nos images Nos croix et nos statues
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nos images Nos croix et nos statues
Dans l'Église catholique
, il en va exactement comme dans la Bible : les statues ou images sont seulement des SIGNES ou symboles pour notre foi. Elles ne font l'objet d'aucune adoration. Il est ABSURDE de prétendre que les catholiques les adorent comme le feraient de vulgaires païens primitifs! Cela démontre une complète méconnaissance.... de la foi catholique - .et des passages bibliques où Dieu prescrit certaines représentations ou statues.
POUR MIEUX COMPRENDRE
Les statues religieuses sont comme la photo d'une personne qui nous est chère. Ce n'est pas la photo elle-même (du vulgaire papier!) que nous aimons et respectons, mais la PERSONNE qu'elle représente. Cela reste vrai même si nous honorons la photo par un beau cadre. Qui serait assez fou pour confondre la personne et son image !?
IMAGES UTILES
Dans les premiers siècles du christianisme, les sculptures ou peintures chrétiennes servaient à la catéchèse en images pour un peuple illettré, de la même manière que nous avons aujourd'hui des bandes dessinées chrétiennes.
Cela entre dans la logique de l'Incarnation : Dieu a voulu se manifester dans notre chair humaine par son Image, le Christ (Jn 14.9 ; Col 1.15 ; Hb 1.2-3 ; 1 Jn 1.1-3). C'est donc tout naturellement et spontanément que les chrétiens ont représenté leur Sauveur tel qu'il s'était présenté à eux.
Ces représentations religieuses concernent d'abord le Christ, "I'IMAGE de Dieu" (Col 1.15).les saintes images représentent ensuite ceux que Dieu nous donne en exemple comme grands témoins de la foi (cf. Hb 11), comme "lumière du monde" (Mt 5.14- 16).
En vénérant une image sainte, le croyant « vénère en elle la personne qui y est dépeinte. » Voir le Catéchisme de l'Eglise catholique n° 477
, il en va exactement comme dans la Bible : les statues ou images sont seulement des SIGNES ou symboles pour notre foi. Elles ne font l'objet d'aucune adoration. Il est ABSURDE de prétendre que les catholiques les adorent comme le feraient de vulgaires païens primitifs! Cela démontre une complète méconnaissance.... de la foi catholique - .et des passages bibliques où Dieu prescrit certaines représentations ou statues.
POUR MIEUX COMPRENDRE
Les statues religieuses sont comme la photo d'une personne qui nous est chère. Ce n'est pas la photo elle-même (du vulgaire papier!) que nous aimons et respectons, mais la PERSONNE qu'elle représente. Cela reste vrai même si nous honorons la photo par un beau cadre. Qui serait assez fou pour confondre la personne et son image !?
IMAGES UTILES
Dans les premiers siècles du christianisme, les sculptures ou peintures chrétiennes servaient à la catéchèse en images pour un peuple illettré, de la même manière que nous avons aujourd'hui des bandes dessinées chrétiennes.
Cela entre dans la logique de l'Incarnation : Dieu a voulu se manifester dans notre chair humaine par son Image, le Christ (Jn 14.9 ; Col 1.15 ; Hb 1.2-3 ; 1 Jn 1.1-3). C'est donc tout naturellement et spontanément que les chrétiens ont représenté leur Sauveur tel qu'il s'était présenté à eux.
Ces représentations religieuses concernent d'abord le Christ, "I'IMAGE de Dieu" (Col 1.15).les saintes images représentent ensuite ceux que Dieu nous donne en exemple comme grands témoins de la foi (cf. Hb 11), comme "lumière du monde" (Mt 5.14- 16).
En vénérant une image sainte, le croyant « vénère en elle la personne qui y est dépeinte. » Voir le Catéchisme de l'Eglise catholique n° 477
Re: nos images Nos croix et nos statues
POURQUOI 2 POIDS 2 MESURES EN MATIÈRE DE SYMBOLES ?
L'on accepte bien les statues dans nos villes. L'on trouve normal d'exposer chez soi ou dans nos bureaux le portrait du président, ou nos photos de famille. On fait des images pour des blogs, et on passe des heures à contempler le portrait de sa petite amie, ou de sa mère bien-aimée. ...Alors pourquoi s'offusquer des statues ou images représentant le Christ, la Vierge ou un autre saint chez les catholiques, qui font ainsi mémoire de leur Seigneur et de leur famille spirituelle ?
L'on accepte les insignes, uniformes, et drapeaux qui manifestent l'appartenance à un corps ou un pays; et on les respecte et les salue (salut au drapeau). Alors pourquoi dénigrer et taxer d'idolâtrie les symboles religieux et le respect que leur portent les catholiques ?
Si on veut prendre la Bible à la lettre, il faut alors TOUT condamner .
(Ce que font les Témoins de Jéhovah.) Mais si l'on accepte les symboles civils, pourquoi rejeter les symboles religieux en les qualifiant d'idoles ?
Apprenons à distinguer entre symbole (acceptable) et idole (à rejeter).
MAIS que dire de l’esprit magique et fétichiste trop fréquent dans la piété populaire autour des statues, des images, des chapelets, des médailles, des bagues, de l’eau bénite, de l’encens, des huiles, des bougies, des recueils de prières traditionnelles.... ?
Certes, ces objets ne sont pas à réprouver en eux-mêmes – dans la mesure du moins d’un usage sobre et d’une foi vraiment évangélique.
Hélas ! L’attachement excessif qu’on leur porte trop souvent n’est pas pur de tout et de toute superstition !
Quand on voit le culte parfois douteux au quasi superstitieux dont sont l’objet des statues de Marie (... plus rarement des statues de Jésus !), comment s’étonner alors que certains crient à l’idolâtrie !
Quand on voit tant de fidèles se ruer sur les médailles ou les bagues pour les acheter à prix d’or, ...alors que pour l’indispensable littérature chrétienne, « on n’a pas l’argent », « ça coûte trop cher », « ça devrait être (gratuit) »....
Quand on voit tout ce qu’on demande aux prêtres de bénir : bidons ou bassines d’eau, sac de sel, bics, images pieuses voiture maison ...comme pour leur conférer quelque pouvoir magique !
Qu’il nous soit permis encore de déplorer le florissant commerce de tant d’objets de pacotille – pardon ! de piété. Comment cela ne nous ferait-il pas penser aux marchands du temple que Jésus chassa vigoureusement, en disant : « Enlevez cela d’ici. Ne faites de la maison de mon Père une maison de commerce. » (Mt 21, Mc 11, Lc 19, Jn 2).
« Mon peuple périt faute de connaissance » (Osée 4.6)
Certains prétendront normale, voire indispensable, cette 'incarnation' de la piété populaire, vu la condition charnelle de l'homme. Force est pourtant de reconnaître que beaucoup de non-catholiques, qui font fi de cette panoplie de symboles, n'en sont pas moins forts dans leur foi !
Certes, nous n'avons pas à condamner les statues et autres objets de piété en soi -- mais seulement à nous garder de toute dépendance à leur égard. Faisons-le d'abord par souci d'une foi vraie et profonde, attachée aux réalités spirituelles. Et aussi dans le souci de ne pas provoquer le scandale ou l'incompréhension autour de nous. Le chrétien doit être un témoin de la vraie foi.
Si nous voulons réagir face à ce que nous pensons être du fétichisme, faisons-le cependant avec délicatesse et patience. Ce n'est pas en critiquant sauvagement certaines traditions religieuses 'catholiques' que nous les corrigerons. Cela risque de provoquer encore et toujours de nouvelles incompréhensions, voire des querelles ou accusations de « sectaire anti-catholique », surtout de la part des personnes ancrées dans leurs traditions. Il s'agit de convaincre! Évitons donc de nous diviser ou de heurter inutilement. Faisons preuve de patience, de douceur, de respect: « Soyez toujours prêts à rendre raison de l'espérance qui est en vous. Mais que ce soit avec douceur et respect.» (1 p 3..15-16; cf. 1 Tim 5.1; 2 Tim 4.1)
.
A ceux qui accusent le catholicisme, rappelons la parole de Paul: « Tout est pur pour qui est pur » (Tite 1.15). L'usage des signes -- "saintes images" -- est pur pour qui adore Dieu en esprit et en vérité (Jn 4.23).
Avant de crier à l’idolâtrie, regardons d’abord les fruits évangéliques. Jugeons l’arbre à ses fruits (Lc 6.44). Si la foi en Christ, avec la charité, la paix, et les béatitudes évangéliques, sont bien présentes chez les catholiques, ne les taxons pas trop vite d’idolâtrie – S.V.P !Afficher la suite
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L'on accepte bien les statues dans nos villes. L'on trouve normal d'exposer chez soi ou dans nos bureaux le portrait du président, ou nos photos de famille. On fait des images pour des blogs, et on passe des heures à contempler le portrait de sa petite amie, ou de sa mère bien-aimée. ...Alors pourquoi s'offusquer des statues ou images représentant le Christ, la Vierge ou un autre saint chez les catholiques, qui font ainsi mémoire de leur Seigneur et de leur famille spirituelle ?
L'on accepte les insignes, uniformes, et drapeaux qui manifestent l'appartenance à un corps ou un pays; et on les respecte et les salue (salut au drapeau). Alors pourquoi dénigrer et taxer d'idolâtrie les symboles religieux et le respect que leur portent les catholiques ?
Si on veut prendre la Bible à la lettre, il faut alors TOUT condamner .
(Ce que font les Témoins de Jéhovah.) Mais si l'on accepte les symboles civils, pourquoi rejeter les symboles religieux en les qualifiant d'idoles ?
Apprenons à distinguer entre symbole (acceptable) et idole (à rejeter).
MAIS que dire de l’esprit magique et fétichiste trop fréquent dans la piété populaire autour des statues, des images, des chapelets, des médailles, des bagues, de l’eau bénite, de l’encens, des huiles, des bougies, des recueils de prières traditionnelles.... ?
Certes, ces objets ne sont pas à réprouver en eux-mêmes – dans la mesure du moins d’un usage sobre et d’une foi vraiment évangélique.
Hélas ! L’attachement excessif qu’on leur porte trop souvent n’est pas pur de tout et de toute superstition !
Quand on voit le culte parfois douteux au quasi superstitieux dont sont l’objet des statues de Marie (... plus rarement des statues de Jésus !), comment s’étonner alors que certains crient à l’idolâtrie !
Quand on voit tant de fidèles se ruer sur les médailles ou les bagues pour les acheter à prix d’or, ...alors que pour l’indispensable littérature chrétienne, « on n’a pas l’argent », « ça coûte trop cher », « ça devrait être (gratuit) »....
Quand on voit tout ce qu’on demande aux prêtres de bénir : bidons ou bassines d’eau, sac de sel, bics, images pieuses voiture maison ...comme pour leur conférer quelque pouvoir magique !
Qu’il nous soit permis encore de déplorer le florissant commerce de tant d’objets de pacotille – pardon ! de piété. Comment cela ne nous ferait-il pas penser aux marchands du temple que Jésus chassa vigoureusement, en disant : « Enlevez cela d’ici. Ne faites de la maison de mon Père une maison de commerce. » (Mt 21, Mc 11, Lc 19, Jn 2).
« Mon peuple périt faute de connaissance » (Osée 4.6)
Certains prétendront normale, voire indispensable, cette 'incarnation' de la piété populaire, vu la condition charnelle de l'homme. Force est pourtant de reconnaître que beaucoup de non-catholiques, qui font fi de cette panoplie de symboles, n'en sont pas moins forts dans leur foi !
Certes, nous n'avons pas à condamner les statues et autres objets de piété en soi -- mais seulement à nous garder de toute dépendance à leur égard. Faisons-le d'abord par souci d'une foi vraie et profonde, attachée aux réalités spirituelles. Et aussi dans le souci de ne pas provoquer le scandale ou l'incompréhension autour de nous. Le chrétien doit être un témoin de la vraie foi.
Si nous voulons réagir face à ce que nous pensons être du fétichisme, faisons-le cependant avec délicatesse et patience. Ce n'est pas en critiquant sauvagement certaines traditions religieuses 'catholiques' que nous les corrigerons. Cela risque de provoquer encore et toujours de nouvelles incompréhensions, voire des querelles ou accusations de « sectaire anti-catholique », surtout de la part des personnes ancrées dans leurs traditions. Il s'agit de convaincre! Évitons donc de nous diviser ou de heurter inutilement. Faisons preuve de patience, de douceur, de respect: « Soyez toujours prêts à rendre raison de l'espérance qui est en vous. Mais que ce soit avec douceur et respect.» (1 p 3..15-16; cf. 1 Tim 5.1; 2 Tim 4.1)
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A ceux qui accusent le catholicisme, rappelons la parole de Paul: « Tout est pur pour qui est pur » (Tite 1.15). L'usage des signes -- "saintes images" -- est pur pour qui adore Dieu en esprit et en vérité (Jn 4.23).
Avant de crier à l’idolâtrie, regardons d’abord les fruits évangéliques. Jugeons l’arbre à ses fruits (Lc 6.44). Si la foi en Christ, avec la charité, la paix, et les béatitudes évangéliques, sont bien présentes chez les catholiques, ne les taxons pas trop vite d’idolâtrie – S.V.P !Afficher la suite
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Re: nos images Nos croix et nos statues
Qu'entendez-vous par adoration?
Pensez-vous que nous ne vénérons pas Dieu assez?
Votre soeur en Christ
Pensez-vous que nous ne vénérons pas Dieu assez?
Votre soeur en Christ
Invité- Invité
Re: nos images Nos croix et nos statues
Adoration
Dans l'Église orthodoxe et dans le protestantisme, l'adoration du Saint sacrement n'existe pas, c'est une dévotion catholique.
Il y a des temps fort de l'église où le Saint Sacrement est exposé pendant une heure parfois toute la nuit, cela peut être le ciboire qui est exposé.
Alors l'heure d'adoration est l'heure que nous passons en prière avec Jésus qui est représenté par Jésus Hostie dans le Ciboire , ou Jésus au Saint Sacrement il est en face de nous, nous lui parlons il nous entend et il est content que nous ayons tous laisser pour passer un moment avec lui en intimité il n'est plus seul dans l'église dans son Tabernacle où il reste seule là il est avec nous.
Le sens
L'adoration du Saint sacrement consiste dans la contemplation du Christ présent dans l'eucharistie. C'est un dialogue intime avec Jésus. Prier devant le Saint sacrement exposé sur l'autel, c'est porter un regard de foi sur Jésus Christ réellement présent. C'est demeurer longuement en une conversation spirituelle, une adoration silencieuse et une attitude d'amour. C’est un face à face avec le Christ. « Je l’avise et il m’avise » répondit simplement un paroissien du saint Curé d’Ars qui l’interrogeait sur ses nombreux et longs temps d’adoration. Jean-Paul II témoigne de l'adoration : " Il est bon de s'entretenir avec Lui et, penchés sur sa poitrine comme le disciple bien-aimé (Jn 13,25), d'être touchés par l'amour infini de son cœur.
Dans l'Église orthodoxe et dans le protestantisme, l'adoration du Saint sacrement n'existe pas, c'est une dévotion catholique.
Il y a des temps fort de l'église où le Saint Sacrement est exposé pendant une heure parfois toute la nuit, cela peut être le ciboire qui est exposé.
Alors l'heure d'adoration est l'heure que nous passons en prière avec Jésus qui est représenté par Jésus Hostie dans le Ciboire , ou Jésus au Saint Sacrement il est en face de nous, nous lui parlons il nous entend et il est content que nous ayons tous laisser pour passer un moment avec lui en intimité il n'est plus seul dans l'église dans son Tabernacle où il reste seule là il est avec nous.
Le sens
L'adoration du Saint sacrement consiste dans la contemplation du Christ présent dans l'eucharistie. C'est un dialogue intime avec Jésus. Prier devant le Saint sacrement exposé sur l'autel, c'est porter un regard de foi sur Jésus Christ réellement présent. C'est demeurer longuement en une conversation spirituelle, une adoration silencieuse et une attitude d'amour. C’est un face à face avec le Christ. « Je l’avise et il m’avise » répondit simplement un paroissien du saint Curé d’Ars qui l’interrogeait sur ses nombreux et longs temps d’adoration. Jean-Paul II témoigne de l'adoration : " Il est bon de s'entretenir avec Lui et, penchés sur sa poitrine comme le disciple bien-aimé (Jn 13,25), d'être touchés par l'amour infini de son cœur.
Re: nos images Nos croix et nos statues
Comment faire l'adoration ?
"Lorsque nous sommes devant le Saint-Sacrement, au lieu de regarder autour de nous, fermons nos yeux et notre bouche, ouvrons notre cœur, le Bon Dieu ouvrira le sien; nous irons à lui, il viendra à nous, l'un pour demander et l'autre pour recevoir. Ce sera comme un souffle de l'un à l'autre". (Curé d'Ars). Fais silence en toi. Fais taire toutes les voix qui sont en toi, ne cours plus après les pensées inutiles. Tes "problèmes, tes préoccupations, tes angoisses, ne les garde pas pour toi, mais offre-les à Jésus. Sachons entrer dans le silence intérieur en parlant cœur à cœur avec Jésus comme avec un ami". - Pour faire l'adoration du Saint sacrement, tu peut aussi choisir un verset de psaume, une phrase évangélique, une petite prière simple. Répète-là avec le cœur, doucement et continuellement jusqu’à ce qu’elle devienne ta prière, ta supplication.
"Lorsque nous sommes devant le Saint-Sacrement, au lieu de regarder autour de nous, fermons nos yeux et notre bouche, ouvrons notre cœur, le Bon Dieu ouvrira le sien; nous irons à lui, il viendra à nous, l'un pour demander et l'autre pour recevoir. Ce sera comme un souffle de l'un à l'autre". (Curé d'Ars). Fais silence en toi. Fais taire toutes les voix qui sont en toi, ne cours plus après les pensées inutiles. Tes "problèmes, tes préoccupations, tes angoisses, ne les garde pas pour toi, mais offre-les à Jésus. Sachons entrer dans le silence intérieur en parlant cœur à cœur avec Jésus comme avec un ami". - Pour faire l'adoration du Saint sacrement, tu peut aussi choisir un verset de psaume, une phrase évangélique, une petite prière simple. Répète-là avec le cœur, doucement et continuellement jusqu’à ce qu’elle devienne ta prière, ta supplication.
Re: nos images Nos croix et nos statues
Nuit d'adoration avec l'exposition du Saint sacrement
Des paroisses organisent une nuit d'adoration. Il s'agit tout simplement de veiller avec le Christ une ou plusieurs heures dans le silence et avec des frères et des sœurs. Que chacun vienne prier le Seigneur pendant une nuit d'adoration. Le sacrement de réconciliation peut être proposé au cours de cette nuit d'adoration. L'église reste ouverte toute la nuit. A l'occasion de la fête du Saint sacrement, il est heureux de pouvoir prendre le temps de veiller et de prier avec le Christ le temps d'une nuit en méditant sur la nuit de son agonie.
Il y a parfois une nuit d'adoration organisée le premier vendredi du mois. La basilique du Sacré cœur de Montmartre à Paris et dans d'autre églises de la région Parisienne est le lieu d'une exposition du Saint Sacrement jour et nuit. Certaines personnes participent à une nuit d'adoration à Montmartre.
Des paroisses organisent une nuit d'adoration. Il s'agit tout simplement de veiller avec le Christ une ou plusieurs heures dans le silence et avec des frères et des sœurs. Que chacun vienne prier le Seigneur pendant une nuit d'adoration. Le sacrement de réconciliation peut être proposé au cours de cette nuit d'adoration. L'église reste ouverte toute la nuit. A l'occasion de la fête du Saint sacrement, il est heureux de pouvoir prendre le temps de veiller et de prier avec le Christ le temps d'une nuit en méditant sur la nuit de son agonie.
Il y a parfois une nuit d'adoration organisée le premier vendredi du mois. La basilique du Sacré cœur de Montmartre à Paris et dans d'autre églises de la région Parisienne est le lieu d'une exposition du Saint Sacrement jour et nuit. Certaines personnes participent à une nuit d'adoration à Montmartre.
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