***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
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***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
(message réédité par Celeste, pardon Mme Guerrero, je complète juste ici ce témoignage fort instructif pour nous tous.)
TEMOIGNAGE de Mme Gloria Constanza POLO, dentiste à Bogota, (Colombie), foudroyée le 5 mai 1995, lors d’un orage, déclarée cliniquement morte, revenue à la vie. Une vie nouvelle, par la Grâce de l’Infinie Miséricorde de Dieu.(Sur son site internet : www.gloriapolo.com en langue espagnole la totalité d’un entretien qu’elle a accordé à ’Radio Maria’ en Colombie.)
« Dieu m’a donné cette mission, il m’a dit : “Tu vas repartir (sur terre) et tu donneras ton témoignage non pas mille fois, mais mille fois mille fois. Et malheur à ceux qui ne changeront pas après avoir entendu ton témoignage, car ils seront jugés plus sévèrement, comme toi lorsque tu reviendras ici un jour ; de même pour mes oints, les prêtres, car il n’y a pas pire sourd que celui qui refuse d’entendre !”
Afin que tous ceux qui liront et entendront ce témoignage changent leur vie dés aujourd’hui, se mettant en conformité avec les COMMANDEMENTS de DIEU.
C’était à l’Université Nationale de Colombie à Bogota (le 5 mai 1995). Avec mon neveu, dentiste comme moi, nous préparions une maîtrise. Ce vendredi après-midi, mon mari nous accompagnait car nous avions des livres à prendre à la Faculté. Il pleuvait abondamment et mon neveu et moi-même, nous abritions sous un petit parapluie. Mon mari, vêtu d’un imperméable, approchait de la bibliothèque du Campus. Mon neveu et moi qui le suivions, nous sommes dirigés vers des arbres pour éviter des flaques d’eau.
A ce moment-là, nous avons été tous les deux foudroyés. Mon neveu est mort sur le coup ; il était jeune et en dépit de son jeune âge, il s’était déjà consacré à Notre Seigneur ; il avait une grande dévotion à l’Enfant-Jésus. Il portait toujours sa sainte image dans un cristal de quartz sur sa poitrine. D’après l’autopsie, la foudre serait entrée par l’image ; elle a carbonisé son cœur et est ressortie par ses pieds. Extérieurement, l’on n’apercevait aucune trace de brûlure. Pour ma part, mon corps a été calciné de façon horrible, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Ce corps que vous voyez maintenant, reconstitué, l’est par la grâce de la miséricorde divine. La foudre m’avait carbonisée, je n’avais plus de poitrine et pratiquement toute ma chair et une partie de mes côtes avaient disparu. La foudre est sortie par mon pied droit après avoir brûlé presque entièrement mon estomac, mon foie, mes reins et mes poumons. (Aujourd’hui Gloria Polo porte sur son corps, particulièrement ses jambes, les traces de ces grandes brûlures).
Je pratiquais la contraception et portais un stérilet intra-utérin en cuivre. Le cuivre étant un excellent conducteur d’électricité, carbonisa mes ovaires. Je me trouvais donc en arrêt cardiaque, sans vie, mon corps ayant des soubresauts à cause de l’électricité qu’il avait encore. Mais ceci ne concerne que la partie physique de moi-même car, alors que ma chair était brûlée, je me retrouvai à cet instant dans un très beau tunnel de lumière blanche, remplie de joie et de paix ; aucun mot ne peut décrire la grandeur de ce moment de bonheur. L’apothéose de l’instant était immense.
Je me sentais heureuse et remplie de joie, car je n’étais plus sujette à la loi de la pesanteur. A la fin du tunnel, je vis comme un soleil d’où émanait une lumière extraordinaire. Je la décrirai comme blanche pour vous en donner une certaine idée, mais en fait, aucune couleur sur terre n’est comparable à un tel éclat. J’y percevais la source de tout amour et de toute paix.
Alors que je m’élevais, je réalisais que je venais de mourir. A cet instant-là j’ai pensé à mes enfants et je me suis dit : ‘Oh, mon Dieu, mes enfants, que vont-ils penser de moi ? La maman très active que j’ai été, n’a jamais eu de temps à leur consacrer’ ! Il m’était possible de voir ma vie telle qu’elle avait été réellement, et cela m’a attristée. Je quittais la maison tous les jours pour transformer le monde et je n’avais même pas été capable de m’occuper de mes enfants.
A cet instant de vide que j’éprouvais à cause de mes enfants, je vis quelque chose de magnifique : mon corps ne faisait plus partie de l’espace et du temps. En un instant, il m’était possible d’embrasser du regard tout le monde : celui des vivants et celui des morts. J’ai pu étreindre mes grands-parents et mes parents défunts. J’ai pu serrer contre moi tout le monde, c’était un si beau moment ! Je compris alors combien j’avais été trompée en croyant à la réincarnation dont je m’étais faite l’avocate. J’avais l’habitude de “voir” partout mon grand-père et mon arrière grand-père. Mais là, ils m’embrassaient et j’étais parmi eux. En un même instant, nous nous sommes étreints ainsi qu’avec tous les êtres que j’avais connus dans ma vie.
Durant ces moments si beaux hors de mon corps, j’avais perdu la notion du temps. Mon regard avait changé : (sur terre) je faisais la différence entre celui qui était obèse, celui qui était de couleur ou disgracieux car j’avais toujours des préjugés. Hors de mon corps, je considérais les êtres de l’intérieur. Comme c’est beau de voir les gens de l’intérieur ! Je pouvais connaître leurs pensées et leurs sentiments. Je les embrassais tous en un instant tout en continuant à m’élever toujours plus haut et pleine de joie. Je compris alors que j’allais profiter d’une vue magnifique, d’un lac d’une beauté extraordinaire. Mais à ce moment-là, j’entendis la voix de mon mari qui pleurait et m’appelait en sanglotant : “Gloria, je t’en prie, ne pars pas ! Gloria, reviens ! N’abandonne pas les enfants, Gloria”. Je l’ai donc regardé et non seulement je l’ai vu mais j’ai ressenti son profond chagrin. Et le Seigneur m’a permis de revenir bien que ce n’était pas mon souhait. J’éprouvais une si grande joie, tant de paix et de bonheur ! Et voilà que je descends désormais lentement vers mon corps où je gisais sans vie. Il reposait sur une civière, au centre médical du Campus. Je pouvais voir les médecins qui me faisaient des électrochocs et tentaient de me ranimer suite à l’arrêt cardiaque que j’avais fait. Nous sommes restés là pendant deux heures et demie. D’abord, ces docteurs ne pouvaient pas nous manipuler car nos corps étaient encore trop conducteurs d’électricité ; ensuite, lorsqu’ils le purent, ils s’efforcèrent de nous ramener à la vie.
Je me posai près de ma tête et je ressentis comme un choc qui m’entraîna violemment à l’intérieur de mon corps. Ce fut douloureux car cela faisait des étincelles de toutes parts. Je me vis intégrer quelque chose de si étroit. Mes chairs meurtries et brûlées me faisaient mal. Elles dégageaient de la fumée et de la vapeur.
Mais la blessure la plus horrible venait de ma vanité. J’étais une femme du monde, un cadre, une intellectuelle, une étudiante esclave de son corps, de la beauté et de la mode. Je faisais de la gymnastique quatre heures par jour, pour avoir un corps svelte : massages, thérapies, régimes en tous genres, etc… C’était ma vie, une routine qui m’enchaînait au culte de la beauté du corps. Je me disais : “J’ai de beaux seins, autant les montrer. Il n’y a aucune raison de les cacher”. De même pour mes jambes, car je croyais que j’avais de belles jambes et une belle poitrine ! Mais en un instant, j’avais vu avec horreur que j’avais passé ma vie à prendre soin de mon corps. L’amour de mon corps avait été le centre de mon existence. Or, maintenant, je n’avais plus de corps, plus de poitrine, rien que d’horribles trous. Mon sein gauche en particulier avait disparu. Mais le pire, c’était mes jambes qui n’étaient que plaies béantes sans chair, complètement brûlées et calcinées. De là, l’on me transporta à l’hôpital où l’on me dirigea d’urgence au bloc opératoire et l’on commença à racler et nettoyer les brûlures.
Alors que j’étais sous anesthésie, voilà que je sors à nouveau de mon corps et que je vois ce que les chirurgiens sont en train de me faire. J’étais inquiète pour mes jambes. Tout à coup je passai par un moment horrible : toute ma vie, je n’avais été qu’une catholique “au régime”.
Ma relation avec le Seigneur ne tenait qu’à l’Eucharistie du Dimanche, pas plus de 25 minutes, là où l’homélie du prêtre était la plus brève, car je ne pouvais supporter davantage. Telle était ma relation avec le Seigneur. Tous les courants (de pensée) du monde m’avaient influencée telle une girouette.
Un jour, alors que j’étais déjà en Maîtrise dentaire, j’avais entendu un prêtre affirmer que l’enfer comme les démons, n’existait pas. Or c’était la seule chose qui me retenait encore dans la fréquentation de l’Eglise. En entendant une telle affirmation, je me suis dit que nous irions tous au Paradis, indépendamment de ce que nous sommes et je m’éloignais complètement du Seigneur.
Mes conversations devinrent malsaines car je ne pouvais plus endiguer le péché. Je commençais à dire à tout le monde que le diable n’existait pas et que cela avait été une invention des prêtres, que c’était de la manipulation… Lorsque je sortais avec mes camarades de l’université, je leur disais que Dieu n’existait pas et que nous étions le produit de l’évolution. Mais à cet instant, là, dans la salle d’opération, j’étais vraiment terrifiée ! Je voyais des démons venir vers moi car j’étais leur salaire. Des murs du bloc opératoire, je vis surgir beaucoup de monde. Au premier abord, ils semblaient normaux, mais en fait, ils avaient des visages haineux, affreux. A ce moment-là, par une certaine perspicacité qui me fut donnée, je réalisais que j’appartenais à chacun d’entre eux. Je compris que le péché n’était pas gratuit et que le mensonge le plus infâme du démon, c’était de faire croire qu’il n’existait pas. Je les voyais tous venir me chercher. Imaginez ma frayeur ! Mon esprit intellectuel et scientifique ne m’était d’aucun secours. Je voulus regagner l’intérieur de mon corps, mais celui-ci ne me laissait pas entrer. Je courus alors vers l’extérieur de la pièce, espérant me cacher quelque part dans le couloir de l’hôpital mais en fait je finis par sauter dans le vide.
Je tombais dans un tunnel qui me tirait vers le bas. Au début, il y avait de la lumière et cela ressemblait à une ruche d’abeilles. Il y avait beaucoup de monde. Mais bientôt je commençais à descendre en passant par des tunnels complètement sombres. Il n’y a aucune commune mesure entre l’obscurité de cet endroit et l’obscurité la plus totale de la terre que l’on pourrait comparer à la lumière astrale. Cette obscurité-là suscitait la souffrance, l’horreur et la honte. L’odeur était infecte. Quand enfin j’eus fini de descendre le long des ces tunnels, j’atterris lamentablement sur une plateforme. Moi qui avais l’habitude de clamer que j’avais une volonté d’acier et que rien n’était de trop pour moi… là, ma volonté ne me servait de rien ; je ne parvenais pas à remonter. A un certain point, je vis au sol comme un gigantesque gouffre s’ouvrir et je vis un vide immense, un abîme sans fond. Le plus horrible concernant ce trou béant était que l’on y ressentait l’absence absolue de l’amour de Dieu et ce, sans le moindre espoir. Le trou m’aspira et j’étais terrifiée. Je savais que si j’allais là-dedans, mon âme en mourrait. J’étais tirée vers cette horreur, on m’avait saisie par les pieds. Mon corps entrait désormais dans ce trou et ce fut un moment d’extrême souffrance et d’épouvante. Mon athéisme me quitta et je commençais à crier vers les âmes du Purgatoire pour avoir de l’aide.Tandis que je hurlais, je ressentis une douleur très intense car il me fut donné de comprendre que des milliers et des milliers d’êtres humains se trouvaient-là, surtout des jeunes. C’est avec terreur que j’entendais des grincements de dents, d’horribles cris et des gémissements qui m’ébranlèrent jusqu’au tréfonds de mon être. Il m’a fallu des années avant de m’en remettre car chaque fois que je me souvenais de ces instants, je pleurais en pensant à leurs indicibles souffrances. Je compris que c’est là où vont les âmes des suicidés qui, en un instant de désespoir, se retrouvent au milieu de ces horreurs. Mais le tourment le plus terrible, c’était l’absence de Dieu. On ne pouvait pas sentir Dieu.
Dans ces tourments-là, je me mis à crier : “Qui a pu commettre une erreur pareille ? Je suis presque une sainte : je n’ai jamais volé, je n’ai jamais tué, j’ai donné de la nourriture aux pauvres, j’ai pratiqué des soins dentaires gratuits à des nécessiteux ; qu’est-ce que je fais ici ? J’allais à la messe le dimanche… je n’ai pas manqué la messe du dimanche plus de cinq fois dans ma vie ! Alors pourquoi suis-je ici ? Je suis catholique, je vous en prie, je suis catholique, sortez-moi d’ici !”. Tandis que je criais que j’étais catholique, j’aperçus une faible lueur. Et je peux vous assurer qu’en cet endroit, la moindre lueur est le plus beau des cadeaux. Je vis des marches au-dessus du trou et je reconnus mon père, décédé cinq ans auparavant. Toute proche et quatre marches plus haut, se tenait ma mère en prière, baignée par davantage de lumière.
Les apercevoir, me remplit de joie et je leur dis : “Papa, Maman, sortez-moi de là ! Je vous en supplie, sortez-moi de là ! Quand ils se penchèrent vers ce trou, vous auriez du voir leur immense chagrin. A cet endroit-là, vous pouvez percevoir les sentiments des autres et éprouver leur peine. Mon père se mit à pleurer en tenant la tête dans ses mains : ‘Ma fille, ma fille’ ! disait-il. Maman priait et je compris qu’ils ne pouvaient me sortir de là ; ma peine s’accrut de la leur puisqu’ils partageaient la mienne. Aussi, je me mis à crier à nouveau : ‘Je vous en supplie, sortez-moi d’ici ! Je suis catholique ! Qui a pu commettre une telle erreur ? Je vous en supplie, sortez-moi de là” ! Cette fois, une voix se fit entendre, une voix douce qui fit trembler mon âme. Tout fut alors inondé d’amour et de paix et toutes ces sombres créatures qui m’entouraient, s’échappèrent car elles ne peuvent faire face à l’Amour. Cette voix précieuse me dit : “Très bien, puisque tu es catholique, dis-moi quels sont les commandements de Dieu ”.
Veuillez excuser la longueur de ce texte,
divisé ici en plusieurs parties,
mais il est utile à chacun de bien le lire jusqu'au bout.
divisé ici en plusieurs parties,
mais il est utile à chacun de bien le lire jusqu'au bout.
TEMOIGNAGE de Mme Gloria Constanza POLO, dentiste à Bogota, (Colombie), foudroyée le 5 mai 1995, lors d’un orage, déclarée cliniquement morte, revenue à la vie. Une vie nouvelle, par la Grâce de l’Infinie Miséricorde de Dieu.(Sur son site internet : www.gloriapolo.com en langue espagnole la totalité d’un entretien qu’elle a accordé à ’Radio Maria’ en Colombie.)
« Dieu m’a donné cette mission, il m’a dit : “Tu vas repartir (sur terre) et tu donneras ton témoignage non pas mille fois, mais mille fois mille fois. Et malheur à ceux qui ne changeront pas après avoir entendu ton témoignage, car ils seront jugés plus sévèrement, comme toi lorsque tu reviendras ici un jour ; de même pour mes oints, les prêtres, car il n’y a pas pire sourd que celui qui refuse d’entendre !”
Afin que tous ceux qui liront et entendront ce témoignage changent leur vie dés aujourd’hui, se mettant en conformité avec les COMMANDEMENTS de DIEU.
QUE LE SEIGNEUR NOUS CONCEDE A TOUS LA GRACE DE LA CONVERSION ET DU SALUT.
******************************************************
« Frères et sœurs, c’est merveilleux pour moi de partager avec vous en cet instant, l’ineffable grâce que m’a donnée Notre Seigneur, il y a maintenant plus de dix ans.C’était à l’Université Nationale de Colombie à Bogota (le 5 mai 1995). Avec mon neveu, dentiste comme moi, nous préparions une maîtrise. Ce vendredi après-midi, mon mari nous accompagnait car nous avions des livres à prendre à la Faculté. Il pleuvait abondamment et mon neveu et moi-même, nous abritions sous un petit parapluie. Mon mari, vêtu d’un imperméable, approchait de la bibliothèque du Campus. Mon neveu et moi qui le suivions, nous sommes dirigés vers des arbres pour éviter des flaques d’eau.
A ce moment-là, nous avons été tous les deux foudroyés. Mon neveu est mort sur le coup ; il était jeune et en dépit de son jeune âge, il s’était déjà consacré à Notre Seigneur ; il avait une grande dévotion à l’Enfant-Jésus. Il portait toujours sa sainte image dans un cristal de quartz sur sa poitrine. D’après l’autopsie, la foudre serait entrée par l’image ; elle a carbonisé son cœur et est ressortie par ses pieds. Extérieurement, l’on n’apercevait aucune trace de brûlure. Pour ma part, mon corps a été calciné de façon horrible, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Ce corps que vous voyez maintenant, reconstitué, l’est par la grâce de la miséricorde divine. La foudre m’avait carbonisée, je n’avais plus de poitrine et pratiquement toute ma chair et une partie de mes côtes avaient disparu. La foudre est sortie par mon pied droit après avoir brûlé presque entièrement mon estomac, mon foie, mes reins et mes poumons. (Aujourd’hui Gloria Polo porte sur son corps, particulièrement ses jambes, les traces de ces grandes brûlures).
Je pratiquais la contraception et portais un stérilet intra-utérin en cuivre. Le cuivre étant un excellent conducteur d’électricité, carbonisa mes ovaires. Je me trouvais donc en arrêt cardiaque, sans vie, mon corps ayant des soubresauts à cause de l’électricité qu’il avait encore. Mais ceci ne concerne que la partie physique de moi-même car, alors que ma chair était brûlée, je me retrouvai à cet instant dans un très beau tunnel de lumière blanche, remplie de joie et de paix ; aucun mot ne peut décrire la grandeur de ce moment de bonheur. L’apothéose de l’instant était immense.
Je me sentais heureuse et remplie de joie, car je n’étais plus sujette à la loi de la pesanteur. A la fin du tunnel, je vis comme un soleil d’où émanait une lumière extraordinaire. Je la décrirai comme blanche pour vous en donner une certaine idée, mais en fait, aucune couleur sur terre n’est comparable à un tel éclat. J’y percevais la source de tout amour et de toute paix.
Alors que je m’élevais, je réalisais que je venais de mourir. A cet instant-là j’ai pensé à mes enfants et je me suis dit : ‘Oh, mon Dieu, mes enfants, que vont-ils penser de moi ? La maman très active que j’ai été, n’a jamais eu de temps à leur consacrer’ ! Il m’était possible de voir ma vie telle qu’elle avait été réellement, et cela m’a attristée. Je quittais la maison tous les jours pour transformer le monde et je n’avais même pas été capable de m’occuper de mes enfants.
A cet instant de vide que j’éprouvais à cause de mes enfants, je vis quelque chose de magnifique : mon corps ne faisait plus partie de l’espace et du temps. En un instant, il m’était possible d’embrasser du regard tout le monde : celui des vivants et celui des morts. J’ai pu étreindre mes grands-parents et mes parents défunts. J’ai pu serrer contre moi tout le monde, c’était un si beau moment ! Je compris alors combien j’avais été trompée en croyant à la réincarnation dont je m’étais faite l’avocate. J’avais l’habitude de “voir” partout mon grand-père et mon arrière grand-père. Mais là, ils m’embrassaient et j’étais parmi eux. En un même instant, nous nous sommes étreints ainsi qu’avec tous les êtres que j’avais connus dans ma vie.
Durant ces moments si beaux hors de mon corps, j’avais perdu la notion du temps. Mon regard avait changé : (sur terre) je faisais la différence entre celui qui était obèse, celui qui était de couleur ou disgracieux car j’avais toujours des préjugés. Hors de mon corps, je considérais les êtres de l’intérieur. Comme c’est beau de voir les gens de l’intérieur ! Je pouvais connaître leurs pensées et leurs sentiments. Je les embrassais tous en un instant tout en continuant à m’élever toujours plus haut et pleine de joie. Je compris alors que j’allais profiter d’une vue magnifique, d’un lac d’une beauté extraordinaire. Mais à ce moment-là, j’entendis la voix de mon mari qui pleurait et m’appelait en sanglotant : “Gloria, je t’en prie, ne pars pas ! Gloria, reviens ! N’abandonne pas les enfants, Gloria”. Je l’ai donc regardé et non seulement je l’ai vu mais j’ai ressenti son profond chagrin. Et le Seigneur m’a permis de revenir bien que ce n’était pas mon souhait. J’éprouvais une si grande joie, tant de paix et de bonheur ! Et voilà que je descends désormais lentement vers mon corps où je gisais sans vie. Il reposait sur une civière, au centre médical du Campus. Je pouvais voir les médecins qui me faisaient des électrochocs et tentaient de me ranimer suite à l’arrêt cardiaque que j’avais fait. Nous sommes restés là pendant deux heures et demie. D’abord, ces docteurs ne pouvaient pas nous manipuler car nos corps étaient encore trop conducteurs d’électricité ; ensuite, lorsqu’ils le purent, ils s’efforcèrent de nous ramener à la vie.
Je me posai près de ma tête et je ressentis comme un choc qui m’entraîna violemment à l’intérieur de mon corps. Ce fut douloureux car cela faisait des étincelles de toutes parts. Je me vis intégrer quelque chose de si étroit. Mes chairs meurtries et brûlées me faisaient mal. Elles dégageaient de la fumée et de la vapeur.
Mais la blessure la plus horrible venait de ma vanité. J’étais une femme du monde, un cadre, une intellectuelle, une étudiante esclave de son corps, de la beauté et de la mode. Je faisais de la gymnastique quatre heures par jour, pour avoir un corps svelte : massages, thérapies, régimes en tous genres, etc… C’était ma vie, une routine qui m’enchaînait au culte de la beauté du corps. Je me disais : “J’ai de beaux seins, autant les montrer. Il n’y a aucune raison de les cacher”. De même pour mes jambes, car je croyais que j’avais de belles jambes et une belle poitrine ! Mais en un instant, j’avais vu avec horreur que j’avais passé ma vie à prendre soin de mon corps. L’amour de mon corps avait été le centre de mon existence. Or, maintenant, je n’avais plus de corps, plus de poitrine, rien que d’horribles trous. Mon sein gauche en particulier avait disparu. Mais le pire, c’était mes jambes qui n’étaient que plaies béantes sans chair, complètement brûlées et calcinées. De là, l’on me transporta à l’hôpital où l’on me dirigea d’urgence au bloc opératoire et l’on commença à racler et nettoyer les brûlures.
Alors que j’étais sous anesthésie, voilà que je sors à nouveau de mon corps et que je vois ce que les chirurgiens sont en train de me faire. J’étais inquiète pour mes jambes. Tout à coup je passai par un moment horrible : toute ma vie, je n’avais été qu’une catholique “au régime”.
Ma relation avec le Seigneur ne tenait qu’à l’Eucharistie du Dimanche, pas plus de 25 minutes, là où l’homélie du prêtre était la plus brève, car je ne pouvais supporter davantage. Telle était ma relation avec le Seigneur. Tous les courants (de pensée) du monde m’avaient influencée telle une girouette.
Un jour, alors que j’étais déjà en Maîtrise dentaire, j’avais entendu un prêtre affirmer que l’enfer comme les démons, n’existait pas. Or c’était la seule chose qui me retenait encore dans la fréquentation de l’Eglise. En entendant une telle affirmation, je me suis dit que nous irions tous au Paradis, indépendamment de ce que nous sommes et je m’éloignais complètement du Seigneur.
Mes conversations devinrent malsaines car je ne pouvais plus endiguer le péché. Je commençais à dire à tout le monde que le diable n’existait pas et que cela avait été une invention des prêtres, que c’était de la manipulation… Lorsque je sortais avec mes camarades de l’université, je leur disais que Dieu n’existait pas et que nous étions le produit de l’évolution. Mais à cet instant, là, dans la salle d’opération, j’étais vraiment terrifiée ! Je voyais des démons venir vers moi car j’étais leur salaire. Des murs du bloc opératoire, je vis surgir beaucoup de monde. Au premier abord, ils semblaient normaux, mais en fait, ils avaient des visages haineux, affreux. A ce moment-là, par une certaine perspicacité qui me fut donnée, je réalisais que j’appartenais à chacun d’entre eux. Je compris que le péché n’était pas gratuit et que le mensonge le plus infâme du démon, c’était de faire croire qu’il n’existait pas. Je les voyais tous venir me chercher. Imaginez ma frayeur ! Mon esprit intellectuel et scientifique ne m’était d’aucun secours. Je voulus regagner l’intérieur de mon corps, mais celui-ci ne me laissait pas entrer. Je courus alors vers l’extérieur de la pièce, espérant me cacher quelque part dans le couloir de l’hôpital mais en fait je finis par sauter dans le vide.
Je tombais dans un tunnel qui me tirait vers le bas. Au début, il y avait de la lumière et cela ressemblait à une ruche d’abeilles. Il y avait beaucoup de monde. Mais bientôt je commençais à descendre en passant par des tunnels complètement sombres. Il n’y a aucune commune mesure entre l’obscurité de cet endroit et l’obscurité la plus totale de la terre que l’on pourrait comparer à la lumière astrale. Cette obscurité-là suscitait la souffrance, l’horreur et la honte. L’odeur était infecte. Quand enfin j’eus fini de descendre le long des ces tunnels, j’atterris lamentablement sur une plateforme. Moi qui avais l’habitude de clamer que j’avais une volonté d’acier et que rien n’était de trop pour moi… là, ma volonté ne me servait de rien ; je ne parvenais pas à remonter. A un certain point, je vis au sol comme un gigantesque gouffre s’ouvrir et je vis un vide immense, un abîme sans fond. Le plus horrible concernant ce trou béant était que l’on y ressentait l’absence absolue de l’amour de Dieu et ce, sans le moindre espoir. Le trou m’aspira et j’étais terrifiée. Je savais que si j’allais là-dedans, mon âme en mourrait. J’étais tirée vers cette horreur, on m’avait saisie par les pieds. Mon corps entrait désormais dans ce trou et ce fut un moment d’extrême souffrance et d’épouvante. Mon athéisme me quitta et je commençais à crier vers les âmes du Purgatoire pour avoir de l’aide.Tandis que je hurlais, je ressentis une douleur très intense car il me fut donné de comprendre que des milliers et des milliers d’êtres humains se trouvaient-là, surtout des jeunes. C’est avec terreur que j’entendais des grincements de dents, d’horribles cris et des gémissements qui m’ébranlèrent jusqu’au tréfonds de mon être. Il m’a fallu des années avant de m’en remettre car chaque fois que je me souvenais de ces instants, je pleurais en pensant à leurs indicibles souffrances. Je compris que c’est là où vont les âmes des suicidés qui, en un instant de désespoir, se retrouvent au milieu de ces horreurs. Mais le tourment le plus terrible, c’était l’absence de Dieu. On ne pouvait pas sentir Dieu.
Dans ces tourments-là, je me mis à crier : “Qui a pu commettre une erreur pareille ? Je suis presque une sainte : je n’ai jamais volé, je n’ai jamais tué, j’ai donné de la nourriture aux pauvres, j’ai pratiqué des soins dentaires gratuits à des nécessiteux ; qu’est-ce que je fais ici ? J’allais à la messe le dimanche… je n’ai pas manqué la messe du dimanche plus de cinq fois dans ma vie ! Alors pourquoi suis-je ici ? Je suis catholique, je vous en prie, je suis catholique, sortez-moi d’ici !”. Tandis que je criais que j’étais catholique, j’aperçus une faible lueur. Et je peux vous assurer qu’en cet endroit, la moindre lueur est le plus beau des cadeaux. Je vis des marches au-dessus du trou et je reconnus mon père, décédé cinq ans auparavant. Toute proche et quatre marches plus haut, se tenait ma mère en prière, baignée par davantage de lumière.
Les apercevoir, me remplit de joie et je leur dis : “Papa, Maman, sortez-moi de là ! Je vous en supplie, sortez-moi de là ! Quand ils se penchèrent vers ce trou, vous auriez du voir leur immense chagrin. A cet endroit-là, vous pouvez percevoir les sentiments des autres et éprouver leur peine. Mon père se mit à pleurer en tenant la tête dans ses mains : ‘Ma fille, ma fille’ ! disait-il. Maman priait et je compris qu’ils ne pouvaient me sortir de là ; ma peine s’accrut de la leur puisqu’ils partageaient la mienne. Aussi, je me mis à crier à nouveau : ‘Je vous en supplie, sortez-moi d’ici ! Je suis catholique ! Qui a pu commettre une telle erreur ? Je vous en supplie, sortez-moi de là” ! Cette fois, une voix se fit entendre, une voix douce qui fit trembler mon âme. Tout fut alors inondé d’amour et de paix et toutes ces sombres créatures qui m’entouraient, s’échappèrent car elles ne peuvent faire face à l’Amour. Cette voix précieuse me dit : “Très bien, puisque tu es catholique, dis-moi quels sont les commandements de Dieu ”.
Fabienne Guerrero- Avec Saint Joseph
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Inscription : 27/02/2007
Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
2 ) LA SUITE du témoignage de Gloria Polo
En voilà un coup manqué de ma part ! Je savais qu’il y avait dix commandements, un point c’est tout. Que faire ? Maman me parlait toujours du premier commandement d’amour. Je n’avais qu’à répéter ce qu’elle me disait. Je pensais pouvoir improviser et masquer ainsi mon ignorance des autres (commandements). Je croyais pouvoir m’en tirer, comme sur terre où je trouvais toujours une bonne excuse ; et je me justifiais en me défendant pour masquer mon ignorance.
Je dis : ‘Tu aimeras le Seigneur ton Dieu par-dessus tout et ton prochain comme toi-même’. J’entendis alors : “Très bien, les as-tu aimés ?” Je répondis :“Oui, je les ai aimés, je les ai aimés, je les ai aimés !” Et il me fut répondu : “Non. Tu n’as pas aimé le Seigneur ton Dieu par-dessus tout et encore moins ton prochain comme toi-même. Tu t’es créée un dieu que tu ajustais à ta vie et tu t’en servais seulement en cas de besoin désespéré. Tu te prosternais devant lui lorsque tu étais pauvre, quand ta famille était humble et que tu voulais aller à l’université. A ces moments-là, tu priais souvent et tu t’agenouillais pendant de longues heures pour supplier ton dieu de te sortir de la misère ; pour qu’il t’accorde le diplôme qui te permettrait de devenir quelqu’un. Chaque fois que tu avais besoin d’argent, tu récitais le chapelet. Voilà quelle était ta relation avec le Seigneur.”
Oui, je dois reconnaître que je prenais le chapelet et j’attendais de l’argent en retour, telle était ma relation avec le Seigneur. Il me fut donné de voir qu’aussitôt le diplôme en poche et la notoriété obtenue, je n’ai pas eu le moindre sentiment d’amour envers le Seigneur.
Etre reconnaissante : non, jamais ! Lorsque j’ouvrais les yeux le matin, je n’avais jamais un merci pour le jour nouveau que le Seigneur me donnait à vivre, je ne le remerciais jamais pour ma santé, pour la vie de mes enfants, pour le toit qu’il m’avait donné. C’était l’ingratitude la plus totale. Je n’avais pas de compassion pour les nécessiteux ! “En fait, tu plaçais le Seigneur si bas que tu avais plus de confiance dans les augures de Mercure et Vénus. Tu étais aveuglée par l’astrologie, clamant que les étoiles dirigeaient ta vie ! Tu vagabondais vers toutes les doctrines du monde. Tu croyais que tu allais mourir pour renaître encore ! Et tu as oublié la miséricorde. Tu as oublié que tu as été rachetée par le Sang de Dieu !
”On me mit à l’épreuve avec les dix commandements. On me montra que je prétendais aimer Dieu avec mes mots mais qu’en réalité, c’était Satan que j’aimais. Ainsi, un jour, une femme était entrée dans mon cabinet dentaire pour m’offrir ses services de magie et je lui avais dit : “je n’y crois pas, mais laissez ces porte-bonheur ici au cas où çà marcherait. ” J’avais remisé dans un coin, un fer à cheval et un cactus, censés éloigner les mauvaises énergies.
Comme tout cela était honteux ! Ce fut un examen de ma vie à partir des dix commandements. Il me fut montré quel avait été mon comportement vis-à-vis de mon prochain. On me fit voir comment je prétendais aimer Dieu alors même que j’avais l’habitude de critiquer tout le monde, de pointer mon doigt sur chacun, moi la très sainte Gloria ! On me montra aussi combien j’étais envieuse et ingrate ! Je n’avais jamais éprouvé de reconnaissance envers mes parents qui m’avaient donné leur amour et avaient fait tant de sacrifices pour m’éduquer et m’envoyer à l’université. Dès l’obtention de mon diplôme, eux aussi devinrent inférieurs à moi ; j’avais même honte de ma mère en raison de sa pauvreté, de sa simplicité et de son humilité.
En ce qui concerne mon comportement en tant qu’épouse, il me fut montré que je me plaignais tout le temps, du matin au soir. Si mon mari disait “bonjour”, je répliquais : “Pourquoi ce jour serait-il bon alors qu’il pleut dehors.” Je me plaignais aussi continuellement de mes enfants. Il me fut montré que je n’avais jamais aimé ni eu compassion pour mes frères et sœurs de la terre. Et le Seigneur me dit : “Tu n’as jamais eu de considération pour les malades ; dans leur solitude, tu ne leur as jamais tenu compagnie. Tu n’as pas eu compassion des enfants orphelins, de tous ces enfants malheureux.” J’avais un cœur de pierre dans une coquille de noix. Sur cette épreuve des dix commandements, je n’avais pas une demi réponse correcte.
C’était terrible, dévastateur ! J’étais totalement bouleversée. Et je me disais : Au moins on ne pourra pas me blâmer d’avoir tué quelqu’un !
Par exemple, j’achetais des provisions pour les nécessiteux ; ce n’était pas par amour, mais plutôt pour paraître généreuse, et pour le plaisir que j’avais à manipuler ceux qui étaient dans le besoin. Je leur disais : “Prenez ces provisions et allez à ma place à la réunion des parents et des professeurs parce que je n’ai pas le temps d’y assister.” En outre, j’aimais être entourée de personnes qui m’encensaient. Je m’étais faite une certaine image de moi-même.
Ton dieu c’était l’argent, m’a-t-on dit. Tu as été condamnée à cause de l’argent : C’est pour cette raison que tu as sombré dans l’abîme et que tu t’es éloignée de ton Seigneur. Nous avions été effectivement riches, mais à la fin nous étions devenus insolvables, sans le sou et criblés de dettes. Pour toute réponse, je criais : “Quel argent ? Sur terre, nous avons laissé beaucoup de dettes !”
Lorsqu’on en vint au second commandement, je vis avec tristesse que dans mon enfance, j’avais vite compris que le mensonge était un excellent moyen d’éviter les sévères punitions de Maman. Je commençais main dans la main avec le père du mensonge (Satan) et je devins menteuse. Mes péchés augmentaient comme mes mensonges. J’avais remarqué combien Maman respectait le Seigneur et Son Nom Très Saint ; je vis là une arme pour moi et je me mis à blasphémer par Son Nom. Je disais : “Maman, je jure sur Dieu que…”. Et ainsi, j’évitais les punitions. Imaginez mes mensonges, impliquant le Nom Très Saint du Seigneur…
Et remarquez, frères et sœurs que les paroles ne sont jamais vaines car lorsque ma mère ne me croyait pas, j’avais pris l’habitude de lui dire : “Maman, si je mens, que l’éclair me frappe ici et maintenant…” Si les mots se sont envolés avec le temps, il se trouve que la foudre m’a bel et bien frappée ; elle m’a carbonisée et c’est grâce à la Miséricorde Divine que je suis ici maintenant.
Il me fut montré comment, moi qui me disais catholique, je ne respectais aucune de mes promesses et combien j’utilisais futilement le nom de Dieu.
Je fus surprise de voir qu’en la présence du Seigneur, toutes ces horribles créatures qui m’entouraient, se prosternaient en adoration. Je vis la Vierge Marie aux pieds du Seigneur qui priait et intercédait pour moi.
En ce qui concerne le respect du Jour du Seigneur, j’étais pitoyable et j’en éprouvais une douleur intense. La voix me disait que le dimanche, je passais quatre ou cinq heures à m’occuper de mon corps ; je n’avais pas même dix minutes d’action de grâce ou de prières à consacrer au Seigneur. Si je commençais un chapelet, je me disais : ‘Je peux le faire pendant la publicité, avant le feuilleton’. Mon ingratitude vis-à-vis du Seigneur me fut reprochée. Lorsque je ne voulais pas assister à la messe, je disais à maman : ‘Dieu est partout, pourquoi devrais-je y aller ?’… La voix me rappela également que Dieu veillait sur moi nuit et jour et qu’en retour, moi je ne le priais pas du tout ; et le Dimanche, je ne le remerciais pas et je ne lui manifestais pas ma gratitude ou mon amour. Par contre, je prenais soin de mon corps, j’en étais esclave et j’oubliais totalement que j’avais une âme et que je devais l’alimenter. Mais jamais je ne la nourrissais de la Parole de Dieu, car je disais que celui qui lit la Parole de Dieu, devient fou.
En voilà un coup manqué de ma part ! Je savais qu’il y avait dix commandements, un point c’est tout. Que faire ? Maman me parlait toujours du premier commandement d’amour. Je n’avais qu’à répéter ce qu’elle me disait. Je pensais pouvoir improviser et masquer ainsi mon ignorance des autres (commandements). Je croyais pouvoir m’en tirer, comme sur terre où je trouvais toujours une bonne excuse ; et je me justifiais en me défendant pour masquer mon ignorance.
Je dis : ‘Tu aimeras le Seigneur ton Dieu par-dessus tout et ton prochain comme toi-même’. J’entendis alors : “Très bien, les as-tu aimés ?” Je répondis :“Oui, je les ai aimés, je les ai aimés, je les ai aimés !” Et il me fut répondu : “Non. Tu n’as pas aimé le Seigneur ton Dieu par-dessus tout et encore moins ton prochain comme toi-même. Tu t’es créée un dieu que tu ajustais à ta vie et tu t’en servais seulement en cas de besoin désespéré. Tu te prosternais devant lui lorsque tu étais pauvre, quand ta famille était humble et que tu voulais aller à l’université. A ces moments-là, tu priais souvent et tu t’agenouillais pendant de longues heures pour supplier ton dieu de te sortir de la misère ; pour qu’il t’accorde le diplôme qui te permettrait de devenir quelqu’un. Chaque fois que tu avais besoin d’argent, tu récitais le chapelet. Voilà quelle était ta relation avec le Seigneur.”
Oui, je dois reconnaître que je prenais le chapelet et j’attendais de l’argent en retour, telle était ma relation avec le Seigneur. Il me fut donné de voir qu’aussitôt le diplôme en poche et la notoriété obtenue, je n’ai pas eu le moindre sentiment d’amour envers le Seigneur.
Etre reconnaissante : non, jamais ! Lorsque j’ouvrais les yeux le matin, je n’avais jamais un merci pour le jour nouveau que le Seigneur me donnait à vivre, je ne le remerciais jamais pour ma santé, pour la vie de mes enfants, pour le toit qu’il m’avait donné. C’était l’ingratitude la plus totale. Je n’avais pas de compassion pour les nécessiteux ! “En fait, tu plaçais le Seigneur si bas que tu avais plus de confiance dans les augures de Mercure et Vénus. Tu étais aveuglée par l’astrologie, clamant que les étoiles dirigeaient ta vie ! Tu vagabondais vers toutes les doctrines du monde. Tu croyais que tu allais mourir pour renaître encore ! Et tu as oublié la miséricorde. Tu as oublié que tu as été rachetée par le Sang de Dieu !
”On me mit à l’épreuve avec les dix commandements. On me montra que je prétendais aimer Dieu avec mes mots mais qu’en réalité, c’était Satan que j’aimais. Ainsi, un jour, une femme était entrée dans mon cabinet dentaire pour m’offrir ses services de magie et je lui avais dit : “je n’y crois pas, mais laissez ces porte-bonheur ici au cas où çà marcherait. ” J’avais remisé dans un coin, un fer à cheval et un cactus, censés éloigner les mauvaises énergies.
Comme tout cela était honteux ! Ce fut un examen de ma vie à partir des dix commandements. Il me fut montré quel avait été mon comportement vis-à-vis de mon prochain. On me fit voir comment je prétendais aimer Dieu alors même que j’avais l’habitude de critiquer tout le monde, de pointer mon doigt sur chacun, moi la très sainte Gloria ! On me montra aussi combien j’étais envieuse et ingrate ! Je n’avais jamais éprouvé de reconnaissance envers mes parents qui m’avaient donné leur amour et avaient fait tant de sacrifices pour m’éduquer et m’envoyer à l’université. Dès l’obtention de mon diplôme, eux aussi devinrent inférieurs à moi ; j’avais même honte de ma mère en raison de sa pauvreté, de sa simplicité et de son humilité.
En ce qui concerne mon comportement en tant qu’épouse, il me fut montré que je me plaignais tout le temps, du matin au soir. Si mon mari disait “bonjour”, je répliquais : “Pourquoi ce jour serait-il bon alors qu’il pleut dehors.” Je me plaignais aussi continuellement de mes enfants. Il me fut montré que je n’avais jamais aimé ni eu compassion pour mes frères et sœurs de la terre. Et le Seigneur me dit : “Tu n’as jamais eu de considération pour les malades ; dans leur solitude, tu ne leur as jamais tenu compagnie. Tu n’as pas eu compassion des enfants orphelins, de tous ces enfants malheureux.” J’avais un cœur de pierre dans une coquille de noix. Sur cette épreuve des dix commandements, je n’avais pas une demi réponse correcte.
C’était terrible, dévastateur ! J’étais totalement bouleversée. Et je me disais : Au moins on ne pourra pas me blâmer d’avoir tué quelqu’un !
Par exemple, j’achetais des provisions pour les nécessiteux ; ce n’était pas par amour, mais plutôt pour paraître généreuse, et pour le plaisir que j’avais à manipuler ceux qui étaient dans le besoin. Je leur disais : “Prenez ces provisions et allez à ma place à la réunion des parents et des professeurs parce que je n’ai pas le temps d’y assister.” En outre, j’aimais être entourée de personnes qui m’encensaient. Je m’étais faite une certaine image de moi-même.
Ton dieu c’était l’argent, m’a-t-on dit. Tu as été condamnée à cause de l’argent : C’est pour cette raison que tu as sombré dans l’abîme et que tu t’es éloignée de ton Seigneur. Nous avions été effectivement riches, mais à la fin nous étions devenus insolvables, sans le sou et criblés de dettes. Pour toute réponse, je criais : “Quel argent ? Sur terre, nous avons laissé beaucoup de dettes !”
Lorsqu’on en vint au second commandement, je vis avec tristesse que dans mon enfance, j’avais vite compris que le mensonge était un excellent moyen d’éviter les sévères punitions de Maman. Je commençais main dans la main avec le père du mensonge (Satan) et je devins menteuse. Mes péchés augmentaient comme mes mensonges. J’avais remarqué combien Maman respectait le Seigneur et Son Nom Très Saint ; je vis là une arme pour moi et je me mis à blasphémer par Son Nom. Je disais : “Maman, je jure sur Dieu que…”. Et ainsi, j’évitais les punitions. Imaginez mes mensonges, impliquant le Nom Très Saint du Seigneur…
Et remarquez, frères et sœurs que les paroles ne sont jamais vaines car lorsque ma mère ne me croyait pas, j’avais pris l’habitude de lui dire : “Maman, si je mens, que l’éclair me frappe ici et maintenant…” Si les mots se sont envolés avec le temps, il se trouve que la foudre m’a bel et bien frappée ; elle m’a carbonisée et c’est grâce à la Miséricorde Divine que je suis ici maintenant.
Il me fut montré comment, moi qui me disais catholique, je ne respectais aucune de mes promesses et combien j’utilisais futilement le nom de Dieu.
Je fus surprise de voir qu’en la présence du Seigneur, toutes ces horribles créatures qui m’entouraient, se prosternaient en adoration. Je vis la Vierge Marie aux pieds du Seigneur qui priait et intercédait pour moi.
En ce qui concerne le respect du Jour du Seigneur, j’étais pitoyable et j’en éprouvais une douleur intense. La voix me disait que le dimanche, je passais quatre ou cinq heures à m’occuper de mon corps ; je n’avais pas même dix minutes d’action de grâce ou de prières à consacrer au Seigneur. Si je commençais un chapelet, je me disais : ‘Je peux le faire pendant la publicité, avant le feuilleton’. Mon ingratitude vis-à-vis du Seigneur me fut reprochée. Lorsque je ne voulais pas assister à la messe, je disais à maman : ‘Dieu est partout, pourquoi devrais-je y aller ?’… La voix me rappela également que Dieu veillait sur moi nuit et jour et qu’en retour, moi je ne le priais pas du tout ; et le Dimanche, je ne le remerciais pas et je ne lui manifestais pas ma gratitude ou mon amour. Par contre, je prenais soin de mon corps, j’en étais esclave et j’oubliais totalement que j’avais une âme et que je devais l’alimenter. Mais jamais je ne la nourrissais de la Parole de Dieu, car je disais que celui qui lit la Parole de Dieu, devient fou.
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celeste- Avec les chérubins
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Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
3 ) SUITE témoignage de Gloria Polo
En ce qui concerne les Sacrements, j’avais tout faux. Je disais que je n’irai jamais me confesser car ces vieux messieurs étaient pires que moi. Le diable me détournait de la confession et c’est ainsi qu’il empêchait mon âme d’être propre et de guérir. La blanche pureté de mon âme en payait le prix chaque fois que je péchais. Satan y laissait sa marque : une marque obscure. Excepté pour ma première communion, je n’ai jamais fait une bonne confession. A partir de là, je n’ai jamais reçu Notre Seigneur dignement. Le manque de cohérence de ma vie avait atteint un tel degré que je blasphémais : ‘La Sainte Eucharistie ? Peut-on imaginer Dieu vivant dans un morceau de pain ?’ Voilà à quoi en était réduite ma relation avec Dieu. Je n’ai jamais nourri mon âme et pis encore, je critiquais les prêtres constamment. Vous auriez du voir combien je m’y appliquais !
Depuis ma plus tendre enfance, mon père avait l’habitude de dire que ces gens-là étaient encore plus coureurs que les laïcs. Et le Seigneur me dit : ‘Qui es-tu pour juger ainsi mes oints. Ce sont des hommes et la sainteté d’un prêtre est soutenue par sa communauté qui prie pour lui, qui l’aime et le seconde. Lorsqu’un prêtre commet une faute, c’est sa communauté qui en est redevable, mais pas lui’. A un certain moment de ma vie, j’ai accusé un prêtre d’homosexualité et la communauté en fut informée. Vous ne pouvez imaginer le mal que j’ai fait !
En ce qui concerne le 4ème commandement, “Tu honoreras ton père et ta mère” comme je vous l’ai dit, le Seigneur me fit voir mon ingratitude vis-à-vis de mes parents. Je me plaignais car ils ne pouvaient m’offrir bien des choses dont disposaient mes camarades.
J’ai été ingrate envers eux pour tout ce qu’ils ont fait pour moi et j’en étais même arrivée au point où je disais que je ne connaissais pas ma mère parce qu’elle n’était pas à mon niveau. Le Seigneur me montra combien j’aurais pourtant pu observer ce commandement. En effet j’avais payé les factures du médecin et du pharmacien lorsque mes parents étaient tombés malades, mais comme j’analysais tout en fonction de l’argent, j’en profitais alors pour les manipuler et j’en étais arrivée à les écraser.
J’eus mal de voir mon père pleurer tristement car bien qu’il fut un bon père qui m’avait appris à travailler durement et à entreprendre, il avait oublié un détail important : que j’avais une âme et que par son mauvais exemple, ma vie avait commencé à basculer. Il fumait, buvait et courait les femmes à tel point qu’un jour je suggérai à maman de quitter son mari : ‘Tu ne devrais pas continuer plus longtemps avec un homme comme celui-là. Sois digne, fais-lui voir que tu vaux quelque chose’. Et Maman de répondre :’Non ma chérie, j’ai mal mais je me sacrifie car j’ai sept enfants et parce qu’en fin de journée, ton papa montre qu’il est un bon père ; je ne pourrais pas m’en aller et vous séparer de votre père ; de plus, si je partais, qui prierait pour son salut ? Je suis la seule à pouvoir le faire car toutes ces peines et blessures qu’il m’inflige, je les unis aux souffrances du Christ sur la Croix. Chaque jour je dis au Seigneur : Ma douleur n’est rien en comparaison de votre Croix, aussi, je vous en prie, sauvez mon mari et mes enfants’. Pour ma part, je ne parvenais pas à comprendre cela et je devins rebelle, je commençais à prendre la défense des femmes, à encourager l’avortement, la cohabitation et le divorce.
Quand l’on en vint au 5ème commandement, le Seigneur me fit voir l’assassin horrible que j’avais été en commettant le plus horrible des crimes : l’avortement. De plus, j’avais financé plusieurs avortements parce que je proclamais qu’une femme avait le droit de choisir d’être enceinte ou pas. Il me fut donné de lire dans le Livre de Vie et je fus profondément meurtrie, car une fillette de 14 ans avait avorté sur mes conseils. J’avais également prodigué de mauvais conseils à des fillettes dont trois d’entre elles étaient mes nièces, en leur parlant de la séduction, de la mode, en leur conseillant de profiter de leur corps, et en leur disant qu’elles devaient utiliser la contraception. C’était une sorte de corruption de mineures qui aggravait l’horrible péché de l’avortement.
Chaque fois que le sang d’un bébé est versé, c’est un holocauste à Satan, qui blesse et fait trembler le Seigneur. Je vis dans le Livre de Vie, comment notre âme se formait, le moment où la semence parvient dans l’œuf. Une belle étincelle jaillit, une lumière qui rayonne du soleil de Dieu le Père. Dès que le ventre de la mère est ensemencé, il s’éclaire de la lumière de l’âme. Pendant l’avortement, l’âme gémit et crie de douleurs, et l’on entend un cri au Ciel car il est ébranlé. Ce cri résonne également en enfer, mais c’est un cri de joie ! Combien de bébés sont tués chaque jour ! C’est une victoire pour l’Enfer. Le prix de ce sang innocent libère chaque fois un démon de plus. Moi, j’ai trempé dans ce sang et mon âme devint totalement enténébrée. A la suite de ces avortements, j’avais perdu la conscience du péché. Pour moi, tout était O.K. Et que dire de tous ces bébés à qui j’avais refusé la vie à cause du stérilet que j’utilisais ! Il n’est pas étonnant que j’aie toujours été amère, frustrée, dépressive. Et je sombrais encore plus dans l’abîme. Comment pouvais-je affirmer que je n’avais jamais tué !
En ce qui concerne les Sacrements, j’avais tout faux. Je disais que je n’irai jamais me confesser car ces vieux messieurs étaient pires que moi. Le diable me détournait de la confession et c’est ainsi qu’il empêchait mon âme d’être propre et de guérir. La blanche pureté de mon âme en payait le prix chaque fois que je péchais. Satan y laissait sa marque : une marque obscure. Excepté pour ma première communion, je n’ai jamais fait une bonne confession. A partir de là, je n’ai jamais reçu Notre Seigneur dignement. Le manque de cohérence de ma vie avait atteint un tel degré que je blasphémais : ‘La Sainte Eucharistie ? Peut-on imaginer Dieu vivant dans un morceau de pain ?’ Voilà à quoi en était réduite ma relation avec Dieu. Je n’ai jamais nourri mon âme et pis encore, je critiquais les prêtres constamment. Vous auriez du voir combien je m’y appliquais !
Depuis ma plus tendre enfance, mon père avait l’habitude de dire que ces gens-là étaient encore plus coureurs que les laïcs. Et le Seigneur me dit : ‘Qui es-tu pour juger ainsi mes oints. Ce sont des hommes et la sainteté d’un prêtre est soutenue par sa communauté qui prie pour lui, qui l’aime et le seconde. Lorsqu’un prêtre commet une faute, c’est sa communauté qui en est redevable, mais pas lui’. A un certain moment de ma vie, j’ai accusé un prêtre d’homosexualité et la communauté en fut informée. Vous ne pouvez imaginer le mal que j’ai fait !
En ce qui concerne le 4ème commandement, “Tu honoreras ton père et ta mère” comme je vous l’ai dit, le Seigneur me fit voir mon ingratitude vis-à-vis de mes parents. Je me plaignais car ils ne pouvaient m’offrir bien des choses dont disposaient mes camarades.
J’ai été ingrate envers eux pour tout ce qu’ils ont fait pour moi et j’en étais même arrivée au point où je disais que je ne connaissais pas ma mère parce qu’elle n’était pas à mon niveau. Le Seigneur me montra combien j’aurais pourtant pu observer ce commandement. En effet j’avais payé les factures du médecin et du pharmacien lorsque mes parents étaient tombés malades, mais comme j’analysais tout en fonction de l’argent, j’en profitais alors pour les manipuler et j’en étais arrivée à les écraser.
J’eus mal de voir mon père pleurer tristement car bien qu’il fut un bon père qui m’avait appris à travailler durement et à entreprendre, il avait oublié un détail important : que j’avais une âme et que par son mauvais exemple, ma vie avait commencé à basculer. Il fumait, buvait et courait les femmes à tel point qu’un jour je suggérai à maman de quitter son mari : ‘Tu ne devrais pas continuer plus longtemps avec un homme comme celui-là. Sois digne, fais-lui voir que tu vaux quelque chose’. Et Maman de répondre :’Non ma chérie, j’ai mal mais je me sacrifie car j’ai sept enfants et parce qu’en fin de journée, ton papa montre qu’il est un bon père ; je ne pourrais pas m’en aller et vous séparer de votre père ; de plus, si je partais, qui prierait pour son salut ? Je suis la seule à pouvoir le faire car toutes ces peines et blessures qu’il m’inflige, je les unis aux souffrances du Christ sur la Croix. Chaque jour je dis au Seigneur : Ma douleur n’est rien en comparaison de votre Croix, aussi, je vous en prie, sauvez mon mari et mes enfants’. Pour ma part, je ne parvenais pas à comprendre cela et je devins rebelle, je commençais à prendre la défense des femmes, à encourager l’avortement, la cohabitation et le divorce.
Quand l’on en vint au 5ème commandement, le Seigneur me fit voir l’assassin horrible que j’avais été en commettant le plus horrible des crimes : l’avortement. De plus, j’avais financé plusieurs avortements parce que je proclamais qu’une femme avait le droit de choisir d’être enceinte ou pas. Il me fut donné de lire dans le Livre de Vie et je fus profondément meurtrie, car une fillette de 14 ans avait avorté sur mes conseils. J’avais également prodigué de mauvais conseils à des fillettes dont trois d’entre elles étaient mes nièces, en leur parlant de la séduction, de la mode, en leur conseillant de profiter de leur corps, et en leur disant qu’elles devaient utiliser la contraception. C’était une sorte de corruption de mineures qui aggravait l’horrible péché de l’avortement.
Chaque fois que le sang d’un bébé est versé, c’est un holocauste à Satan, qui blesse et fait trembler le Seigneur. Je vis dans le Livre de Vie, comment notre âme se formait, le moment où la semence parvient dans l’œuf. Une belle étincelle jaillit, une lumière qui rayonne du soleil de Dieu le Père. Dès que le ventre de la mère est ensemencé, il s’éclaire de la lumière de l’âme. Pendant l’avortement, l’âme gémit et crie de douleurs, et l’on entend un cri au Ciel car il est ébranlé. Ce cri résonne également en enfer, mais c’est un cri de joie ! Combien de bébés sont tués chaque jour ! C’est une victoire pour l’Enfer. Le prix de ce sang innocent libère chaque fois un démon de plus. Moi, j’ai trempé dans ce sang et mon âme devint totalement enténébrée. A la suite de ces avortements, j’avais perdu la conscience du péché. Pour moi, tout était O.K. Et que dire de tous ces bébés à qui j’avais refusé la vie à cause du stérilet que j’utilisais ! Il n’est pas étonnant que j’aie toujours été amère, frustrée, dépressive. Et je sombrais encore plus dans l’abîme. Comment pouvais-je affirmer que je n’avais jamais tué !
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Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
4 ) SUITE témoignage de Gloria Polo
Et toutes les personnes que j’ai méprisées, haïes, que je n’ai pas aimées ! Là aussi j’ai été une tueuse parce qu’on ne meurt pas seulement d’une balle de révolver. On peut également tuer en haïssant, en commettant des actes de méchancetés, en enviant et en jalousant.
Pour ce qui est du 6ème commandement, mon mari fut le seul homme de ma vie. Mais l’on me donna de voir qu’à chaque fois que je dévoilais ma poitrine et que je portais des pantalons-léopards, j’incitais les hommes à l’impureté et je les conduisais au péché. De plus, je conseillais aux femmes trompées d’être infidèles à leur mari, je prêchais contre le pardon et j’encourageais le divorce. Je réalisais alors que les péchés de la chair sont affreux et condamnables même si le monde actuel trouve acceptable que l’on se conduise comme des animaux.
Il était particulièrement douloureux de voir combien les péchés d’adultère de mon père avaient blessé ses enfants. Mes trois frères devinrent des copies conformes de leur père, coureurs et buveurs, inconscients du tort qu’ils faisaient à leurs enfants. Voilà pourquoi mon père pleurait avec tant de chagrin en constatant que le mauvais exemple qu’il avait donné s’était répercuté sur tous ses enfants.
Quant au 7ème commandement, - ne pas voler-, moi qui me jugeais honnête, le Seigneur me fit voir que la nourriture était gaspillée dans ma maison pendant que le reste du monde souffrait de la faim. Il me dit : ‘J’avais faim et regarde ce que tu as fait avec ce que je t’ai donné ; comme tu as gaspillé ! J’avais froid et vois comment tu étais esclave de la mode et des apparences, jetant tant d’argent dans des régimes pour maigrir. De ton corps, tu en as fait un dieu !’ Il me fit comprendre que j’avais ma part de culpabilité dans la pauvreté de mon pays. Il me montra aussi que chaque fois que je critiquais quelqu’un, je lui volais son honneur. Il aurait été plus facile pour moi de voler de l’argent, car l’argent, on peut toujours le restituer, mais la réputation !... De plus je dérobais à mes enfants la grâce d’avoir une maman tendre et pleine d’amour. J’abandonnais mes enfants pour aller dans le monde, je les laissais devant la télévision, l’ordinateur et les jeux vidéo ; et pour me donner bonne conscience, je leur achetais des vêtements de marque. Comme c’est horrible ! Quel chagrin immense !
Dans le Livre de Vie, l’on voit tout comme dans un film. Mes enfants disaient : “Espérons que Maman ne rentre pas trop tôt et qu’il y aura des embouteillages car elle est agaçante et râleuse.” En fait, je leur avais volé leur mère, je leur avais volé la paix que j’étais censée apporter à mon foyer. Je ne leur avais pas enseigné l’amour de Dieu ni l’amour du prochain. C’est simple : si je n’aime pas mes frères, je n’ai rien à voir avec le Seigneur ; si je n’ai pas de compassion, je n’ai rien à voir avec Lui non plus.
Maintenant je parlerai des faux témoignages et du mensonge car j’étais devenue une experte en la matière. Il n’y a pas de mensonges innocents, tous viennent de Satan qui est leur père. Les fautes que j’ai commises par la langue étaient vraiment épouvantables. J’ai vu combien j’avais blessé par ma langue. Chaque fois que je cancanais, que je me moquais de quelqu’un ou lui attribuais un surnom dévalorisant, je blessais cette personne. Comme un surnom peut blesser ! Je pouvais complexer une femme en l’appelant : “la grosse”…
Au cours de ce jugement sur les dix commandements, l’on me montra que toutes mes fautes avaient pour cause la convoitise, ce mauvais désir. Je me suis toujours vue heureuse avec beaucoup d’argent. Et l’argent devint une obsession. C’est vraiment triste, car pour mon âme les moments les plus terribles avaient été ceux où j’avais disposé de beaucoup d’argent. J’avais même pensé au suicide. J’avais tant d’argent et je me trouvais seule, vide, amère et frustrée. Cette obsession de l’argent me détourna du Seigneur et fit que je m’échappais de ses mains.
Après l’examen des dix commandements, le Livre de Vie me fut montré. Je voudrais avoir les mots adéquats pour le décrire. Mon Livre de Vie commença lorsque les cellules de mes parents s’unirent. Presque immédiatement, il y eut une étincelle, une magnifique explosion et une âme était ainsi formée, la mienne, créée par les mains de Dieu, notre Père, un Dieu si bon ! C’est vraiment merveilleux ! Il veille sur nous 24h sur 24. Son amour était mon châtiment car il ne regardait pas mon corps charnel mais mon âme et il voyait combien je m’éloignais du salut.
Je voudrais aussi vous dire à quel point j’étais hypocrite ! Je disais à une amie : ‘Tu es ravissante dans cette robe, elle te va si bien ‘! Mais je pensais en moi-même : ce vêtement est grotesque, et elle se prend pour une reine ! Dans le Livre de Vie, tout apparaît exactement tel qu’il a été pensé, l’on voit aussi l’environnement intérieur de l’âme. Tous mes mensonges étaient exposés et chacun pouvait les voir.
Je faisais souvent l’école buissonnière, car maman ne me permettait pas d’aller là où moi je voulais. Par exemple, je lui mentais au sujet d’un travail de recherche que je devais faire à la bibliothèque de l’université et en fait, j’allais voir au même moment un film porno ou boire une bière dans un bar avec des amis. Quand je pense que Maman a vu défiler ma vie et que rien ne lui a échappé !
Le Livre de la Vie est vraiment très beau. Ma mère avait l’habitude de glisser dans mon panier, des bananes pour mon déjeuner, de la pâte de guava ainsi que du lait car, dans mon enfance, nous étions très pauvres. Il m’arrivait de manger les bananes et de jeter les peaux par terre sans me soucier que l’on pouvait glisser dessus et se blesser. Le Seigneur me montra comment une personne glissa sur l’une de mes peaux de bananes ; j’aurais pu la tuer par mon manque de compassion.
La seule fois de ma vie que je fis une vraie confession avec regret et repentance, fut lorsque une femme me rendit 4500 pesos de trop dans une épicerie de Bogota. Mon père nous avait appris l’honnêteté. En allant au travail, tandis que je conduisais, je me rendis compte de l’ erreur. ‘Cette idiote m’a donné 4500 pesos de trop et maintenant je dois retourner à son magasin’, me dis-je. Il y avait un embouteillage énorme et je décidai de ne pas faire demi-tour. Mais la blessure demeura en moi et j’allai me confesser le dimanche suivant en m’accusant d’avoir volé ces 4500 pesos faute de les avoir restitués. Je n’ai pas prêté attention aux paroles du confesseur. Mais savez-vous ce que le Seigneur me dit ? “Tu n’as pas compensé ce manque de charité. Pour toi, ce n’était que de l’argent de poche, mais pour cette femme qui ne gagnait que le minimum, cette somme représentait l’équivalent de trois jours de nourriture”. Le Seigneur me montra combien elle en souffrit, se privant durant plusieurs jours ainsi que ses deux petits qui eurent faim.
Ensuite le Seigneur me posa la question suivante : “Quels trésors spirituels apportes-tu ?” Des trésors spirituels ? Mes mains sont vides ! ‘A quoi cela te sert-il, ajouta-t-il, de posséder deux appartements, des maisons et des bureaux si tu ne peux même pas m’en apporter ne serait-ce qu’un peu de poussière ? Et tu croyais que tu avais réussi ? Qu’as-tu donc fait des talents que je t’ai donnés ? Tu avais une mission : cette mission, c’était de défendre le Royaume de l’Amour, le Royaume de Dieu’. Oui, j’avais oublié que j’avais une âme ; aussi comment pouvais-je me souvenir que j’avais des talents ; tout ce bien que je n’ai pas su faire, a blessé le Seigneur.
Le Seigneur me parla encore du manque d’amour et de compassion. Il me parla également de ma mort spirituelle. Sur terre, j’étais vivante, mais en réalité j’étais morte. Si vous pouviez voir ce qu’est la mort spirituelle ! (La mort spirituelle, c‘est la perte de l’état de grâce.)
C’est comme une âme haineuse, une âme terriblement amère et dégoûtée de tout, remplie de péchés et qui blesse tout le monde. Je voyais mon âme qui, extérieurement, était bien habillée et sentait bon ; mais intérieurement c’était une vraie puanteur et mon âme habitait les profondeurs de l’abîme.
Ce n’est pas étonnant si j’étais aigrie et dépressive. Et le Seigneur me dit : “Ta mort spirituelle a commencé lorsque tu as cessé d’être sensible à ton prochain. Je t’avertissais en te montrant leur détresse. Lorsque tu voyais des reportages, des meurtres, des enlèvements, la situation des réfugiés, tu disais : ‘Pauvres gens, comme c’est triste’. Mais en réalité, tu n’avais pas mal pour eux, tu ne ressentais rien dans ton cœur. Le péché a changé ton cœur en pierre.”
Vous ne pouvez imaginer l’immensité de mon chagrin lorsque mon Livre de Vie se referma. J’avais de la peine pour Dieu, mon Père, de m’être comportée de la sorte car, en dépit de tous mes péchés, de ma saleté, de toutes mes indifférences et de mes sentiments horribles, le Seigneur a cherché à m’atteindre jusqu’au bout. Il m’a envoyé des personnes qui ont eu une bonne influence sur moi. Il m’a protégée jusqu’à la fin. Dieu mendie notre conversion !
Bien entendu, je ne pouvais pas le blâmer de me condamner. De mon propre gré, j’ai choisi mon père, Satan, au lieu de Dieu. Lorsque le Livre de la Vie se referma, je remarquai que je me dirigeai vers un puits au fond duquel il y avait une trappe. Tandis que je descendais là-dedans, je commençais à appeler tous les Saints du Ciel pour me sauver. Vous n’avez pas idée de tous les noms de Saints qui me revinrent à l’esprit, moi qui étais une mauvaise catholique ! J’appelais St Isidore ou St François d’Assise et lorsque ma liste s’épuisa, le silence s’installa. J’éprouvais alors un grand vide et une peine profonde.
Et toutes les personnes que j’ai méprisées, haïes, que je n’ai pas aimées ! Là aussi j’ai été une tueuse parce qu’on ne meurt pas seulement d’une balle de révolver. On peut également tuer en haïssant, en commettant des actes de méchancetés, en enviant et en jalousant.
Pour ce qui est du 6ème commandement, mon mari fut le seul homme de ma vie. Mais l’on me donna de voir qu’à chaque fois que je dévoilais ma poitrine et que je portais des pantalons-léopards, j’incitais les hommes à l’impureté et je les conduisais au péché. De plus, je conseillais aux femmes trompées d’être infidèles à leur mari, je prêchais contre le pardon et j’encourageais le divorce. Je réalisais alors que les péchés de la chair sont affreux et condamnables même si le monde actuel trouve acceptable que l’on se conduise comme des animaux.
Il était particulièrement douloureux de voir combien les péchés d’adultère de mon père avaient blessé ses enfants. Mes trois frères devinrent des copies conformes de leur père, coureurs et buveurs, inconscients du tort qu’ils faisaient à leurs enfants. Voilà pourquoi mon père pleurait avec tant de chagrin en constatant que le mauvais exemple qu’il avait donné s’était répercuté sur tous ses enfants.
Quant au 7ème commandement, - ne pas voler-, moi qui me jugeais honnête, le Seigneur me fit voir que la nourriture était gaspillée dans ma maison pendant que le reste du monde souffrait de la faim. Il me dit : ‘J’avais faim et regarde ce que tu as fait avec ce que je t’ai donné ; comme tu as gaspillé ! J’avais froid et vois comment tu étais esclave de la mode et des apparences, jetant tant d’argent dans des régimes pour maigrir. De ton corps, tu en as fait un dieu !’ Il me fit comprendre que j’avais ma part de culpabilité dans la pauvreté de mon pays. Il me montra aussi que chaque fois que je critiquais quelqu’un, je lui volais son honneur. Il aurait été plus facile pour moi de voler de l’argent, car l’argent, on peut toujours le restituer, mais la réputation !... De plus je dérobais à mes enfants la grâce d’avoir une maman tendre et pleine d’amour. J’abandonnais mes enfants pour aller dans le monde, je les laissais devant la télévision, l’ordinateur et les jeux vidéo ; et pour me donner bonne conscience, je leur achetais des vêtements de marque. Comme c’est horrible ! Quel chagrin immense !
Dans le Livre de Vie, l’on voit tout comme dans un film. Mes enfants disaient : “Espérons que Maman ne rentre pas trop tôt et qu’il y aura des embouteillages car elle est agaçante et râleuse.” En fait, je leur avais volé leur mère, je leur avais volé la paix que j’étais censée apporter à mon foyer. Je ne leur avais pas enseigné l’amour de Dieu ni l’amour du prochain. C’est simple : si je n’aime pas mes frères, je n’ai rien à voir avec le Seigneur ; si je n’ai pas de compassion, je n’ai rien à voir avec Lui non plus.
Maintenant je parlerai des faux témoignages et du mensonge car j’étais devenue une experte en la matière. Il n’y a pas de mensonges innocents, tous viennent de Satan qui est leur père. Les fautes que j’ai commises par la langue étaient vraiment épouvantables. J’ai vu combien j’avais blessé par ma langue. Chaque fois que je cancanais, que je me moquais de quelqu’un ou lui attribuais un surnom dévalorisant, je blessais cette personne. Comme un surnom peut blesser ! Je pouvais complexer une femme en l’appelant : “la grosse”…
Au cours de ce jugement sur les dix commandements, l’on me montra que toutes mes fautes avaient pour cause la convoitise, ce mauvais désir. Je me suis toujours vue heureuse avec beaucoup d’argent. Et l’argent devint une obsession. C’est vraiment triste, car pour mon âme les moments les plus terribles avaient été ceux où j’avais disposé de beaucoup d’argent. J’avais même pensé au suicide. J’avais tant d’argent et je me trouvais seule, vide, amère et frustrée. Cette obsession de l’argent me détourna du Seigneur et fit que je m’échappais de ses mains.
Après l’examen des dix commandements, le Livre de Vie me fut montré. Je voudrais avoir les mots adéquats pour le décrire. Mon Livre de Vie commença lorsque les cellules de mes parents s’unirent. Presque immédiatement, il y eut une étincelle, une magnifique explosion et une âme était ainsi formée, la mienne, créée par les mains de Dieu, notre Père, un Dieu si bon ! C’est vraiment merveilleux ! Il veille sur nous 24h sur 24. Son amour était mon châtiment car il ne regardait pas mon corps charnel mais mon âme et il voyait combien je m’éloignais du salut.
Je voudrais aussi vous dire à quel point j’étais hypocrite ! Je disais à une amie : ‘Tu es ravissante dans cette robe, elle te va si bien ‘! Mais je pensais en moi-même : ce vêtement est grotesque, et elle se prend pour une reine ! Dans le Livre de Vie, tout apparaît exactement tel qu’il a été pensé, l’on voit aussi l’environnement intérieur de l’âme. Tous mes mensonges étaient exposés et chacun pouvait les voir.
Je faisais souvent l’école buissonnière, car maman ne me permettait pas d’aller là où moi je voulais. Par exemple, je lui mentais au sujet d’un travail de recherche que je devais faire à la bibliothèque de l’université et en fait, j’allais voir au même moment un film porno ou boire une bière dans un bar avec des amis. Quand je pense que Maman a vu défiler ma vie et que rien ne lui a échappé !
Le Livre de la Vie est vraiment très beau. Ma mère avait l’habitude de glisser dans mon panier, des bananes pour mon déjeuner, de la pâte de guava ainsi que du lait car, dans mon enfance, nous étions très pauvres. Il m’arrivait de manger les bananes et de jeter les peaux par terre sans me soucier que l’on pouvait glisser dessus et se blesser. Le Seigneur me montra comment une personne glissa sur l’une de mes peaux de bananes ; j’aurais pu la tuer par mon manque de compassion.
La seule fois de ma vie que je fis une vraie confession avec regret et repentance, fut lorsque une femme me rendit 4500 pesos de trop dans une épicerie de Bogota. Mon père nous avait appris l’honnêteté. En allant au travail, tandis que je conduisais, je me rendis compte de l’ erreur. ‘Cette idiote m’a donné 4500 pesos de trop et maintenant je dois retourner à son magasin’, me dis-je. Il y avait un embouteillage énorme et je décidai de ne pas faire demi-tour. Mais la blessure demeura en moi et j’allai me confesser le dimanche suivant en m’accusant d’avoir volé ces 4500 pesos faute de les avoir restitués. Je n’ai pas prêté attention aux paroles du confesseur. Mais savez-vous ce que le Seigneur me dit ? “Tu n’as pas compensé ce manque de charité. Pour toi, ce n’était que de l’argent de poche, mais pour cette femme qui ne gagnait que le minimum, cette somme représentait l’équivalent de trois jours de nourriture”. Le Seigneur me montra combien elle en souffrit, se privant durant plusieurs jours ainsi que ses deux petits qui eurent faim.
Ensuite le Seigneur me posa la question suivante : “Quels trésors spirituels apportes-tu ?” Des trésors spirituels ? Mes mains sont vides ! ‘A quoi cela te sert-il, ajouta-t-il, de posséder deux appartements, des maisons et des bureaux si tu ne peux même pas m’en apporter ne serait-ce qu’un peu de poussière ? Et tu croyais que tu avais réussi ? Qu’as-tu donc fait des talents que je t’ai donnés ? Tu avais une mission : cette mission, c’était de défendre le Royaume de l’Amour, le Royaume de Dieu’. Oui, j’avais oublié que j’avais une âme ; aussi comment pouvais-je me souvenir que j’avais des talents ; tout ce bien que je n’ai pas su faire, a blessé le Seigneur.
Le Seigneur me parla encore du manque d’amour et de compassion. Il me parla également de ma mort spirituelle. Sur terre, j’étais vivante, mais en réalité j’étais morte. Si vous pouviez voir ce qu’est la mort spirituelle ! (La mort spirituelle, c‘est la perte de l’état de grâce.)
C’est comme une âme haineuse, une âme terriblement amère et dégoûtée de tout, remplie de péchés et qui blesse tout le monde. Je voyais mon âme qui, extérieurement, était bien habillée et sentait bon ; mais intérieurement c’était une vraie puanteur et mon âme habitait les profondeurs de l’abîme.
Ce n’est pas étonnant si j’étais aigrie et dépressive. Et le Seigneur me dit : “Ta mort spirituelle a commencé lorsque tu as cessé d’être sensible à ton prochain. Je t’avertissais en te montrant leur détresse. Lorsque tu voyais des reportages, des meurtres, des enlèvements, la situation des réfugiés, tu disais : ‘Pauvres gens, comme c’est triste’. Mais en réalité, tu n’avais pas mal pour eux, tu ne ressentais rien dans ton cœur. Le péché a changé ton cœur en pierre.”
Vous ne pouvez imaginer l’immensité de mon chagrin lorsque mon Livre de Vie se referma. J’avais de la peine pour Dieu, mon Père, de m’être comportée de la sorte car, en dépit de tous mes péchés, de ma saleté, de toutes mes indifférences et de mes sentiments horribles, le Seigneur a cherché à m’atteindre jusqu’au bout. Il m’a envoyé des personnes qui ont eu une bonne influence sur moi. Il m’a protégée jusqu’à la fin. Dieu mendie notre conversion !
Bien entendu, je ne pouvais pas le blâmer de me condamner. De mon propre gré, j’ai choisi mon père, Satan, au lieu de Dieu. Lorsque le Livre de la Vie se referma, je remarquai que je me dirigeai vers un puits au fond duquel il y avait une trappe. Tandis que je descendais là-dedans, je commençais à appeler tous les Saints du Ciel pour me sauver. Vous n’avez pas idée de tous les noms de Saints qui me revinrent à l’esprit, moi qui étais une mauvaise catholique ! J’appelais St Isidore ou St François d’Assise et lorsque ma liste s’épuisa, le silence s’installa. J’éprouvais alors un grand vide et une peine profonde.
Dernière édition par le Mar 14 Aoû 2007 - 16:42, édité 1 fois
celeste- Avec les chérubins
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Inscription : 24/03/2006
Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
5 ) SUITE ET FIN témoignage de Gloria Polo
Je pensais que tout le monde sur terre, croyait que j’étais morte en odeur de sainteté, peut-être s’attendaient-ils même à demander mon intercession ! Et regardez où j’atterrissais ! Je levais les yeux et mon regard croisa celui de ma mère. Avec une intense douleur, je criais vers elle :’Maman, comme j’ai honte ! J’ai été condamnée, Maman. Là où je vais, je ne te reverrai plus jamais !’. A ce moment, une grâce magnifique lui fut accordée. Elle se tenait sans bouger mais ses doigts se mirent à pointer vers le haut. Deux écailles se détachèrent douloureusement de mes yeux : l’aveuglement spirituel.
Je revis alors en un instant ma vie passée, lorsqu’un de mes patients me dit une fois : “Docteur, vous êtes très matérialiste, et un jour vous aurez besoin de ceci : en cas de danger imminent, demandez à Jésus-Christ de vous couvrir de son sang, parce que jamais Il ne vous abandonnera.
Il a payé le prix du Sang pour vous.”
Avec une honte immense, je me mis à sangloter : ‘Seigneur Jésus, ayez pitié de moi ! Pardonnez-moi, donnez-moi une seconde chance !’.
Et le plus beau moment de ma vie se présenta alors à moi, il n’y a pas de mots pour le décrire. Jésus vint et me tira du puits. Il me souleva et toutes ces horribles créatures s’aplatirent au sol. Quand il me déposa, il me dit avec tout son amour : “Tu vas retourner sur terre, je te donne une seconde chance”. Mais il précisa que ce n’était pas à cause des prières de ma famille. “Il est juste de leur part d’implorer pour toi. C’est grâce à l’intercession de tous ceux qui te sont étrangers et qui ont pleuré, prié et élevé leur cœur avec un profond amour pour toi”.
Et je vis beaucoup de petites lumières s’allumer, telles des petites flammes d’amour. Je vis des personnes qui priaient pour moi. Mais il y avait une flamme beaucoup plus grande, c’était celle qui me donnait le plus de lumière et de laquelle jaillisait le plus d’amour. J’essayais de distinguer qui était cette personne. Le Seigneur me dit : “Celui qui t’aime tant, ne te connaît même pas’.”
Il m’expliqua que cet homme avait lu une coupure de presse de la veille. C’était un pauvre paysan qui habitait au pied de la Sierra Nevada de Santa Marta (au nord-est de la Colombie). Ce pauvre homme était allé en ville acheter du sucre de canne. Le sucre avait été emballé dans du papier journal et il avait vu ma photo, toute brûlée que j’étais. Lorsque l’homme me vit ainsi, sans même avoir lu l’article en entier, il tomba à genoux et commença à sangloter avec un profond amour. Il dit : “Seigneur Dieu, ayez pitié de ma petite sœur. Seigneur, sauvez-là. Si vous la sauvez, je vous promets que j’irai en pèlerinage au Sanctuaire de Buga (qui se trouve dans le Sud-Ouest de la Colombie). Mais je vous en prie, sauvez-la.”
Imaginez ce pauvre homme, il ne se plaignait pas d’avoir faim et il avait une grande capacité d’amour car il s’ offrait de traverser toute une région pour quelqu’un qu’il ne connaissait même pas ! Et le Seigneur me dit : ‘ C’est cela aimer son prochain’. Et il ajouta :
“Tu vas repartir (sur terre) et tu donneras ton témoignage non pas mille fois, mais mille fois mille fois. Et malheur à ceux qui ne changeront pas après avoir entendu ton témoignage, car ils seront jugés plus sévèrement, comme toi lorsque tu reviendras ici un jour ; de même pour mes oints, les prêtres, car il n’y a pas pire sourd que celui qui refuse d’entendre !”
Ce témoignage, mes frères et sœurs, n’est pas une menace. Le Seigneur n’a pas besoin de nous menacer. C’est une chance qui se présente à vous, et Dieu merci, j’ai vécu ce qu’il m’a fallu vivre ! Lorsque chacun d’entre vous mourra et que son Livre de Vie s’ouvrira devant lui, vous verrez tout cela comme moi je l’ai vu. Et nous nous verrons tous comme nous sommes, la seule différence c’est que nous ressentirons nos pensées en la présence de Dieu ; le plus beau c’est que le Seigneur sera face à chacun de nous, mendiant toujours notre conversion afin que nous devenions une nouvelle créature avec Lui, car, sans Lui, nous ne pouvons rien faire.
Je pensais que tout le monde sur terre, croyait que j’étais morte en odeur de sainteté, peut-être s’attendaient-ils même à demander mon intercession ! Et regardez où j’atterrissais ! Je levais les yeux et mon regard croisa celui de ma mère. Avec une intense douleur, je criais vers elle :’Maman, comme j’ai honte ! J’ai été condamnée, Maman. Là où je vais, je ne te reverrai plus jamais !’. A ce moment, une grâce magnifique lui fut accordée. Elle se tenait sans bouger mais ses doigts se mirent à pointer vers le haut. Deux écailles se détachèrent douloureusement de mes yeux : l’aveuglement spirituel.
Je revis alors en un instant ma vie passée, lorsqu’un de mes patients me dit une fois : “Docteur, vous êtes très matérialiste, et un jour vous aurez besoin de ceci : en cas de danger imminent, demandez à Jésus-Christ de vous couvrir de son sang, parce que jamais Il ne vous abandonnera.
Il a payé le prix du Sang pour vous.”
Avec une honte immense, je me mis à sangloter : ‘Seigneur Jésus, ayez pitié de moi ! Pardonnez-moi, donnez-moi une seconde chance !’.
Et le plus beau moment de ma vie se présenta alors à moi, il n’y a pas de mots pour le décrire. Jésus vint et me tira du puits. Il me souleva et toutes ces horribles créatures s’aplatirent au sol. Quand il me déposa, il me dit avec tout son amour : “Tu vas retourner sur terre, je te donne une seconde chance”. Mais il précisa que ce n’était pas à cause des prières de ma famille. “Il est juste de leur part d’implorer pour toi. C’est grâce à l’intercession de tous ceux qui te sont étrangers et qui ont pleuré, prié et élevé leur cœur avec un profond amour pour toi”.
Et je vis beaucoup de petites lumières s’allumer, telles des petites flammes d’amour. Je vis des personnes qui priaient pour moi. Mais il y avait une flamme beaucoup plus grande, c’était celle qui me donnait le plus de lumière et de laquelle jaillisait le plus d’amour. J’essayais de distinguer qui était cette personne. Le Seigneur me dit : “Celui qui t’aime tant, ne te connaît même pas’.”
Il m’expliqua que cet homme avait lu une coupure de presse de la veille. C’était un pauvre paysan qui habitait au pied de la Sierra Nevada de Santa Marta (au nord-est de la Colombie). Ce pauvre homme était allé en ville acheter du sucre de canne. Le sucre avait été emballé dans du papier journal et il avait vu ma photo, toute brûlée que j’étais. Lorsque l’homme me vit ainsi, sans même avoir lu l’article en entier, il tomba à genoux et commença à sangloter avec un profond amour. Il dit : “Seigneur Dieu, ayez pitié de ma petite sœur. Seigneur, sauvez-là. Si vous la sauvez, je vous promets que j’irai en pèlerinage au Sanctuaire de Buga (qui se trouve dans le Sud-Ouest de la Colombie). Mais je vous en prie, sauvez-la.”
Imaginez ce pauvre homme, il ne se plaignait pas d’avoir faim et il avait une grande capacité d’amour car il s’ offrait de traverser toute une région pour quelqu’un qu’il ne connaissait même pas ! Et le Seigneur me dit : ‘ C’est cela aimer son prochain’. Et il ajouta :
“Tu vas repartir (sur terre) et tu donneras ton témoignage non pas mille fois, mais mille fois mille fois. Et malheur à ceux qui ne changeront pas après avoir entendu ton témoignage, car ils seront jugés plus sévèrement, comme toi lorsque tu reviendras ici un jour ; de même pour mes oints, les prêtres, car il n’y a pas pire sourd que celui qui refuse d’entendre !”
Ce témoignage, mes frères et sœurs, n’est pas une menace. Le Seigneur n’a pas besoin de nous menacer. C’est une chance qui se présente à vous, et Dieu merci, j’ai vécu ce qu’il m’a fallu vivre ! Lorsque chacun d’entre vous mourra et que son Livre de Vie s’ouvrira devant lui, vous verrez tout cela comme moi je l’ai vu. Et nous nous verrons tous comme nous sommes, la seule différence c’est que nous ressentirons nos pensées en la présence de Dieu ; le plus beau c’est que le Seigneur sera face à chacun de nous, mendiant toujours notre conversion afin que nous devenions une nouvelle créature avec Lui, car, sans Lui, nous ne pouvons rien faire.
Que le Seigneur vous bénisse tous abondamment.
Gloire à Dieu !
Gloire à Notre Seigneur Jésus-Christ !
****************************
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celeste- Avec les chérubins
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Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
Suite à la lecture de ce long mais "extraordinaire" témoignage, je me demande si nos péchés déjà confessés sincèrement, demeurent quand même lors de la révélation du Livre de la Vie ???
Si oui c'est vraiment inquiétant... je dirais qu'il vaut mieux mourir jeune comme ça nous en avons moins épais dans notre dossier.... cela m'a beaucoup touchée...
Si oui c'est vraiment inquiétant... je dirais qu'il vaut mieux mourir jeune comme ça nous en avons moins épais dans notre dossier.... cela m'a beaucoup touchée...
Danielle- Enfant de Dieu
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Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
OUI DANIELLE,NOS PÉCHÉS SONT EFFACÉS DU LIVRE MAIS PAS NÉCESSAIREMENT L'EXPIATION QUI Y EST ASSOCIÉE.D'ou la néccesité du purgatoire pour la grande majorité .J'ai pensé expliquer le tout ;ie pourquoi il fallait expier pour ces péchés mais il se fait tard pour une explication aussi poussée alors,un autre jour.En passant,il y a le trésor des indulgences si mal utilisés,si peu connus et pourtant,quel trésor pour nous et nous proches décédés.Patre(en passant,bonne idée Céleste de completer le témoignage de mme Guerrero mais sans sa connection a son site.A+.
p13843- Combat l'antechrist
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Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
Oui,
magnifique témoignage.
Je pense qu'il faut le lire plusieurs fois.
dans chaque phrase il y a quelques choses à retenir et qui nous implique dans notre vie quotidienne.
Merci Céleste !
magnifique témoignage.
Je pense qu'il faut le lire plusieurs fois.
dans chaque phrase il y a quelques choses à retenir et qui nous implique dans notre vie quotidienne.
Merci Céleste !
marie1- Avec le Pape François
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Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
Ce témoignge est saisissant et il faut le prendre tel quel mais aussi avec toute la prudence nécessaire
N'allez pas en cherchant ce que existe déja abimer la Foi de l'Eglise catholique
Pour connaitre la volonté de DIEU pour vous, il existe qu'une seule facon
Prier, lire les évangiles chaque jour et la mdétier, pratiquer les sacrements comme l'explique le cathéchisme de l'Eglise catholique.
N'allez pas en cherchant ce que existe déja abimer la Foi de l'Eglise catholique
Pour connaitre la volonté de DIEU pour vous, il existe qu'une seule facon
Prier, lire les évangiles chaque jour et la mdétier, pratiquer les sacrements comme l'explique le cathéchisme de l'Eglise catholique.
Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
C'est de pire en pire ici !!!
Ac1234- J'ai la foi
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Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
AcidBen a écrit: C'est de pire en pire ici !!!
pourquoi vous dites ca ?
n111- Avec le Pape François
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Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
OUI,MAXIME,VOUS AVEZ BIEN RAISON RAISON.NOUS ARRENDONS TJS LA RÉPONSE D'ACIDBEN.....Patre
p13843- Combat l'antechrist
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Inscription : 06/04/2007
Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
Pour répondre à ta question Danielle , je pense que oui nous revoyons tout ce que nous avons fait de façon à comprendre l'impact de nos moindres actes.... auxquels nous n'accordons souvent guère d'importance....
On n'accepte pas trop de se voir ainsi....
Mais je pense que Jésus nous explique aussi comment il nous aime et comment il voudrait que nous devenions pour pouvoir venir complètement à lui....
Alors, ce n'est pas grave : acceptons d'être regardé.... car comme tu dis Danielle : même si nous avons péchés et que ceux ci vont en s'accroissant au fil du temps, notre foi grandit en même temps, nos résultats augmentent aussi avec le temps
On n'accepte pas trop de se voir ainsi....
Mais je pense que Jésus nous explique aussi comment il nous aime et comment il voudrait que nous devenions pour pouvoir venir complètement à lui....
Alors, ce n'est pas grave : acceptons d'être regardé.... car comme tu dis Danielle : même si nous avons péchés et que ceux ci vont en s'accroissant au fil du temps, notre foi grandit en même temps, nos résultats augmentent aussi avec le temps
marie1- Avec le Pape François
- Messages : 916
Inscription : 02/01/2006
Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
Je trouve que ce texte révèle bien les fausses dévotions et les fausses pensées que peut avoir un croyant laïc. Même les religieux sont parfois victimes de toutes ces manières de penser dont témoigne Gloria Polo.
Je crois que rien n'est ôté du livre de Vie. On parle généralement d'un seul livre de Vie qui contient tout ce qu'a connu la terre et le ciel du début à la fin et qui est transcrit dans la vérité entière, celle de Dieu. Le souvenir existe toujours, aucun acte n'est substitué. Mais il existe donc le pardon qui lui va effacer la faute et la douleur et assurer la personne qu'elle est bien revenue dans la bonne voie. Il n'y a pas de pardon sans retour sur le bon chemin. Dieu, quand il pardonne, parfois à travers le pardon et l’amour des autres, fait aussi passer sa confiance et de sa force. C'est à ça qu'un individu, revenu sur le bon chemin, va pouvoir penser que peut-être il est pardonné et qu'il peut continuer alors dans cette bonne direction, sans plus avoir le poids de la repentance ou de l'expiation, de la culpabilité en tout cas. Je pense que personne ne peut juger si Dieu a pardonné un individu ou pas. Dieu ne pardonne peut-être réellement qu'après la mort, au moment du jugement (dernier), et l'individu ne peut qu'avoir au cours de sa vie le sentiment du pardon qu'il obtiendra à sa fin de la part de Dieu. Combien de fois dans sa vie quelqu'un se fait-il pardonner d'avoir eu des mauvais sentiments, des tentations, des mauvais actes? Dieu se tient prêt à pardonner, mais c'est peut-être finalement nous qui n'acceptons pas son pardon, qui le rompons par la suite en croyant aller à la confession comme à une vidange automobile, régulièrement ou trop. C'est pour ça que finalement le pardon semble se gagner à la suite d'abstinence, d'abandon ou de dévotion. Mais c'est tout l'être qui doit travailler à se faire pardonner, depuis le début jusqu'à la fin, pour toujours. Dans les situations difficiles que nous pouvons connaître, certains ont pu être confrontés à devoir admettre un avortement ou se faufiler, consciemment ou pas, au dessus des autres pour avoir un peu plus et parfois bien peu. On ne peut pas savoir ce que l'on aurait fait à la place d'un autre, si, sans éducation sociale ou spirituelle, on aurait fait moins pire. Ce n'est pas celui qui a pêché qu'il faut stigmatiser et sceller de la faute, c'est l'état des situations qu'il faut interroger et ce que l’on peut y faire ou aurait du faire. Celui qui a commis les actes doit trouver le pardon, la raison et le salut, prendre conscience de ce qui est coupable ou mauvais et des raisons. Mais son âme ne sera pas jetée aux flammes parce qu'il était celui en position de le faire et qu'il l'a fait, peut-être sans grande conscience. Celui qui a conscience du mal et qui ne lui a pas expliqué sera en revanche jugé pour ça. Et s'il le condamne à tord et sans amour, alors les flammes risquent d'être encore plus intenses pour lui. Lui, personne ne le juge sur terre, alors, c’est au ciel qu’il est jugé. La vie semble lui avoir donné tout ce que l’on peut désirer, alors que la mère de celui qu’il condamne n’a jamais rien eu et était pourtant méritante. Ce n’est donc pas sur terre que l’on est réellement jugé, les évènements ne sont pas des récompenses, les vies n’ont pas ce qu’elles méritent. Alors à travers ces injustices de la société, de la Bête, les gens doivent apprendre de ce qu’ils partagent, de ce dont ils sont responsables, des valeurs, des difficultés, du salut. Car si Dieu pardonne, l’Homme doit aussi savoir pardonner et prendre les bonnes décisions, Dieu ne le fait pas à sa place. Et ce pardon que sait donner l’Homme quand il est sage est aussi le pardon de Dieu. Il n’y a officiellement que le prêtre pour prononcer le pardon de Dieu. Mais ce pardon parle dans tous les cœurs et toutes les âmes et ce sont eux qui le portent, de la même manière qu’ils pourraient porter tout l’amour que peut donner Dieu, en être les témoins vivants.
Mais pour répondre à Danielle, je dirais que peu importe l’épaisseur du dossier, l’intensité de la vie, les tares affectives et les difficultés dans l’enfance, Dieu ne manque pas de place dans ces ordinateurs qui d’ailleurs sont ultra rapides que même Spok aurait du mal à s’en remettre, ce qui compte, c’est l’amour que les autres, nous, auront pu donner, cet effort devant les injustices que l’on ne sait pas voir, et cet effort de pardon que l’on se doit d’apporter et d’expliquer à celui qui s’égare. C’est aussi cela que l’on appelle la Paix du Christ et son service est à la fois éclairant et salvateur.
Je crois que rien n'est ôté du livre de Vie. On parle généralement d'un seul livre de Vie qui contient tout ce qu'a connu la terre et le ciel du début à la fin et qui est transcrit dans la vérité entière, celle de Dieu. Le souvenir existe toujours, aucun acte n'est substitué. Mais il existe donc le pardon qui lui va effacer la faute et la douleur et assurer la personne qu'elle est bien revenue dans la bonne voie. Il n'y a pas de pardon sans retour sur le bon chemin. Dieu, quand il pardonne, parfois à travers le pardon et l’amour des autres, fait aussi passer sa confiance et de sa force. C'est à ça qu'un individu, revenu sur le bon chemin, va pouvoir penser que peut-être il est pardonné et qu'il peut continuer alors dans cette bonne direction, sans plus avoir le poids de la repentance ou de l'expiation, de la culpabilité en tout cas. Je pense que personne ne peut juger si Dieu a pardonné un individu ou pas. Dieu ne pardonne peut-être réellement qu'après la mort, au moment du jugement (dernier), et l'individu ne peut qu'avoir au cours de sa vie le sentiment du pardon qu'il obtiendra à sa fin de la part de Dieu. Combien de fois dans sa vie quelqu'un se fait-il pardonner d'avoir eu des mauvais sentiments, des tentations, des mauvais actes? Dieu se tient prêt à pardonner, mais c'est peut-être finalement nous qui n'acceptons pas son pardon, qui le rompons par la suite en croyant aller à la confession comme à une vidange automobile, régulièrement ou trop. C'est pour ça que finalement le pardon semble se gagner à la suite d'abstinence, d'abandon ou de dévotion. Mais c'est tout l'être qui doit travailler à se faire pardonner, depuis le début jusqu'à la fin, pour toujours. Dans les situations difficiles que nous pouvons connaître, certains ont pu être confrontés à devoir admettre un avortement ou se faufiler, consciemment ou pas, au dessus des autres pour avoir un peu plus et parfois bien peu. On ne peut pas savoir ce que l'on aurait fait à la place d'un autre, si, sans éducation sociale ou spirituelle, on aurait fait moins pire. Ce n'est pas celui qui a pêché qu'il faut stigmatiser et sceller de la faute, c'est l'état des situations qu'il faut interroger et ce que l’on peut y faire ou aurait du faire. Celui qui a commis les actes doit trouver le pardon, la raison et le salut, prendre conscience de ce qui est coupable ou mauvais et des raisons. Mais son âme ne sera pas jetée aux flammes parce qu'il était celui en position de le faire et qu'il l'a fait, peut-être sans grande conscience. Celui qui a conscience du mal et qui ne lui a pas expliqué sera en revanche jugé pour ça. Et s'il le condamne à tord et sans amour, alors les flammes risquent d'être encore plus intenses pour lui. Lui, personne ne le juge sur terre, alors, c’est au ciel qu’il est jugé. La vie semble lui avoir donné tout ce que l’on peut désirer, alors que la mère de celui qu’il condamne n’a jamais rien eu et était pourtant méritante. Ce n’est donc pas sur terre que l’on est réellement jugé, les évènements ne sont pas des récompenses, les vies n’ont pas ce qu’elles méritent. Alors à travers ces injustices de la société, de la Bête, les gens doivent apprendre de ce qu’ils partagent, de ce dont ils sont responsables, des valeurs, des difficultés, du salut. Car si Dieu pardonne, l’Homme doit aussi savoir pardonner et prendre les bonnes décisions, Dieu ne le fait pas à sa place. Et ce pardon que sait donner l’Homme quand il est sage est aussi le pardon de Dieu. Il n’y a officiellement que le prêtre pour prononcer le pardon de Dieu. Mais ce pardon parle dans tous les cœurs et toutes les âmes et ce sont eux qui le portent, de la même manière qu’ils pourraient porter tout l’amour que peut donner Dieu, en être les témoins vivants.
Mais pour répondre à Danielle, je dirais que peu importe l’épaisseur du dossier, l’intensité de la vie, les tares affectives et les difficultés dans l’enfance, Dieu ne manque pas de place dans ces ordinateurs qui d’ailleurs sont ultra rapides que même Spok aurait du mal à s’en remettre, ce qui compte, c’est l’amour que les autres, nous, auront pu donner, cet effort devant les injustices que l’on ne sait pas voir, et cet effort de pardon que l’on se doit d’apporter et d’expliquer à celui qui s’égare. C’est aussi cela que l’on appelle la Paix du Christ et son service est à la fois éclairant et salvateur.
Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
Bonsoir Alchy !
Je pense que l'on est pardonné dès que l'on demande Pardon (et spécifiquement devant un prêtre, qui , comme tu le dis justement est le seul à pouvoir effacer les fautes.)
Cependant, la faute est pardonnée mais non effacée dans la mesure où nous n'avons pas pris conscience du mal que nous avons effectué
Ainsi, si Dieu a pardonné, il nous faira voir lorsque nous passerons en "jugement" l'impact de nos mauvaises actions ou pensées et les conséquencs de celles là. Il faut que nous en ayons pris conscience.
Alors nous prendrons conscience, de l'Amour, du pardon, et du moindre fait et geste et notre adhésion à Christ ne pourra plus qu'être abandon total, adhésion à Lui.
Tout comme toi, je pense également que "peu importe l'épaisseur du dossier" car dans ce dossier il y a autant de bons que de moins bons ! ...
PS : "Spok" m'a fait rire !
Je pense que l'on est pardonné dès que l'on demande Pardon (et spécifiquement devant un prêtre, qui , comme tu le dis justement est le seul à pouvoir effacer les fautes.)
Cependant, la faute est pardonnée mais non effacée dans la mesure où nous n'avons pas pris conscience du mal que nous avons effectué
Ainsi, si Dieu a pardonné, il nous faira voir lorsque nous passerons en "jugement" l'impact de nos mauvaises actions ou pensées et les conséquencs de celles là. Il faut que nous en ayons pris conscience.
Alors nous prendrons conscience, de l'Amour, du pardon, et du moindre fait et geste et notre adhésion à Christ ne pourra plus qu'être abandon total, adhésion à Lui.
Tout comme toi, je pense également que "peu importe l'épaisseur du dossier" car dans ce dossier il y a autant de bons que de moins bons ! ...
PS : "Spok" m'a fait rire !
marie1- Avec le Pape François
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Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
Par contre : explique mieux ta première phrase....comment interprêter "un croyant laic" et "fausses pensées"....
Gloria Polo s'est beaucoup plus convertie ?????? je ne te comprend pas bien certainement !
Gloria Polo s'est beaucoup plus convertie ?????? je ne te comprend pas bien certainement !
marie1- Avec le Pape François
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Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
C'est vrai que le terme "laïc" a des doubles sens selon la république ou la religion. Là je pensais au laïc des églises, ce croyant qui vient à la messe et qui n'a pas de responsabilité en tant que religieux puisqu’il est laïc et non pas religieux (prêtres, curées, sœurs, mère, chanoine…). Il s'agit de l'individu lambda qui vient à la messe plus ou moins par tradition et coutume et par suspicion ou superstition de Dieu. A l'inverse du (croyant) religieux (fonction dans l'Eglise) qui lui est sensé être plus sérieux que son frère laïc en matière de religion et de culte. Les fausses pensées, sont ces lieux communs dont parle Gloria Polo quand elle n'était pas réellement dévouée à la religion mais y croyait quand même et pensait y croire, ces fausses pensée qui font dire à l'agneau qu'elle avait fait de son corps une religion, de l'argent une religion et qu'elle n'aimait pas Dieu, mais exactement Satan.
les collaborateurs du Christ sur sa Croix
En philosophie pour le bac on peut vous demander de disserter sur l' utilité d' une balle ping pong avec au minimum cinq pages d' écriture.Alchy je suis convaincu que vous pourriez le faire...
Je suis content de vous revoir ici, une bouffée d' air frais et le retour de l' humour en attendant le retour du Roi qui apprendra aux hommes à se pardonner eux-mêmes en arrêtant de se juger sois-même trop sévèrement au point d' offenser presque le Rédempteur qui a demandé pardon à notre place auprès de son Père pour réparer la faute d' Adam et d' Eve en s' offrant en holocauste dans un acte gratuit et désintéressé sans nous avoir demandé notre avis rendez-vous compte!!!Si on substituer "la demande de pardon à Dieu " par " la collaboration avec le Christ"(collaborer avec lui)Se sera plus sympa à l' égards du Seigneur et moins offensant.Sur un tout autre sujet vous parliez sur un site internet, sur France 5 si je me souviens bien, des effets négatifs des contes de fées comme Blanche-neige etc... Et de la récupération de la mythologie par la théologie.Et pourquoi pas Alchy?La théologie c' est la science de l' amour alors il n' y a pas lieu de s' inquiéter.Il faut bien adapter son language à celui des petits enfants pour la compréhension des mystères de Dieu.Le pape Benoît XVI qui est un savant utilise pourtant des mots simples pour parler de Dieu.En tout cas soyez le bienvenue ici et dans la barque de ST Pierre.On ne sera pas de trop pour maintenir le navire hors de l' eau.L' Église a besoin de votre collaboration active.
Claudius toujours aussi romantique.
ps : Napoléon IV a pris le pouvoir en France, c' est l' histoire de France qui se répète finalement.
Je suis content de vous revoir ici, une bouffée d' air frais et le retour de l' humour en attendant le retour du Roi qui apprendra aux hommes à se pardonner eux-mêmes en arrêtant de se juger sois-même trop sévèrement au point d' offenser presque le Rédempteur qui a demandé pardon à notre place auprès de son Père pour réparer la faute d' Adam et d' Eve en s' offrant en holocauste dans un acte gratuit et désintéressé sans nous avoir demandé notre avis rendez-vous compte!!!Si on substituer "la demande de pardon à Dieu " par " la collaboration avec le Christ"(collaborer avec lui)Se sera plus sympa à l' égards du Seigneur et moins offensant.Sur un tout autre sujet vous parliez sur un site internet, sur France 5 si je me souviens bien, des effets négatifs des contes de fées comme Blanche-neige etc... Et de la récupération de la mythologie par la théologie.Et pourquoi pas Alchy?La théologie c' est la science de l' amour alors il n' y a pas lieu de s' inquiéter.Il faut bien adapter son language à celui des petits enfants pour la compréhension des mystères de Dieu.Le pape Benoît XVI qui est un savant utilise pourtant des mots simples pour parler de Dieu.En tout cas soyez le bienvenue ici et dans la barque de ST Pierre.On ne sera pas de trop pour maintenir le navire hors de l' eau.L' Église a besoin de votre collaboration active.
Claudius toujours aussi romantique.
ps : Napoléon IV a pris le pouvoir en France, c' est l' histoire de France qui se répète finalement.
Cl- Avec l'Archange Saint Michel
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Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
La collaboration avec le Christ demande de notre part une participation régulière dans la pratique des sacrements.
Claudius
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Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
Oui, collaboration avec le Christ (vivant), plutôt que repentance lourde et immobile. C'est effectivement une manière de louer la vie et le Christ plutôt que de battre sa coulpe.
Pour ce qui est le la mythologie, il faut savoir qu'elle ne fait jamais que référence à de vieux démons. Aussi grave que la mythologie, il existe l'héroïsme qui est condamné par la religion parce qu'il ne fait qu'appelle au narcissisme et finalement aux démons. La mythologie révèle que Dieu serait compris entre Amon, Zeus, Râ, Gamme, etc. Dieu a toujours une tête fluctuante, coléreuse, aimante, charnelle, décue, responsable ou irresponsable dans ce cadre. La mythologie n'est par nature qu'artifice. On peut en raconter des histoires très parlantes, éducatives et même vraisemblables, mais jamais Dieu n'y est exprimé en réalité et dans sa force. On peut faire référence a Oedipe pour comprendre notre structure humaine, sexuelle et familiale, on peut faire référence au Sphinx pou s'interroger sur le secret de la vie et de Lucifer, à Athéna pour ce qui est du féminin sacré (dont parle très mal le Da Vinci code), à Lilith pour ce qui est de l'anté monde de Vénus (l’étoile du matin) et de l'erreur d'un dieu qui fit l'homme et la femme identique contrairement à Adam et Eve, à Pan qui charmait les oreilles de toute la gamme musicale de sa flutte, à Bacchus qui était la jouissance et la colère de Zeus, Apollon que tout le monde idolâtrait, etc. Mais tout ceci est trop proche de l'homme, trop loin de Dieu, trop interprété par l'homme, combien même la mythologie est aujourd'hui une science parlante et un support aux contes et comptines. La chaire est trop présente dans ces dieux de la mythologie, ils sont régies par elle et n'existe qu'à cause d'elle, n'existent que par elle. Tous ces dieux sont faux et ne témoignent pas de Dieu, ils témoignent au mieux de l'Homme et référencent les choses (éléments, matière, humeurs, alchimie…). Jésus n'existe pas entre eux car leur monde est figé, leur histoire finie, la colère reste la colère, le plaisir reste le plaisir et s'ils étaient ôtés, alors chaque personnage mythologique n'aurait plus de raison d'être, l'Olympe devrait s'évanouir pour laisser place à Dieu et ne plus laisser l'Histoire influencer ce petit village des dieux.
Cela ne veut pas dire que l'Olympe ne tienne pas debout tout seul, cela veut dire que Jésus a réduit l'Olympe le jour de sa révélation et qu’il a révélé sa fin. Il n'y a que certaines maçonneries qui gardent l'Olympe en observation et qui la font s'améliorer. Il suffit de voir certaines oeuvres picturale maçonniques pour comprendre que Parques, Grâces, Dieux et entités n'ont pas quitté d'un pas l'élaboration républicaine.
Pour ce qui est le la mythologie, il faut savoir qu'elle ne fait jamais que référence à de vieux démons. Aussi grave que la mythologie, il existe l'héroïsme qui est condamné par la religion parce qu'il ne fait qu'appelle au narcissisme et finalement aux démons. La mythologie révèle que Dieu serait compris entre Amon, Zeus, Râ, Gamme, etc. Dieu a toujours une tête fluctuante, coléreuse, aimante, charnelle, décue, responsable ou irresponsable dans ce cadre. La mythologie n'est par nature qu'artifice. On peut en raconter des histoires très parlantes, éducatives et même vraisemblables, mais jamais Dieu n'y est exprimé en réalité et dans sa force. On peut faire référence a Oedipe pour comprendre notre structure humaine, sexuelle et familiale, on peut faire référence au Sphinx pou s'interroger sur le secret de la vie et de Lucifer, à Athéna pour ce qui est du féminin sacré (dont parle très mal le Da Vinci code), à Lilith pour ce qui est de l'anté monde de Vénus (l’étoile du matin) et de l'erreur d'un dieu qui fit l'homme et la femme identique contrairement à Adam et Eve, à Pan qui charmait les oreilles de toute la gamme musicale de sa flutte, à Bacchus qui était la jouissance et la colère de Zeus, Apollon que tout le monde idolâtrait, etc. Mais tout ceci est trop proche de l'homme, trop loin de Dieu, trop interprété par l'homme, combien même la mythologie est aujourd'hui une science parlante et un support aux contes et comptines. La chaire est trop présente dans ces dieux de la mythologie, ils sont régies par elle et n'existe qu'à cause d'elle, n'existent que par elle. Tous ces dieux sont faux et ne témoignent pas de Dieu, ils témoignent au mieux de l'Homme et référencent les choses (éléments, matière, humeurs, alchimie…). Jésus n'existe pas entre eux car leur monde est figé, leur histoire finie, la colère reste la colère, le plaisir reste le plaisir et s'ils étaient ôtés, alors chaque personnage mythologique n'aurait plus de raison d'être, l'Olympe devrait s'évanouir pour laisser place à Dieu et ne plus laisser l'Histoire influencer ce petit village des dieux.
Cela ne veut pas dire que l'Olympe ne tienne pas debout tout seul, cela veut dire que Jésus a réduit l'Olympe le jour de sa révélation et qu’il a révélé sa fin. Il n'y a que certaines maçonneries qui gardent l'Olympe en observation et qui la font s'améliorer. Il suffit de voir certaines oeuvres picturale maçonniques pour comprendre que Parques, Grâces, Dieux et entités n'ont pas quitté d'un pas l'élaboration républicaine.
Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
Mais pour répondre à Danielle, je dirais que peu importe l’épaisseur du dossier, l’intensité de la vie, les tares affectives et les difficultés dans l’enfance, Dieu ne manque pas de place dans ces ordinateurs qui d’ailleurs sont ultra rapides que même Spok aurait du mal à s’en remettre, ce qui compte, c’est l’amour que les autres, nous, auront pu donner, cet effort devant les injustices que l’on ne sait pas voir, et cet effort de pardon que l’on se doit d’apporter et d’expliquer à celui qui s’égare. C’est aussi cela que l’on appelle la Paix du Christ et son service est à la fois éclairant et salvateur
Cela répond bien à ma question...
et merci pour ce discours écrit résumant la mythologie... cher Alchy c'est tellement intéressant, je pense que c'est la première fois que je vois la mythologie sous cet angle !
Danielle- Enfant de Dieu
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Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
Dans ce siècle un peu positif, quelques esprits absolus ont proposé d' interdireà l' enfance toute oeuvre d' imagination et de fantaisie.Selon ces austères précepteurs, l' éducation consisterait à faire entrer dans une charmante petite tête autant de faits qu' elle en pourra contenir sans éclater.
Cela serait parfait si nous n' avions d' autre but que de transformer la mémore de l' enfant en un véritable dictionnaire encyclopédique, pour le mettre en état de disserter " de omni re scibili " ( ce dont Dieu nous garde! ); mais si l' homme ne vit pas seulement de pain, l'esprit ne vit pas seulement de faits.Et puis, en dehors de la vérité évangélique, source de lumière, presque tout sauf quelques axiomes incontestables, n' est-il pas, autour de vous, incertitude, illusion, mystères ?
<<Que sais-je ?>> disait naïvement Montaigne; << tout ce que je sais, c' est que je ne sais rien, >>dit un sage.En effet, plus le savant pénètre dans le domaine mystérieux de la science, plus il mesure la profondeur de l' abîme qui le sépare encore de la vérité.
Qu' il nous soit permis de citer ici l' opinion judicieuse d' un grand écrivain : << La vérité historique devrait être non moins sacrée que la religion(c' est souvent liée).Si les préceptes de la foi élèvent notre âme au-dessus des intérêts de ce monde, les enseignements de l' histoire, à leur tour, nous inspirent l' amour du beau et du juste, la haine de ce qui fait obstacle aux progrès de l' humanité.Ces enseignements, pour être profitables, exigent certaines conditions : il faut que les faits soient reproduits avec une rigoureuse exactitude.>>
Mais, à en juger par les récits contradictoiresdes évènements qui se sont accomplis sous nos yeux,ou les écrivains de l' avenir retrouveront-ils, en consultant nos contemporains, les faits reproduits avec une rigoureuse exactitude?
Tout cela, direz-vous, est bien sérieux pour de petits enfants.Aussi nous nous bornons à constater en quelques mots que la science est une série d' observations et d' hypothèses, la métaphysiqueune énigme, l' histoire un roman historique, la littérature une pure invention, la poésie un rêve, l' art le domaine exclusif de l' imagination et de la fantaisie.
Si nous nous hâtons de donner aux enfants quelques connaissances positives qui sont souvent au-dessus de leur intelligence, ne craignons pas de laisser un peu ces pauvres petits faire l' école buissonnière dans les champs de l' idéal et de la fantaisie( rêver n' est pas un péché nous dit Claudius).
Et la morale ? Nous l' estimons fort, mais à cette condition qu' elle trouvera moyen de se faire comprendre.Nous en avons fait l' expérience : nous avons essayé souvent de lire à de petits enfants des histoires bien édifiantes et bien raisonnables; mais, à la seconde page, le jeune auditoire était distrait, et à la troisième il était dispersé.Nous avons repris alors les éternels et inimitables contes de Perrault( une morale sublime selon Claudius), et aussitôt le silence était rétabli, l' attention contenue.C' est que si le corps de l' enfant, lorsqu' il est demeuré quelque temps dans le repos ou la contrainte, éprouve un besoin impérieux de mouvements violents et sésordonnés, comme ont pu le remarquer toutes les mères, son jeune esprit, qui n' est pas encore dompté par les liens et les exigences de la vie réelle, a aussi besoin de s' élancer dans les sphères de l' idéal, de l' infini, de l' impossible.Rien ne lui paraitra de trop dans les descriptions hyperboliques.Le plus petit livre a parfois quelque chose de féerique d' inspiration divine.S' il est écrit sous l' inspiration d' un coeur sincère, il fera le tour du monde(comme le petit prince de ST Exupérit qui est une parabole d' une rencontre de l' écrivain avec l' Enfant Jésus dans le ST désert explique Claudius).
J . T DE SAINT-GERMAIN
PS : les peintres, les poètes, les musiciens jouissent de l' heureux privilége d' exercer cette influence presque surnaturelle sur leurs contemporains et sur la postérité.Ils sont une façettegraçieuseet joyeuse du Père Eternel qui crée sans cesse.
Claudius Bombarnac
Cela serait parfait si nous n' avions d' autre but que de transformer la mémore de l' enfant en un véritable dictionnaire encyclopédique, pour le mettre en état de disserter " de omni re scibili " ( ce dont Dieu nous garde! ); mais si l' homme ne vit pas seulement de pain, l'esprit ne vit pas seulement de faits.Et puis, en dehors de la vérité évangélique, source de lumière, presque tout sauf quelques axiomes incontestables, n' est-il pas, autour de vous, incertitude, illusion, mystères ?
<<Que sais-je ?>> disait naïvement Montaigne; << tout ce que je sais, c' est que je ne sais rien, >>dit un sage.En effet, plus le savant pénètre dans le domaine mystérieux de la science, plus il mesure la profondeur de l' abîme qui le sépare encore de la vérité.
Qu' il nous soit permis de citer ici l' opinion judicieuse d' un grand écrivain : << La vérité historique devrait être non moins sacrée que la religion(c' est souvent liée).Si les préceptes de la foi élèvent notre âme au-dessus des intérêts de ce monde, les enseignements de l' histoire, à leur tour, nous inspirent l' amour du beau et du juste, la haine de ce qui fait obstacle aux progrès de l' humanité.Ces enseignements, pour être profitables, exigent certaines conditions : il faut que les faits soient reproduits avec une rigoureuse exactitude.>>
Mais, à en juger par les récits contradictoiresdes évènements qui se sont accomplis sous nos yeux,ou les écrivains de l' avenir retrouveront-ils, en consultant nos contemporains, les faits reproduits avec une rigoureuse exactitude?
Tout cela, direz-vous, est bien sérieux pour de petits enfants.Aussi nous nous bornons à constater en quelques mots que la science est une série d' observations et d' hypothèses, la métaphysiqueune énigme, l' histoire un roman historique, la littérature une pure invention, la poésie un rêve, l' art le domaine exclusif de l' imagination et de la fantaisie.
Si nous nous hâtons de donner aux enfants quelques connaissances positives qui sont souvent au-dessus de leur intelligence, ne craignons pas de laisser un peu ces pauvres petits faire l' école buissonnière dans les champs de l' idéal et de la fantaisie( rêver n' est pas un péché nous dit Claudius).
Et la morale ? Nous l' estimons fort, mais à cette condition qu' elle trouvera moyen de se faire comprendre.Nous en avons fait l' expérience : nous avons essayé souvent de lire à de petits enfants des histoires bien édifiantes et bien raisonnables; mais, à la seconde page, le jeune auditoire était distrait, et à la troisième il était dispersé.Nous avons repris alors les éternels et inimitables contes de Perrault( une morale sublime selon Claudius), et aussitôt le silence était rétabli, l' attention contenue.C' est que si le corps de l' enfant, lorsqu' il est demeuré quelque temps dans le repos ou la contrainte, éprouve un besoin impérieux de mouvements violents et sésordonnés, comme ont pu le remarquer toutes les mères, son jeune esprit, qui n' est pas encore dompté par les liens et les exigences de la vie réelle, a aussi besoin de s' élancer dans les sphères de l' idéal, de l' infini, de l' impossible.Rien ne lui paraitra de trop dans les descriptions hyperboliques.Le plus petit livre a parfois quelque chose de féerique d' inspiration divine.S' il est écrit sous l' inspiration d' un coeur sincère, il fera le tour du monde(comme le petit prince de ST Exupérit qui est une parabole d' une rencontre de l' écrivain avec l' Enfant Jésus dans le ST désert explique Claudius).
J . T DE SAINT-GERMAIN
PS : les peintres, les poètes, les musiciens jouissent de l' heureux privilége d' exercer cette influence presque surnaturelle sur leurs contemporains et sur la postérité.Ils sont une façettegraçieuseet joyeuse du Père Eternel qui crée sans cesse.
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lE MARQUIS DE CARABAS
Les illustrations de Gustave Doré dépassent la fonction ornementale, elles ont Une fonction narrative
" mon âme a été très bouleversé par ces contines.Elles me donnèrent un sens aigu du bien et du mal et m' ont appris à me méfier surtout du mal qui peut revêtir toutes les formes et mêmes les plus belles sous l' apparence de la piétée!Je souffrais d' autisme modéré étant enfant jusqu' à l' âge de 35ans puis le Seigneur a déchiré ce voile qui emprisonnait mon esprit, par ces images je pouvais accéder à la compréhension qui passe nécessairement par l' intellect. "
Claudius Bombarnac
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Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
Les contes sont résolument des moyens d'éveil, de détente et de moralité. Ils racontent effectivement le bien et le mal et leurs astuces, leurs valeurs et leurs problématiques. Ils mettent en scène des questions qui viennent à un moment ou un autre de la vie ou de l'humanité et sont des représentations de réalités rendues symboliques et qui trouvent leur solution.
Mais tout ceci a des limites. La première, c'est de ne pas confondre la fantaisie avec la religion. La mythologie a ce facteur de fantaisie aux yeux de ce qu'est Dieu. Si elle témoigne bien et avec complexité de la nature humaine rattachée au cosmos (les étoiles témoignant des dieux ou permettant leur représentation. Ces dieux ont parallèlement des visages humains), elle ne témoigne pas de Dieu et rien n'a pu sauver l'Olympe, de la même manière que l'Homme s'égare tout seul, sans Dieu. Il en est de même des films où interviennent des prêtes et qui donnent caution à des vampires et autres possédés. Si ont reconnaît de suite le caractère comique du scénario, on ne fait jamais trop attention à ce que cela laisse des petites croyances erronées en ce qui concerne les réelles approches de la religion en matière de démon, leur signification, les clichés, etc. Quand on prend la comédie musicale " Jésus Christ Superstar", on constate sans trop chercher que toute l'oeuvre baigne dans le paganisme, l'hérésie, l'héroïsme, la sentimentalité en effusion, l'exaltation et re- les clichés. Pourtant, les créateurs étaient de toute bonne intention. Mais voilà, une catastrophe...
La seconde chose dont il faut faire attention avec la fantaisie, c'est quand elle part trop loin. "Alice au Pays des Merveilles" et un exemple d'autodéfense d'un auteur envers sa création ou son publique qu'il met en garde en fouillant dans toute sa folie. Cette oeuvre par Disney avait par exemple dérangé ma mère qui en était presque phobique étant enfant. Elle était pour elle violente. Mais il en était de même de l'histoire originale de "la Petite Sirène" qu'elle n'avait pas connu dénaturée et adoucie par ce même Disney des années après. C'est une histoire extrêmement angoissante et tragique à la base. Et ce conte racontait comment le monde du haut et du bas, du réel et des rêves sont hermétiques et dangereux l'un pour l'autre (alors que tout est inversé et que c’est le rêve, la sirène qui vient du bas, qui va aimer la réalité, le marin. L’entité du rêve va mourir). L'amour y était puni de mort et de souffrance. C'est une histoire qui incitait à l'origine les petites filles à toujours rester dans leur maison, sous leur autorité parentale (d'un point de vue maternel) et morale. A l'inverse, on peut citer les dérapages de la fantaisie dans une violence banalisée que l'on trouve dans les mangas et le cinéma. A travers ça, on retrouve pas mal conditionné tous les réflexes et l'intérêt que l'on peut avoir dans le sexe, les réactions de défense et d'agressivité, les désirs, les influences morales, les plaisirs enviables. C'est là qu'il faut faire la part des choses entre les sentiments que l'on tire de la fantaisie et ceux que l'on devrait avoir du monde. Car on les confond parfois, ou alors, on les perd avec la banalisation des excès et la prévalence des sentiments de la fantaisie sur ceux du monde. Je me demande d'ailleurs si on ne devrait pas faire attention à bien faire la part des choses entre le contentement que l'on tire de la fantaisie (ciné, télé, livre, radio...) et celui que l'on a de la vie. On serait peut-être étonné de s'apercevoir que tout reposait sur les pulsions, les sentiments et les représentations que l'on tire des médias et des effets passagers de groupe.
Gloria Polo doit me comprendre.
Mais tout ceci a des limites. La première, c'est de ne pas confondre la fantaisie avec la religion. La mythologie a ce facteur de fantaisie aux yeux de ce qu'est Dieu. Si elle témoigne bien et avec complexité de la nature humaine rattachée au cosmos (les étoiles témoignant des dieux ou permettant leur représentation. Ces dieux ont parallèlement des visages humains), elle ne témoigne pas de Dieu et rien n'a pu sauver l'Olympe, de la même manière que l'Homme s'égare tout seul, sans Dieu. Il en est de même des films où interviennent des prêtes et qui donnent caution à des vampires et autres possédés. Si ont reconnaît de suite le caractère comique du scénario, on ne fait jamais trop attention à ce que cela laisse des petites croyances erronées en ce qui concerne les réelles approches de la religion en matière de démon, leur signification, les clichés, etc. Quand on prend la comédie musicale " Jésus Christ Superstar", on constate sans trop chercher que toute l'oeuvre baigne dans le paganisme, l'hérésie, l'héroïsme, la sentimentalité en effusion, l'exaltation et re- les clichés. Pourtant, les créateurs étaient de toute bonne intention. Mais voilà, une catastrophe...
La seconde chose dont il faut faire attention avec la fantaisie, c'est quand elle part trop loin. "Alice au Pays des Merveilles" et un exemple d'autodéfense d'un auteur envers sa création ou son publique qu'il met en garde en fouillant dans toute sa folie. Cette oeuvre par Disney avait par exemple dérangé ma mère qui en était presque phobique étant enfant. Elle était pour elle violente. Mais il en était de même de l'histoire originale de "la Petite Sirène" qu'elle n'avait pas connu dénaturée et adoucie par ce même Disney des années après. C'est une histoire extrêmement angoissante et tragique à la base. Et ce conte racontait comment le monde du haut et du bas, du réel et des rêves sont hermétiques et dangereux l'un pour l'autre (alors que tout est inversé et que c’est le rêve, la sirène qui vient du bas, qui va aimer la réalité, le marin. L’entité du rêve va mourir). L'amour y était puni de mort et de souffrance. C'est une histoire qui incitait à l'origine les petites filles à toujours rester dans leur maison, sous leur autorité parentale (d'un point de vue maternel) et morale. A l'inverse, on peut citer les dérapages de la fantaisie dans une violence banalisée que l'on trouve dans les mangas et le cinéma. A travers ça, on retrouve pas mal conditionné tous les réflexes et l'intérêt que l'on peut avoir dans le sexe, les réactions de défense et d'agressivité, les désirs, les influences morales, les plaisirs enviables. C'est là qu'il faut faire la part des choses entre les sentiments que l'on tire de la fantaisie et ceux que l'on devrait avoir du monde. Car on les confond parfois, ou alors, on les perd avec la banalisation des excès et la prévalence des sentiments de la fantaisie sur ceux du monde. Je me demande d'ailleurs si on ne devrait pas faire attention à bien faire la part des choses entre le contentement que l'on tire de la fantaisie (ciné, télé, livre, radio...) et celui que l'on a de la vie. On serait peut-être étonné de s'apercevoir que tout reposait sur les pulsions, les sentiments et les représentations que l'on tire des médias et des effets passagers de groupe.
Gloria Polo doit me comprendre.
Jésus j' ai confiance en toi !
Probablement que c''est vous qui êtes dans le vrai! Je ne trouve pas très convainquant comme outil pédagogique l' utilisation de la peur avec ce témoignage de Gloria Polo.Brandir la menace de l' enfer et de la damnation poussé à l' extrême nous font oublier l' essentiel.La mesure exacte de l' amour...
Si j' avais des enfants je n' aurai pas eu envie de les terroriser avec un Dieu des enfers qui ne correspond pas à la réalité de Dieu qui est charité au sein de sa Trinité.Enseigner la science de Dieu, la science de l' amour est plus profitable à mon sens à l' éveil de la conscience chez les tous petits.Je n' adhère pas à cette pédagogie de la grâce basée sur " LA PEUR ".Je ne suis pas convaincu que l' on façonne des " coeurs sincères " avec une religion effrayante.Proposer le Ciel me semble plus approprié selon moi dans un esprit de vérité à la lumière des saints evangiles.La religiosité n' a rien avoir avec la religion catholique qui est si belle!
Jésus miséricordieux j' ai confiance et j' espère en toi !
" cet acte de Foi très moderne transmis à Soeur Faustine et anobli par le successeur de Pierre"
Si j' avais des enfants je n' aurai pas eu envie de les terroriser avec un Dieu des enfers qui ne correspond pas à la réalité de Dieu qui est charité au sein de sa Trinité.Enseigner la science de Dieu, la science de l' amour est plus profitable à mon sens à l' éveil de la conscience chez les tous petits.Je n' adhère pas à cette pédagogie de la grâce basée sur " LA PEUR ".Je ne suis pas convaincu que l' on façonne des " coeurs sincères " avec une religion effrayante.Proposer le Ciel me semble plus approprié selon moi dans un esprit de vérité à la lumière des saints evangiles.La religiosité n' a rien avoir avec la religion catholique qui est si belle!
Jésus miséricordieux j' ai confiance et j' espère en toi !
" cet acte de Foi très moderne transmis à Soeur Faustine et anobli par le successeur de Pierre"
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ENSEIGNER L' AMITIE AVEC DIEU C' EST MIEUX!!!
Arrêtons-nous sur deux points. Le premier est le chemin vers "la maturité du Christ", c’est ce que dit, en simplifiant un peu, le texte italien. Pour être plus précis, nous devrions parler, selon le texte grec, de la "mesure de la plénitude du Christ", à laquelle nous sommes appelés à arriver pour être réellement adultes dans la foi. Nous ne devrions pas rester des enfants dans la foi, dans un état de minorité. Et en quoi consiste le fait d’être des enfants dans la foi ? Saint Paul répond : "Ainsi nous ne serons plus des enfants, nous ne nous laisserons plus ballotter et emporter à tout vent de la doctrine" (Ep 4, 14). Une description très actuelle !
Combien de vents de la doctrine avons-nous connus au cours des dernières décennies, combien de courants idéologiques, combien de modes de la pensée... La petite barque de la pensée de nombreux chrétiens a été souvent ballottée par ces vagues - jetée d’un extrême à l’autre : du marxisme au libéralisme, jusqu’au libertinisme ; du collectivisme à l’individualisme radical ; de l’athéïsme à un vague mysticisme religieux ; de l’agnosticisme au syncrétisme et ainsi de suite. Chaque jour naissent de nouvelles sectes et se réalise ce que dit saint Paul à propos de l’imposture des hommes, de l’astuce qui tend à les induire en erreur (cf. Ep 4, 14). Posséder une foi claire, selon le Credo de l’Eglise, est souvent défini comme du fondamentalisme. Tandis que le relativisme, c’est-à-dire se laisser entraîner "à tout vent de la doctrine", apparaît comme l’unique attitude à la hauteur de l’époque actuelle. L’on est en train de mettre sur pied une dictature du relativisme qui ne reconnaît rien comme définitif et qui donne comme mesure ultime uniquement son propre ego et ses désirs.
Nous possédons, en revanche, une autre mesure : le Fils de Dieu, l’homme véritable. C’est lui la mesure du véritable humanisme. Une foi "adulte" ne suit pas les courants de la mode et des dernières nouveautés ; une foi adulte et mûre est une foi profondément enracinée dans l’amitié avec le Christ. C’est cette amitié qui nous ouvre à tout ce qui est bon et qui nous donne le critère permettant de discerner entre le vrai et le faux, entre imposture et vérité. Cette foi adulte doit mûrir en nous, c’est vers cette foi que nous devons guider le troupeau du Christ. Et c’est cette foi, - cette foi seule - qui crée l’unité et qui se réalise dans la charité. Saint Paul nous offre à ce propos - en contraste avec les tribulations incessantes de ceux qui sont comme des enfants ballotés par les flots - une belle parole : faire la vérité dans la charité, comme formule fondamentale de l’existence chrétienne. Dans le Christ, vérité et charité se retrouvent. Dans la mesure où nous nous rapprochons du Christ, la vérité et la charité se confondent aussi dans notre vie. La charité sans vérité serait aveugle ; la vérité sans charité serait comme "cymbale qui retentit" (1 Co 13, 1).
S.S Benoît XVI
Combien de vents de la doctrine avons-nous connus au cours des dernières décennies, combien de courants idéologiques, combien de modes de la pensée... La petite barque de la pensée de nombreux chrétiens a été souvent ballottée par ces vagues - jetée d’un extrême à l’autre : du marxisme au libéralisme, jusqu’au libertinisme ; du collectivisme à l’individualisme radical ; de l’athéïsme à un vague mysticisme religieux ; de l’agnosticisme au syncrétisme et ainsi de suite. Chaque jour naissent de nouvelles sectes et se réalise ce que dit saint Paul à propos de l’imposture des hommes, de l’astuce qui tend à les induire en erreur (cf. Ep 4, 14). Posséder une foi claire, selon le Credo de l’Eglise, est souvent défini comme du fondamentalisme. Tandis que le relativisme, c’est-à-dire se laisser entraîner "à tout vent de la doctrine", apparaît comme l’unique attitude à la hauteur de l’époque actuelle. L’on est en train de mettre sur pied une dictature du relativisme qui ne reconnaît rien comme définitif et qui donne comme mesure ultime uniquement son propre ego et ses désirs.
Nous possédons, en revanche, une autre mesure : le Fils de Dieu, l’homme véritable. C’est lui la mesure du véritable humanisme. Une foi "adulte" ne suit pas les courants de la mode et des dernières nouveautés ; une foi adulte et mûre est une foi profondément enracinée dans l’amitié avec le Christ. C’est cette amitié qui nous ouvre à tout ce qui est bon et qui nous donne le critère permettant de discerner entre le vrai et le faux, entre imposture et vérité. Cette foi adulte doit mûrir en nous, c’est vers cette foi que nous devons guider le troupeau du Christ. Et c’est cette foi, - cette foi seule - qui crée l’unité et qui se réalise dans la charité. Saint Paul nous offre à ce propos - en contraste avec les tribulations incessantes de ceux qui sont comme des enfants ballotés par les flots - une belle parole : faire la vérité dans la charité, comme formule fondamentale de l’existence chrétienne. Dans le Christ, vérité et charité se retrouvent. Dans la mesure où nous nous rapprochons du Christ, la vérité et la charité se confondent aussi dans notre vie. La charité sans vérité serait aveugle ; la vérité sans charité serait comme "cymbale qui retentit" (1 Co 13, 1).
S.S Benoît XVI
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ENSEIGNER L' AMITIE AVEC DIEU C' EST MIEUX!!!
L'image de Jésus miséricordieux
. De quoi s'agit-il ?
Une image :
Elle représente le Christ vêtu d'une grande robe blanche, bénissant de la main droite et montrant de la main gauche son coeur ouvert d'où jaillissent deux rayons l'un blanc, l'autre rouge. Ce sont l'eau et le sang que l'évangéliste saint Jean a vu sortir du côté du Christ après sa mort sur la croix (Jean, 19, 34). Ils figurent les torrents d'amour dont Jésus veut nous inonder, le don gratuit et illimité de sa Miséricorde.
"La source de ma Miséricorde fut largement ouverte par la lance sur la croix pour toutes les âmes, je n'ai exclu personne." (Jésus à Soeur Faustine - Petit Journal § 1182)
Une inscription :
Sous l'image, on lit « Jezu, ufam Tobie » qui signifie « Jésus j'ai confiance en toi ». Nous ne craignons pas de nous approcher de Jésus: auprès de lui nous sommes en sécurité et en paix. Nous abandonnons toutes nos préoccupations entre ses mains toutes-puissantes, ayant l'assurance qu'il nous entend et qu'il prend un soin infini de nous.
. Pourquoi vénérer cette image ?
Pour répondre au désir de Jésus :
"Je donne aux hommes un vase, avec lequel ils doivent venir puiser la grâce à la source de la miséricorde. Ce vase, c'est cette image, avec l'inscription: Jésus, j'ai confiance en Toi." (Jésus à Soeur Faustine - Petit Journal § 327)
Pour recevoir les grâces qu'il a promises :
"Par cette image j'accorderai beaucoup de grâces, que chaque âme ait donc accès
à elle." (Jésus à Soeur Faustine - Petit Journal § 570)
"Je promets que l'âme qui honorera cette image ne sera pas perdue. Je lui promets aussi la victoire spécialement à l'heure de la mort." (Jésus à Soeur Faustine - Petit Journal § 47)
En dépassant les considérations esthétiques :
Soeur Faustine elle-même, consciente des limites de l'oeuvre réalisée par l'artiste de Vilnius raconte : "J'ai dit au Seigneur: Qui Te peindra aussi beau que Tu l'es? - Soudain j'ai entendu ces paroles: Ce n'est ni dans la beauté des couleurs, ni dans celle du coup de pinceau que réside la grandeur de cette image, mais dans ma grâce." (Petit Journal § 313) .
. De quoi s'agit-il ?
Une image :
Elle représente le Christ vêtu d'une grande robe blanche, bénissant de la main droite et montrant de la main gauche son coeur ouvert d'où jaillissent deux rayons l'un blanc, l'autre rouge. Ce sont l'eau et le sang que l'évangéliste saint Jean a vu sortir du côté du Christ après sa mort sur la croix (Jean, 19, 34). Ils figurent les torrents d'amour dont Jésus veut nous inonder, le don gratuit et illimité de sa Miséricorde.
"La source de ma Miséricorde fut largement ouverte par la lance sur la croix pour toutes les âmes, je n'ai exclu personne." (Jésus à Soeur Faustine - Petit Journal § 1182)
Une inscription :
Sous l'image, on lit « Jezu, ufam Tobie » qui signifie « Jésus j'ai confiance en toi ». Nous ne craignons pas de nous approcher de Jésus: auprès de lui nous sommes en sécurité et en paix. Nous abandonnons toutes nos préoccupations entre ses mains toutes-puissantes, ayant l'assurance qu'il nous entend et qu'il prend un soin infini de nous.
. Pourquoi vénérer cette image ?
Pour répondre au désir de Jésus :
"Je donne aux hommes un vase, avec lequel ils doivent venir puiser la grâce à la source de la miséricorde. Ce vase, c'est cette image, avec l'inscription: Jésus, j'ai confiance en Toi." (Jésus à Soeur Faustine - Petit Journal § 327)
Pour recevoir les grâces qu'il a promises :
"Par cette image j'accorderai beaucoup de grâces, que chaque âme ait donc accès
à elle." (Jésus à Soeur Faustine - Petit Journal § 570)
"Je promets que l'âme qui honorera cette image ne sera pas perdue. Je lui promets aussi la victoire spécialement à l'heure de la mort." (Jésus à Soeur Faustine - Petit Journal § 47)
En dépassant les considérations esthétiques :
Soeur Faustine elle-même, consciente des limites de l'oeuvre réalisée par l'artiste de Vilnius raconte : "J'ai dit au Seigneur: Qui Te peindra aussi beau que Tu l'es? - Soudain j'ai entendu ces paroles: Ce n'est ni dans la beauté des couleurs, ni dans celle du coup de pinceau que réside la grandeur de cette image, mais dans ma grâce." (Petit Journal § 313) .
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Re: ***TEMOIGNAGE D'UNE RESCAPÉE DE L'ENFER, (GLORIA POLO)***
Enseigner l' amitié avec Dieu c' est tellement mieux!!!
Claudius Bombarnac
Claudius Bombarnac
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Le coup de foudre de Dieu POUR Gloria Polo tout amourée!
LE COUP DE FOUDRE!
Un coup de foudre est une expression francophone qui désigne le fait de tomber subitement en admiration amoureuse pour une personne. C'est un phénomène presque mythique( et mystique selon Claudius) des notions amoureuses, et considéré comme un idéal romantique.
Définition de WikiPédia l' encyclopédie universelle.
PS : l' enfer existe et il commence sur la terre dans notre propre ENFERmement sur nous mêmes consécutif à notre égoïsme.
Claudius
Un coup de foudre est une expression francophone qui désigne le fait de tomber subitement en admiration amoureuse pour une personne. C'est un phénomène presque mythique( et mystique selon Claudius) des notions amoureuses, et considéré comme un idéal romantique.
Définition de WikiPédia l' encyclopédie universelle.
PS : l' enfer existe et il commence sur la terre dans notre propre ENFERmement sur nous mêmes consécutif à notre égoïsme.
Claudius
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