Maria Valtorta

«Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits.» (Mt 7,18)
ou apologie de «l’Evangile tel qu’il m’a été révélé» de Maria Valtorta.

Ceux qui critiquent l’oeuvre ne l’ont pas lu entièrement
Personnellement, je suis un lecteur enthousiaste de «L’Evangile tel qu’il m’a été révélé» de Maria Valtorta depuis plus de 20 ans. J’ai étudié et médité l’oeuvre quotidiennement avant de décider de prendre le risque de la faire connaître. Pour ne pas faire fausse route dès le départ, comme beaucoup de lecteurs, j’ai pris conseil pour bien m’assurer si cette Maria racontait des choses fidèles à l’enseignement de l’Eglise. Pour cela, j’ai travaillé trois ans avec un prêtre catéchiste qui fait autorité dans le domaine (ses ouvrages catholiques sont publiés en 20 langues) et qui n’a jamais rien trouvé de contraire au catéchisme dans cette oeuvre. Après avoir entendu le témoignage de Pie XII, de cardinaux, d’évêques, de prêtres, de nombreux religieux, de fidèles laïcs, et après plusieurs lectures, j’ai toujours constaté la même chose: ceux qui prétendent que cette oeuvre nous éloigne des Evangiles Canoniques ne l’ont jamais lue entièrement! Les innombrables témoignages des lecteurs prouvent même le contraire: l'oeuvre les a aidés à approfondir leur connaissance des textes évangéliques.

“Nous avons tout en nous, le bien et le mal”, ne diffuse pas une hérésie
Beaucoup ont lu dans Famille Chrétienne la prise de position du Père Bandelier contre l’oeuvre de Maria Valtorta: «L’Evangile tel qu’il m’a été révélé». Il dénonce une hérésie là où il n’y en a pas. Il accuse l’oeuvre de la diffuser en se référant à une phrase (livre 2, chapitre 32, page 156) où Judas pose une question à Jésus:
«Tu n’as jamais été tenté?»
«J’ai 30 ans, Judas. Je n’ai pas vécu dans une caverne sur une montagne, mais parmi les hommes. Même si j’avais été dans l’endroit le plus solitaire de la terre, crois-tu que les tentations ne seraient pas venues? Nous avons tout en nous: le bien et le mal.»
“Voilà comment”, poursuit l’auteur, “avec des bons sentiments et des bonnes intentions, on diffuse une hérésie formelle: le Fils de Dieu lui-même habité par le mal!”
Dénoncer une hérésie exige avant tout prudence et patience. Il faut scrupuleusement s’assurer de ce qu’a écrit l’auteur, sans se fier uniquement à l’interprétation du traducteur. C’est pourquoi le jugement d’hérésie est rarement le verdict d’une personne seule, aussi docte soit-elle, faute de quoi elle s’expose à des erreurs graves. Pour un tel verdict, l’analyse d’un collège d’experts s’impose.
Venons-en aux faits:
«Nous avons tout en nous: le bien et le mal. Tout nous portons avec nous.» Cette traduction «en français douteux» doit éveiller la prudence du chercheur... «Traduttore, traditore» dit-on pour rappeler à tout critique qu’avant d’accuser un auteur, il faut s’assurer de ce qu’il a écrit... Dans la version originale: «Tutto abbiamo in noi: il bene e il male. Tutto portiamo con noi», la phrase est accompagnée d’un renvoi en bas de page qui dit ceci: «Ces affirmations sont exactes en ce qu’elles se référent à la condition humaine en général. Toutefois Maria Valtorta les a corrigées, sur une copie dactylographiée, sous la forme suivante, qui semble plus conforme à la nature humaine/divine de Celui qui parle: «Nous avons tout autour de nous: le bien et le mal. Nous pouvons tout accueillir en nous».
Surtout, le contexte immédiat démontre sans la moindre ambiguïté que Jésus n’a jamais succombé à la tentation: juste avant le passage qui a été isolé de son contexte, Jésus affirme: “Je n’ai jamais consenti au péché. Et cela, non parce que je suis le Fils du Père, mais parce que cela, je l’ai voulu pour montrer à l’homme que le Fils de l’homme n’a pas péché, parce qu’il n’a pas voulu pécher et que l’homme, s’il ne veut pas le péché, peut ne pas le commettre.” Et immédiatement après, Judas Lui demande: “Mais si tu n’as jamais péché, comment peux-tu juger les pécheurs?”...
Ou encore: «même sachant qu’il était l’Homme, a voulu l’être en tout, sauf dans la condescendance au mal.», qui évoque directement saint Paul. L’enseignement de ce chapitre II,32, repris et détaillé au chapitre II,44, expose le pourquoi et le comment de la tentation du Christ, et ne fait effectivement que réaffirmer avec une lumineuse clarté l’Enseignement permanent du Magistère depuis Paul (He 4,15): “Car nous n’avons pas un grand prêtre incapable de compatir à nos faiblesses, lui qui a été éprouvé en tout d’une manière semblable, hormis le péché...” (traduction de la Bible d’Osty)
Cet enseignement sur la tentation et sur la nécessité d’y résister est omniprésent dans «L’Evangile tel qu’il m’a été révélé», et se découvre peu à peu, par touches légères, à mesure que les esprits des apôtres sont formés pour l’accueillir.
Gardons à l’esprit que l’oeuvre évoque de façon chronologique les trois années de la vie publique de Jésus. Jésus a transmis sa doctrine progressivement... et c’est seulement au livre VIII, chapitre 28, pages 263 à 265, que l’on découvre dans sa plénitude le pourquoi et le comment de la tentation.
C’est pourquoi aussi il est très aléatoire de porter un jugement sans avoir lu toute l’œuvre. Viendrait-il à l’esprit de quiconque, en lisant dans les Evangiles: «Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre» (Mt 10,36), d’accuser Jésus d’être un révolutionnaire?. En extrayant une phrase de son contexte, on prend le risque de lui donner un sens qu’elle n’avait pas. Maria Valtorta rapporte d’ailleurs un message de Jésus: «Cette oeuvre ne doit jamais être morcelée en visions individuelles.» Nous voyons pourquoi!

C’est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. (Mt 7, 18-20)
«L’Evangile tel qu’il m’a été révélé» nous aide à comprendre les Evangiles
L’Abbé Richard, docteur en théologie et fondateur de l’Homme Nouveau, nous a affirmé: «Après 20 années d’études et de recherches, je n’y ai rien trouvé de contraire à la Foi, aux Evangiles et aux enseignements de l’Eglise». Nous pourrions aussi répéter l’unique phrase que Pie XII aurait dite à propos de l’oeuvre lorsque le père Berti lui demanda de la publier en 1945: «Publiez l’oeuvre tel qu’elle, qui lira comprendra!» ou encore mieux la phrase publique de l’Archevêque Carinci (ancien chef de la congrégation des Rites, canonisation des saints): «Je n’ai rien trouvé de contraire à l’Evangile, mais elle en est comme un complément qui en explique bien le sens.»
Le concile Vatican II nous a appelés à revenir à la Parole de Dieu elle-même, «il n’échappe à personne qu’entre toutes les Ecritures, même celles du Nouveau Testament, les Evangiles possèdent une supériorité méritée, en tant qu’ils constituent le témoignage par excellence sur la vie et sur l’enseignement du Verbe incarné, notre Sauveur» et «L’Evangile tel qu’il m’a été révélé», loin de se substituer à l’Evangile, aide au contraire tous ses lecteurs, admiratifs ou hostiles (mais y en a-t-il?) à approfondir leur connaissance des Ecritures car il «montre la vie de Jésus et Marie comme nul autre livre ne le fait». Maria Valtorta rapporte ce propos de Jésus, le 19 septembre 1975: «Si cette oeuvre était étudiée et méditée, elle apporterait un bien immense à tant d’âmes.» Les témoignages de ce genre sont innombrables. Mais à l’inverse, nous n’avons aucun témoignage de lecteur ayant rejeté la lecture des Evangiles au profit exclusif de l’oeuvre de Maria Valtorta. Cette crainte parfois formulée émane uniquement de ceux qui ne l’ont pas lue.

Nous croyons que cette oeuvre est utile
Quand on a pas été formé à la lecture biblique, il est souvent difficile d’entrer seul dans la Bible et de s’en nourrir le coeur. Combien parmi nous connaissent le grec ou le latin? Combien disposent d’une concordance ou d’ouvrages d’exégèses pour approfondir cette Parole de Dieu? «L’Evangile tel qu’il m’a été révélé» de Maria Valtorta, c’est un exceptionnel moyen d’accès à l’Evangile. Ecoutez ce témoignage: «Cette lecture a transformé ma foi. Jusque-là, je considérais Dieu seulement dans sa transcendance. Là, j’ai découvert Dieu dans son humanité, ce qui me l’a rendu très proche. A partir de ce temps, j’ai dirigé tous mes actes et activités «pour faire plaisir à Jésus. Ainsi, tout devient plus facile.» Nous recevons ce genre de témoignages par dizaines: «Diffusez l’oeuvre (...) car il faut donner à ceux qui ont faim mais aussi à ceux qui ont soif de Vérité»
L’Archevêque Alphonse Carinci ajoutait, toujours à propos des écrits de Maria Valtorta: «En ce temps où la presse immorale inonde notre monde et où les films corrompent la jeunesse, nous ne pouvons que remercier le Seigneur de nous avoir donné une oeuvre si belle, du point de vue littéraire, et d’un point de vue doctrinal, et spirituel, si élevée, si accessible, si profonde, et attrayante à la lecture.» Ajoutons avec reconnaissance et respect cette citation de l’oeuvre: «La parole ne suffit pas, les gens oublient vite les paroles. C’est une erreur, mais c’est comme cela... c’est pourquoi j’ai voulu leur montrer, leur faire voir mon évangile»
C’est aussi pourquoi nous avons enregistré «L’Evangile tel qu’il m’a été révélé» en audio. Dans nos journées surchargées, le temps est limité. Nous diffusons aujourd’hui presque la totalité des 10 tomes enregistrée sur des CD MP3. De plus en plus de foyers en France s’équipent. C’est ce que nous aimons appeler la «lexio divina des petits»: praticable dans tous les cas de la vie courante, passionnante et parfaitement fidèle à l’Evangile. Un père de famille nous témoigne que «depuis que l’oeuvre est en audio, je peux quotidiennement écouter un passage de la vie de Jésus. Il suffit que je branche mon baladeur MP3 pendant une activité de maison». Un journaliste photographe parisien qui voyage beaucoup et ne peut pas emporter ces bouquins dans l’avion nous écrit: «Bravo! Bravo! pour votre apostolat... je me régale à l’écoute de vos CD audio de la vie de Jésus de Maria Valtorta: quel enseignement!» et un autre père de famille: «C’est la meilleure manière que j’ai trouvée d’écouter et d’imiter l’Evangile de Jésus tous les jours, quelle joie de connaître ces écrits!»

Une oeuvre scientifiquement juste!
Les personnes qui critiquent Maria Valtorta ne savent à l’évidence pas que les analyses scientifiques de ces nombreux détails fournis prouvent qu’il aurait fallu tout à la fois les compétences de grands poètes, exégètes confirmés, profond théologien, expert en archéologie et en topographie et en plus génial psychologue, historien grand spécialiste du premier siècle, excellent hébraïste... (et on pourrait continuer la liste longtemps!) Plus on approfondit les études, et plus on découvre que ces dizaines de milliers d’informations écrites dans «L’Evangile tel qu’il m’a été révélé» de Maria Valtorta sont cohérentes.
L’Archevêque Alphonse Carinci disait encore: «La topographie de la Palestine est tellement conforme à la réalité que même ceux qui y ont vécu pendant de longues années ne seraient probablement pas capables de la décrire avec une telle exactitude et dans les moindres détails. Cela ne peut pas ne pas nous étonner quand on sait que celle qui écrivit toutes ces descriptions était clouée au lit depuis 20 ans, et que Maria Valtorta n’avait jamais étudié les lieux saints»!
Vittorio Tredici (1952), président des entreprises minières en Italie, témoigne: «J’ai souvent prospecté en Palestine et en Jordanie. Ce qui m’a le plus frappé, c’est la connaissance parfaite des lieux, non seulement du point de vue géographique et panoramique mais aussi topographique, géologique et minéralogique.» Combien de choses apprend-on dans cette oeuvre concernant la situation politique, religieuse, économique, domestique de la Palestine du 1er siècle de notre ère!
C’est tout le monde palestinien du temps de Jésus qui ressuscite devant nos yeux et l’auteur domine ce monde comme si elle avait le génie de Shakespeare, car de plus, tous les caractères des personnages de cette oeuvre sont toujours bien décrits, cohérents avec eux-mêmes. De nombreux scientifiques ont étudié et étudient encore le degré de cohérence et d’exactitude de quelque 10000 détails historiques, géographiques, chronologiques, etc. contenus dans l’oeuvre. Ils en ont tous retiré l’absolue conviction qu’aucun être humain ne pourrait, de sa propre initiative, éparpiller une telle masse d’indices concordants, et si merveilleusement cohérents avec les Evangiles, la Bible et l’Enseignement du Magistère:
— J. Aulagnier, polytechnicien et historien qui a pu établir scientifiquement une chronologie au jour le jour des trois années de vie publique de Jésus;
— Hans J. Hopfen, ingénieur agronome à la FAO, auteur d’une carte minutieuse de la Palestine au temps de Jésus, établie grâce aux données de l’oeuvre;
— Matteo Marco Luca Giovanni qui a bâti une table d’indexation exhaustive entre les Evangiles et l’oeuvre;
— Gabriel M. Roschini, professeur à l’Université pontificale du Latran et conseiller de la Sacrée Congrégation pour la doctrine de la Foi, et qui, dans son livre “La Vierge dans l’oeuvre de M Valtorta”, a écrit: «Aucun autre écrit marial, pas même la somme de tous ceux que j’ai étudié12 n’avait été en mesure de me donner sur Marie, chef-d’oeuvre de Dieu, une idée aussi claire, aussi vive, aussi complète, aussi lumineuse et aussi fascinante, à la fois simple et sublime.»
... pour n’en citer que quelques-unes...
Et pourtant Maria Valtorta était assise dans un lit, sans aucune source d’information, écrivait d’un trait, de sa propre main, sans en organiser d’avance la matière, sans corriger ensuite ce qu’elle avait écrit... Comment les multiples détails de l’oeuvre de la vie de Jésus de Maria Valtorta auraient-ils pu confirmer les découvertes dans tant de domaines? L’Archevêque Carinci conclut: «A juger de l’ensemble des écrits, il me semble impossible qu’une femme qui ne connaît guère la théologie et ne dispose d’aucune “vie de Jésus”, d’aucun atlas, ait pu, d’elle-même, écrire avec une telle exactitude tant de pages sublimes.»
Alors si nous sommes de bonne volonté, nous nous trouvons devant un dilemme:
Ou bien Maria Valtorta se révèle comme le plus grand génie que la terre n’ait jamais eue...
Ou bien ... Maria Valtorta a eu réellement la vie de Jésus en vision.

Nous croyons que ces écrits sont authentiques.
Donc sans devancer le jugement définitif de l’Eglise auquel nous nous soumettons, prenons les critères de jugement que nous donne le Seigneur lui-même, à savoir juger l’arbre à ses fruits. Et puisque «L’Evangile tel qu’il m’a été révélé» porte depuis des décennies des fruits de conversion pour un nombre toujours croissant de lecteurs. Avec humilité et bon sens, comment pourrions-nous ne pas croire que cette oeuvre vient de l’Esprit Saint?
Et bien entendu, ce n’est qu’à l’Eglise de juger tous ces fruits. L’oeuvre à été mise à l’index? Certes, mais l’index a été abrogé! L’histoire est riche d’autres oeuvres que l’Eglise a écartées dans leur jeunesse: comme Copernic, St Thomas d’Aquin ou encore Belarmin que l’Eglise a plus tard reconnu non seulement comme Saint mais aussi comme Docteur! Et bien sûr il nous faut suivre l’autorité de l’Eglise! Cependant, avant que l’Eglise ne se prononce définitivement, le peuple doit être encouragé à marcher spirituellement à la lumière de ces écrits, car l’Eglise ne pourra se prononcer dans le vide, mais dans une confirmation qui suppose la croissance de l’enfant. En premier, vient la naissance, suivie du baptême, puis de la confirmation. Suivons le conseil de Gamaliel dans les Actes des apôtres: «Si c’est de Dieu comme nous croyons, l’Eglise viendra confirmer ce qui est né de Dieu.»
Et pour cela, notre travail, chers lecteurs, c’est de marcher et d’avancer dans la vie spirituelle inspirée par ces écrits pour qu’un jour, grâce à des témoignages toujours plus nombreux, l’Eglise puisse poser son sceau!

Conclusion
Venez donc rejoindre la foule silencieuse de laïcs, de religieux, de prêtres, de théologiens, d’exégètes, de chercheurs, de scientifiques, qui depuis des décennies, sans a priori et sans polémique, dans le calme de leur bureau étudient, analysent «L’évangile tel qu’il m’a été révélé» de Maria Valtorta. Et après l’avoir passé au crible de leurs compétences, ils rejoignent la foule encore plus grande de ceux qui la lisent et cherchent à mettre en pratique les enseignements de Jésus car: «Si cette lecture vous rend plus aimant de Dieu, de l’Eglise et de votre prochain, continuez à la lire.13» Ou comme soeur Marie-Rose qui nous écrit «Depuis des années, je lis “L’Evangile tel qu’il m’a été révélé” de Maria Valtorta. Chaque jour depuis plus de 20 ans, je lis un chapitre de cette oeuvre. Il m’apporte toujours quelque chose de nouveau. Il m’aide toujours plus à aimer Jésus et à le connaître dans son amour infini pour les hommes.»
«N’ayez pas peur!» (Mt 14, 27) Tout ce qui vient de Dieu est attaqué régulièrement. Quelle responsabilité prennent ceux-là! C’est ainsi que de tout temps on a traité les prophètes! Et comme notre Eglise manque de pasteurs à cause de nos péchés, je crois que Dieu, dans sa grande miséricorde, a pitié de son peuple et multiplie ceux de notre temps pour nous parler directement au coeur. Vittorio Tredici (1952), président des entreprises minières en Italie ajoutait: «Je souhaite que cette oeuvre devienne bientôt patrimoine de toute l’humanité.» et Monseigneur Ottavio Michellini osait même affirmer: «L’oeuvre de Maria Valtorta fera les délices de l’Eglise renouvelée.» N’est-ce pas là un avenir qui dépasserait notre attente?