été utilisé contre un poste de police de Rouen alors qu'un commissariat de Clermont-Ferrand faisait l'objet d'une tentative. Dans ce dernier cas, les pompiers ont réussi à éteindre le feu avant que le bâtiment ne soit endommagé.
Au total, 274 communes ont été touchées, a expliqué M. Gaudin en précisant que plusieurs policiers avaient été blessés. A Toulouse, les pompiers et la police ont d'ailleurs noté une agressivité plus forte que la veille.
Cinq écoles ont été visées - une maternelle à Nantes, une à Saint-Etienne, une à Allonnes (Sarthe), une à Lille et une à La Tour-du-Pin (Isère) - ainsi que des lieux culturels : une bibliothèque municipale a été incendiée à Béthancourt (Doubs) où le feu a mis en danger la structure même du bâtiment. L'annexe d'un centre socio-culturel de Schiltigheim a également été brûlée.
Parmi les entreprises ou les commerces, une menuiserie a été entièrement détruite à Grand-Charmont (Doubs). Quelques cocktails Molotov ont été lancés contre deux garages et un magasin de peinture à Perpignan. Une concession Renault à Brest et une concession Toyota à Metz ont été partiellement incendiées. A Nantes, ce sont une boulangerie et un supermarché qui ont été brûlés.
Un feu de voitures s'est propagé aussi à une usine de robots ménagers de Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire), détruisant des entrepôts de pièces produites. Les 150 salariés pourraient se retrouver au chômage technique.
Les villes les plus touchées en province, selon le DGPN, sont Saint-Etienne, Toulouse et Lille. Le sénateur-maire de Saint-Etienne Michel Thiollière (UMP-Rad), a qualifié dimanche soir d'"inexcusables" ces actes qui "touchent le plus souvent nos concitoyens les plus pauvres".
Des services publics ont également été visés. A Toulouse, les incendiaires s'en sont pris sans succès à la maison du droit et de la justice de La Reynerie et ont jeté une voiture enflammée dans l'entrée du métro.
Des départs d'incendie d'un local municipal à Fâches-Thumesnil (Nord) et d'un local sportif à Douai (Nord) ont été maîtrisés. A Nogent-sur-Oise (Oise), un départ de feu dans le local d'un centre de loisirs a été constaté.
Les six véhicules de la Poste du village de La Ville-Dieu-du-Temple (Tarn-et-Garonne) ont aussi été détruits. Ils s'ajoutent aux nombreux autobus et tramways brûlés à Nantes, Orléans, Montbéliard ou Rombas (Moselle).
Nouveau bilan record des émeutes urbaines en France
AFP 07.11.2005 - 15:28
La onzième nuit d'émeutes en France a été marquée par l'incendie de 1.408 véhicules et l'interpellation de 395 personnes, le plus lourd bilan depuis le 27 octobre et, pour la première fois, par la part majoritaire prise par la province dans ces violences.
Jean-Jacques Le Chenadec, dans le coma après avoir été victime d'une agression qui pourrait être liée aux violences urbaines vendredi soir à Stains (Seine-Saint-Denis), est décédé lundi, a annoncé sa veuve qui était reçue par le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy.
Les chiffres des violences de la nuit de dimanche à lundi ont été révélés lundi matin, au lendemain de l'appel du président de la République Jacques Chirac au rétablissement de l'ordre public, après les 1.295 véhicules incendiés et 312 personnes interpellées dans la nuit de samedi à dimanche.
La situation dans les banlieues sera débattue mardi à partir de 15H00 par les députés à l'Assemblée, en séance plénière, après une déclaration du Premier ministre Dominique de Villepin.
L'Union des organisations islamiques de France (UOIF) a appelé les jeunes musulmans concernés à "calmer leur colère, à méditer et à se conformer à la fatwa" édictée dimanche, face à ces évènements "graves et répétés".
Selon cette fatwa édictée par l'UOIF, considérée comme proche des Frères musulmans, "il est formellement interdit à tout musulman recherchant la satisfaction et la grâce divine de participer à quelque action qui frappe de façon aveugle des biens privés ou publics ou qui peut attenter à la vie d'autrui". Lundi matin, au cours d'une conférence de presse, le directeur général de la police nationale (DGPN) Michel Gaudin a précisé que la région parisienne avec 426 véhicules incendiés, dont 18 à Paris (741 la nuit précédente, dont 36 à Paris) a été moins touchée que la province où 982 véhicules ont été brûlés (554 la nuit précédente).
"La vague et l'onde de choc" de la région parisienne a gagné la province, a commenté M. Gaudin qui s'exprimait en présence du directeur général de la gendarmerie nationale (DGGN) le général Guy Parayre et du directeur de la défense et de la sécurité civile au ministère de l'Intérieur Christian de Lavernée. 274 communes ont été touchées (211), a ajouté M. Gaudin qui a annoncé que 36 policiers avaient été blessés (21).
Les villes les plus touchées en province, selon le DGPN, sont Marseille, Saint-Etienne, Toulouse et Lille. M. Gaudin a affirmé que les émeutiers ont fait preuve de "volonté anti-institutionnelle", précisant que trois écoles, deux mairies annexes et trois postes de police (Perpignan, Clermont-Ferrand et Nîmes) ont été détruits ou fortement endommagés par le feu. Parmi les policiers blessés, deux ont été la cible de tirs de grenaille à la cité de la Grande Borne à Grigny (Essonne). Le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy leur a rendu visite dès dimanche soir à l'hôpital d'Evry où des éclats de plomb leur ont été extraits. M. Sarkozy a déploré que ces tirs de grenaille visaient la tête des policiers avant de se rendre à la cité des Tarterêts à Corbeil-Essonnes où des nombreux jets de cocktails molotov ont été lancés tout au long de la soirée. Il avait auparavant visité la direction départementale de la sécurité publique de Seine-Saint-Denis, où il a souhaité que "l'ordre républicain revienne dans tous les quartiers".
"Sinon, a-t-il dit, ce sera soit l'ordre des bandes, soit l'ordre des mafias, soit un autre ordre". Des jets d'engins incendiaires ont à nouveau été relevés dans de nombreux endroits comme à la Ricamarie (Loire) où un bus a été visé. Deux églises ont par ailleurs été touchées par des engins incendiaires : celle de Saint-Edouard à Lens (Pas-de-Calais) et le presbytère de l'île de Thau à Sète (Hérault). De nombreux établissements scolaires ont été également pris pour cibles : une école maternelle à Nantes, une crèche à Saint-Maurice (Val-de-Marne), une école du quartier à Strasbourg, deux autres à Saint-Etienne.
Un bureau de police à Clermont-Ferrand a été totalement détruit tandis qu'à Perpignan, un véhicule en feu a été projeté sur le poste de police du quartier du Moulin-à-Vent. D'autres bâtiments publics ont été pris pour cibles: à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), un centre social a été ravagé tandis qu'à Trappes (Yvelines) c'est une trésorerie principale qui a été endommagée. Un entrepôt pharmaceutique de Suresnes (Hauts-de-Seine) a été touché. En début de soirée, le président Jacques Chirac était sorti de la réserve qu'il observait depuis onze jours en demandant le "rétablissement de la sécurité et de l'ordre public". M. de Villepin a annoncé "un renforcement des forces de sécurité partout sur le territoire où cela est nécessaire" et une "accélération des procédures de justice" afin notamment de "faire en sorte que les individus interpellés puissent être déférés devant les tribunaux en comparution immédiate".
REFUSONS L ISLAMISME DES JEUNES ET APPELONS L armée a l aide
Jean-Jacques Le Chenadec, l'homme de 60 ans agressé vendredi lors des violences à Stains, en Seine-Saint-Denis, est mort lundi à l'hôpital. L'information a été confirmée par la mairie de Stains
nico- Invité
Re: vers une guerre civile ?attentats aux églises aux écoles...
Je suis d'accord sur le fait qu'il faut fair quelque chose.
Mais faire appel à l'armée (ce qui impliquera OBLIGATOIREMENT couvre feu et loi martiale), je ne peux l'accepter.
Demander l'intervention de l'armée, c'est accepter à bras ouverts le NOM !
Mais faire appel à l'armée (ce qui impliquera OBLIGATOIREMENT couvre feu et loi martiale), je ne peux l'accepter.
Demander l'intervention de l'armée, c'est accepter à bras ouverts le NOM !
yutar- Avec Saint Maximilien Kolbe
- Messages : 93
Inscription : 03/10/2005
re
bah oui yutar on nous pousse vers le n.o.m etc est désolant maintenant je comprend comment le 666 electronique va arriver en france
nico- Invité
re
Suite à la provocatrice visite du Ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy, sur «l'Esplanade des Cités», l'Intifada a éclaté.
Les forces colonialistes françaises d'occupation et les acteurs de l'État oppresseur, tels que les policiers, les sapeurs pompiers, la poste, les écoles, les transports en commun, doivent se retirer du prétendu «département français» 9.3
migdal info
Les forces colonialistes françaises d'occupation et les acteurs de l'État oppresseur, tels que les policiers, les sapeurs pompiers, la poste, les écoles, les transports en commun, doivent se retirer du prétendu «département français» 9.3
migdal info
nico- Invité
Re: vers une guerre civile ?attentats aux églises aux écoles...
Et voilà, une nouvelle étape a été franchie.
L'état d'urgence a été décrété en France, assorti d'une autorisation de couvre-feu.
L'état d'urgence a été décrété en France, assorti d'une autorisation de couvre-feu.
yutar- Avec Saint Maximilien Kolbe
- Messages : 93
Inscription : 03/10/2005
Re: vers une guerre civile ?attentats aux églises aux écoles...
Je ne sais pas si vous l'avez fait, mais moi j'ai écouté l'allocution de De Villepin à l'Assemblée Nationale.
Quand il a dit que le gouvernement venait de décréter (par décrêt donc) l'Etat d'Urgence, assorti de possibles couvre-feu, perquisition a n'importe quelle heure de la nuit ou du jour, assignation à résidence de ceux qui seront considérés comme "gênant", et tant d'autres choses, les députés de l'UMP se sont levés et ont applaudi comme des forcenés.
Cela me désole de voir combien les "représentants du peuple" peuvent acclamer une mesure (décrêt) pris de façon totalitaire... (je rappelle qu'un décrêt est une décision arbitraire du gouvernement, contournant le fonctionnement habituel de promulgation des lois par le Parlement.)
Plus que jamais, et encore plus si l'état d'urgence est prorogé dans 12 jours, nous avançons à grands pas vers le NOM.
Quand il a dit que le gouvernement venait de décréter (par décrêt donc) l'Etat d'Urgence, assorti de possibles couvre-feu, perquisition a n'importe quelle heure de la nuit ou du jour, assignation à résidence de ceux qui seront considérés comme "gênant", et tant d'autres choses, les députés de l'UMP se sont levés et ont applaudi comme des forcenés.
Cela me désole de voir combien les "représentants du peuple" peuvent acclamer une mesure (décrêt) pris de façon totalitaire... (je rappelle qu'un décrêt est une décision arbitraire du gouvernement, contournant le fonctionnement habituel de promulgation des lois par le Parlement.)
Plus que jamais, et encore plus si l'état d'urgence est prorogé dans 12 jours, nous avançons à grands pas vers le NOM.
yutar- Avec Saint Maximilien Kolbe
- Messages : 93
Inscription : 03/10/2005
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