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Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus

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Message par Michael Sam 21 Mai 2011 - 16:03

Panetier a écrit:
Souvent nous écrivons comme nous parlons en langage courant ;
Moi je préfère le langage familier.
Se brancher sur du 240 volts pour écrire,c'est dangereux!!!

Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus - Page 2 Images?q=tbn:ANd9GcSEox9nnTeQ143N3Db755fc8E4B3XwIkeDzG9yOXEW0HwNWaE2aMessages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus - Page 2 Signature_3-1

Michael
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Message par P4572 Sam 21 Mai 2011 - 19:13

Oui Michael, je suis au courant.

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Message par FrancoiseF Dim 22 Mai 2011 - 17:23


Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Alma, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

18 septembre 2002

Jésus : L’Amour est en présence de chacun de vous. L’Amour habite vos êtres. Je suis, moi, l’Amour. Je me sers d’instruments qui s’abandonnent en ma Volonté.

Ce monde, mes enfants, a besoin de se savoir aimé, ce monde a soif d’amour, ce monde se meurt par faute de connaissance de ce qu’il est : il ne s’aperçoit pas tout le tort qu’il se cause en se refusant de se reconnaître.

Mes enfants, Dieu veut pour vous l’amour.
Il veut votre bonheur.
Il veut accomplir son œuvre.


Mes enfants, vous venez de Dieu, vous venez de l’Amour.

L’amour est en vous, mais vous ignorez ce qui est en vous.
Vous faites savoir à ceux que vous aimez que vous voulez leur accorder votre amour; avant, mes enfants, de donner, il faut reconnaître que vous-mêmes avez ce besoin d’amour.

Si, mes enfants, vous accordez aux autres une promesse : celle de les aimer, alors que, vous-mêmes, vous ne respectez pas cette promesse : vous êtes infidèles à vous-mêmes;

vous ne vous prouvez pas que vous êtes enfants de l’Amour.

Vous qui, ce soir, vous vous êtes rassemblés pour venir entendre Dieu vous parler, Dieu vous dire : «Je vous aime. Je veux vous attirer à moi dans mon cœur, celui qui s’est ouvert, celui qui s’est donné par amour pour chacun de vous», il faut, mes enfants, avant tout, que vous soyez au courant de ce que vous êtes : À votre baptême, vous avez demandé à Dieu, par vos parents, d’être enfants d’amour.

L’Esprit Saint est venu vous éclairer, il a mis en vous une flamme : une flamme d’amour; elle est en vous, elle ne s’est jamais éteinte, et elle vous a fait enfants de foi, enfants d’espérance, enfants voulant vivre d’amour : de l’amour de son Dieu, car, mes enfants, avant vous étiez amour, vous étiez purs, vous étiez les choisis de Dieu,
mais le péché originel vous avait rendus impurs.

Et Dieu veut à lui ses enfants dans la pureté de son Être, parce qu’il veut vous avoir à lui.

Il vous a donné, mes enfants, l’Amour, l’Être de son Être : son Fils.

Il est venu en ce monde par le oui de la Vierge, de la pure Marie d’amour.
Elle a mis en ce monde, par la puissance de l’Amour, par la Volonté de Dieu : l’Amour.
Et l'Amour est venu habiter parmi vous, parmi les impurs.
Il a voulu donner à ce monde la pureté, car il était, lui, la Pureté.
Il venait d’un Être parfait.
Sans condition d’amour, il a donné sa Vie pour vous.

Il a quitté la Pureté, l’amour inconditionnel : il a quitté l’Être de son Être, la Perfection même de l’Amour où tout n’est que beauté, où tout n’est que douceur, que tendresse, l’amour même du Cœur de l’Amour : son Père, pour venir parmi les impurs.

Il s’est offert pour chacun de vous, pour que vous vous reconnaissiez enfants de Dieu.

Cet Enfant d’amour, il fallait qu’il vienne prendre tous vos péchés : passés, présents, futurs; il les a offerts à son Père, il les a tous sentis en son Corps.
On a fait de lui une plaie d’impuretés, à cause de vous.
Il s’est donné sans compter, sans jamais un mot de regret, une pensée contre vous.
Il a été d’une telle miséricorde qu’il n’a pas voulu que, vous, vous soyez dans ce mouvement impur.

Il a tout pris pour que vous vous reconnaissiez enfants d’amour.

Il a laissé à chacun de vous un acte, un acte qui vous rendait purs, qui vous faisait enfants de Dieu : votre baptême; mes enfants, il est si beau cet acte d’amour, il est si pur! Il vous couvre, il vous prend, il vous présente à votre Père, afin d’effacer la tache originelle qui a fait de vous des esclaves du péché.

Et lui, dans sa bonté, il vous prend, il vous purifie
pour que vous soyez des enfants dignes de son Père.

Et vous, mes enfants, qu’avez-vous fait de votre promesse?

Qu’avez-vous fait de cet acte de pureté?
Vous ne l’avez même pas analysé.
Vous n’avez pas, mes enfants, compris la profondeur de cet acte d’amour.
Il vous a purifiés par l’eau, l’eau de la Vie.
L’eau, mes enfants, c’est un liquide de pureté, liquide qui jaillit de son Être : il fait partie de Dieu;
Dieu est le Rocher que Moïse frappa pour laisser sortir l’eau,
l’eau qui alimente la vie.

Mes enfants, vous étiez des enfants impurs, non conformes à ce que Dieu vous avait fait.
Vous étiez pour l’amour, vous deviez vivre dans la pureté de votre être sans jamais connaître le péché.
La désobéissance d’Adam et d'Ève a fait de vous des enfants impurs.
Dieu vous a tant aimés! Il n’a pas retenu l’Être aimé de son Être, son Fils, pour ouvrir son Cœur qui vous lavait de la tache originelle.
Il a versé jusqu’à la dernière goutte son liquide d’amour.

Mes enfants, son Être s’était vidé, il n’avait plus rien en lui; il avait tout offert à son Père pour chacun de vous, et, à la toute fin, de l’eau est sortie, et,
cette eau vous a rendus purs.

Et vous, vous passez votre vie à vous demander : Pourquoi connaissons-nous la maladie? Pourquoi connaissons-nous les guerres, les révoltes?
Les enfants se meurent de faim!

Quelle est donc cette justice de Dieu? Pourquoi faut-il naître dans un monde où il faut souffrir? Quel est donc ce besoin pour aller au Ciel? Si Dieu m’a créé! Il me fait souffrir pour aller dans son Royaume.

Il dit qu’il est la Lumière!

Il fait connaître au monde ses lois, ses commandements, et, moi, je dois, pour aller au Ciel, me plier à ses lois d’amour.
Je dois souffrir pour gagner mon Ciel.

Mes enfants, ne savez-vous pas que l’Amour déverse en vous son Être pour vous aider à comprendre que tout ce qui vous arrive est la conséquence de votre ignorance, de votre oubli envers ce que vous êtes?

Vous êtes des enfants de Dieu, il vous a tout donné, il vous a tout enseigné; il a suscité autour de vous : tant de prophètes, tant de messagers; vous avez des modèles, mes enfants : des saints qui se sont laissés eux-mêmes fait souffrir par amour pour vous : et vous ne reconnaissez pas l’œuvre de Dieu!

Vous ne pouvez analyser, mes enfants, ce qui est en vous; vous ne pouvez, non plus, analyser ce qu’il a fait pour vous : Vous avez mis un bandeau devant vos yeux, vous avez bouché vos oreilles, vous avez fermé votre cœur pour un monde moderne, un monde d’évolution, un monde où l’amour n’existe pas, pas à l’intérieur de vous car, pour vous, l’amour, s'il existe, est extérieur.

Il est joyeux l’amour, il danse l’amour, il s’amuse l’amour; il fait connaître au monde qu’il est jeune; qu’il est tout plein de connaissances; il est instruit l’amour; l’amour ça se voit, l’amour ça se touche; l’amour, c’est vous : avec ce que vous voyez, avec ce qui est palpable, avec ce que vous avez.

Mais vous êtes des êtres faux, vous êtes des êtres calculateurs; vous êtes des êtres qui ne pouvez comprendre la vraie valeur de ce que vous êtes.

Vous êtes : mes enfants!
L’Amour, c’est moi! C’est moi, Jésus d’amour.
C’est moi qui vis en vous, c’est moi qui fais que vous soyez vivants à chaque instant.

Je suis agissant en vous. Je me suis offert pour que vous soyez purs, pour que vous ayez la vie éternelle. Ne savez-vous pas, mes doux amours, que sans mon sacrifice vous n’auriez pu être appelés enfants de Dieu! C’est moi qui ai fait de vous des êtres rachetés. Je vous ai tout donné.

Je vous supplie : laissez de côté le matériel, vos jeux infidèles face à votre être.

Je ne peux, mes enfants, continuer à vous regarder vous détruire.

Je crie en vous; je vous supplie : «Venez en moi, je veux tout pour vous.»

La vie de votre être est ma Vie : donnez un sens à votre vie, donnez un but à votre vie.

Ne la laissez pas éteindre, elle est tout amour.
Cette flamme qui est en vous, elle vous donne la lumière.

Rentrez en vous, regardez, elle est douce, elle est chaude, elle est vivante : c’est l’amour, l’amour de Dieu.
Dieu le Père est en vous, Dieu le Fils vit en vous, Dieu le Saint-Esprit fait tout en vous,
parce qu’ils sont amoureux de chacun de vous.
Mes enfants d’amour, ne soyez pas trop inquiets de ce que vous venez de vous apercevoir : l’Amour vous parle parce qu’il vous aime.

Ce sont des mouvements continuels de sa supplication d’amour pour chacun de vous.

Par votre oui à l’Amour, je vais donner encore, encore, et encore ma Vie pour vous.

Je veux tous mes enfants, je ne veux en perdre aucun.

Je suis l’Amour, et l’Amour vous rappelle que vous devez vous conduire en enfants baptisés, baptisés dans l’amour, parce que vous êtes des enfants de l’Amour; vous avez été adoptés par mon Père, et ce que mon Père a fait, il n’y a pas d’erreur.

Vous n’êtes pas des erreurs, vous êtes tout simplement mes petits enfants qui vous êtes laissés séduire par ce qu’il y a d’extérieur à vous.

Je vais, par votre oui, vous attirer en vous, je vais déposer en vous un goût d’amour, un goût de vouloir vivre d’amour, de ne connaître que l’amour et je vais vous faire découvrir l’amour du prochain, celui qui partage votre être d’amour.

Vous allez, mes enfants, reconnaître que ce que Dieu veut : il l’obtient; non sans votre consentement, c’est seulement après que, vous, vous répondiez à ce cri d’alarme.

L’Amour vous supplie, mes enfants, de vous laisser aimer, de vous faire aimer par l’amour du prochain.

Je suis Jésus qui, ce soir, mes enfants, vous a parlé parce qu’il vous aime.

Mes enfants, Dieu est avec vous, il vit en vous. Venez vivre dans votre vie en vous.
Mon saint fils d’amour, ton Dieu d’amour t’a donné tant d’amour! Il a mis en toi sa puissance. Ces mains qui ont été consacrées ont ce pouvoir de bénir tous mes choisis. C’est ton Dieu d’amour, par cet instrument, qui te demande d’étendre tes mains et de faire descendre sur chacun d’eux ma bénédiction. Amen.

Bénédiction du prêtre : Je pense que Dieu me demande de vous bénir.

Jésus vient de dire que, par le prêtre, il a déposé dans les mains du prêtre la puissance de sa bénédiction. Lorsque le prêtre bénit, c’est Dieu qui bénit.

Prenons conscience du pouvoir extraordinaire que Dieu a donné aux prêtres de faire descendre du Ciel les dons extraordinaires. Et chaque fois qu’un prêtre bénit, chaque âme est comblée; elle devient pleine de grâces, elle devient comblée de grâces comme Marie. Lorsque nous disons le "Je vous salue Marie", que toutes ces grâces puissent déborder : plus une âme en reçoit, plus elle peut en donner.

«Que la bénédiction du Dieu tout-puissant, Père, Fils et Saint-Esprit descende sur chacun de vous, sur toutes vos familles, sur toute la ville, sur tous les diocèses et sur toute la terre, parce que c’est Dieu qui bénit. Et le prêtre peut lui demander d’étendre sa bénédiction partout, au Ciel, sur terre et aussi au purgatoire, par Jésus-Christ le Fils, notre Seigneur.»Tous : «Amen.»

***

AMEN.

FrancoiseF
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Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus - Page 2 Empty Re: Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus

Message par FrancoiseF Lun 23 Mai 2011 - 20:18

Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Dolbeau, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

19 septembre 2002

Dieu le Père : Mes enfants d’amour, Dieu le Père s’adresse à vous ce soir, en voulant vous faire connaître l’étendue de son amour pour chacun de vous.

Je suis l’Éternel, mes enfants. Je suis l’Être Suprême. Je suis le Créateur de tout : tout l’univers, avec tout ce qui est son contenu; toute la terre, ma création; et de vous, mes enfants. Je vous appelle mes enfants parce que vous êtes de moi.

Chacun de vous avez été choisi par moi.

C’est moi, mes enfants d’amour, qui vous ai conduits où vous êtes.
C’est moi qui ai fait de vous des êtres faits pour aimer.

Vous devez vous accomplir dans ce que vous êtes mais, par l’erreur commise par vos premiers parents, vous, mes enfants, vous êtes des enfants contre l’Amour, contre vous-mêmes, contre ce que vous êtes.

Je viens moi-même vous parler, à vous, mes enfants.
Pouvez-vous, mes êtres d’amour, comprendre ce geste?


Un Créateur, un Être Suprême, se servir d’un être inférieur pour parler à vous!
C’est que, mes enfants, je suis votre Père : je suis votre Papa d’amour.

Cet être inférieur a été purifié par mon amour. C’est moi, mes enfants, qui vous ai tous permis que vous soyez appelés : enfants de Dieu.

J’ai prononcé, mes enfants, le oui sublime à l’Amour.
Qui pouvait faire de vous ses enfants, sinon, votre Père?

Mon Fils, mon unique Enfant, a racheté l’offense que mes premiers enfants avaient causée : il a tout pris vos offenses.

Il a lui-même été dans le oui de mon oui : il s’est donné à l’Amour pour chacun de vous.Il a donc, mes enfants, fait de votre oui, un oui agissant.

Mes enfants d’amour, aucun d’entre vous, vous ne pourriez être sauvés sans le oui dans le oui de mon Fils.

Il fallait purifier votre oui; il fallait donc que mon Fils porte chacun de vos oui pour donner à son Père le oui à l’Amour.

Mes enfants d’amour, moi, votre Père, j’ai pris ce oui d’amour avec tout son contenu et je l’ai associé à mon oui.
Vous avez donc, mes enfants, été avant même que vous soyez en ce monde dans le oui de mon Fils, dans mon oui.

Mais, pour que votre oui soit dans mon oui, il y a un oui de douceur, un oui de soumission, un oui parfait, fait par un Être d’amour : ce oui, mes enfants, a été d’une telle douceur, une telle caresse : c’est le oui de ma fille Marie qui a permis à mon Enfant de prendre vos oui et de le mettre dans son oui.

Elle est pour vous la Mère de vos oui.

Mes enfants d’amour, il faut prendre conscience de la valeur de se donner à Dieu, de comprendre ce don de soi pour se laisser prendre par l’Amour.

Il est facile, mes enfants, de prononcer des oui, mais si, mes enfants, vous demeurez dans votre apathie en attendant d’être présents devant la face de l’Amour qui sera bientôt en chacun de vous, vous aurez beau avoir prononcé votre oui, mais il n’aura pas produit en vous ce don de soi-même.

Comme ma fille Marie l’a fait, elle s’est donnée, elle s’est offerte avec humilité, avec toute sa personne, en ne cherchant pas à se donner de la valeur.
Ce oui a été un oui dénudé d’elle-même sans rien vouloir pour elle, mais pour chacun de vous.

Ma fille Marie, elle a tout donné de sa vie, par amour pour vous.

Elle nous a suppliés, elle a prié afin que le Messie vienne sur la terre pour vous sauver.

Son oui, mes enfants, était un oui d’amour. Toute sa personne était le oui.
Elle a été préparée par nous; tout son être était prêt pour recevoir l’Amour en elle.


Quand on lui présenta la demande, elle était dans son intérieur, toute petite, humble, ne voulant pas se donner de l’importance.

Quand l’ange Gabriel lui annonça qu’elle devait être la Mère de mon Fils, elle, l’humble, la toute petite Marie, se donna en ne voulant faire que ma Volonté.
Elle s’assura que tout était pour moi, pour l’Amour, et elle donna son oui.
Et l’Amour, l’Amour pénétra son intérieur, il entra dans le Nid même de l’Amour, et l’Amour entra chez lui.

Tout était si parfait dans Marie!

Tout avait été préparé pour recevoir l’Amour, et l’Amour l’accueillit en elle.
Elle devint la Mère de l’Amour.

Mes enfants d’amour, quand l’un d’entre vous veut avoir l’amour en lui, il se donne, il désire, il veut, il réclame de l’amour.
Mes enfants d’amour, seul l’Amour peut venir en vous, c’est l’amour qui se développe en vous.
Vous auriez beau, mes enfants, crier : oui, nous voulons, viens!
L’Amour prépare votre intérieur à devenir un être parfait pour que vous soyez l’amour.

Voyez-vous, mes enfants, Adam et Ève ont été créés par l’Amour.
Ils devaient donc se donner à l’Amour.
Ils devaient accepter d’être des enfants d’amour, dans l’obéissance, en demeurant des enfants comme Dieu voulait qu’ils soient : des enfants humbles, non des orgueilleux; des enfants qui ne voulaient que plaire à leur Père, non comme des enfants qui exigent, qui veulent, parce que cela est voulu d’eux-mêmes.

Moi, leur Père, leur Dieu, leur Créateur, je préparais mes deux enfants.
Je leur ai demandé de l’obéissance; je leur ai tout donné.
Ils devaient, comme mon fils (le prêtre à la messe) ce soir l’a dit : passer l’épreuve de l’amour; mais ils se sont laissé tenter par l’Orgueilleux, par le Trompeur; ils ne sont pas venus me voir, moi qui leur avais tout donné; ils ne m’ont même pas demandé de l’aide : ils se sont laissés séduire; alors, mes enfants d’amour, ils n’ont pas passé l’épreuve.

Ils ont été des enfants indignes de l’Amour.

Ils ont voulu devenir des petits dieux, voulant décider par eux autres mêmes de tout connaître. Il va arriver un temps où vous devrez vous préparer à prononcer un oui, un oui total d’abandon : un oui fait par des enfants humbles, des enfants voulant vivre de l’amour de Dieu en ne faisant confiance qu’en Dieu, en voulant tout pour l’amour de Dieu le Père.

Vous avez, mes enfants, depuis tant et tant d’années, vécu avec votre volonté humaine, décidant, calculant, voulant tout pour vous.

Il faut, mes enfants, que vous réalisiez votre petitesse. Vouloir faire de vous des enfants de Dieu, c’est vous reconnaître, comme ma fille Marie : tout petits, humbles, sans rien attendre pour vous, en donnant tout à Dieu
car moi, votre Père, mes enfants, je sais ce qui est bon pour vous!

Je vous connais mieux que vous vous connaissez.

Je connais vos défauts, mes enfants; je connais vos faiblesses, je connais votre cheminement, car en vous, vous portez tous mes enfants depuis Adam et Ève.

Mes enfants d’amour, vous n’êtes pas seuls en vous, vous vivez avec vos frères et avec vos sœurs.
Vous êtes des enfants de Dieu, mes enfants.

Dieu est en vous, mon Fils est en vous, le Saint-Esprit est en vous.
Vous vivez tous en mon Fils, alors qu’il y a en vous tant de faiblesses!

Dans votre petitesse, en vous reconnaissant comme des êtres impurs : oui, mon fils, tu as dit que tout être humain doit se reconnaître pécheur; celui qui se croit pur, celui qui se croit exempt de tout défaut, risque d’être séduit par le Trompeur; il faut être, comme Marie, tout petit ayant besoin continuellement de son Créateur, de l’Amour : en venant puiser en chacun de vous des forces, des forces de grâces, en demandant à Dieu des grâces d’abandon à sa Volonté à lui.

Oui, mes enfants, venez toujours vers votre Père.

Si Adam et Ève, mes enfants, seraient venus vers moi, je leur aurais donné la force de ne pas succomber.
Ne fonctionnez pas, dans vos journées, sans demander à Dieu de l’aide.
Demandez-moi des grâces pour vous, afin que vous soyez toujours mes petits enfants.


Vous qui avez besoin de Papa, vous ne pouvez pas avancer sans mes grâces.
Et ma douce Marie le savait!

À chaque instant, mes enfants, elle était dans la communication avec son intérieur; elle me suppliait de ne jamais la laisser : elle, la pure, elle, l’humble Marie :
elle priait son Dieu d’amour de venir l’aider : elle, le Vermisseau.
Et vous, mes enfants, est-ce que vous me demandez cette aide à tous les jours?
Je vous aime tellement! Je me tiens en vous et j’attends!
Et j’attends que vous veniez me demander de l’aide, moi, votre Père.

Moi, le Créateur de l’univers et de la terre, j’attends, mes enfants, pour vous donner la force d’être tout petits, humbles, afin que vous prononciez ce oui dans un abandon total.

Mes enfants, si vous croyez que vous pouvez prononcer un oui par vous-mêmes, ce oui, mes enfants, ne pénétrera pas le oui de mon Fils : il ne pourra pas venir vers moi.

Il faut tout abandonner; votre volonté humaine, mes enfants, porte trop d’erreurs. Quand je vais me présenter, moi, en mon Fils, je vais vous demander votre oui; je vais déposer en vous de l’amour, mon amour, et vous verrez combien, mes enfants, vous êtes petits devant tant de grandeur!

Et c’est en étant petits, mes enfants, que vous allez trouver la force de répondre à l’appel de l’Amour : l’être qui se croit grand, il se défend, il veut se déculpabiliser devant ses erreurs : il cherche des échappatoires; mais le petit enfant, lui, ne cherche pas à se défendre : s’il se trouve en erreur, il demande pardon à Papa parce qu’il connaît son amour, et il sait qu’il lui a fait de la peine; alors, moi qui connais mon petit enfant, je le console et il se laisse consoler; mais s’il y a de l’orgueil, si le oui vient trop de vous-mêmes, il y aura trop de souffrance : alors il y aura de la révolte!

Mes enfants d’amour, je vous aime, soyez mes tout petits bébés; demandez-moi à chaque instant de l’aide, et vous allez développer en vous cette humilité qui est une grâce, mes enfants.

Combien d’enfants aujourd’hui, si on parle d’humilité, se redressent; ils ne comprennent pas que celui qui accepte d’être humble, d’être petit, découvre la sécurité entre les bras du Père.

Il n’y a pas de honte à venir se réfugier dans les bras de l’Amour.

Celui qui a peur de s’humilier, c’est celui qui se croit trop grand pour accepter l’amour de son Père.

Vous, mes enfants, êtes-vous capables de dire à votre père terrestre : "Papa, j’t’aime; prends-moi dans tes bras et berce-moi?"

Voyez-vous, mes enfants, cela semble difficile parce qu’il y a en vous votre volonté humaine qui est blessée,
et cette blessure, mes enfants, vous empêche de redevenir le petit enfant que vous êtes.

C’est seulement l’amour du Père qui vous aidera.
Ma douce enfant Marie, elle vous est donnée par moi, son Père, par son Fils, Jésus, par son Époux, le Saint-Esprit, afin que vous lui demandiez cette grâce d’humilité : elle vous aidera.

C’est ainsi, mes enfants, que vous découvrirez votre petitesse.
Demander de l’aide, mes enfants, c’est se découvrir faible.
Voilà un pas vers l’abandon.


Abandonnez-vous, mes enfants, dans les bras de l’Amour : elle est la Mère de l’Amour, elle est votre Maman.
Soyez, mes enfants, dociles à l’appel de votre Père, il vous aime tant!
Il vous veut, mes enfants, obéissants à l’appel du Cœur; le Cœur même de l’Amour.

Voyez-vous, mes enfants, j’envoie en ce monde des signes, car il faut vous préparer.
Laissez tomber votre vieille carcasse et redevenez le petit enfant que vous êtes.

Mon fils, toi qui es présent ici, toi qui prononces ton oui, bénis mes saints enfants afin qu’ils se reconnaissent sous la tutelle de l’Amour. La puissance de Dieu t’a été accordée pour venir en aide à mes petits enfants. Amen.



Bénédiction par le prêtre : Jésus vient de demander aux prêtres, par son instrument, de daigner faire descendre sur vous sa bénédiction. Oui, par le sacerdoce, le pouvoir reçu de Dieu, le prêtre a en ses mains toute la richesse de la Rédemption qu’il peut appliquer à toutes les âmes, et c’est pourquoi, ce soir, que Jésus tout-puissant daigne faire descendre sur vous la largesse de ses bénédictions pour que vos cœurs soient comblés de grâces, comme Marie a été comblée de grâces, que vous partiez ce soir avec des cœurs non pas remplis, mais comblés, que ça déborde sur vos familles, sur la ville, sur les diocèses et toute la terre.

«Que la bénédiction de Dieu tout-puissant, Père, Fils et Saint-Esprit descende sur vous et sur toute la terre, sur le ciel, sur le purgatoire et que tout être tombe à genoux au Ciel, sur terre et dans les enfers par la puissance de Dieu, par Jésus-Christ, notre Seigneur. Amen







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Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus - Page 2 Empty Re: Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus

Message par FrancoiseF Mar 24 Mai 2011 - 19:20

Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Métabetchouan, Québec,
par son instrument la Fille du Oui à Jésus

20 Septembre 2002

Jésus : Mes enfants, ces mots que vous allez entendre vont se graver dans vos cœurs. Ces mots, mes enfants, seront pour vous des grâces : ils vous rendront réceptifs à l’amour de votre être. Vous allez, mes enfants, devenir des canaux qui vont aller vers mes autres enfants.

C’est moi, Dieu d’amour, qui mets en vous ces paroles. Je suis le Dieu de la puissance, je suis en vous, c’est moi qui vous fais vivre.

J’ai tout pouvoir, mes enfants, sur la vie et la mort.

Mes enfants d’amour, je suis Jésus d’amour, je suis la Vie éternelle : elle est en vous cette Vie, elle est la Présence de l’Amour.

Quand, mes enfants, on apprend que la Vie est en vous, c’est que vous avez en vous de l’espérance.

Vous voulez vivre ici maintenant pour continuer dans une vie future.
Mes enfants d’amour, aujourd’hui est le présent, demain est le futur.

Ce que vous vivez présentement est ce que vous êtes, là : maintenant.

Vous voulez vivre pour demain : en négligeant votre présent, en ne prenant pas soin de vous-mêmes, en vous occupant de ce que demain sera;
et vous négligez ce que vous faites, à l’instant où vous pensez à demain.

La vie, mes enfants : c’est à l’instant où vous regardez, à l’instant où vous entendez, à l’instant où vous apprenez à vous aimer.

Tout ce qui est présent est la vie.

Si vous négligez de nourrir ce qui est maintenant, comment voulez-vous, mes enfants, que demain soit une bonne journée? Elle sera la suite de votre négligence.
Vous allez cueillir, mes enfants, ce que vous avez semé la veille; alors, vous allez vous retrouver avec une vie qui n’a pas de sens.

Vous avez peur du lendemain, alors que vous ne faites rien pour le présent.

Allez, mes enfants, faire un travail en négligeant de préparer votre corps; si vous le négligez alors que la journée avance, en ne lui donnant pas de repas convenable, un sommeil convenable, avec des pensées de paix et en ayant des émotions qui font peur : comment allez-vous faire votre travail le lendemain?

Vous vous retrouverez sans force, vous n’aurez pas d’attention, vous allez vous retrouver incapables d’accomplir convenablement votre journée : vous serez déçus de vous-mêmes et vous vous demanderez pourquoi ce travail est si pénible.

Vous allez vous décourager, vous allez trouver que la vie n’a pas de joie, vous allez vous épuiser seulement qu’à penser à votre travail qui rend votre vie insupportable.

Vous ne pourrez pas, mes enfants, donner de la joie à votre intérieur; vous ne pourrez pas donner à ceux qui sont autour de vous un sourire, car vous serez épuisés à cause que vous ne vous serez pas préparés.

Mes enfants d’amour, c’est votre quotidien!

Vous ne cessez de penser à demain, de calculer votre avenir, de faire des plans sans penser à votre vie présente.

Mes enfants d’amour, si vous ne vivez pas votre vie à l’instant même, vous ne trouverez pas le bonheur.

Je suis la Vie. Je suis en vous, c’est moi qui nourris votre vie
et c’est moi, mes amours, qui fais que vous soyez présents, vivants.

À quoi sert, mes enfants, de vouloir vivre en n’étant pas présents dans votre être?
Vous n’aurez rien à donner à vous-mêmes et aux autres, car Dieu est en vous et aussi dans les autres.
Mes enfants de l’Amour, apportez-vous de l’amour à vous-mêmes en venant vous recueillir en vous.

Ce n’est pas si long que cela de prendre un seul instant durant toute une journée pour dire que vous êtes vivants, pour dire à Jésus :
"Jésus d’amour, je t’aime. Je veux m’aimer aujourd’hui. Je veux connaître le bonheur aujourd’hui. Je veux être dans la joie aujourd’hui. Je veux apprécier ce que Dieu le Père veut me donner. Je veux être à ton écoute. Donne-moi le nécessaire afin que ma journée présente soit dans ma vie".

Mes enfants de l’Amour, Jésus vous aime.

Il veut vous prendre dans ses bras.
Il veut que vous soyez heureux dès maintenant.
Il veut vous nourrir.
Il veut déverser en vous : des grâces d’amour, des grâces qui vous feront découvrir qu’à l’instant que vous vivez
vous êtes vivants, vous êtes agissants.

Vous pouvez obtenir des résultats pour que plus tard vous puissiez en profiter.
Si vous ne le faites pas maintenant, il ne peut y avoir de (bon) résultat et vous allez être déçus, mes enfants.

Mes amours, c’est moi qui nourris votre vie : je suis la Vie, je suis la Présence.

Je ne vis pas seulement pour le futur.
Quand vous êtes venus ce soir vous approcher de la sainte Hostie, vous avez pris en vous la Vie : Jésus vivant, Jésus se donnant, Jésus s’offrant, là, maintenant, pour vous.

C’est à l’instant où vous me prenez, mes enfants, que je mets la Vie en votre intérieur.

Je nourris la vie de la Vie en vous : ce n’est pas pour demain, c’est pour l’instant même.
Je suis présent en vous, je me fonds en vous.

Vous n’êtes plus vous, mes enfants, quand vous venez vous approcher de la sainte Hostie, c’est moi qui me donne, j'entre en vous et je me fais moi.
Cette Nourriture, mes enfants, se propage dans tout votre être :
vous devenez la vie en Dieu
.

Mes enfants d’amour, c’est pour l’instant même que je me donne à vous et vous, mes enfants, où êtes-vous?

Êtes-vous de ceux qui reçoivent la Vie en vous : en votre être, alors que la tête n’y est pas?
Vous voulez me prendre, mais vous pensez à autre chose.
Vous êtes sortis de votre banc pour venir vers moi : vous me prenez et aussitôt, mes enfants, rendus à votre banc je cherche qui me prend, je cherche les yeux qui ne me regardent plus, je cherche la tendresse de votre cœur qui vient de s’ouvrir.

Ces élans d’humilité sont déjà disparus et je me retrouve seul la plupart du temps parce que vous pensez à plus tard;
vous n’êtes pas capables de vivre votre présent.

Là, maintenant, regardez vos conversations, mes enfants!
Vous parlez, la plupart du temps, de ce que hier a été et de ce que demain sera, et vous ne parlez pas du présent.

Votre vie, mes enfants, vous échappe!

Vous la laissez couler comme l’eau qui sort d’un robinet : il y a un verre qui la reçoit et l’eau remplit le verre, et l’eau s’écoule hors du verre, et va pénétrer dans les égouts, et l’eau se perd dans un trou noir.

Mes enfants, d’amour, si vous ne vivez pas votre présent là, aujourd’hui même,
à chaque instant de votre vie : votre vie s’écoule.

Ce qui est présent aujourd’hui et que vous avez négligé : il ne sera plus et vous aurez perdu, mes enfants, toutes les grâces dont vous auriez dû profiter : des grâces d’amour, des grâces de joie, des grâces qui vous transforment en êtres d’amour pour atteindre un bonheur, un bonheur sans fin.

Oh! mes enfants d’amour, ne savez-vous pas qu’il faut vous laisser prendre par l’Amour!
Moi, Jésus, je sais ce qui est bon pour vous.

Si, mes enfants, vous continuez votre prière en étant sûrs que Jésus est là présent, vous goûtez cette joie d’être présents avec moi, Jésus, avec l’Amour : avec celui qui vous a créés.

C’est une joie, mes enfants : vous apprenez à ouvrir votre cœur à quelqu’un qui vit en vous, qui vous aime et qui veut votre bien, et vous apprenez, mes enfants, à développer en vous cette joie d’être présents avec Dieu, avec vous-mêmes.

Réalisez-vous que vous allez apprendre, mes enfants, à vivre votre propre vie avec vous-mêmes, pas aux dépens de quelqu’un qui est au côté de vous ou qui sera là demain? C’est à l’instant présent, en vous.

N’est-ce pas merveilleux, mes enfants, de goûter à l’amour même à l’instant où vous le vivez?
Je suis l’Amour.

L’Amour veut vous donner ce qu’il y a de plus beau en vous pour vous développer en êtres de bonté, en enfants joyeux qui veu(lent) goûter la vie, la vraie vie : celle qui est présente maintenant, et vous allez voir, mes enfants, que la seconde présente sera une nourriture pour la suivante.

Votre déjeuner, le matin, mes enfants : vous allez le vivre, vous allez le savourer parce que vous allez être présents, vous ne penserez pas à ce que vous allez faire quelques jours après.

Oh! combien sont en train de déjeuner et pensent déjà au souper! Et cela, mes enfants, vous épuise.

Il faut vivre l’instant présent, il faut le savourer.

Et quand vient le temps où il faut partir à l’ouvrage : eh bien, mes enfants, ne vous souciez pas de ce que vous allez produire durant la journée, vers onze heures, vers midi; ne vous souciez pas si votre journée fera l’affaire à votre patron ou si vos rendements seront à la hauteur de ce que vous avez pensé pour la fin de la journée :
vivez l’instant présent.

Sortez de la maison en regardant dehors, en respirant, en regardant mon ciel, en savourant les chants qui viennent à vos oreilles par mes créatures.

Combien d’entre vous, mes enfants, partez en courant, et retournez en arrière parce que vous avez oublié votre lunch? Vous ne vivez pas, mes enfants, au présent.

Quand vous êtes installés dans votre véhicule, vous ouvrez la radio et vous écoutez des nouvelles qui vous disent ce qui s'est déjà passé hier, ou on vous passe des annonces qui vous font penser aux belles vacances que vous pourriez vous offrir, ou on veut vous inciter à acheter des produits qui vous feront connaître combien sera bon le confort!

Mes enfants, vous vivez avec ce qui n’existe pas et vous oubliez, à l’instant même, d’être avec vous-mêmes ou avec la personne avec qui vous êtes.

En vous disant des mots de "je t’aime", en disant : "Ah! que je me sens bien avec toi! là, à l’instant même, je savoure cet instant, je suis au volant de mon auto et c’est moi qui la conduis en Jésus."

N’oubliez pas, mes enfants, que c’est moi qui fais votre agir.

Si vous voulez conduire tout seul votre auto, eh bien, vous serez les seuls à courir le risque que quelqu’un vous frappe! Moi, je veux prendre soin de vous, mes enfants, je suis présent dans votre vie, c’est moi qui suis avec vous qui vit la vie.

N’est-ce pas merveilleux de s’appuyer sur quelqu’un de plus fort que soi?

Oh! mes enfants d’amour, ne pensez pas à votre budget, à ce que vous pourriez vous offrir avec votre surplus;
mes enfants, vous risquez de ne pas voir l’autre qui a oublié son stop!

Soyez présents, avancez dans l’amour, dans la joie.

Laissez-vous découvrir que vous êtes avec Jésus Amour et avec votre ange gardien aussi :
vous apprécierez la personne avec qui vous êtes.

Goûtez à cette intimité d’amour dans l’amour et dans l’amitié.

Il est si bon, mes enfants, quelquefois, de garder le silence avec quelqu’un au côté de soi en savourant sa compagnie.
Vous oubliez, mes enfants, que seulement être avec quelqu’un, c’est agréable.

Il n’est pas nécessaire de meubler l’intérieur de votre auto avec des sons inutiles.

Savourez le silence : la saveur d’être en bonne compagnie.

Et quand, mes enfants, vous arrivez chez votre employeur, ou avec des compagnons de travail, ou aux études, ne cherchez pas à vous donner de l’importance en voulant être quelqu’un d’autre.

Combien d’entre vous, mes enfants, vous êtes dans un état de silence et pourtant, vous ne respectez pas votre intérieur, vous vous dites : "Ah! mon Dieu, qu’est-ce qu’elle va penser? Ah! que je suis plate, pas de conversation; je n'ai pas le goût, aujourd’hui, de parler".

Mais vous n’écoutez pas votre intérieur, vous voulez paraître quelqu’un d’autre que vous-mêmes!
Alors, vous faites plaisir aux autres, mais vous vous négligez, là, à l’intérieur de vous.
Mes enfants d’amour, il faut nourrir votre intérieur avant d’être capables de donner.

Demandez-moi, dans ces moments-là, des grâces : "Jésus, tu me connais toi, tu sais que j’ai pas le goût aujourd’hui : je me sens pas capable de sourire, mais passe en avant de moi, je vais me cacher en toi. J’ai confiance que l’autre qui me regardera, s’il te regarde avant moi, bien, il s’attendrira".

Alors, mes enfants, vous ne penserez pas à négliger qui vous êtes parce que vous allez découvrir que c’est bon d’être bien avec vous-mêmes.

Vous ne penserez pas à perdre une amitié : c’est le présent qui compte, mes enfants.
Si vous êtes bien présentement en vous, l’autre qui se trouve au côté le sentira.

Au commencement, lui aussi va regarder, mais il va découvrir votre paix, votre calme, et cela le rassurera.
Il n’aura pas perdu votre amitié parce qu’il aura vu que vous continuez à l’aimer dans votre silence :
et votre paix l’aidera aussi à être lui-même.

Mes enfants, si, dans votre travail, il y a des troubles : soit avec votre machinerie, soit avec votre horaire, soit avec des troubles dus aux autres, si vous vivez votre présence là, maintenant, vous allez accepter ce qui arrive en faisant votre effort pour l’accomplir, en me demandant de l’aide en disant : "Jésus, je te donne ce qui se passe maintenant; c’est pas comme je le voudrais, mais je ne peux pas faire autrement. Donne-moi la force, Jésus, de faire mon ouvrage comme il se doit. Je veux y mettre les efforts là, maintenant, pour me faire plaisir à moi. Je ne veux pas négliger mon prochain, il ne faut pas que les autres soient dans le trouble à cause de moi. Donne-moi la paix en moi, Jésus, et je vais accomplir ce qu’il faut que je fasse là, maintenant".

Et, mes enfants, vous allez voir que votre rendement sera beaucoup plus performant parce que vous allez vivre là, maintenant, sans penser à vos résultats de la fin de la journée ou à votre patron qui, lui, arrivera en pestant contre le résultat.

Si vous travaillez dans une tension de peur de ce qui arrivera dans quelques heures : l’heure présente, mes enfants, ne sera pas à la hauteur de ce que vous, vous voulez accomplir parce que votre tête ne sera pas en présence.

Mes enfants d’amour, tout doit être accompli en Jésus dans le présent.
Mes enfants d’amour, aimez-vous
.

Combien d’enfants ne vivent pas pour eux? Ils vivent pour le passé, ils vivent pour le futur et ils oublient que tout est présent.

C’est la Vie qui vous supplie, mes enfants, de vivre votre vie.

À la fin de cette journée, mes enfants, si vous vous apercevez que le résultat n’est pas comme vous le voulez,
quand arrive ce moment, vous avez la force, mes enfants, de vivre votre présent.
Quand les huit heures seront passées, vous aurez gardé en vous la joie de vivre.
Il y aura certes de la fatigue à votre journée de labeur, mais ce sera une bonne fatigue, pas une journée épuisante : vous ne serez pas aigris par ce que vous n’avez pas réussi à faire, car vous saurez, vous, que vous avez accompli votre possible, et vous serez fiers de vous.
Et si votre patron, ou vos amis, ou ceux qui ont exigé de vous ne sont pas contents, eh bien vous : vous aurez beau dire : "Moi, j’ai vécu ma vie avec Jésus, avec moi-même en me donnant de l’amour". Alors, vous aurez vécu, mes enfants, une vie dans votre vie en amour.

Quand vous allez arriver à la maison, eh bien, mes enfants, ce sera dans la joie de retrouver ceux que vous aimez!
C'est pour eux que vous avez accepté de sortir de la maison!
Vous apprendrez, mes enfants, à vous donner du bonheur à vous, sans vous inquiéter.
Et si vous arrivez à la maison en joie, ceux qui sont autour de vous et qui n’auront pas vécu leur journée présente eux, ils vous regarderont et apprendront de vous car, à chaque jour, mes enfants, vous allez développer le bonheur, la joie en vous et cela se développera, et eux aussi en profiteront.

Vous serez, mes enfants, un exemple pour eux, et s’ils vous parlent de ce que demain sera, et s’ils vous parlent de projets qui ne sont pas arrivés, alors, mes enfants d’amour, vous leur répondrez : "Toi, est-ce que tu m’aimes?" et s’il ne sait pas quoi répondre ou si c’est un oui bien douteux alors, vous, vous répondrez : "Je t’aime parce que tu es toi, parce que tu me donnes de la joie en ce moment : tu remplis ma vie"

Vous découvrirez, mes enfants, à ne pas prendre son problème d’avenir et en faire le vôtre.

Oh! mes enfants d’amour, vous avez compliqué votre vie, vous n’avez pas vu venir à vous cette noirceur qui vous entoure, cette noirceur qui n’existe même pas et que vous avez fabriquée par votre peur, par vos angoisses de ce que demain sera.

Vous déambulez, mes enfants, comme des morts.
Comment pouvez-vous dire que vous êtes en vie, alors que vous n’êtes pas présents?

Mes enfants d’amour, vous vivez en pensant au mal de tête qui arrivera si vous mangez trop vite.
Vous allez même calculer à l’avance si vous allez pouvoir faire un tel ouvrage avec votre santé fragile.
Vous provoquez vos propres maladies.
Vous ne donnez rien à Dieu.

Vous ne vivez pas dans l’amour de Dieu pour vous : demandez à Dieu de vous aider.

Remerciez Dieu, mes enfants, quand vous êtes dans le repos.

Vous ne cessez de penser à vos douleurs qui pourraient arriver ou dans lesquelles vous vivez, et vous ne remerciez jamais Dieu de la vie qu’il vous donne à chaque instant : vous ne cessez de critiquer.

Vous avez appris, mes enfants, à ne pas regarder ce que Dieu a fait pour vous.

Il fait pleuvoir sur vos récoltes et ces récoltes se trouvent sur votre table; il vous donne son soleil pour faire fleurir vos fleurs et pour donner à votre intérieur de la force.

Savez-vous, mes enfants, que le soleil est important dans votre vie? Il est nécessaire à votre santé.

Mes enfants d’amour, j’ai rempli les cours d’eau de nourriture : ils vous donnent de quoi former votre corps.
Je vous protège, mes enfants, contre le froid qui pourrait vous nuire et je fais en sorte de vous donner de l’ombre quand vous êtes dans des chaleurs trop arides, et vous ne remerciez pas Dieu.

Vous pensez plutôt à vos maladies.
Ces maladies, mes enfants d’amour, sont la négligence de ne pas vivre au présent, de ne pas vivre votre vie présentement.
Vous avez peur de manquer de nourriture; vous avez peur de ne pas profiter du beau temps; vous avez peur de ne pas avoir les moyens de vous soigner.

Vous vivez dans la peur et cette peur est créée par votre ignorance de ce que demain sera : vous ne vivez pas le présent.

La vie est en vous.
Mes enfants d’amour, Jésus est avec vous ce soir, Jésus est présent en vous, il vous parle par cet instrument : il est vivant.
Je suis vivant, mes enfants, en chacun de vous : j’agis, moi, en vous si vous me le demandez à chaque instant.

Pourquoi venir vers moi et me demander : "Jésus d’amour, je voudrais que tu me trouves un ouvrage pour que je puisse m’offrir une maison. Jésus d’amour, quand vas-tu me soigner, je suis malade? Jésus d’amour, je voudrais que tu prennes soin de mes enfants qui ne viennent plus me voir".
Voyez-vous, mes enfants, ce sont des demandes pour ce qui va arriver, et vous ne vivez pas votre présent.

Si, mes enfants, vous apprenez à vous aimer, vous allez dire à Jésus d’amour : "Jésus, tu es vivant en moi, tu vis en moi à l’instant même. Donne-moi cette force, Jésus, de m’abandonner en toi, à l’instant même; donne-moi la grâce de vivre cette seconde avec toi" et vous allez voir, mes enfants, que la joie sera en vous.

Vous allez vivre avec Jésus, vous saurez que je suis vivant en vous et que je prends soin de vous.

Et si je prends soin de vous, mes enfants, et que vous le réalisez : vous n’aurez plus peur pour vos enfants, car vous saurez que je suis aussi vivant en eux, que j’agis en eux au présent; c’est vous qui allez leur montrer qu’ils sont vivants, que Jésus est là.

Il est là, il veut vivre le présent avec vos enfants.

Et si, mes enfants, vous avez une maladie qui vous fait souffrir : demandez-moi des grâces de force à l’instant même; je déverserai en vous ma puissance : ma puissance d’amour, et c’est avec moi que vous allez vivre.
Vous trouverez la paix, le calme en vous en sachant que je suis là, que je suis présent dans votre vie, là, maintenant; vous allez vous sentir, mes enfants, vivants et votre maladie perdra de l’importance pour vous car,
moi, je mettrai en vous de l’espérance, une foi en la puissance de mon Père.

Et, mes enfants, celui qui est inquiet pour demain, pour ce qu’il veut s’offrir : eh bien, je déposerai en lui mon agir : il viendra en moi et, moi, je prendrai soin de lui.

C’est moi, mes enfants, Dieu, c’est moi qui agirai : ce sera la Volonté de mon Père : il prend soin de vous; abandonnez-vous dans la Volonté de Dieu :
vivez dans la Divine Volonté
.

Cessez, mes enfants, de faire votre volonté humaine, elle ne sait pas apprécier le présent.

Venez vivre en Jésus, pour Jésus, avec Jésus, là, présent.

Oh! mes enfants d’amour, mon Papa d’amour a laissé en vos cœurs, par moi, une douce prière et cette prière, mes enfants, est le "Notre Père".
Vous ne vivez pas, mes enfants, le "Notre Père" : vous le récitez, mais vous ne le comprenez pas.
Rappelez-vous ces paroles :

«Notre Père : Toi Papa d’amour, toi qui m’aimes, je me sens aimé de toi parce que tu veux que je t’appelle Père, mon Père.
«Comme ton nom, Père, est bon : Il est grand, il est puissant. Tu es le Père de tous les enfants de la terre et tu es le Père de Jésus, tu es mon Papa. Que ton nom, Père d’amour, soit honoré d’âge en âge par tous les enfants de la terre. Toi qui as tout créé, je suis ton enfant et toi, mon Père, tu veux que je t’appelle ainsi! Merci Papa d’amour!
«Oh! que ton règne vienne : Ton règne d’amour, ton règne de paix : il est tout amour ton règne. Tu veux me donner la Vie, la Vie de ton Fils, par amour : je ne veux pas, Père, souhaiter rien de plus. Je veux, Père d’amour, vivre dans la joie, dans ton règne à toi où je ne me soucierai de rien puisque tu veux tout me donner : ton règne à toi, sur la terre, là où je vis, là, aujourd’hui même, comme ceux qui vivent au Ciel. Papa d’amour, je t’aime!
«Que ta Volonté d’amour soit faite : Je te donne ma volonté, Père, parce que la tienne est merveilleuse; tu sais ce qui est bon pour moi parce que tu es mon Papa.
«Oh! Père d’amour, aujourd’hui, je t’offre tout : Je veux, Père d’amour, tout te donner : mon travail. Je veux te donner tout ce qu’on va me donner aujourd’hui : je te le présente. Tout ce qui est en moi me fait mal aujourd’hui, mais je te le donne, je sais que tu vas prendre soin de moi. Nourris-moi, Papa d’amour, nourris-moi de ton amour. Je veux vivre en toi.
«Oh! Papa, je sais que je suis un enfant qui n’a pas toujours été à la hauteur de ton amour; apprends-moi, Papa d’amour, à accepter ton pardon : Combien de fois, Papa d’amour, tu m’as pardonné et moi, je ne me suis même pas pardonné. Je te demande pardon parce que toi tu m’aimes plus que moi je m’aime. Toi, si plein de miséricorde, tu as donné ton Fils pour moi.
«Je veux aussi être comme toi : Je veux pardonner à ceux qui m’ont offensé aujourd’hui, là, maintenant, parce que je ne veux pas avoir une douleur aujourd’hui en moi qui va m’empêcher de vivre ma vie avec toi, avec ceux que j’aime; mais tu sais comment je suis, alors, viens déverser en moi ce qui peut m’aider, je te donne tout.
«Oh! Papa d’amour, entoure-moi de ta protection, car ma faiblesse quelquefois a tendance à basculer vers la volonté humaine : Comme, je vais faire ce qui n’est pas ta Volonté, alors, aide-moi Papa d’amour, je veux vivre que pour toi.
«Et s’il y en a qui veulent me faire du mal, eh bien, je sais que tu es là : Je sais que tu prends soin de moi, que tu veux leur bien à eux autres aussi
«Alors, je te les donne et je me donne avec».


Voyez-vous, mes enfants d’amour, c’est votre journée qui vient de se présenter à votre Père et cette prière est là pour votre journée : elle est une nourriture.

Apprenez, mes enfants, à être présents en vous, à vivre en vous.
Je suis, moi, le Fils de Dieu; j’ai montré cette prière à mes apôtres afin que tous les enfants de la terre profitent de cette manne d’amour de tous les jours.

C’est à chaque instant, mes enfants, qu’il faut nourrir votre vie.
Apprendre à vous aimer : c’est apprendre à vivre au présent.
Ce que demain sera : seul mon Père le sait et lui, il sait ce qui est bon pour chacun de vous; alors, ayez confiance en lui, donnez-vous à votre Père, aimez-vous.

Je suis en votre présence.
Là, maintenant, nourrissez-vous, mes enfants, de Jésus en vous.
Par votre silence, je dépose en vous, mes enfants, des grâces qui nourrissent votre intérieur : votre vie là, maintenant.

Savourez, mes enfants, cet instant avec moi, Jésus d’amour, avec l’Éternelle Vie qui n’a jamais de fin, qui est pleine de joie, là où tout scintille, là où la brise est caressante, où la chaleur réchauffe l’amour intérieur.

Je suis la Lumière de vos vies, je suis le Chemin qui vous emmène à mon Père.
Je suis amoureux de vous : soyez amoureux de la Vie présente avec chacun de vous.
L’Amour se donne, mes enfants, à chaque instant.
C’est un mouvement d’amour qui ne peut s’arrêter et si vous n’êtes pas présents, à qui voulez-vous que je donne?

J’attends que vous veniez me voir pour être présents avec votre vie.
Ne me laissez pas tout seul, je veux vivre la vie de votre vie là, maintenant, à chaque instant de votre vie.
Je vous aime, mes enfants : Dieu ne cesse de répéter son amour pour vous.
Il s’humilie pour vous.

Il vous supplie : Aimez-vous, moi, Jésus, je vous aime.
Gardez-vous, mes enfants, gardez-vous présents en venant vers moi.
J’ai tant de joie à vous donner, j’ai tant d’amour!

Mes enfants d’amour, recevez de Dieu des grâces par la bénédiction de mes saints prêtres. Ils vous aideront à venir en vous. Amen.

***

Que ce "Notre Père" développé est beau ! Il nous fait prendre pleine conscience de la profondeur de cette prière quotidienne !

Bonne méditation.
Françoise.











FrancoiseF
Avec Saint Joseph

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Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus - Page 2 Empty Re: Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus

Message par FrancoiseF Jeu 26 Mai 2011 - 11:09


Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Pont-Rouge, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

21 septembre 2002

Dieu le Père : Mes enfants d'amour, je suis en présence d'un instrument d'amour, celui de mon choix, de votre Dieu, mes enfants. Je suis l'Éternel.

Ce monde, mes enfants : ce monde incrédule ne vit que de ce qu'il voit ; il n'a plus foi envers son Dieu.

Je suis l'Amour, je suis Celui qui vous a donné sa Vie.

Je suis l'amour de votre être, je suis Dieu amour.
Je suis vivant en vous, mes enfants;
je me sers d'enfants qui se donnent, qui ont gardé en eux l'espérance, qui veulent vivre dans l'amour.

Cette enfant a crié vers moi. Elle m'a supplié de venir habiter les cœurs pour vous apporter un monde d'amour, un monde de joie : elle a toujours espéré en son Dieu.

Elle ne pouvait savoir que j'étais en sa présence de voix; c'est moi qui l'ai choisie, elle n'est qu'un simple instrument.

Je me fais entendre pour chacun de vous, pour vous, mes enfants.

Vous, mes choisis d'amour, vous avez perdu l'amour : l'amour en vous; vous vivez dans un monde où il n'y a pas la présence de Dieu dans vos vies : vous vivez pour vous.

Je suis l'Amour à l'intérieur de vous : je suis vivant, je suis agissant, et vous, mes enfants, vous vous perdez à l'extérieur!

Vous êtes malheureux : vous cherchez l'amour, alors que l'amour vit en vous.
Mes enfants, je vous appelle tous à vous reconnaître tels que vous êtes : des enfants de Dieu.

Je suscite, mes enfants, en ce moment, des signes qui vous montrent ma Présence.

J'envoie parmi vous des messagers qui vous rappellent mes enseignements : ceux que vous voulez ignorer.

Vous avez connu, mes enfants, mes lois d'amour et vous avez rejeté ces lois au nom de votre liberté.
Vous voulez vivre votre vie, vous voulez goûter à votre vie sans moi : alors que la Vie est en vous.

La Vie, mes enfants, c'est moi votre Dieu, c'est moi votre Créateur.

Vous aurez beau regarder, à l'extérieur de vous, d'autres enfants qui, eux, se croient maîtres de leur propre vie : ils calculent leur temps, ils font savoir aux autres qu'eux fonctionnent au présent, alors qu'ils ne savent même pas qu'en eux est la Vie, ils veulent vous prouver qu'ils ont raison de s'être éloignés de ces lois qu'on leur avait montrées : ces enfants vont dans un monde où il n'y a que froideur, où l'amour n'existe plus.

Vous vivez pour vous : vous dites faire la charité, mes enfants, mais faire la charité : c'est connaître l'amour, c'est vouloir donner ce qu'on a, c'est partager ce qu'on a, c'est vouloir rendre l'autre heureux, c'est vouloir tout donner de soi.

Comment, mes enfants, peut-on parler de charité alors que la personne n'est pas amour en elle?

Elle ne peut donner que de l'extérieur.

Les biens, mes enfants, ne font que du bien que pour un temps.
Quand vous donnez à quelqu'un le surplus de votre monnaie, celui qui reçoit, n'a reçu que quelque chose de froid qui peut combler un repas, ou qui peut le réchauffer que pour un court instant : le temps qu'un vêtement s'use, mes enfants!

Mes enfants d'amour, quand on laisse développer en soi l'amour de Dieu :
l'amour fait de vous des enfants qui se donnent.

Combien de vous, mes enfants, donnent leur temps avec l'amour, l'amour intérieur, l'amour qui veut que cet enfant soit heureux pour qu'il puisse lui se combler, afin qu'il ne soit pas obligé de quêter?
Développer, mes enfants, son amour en soi, c'est être un don de ce qu'on est.

Cet amour, mes enfants, se développe : il regarde avec les yeux de Dieu, il donne avec les mains de Dieu, il parle avec les paroles de Dieu, et l'enfant qui reçoit : reçoit de l'amour, il apprend qu'il est lui aussi comblé par Dieu, il apprend qu'il est un être choisi de Dieu, plein de lui-même.

Mes enfants d'amour, vous êtes cet enfant qui quête.

Vous recherchez l'amour, vous allez vers d'autres enfants pour leur demander ce qui vous manque en vous.
Et si, mes enfants, l'autre n'est pas amour, il ne peut rien vous donner : alors, vous n'êtes pas comblés, vous avez le vide en vous, vous avez froid, vous avez une soif d'être aimés; vous avez si mal, mes enfants, en vous, que pour ne pas continuer dans cet état douloureux, vous vous fermez pour aller vers des choses inutiles.

Mes enfants d'amour, votre vie n'est pas faite pour ces choses!

Votre vie ne peut se contenter de matériels, de futilités, parce qu'à force, mes enfants, de vous combler avec des riens : vous devenez des riens.
Vous êtes à la recherche de ce que vous êtes et, parce que vous n'êtes pas comblés, vous ne pouvez donner;
alors vous exigez des autres, vous êtes mécontents, vous devenez dominateurs;
vous voulez contrôler pour ne pas vous trouver dans un vide en vous.

Moi, votre Père, je vous regarde; je vois, mes enfants, en vous cette douleur, je veux vous combler.

Je vous ai donné mon seul Enfant pour que vous appreniez à vous aimer.

Celui qui apprend à s'aimer peut aimer les autres, il peut donner, il peut offrir.
Mon Fils d'amour est venu vous apporter l'amour : mon amour.

Quand il est venu sur la terre, par le oui de ma fille Marie, il est venu vous montrer comment aimer, comment ouvrir votre intérieur parce que, moi, votre Père, je suis l'Amour, l'Amour qui est en vous.

C'est moi, mes enfants, qui ai donné mon souffle de vie : mon souffle d'amour pour que vous soyez tous vivants.
Aucun de vous, mes enfants, ne serait en vie sans moi, votre Père.

Je vous rappelle la Parole de mon Fils qui est venu vous nourrir, qui est venu vous donner à boire, qui est venu vous vêtir, qui est venu vous mettre au chaud.
Seul l'Amour peut vous combler : je parle, mes enfants, de votre intérieur.

Je suis, moi, l'Amour, je suis votre tout.

Sans moi, mes enfants, vous êtes perdus : vous n'auriez rien.
Je vous ai tout donné.

Regardez ce que vous avez autour de vous, tout vient de moi, tout part de moi.
J'ai tout fait sur la terre.
Oh! mes enfants d'amour, ne pensez pas que ce monde est par un atome de la terre.
Il fallait que la terre existe, mes enfants : c'est moi le Créateur de la terre.

Ne croyez pas, mes enfants, que vous venez de la descendance animale : je suis, moi, le Suprême, vous êtes faits à mon image.
Je suis le Créateur de toute espèce animale, et moi, mes enfants, je suis Dieu, et je ne viens pas d'une espèce.

Je vous ai faits de mon souffle.

Vous êtes des enfants de l'Amour, de mon amour.

Mes enfants, ce monde a oublié : veut ignorer, veut renier qui il est, d'où il vient et pourquoi il est ici.
Mes enfants d'amour, vous êtes de moi : vous avez été choisis par moi.
Vous êtes en ce monde, mes enfants, pour vous acheminer vers la vie éternelle : vers moi, l'Éternel.

Je vous aime, mes enfants d'amour.

La vie, c'est quelque chose qui bouge, quelque chose qui est vraie, quelque chose qui illumine : je suis la Vie.

Quand, mes enfants, vous travaillez, c'est moi, par mes forces, par ma puissance, qui vous donne ce besoin : la vie pour combler votre journée.
Mes enfants d'amour, je vous ai donné la vie et, vous, vous la gâchez.

Vous ne venez pas vers la Source même qui nourrit votre vie.

Croyez-vous, mes enfants, que vous êtes des êtres faits pour vivre comme des enfants inutiles, des enfants qui ne savent pas pourquoi ils sont ici?
Votre vie, mes enfants, doit être remplie d'espérance, remplie de joie, d'amour, de foi : vers la vie divine.

Mes enfants, vous venez de Dieu, vous venez d'un Être supérieur à tout ce que vous connaissez, et vous vous attachez à des riens.

Vous ne prenez même pas le temps de regarder la source même de la vie qui est en vous.

La vie, mes enfants, est à l'intérieur, elle n'est pas à l'extérieur : c'est de l'intérieur que sort la vie.

Qui peut nourrir cette vie? Qui vous a donné cette vie? Cette vie, mes enfants, est.
Elle est vivante, elle est moi, votre Dieu.

Si vous vivez dans ce monde, mes enfants, et que vous croyez que cela est pour les biens matériels : votre vie n'est rien, votre vie n'a pas de but, n'a pas d'espérance.
Alors, dites-moi, quel bonheur pouvez-vous trouver à vivre dans un monde où tout n'est rien?

Je suis amoureux de vous, mes enfants, je fais appel à votre vie.

Je vous demande, mes enfants, de vous aimer, de venir puiser en vous ces connaissances.

Je vous ai donné mes enseignements d'amour; mes saints apôtres vous ont donné ces enseignements par moi.
Par ma voix qui était en eux, ils se sont laissé envahir par l'Amour, par amour pour vous.
Ils ont accepté, mes enfants, de vous donner une partie d'eux, par amour pour le prochain,
parce qu'eux avaient découvert la vie, eux étaient dans la vie;
eux espéraient la vie, et ils ont eu la vie.

Et vous, mes enfants d'amour, vous qui vivez dans un monde où votre technologie, qui est sortie de moi, vous apprend à vous ignorer, vous vous enlevez tout espoir de bonheur.

Mes enfants d'amour, donnez-vous de l'amour : venez à moi.

Je suis présent, je suis vivant, je me donne à vous, mes enfants.

Mes saints prêtres s'offrent à Dieu, ils se donnent à Dieu sans retenue pour faire descendre le Saint-Esprit sur eux.

Je suis, moi, vivant en eux : ils ont foi en ma présence.
Ils font acte d'amour pour vous.
Ils veulent, mes enfants, que vous vous découvriez en présence de Dieu à la sainte communion.

Alors que le prêtre, par ses mains consacrées, a présenté à Dieu le Père le Fils qui est venu à vous :

Jésus :
c'est moi Jésus amour, mes enfants, qui me donne à vous; c'est moi qui nourris votre vie,
c'est moi qui fais que votre vie soit une vie d'amour.

Mes enfants d'amour, je suis vivant, je ne suis pas seulement une Hostie qui a été bénie : il y a la Vie, il y a ma Présence.

Quand je m'offre à vous, mes enfants, c'est moi qui vous prends, c'est moi qui vous fais pénétrer dans la Vie :
votre être, mes enfants, est en moi; je vous couvre de mon amour; je vous transforme, mes enfants, en enfants d'amour pour que, vous, vous vous aimiez, pour que vous vous découvriez enfants de Dieu : des enfants choisis par mon Père.

Je suis Jésus d'amour, je me suis donné pour vous.

Mon Père est en moi, le Saint-Esprit est en moi, je suis en eux.
C'est nous, mes enfants, qui vous nourrissons de notre amour.

Oh! enfants incrédules, qu'avez-vous fait? Où êtes-vous?

Je vous cherche, mes enfants, je suis en vous et vous ignorez que, vous, vous n'êtes pas présents avec l'Amour.

Si vous continuez ainsi, mes enfants, à ne pas prendre soin de la vie en vous, vous allez devenir tellement faibles que lorsque je me présenterai à vous, vous ne pourrez avoir la force de répondre à l'appel de votre Dieu!

Vous n'aurez plus en vous d'amour : l'amour va avoir disparu complètement en vous.

Ne vous laissez pas mourir :
Dieu vous aime, Dieu veut vous avoir à lui, mes enfants, Dieu est présent.
Je suis, moi, l'Amour. Je vous aime.


Prenez, mes enfants, la peine de rentrer en vous, de réaliser que vous êtes vivants.
Venez vous nourrir par les mains de ceux qui se sont donnés par amour.

Mes enfants d'amour, retrouvez le chemin qui vous conduit au bonheur.
L'Amour vous veut à lui. Il vous aime!

Je ne suis pas un Dieu qu'on lit seulement dans les Saintes Écritures, je ne suis pas seulement qu'un Dieu du passé :
je suis vivant.

Je me sers d'instruments d'amour, des enfants qui se donnent, qui s'abandonnent pour laisser toute la place à Dieu, par amour; ces enfants se donnent parce qu'ils savent que Dieu est en eux et ils veulent que vous soyez dans l'amour.

Je vous aime, mes enfants d'amour.

Réalisez, mes enfants, que Dieu est présent, agissant.
J'ai agi pour vous prouver à chacun de vous que vous êtes vivants, que je suis la Vie en vous.

Comme il sera bon, mes enfants, de vous avoir tous en moi avec votre oui : votre oui à l'Amour!

Ne vous refusez pas, mes enfants, de l'amour.

Apprenez à vous aimer, apprenez à vous donner du bonheur.
Il n'y a pas de plus grand bonheur que de se donner de l'amour.
Se donner de l'amour, mes enfants, c'est être capable aussi de rendre les autres heureux.

Je suis en présence de vous, mes enfants.
Je vous aime. Aimez Celui qui vous a parlé : moi, votre Dieu.


La Trinité :
Je suis le Père en le Fils, en le Saint-Esprit. Je suis et je serai, de toute éternité, votre Père, votre frère, l'Amour, moi, le Saint-Esprit. Et c'est pour vous, mes enfants, que nous parlons parce que nous vous aimons, parce que nous vous voulons avec nous pour l'éternité, dans un bonheur sans fin, où tout ne sera pour vous qu'amour.
Amen, mes enfants...


***

Le Père, le Fils, le Saint Esprit, s'offrent à nous ! Combien de fois les mots Amour, mes Enfants, Je vous Aime... et nous faisons encore la sourde oreille, pauvres de nous !

Bonne méditation,
Françoise.


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Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus - Page 2 Empty Re: Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus

Message par FrancoiseF Ven 27 Mai 2011 - 23:18


.



Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Chertsey, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

05 octobre 2002

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit :

Dieu est en vous. Il me fait savoir sa Volonté. Il vous apporte son amour, l’amour qui vit en vous. Je suis un instrument d’amour; je suis ce que Dieu veut que je sois. Tout comme vous, je suis en présence de Jésus. Il veut que je ne sois plus moi, il veut que je m’abandonne dans sa Volonté.

Jésus : Mes enfants d’amour, telle est ma Présence en chacun de vous.
Vous êtes ici présents par votre propre choix.
Vous êtes mes enfants : vous avez été choisis pour vivre dans l’amour, par l’amour, pour l’Amour.

L’Amour, c’est Dieu le Père, le Fils et le Saint-Esprit.
Vous êtes des enfants de Dieu, vous êtes mes bien-aimés.

L’Amour est en chacun de vous, il vous guide à chaque jour pour que vous vous accomplissiez dans votre intérieur.
Oui, mes enfants, c’est l’Amour qui est vie en vous.
Votre vie est à l’intérieur de vous, elle n’est pas à l’extérieur de vous.

C’est en vivant en vous que vous faites vos journées.

C’est moi qui nourris votre vie, qui l’alimente par mes mouvements d’amour.
Si vous prenez un enfant et que vous lui donnez un objet, celui-ci le prend et le regarde; il veut l’utiliser à sa guise en voulant faire de cet objet un instrument : soit pour s’amuser, soit pour travailler, soit pour apprendre.
Cela est extérieur à lui-même; ce qu’il y a en lui, c’est mon savoir :
c’est moi qui lui montre ce qui est bon pour lui.

S’il est tout petit, il veut que cet instrument soit un jouet; alors, moi, Dieu d’amour qui est en lui, qui nourris sa vie, je lui donne des pensées nourries par ma Volonté et il voit en cet objet un instrument amusant : il développe en lui ma Volonté d’amour qui veut faire de lui un enfant agréable pour ceux qui veulent jouer avec lui et partager cet instrument.

Tout est de moi!

Et si cet enfant découvre que cet instrument est un outil de travail, moi qui suis en lui, je le nourris, je lui donne mon savoir : il voit dans cet instrument l’utilité que moi je lui ai montrée; je lui dis, par mes propres voies, que cet instrument est pour lui un outil de travail qui va l’aider à devenir un être complet avec ce qu’il a à faire : à s'exécuter avec cet instrument; je lui montre, par mes élans d’amour, qu’il peut aider son prochain, qu’il peut faire de cet instrument un outil pour faire du bien autour de lui et qu’il peut créer des œuvres; tout cela est partie de son intérieur : c’est moi, qui suis en lui, qui le nourris, c’est de moi qu’il sait ce qu’il va faire avec cet outil parce que je suis sa vie;
je suis l’amour qui l’amène à se donner à ses frères et sœurs avec ce qu'il va faire grâce à cet outil.
Et si cet enfant veut apprendre aux autres, avec ce qu’il a entre les mains, moi, la Vie en lui, je lui montre qu’il est un instrument pour ses frères et ses sœurs.

Ce qu’il aura à donner, ce qu’il aura à présenter, c’est ce qu’il va apprendre en lui : il donnera mon savoir, il propagera ma parole, il montrera mon amour qui est en cet enfant,
mais il ne peut donner que s’il est nourri de moi.

Vous tous ici, vous êtes nourris de moi : c’est moi la Vie en vous, c’est moi votre nourriture de chaque jour,
vous, vous êtes instruments d’amour : vous êtes la vie pour les autres; mais la Vie, la vraie Vie, est celle qui est en vous, c’est elle qui vous a montré, qui vous a donné ce qu’il y a de plus précieux :
tout l’amour de mon Être pour que vous soyez en vie.

Mes enfants, avant ce matin, lorsque vous vous êtes levés, je vous ai préparés à cette journée; ce sont mes grâces qui vous ont montré que vous étiez capables et assez forts pour faire, de votre journée, une journée d’amour pour vous et pour ceux qui vous verraient et qui partageraient votre journée : tout cela vient de moi.

C’est moi qui vous amène à faire ce qui est bon, à vous rendre utiles, à vouloir donner, pour que les autres sachent que vous êtes amour.
Tout ce qui est en vous est de moi.

Je suis l’Amour, vous êtes des enfants d’amour;
vous êtes nourris de mon Être.

Mes enfants, donnez-vous!

Donnez-vous à vos frères et sœurs parce que c’est moi qui vous donne cette vie : elle est faite pour aimer, elle est faite pour donner.
Donnez-vous à chacun de vous; ne gardez pas en vous ce trésor qui est votre vie.
Garder pour soi ce qui est bon : c’est vous priver vous aussi des joies que les autres peuvent vous donner car, voyez-vous, si vous apprenez à donner l’amour en vous, qui vient de moi, par vos gestes, par vos regards, parce que vous avez appris que vous étiez amour : les autres qui vous regardent, qui voient en vous la vie, vont aussi donner ce qu'ils ont.

Mais si vous ne donnez pas, vous ne recevrez pas; vous allez être dans la solitude de votre intérieur.

La vie à l’extérieur de vous ne pourra combler ce vide en vous,
car vous allez vous refuser de l’amour qui vient de moi.

Mes enfants, je suis l’amour en vous, je suis l’amour en vos frères et vos sœurs.
Ce qui est de moi revient vers moi : je donne et je redonne.Cela, mes enfants, veut dire que quand je suis en un enfant et qu'il sort de lui mon amour pour donner, moi qui suis en l’autre enfant qui vient de recevoir de l'amour, je viens de recevoir; je donne de l’amour à celui-ci pour qu’il puisse en donner à l’autre qui vient de donner; alors, je redonne de l’amour, et je me nourris d’amour.

Je suis Essence d’amour, mes enfants.

L’Amour se nourrit, j’ai besoin d’amour : j'aime ce qui est de moi.
Je suis Dieu. Dieu est l'Amour, il a engendré l’Amour, et de cet amour est sorti l’Amour.
Vous êtes, mes enfants, dans ce mouvement d’amour.

Si vous ne donnez pas, si vous n’apprenez pas à découvrir ce que l’autre veut vous donner, vous ne pourrez pas, mes enfants, être dans ce complément d’amour : vous allez arrêter ce mouvement et vous allez être malheureux!
Il faut donner et redonner sans arrêt.
Il est si bon de vivre! La vie est un mouvement de chaque instant de la Vie.
Mes enfants, je vous rappelle que vous êtes en moi, que vous vivez de moi, que vous êtes des enfants faits pour aimer, aimer votre prochain.

S’aimer, c’est aimer celui que vous voyez, c’est ne pas porter de jugement sur ce que vous regardez, car cela est contre vous.

Si vous voyez autour de vous des enfants qui sont contre eux, il faut, mes enfants, me les donner en répétant ces mots d’amour que je vous ai montrés, ceux que j’ai dits sur la Croix : «Pardonnez-leur, Père, ils ne savent pas ce qu’ils font ».

Ces paroles doivent être aussi en vous.
J’ai porté tous mes enfants, je leur ai donné mon Être afin qu’ils soient tous amour.

Si certains d’entre eux se refusent d’être ce qu’ils sont, ils n’en sont pas moins amour, il y a moi en eux.
Je suis en souffrance en eux parce qu’ils se refusent à moi, mais je suis toujours en eux.

Je souffre, je m’offre à mon Père pour eux, pour qu’ils se voient dans mon amour.

Vous, mes doux enfants d’amour, vous, mes bien-aimés, vous qui les regardez, prenez soin de vos paroles, ne les jugez pas, car si vous les jugez, vous me jugez, moi qui suis en eux.

Je suis penché sur leurs péchés et je pleure leurs manquements.
Mon Sang coule sur eux pour les aider à se reconnaître tels qu’ils sont, et s’ils sont sourds à mes appels d’amour en eux, je les tiens fort pour ne pas qu’ils se perdent, car Satan est autour d’eux, il fait ce qu’il veut de ces enfants.
Moi qui suis en eux, je me présente et je reçois ses affres contre eux.

Mon Corps saigne, mes plaies ne cessent de s’ouvrir parce qu’ils sont dans l’erreur; à cause de leur refus à m'écouter en eux, je ne peux les rejeter.
Je me suis laissé crucifier pour eux.
C’est pour eux que je suis venu, pour ceux qui commettent des péchés contre l’Amour.
Eux qui sont amour commettent des souffrances contre eux, et moi qui suis le Fils de Dieu, la Puissance, je les tiens dans mon amour malgré eux pour ne pas qu’ils se laissent prendre dans le refus total à l’Amour.

Et vous, mes enfants d’amour, vous, mes bien-aimés, je déverse en vous des grâces d’amour qui vous font voir ma Présence en eux.

Je vous dis :
«Mes enfants de lumière, regardez ces enfants qui veulent renier leur Dieu en se refusant d’être des enfants d’amour, des enfants de Dieu, regardez-les, je suis en souffrance en eux!
J'ai besoin de vous, j’ai besoin de vos prières, de vos sacrifices.
Je sais que vous souffrez de voir ces enfants qui sont loin de moi, moi qui suis amour.

Je sais qu'il y a en ce monde des sectes qui font leurs propres lois parce qu’ils se refusent d’être en moi.
Tous ces enfants sont dans la noirceur.

Je suis la Vérité, je suis la Lumière, je suis le Chemin, qui va leur faire voir qu’ils sont amour, et vous, mes enfants de la Lumière, vous vous donnez par amour, dans l’amour, avec l’Amour, pour eux.

«Vous accumulez en vous des actes qui vous seront montrés.

C’est moi, mes amours, qui suis en vous, qui suis l’Amour : la Vie qui vous nourrit de ma Vie pour que vous puissiez accomplir ces actes.
Ces actes ne sont faits que de bonté, que de douceur, que de tendresse!

Ils ne jugent pas, ils sont des actes d’amour pour ceux qui sont contre l’Amour.
Vous souffrez présentement; vous voyez ces erreurs et vous voulez que cela s’arrête.

Mes enfants d’amour, c’est seulement moi qui peux le faire, ce n’est pas vous, car ce monde connaît un mouvement "apostasique".
«Ils ont renié leur Dieu en voulant faire leur volonté, en rejetant mes lois d’amour : celles que j’ai données à Moïse.
Ils veulent faire leur volonté pour ne pas être en reste avec ce monde : ce monde, mes enfants, qui est rempli de sa propre volonté humaine.
Ils ne voient plus ce qu’ils sont en train de se faire, car ils croient à leur propre moi.
Oui, ils ne vivent que pour leur moi, ils veulent faire ce qui leur plaît en se disant maîtres de leur propre vie.

«Ils se donnent des droits de leur propre être, mais ils ne se rendent pas compte que leur droit individuel est géré par la masse, et une masse humaine, mes enfants, ne porte pas de cœur.
Leur cœur est sans amour, sans partage, il ne donne pas.

Mes enfants d’amour, vous, mes êtres de lumière, est-ce que vous pouvez, vous, venir en aide par vos moyens à ce monde qui a refroidi son cœur par toutes sortes de faussetés?
Il n’y a seulement que moi, l’Amour, qui vis en eux, qui suis penché sur leurs péchés et qui, à chaque instant, je me laisse crucifier pour eux.»
J’ai dit à mon Père : «Père, j’ai soif. Je les veux ces enfants, ils sont à moi. Je veux leur donner à boire, je veux les nourrir de ma Vie qui donne la vie, qui réchauffe, qui attendrit, qui parle d’amour. Je sais, toi, que tu les aimes; tu as donné ton Fils unique pour les avoir avec toi. Je t’aime, Père d’amour. Je vais continuer à être sur cette Croix, tant qu’il y aura un seul de tes enfants choisis qui ne répondra pas à ton appel d’amour.»

Et vous, mes enfants de la Lumière, vous qui voulez tant que vos frères et vos sœurs se redressent pour qu’ils voient qu’ils sont enfants de Dieu, ne vous découragez pas.

Donnez-moi vos souffrances, déposez-les dans mon Cœur qui s’est ouvert par amour, venez vous réfugier dans mes plaies d’amour.

Je fais sortir mes grâces qui vont vous illuminer.

Vous allez devenir, mes enfants, par mes grâces : des enfants d’amour totalement dans mon amour.

Mon amour est pur, il est sans jugement pour ses enfants.
Mon amour va vous transformer, mes enfants, en êtres parfaits d’amour.
Vous serez des êtres de donation et cela se fera à chaque fois, mes enfants, que vous me donnerez votre vie, car je suis la Vie de votre vie, je suis Celle qui nourrit votre vie, et votre vie sera ma Vie.

Vous ne serez plus enfants de la volonté humaine, mais enfants de la Divine Volonté : votre vie sera ma Vie.
Tel que je suis pour mon Père, tels vous serez en moi pour l’amour de mon Père.
Vous aimerez vos frères et vos sœurs.
Vous allez vous accomplir dans ma Volonté.
Mes enfants, ce sont des rappels de mes enseignements.

Je ne viens pas vous apporter du nouveau, je viens pour rappeler ce que j’ai dit à mes apôtres : «Aimez-vous les uns les autres, comme je vous aime».

Vous serez l’amour, celui que vous auriez toujours dû être.
C’est moi qui vais vous transformer en êtres parfaits d’amour.
Je viens vous réclamer votre oui.

Celui que vous avez prononcé hier, mes enfants, est aujourd’hui renouvelé par mon mouvement d’amour,
et celui que vous direz demain, je le nourrirai,
car tout est dans la Divine Volonté.
J’ai déjà accompli l’Œuvre de mon Père.
Je connais chacun d’entre vous, je sais ceux qui diront oui.

Vos oui, mes enfants, je les connais tous et je connais vos faiblesses!
Je vous fortifie à chaque Eucharistie afin que vous soyez parfaits comme mon Père le veut, mes enfants.
Cette enfant se laisse transformer par mes grâces à chaque instant; vous, mes enfants, vous vous laissez transformer par mes grâces à chaque instant.

Nul ne peut accomplir la Volonté de l’Amour sans venir en moi, mourir en moi.

Quand vous allez, mes enfants, à la confesse et que vous vous présentez en enfants imparfaits, moi qui vous connais, je déverse en vous des grâces qui vous aident à devenir enfants de Dieu.

Mes amours, l’Amour est en vous, l’Amour vous nourrit.

Le pain est mon Corps, le vin est mon Sang : je vous nourris de ma Vie, vous êtes la vie dans ma Vie.
Vous n’êtes plus, vous êtes moi et cela, mes enfants, se fait dans mon amour pour vous.

Ce monde connaîtra une transformation d’amour par mon amour!

C’est seulement moi qui ferai ce mouvement d’amour, et cela est commencé.

J’ai commencé par vous, mes enfants de la Lumière.

Je vais vous montrer combien je suis agissant à chaque instant de votre vie : cela se fait par la Divine Volonté.
Vous êtes en train, mes enfants, d’avancer dans ma Nouvelle Terre.
Je mets dans vos cœurs des grâces d’amour pour vous, pour votre prochain.
Je vous montre qui vous êtes : vous êtes tous mes êtres d’amour.
Vous avez aidé ceux qui ne se savent pas en chemin, car eux aussi se dirigent vers la Divine Volonté.

Et tous ceux que vous portez, mes enfants, et qui sont dans ces erreurs et que je connais car je suis en eux, ils vont eux aussi prononcer leur oui, car moi je les nourris.

Je passe par mes enfants de lumière qui s’abandonnent à ma Volonté d’amour, et je déverse en eux des grâces qui vont leur montrer qu’ils ont été choisis pour entrer dans ce lieu d’amour : ma Nouvelle Terre.

Il n’y aura qu’un monde d’amour, un monde fait à mon image..
Mes enfants, ces journées vous nourrissent : elles vous rappellent qui vous êtes, pourquoi vous êtes ici, et quelle est votre mission.
Oui, mes enfants, voilà votre mission!

Vous n’êtes pas ici par votre propre choix, c’est moi qui vous ai choisis et c’est vous, mes enfants, qui avez répondu par votre oui à ma demande d’amour pour vous et pour eux : mes enfants, ceux pour qui je demeure encore sur la Croix.

Je vous montrerai, mes enfants, ce qu’il y a en vous présentement.
Je vous montrerai toutes vos œuvres qui ont été alimentées par mon amour et vous serez tous récompensés parce que l’Amour donne et redonne : c’est un mouvement de vie.La vie éternelle est sans fin.
Grande sera votre joie!
Mes enfants, c’est un rappel à l’amour.
Ce monde, autour de vous qui se fait mal, connaîtra un monde de paix, d’allégresse.
Mais, mes enfants, il faut que vous vous abandonniez en moi, totalement, dans ma Volonté.

Rappelez-vous, mes enfants, j’ai donné à Job de l’amour et il s’est donné à moi, il a tout reçu de moi.
Je l’ai comblé tant physiquement que spirituellement, mais une épreuve avait été demandée par Satan, et je l’ai accordée parce que je connaissais mon fils, je le nourrissais de ma Vie.
Alors, tout lui fut enlevé, et une très grande souffrance se fit sentir en lui, autour de lui, et il a donné son oui : il ne m’a pas refusé son amour.

Je l’ai vu dans la souffrance; il était tout soumis à mon amour : pas un seul reproche n’est sorti de lui.
Il ne m’a pas blâmé, car il savait que je l’aimais, et moi je savais qu’il m’aimait.
Grande fut sa récompense!
Je lui ai donné plus que ce qu’il avait reçu en premier.

Mes enfants d’amour, j’ai donné ma Vie pour vous, je vous ai comblés d’amour et vous, l’amour, avez été mis à l’épreuve, et (aujourd'hui) vous vivez, mes enfants, dans la souffrance.

Je suis, moi, le Fils de Dieu, j’ai tout reçu de mon Père, il m’a tout donné : vous tous étiez en moi, vous, l’amour.

Vous êtes venus en ce monde pour être des enfants d’amour, vous étiez la richesse de mon Père, il vous avait tout donné : tout son amour, et moi, Jésus Amour, je vous portais tous.
Mais voici qu’elle est venue, l'épreuve, une épreuve qui devait faire de vous des êtres d’amour.
Parce qu’à cause du péché, vous avez refusé l’amour de mon Père, alors je suis venu mourir sur la Croix.
En souffrant en moi, en souffrant à l’extérieur de moi, physiquement, je vous ai donné ma Vie et j’ai présenté à mon Père cette preuve d’amour.
Tout cela a été en moi, tout comme Job.

Cette douleur est encore en moi qui fait souffrir mon corps.
Je suis dans la douleur de mon Être tout comme lui, il était.

Je n’ai pas cherché à vous accuser, je ne vous ai pas blâmés, je suis venu vous reprendre en moi pour que vous ayez l’amour en vous; et, mes enfants de lumière, tous ceux qui s’abandonnent en moi vont recevoir une grande récompense.

Dieu, mon Père, va vous redonner son amour parce qu’il ne m’a rien refusé.
Je vous ai portés et, en disant oui à l’Amour, vous serez récompensés,
tout comme mon Père a récompensé Job.
Voyez-vous, mes enfants, son sacrifice a été porté dans la Divine Volonté pour vous montrer l’amour, la fidélité à l’amour.

Soyez des enfants fidèles à l’amour de mon Père.
Soyez ce que vous avez toujours été : des enfants de Dieu.
Je vous ai portés avant votre naissance.
Je viens vous rechercher pour vous amener à mon Père.
Sa Gloire, mes enfants, vous la verrez.

Elle sera aussi votre gloire, parce que grande sera votre récompense de vous être donnés dans l’amour.

À cause de vos oui, vous serez dans une joie éternelle.Mes enfants, je vous aime. C’est l’Amour qui vous a parlé. Je suis, moi, en votre présence : Je suis la Vie.

Je me suis servi de cet instrument pour vous. Je vous ai instruits. Je vous aime, mes enfants d’amour :
cela est pour l’éternité. Allez en paix, mes amours. Amen..


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Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus - Page 2 Empty Re: Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus

Message par FrancoiseF Dim 29 Mai 2011 - 21:35


Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Saint-Roch de l’Achigan, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

26 octobre 2002

Jésus :

Moi, Dieu d'amour, je me sers de cette enfant, tout comme je me sers de vous, mes enfants.

En ce moment, vous n'êtes plus : vous avez reçu Dieu, vous avez reçu l'Amour, et l'Amour vous a transformés en l'amour.

Mes enfants, quand un enfant reçoit Jésus Eucharistie dans l'humilité, dans la petitesse de son être, pour faire de lui un instrument d'amour : Dieu le prend, le transforme en enfant de Dieu.

Mes enfants, je suis le Fils de Dieu.

Si un enfant accepte de s'approcher de moi, de faire de lui un enfant humble et petit,
moi, le Fils de Dieu, je le prends et je le fais moi.


Alors, vous, vous devenez enfants de Dieu, vous n'êtes plus, vous êtes moi : c'est moi qui vous transforme, c'est moi qui vous amène à mon Père.

Par cet acte d'amour, vous vous présentez devant Dieu le Père et c'est moi, son Fils, qui vous présente à lui;
je vous prends en moi et je vous présente, dans votre intérieur, devant la Majesté d'amour : Dieu, le Créateur, Dieu de l'univers.
Dieu le Tout-Puissant, mon Père, est en vous et c'est moi qui vous amène à lui.

C'est moi, par la communion, qui vous prends et vous amène devant sa Royauté.

En vous, mes enfants, vous êtes!
Vous recevez de mon Père des élans d'amour : mon Père, dans son amour, vous regarde;
il s'approche, il tend les bras vers son enfant qui l'accepte.

Oui, mes enfants, réalisez que, par votre acceptation à venir me prendre à la sainte communion, vous acceptez de vous présenter devant mon Père; vous devenez enfants de Dieu, mais mon Père ne vous a pas forcés : c'est vous qui êtes allés, par moi, à mon Père.

Comme l'enfant prodigue, vous avez été loin de lui, ne fut-ce, mes enfants, qu'une seule journée que vous n'avez pas été présentés à mon Père, que vous n'avez pas été en sa Présence :
mon Père d'amour, qui vous aime d'un tel amour, attend ce moment.

Mes enfants, il sait que vous vivez dans un monde où on n'a pas donné la place première à son amour; il vous voit, il sait ce que vous faites, il vous connaît, il vit en vous.

Et les heures, mes enfants, passées loin de lui sont, pour mon Père, des heures de langueur.

Il se languit de vous, il vous aime.

Oh! combien d'enfants, et ils sont si nombreux, ne viennent pas à lui, ne vont plus profiter des sacrements.
Ils vaquent à leurs occupations, en ne prenant pas garde à ce qu'ils font contre l'amour de mon Père.

Chacun de vous, mes enfants, vous accomplissez des actions; dans ces actes, vous devez vous tenir en présence de l'Amour, car, voyez-vous, quand vous vous éloignez : vous avez tendance à oublier, votre intérieur se referme, vous mettez, mes enfants, des barrières.

En regardant vos frères et vos sœurs : vous devez les aimer tels comme ils sont, vous devez découvrir l'Amour en eux, vous devez demander des grâces à moi, Jésus, pour que vous puissiez les regarder avec mes yeux : vous allez découvrir, mes enfants : qu'ils sont blessés, qu'ils ont été manipulés par d'autres enfants qui, eux, étaient aussi blessés, et ces blessures ont été causées par la désobéissance à mon Père.

Mes enfants d'amour, regardez-vous : Ceux qui parlent en mal d'un seul d'entre vous sont désobéissants à mon Père.

L'obéissance, mes enfants, est un rappel à ce que vous devez être pour mon Père.

Désobéir, mes enfants, c'est une action contre Celui qui vous protège, vous aime, vous veut à lui.

Quand on obéit, c'est qu'on sait que la personne qui demande est juste, parfaite.
L'obéissance, c'est s'accomplir en voulant faire plaisir à celui qui demande
.

Que vous soyez bons, charitables, aimables, avenants, non critiqueux, obéissants, mes enfants, c'est de savoir que la personne qui demande est de Dieu.

Mes enfants, tout enfant doit obéir à Dieu, Dieu seul sait ce qui est bon pour vous.
Dieu a donné des commandements à Moïse pour vous, pour que vous soyez bons envers vous et votre prochain.
Il a donné autorité aux apôtres, mes premiers prêtres; il a donné des grâces aux apôtres.

Par la descente du Saint-Esprit sur eux, ils ont été remplis de lumière, de ma vérité, de la vérité de l'Amour.

Mon Père vous aime, il vous donne tout, mes enfants,
pour que vous soyez dignes d'être appelés enfants de Dieu.

Pour être dignes de mon Père, il faut lui obéir dans l'amour de votre être, de votre intérieur.
Mes enfants, si votre extérieur vous apporte des situations difficiles, vous devez aller puiser en vous des grâces pour que vous soyez capables d'affronter ces situations difficiles.

Mon Père d'amour ne vous a pas laissés seuls avec vous-mêmes, il est en vous.

S'il m'a donné à chacun de vous pour que je sois en vous : vous ne pouvez, par vous-mêmes, mes enfants, être amour;
le péché de la désobéissance de vos premiers parents vous en empêche.

Mes enfants, ce péché a apporté à ce monde beaucoup d'autres péchés car, voyez-vous : l'obéissance est une vertu : une vertu d'amour, si on commet une faute : un péché, c'est que l'on ne se conduit pas bien : alors, vous désobéissez à Dieu, car Dieu vous demande de l'écouter, il sait ce qui est bon pour vous.

La désobéissance, mes enfants, engendre beaucoup de péchés.

Il faut puiser en vous des grâces en venant à la communion me recevoir et, moi, je vous prends
et je vous présente à mon Père qui déverse en vous des grâces pour que vous soyez obéissants.

Mes enfants d'amour, si Ève était venue vers mon Père lui demander des grâces pour ne pas écouter Satan : elle n'aurait pas désobéi.

Voyez-vous, mes enfants, le danger que vous courez quand vous vaquez à vos occupations entre la communion que vous avez reçue et l'autre que vous devez recevoir dans l'amour, dans la pureté?

Ces heures, mes enfants, vous devez les accomplir en présence de moi, Jésus; c'est moi qui vais vous aider à vous comporter en enfants de Dieu pour ne pas désobéir à mon Père; c'est moi qui vais vous donner cette force de comprendre votre attitude qui n'est pas charitable quand vous faites de la peine à votre prochain.

Mes enfants, vous êtes tous enfants de Dieu. Il n'y a qu'un seul Père, c'est mon Père :
vous êtes tous ses enfants. Il n'y a pas un seul d'entre vous qui n'appartient pas à mon Père.

C'est moi, Jésus d'amour qui est venu par le oui de Marie, votre Mère, en ce monde.

Je me suis fait Homme, pour vous, pour prendre en moi tous vos péchés causés par la désobéissance envers l'amour de mon Père.

J'ai vu tous vos péchés et, par obéissance, j'ai accepté tout; j'ai tout pris en moi car mon Père vous aime; il était présent, il a, lui aussi, mes enfants, souffert; je suis en le Père, le Père est en moi, comme nous formons le Saint-Esprit, le Saint-Esprit est en nous; tout ce que moi j'ai pris, tout ce que j'ai souffert : mon Père l'a pris, l'a souffert; il a, lui aussi, versé des larmes sur vos péchés et moi, son Fils d'amour, par obéissance, j'ai dit oui à la souffrance, car mon Père avait dit oui à la souffrance.

Avant même, mes enfants, que vous soyez en ce monde, mon Père, qui est tout-puissant, connaissait tout ce que, vous, vous étiez pour faire à cause de votre désobéissance, et mon Père d'amour a prononcé son oui, mes enfants, avant tout oui.

Il est le Oui de l'Amour. Il est le Oui sublime.

L'obéissance au Oui, mes enfants, est de mon Père, est de l'Amour.

Mes enfants, qu'un seul d'entre vous désobéit, il fait de la peine à mon Père.

Quand vous étiez plus petits, qui d'entre vous n'a pas entendu cette parole : "Ne fais pas ça, tu vas faire de la peine à Jésus"?
Mes enfants d'amour, votre père vous demandait d'être obéissants, de ne pas désobéir,
et parce que vous avez grandi, vous oubliez la recommandation de votre mère de ne pas faire de la peine à Jésus.

Est-ce que c'est parce que vous êtes grands que cela n'a plus d'importance pour vous?
Il ne faut pas faire de la peine à Dieu en parlant en mal contre un seul de vos frères et sœurs.

C'est l'Amour qui vous parle.

Quand vous faites de la peine à mon Père, vous faites revivre en moi les douleurs de l'agonie.
Je vous aime tant, mes enfants!

Laissez-moi vous prendre en moi pour vous présenter à mon Père, afin que vous receviez des grâces, des grâces d'amour qui vont vous montrer que vous êtes des enfants de Dieu, et que ses enfants ne se font pas de la peine entre eux, car quand vous parlez contre un seul de vos frères et sœurs, vous leur faites de la peine; même si ceux-là n'entendent pas, ils sont en vous!

Je suis le Corps Mystique, mes enfants : je porte tous mes enfants,
je vous porte, vous portez vos frères et vos sœurs
.

Il n'est pas bien, mes enfants, de faire de la peine à vos frères et sœurs, que vous avez en vous, parce que vous vous faites de la peine à vous-mêmes.

Je suis, moi, Jésus : quand je vous prends à la communion, vous n'êtes plus vous, vous êtes moi : alors, vous me faites de la peine, et vous vous faites de la peine.
Je viens vous montrer qui vous êtes.
Ces jours, mes enfants, sont des jours de grâces, des jours d'amour.

Je ne suis pas présent avec vous pour vous montrer que vous êtes des mauvais enfants, je suis présent avec vous pour vous dire :
«Vous êtes enfants de Dieu, vous êtes mes amours.»

Je vous aime! Comme j'aimerais que vous vous aimiez, que vous aimiez vos frères et vos sœurs.

Prenez soin de vous! L'Amour vient bientôt vous montrer, en vous, l'Amour même, et vous serez en sa Présence, mes enfants.

Vous verrez tout ce que vous avez accompli et moi, l'Amour, je serai présent.

Je vous donnerai tout mon amour et toutes les grâces que vous aurez demandées.
Tel l'enfant prodigue qui retourne à la maison, le Père l'accueille avec tout son amour, et il fait la fête avec lui.

Mes enfants, vous allez rentrer à la maison, chez-vous, là où votre Père vous attend : Dieu le Père, mon Père, votre Père. Vous allez voir combien il vous aime! Et votre oui à l'Amour dans son oui à l'Amour sera une fête, mes enfants. Il fera pour vous chanter ses anges. Il vous donnera tout ce qui est à lui, car ce qui est à lui est pour ses enfants. Il vous donnera l'amour.

Vous serez tous dans son amour et, plus jamais, mes enfants, vous ne serez dans la désobéissance, car vous serez dans l'accomplissement de son œuvre.
L'œuvre de son amour est pour mes enfants.

Il a créé l'homme à son image pour l'Amour, dans l'Amour, avec l'Amour, afin que vous ne fassiez qu'un avec lui, en lui, par lui.
Vous êtes en moi, son Fils, vous êtes les enfants de l'Amour, de son amour.

Je suis le Corps de l'Amour, vous êtes en mon Corps.
Le Corps brillera de toute sa puissance, car il n'y aura plus rien de désobéissance en le Corps du Christ.

Mon Église, mon Corps, mon unique amour, mon obéissance à Dieu le Père,
c'est vous en moi : je suis Unité d'amour.

Mes enfants, je vous prépare à cette union d'amour. Très bientôt, mes enfants, vous saurez qui sont vos frères et vos sœurs, car aucun d'entre eux ne vous sera inconnu : telle est la puissance de Dieu.

Ce que vous ne savez pas présentement : respectez-le, aimez-le, soyez dignes d'être avec : je vous parle de vos frères et de vos sœurs; vous êtes tous enfants de Dieu : tous, vous êtes choisis; conduisez-vous bien, mes enfants : en étant des enfants obéissants à l'appel de l'amour de votre Père.

Par la toute-puissance de l'Amour, par la puissance de mon Père, je vous demande, mes enfants, d'entrer en vous afin de recevoir la bénédiction de la Sainte Trinité. Amen.


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Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus - Page 2 Empty Re: Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus

Message par FrancoiseF Lun 30 Mai 2011 - 20:26


Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Iberville, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

23 janvier 2003

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je dois répéter les mots qui sont en moi. Ces mots sont vivants. Ils parlent d’amour, de l’amour de Dieu.

Jésus : Mes enfants d’amour, laissez-moi vous parler en votre intérieur. Laissez votre volonté humaine de côté et venez en vous, là, où je suis. Donnez-vous à moi. Je suis Dieu d’amour. Je suis vivant en chacun de vous. Je suis la Lumière du monde. Mes enfants d’amour, cet instrument qui parle a été choisi pour que moi, votre Dieu, je puisse vous parler.

Je donne des grâces à cette enfant, non pour qu’elle les garde pour elle, mais pour qu’elle donne, qu’elle donne à chacun de vous ce qu’elle reçoit : l’amour.

C’est l’amour qui fait vibrer en chacun de vous la vie.

La vie qui est en vous vient de moi : elle me reconnaît.
Quand je lui parle, elle entend, elle s’ouvre à mes paroles.

Votre volonté humaine, parfois, empêche la vie d’entendre son Dieu.
À chaque jour, je vous parle.
Je vous fais savoir que je suis en vous, que je me meus en vous.

Lorsque vous allez travailler, à chaque jour, je me fais présence pour vous aider à accomplir vos actions.
Vos actions doivent être amour et doivent comporter le bien.

Et vous : êtres d’amour; vous qui entendez la voix de la Vie : vous êtes vivants.

Lorsque vous donnez de vous-mêmes, vous donnez votre vie.
Lorsque vous travaillez, c’est que vous avez reçu, de moi, des grâces qui vous font accomplir vos actions :
c’est moi l’Agir.

Bien que des enfants s’accomplissent aujourd’hui en pensant que tout vient d’eux, moi, qui suis en eux, je les regarde et je les soutiens,
car cette constatation de se reconnaître comme des dieux les font mourir.

C’est moi qui les soutiens, c’est moi qui fais que chacun de vous êtes vivants.
Sans moi, vous ne pourriez, mes enfants, être actifs, vous ne pourriez donner,
car je suis le Don de vie.

Donnez-vous pour l’amour : cela, mes enfants, veut dire que lorsque vous accomplissez une action, faites-la parce que vous aimez la vie, non parce que vous faites cette action par routine, cela n'apportera rien, cela ne fera que répéter vos actions; moi, je vous parle de vous, de votre don de soi; aussi simple que soit cette action, donnez-la avec amour; c’est vous qui vous vous donnez et c’est vous qui êtes récompensés.

Lorsque vous faites une action et que vous la faites dans l’amour, vous êtes contents de vous, vous êtes fiers de ce que vous faites.

Mais si vous faites cette action en étant obligés de la faire dans un quotidien, vous vous imposez une action et cela ne vous fait pas plaisir; alors, vient des moments de tristesse, de lourdeur pour vous : vous portez sur votre épaule votre propre comportement.

Alors, vos journées de travail ne sont pas dans l’amour : vous vous épuisez; vous ne pouvez donner à votre prochain ce qu’il y a de bon en vous.

Lorsque vous présentez, mes enfants, une figure triste, c’est la personne qui vous regarde qui vous voit triste; vous, vous le ressentez en vous : vous êtes les premiers atteints par cette tristesse et ceux qui vous regardent, eux, perçoivent la tristesse; alors, ils ne veulent pas de vous; ils ne vous reçoivent pas en étant contents que vous soyez près d’eux : ils vous subissent.

Mes enfants de l’Amour, je vous parle par cet instrument pour vous faire connaître que vous devez être, avant tout des enfants d’amour, contents de vous-mêmes, contents de ce que vous faites.
Vous allez pouvoir donner et aussi vous allez pouvoir recevoir.Essayez de comprendre, mes enfants, qu’une journée faite avec amour est une journée non épuisante, mais une journée faite dans la tristesse, dans le mécontentement, est une journée lourde à porter.

Vous arrivez chez vous bien fatigués : vous ne pouvez pas donner, à ceux qui vous attendent, de la joie.
Vous êtes des enfants d’amour : vous devez vous donner de l’amour pour donner aux autres de l’amour.À quoi sert, mes enfants, de vivre si vous n’appréciez pas qui vous êtes? On fait savoir à ce monde qu’il y a présentement des guerres, des rumeurs de guerre, des violences, des révoltes, des protestations, et vous, vous accueillez ça dans votre vie avec des questionnements : Où cela va-t-il nous amener? Qu’est-ce que l’on va vivre dans peu de temps? Pourquoi ce monde ne s’accepte-t-il pas dans l’amour?

Moi, Dieu d’amour, je veux crier au monde entier : «Paix et joie aux hommes de bonne volonté».

Tout est en vous : tout doit partir de vous.

Une journée faite dans la joie est une journée faite dans l’amour de Dieu.
Là est la Volonté de l’Amour : là doit être votre volonté. Mes enfants d’amour, pourquoi cette inquiétude?
Pourquoi toutes ces questions?

Les seules qui doivent être en vous, ce sont : "Est-ce que moi, je m’accepte tel comme je suis? Est-ce que moi, je m’aime assez pour me souhaiter la paix, la joie? Est-ce que je veux vivre en enfant d’amour pour que mon prochain me voit dans la joie, dans la paix de mon intérieur?"

Ce monde est bien triste, mes enfants!

Lorsque vous constatez ces événements qui tournent autour de vous, vous ne voyez que tristesse.
Vous ne voulez pas vivre dans ce monde où on parle de guerre, de violence, de révolte, où les enfants ne sont pas heureux!

Il faut avant tout que, vous, vous soyez heureux : il faut trouver de la joie en vous.
Commencez par vous.
Commencez à vous donner de la joie en prononçant à chaque jour votre oui à Dieu : "Ah! oui, Père, je te donne mon oui, je m’abandonne entre tes mains. Tu sais, toi, Père, ce qui est bon pour moi. J’ai confiance en toi, je veux m’abandonner. Donne-moi des grâces d’amour où je vais trouver la paix, où je vais découvrir la joie. Père d’amour, il n’y a que toi qui peux me faire vivre dans la paix et dans la joie. Viens me nourrir de toi, de tes grâces."

Dieu le Père : Mes enfants d’amour, moi votre Père, je vous demande de venir puiser ces grâces à la communion.Venez prendre mon Fils, je vous l’ai donné.

En échange, mes enfants, donnez-moi votre oui, je vais vous nourrir de mes grâces : tout amour est un don de soi.

J’ai donné mon Oui à mon Fils. Mon Fils s’est offert pour effacer tous les péchés du monde : vos erreurs.
Oui, mes enfants, je connais tout de vous : vos faiblesses qui vous font succomber au péché. Aujourd’hui, mes pauvres petits enfants d’amour n’entendent presque plus parler de péché.

Ils ont été jadis persécutés par des prêtres, des religieux, des religieuses qui leur disaient que tout était péché :
alors, mes enfants ont eu une indigestion, alors, ils ne veulent plus goûter à ces paroles.

Oh! mes enfants d’amour, ne savez-vous pas que si vous avez goûté à quelque chose qui a été un trop pour vous, est-ce que vous allez rejeter ce qui a été une nourriture?

Ils vous ont nourri de paroles, de mes Paroles; ce qui a été en trop : c’est leur volonté humaine.

C’est de cela que vous avez été malades et non pas, mes enfants, de mes enseignements. Je vous ai donné des lois d’amour : mes lois d’amour, mes enfants, sont justes; elles sont vérité; elles vous protègent du mal; elles vous gardent dans la droiture; elles vous montrent à être heureux, à accueillir votre prochain, à ne pas vous faire du mal; elles vous montrent à vous donner; elles vous montrent à accueillir l’Amour :
c’est de cela, mes enfants, que vous devez vous nourrir pour ne pas tomber dans le péché.

Mes enfants, si, aujourd’hui, votre vie est triste, sans joie, c’est que vous ne vous nourrissez pas bien.
Vous apprenez à manger une nourriture informatique.
Elle vous informe, mes enfants, de tout ce qui est mal, mais ce mal, mes enfants, c’est la volonté humaine.

Vous la prenez pour vous : vous ne laissez pas Dieu vivre en vous pour que vous puissiez savoir si ce que vous entendez vient de moi ou des hommes.
Vous avez ouvert votre intelligence à tout ce qui est humain et vous avez fermé votre intérieur à tout ce qui est divin.

Moi, je vous parle d’amour, je vous parle de pardon, de réconciliation, de paix, de joie, de partage; je vous parle, mes enfants, de l’amour, du vrai amour, et tout ce que, vous, vous entendez c’est : "Ne fais pas cela. N’accomplis pas cela. Regarde ce qu’il fait. As-tu compris?"

Cela, mes enfants, ce sont des commandements : ils vous obligent.

Ils ne vous demandent pas : ils vous imposent. Ils ne vous donnent pas la liberté de connaître l’amour.

Vous avez appris, avec votre volonté humaine, à mettre des restrictions dans votre vie.
Vous avez appris à commander, à dominer, à juger.

Regardez, mes enfants, vous avez de la difficulté à pardonner.
L’amour est miséricorde : il veut vous apprendre à regarder avec les yeux de l’Amour,
à entendre des sons d’amour, à ouvrir votre cœur pour accueillir l’amour du prochain.

Mes enfants, il est si important de vous reconnaître comme étant des enfants d’amour.

Il sera plus facile pour vous de renoncer à votre volonté humaine si, mes amours, vous voulez vous donner à Dieu, en disant : "Je te donne tout, je veux m’abandonner à toi".Il faut aussi que vous vous reconnaissiez comme étant des enfants faits pour être aimés et aimer.
Cela sera plus facile dans votre renoncement.

Je parle de renoncement, mes enfants, car vous devez donner à Dieu ce qui vous empêche d’être des enfants de paix et de joie. Je veux votre vie : un renoncement total à ce que vous connaissez présentement : votre vie humaine qui comporte votre volonté humaine.
Je veux vous donner la vie en Dieu, la vraie vie.

Vous ne serez pas esclaves.
Détrompez-vous, mes enfants!
Vous allez vivre en enfants libres avec ce que vous êtes, avec votre intelligence, avec l’amour de Dieu.

Je vais vous combler : ma Volonté, mes enfants, vous connaît mieux que vous, vous vous connaissez.
Combien d’entre vous faites des actions en ne sachant pas si cela va être bon ou mauvais pour vous?
Savez-vous pourquoi?

C’est parce que votre volonté humaine connaît le bien et le mal : vous vacillez entre le bien et le mal. Le monde d’aujourd’hui, mes enfants, s’est laissé prendre par le mal, car il parle que de violence, que de haine : il domine votre vie.

Moi, je veux vous faire vivre dans un monde d’amour.

Il faut que vous commenciez par vous, à l’instant même, là, où vous vivez.
Il faut que vous appreniez à vivre en enfants de Dieu.

Vous n’êtes pas faits pour vivre dans la volonté humaine. Non, mes enfants!

Vos premiers parents ont succombé à la tentation.
Ils ont connu le bien et le mal mais, avec les années, le mal a pris le dessus.
Et si, aujourd’hui, vous connaissez le bien encore, c’est que je suis en vous,
je vis en vous, je vous nourris de mes grâces d’amour.

Beaucoup d’enfants, mes enfants, ont donné leur oui et ils vous ont portés. Par leur oui, j’ai déversé en vous des grâces qui vous ont aidés à vous acheminer vers une vie nouvelle.

Mes amours, je parle à des instruments pour vous annoncer une nouvelle : le royaume sur la terre.

Chacun de vous prononce le "Notre Père" et vous dites : "Donnez-nous, aujourd’hui, notre pain de ce jour"; mes enfants d’amour, je viens vous apporter un pain d’amour; je viens déposer en chacun de vous des grâces d’amour pour vous faire comprendre que mon règne vient sur la terre.

Le règne qui aurait dû être si Adam et Ève n’avaient pas désobéi.
Je vous prépare à la venue de mon Fils en gloire dans les cœurs.

Chacun de vous êtes en ce moment en train de vous laisser transformer par mes grâces, telle cette enfant qui vous parle; elle a prononcé son oui dans un abandon total et, à chaque jour, elle s’est laissée transformer par mes grâces, et elle n’est pas la seule. Beaucoup d’enfants en ce moment sont remplis de l’Esprit Saint : ils ont donné leur oui; ils ont accepté que je prenne leur volonté humaine et que je les fasse vivre dans ma Volonté; ils perçoivent l’Amour; ils sentent en eux ma Présence.

Ces enfants sont des enfants de lumière, et si ce soir vous êtes ici, c’est que je vous ai choisis, et c’est vous qui avez répondu à mon appel.

Lorsque des enfants prennent la peine de se déplacer pour venir entendre un enfant, comme vous, parler dans le Saint-Esprit, c’est que vous avez ouvert une porte intérieure à Dieu.
Je vous parle en chacun de vous.

Vous devez entendre, mes enfants, la voix qui vous parle, car c’est elle qui vous a fait venir ici.
Je vous ai parlé et vous avez répondu à mon appel. Cela ne vient pas de vous, c’est moi, la Volonté Divine.

Tout ce qui est bon, mes enfants, vient de moi, cela ne peut venir de vous.
Vous, vous avez prononcé votre oui à vouloir accomplir ma Volonté.
Vous avez dit oui, mes enfants, avec votre volonté humaine.

Mes enfants d’amour, je vous annonce une ère d’amour, une ère de paix, une ère de joie, où vous vivrez dans la Divine Volonté avec vos frères, avec vos sœurs.

Il n’y aura plus jamais de rumeurs de guerre, de guerre, de violence, de révolte; plus jamais, mes enfants, car vous vivrez dans l’harmonie, une harmonie d’amour. Et si vous doutez des paroles de votre Dieu, déposez cela sur la patène : mon Fils, par les mains de mon saint prêtre, me les présentera et je déposerai en vous des grâces de foi qui vous feront voir la lumière intérieure.

Mes enfants, à vous seuls de prononcer votre oui : il vous appartient, il est à vous.

Moi, votre Père, j’ai respecté votre liberté et je vais respecter votre liberté jusqu’à la fin : et votre choix sera éternel.

Mes enfants d’amour, si votre oui est prononcé, vous connaîtrez le royaume de Dieu sur la terre : un royaume d’amour, un royaume de paix et de joie, et si vous prononcez un non dans votre choix : vous ne pourrez plus vivre auprès de mes enfants de la Lumière : cela sera décisif.

Par la puissance de l’Amour, je dépose en chacun de vous des grâces de lumière pour vous avoir avec moi pour l’éternité. À moi, la Puissance, de vous dire que tout s’accomplira comme moi je le veux.
Mes enfants d’amour, recevez la paix. Recevez la bénédiction de l’Amour.

Abbé Conrad Verreault : Dieu tout-puissant, viens dans le cœur de chacun de nous y mettre l’amour. Ce n’est pas toujours facile d’aimer, mais toi, tu es Amour et tu nous dis que là où est l’amour, tu t’y trouves. Alors, nous te demandons de nous bénir et mettre cet amour dans notre cœur, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

Tous : Amen!

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Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus - Page 2 Empty Re: Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus

Message par FrancoiseF Mar 31 Mai 2011 - 20:26


Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Saint-Liguori, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

8 février 2003

Jésus :
Mes enfants d’amour, Dieu accorde à votre volonté humaine un instant : un seul instant, dans l’éternité. Cette intimité est une intimité faite à partir d’un instrument.

Ce petit instant, mes enfants, est pour vous : il a été choisi dans le temps. Vous n’êtes pas ici par le hasard. Moi, je vous dis, par cet instrument d’amour, que j'ai vu et que j’ai préparé, par mon amour, cet instant.

Je veux vous avoir à moi, je veux vous combler,
je veux vous montrer l’importance de mon amour pour vous.

Votre temps, mes enfants, a été choisi depuis toute éternité pour connaître la Volonté de Dieu dans le présent.

J’ai enseigné à mes apôtres mes enseignements; ils comportaient l’amour de mon Père.
Ces mêmes enseignements sont toujours présents; ils ont été gravés en vous car je suis la Parole.

La Parole est vie, la Parole est présence; comme vous êtes ici présents, vous êtes donc en ma Présence.
Vous vivez en moi, je vous fais vivre.

À chaque instant de votre vie qui se passe au présent : c’est moi la Vie en vous, c’est moi qui vous apporte vos besoins, c’est moi qui vous fais connaître ce qui est nécessaire à votre vie corporelle, afin que vous puissiez vous acheminer dans votre quotidien avec vos frères, avec vos sœurs.

Mes enfants d’amour, j’ai donné à mes apôtres des paroles vivantes : comment vous deviez vous comporter.
C'est la présence de Dieu en vous, vous êtes en Dieu.
Vous avez oublié, pour la plupart, mes paroles.

Je dis cela parce que vous portez vos frères et vos sœurs.
Vous qui êtes ici, vous avez accepté, mes enfants, de vivre dans la Divine Volonté.
Vivre dans la Divine Volonté, c’est renoncer à votre volonté humaine
pour venir vous plonger dans mon agir.


Vous portez tous vos frères et vos sœurs et c’est pour eux aussi que je parle; je ne parle pas seulement pour vous qui écoutez de vos oreilles humaines cet instrument; je parle et c’est la Parole que vous entendez.

La Parole est vivante, elle est agissante : elle sort de la Divine Volonté pour donner, à tous les enfants de la terre, des grâces.

Vous êtes en mouvement d’amour, vous êtes agissants lorsque vous vous abandonnez à ma Volonté :
vous apportez à tous les enfants de la terre mes paroles, vous ouvrez votre cœur,
vous laissez Dieu donner à tous ses enfants des grâces d’amour.

Ce temps, mes enfants, est un temps présent.
Vous vivez au présent et cela est dans l’éternité.
Il n’y a pas de temps passé, de temps futur dans l’éternité car l’éternité EST.

Vous êtes en Dieu, je suis l’Alpha et l’Oméga.
Tout en moi est la Puissance.
Je suis l’Oint de mon Père, de votre Père.
Il m’a donné tout et je vous donne tout.

À ceux qui répondent oui, j’ouvre un torrent de grâces.

Ce même torrent de grâces que j’ai donné sur ma Croix : il est dans le présent.
Je ne cesse de laisser couler mon Sang Précieux pour vous purifier.
Il y a en ce monde tant de péchés et tant qu’il y aura un seul péché, je laisserai couler mon Sang, mon Sang Purificateur.

Je viens, mes enfants, très bientôt vous montrer le présent.
Je viens très bientôt vous démontrer que vous êtes présents : moi, mes enfants, JE SUIS.
Bientôt, je vais vous montrer que vous avez toujours été en moi.

Mes enfants d’amour, il y a en vous un endroit merveilleux où tout n’est que lumière, que joie, que bonheur, qu’allégresse: c’est le Ciel, c'est la demeure de Dieu.

Il est en chacun de vous, c'est vous, mes enfants, qui ne le percevez pas.
J’ai déposé en vous cet endroit afin que je puisse habiter votre intérieur.

Dieu dans sa toute-puissance, dans sa divinité de vue, a vu les hommes; il a vu combien ils étaient faibles, ces hommes qui ont dit non à l’obéissance! Mes enfants d’amour, lorsque Adam a été créé, j’ai mis en lui ma Présence.
Le souffle de Dieu est en vous : la vie.
La vie est moi, vous ne pourriez vivre sans Dieu.

J’ai mis en Adam un endroit d’amour afin que Dieu habite son enfant.
J’ai déposé en lui toutes les grâces afin qu’il puisse s’épanouir en la présence de Dieu. Dieu, amoureux de son enfant, le combla.

Il lui donna tout pour qu’il puisse se reconnaître enfant de Dieu, mais Dieu voulait aussi avoir de cet enfant de l’amour; il avait donné son amour, il voulait aussi que lui se donne.
Pour cela, il lui demanda l’obéissance.

Que fait-il, lui, l’enfant de Dieu, lui qui devait aimer Dieu?
Il s’éloigna de lui pour aller prendre ce que Dieu lui avait demandé de ne pas prendre. Mes enfants d’amour, vous avez, vous aussi, pris ce que lui a pris : votre volonté humaine.

Je vous ai donné l’amour et je réclame de l’amour.
J’ai tout vu en vous : j’ai vu ce que cette désobéissance allait faire en chacun de vous, et j’ai donné l’amour, mon amour, afin que vous puissiez montrer à mon Père que vous l’aimez.

C’est pour ça, mes enfants, que je suis venu parmi vous enseigner à mes apôtres l’amour de mon Père afin que vous puissiez répondre à son appel d’amour.
Vous avez en vous tout ce que Adam a reçu.
Vous avez le Ciel en vous.

Il faut venir en vous pour vous laisser prendre par Dieu afin que vous puissiez vous épanouir.

Il n’y a que moi, son Fils, qui peut vous rendre comme Adam était avant la désobéissance.
Il faut être obéissant à ma Parole, à cette Parole qui est en vous.

Tous les enseignements sont dans le présent; il faut maintenant, mes amours, que vous les approfondissiez avec votre présent afin que vous puissiez vous reconnaître tels que vous êtes.

Après la chute de vos premiers parents, vous avez laissé pénétrer en vous tant d’erreurs, tant de faussetés!
Vous êtes devenus engourdis par vos erreurs, vos faussetés; le malin a su vous manipuler; moi, mes amours, pas un seul instant je n’ai quitté l’endroit où je me suis installé : en vous.

Seulement au moment où moi, votre Dieu, je vous montrerai que vous êtes en ma présence, seulement là, il y aura une décision à prendre : celle de savoir si vous voulez toujours être en ma présence. Mes amours, il n’y aura pas d’autres moments pour vous.

Dans l’éternité, nous avons choisi le moment; il sera unique, tel mon Sacrifice sur la Croix : il est unique.

Lorsque vous serez en présence de Dieu, vous serez en présence de votre vie : de la vie en vous;
je vous demanderai, à ce moment, de l’amour.

Moi qui vous ai tout donné, qui vous ai donné de l’amour, je vais réclamer cet amour, et c’est seulement un mot qui fera que vous serez dans l’éternité en ma Présence.
Si ce mot est oui, vous serez appelés enfants de Dieu, mais si ce mot est non, vous ne serez plus en présence de Dieu, et c’est vous-mêmes qui l’aurez choisi. Oh! mes amours, mes tendres aimés, voyez ma supplication!

À chaque instant, je me laisse crucifier pour vous, mon Sang coule pour vous.
Je vous aime, je veux vous avoir en moi, en ma Vie pour l’éternité.
Il faut me donner votre vie, il faut me donner la vie de tous vos frères et de toutes vos sœurs que vous portez en vous.

Ô Parole, fais propager l’amour, donne aux enfants des grâces qui leur font réaliser
qu'ils sont enfants de Dieu, apprends-leur à se reconnaître tels qu’ils sont!

La Vie va les aider à devenir des enfants d’amour.

Oh! petits aimés, vous qui êtes ici présents, sachez combien j’aime tous ceux que vous portez!
Il n’y a pas de plus grand amour que le mien.
Aucun mot que vous connaissez ne peut le décrire, il n’y a que ma Mère qui le connaît
.

Amours de ma vie, donnez-moi vos vies.

Je veux vos vies pour ceux : qui ne me donnent rien, qui me renient, qui me blasphèment, qui me jettent des pierres, qui percent mon Cœur, qui font connaître à d’autres enfants que je ne suis pas présent en eux.
J’ai tant besoin de vous! Je vous aime!

Je crie ces paroles parce qu’elles ne sont pas entendues : elles ne font que passer. Petits amours, je veux que vous soyez obéissants à mes enseignements; je veux vous faire connaître qui vous êtes, ce que le péché a fait en vous.

Vous allez découvrir, mes amours : combien je vous aime, combien je connais tout de vous et combien je vous ai soutenus malgré vos défauts; je veux vous apporter la paix; je veux éloigner de vous les inquiétudes : tout ce qui fait peur porte au jugement; tout ce qui est violent vous amène des sentiments d’inquiétude; il faut savoir que, quand vous êtes resplendissants, vous êtes des enfants d’amour faits de Dieu.

Je veux enlever tout ce que le péché a fait : vous êtes de moi, vous n’êtes pas des enfants insouciants, coléreux, jugeurs, menteurs, violeurs; vous n’êtes pas des tueurs d’âmes, vous êtes des enfants de Dieu. Regardez ce petit bébé (bébé présent lors de la rencontre), il est la vie, il est pur.
Il n’y a pas de plus beau bébé que celui-là, car il est de moi.

Vous êtes uniques pour moi : vous êtes tous ce petit bébé.
Vous m’êtes si précieux!
Oh! laissez-vous caresser par moi, laissez-vous bercer par ma tendresse; laissez-vous prendre
par les ailes de l’Esprit Saint qui veut vous montrer que vous êtes si petits, si légers
qu’un seul souffle et vous montez vers mon Père, mon Père du Ciel.

Mes amours, Dieu lui-même a choisi cet instrument : elle ne s’est pas choisie; elle ne savait même pas pourquoi elle était de ce monde : elle l’est devenue parce qu’elle a répondu à l’obéissance; elle a avancé en ayant le péché en elle : elle a connu, tout comme vous, la honte, l’indignation; elle s’est reconnue pécheresse et, aujourd’hui, elle sait qu’elle se doit totalement à moi parce que, sans moi : elle n’est que péché; je suis, moi, la Pureté : elle ne peut donc vivre que par moi pour être pure.

Mes enfants d’amour, pour parler en Dieu, par Dieu, avec Dieu, pour oublier son corps, ses pensées, pour oublier sa vie extérieure : il faut dire oui, et c’est ce oui qui a fait que je suis en Parole ici, elle sort ce qu’elle entend
et, moi, je fais fonctionner son corps parce que je le veux et parce qu’elle a prononcé son oui.

Ces moments sont pour vous et pour tous les enfants que vous portez.
Je viens moi-même vous dire que vous vivez présentement des moments de grâces; ils vous préparent à ma venue de vue en chacun de vous, en tous les enfants que vous portez.

Il a été dit que vous verrez le royaume de mon Père : Qui me voit, voit mon Père
vous verrez le Fils du Père; vous verrez, mes enfants, la Parole s’accomplir car Dieu est vérité; tout ce qui est de lui est en vous; vous ne pouvez échapper à ce qui est en vous :
la Parole est vivante, la Parole est vie.

Donnez à Dieu votre vie afin que vous puissiez faire sa Volonté d’amour; en voulant vivre dans le présent, vous acceptez ma Présence en vous : vous verrez, mes enfants, le présent s’accomplir; ne vous posez pas de questions sur la date : que de temps perdu! Soyez au présent; profitez des grâces et faites profiter, à ceux que vous portez, des grâces que je donne; quand viendra le temps de la Grande Purification, mes enfants d’amour : vous serez prêts. Je donne à chacun de vous des grâces d’amour; par la présence de mes prêtres, recevez ces grâces. Amen.

Abbé André Chevalier : De Dieu tout-puissant dans son infinie miséricorde, de Jésus-Christ le Fils obéissant, de l'Esprit de Vie, l'Amour en nos vies, qu'ils vous gardent à jamais dans leur paix; au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

Tous : Amen

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit :
Beaucoup d’entre vous avez reçu des grâces aujourd’hui. Ces grâces sont présentes parce que Dieu le veut.

Quand il est venu se faire entendre en moi, je n’ai pas cru que cela pouvait m’arriver. Moi, parmi des millions et des millions, qui j’étais, moi? Cela ne se fait pas aussi facilement que ça. C’est des journées entières à se poser des questions: pourquoi moi, Jésus?

Et en même temps, une joie, une joie qui se laisse développer en nous, en moi, sans que je veuille l’arrêter;

en même temps que je me sentais indigne, il y avait quelque chose en moi qui me faisait avancer : une grâce de toujours dire oui, et je souffrais parce que je me demandais : "Seigneur, est-ce que c’est de l’orgueil?" : en même temps parce que ça fait mal de me sentir une choisie.

Je vivais ça dans la solitude, parce que je n’osais pas en parler à personne : c’était assez souffrant; mon mari était vivant dans ces moments-là; j’avais des bons enfants; je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, mais j’accueillais tout ça; aussi, je crois que j’ai eu une belle grâce : de ne pas penser à l’avenir; c'est comme si je me laissais couler à chaque instant dans ce qui se passait autour de moi, de ce que je ne comprenais pas : cette voix qui parlait à l’intérieur de moi, qui semblait se mélanger à mes pensées; quelquefois et, pas seulement quelquefois, je me disais : "Ah! c’est mon imagination"; alors la voix me disait : «C'est moi. C'est moi qui te parle, écoute» : alors c’était des «je t’aime».

Ça ne s’est pas fait aussi facilement que ça, il me demandait tout le temps de l’abandon, et Maman Marie disait : "Sois obéissante"; malgré mes doutes, je faisais tout ce qu’on me disait; cette voix qui parlait à l’intérieur de moi, je l’écoutais, toujours malgré mon doute; je continuais à écouter, parce ce que tout ce que j’entendais : c’était des mots d’amour; il n’y avait pas mal à faire ce qu’on me disait parce que c’était des mots de : «Je t’aime. Donne-toi. Regarde comment il est beau, il est à moi cet enfant». (Avant la mort de mon mari) Puis quand il disait : «Regarde ton mari. Je suis en lui».

Ah! j’avais beaucoup à développer, à renoncer, à m’abandonner parce que je m’obstinais beaucoup avec mon mari; c’était un peu mon tempérament depuis toute petite, quand même assez petite, là, c’est..., je me rappelle parce que chez nous, ils disaient que j’avais une tête de cochon : je voulais toujours avoir raison; alors, ça continuait toujours avec mon mari; mais mon mari était comme moi, il s’obstinait autant que moi; mais c’était jamais méchant, là : si je disais : "Ah! j’ai payé ça..." (lui) "mais non, t’as pas payé ça..., t’as payé ça..." (moi) "bien non, c’est pas ça"; alors moi, je m’amusais, pas m’amusais, mais j’allais lui montrer des preuves : "regarde, j’ai les reçus, là, regarde, c’est bien ça"; alors, ça été ma vie, pas toute ma vie mais, quand même! ça a développé avec mon mari des moments d’obstination, oui, pas méchants, mais il y avait des moments que je voulais pas lui parler;

ouf! ça durait peut-être quelques minutes, mais le Seigneur, il me disait : «Regarde-le, dis-lui que tu l’aimes» ah! je ne pouvais pas ne pas obéir à la voix à l’intérieur de moi; j’avais toujours mon côté humain qui m’empêchait de me laisser aller, mais j’écoutais la voix : alors j’allais le faire; je disais : "Je t’aime", et quelquefois il disait : «Va l’embrasser»; ah! mon Dieu! ça, c’était après une obstination, là : alors là, j’y allais. Alors, comment voulez-vous que je puisse douter que la voix à l’intérieur de moi venait du mal?

Je ne le pouvais pas, alors je me suis dit dans les moments très durs : "Eh bien! si c’est moi qui le fais, il n'y a pas de mal à ça"; mais, là, j’ai commencé à dire : "Oh! si c’était de la tromperie!" mais j’écris ce que la voix me dit et pourtant… ce qu’il me faisait écrire, c’était des choses que je ne connaissais même pas; mais, dans des moments de doute, tout ce qui me venait : "Ah! s’il fallait que je trompe mes frères et mes sœurs, s’il fallait que cela vienne de moi!" ça, ça m’a fait souffrir le plus : c’était de vous tromper!

C’était très dur, je suppliais Jésus de m’enlever la voix à l’intérieur de moi, puis, là, il me donnait des consolations par des grâces : je sentais des belles joies à l’intérieur de moi; alors j’étais, comme ça tout d’un coup : j’étais tout apaisée, tout en paix à l’intérieur de moi : là, je ne m’en faisais plus.

Alors, je crois, que Dieu permettait ces moments-là pour me purifier de tous mes péchés, et j’en ai, comme tous les enfants, parce qu'on est avec notre volonté humaine, fait beaucoup.

Vous savez, aujourd’hui, on dit qu’il n’y a plus de péché. Vous allez être surpris : dans le quatrième volume, quand il dit ce qu’on va voir à l’intérieur de nous, croyez-moi qu’on a à se laisser prendre par ses grâces en ce moment pour se laisser purifier.

Aujourd’hui, je continue sans avoir cette souffrance en moi; je ne doute plus de la voix que j’entends parce que ce que j’écris : je ne crois pas, moi, que j’en serais capable et je ne crois pas que Monique, non plus, en serait capable, et les gens, non plus autour de moi; peut-être qu’il y en a, je ne le sais pas, ce n’est même pas à moi de savoir oui ou non; non, je parle de ce que, moi, je connais; j’en connais pas beaucoup, mais je sais que ce que j’entends à l’intérieur de moi, c’est tellement merveilleux! c’est de l’amour, de l’amour, de l’amour! c’est du pardon, du pardon, du pardon! c’est de la miséricorde!

C’est merveilleux, vous savez, ce que je vis et je crois aussi que pour Monique, c’est merveilleux ce qu’on vit ensemble; les écrits nous apprennent à nous connaître au plus profond de nous-mêmes; ça va chercher, à l’intérieur de nous : l’inconnu; on ne sait pas pourquoi on agit d’une telle façon, lui, il nous le montre, mais d’une façon tellement simple!
"Ah oui! Seigneur, c’est vrai, on est comme ça" : quand on se fait reprendre par Dieu, ce n’est pas de la même façon que la nôtre. (Quelqu’un demande comment c’est) : ah! des tournures de phrases merveilleuses, des mots qu’on peut même pas penser et des mots qu’on connaît tous parce que ce sont des mots, quand même, qui sont dans le dictionnaire! savez-vous que, des fois, il utilise des mots qui n’existent même pas?

Mais il a pitié tellement de moi qu’il va, des fois, me sortir un mot que je connais puis, là, il le met; parce que, des fois, il sort des choses, je dis : "Ah! ça n’existe même pas, ça, Seigneur!" et il nous donne toute l’explication en nos mots à nous. Alors, Dieu nous aime et c’est d’une telle simplicité l’amour de Dieu! Il n’y a rien de compliqué!

Je ne dis pas que les théologiens n’ont pas la vérité, ils sont dans la vérité : les théologiens; ils expliquent les enseignements de Jésus avec leur instruction, c’est beau! mais moi, je n’arrivais pas à les comprendre; alors, je m’imagine que Dieu a eu pitié de moi et il a eu pitié aussi de certaines personnes qui sont comme moi; alors, c’est pour ça qu’il a pris quelqu’un de simple, et je ne suis pas la seule, vous savez!

Dieu me parle aussi de ses autres messagers : on a chacun une mission; on a tous une mission différente, mais on a la même mission :
c’est sa Parole.


Il n’y en a pas deux, c’est toujours le même message : nous amener vers son Père; alors, il prend toutes sortes de façons pour le dire.

Chacun de nous, on doit accueillir ces messages-là avec notre cœur, pas avec nos raisonnements, pas en
disant : "Moi, je préfère celui-ci. Je préfère celui-là. Ah! Hé lui!"

Non, il faut se laisser couler par le Saint-Esprit, il faut se laisser prendre par lui; c’est eux qui vont savoir si ce qu’on va comprendre : ça va être pour nous; ce n’est pas à nous de savoir si ce qu’on lit : ça c'est pour nous ou ça ce n'est pas pour nous. Qui on est, nous, pour savoir si quelque chose doit nous plaire ou pas nous plaire?

C’est Dieu!
Si on prononce notre oui à Dieu : bien, il faut lui laisser toute cette place-là!
Il faut savoir qu’un oui, c’est un abandon total.

Si, lui, il veut nous donner les sentiments de joie quand on lit : "Merci, Seigneur!"
et si on ne les a pas : "Merci, Seigneur!" ce n’est pas plus grave que ça parce que, lui, il sait ce qu’on a besoin de prendre dans une lecture; mais aussi, il faut découvrir, et ça c’est quelque chose de très important : à ne plus juger et à aimer notre prochain; s'il est dans l’erreur, on le donne à Dieu :
il est présent, il est puissant.

Savez-vous ce que ça peut faire quand on dit : "Seigneur, je te le donne"?

On n’y pense plus, on ne le reprend plus, on ne le juge plus : eh bien on apprend à aimer Dieu; imaginez-vous que Dieu habite chacun de nous, et quand, une seule fois, on dit une petite parole contre un seul d’entre nous : eh bien, on fait de la peine à Jésus! on ne l’aime pas à ce moment-là!

Lui, il continue à nous aimer, mais c’est comme si on venait de lui dire : "Je ne t’aime pas, Jésus" : alors, il continue quand même à nous aimer. Avant ça, je ne savais pas comment aimer mon prochain, pas du tout! je ne savais même pas comment aimer mon mari, comment aimer mes enfants!
Moi qui disais : "Je t’aime, Maurice", maintenant qu’il est au Ciel, qu’il est avec moi : eh bien, là, on apprend à se dire des mots d’amour, mais des vrais mots d’amour! alors, pouvez-vous vous imaginer comment on va être tous amour; comment ça va être merveilleux quand on va vivre, sur la terre, en enfants de Dieu?

Quelquefois, je dis : Seigneur, est-ce que tu t’en viens? Est-ce que c’est vraiment vrai, Seigneur, qu’on va vivre ces moments-là?
Alors, il dit : «Tu ne crois pas? Ne sais-tu pas que je t’aime, que je suis mort sur la Croix? Est-ce que tu crois à ça?»
Ah oui! Seigneur, je le crois.

«Alors, crois en ce que tu entends et continue et sois obéissante.»
Je vous remercie et ce merci ne sort pas de moi, mais de Jésus; ce qui est merveilleux, aujourd’hui, c’est que : quand je parle, je sais que ce n’est plus l’autre : l’ancienne qui parle, c’est celle qui s’est laissée transformer par Jésus, celle qui a appris à parler, qui a appris aussi à s’abandonner :
"Merci, Amour, de laisser ta petite fille parler à ses frères et à ses sœurs"; j’aurais jamais connu ces moments merveilleux sans vous, parce que quand on apprend à s’aimer les uns les autres, à se donner les uns les autres :
c’est là que Jésus se laisse découvrir; alors, sans vous, j’aurais jamais découvert Jésus.

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Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus - Page 2 Empty Re: Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus

Message par FrancoiseF Jeu 2 Juin 2011 - 19:46





Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Otterburn Park, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

21 février 2003

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit :

Je répète ces mots, ils sont des mots d’amour. Ces mots vous appartiennent, ils viennent de Dieu. Il veut vous donner ce soir une preuve de son agir, il est en chacun de nous :
Dieu est la vie.

La Trinité :

Je parle par cette enfant. Elle a consenti à faire d’elle un instrument d’amour pour vous :
j’ai moi-même préparé cette enfant avant que vous soyez tous de ce monde.
Je suis la Trinité d’Amour : en nous, tout est puissance.
Par nous, nous nous accomplissons.
Nous n’avons pas besoin d’autres : NOUS SOMMES.
Nous sommes Puissance. Nous sommes la Divine Volonté.

Mes amours, en vous il y a la Divine Volonté; vous vivez par nous. Vous respirez d’amour; vos yeux sont faits pour saisir les mouvements d’amour; vos oreilles ont été conçues pour capter les sons d’amour; vous n’êtes pas venus en ce monde pour vivre d’erreurs : vous êtes parfaits par nous; il faut venir à nous pour découvrir votre perfection;
sans nous, vous continuez à vivre dans l’ignorance de ce que vous êtes.

Vous avez beau chercher à lire les livres qui vous instruisent, mais c’est en vous qu’il faut que vous appreniez à donner : à donner votre vie à nous, la Divine Volonté.

Ce monde est venu, par nous, habiter la terre; j’ai fait, moi, Dieu d’amour, tout son contenu : il devait tout vous appartenir.
Tout ce qu’il y a en ce monde maintenant est à votre image, non à l’image de Dieu d’amour.

Moi, tout était pureté, splendeur!

Il y avait de l’équilibre : tout était harmonie, mais ce monde : veut vivre dans sa volonté humaine en renonçant à vivre en lui; il ne veut vivre que de son extérieur oubliant son intérieur; il veut percevoir la couleur, les formes par sa propre volonté; il veut entendre les sons par lui-même; il veut construire ses œuvres avec sa volonté humaine oubliant les trésors qu’il a en lui.

Nous, la Trinité d’Amour, nous avons déposé en chacun de vous la vie.
La vie qui coule en vous est de nous, l’Amour. Vous êtes des êtres d’amour.

Oh! mes enfants, par cette enfant, vous entendez souvent parler d’amour, c’est parce que je suis l’Amour en elle;
c’est moi qui parle à travers elle pour vous rejoindre, pour vous faire savoir qui vous êtes; vous êtes tous des instruments d’amour, si vous le voulez!

Si vous voulez que la Vie vous prenne, vous devez, mes amours, vous abandonner, tout laisser.

Votre volonté humaine vous a conduits à un chaos :
c’est ce qui vit autour de vous.

Ce monde est rempli de violence : il ne veut plus aimer son prochain, il ne veut plus renoncer à ce qu’il a construit, il a fait de mon contenu un monde égoïste où il n’y a que laideur.

Votre sueur monte jusqu’à nous : vous travaillez avec lourdeur.

Ces poids sont si lourds que vous en transpirez car, en vous, il y a votre volonté humaine qui a pris toute la place de la Divine Volonté.

Il faut vous ressaisir, il faut apprendre comme des enfants, des petits enfants, comment vivre en Dieu.

Je viens changer la face de votre monde; je viens vous apporter ce que vous auriez dû avoir avant la désobéissance de vos premiers parents : l’amour, l’amour à l’état pur, sans aucun défaut, l’amour qui donne, qui offre, qui s’abandonne, qui ne demande pas.

L’amour, il est de moi.

Je suis, moi, Dieu Amour parfait.
Mon amour est parfait, il n’a aucun défaut
.

C’est ainsi, mes enfants, que je vous veux tels que vous devez être sous vos amas de défauts.
Votre impureté vous empêche de découvrir l’être parfait que vous êtes :
en moi, seulement en moi, vous le deviendrez.

Jésus :

Je suis le Fils de Dieu, celui qui se donne à vous, celui qui s’offre à chacun de vous pour vous prendre.

Lorsque, mes enfants, vous approchez de moi dans la sainte Eucharistie, je suis en vous : je vous fais avancer; c’est moi en vous qui avance; ce mouvement est un mouvement d’amour que j’ai déposé en vous; personne ne pourrait avancer vers Dieu si je n’aurais pas déposé en lui l’amour : c’est l’Amour qui appelle l’amour, et c’est l’Amour qui se donne par les mains du prêtre; ces mains sont les miennes : c’est moi qui me donne à vous; lorsque vous, vous me prenez, moi qui suis en vous : je me prends et je prends chacun de vous pour vous faire miens, pour que vous soyez des êtres d’amour.

Ceci est un mouvement qui vous nourrit, qui vous apprend qui vous êtes.
Vous devez vous reconnaître tels que vous êtes : des enfants de Dieu, des enfants faits pour aimer, faits pour donner.

Puisque moi je me suis donné à vous, donnez-vous, donnez-vous à l’Amour; je vais vous transformer en êtres parfaits : c’est moi qui vais faire en sorte que vous allez renoncer à votre volonté humaine.

Très bientôt, mes enfants, tout ne sera que ce que moi, je veux.
Vous serez des êtres divins par moi : c’est moi, Dieu, qui vais vous diviniser
.

Oh! mes enfants, vous aurez beau dire : "Pourquoi ne le sommes-nous pas depuis le temps que tu nous prends en toi à la communion?"

Mes enfants, c’est que vous devez renoncer vous-mêmes à votre volonté humaine; vous devez la déposer sur la patène afin que, par mon prêtre, moi, le Fils de Dieu, je présente votre volonté humaine à mon Père.

J’ai, moi, pris vos péchés, je les ai amenés à la mort.
J’ai tout offert à mon Père par amour pour vous; vous, maintenant, vous devez accepter de renoncer à votre volonté humaine :
vivre que pour Dieu, respirer que pour Dieu, regarder que pour Dieu,
entendre que pour Dieu et donner que pour Dieu.

Vous devez prendre votre vie et la donner à Dieu, et moi, je la comblerai de mes bienfaits :
je vous nourrirai de ma Vie.

Ma Vie pour vous est grâce; par le sacrement de l’Eucharistie :
je me donne à vous; par l’hostie : je suis.

Dieu est vivant en vous, il se donne à vous pour vous combler de ses grâces.
Votre âme reconnaît son Dieu; elle s’incline devant la Beauté céleste; elle sait reconnaître sa Divinité, car votre âme est divine, et c’est votre âme qui vous fait vivre.

Mes amours, sans votre âme, vous ne seriez pas vivants; la vie : c’est l’âme, votre corps n’est que matière; mais moi, Dieu, dans mon amour, j’ai fait avec de la terre votre corps; j’ai insufflé dans les narines de mon fils Adam un souffle d’amour : ce souffle, c’est la vie : c’est mon amour.
Elle est en chacun de vous la vie de Dieu.

Ma vie est divine : c’est votre vie divine qui vous fait vivre votre vie terrestre.

Vous n'êtes vivants que par moi; vous devez, mes amours, apprendre que je ne veux que votre bien; je vous demande de renoncer à votre vie qui, présentement, se meurt; elle n’est plus dans le mouvement de l’amour; votre vie terrestre a déambulé dans un monde froid, sans amour; si vous êtes vivants : c’est moi qui le veux parce que je vous veux tous en moi; je me suis donné par amour pour chacun de vous afin que vous soyez dans ma Vie, dans votre vie :
votre vie d’amour, celle qui est en vous, celle qui sait découvrir la vraie valeur de ce qui vous convient.

Je sais que très bientôt chacun de vous devrez prendre une décision : celle de renoncer totalement à votre volonté humaine.

Oui, mes amours, bien que vous voulez vivre en Dieu, pour Dieu, avec Dieu, en ce moment : il y a votre volonté humaine qui vous retient; vous êtes encore avec votre bien matériel, vos maisons, vos autos, avec votre vie trépidante, ces sons qui sortent de vos téléviseurs, de votre radio : Tout cela, mes enfants, fait partie de votre volonté humaine, et bien que vous pensiez à tout me donner, si en ce moment même, mes enfants, là, je vous demanderais : «Êtes-vous prêts à renoncer à tout ce que vous avez, pour moi, que pour moi, à faire comme mon fils François? Oui, comme mon fils François d’Assise? Seriez-vous prêts, mes enfants, à vous dépouiller et avancer vers votre Dieu sans ce que vous avez accumulé dans votre vie?»

Oh! mes enfants, c’est seulement qu’avec mes grâces que vous allez y parvenir.

J’ai vu votre monde et ce monde, mes enfants, est bien matérialiste! et c’est avec mes grâces qu’ils devront renoncer à tout ce qu’ils ont accumulé, par amour pour moi, votre Dieu, et vous, mes enfants d’amour, n’ayez pas peur, je vais vous aider.

Ma Mère, ma douce Maman d’amour, va vous couvrir de son manteau maternel.

Laissez votre cœur ouvert; laissez pénétrer sa tendresse.

Mère d’amour, ô vous qui avez prononcé votre fiat, pour atteindre le plus bas fond de ce monde :
vous vous êtes donnée, Mère d’Amour, dans l’humilité, dans la petitesse. Ô Mère très tendre,
très digne des faveurs de la Sainte Trinité, voici vos enfants.

Marie :

Je suis la Maman de l’Amour. Je suis en votre présence, mes enfants.

Dieu prend cette enfant. Il la fait disparaître pour qu’elle soit dans la Divine Volonté. Elle est avec vous, en ce moment, en votre intérieur et vous, vous êtes avec tous mes enfants.

Je suis la Maman de l’Amour.
J’habite le Cœur de mon Fils.
Le Cœur de mon Fils est en chacun de vous.

Il est l’Amour, et vous, mes enfants, vous êtes en lui; moi, je suis en chacun de vous :
je prie pour vous, j’intercède pour que vous soyez prêts.

Mes enfants, moi, la Mère de la Divine Volonté, je me fais présence devant vous pour vous donner des conseils d’amour.

Vous êtes tous libres de prendre les conseils de votre Maman, et vous devez savoir aussi que Dieu respecte votre liberté; il vous appartient de prononcer votre oui lorsqu’il se présentera en vous.

Voyez-vous, ce temps est un temps de grâces; il vous prépare à la venue de mon Fils en Gloire en vous; il a été préparé, ce temps, pour vous; il vous a été accordé parce que mon Fils connaît chacun d’entre vous : il sait que certains hésitent, que certains ont peur, que certains ne veulent pas renoncer à tout ce qu’ils ont accumulé.

Moi, votre Maman qui vous aime, je me tiens en vous pour vous aider à franchir ce pas que vous devez faire :
c’est avec moi que vous allez renoncer à tout ce que vous avez autour de vous
et qui a été fait avec votre volonté humaine.


Il n’a pas été mal de vivre pour avoir une demeure, il n’a pas été mal de vivre en voulant vous offrir votre nécessité pour vous nourrir; mais, à cause de votre volonté humaine, vous l’avez fait quelquefois avec orgueil, en voulant démontrer que vous étiez capables d’obtenir, par vos moyens, cette demeure.

Combien, mes enfants, de vous préparez vos repas en voulant y mettre des mets exotiques, en voulant faire plaisir à vos yeux?
Voyez-vous, tout cela est de la convoitise.

Moi, votre Maman, je vais vous aider à devenir tout petits, humbles :
c’est moi, avec les grâces que la Trinité m’accorde, qui vais vous aider.

Je suis présente à plusieurs endroits, mes enfants; ce monde a bien besoin que je leur rappelle qu’ils doivent prier pour ne pas tomber entre les griffes de Satan, car, mes enfants, lorsque viendra le moment de la Grande Purification : il sera déchaîné, il voudra vous détruire.

N’ayez crainte, je suis là avec vous dans la prière.

Mes enfants d’amour, faites bien vos prières comme le font les tout petits enfants; ne vous demandez pas si cela se fait comme Dieu le demande : abandonnez-vous, faites-vous petits :
c’est moi qui vais vous aider.

Soyez humbles!

Je suis votre Mère et une mère sait prendre soin de ses enfants.

Allez bien à la messe le dimanche, il est si important ce jour de la semaine; ne faites pas comme certains qui préfèrent se préparer pour faire des commissions; ici, dans votre pays, il y a beaucoup de magasinage le dimanche :
ne suivez pas cette foule, demeurez avec votre Maman.

N’oubliez pas, mes enfants, le sacrement de la pénitence : il vous garde purs; cela va être très important pour vous; je ne puis, mes enfants, vous empêcher de faire votre volonté humaine, mais je vous demande, à chaque jour, de faire un tout petit pas et de la donner à mon Fils :
passez par moi, vous verrez que cela sera plus facile.

Je vous aime tendrement mes enfants!
Soyez vigilants car l’ennemi de votre âme veut votre perte.

Il y a tant de grâces, mes enfants, pour vous;
venez dans mon Cœur de Mère, venez y puiser cette source d’amour : cela va vous aider.

Priez pour vos frères et vos sœurs, donnez-vous pour eux, ils ont tant besoin de vous!

Moi, la Mère de l’Amour, je vous aime et je demande à celui qui a le pouvoir de faire descendre sur vous des grâces de vous bénir.
Allez en paix, mes enfants.

Fille du oui à Jésus en le Saint-Esprit :
Dans l’amour, Dieu accomplit sa Volonté. Dieu est présent : il fait connaître à ses enfants combien il est bon de s’abandonner dans son amour! Nous allons nous incliner en adoration
devant Celui qui va nous faire pleuvoir ses grâces d’amour.

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Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus - Page 2 Empty Re: Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus

Message par FrancoiseF Jeu 9 Juin 2011 - 14:48

Lancement du volume 2
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Longueuil, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

23 février 2003

Fille du oui à Jésus en le Saint-Esprit :

Dieu accorde à ses enfants l’amour : il est l’Amour. Les gestes que l’on fait viennent de Dieu et c’est vers vous qu’il veut vous donner ces gestes d’amour.

Je suis un instrument, je suis une voix en Dieu.
Dieu est notre Tout, il veut nous apprendre à aimer.

Dieu parle en moi, il veut que je me taise pour vous : il veut prendre toute la place.
J’accorde à Dieu un oui total de ma vie, j'accorde à Dieu un oui total pour tous ceux que je porte en moi.

Jésus :

Dieu est la Vie, je suis le seul Maître de la vie : chacun de vous, mes enfants, êtes vie par moi; le souffle, qui est en vous, vous apporte le Souffle de Dieu; tout en vous est en Dieu : vous êtes en moi, par moi vous vivez.

Mes enfants d’amour, laissez couler en vous la Vie.

Prenez la Vie en vous, saisissez ma Présence : une Présence vivante, une Présence qui vous fait savoir que vous, vous êtes en vie.

L’Amour est en chacun de vous pour vous apprendre : qui vous êtes, pourquoi, mes enfants, vous devez vivre à chaque jour. Il y a une étincelle qui s’allume en vous : c’est la lumière.

La lumière est vie, elle est chaleur, elle éclaire, elle abonde de présence.

Tournez-vous à votre droite, tournez-vous à votre gauche, que vous regardiez en avant ou que vous tourniez votre tête vers l’arrière : il y a la lumière.

Moi, mes enfants : JE SUIS. Je suis la Lumière de votre vie.

J’éclaire votre intérieur pour vous faire connaître qui vous êtes.
Depuis votre naissance sur cette terre, vous vivez de vos ombres, vous vivez dans vos peurs, dans vos incertitudes.

Vous développez en vous, mes amours, des doutes; des doutes, mes enfants, qui vous empêchent d’être ce que vous êtes : des êtres de lumière.

Vous êtes vivants!
Vous êtes faits pour vivre que dans la Lumière!

Vous ne faites pas, mes enfants, ce que vous devez faire; vous doutez de qui vous êtes : vous venez de Dieu, vous devez vous abandonner dans la Lumière.

C’est moi seul, mes amours, qui vais éclairer votre vie extérieure.
Votre vie, mes enfants, à l’intérieur de vous, doit s’abandonner en moi, et doit vivre que de moi,
et doit apprendre à savourer ma Présence pour que votre vie extérieure soit dans la Lumière, non pour vous, pour ceux qui sont autour de vous, car si vous êtes à l’intérieur de vous en moi : en la Lumière, ceux qui seront autour de vous verront que vous êtes dans la Lumière; ils ne sentiront pas en vous la peur, le doute, l’incertitude; ils vont être en confiance, car vous développerez autour de vous ce que vous êtes à l’intérieur de vous.

Oh! mes enfants d’amour, je viens vous aider : à vous comprendre, à faire de vous des êtres de lumière pour que vous puissiez vous donner à vos frères et à vos sœurs.

Mes êtres d’amour, Dieu est vivant.
Il vous apporte à chaque jour, votre pain de vie.

Chaque jour, lorsque vous vous réveillez le matin, je dépose en vous des grâces de lumière : ces grâces vous aident à vous accomplir.

Savez-vous que sans mes grâces, vous ne pourriez fonctionner?

Vous avez besoin de moi, vous avez besoin de la Lumière pour vivre en êtres d’amour.
L’amour fait partie de votre vie.

C’est moi l’Amour. C’est moi la Lumière. Je suis le Tout de votre être.

Vous n’avez pas à vous interroger sur ce que vous devez ou ne devez pas accomplir : abandonnez-vous, offrez-vous.

Lorsque durant votre journée il vous arrive un obstacle : vous vous sentez incapables de le franchir! si vous avancez seuls, en croyant que par vous-mêmes vous allez pouvoir passer à travers cet obstacle :
mes enfants, vous allez souffrir!
vous allez développer en vous de l’orgueil :
vous allez développer en vous, mes enfants, des manies de tout faire sans votre Dieu.

Regardez, combien connaissez-vous d’enfants qui vivent sans moi, qui ne veulent pas franchir les obstacles de la vie en s’abandonnant en Dieu?
Ils deviennent des enfants égoïstes, épris d’eux-mêmes : ils rapportent tout à eux.
Ils ne veulent pas de moi et ils ne veulent pas de leur prochain, car s’ils me refusent, ils refusent chacun de vous,
car, moi, je suis l’Amour : je suis en chacun de vous; s’ils me refusent, ils vous refusent : ils ne peuvent développer en eux l’amour.

L’Amour : c’est moi.

Il faut commencer par moi; il faut s’abandonner en Dieu, ne vivre que pour Dieu, avec Dieu dans son amour.

C’est moi à chaque matin qui vous nourris; je vous donne mes grâces pour que vous puissiez fonctionner dans un monde où ils ont oublié qu’ils doivent vivre en moi.

Mes êtres d’amour, vous êtes autour de Dieu : présents.
Je vous porte en moi : c’est moi qui vous fais vivre, c’est moi qui alimente votre vie.

Je viens vous apporter, mes enfants, un pain : un pain d’amour; il a été donné par mon Père à un peuple choisi : le peuple d’Israël.

Dieu, mon Père, a donné à ce peuple de la nourriture : cette nourriture est sa Volonté : sa Volonté d’amour.

Par Moïse, ils ont reçu cette nourriture; ils ont reçu des lois d’amour : ces lois d’amour les ont nourris; il leur montrait comment se comporter en enfants dignes : en enfants de Dieu.

Ce peuple devait se comporter en s’abandonnant dans la confiance à Dieu :
il devait suivre des lois, se comporter en enfants dignes avec leurs frères et leurs sœurs.
Ils ont cheminé tout au long de leur vie en respectant ces lois d’amour; bien que leurs faiblesses humaines les faisaient tant souffrir. ils ont connu des souffrances, ils ont connu des maladies, ils ont interrompu les grâces d’amour de mon Père : ils devaient se reconnaître dignes de mon Père.

C’est par des sacrifices, par des hommes de loi qui les rappelaient à l’ordre, qu’ils devaient se repentir, et là, Dieu les comblait de ses grâces.

Mon Père a nourri ce peuple avec ses lois d’amour, mais l’orgueil humain a fait qu’ils ont passé des lois de mon Père à des lois venant de leurs interdictions : ils voulaient suivre les lois, mais avec leur regard, avec leur façon de penser : ils sont devenus un peuple où l’amour ne coulait pas.

Dieu, dans son éternel amour fit naître l’Amour, son Amour.

Il a donné tout de lui et la Lumière est venue en ce monde leur apporter de l’amour : l’Amour leur a rappelé les commandements, l’Amour leur a enseigné qui était Dieu le Père, l’Amour leur a montré à s’aimer les uns les autres, et l’Amour s’est donné.

Quand ce peuple a refusé de regarder la Lumière : ils ont vu leur volonté, et la Lumière s’est laissée couvrir par les ombres : il a pris tous les péchés; il a pris en lui tous les doutes, les peurs, les inquiétudes; il a pris ce qu’il y avait de plus vilain; il n’a rien oublié; tous les péchés ont été en lui; il a voulu tout prendre pour que vous, vous soyez dans la Lumière,
et Dieu le Père, dans son éternel amour, a fait jaillir la Lumière
et la Lumière a enveloppé tous les enfants.

Il est l’Amour, il est l’Espérance de votre vie; vous devez, mes enfants, aller vers la lumière, là où il y a l’amour.

Mes enfants, parmi vous, il y a beaucoup d’enfants qui vivent dans les ténèbres; vous, vous avez accepté d’avancer dans la lumière, de vous abandonner dans la Lumière : vous acceptez de vous nourrir.

Je viens, moi, Dieu, le Fils de Dieu, vous rappeler que Dieu est toujours nourriture,
qu’il ne cesse de vous donner et donner.

Parmi vous, je prends des enfants, des êtres de lumière; je les couvre de ma puissance afin qu’ils puissent s’abandonner, afin qu’ils puissent donner, afin qu’ils puissent disparaître dans la Lumière, afin que moi je puisse prendre toute la place : ils deviennent, pour vous, des instruments d’amour.
Ils ne sont plus en eux, ils sont en le Christ : ils se laissent nourrir d’amour, de mes grâces; ils se laissent nourrir de mes grâces de lumière pour que je puisse rejoindre mes enfants qui ne sont pas dans la Lumière; je les instruis des lois d’amour de mon Père, je leur rappelle mes enseignements d’amour.

Oh! enfants d’amour qui avez cheminé dans vos ombres, je viens vous faire voir qui vous êtes au plus profond de vous.

Vos manies, je les connais; vos souffrances que vous vous causez, je sais d’où elles viennent et, mes enfants, je vais vous en parler; écoutez, je vais vous dire :
«Oh! toi, toi qui te connais si peu, veux-tu apprendre à te connaître, à savoir qui tu es, afin que tu puisses te donner à la Vie, à la Vie qui est en toi? Tu es en train de mourir, tu es en train de t’empoisonner avec ta volonté humaine.»

Je veux te faire découvrir combien tu es précieux à mes yeux, combien tu dois t’aimer! J’ai pour toi tant d’amour! Je veux te faire voir qui tu es, et c’est par amour que je vais te faire découvrir tes défauts, c’est par amour que je vais te montrer d’où viennent tes défauts, et c’est par amour que je vais te dire : «Ne reste pas ainsi car, très bientôt, tu devras rendre des comptes de ton comportement à ton Père, celui qui t’a choisi.

Oh! toi que j’aime tant, je suis la Lumière et la Lumière veut te faire voir ton intérieur : tu t’y trouveras dans ces écrits.

Tu verras qu’avec moi, tu pourras te donner la chance de découvrir l’amour : ton intérieur.

Je t’aime et c’est pour toi que je parle, pour toi en particulier.»Je vis en chacun de vous et ces paroles s’inscrivent en chacun des enfants de la terre entière.

Mes enfants d’amour, je viens vous apporter un pain : un pain de votre jour; vous vivez dans un monde où il ne veut pas se nourrir de Dieu, mais vous qui acceptez cette nourriture, partagez-la, partagez-la avec ceux que vous portez à l’intérieur de vous.

Lorsque vous lirez ces lignes d’amour et que vous vous reconnaîtrez, n’oubliez pas que celui qui est auprès de vous a besoin aussi de se reconnaître; si vous me l’abandonnez, il recevra ce que je vous donnerai, à vous :
je donne un pain d’amour, c’est un pain du Ciel; il est pour vous et pour tous ceux que vous portez.

Je suis l’Amour, l’Amour aime donner, donnez-vous.

C’est moi, mes amours, qui vais vous aider à vous donner, et vous verrez que cela se fera avec mes grâces d’amour, dans un abandon d’amour; cette transformation est commencée pour vous : vous avez accueilli mes grâces d’amour.

Votre oui à l’Amour a fait de vous des êtres de lumière; laissez-vous prendre dans ce mouvement d’amour; je suis tout en vous, pour vous; je me donne à vous : donnez-vous.

Je vous aime, mes tendres amours.

Dieu accomplit son œuvre, c’est l’œuvre du Père et elle sera éternelle.

Par la toute-puissance de l’Amour, je fais don en vous de grâces de lumière; prenez, mes enfants, distribuez à mes enfants, à ceux que vous portez.

Votre oui est important!

Je suis un Dieu d’amour, je respecte qui vous êtes, je ne peux forcer personne; mais lorsqu’un enfant d’amour donne son oui, moi, je le comble, et lorsqu’un enfant de lumière donne son oui pour ses frères et ses sœurs, je le comble : je le multiplie, car il devient pour ses frères et ses sœurs un don d’amour.
Dieu seul peut combler : recevez, mes amours.

Fille du oui à Jésus en le Saint-Esprit :

Par Dieu tout-puissant, il m’accorde la voix, elle est au service de Dieu, et avant de donner à vous, mes frères et mes sœurs, ce que Dieu attend, Dieu veut vous combler par la bénédiction de son fils consacré.

Père Clément :

Alors, je vais vous donner la bénédiction, comme si c’était ma première bénédiction après mon ordination. Alors, mon Dieu, que j’étais plein d’ardeur, et le Seigneur répondait vraiment à nos demandes. Alors j’aimerais avoir cette même ardeur pour que tous et chacun apportiez, chez-vous tous, les grâces dont vous avez reçues, aujourd’hui, et qui vont continuer pour le reste de votre vie, à chacun.

Alors : Que Dieu tout-puissant vous bénisse, le Père, le Fils et le Saint-Esprit.

Tous : Amen!.





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Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus - Page 2 Empty Re: Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus

Message par FrancoiseF Dim 19 Juin 2011 - 18:44

Bonjour à tous,

En ce beau Dimanche de la Sainte Trinité, nous poursuivons notre méditation des messages donnés à La Fille du Oui.

**

Lancement du volume 2
Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Sherbrooke, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

02 mars 2003

Jésus : Je suis l’Amour en elle. Elle n’est plus en ce monde, je l’ai prise en moi. Je suis la Puissance, je suis Dieu Amour. Je parle, je parle en les cœurs.

En ce moment même, mes enfants, je vous parle : en vous; ouvrez vos cœurs; laissez pénétrer en vous cette grâce; portez en vous, mes enfants, tous mes enfants, ils ont besoin de cette grâce : je fais appel à chacun de vous pour vous donner, mes enfants; je me suis donné par amour à mon Père, pour vous, pour chacun de vous, afin que vous soyez tous unis en mon Cœur.

Je vous aime, mes enfants.
C’est un mouvement d’amour, c’est l’unité.


Ô Dieu d’amour, je vous présente vos enfants, ils sont tous unis dans mon Cœur :
ce Cœur qui s’est ouvert pour vous ramener vos enfants.

Oh! mes êtres d’amour, je suis la Présence, je suis l’éternelle Présence, je fais mouvement en vous pour vous rappeler qui vous êtes.
Vous devez vous unir dans l’amour.

Ce monde a bien besoin de se reconnaître; je fais appel à chacun de vous; vous êtes tous mes enfants choisis pour ce temps : ce temps de grâces où, présentement, les enfants qui sont en vous reçoivent des grâces : ils ont besoin de ces grâces; ils se perdent dans ce monde où il n’y a qu’indifférence envers mon amour.

Je me suis donné pour eux et eux ne veulent pas, ils ne veulent pas de moi.
Vous qui répondez à mon appel d’amour, je suis en ce moment en train de déverser en vous des grâces d’amour : des grâces qui vous transforment en enfants de la Divine Volonté.

Ce monde a connu sa volonté; il a voulu faire plaisir à mon Père en se donnant pour faire sa volonté.

Moi, le Fils de Dieu, je vous appelle à vous donner dans un mouvement d’amour; je vous réclame votre vie : je veux votre vie, je veux la prendre et la faire mienne.

Je porte en moi tout l’amour de mon Père : je veux vous faire vivre en ma Vie pour que vous soyez éternels.

Mes enfants d’amour, un monde nouveau vient vers vous; il vient vous montrer que l’amour règnera sur la terre.

Chacun de vous devez porter en ce moment vos frères et vos sœurs, car un temps, où ils devront, eux, renoncer à leur volonté humaine, vient.

J’ai besoin de vous, j’ai besoin que vous vous laissiez transformer par mes grâces.
Vous n’êtes pas prêts, mes enfants, encore, il y a tant de vous qui se posent des questions!
Vous n’êtes pas prêts, mes enfants, à aller vers eux, pas encore, car je dépose en vous des grâces d’amour, des grâces d’abandon, des grâces qui vous transforment en enfants de ma Volonté d’amour : il n’y a rien qui sortira de vous, mais que de moi.

Ce monde est appelé à vivre dans mon amour.
Vous êtes mes enfants de la Lumière, je vous appelle tous à renoncer à votre vie : à votre vie trépidante.

Oui, mes enfants, il y aura un monde d’humilité, de petitesse : cela vous apportera des grâces, vous grandirez par moi, en moi et pour moi.

Mes enfants d’amour, bien que vous puissiez, vous, être consentants à vouloir faire de vous des enfants d’amour, il n’y a que moi qui peux faire ce mouvement d’amour; je vous rappelle que vous êtes des enfants sortis du péché, mais vous avez connu le péché.

Oui, mes enfants, vous êtes des enfants du péché originel ; il y a en vous ce mal, ce mal qui vous porte à vous inquiéter, à douter, à vous poser des questions sur votre comportement.

Moi, je viens vous montrer comment vous abandonner totalement à mon amour.
C’est dans l’abandon seulement que vous allez vous découvrir tels que vous êtes.

Je sais, mes enfants, que vous vous dites des enfants priants, aimant Dieu, mais votre faiblesse, à cause de la tache originelle, vous a apporté de trop grandes faiblesses!

Vous avez reçu le sacrement du baptême, il vous lavait de la tache originelle; vous avez continué à vivre dans votre volonté humaine, vous acheminant chaque jour avec ce que vous êtes : tout cela, mes enfants, ne vous a apporté que tristesse dans vos vies.

Moi, l’Amour, j’ai déposé en vous des grâces de lumière, des grâces qui vous faisaient réaliser que vous étiez amour.
Chaque jour dans votre vie, vous avez tous et chacun espéré l’amour : le vrai amour; vous avez voulu connaître des joies; tout cela venait de nous, la Trinité : nous vous avons tenus en vie par notre seule Puissance.

Je viens vous démontrer la valeur de votre vraie vie en vous, en vous demandant de renoncer à votre volonté humaine.
Lorsque vous apprenez à connaître votre valeur humaine, il est plus facile pour vous de constater votre vie; vous aurez beau vous abandonner à moi, l’Amour, lorsqu’on ne connaît pas tout de soi, il y a toujours des moments : où il y a un recul, un doute, une incertitude de ce que l’on accomplit.

C’est pour cela, mes enfants, que je parle dans les cœurs, que je viens vous déclarer combien, moi, je vous ai soutenus durant votre vie.

Mes enfants d’amour, je parle de tous ceux aussi que vous portez dans la Divine Volonté.
Vous portez tous les enfants, et cela depuis Adam et Ève; vous les portez en vous : vous avez la trace du refus à l’Amour et vous avez la grâce du oui à l’Amour.

C’est l’Amour qui vous réclame votre oui; c’est vous qui devez prendre vous-mêmes la décision de renoncer à votre volonté humaine : cela n’est pas facile pour vous de renoncer à ce que vous êtes!

Je veux vous montrer combien vous valez plus que cela!

Vous êtes enfants de Dieu, vous êtes des enfants de la Divine Volonté : tout en vous est merveille!
Mais vous avez enfoui ces merveilles avec vos refus, vos doutes; vous avez accompli des actes contre vous-mêmes, et contre ceux que vous portez en vous; lorsque vous parlez contre votre prochain : moi je vous parle de ceux que vous portez en vous; découvrez la vraie valeur de votre être.

Lorsque je vous ai dit : «Aimez, aimez-vous, aimez votre prochain comme vous-mêmes»,
vous portez l’Amour, l’Amour qui s’est laissé blesser.

Je vous demande, mes enfants, de vous laisser découvrir.
Lorsque vous allez apprendre à vous connaître, vous allez connaître aussi votre prochain, et lorsque vous lirez ces lignes, dans ce que j’ai moi-même, mes enfants, fait écrire pour vous : vous reconnaîtrez qui vous êtes, car même si vous lisez en disant : "Mais, je n’ai jamais consommé de drogue!" mes enfants d’amour, vous portez en vous des enfants qui en ont consommé! vous allez apprendre à les aimer, vous allez apprendre à les soutenir; avec vos oui dans l’abandon total, ces enfants vont profiter des grâces que je vais déverser en vous, pour eux : c’est un don d’amour.

J’ai donné ma Vie, donnez votre vie, donnez-moi la vie de tous ceux que vous portez en vous.

Je veux changer la face de la terre.

Par le Saint-Esprit, mes enfants, vous allez recevoir des grâces de lumière et ces grâces sont pour vos frères et vos sœurs aussi : elles ne sont pas seulement pour vous.

Il y a l’amour et l’amour donne : il ne peut rien retenir, il aime donner : donnez, mes enfants.

Lorsque vous apprendrez combien vous êtes amour : la joie sera en vous, la paix vous couvrira, chaque jour vous apparaîtra comme un jour nouveau.
Vous avancez vers ma Nouvelle Terre : ce mouvement est dans le oui à l’Amour, il est pour vous.

Point ne sert de courir après quelque chose que vous ne pouvez atteindre par vous-mêmes : laissez l’Amour faire ce mouvement, ne vous forcez pas, donnez-moi votre oui; votre abandon sera dans mon mouvement; je vous nourrirai, mes enfants.

Vous verrez que cela se fera par moi, et non par vous.

Il faut un renoncement total de votre volonté humaine, et cela se fera par moi : seulement par moi.

Vous verrez la joie dans vos vies; vous pourrez découvrir combien il est rassurant de se donner à Dieu, car vous portez aussi vos enfants, vous portez un mari, une épouse, un frère, une sœur, vous portez toute votre famille, et je sais que cela est très important pour vous!

C’est merveilleux, mes enfants, de se donner!

Toutes vos inquiétudes vont disparaître, il y aura de la joie dans vos vies.
Je vous dis, mes enfants, qu’un monde d’amour vient; il commence par votre oui, votre oui à Jésus d’amour.

Je vous prends en moi.
Je suis venu en ce monde pour vous montrer comment aimer mon Père.
Je vous ai enseigné comment aimer votre prochain.
Je veux vous montrer que cela se fait en le Christ, en moi, dans un abandon total.
Il n’y a pas à avoir peur du comment! Ce monde vit dans la peur, dans l’inquiétude!
Il y a tant de violence! Il y a tant de blessures dans vos familles! Apportez-leur de l’amour!

Lorsque vous les portez en vous, vous leur faites gagner des grâces d’amour : je suis la Puissance.

Regardez, mes enfants, combien d’entre vous entendent l’Amour?
Je vous ai dit que je viens habiter vos vies : vous allez entendre l’Amour.

Votre abandon, c’est moi qui vais le faire; je vais vous montrer, mes enfants, combien c’est merveilleux de vivre en moi, de ne pas se soucier de ce que votre vie sera, ni celle de vos enfants, celle de votre famille :
tout ne sera qu’abandon : je vais vous combler.

Tout doit commencer là, maintenant : à l’instant où vous prononcez votre oui : c’est un mouvement d’amour dans la Divine Volonté.

Je vous prends en moi : c’est moi qui fais ce mouvement pour vous.
Je viens pour vous faire découvrir la Divine Volonté :
vivre en Dieu comme vos premiers parents avant le péché.

Mes enfants d’amour, ces mots qui se sont inscrits dans ce livre, ce sont des mots de Dieu : ils sont vivants, ils sont agissants.

Vous y reconnaîtrez vos mouvements, car je les ai portés :
j’ai apporté à la mort toutes vos imperfections.

Lorsqu’un seul enfant commet un péché, moi, Dieu tout-puissant qui ai porté ses péchés, je l’ai lavé de mon Sang, je l’ai purifié cet enfant, en apportant à la mort son péché : cet enfant, par son repentir sincère, est appelé à devenir enfant de la Divine Volonté : Vous allez, chacun de vous, reconnaître vos propres mouvements; vous allez voir, mes enfants, combien je vous aime, combien je vous ai portés et combien je vous porte.

Je vous réclame votre abandon total pour vous et pour eux.

Ce n’est pas pour vous réprimander, pour vous juger, pour vous faire savoir combien vous êtes des enfants infidèles : oh! mes enfants d’amour, vous vous connaissez!

Lorsqu’un seul d’entre vous commet une faute envers Dieu, cet enfant le sait, et moi, dans mon amour, je lui donne des grâces : des grâces qui vont lui faire reconnaître qu’il doit venir vers moi pour obtenir des grâces de force, des grâces d’abandon qui vont le conduire à l’Amour.

Mes êtres d’amour, elle écrit pour vous : cela se fait par la puissance du Saint-Esprit.

Ceux qui ont donné leur oui, moi, Dieu tout-puissant, je les ai enveloppés de mon amour, leur demandant d’être à mon écoute, et cela est pour vous préparer à rentrer chez vous, mes enfants, dans ma Nouvelle Terre.

Votre monde vous a montré à écouter des paroles humaines : vous écoutez la télévision, la radio; vous lisez des journaux, des revues, des romans : chaque jour, mes enfants, on vous répète des paroles contre votre prochain; on vous a appris à devenir indépendants les uns des autres, à vouloir vivre pour vous-mêmes; on vous apprend à délaisser vos enfants; on vous apprend, mes enfants, à n’écouter que votre moi, vous donnant vous-mêmes un pouvoir, oubliant qui je suis, oubliant que vous êtes enfants de Dieu, et chaque jour, les enfants de la terre se laissent envelopper par ce mouvement qui n’est pas amour : c’est par répétition que vous êtes devenus des enfants loin de moi.

Et moi, l’Amour, je vais vous montrer que je vous aime.
Beaucoup de messages ont été en circulation.

J’ai utilisé beaucoup d’enfants car, aujourd’hui, mes enfants, vous dites : mais, il y en a trop, nous ne savons plus lesquels sont vrais, et vous commencez à lire ces messages avec un doute en vous; vous calculez aussi la valeur du message selon ce que vous ressentez.

Mes enfants d’amour, est-ce que cela vient de la Volonté de Dieu ou de la vôtre?

Je vous parle parce que je vous aime.
Je ne cesserai jamais de vous dire combien je tiens à vous!

Écoutez bien, mes enfants : Chaque message donné à mes messagers pour vous sont des grâces; lorsque Dieu parle, chaque mot porte des grâces; je veux vous remplir de mes paroles d’amour; je veux vous faire comprendre, mes enfants, que je tiens à vous.

Pas un seul message n’a pas été en nous; nous avons calculé chaque mot pour qu’ils soient, pour vous, des mouvements d’amour nourrissant votre âme.
Laissez-nous juger de ce qui est bon pour vous, pour votre âme.

Lorsque, mes enfants, vous écoutez votre télévision, vous avez plusieurs postes; lorsqu’une émission est terminée, vous passez à la suivante, quelquefois vous changez de canal, et cela se fait à tous les jours.
Calculez le nombre de journaux qui émettent des commentaires, et vous les lisez.
Des nouvelles, mes enfants, vous arrivent à tous les jours, et vous les écoutez.
Des chansons, mes enfants, sont dans vos vies, et vous les écoutez : vous vous laissez prendre par ces sons.

Moi, je veux nourrir votre âme.
Lorsque vous lisez un message venant d’un messager, il est pour votre âme : c’est votre âme qui se nourrit de mes grâces.
Elles vous aident à vous abandonner, à vous transformer en enfants de la Divine Volonté : Cela est un mouvement d’amour.

Je vous demande, mes amours, de ne pas critiquer ma nourriture; si votre volonté humaine vous porte à porter des jugements : eh bien, donnez-les-moi, je vais vous aider, et si un tel messager ne parle pas comme vous, vous voulez l’entendre : donnez-le-moi, moi, je vais vous aider à l’accueillir avec votre amour qui est mon amour.

Apprenez à vous abandonner : cela est une nourriture.

Laissez-moi vous combler de mes paroles : Je vous annonce un temps d’amour.

Ne vous critiquez pas : aimez-vous : c’est l’Amour qui vous parle en vous.
Je suis le seul qui peut vous amener à la vie éternelle.

Ces messages, mes enfants, sont pour vous; j’utilise des enfants avec ce qu’ils sont, et c’est avec beaucoup d’amour que je les transforme pour vous.
Aimez-les, aimez-vous, aimez-moi, aimez mon geste d’amour pour vous.

Il y a tant à changer, mes enfants, dans vos vies!

Je vous aime, ceci est pour vous :
«Amour, je parle dans ton cœur, viens vers moi, je t’aime comme tu es, je te veux à moi dans mon Cœur.
Laisse-toi prendre par moi et si tu as des blessures, donne-les moi.
Je vais déposer en toi un baume d’amour.
Tu vas t’aimer tel comme tu es et moi, je vais faire attention à toi.
Je vais déverser en toi des grâces, des grâces de lumière qui t’aideront tranquillement à avancer : à avancer dans l’amour.

Tu vas devenir un enfant : un enfant de la Divine Volonté.
Parce que je t’aime, je te veux à moi.
N’aie crainte, tout est préparé pour toi.

Mon Père, ton Père, m’a donné à toi pour que je puisse te ramener à lui.
C’est ensemble que nous allons avancer et c’est moi qui vais te porter,
et lorsque tu auras assez de force, je vais te demander si tu veux m’aider à porter ceux qui retardent, car voici que la lumière approche.

Bientôt, tout ne sera qu’amour.

Il faut que tu sois dans la Divine Volonté pour goûter à cette joie que tu vas ressentir lorsque tu verras la Lumière.
Tout sera joie pour toi.

C’est dans ton oui total que tu vas découvrir cette immense joie.
Je t’aime. Je te veux qu’à moi.»

Mes enfants d’amour, tout est en Dieu, laissez-vous abandonner dans mon amour : je vous aime.
Je demande à celui qui a prononcé son oui d’amour, à celui qui a donné sa vie en le Christ pour vous unir dans le Cœur de ma Mère et dans le Cœur même de l’Amour, de venir vous bénir.

Amen, mes enfants!

Père Martel : Seigneur Jésus, nous sommes réunis en ton nom. Daigne bénir toutes les personnes ici présentes, accorde-leur la santé de l’âme et du corps, daigne les aider à toujours accomplir ta Volonté par un oui de plus en plus parfait. Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

Tous : Amen!.


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Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus - Page 2 Empty Re: Messages prophétiques donnés à la Fille du Oui à Jésus

Message par FrancoiseF Mer 22 Juin 2011 - 15:13

Bonjour à Tous,

Je suis heureuse de vous mettre là maintenant un beau message plein d'Espérance : lisez-le, relisez-le, méditez-le .

Pour tous ceux qui peinent sous le fardeau, il est Lumière.

***

Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Saint-Janvier de Mirabel, Québec,
par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

08 mars 2003

Jésus : Tout ce que vous allez entendre est voulu de Dieu : tout est l’agir de Dieu. Je suis le Verbe bien-aimé du Père.

Cette enfant est ma choisie pour ce temps de grâces; vous, mes enfants, vous êtes tous mes choisis : vous êtes des enfants de la Lumière pour vos frères et pour vos sœurs qui, eux, ont oublié qui ils étaient.

Mes enfants d’amour, ce temps est pour vous, il va vous apprendre à vous découvrir tels comme vous êtes.
Vous allez apprendre à vous aimer, à découvrir combien Dieu vous aime!

Petits aimés, lorsque votre Père a choisi chacun d’entre vous pour venir en ce monde, il a déployé tout son amour pour que vous, vous soyez tout à lui : vous venez de lui et c’est lui qui vous veut : vous êtes ses enfants.

Par l’Amour, vous êtes venus en ce monde; il a insufflé à Adam sa Vie et sa Vie est en chacun de vous : vous êtes tous ses bien-aimés.

Par la désobéissance, moi, son Fils bien-aimé, je suis venu en ce monde pour prendre tout ce que vous aviez fait contre son amour, et je l’ai amené à la mort parce que mon amour pour mon Père est indéfinissable.
Il n’y a pas de mot connu de vous, mes enfants, pour décrire mon amour pour mon Père : il est si puissant, il est si immuable, si immense que notre amour a fait le Saint-Esprit.

Pouvez-vous penser que vous avez une partie de cet amour en vous?
Vous avez l’amour de Dieu : il est si puissant cet amour en vous!

Vous êtes venus en ce monde en ignorant ce trésor.

Ce monde a oublié qu’il est amour, et, bien avant vous, d’autres enfants aussi se sont acheminés en ne profitant pas de cet amour; mais moi, Dieu tout-puissant, j’ai fait en sorte que vous n’oubliiez pas cet amour qui est en vous.

J’ai suscité des enfants à se donner, à s’oublier, à s’offrir, en les transformant en êtres de donation comme moi je me suis donné.
Je les ai portés en moi et leur ai montré combien mon amour pour chacun de vous était immense.

Ces enfants n’ont eu qu’un seul but : tout donner à Jésus Amour
pour ne vouloir faire que sa Volonté pour chacun de vous.


Mes enfants d’amour, cet instrument est l’une parmi tant d’autres enfants d’amour; ils sont tous des témoins de la présence de Dieu en eux, et vous, mes bien-aimés, vous êtes en eux : par moi, ils vous portent tous.

Je donne des grâces à ces enfants pour que vous, vous puissiez profiter de ces grâces d’amour, de ces grâces d’abandon, afin que vous aussi vous puissiez vous abandonner à votre Dieu, pas à votre façon, à la mienne : en n’étant qu’amour, en découvrant l’Amour qui vit en vous, en sachant que vous êtes des enfants faits pour aimer et être aimés.

Je veux vous faire découvrir la vraie valeur de votre vie sur la terre :
vous êtes de Dieu, vous n’êtes faits que pour aimer et être aimés.

Vos souffrances, vos maladies, vos peurs, vos doutes, vos angoisses, vos incertitudes : tout cela est la cause du mal; le mal cohabite avec vous, mes enfants.

Vous êtes tous mes bien-aimés et c’est par moi que vous allez découvrir
que vous êtes des êtres d’amour, des enfants de Dieu : mon Père.

Ce monde a beau chercher à découvrir des recettes pour être heureux : il aura beau chercher, il le trouvera s’il ne vient qu’en lui : là où moi, je suis.
C’est dans un abandon à Dieu que ces enfants de ce monde vont découvrir la recette du vrai bonheur : ce bonheur qui sera éternel.

Je ne suis pas un Dieu d’un jour : je suis Dieu Éternel.Il
n’y a pas d’erreur en moi : il n’y a pas de fausseté.

Lorsqu’on apprend à découvrir que Dieu est la tendresse, la douceur, l’amabilité, la miséricorde : on se laisse aller dans son amour, sans s’inquiéter, en ne se posant pas de questions.

Écoutez votre cœur : en ce moment, il entend Dieu lui parler.
Votre âme reçoit des grâces d’amour : laissez-vous vous nourrir.

Moi seul peux faire cela, aucun humain ne peut produire en vous cette paix.
Tout n’est que douceur en moi : j’ai donné ma Vie pour vous, j’ai laissé couler mon Précieux Sang pour vous sauver d’une mort éternelle : tout a été voulu de mon Père.

Mon oui a été dans son oui : il a fait jaillir un oui d’amour.
Ce oui a été prononcé par une enfant choisie depuis toute éternité, avant même ma venue en ce monde.

Cette pure Enfant est une enfant de la terre, belle entre les belles; il n’y a pas de plus grand, de plus beau que son oui qui a été prononcé par Marie, ma Mère; elle est votre modèle de la terre pour le oui à l’Amour.

Mes enfants d’amour, allez puiser en elle ses grâces.
Il y a tant de saveur, de délices dans le oui de ma Mère!

Le Fils de Dieu est venu habiter en son sein, il a apporté à ce monde le oui divin : elle a porté en elle le oui divin.
Comme il est grand le fiat de ma Mère!

Allez vers ma Mère, vous verrez que votre abandon sera plus facile.

Elle ne cesse d’intercéder pour vous, elle vous connaît tous, elle vous a tous portés en elle.
À l’instant de ce oui d’amour, je suis venu en elle par le Saint-Esprit.
Je vous portais tous et ma Mère vous a tous portés.
Elle est la Bienheureuse en qui Dieu mit toutes ses complaisances.
Bienheureuse est la Vierge Marie! Elle est votre Mère.

C’est pour vous que je parle, pour vous faire découvrir le trésor qu’est ma Mère.
Vous aurez beau chercher partout, vous ne trouverez rien de semblable : tout est parfait en elle.J’ai habité la perfection sur la terre et c’est seulement en ma Mère que je l’ai trouvée.

Moi, Jésus Amour, je vous habite, je suis en chacun de vous; je n’ai pas trouvé de perfection comme je l’ai trouvée en ma Mère :
il est si immense l’amour de votre Mère.

Ce temps vous prépare à la venue de son Fils en gloire en vous.

Je viens habiter les cœurs de tous les enfants de la terre; je ne viens pas pour vous dire que c’est la fin du monde, je viens vous dire qu’un temps d’amour vient pour vous : où le mal disparaîtra de vos cœurs. Il n’y aura plus pour vous de maladie, de peur, d’angoisse, d’inquiétude; il y aura de la joie, il y aura de l’amour, il y aura du partage; mes enfants apprendront à se donner de l’amour les uns les autres; les couples mariés seront unis pour ne faire qu’un, les enfants découvriront la chaleur du foyer, la tendresse, l’amour; mes enfants de la terre se donneront de l’amour, il n’y aura plus de violence : mes enfants, vous connaîtrez la paix sur la terre.

Je ne viens pas pour vous annoncer une utopie, je suis la Vérité, tout en moi n’est que Pureté.
Je témoigne, par cet instrument d’amour, que tout est de nous, la Trinité.

Toute parole prononcée par des humains dans leur volonté ne porte pas de grâce : ma parole est vérité.

J’ai annoncé dans mon Évangile que vous connaîtrez le Royaume de mon Père; rappelez-vous que j’ai enseigné à mes apôtres le "Notre Père"; vous, mes enfants chéris, vous le prononcez à chaque jour "Que ton règne vienne sur la terre" : mes enfants d’amour, un règne de paix et de joie vient, et vous connaîtrez l’amour.

C’est dans un renoncement à votre volonté humaine que tout cela s’accomplira.

Lorsque Adam et Ève ont été dans le paradis, ils ont connu ces joies, ils ont vu mes délices pour eux, mais ils ont désobéi à Dieu; ils ont voulu devenir comme des petits dieux, en voulant savoir ce qui est bien et ce qui est mal; ne donnant pas tout en Dieu : ils se sont donné un droit.

Mes amours, je prépare votre cœur à une grande demande : je vais demander à tous les enfants de la terre s’ils veulent vivre dans la Divine Volonté, en prononçant leur oui à l’Amour : chacun d’eux devra choisir.Ce temps que vous vivez, c’est pour vous préparer à cette demande.
En allant vers ma Mère, vous obtenez des grâces, des grâces d’amour, des grâces d’abandon; c’est elle qui vous amène par la main vers son Fils; moi, je vais vous transformer en enfants d’amour.

Par mes grâces, vous apprendrez à vous abandonner, à découvrir la vraie valeur de votre vie sur la terre.

Lorsqu’on apprend à découvrir combien l’Amour nous aime : on apprend à découvrir que Dieu veut qu’on s’aime,
et lorsqu’on s’aime : on apprend aussi à découvrir nos frères et nos sœurs avec notre amour, en les aimant tels comme ils sont, en priant pour eux, en les abandonnant à Dieu.

Ce sont vos oui à l’Amour qui vont aider ces enfants à prononcer leur oui à l’Amour.
Tout est dans l’accomplissement de l’œuvre de mon Père.

Lorsqu’il a prononcé son oui, le Fils a prononcé son oui et, dès cet instant, la préparation à l’amour a commencé.

Il a commencé avant que vous soyez sur la terre; tout a été dans la Divine Volonté : c’est un mouvement d’amour.

Dieu est Amour, il ne peut s’arrêter de donner, car il est tout amour, et vous, mes enfants, vous ne pouvez vous arrêter aussi de demander de l’amour, car vous êtes ses amours : vous êtes faits pour vivre dans un monde où il n’y aura que de l’amour.

Regardez vos vies : Vous souffrez, vous connaissez des maladies, votre caractère a développé tant de faiblesses inconnues en vous; vous réagissez à des paroles venant de votre prochain : elles réveillent en vous des émotions inconnues.

Moi qui vous connais mieux que vous, je viens, par des instruments d’amour, vous instruire sur votre comportement intérieur.

Vous connaissez votre extérieur! Qui de vous ne réalise pas : qu’il est en colère, qu’il est triste, envieux, paresseux, gourmand, avare?
Oh! mes enfants d’amour, chacun d’entre vous sait quand il fait mal.
Moi je viens, par mes écrits, vous dévoiler votre intérieur.
Je connais mieux que vous votre vie, elle a commencé dès le péché de la désobéissance : vous portez en vous tous les enfants parce que je suis en vous.

Non, mes enfants, sans moi vous ne pourriez être vivants.

C’est la vie qui est en vous qui vous fait vivre.


Votre âme est la vie : elle vient de Dieu, elle est divine.


Votre corps vous a été donné pour vous acheminer sur la terre : il n’est que matière; c’est votre âme, la vie : c’est elle qui reçoit la nourriture de Dieu et qui donne à votre corps ce qu’il a besoin pour vivre en enfants de Dieu.

Voyez combien votre âme a peu de nourriture!
C’est vous qui avez le choix de venir vers moi, Jésus.

Vous êtes des enfants libres, Dieu vous a créés libres, et c’est dans cette liberté que je veux que vous viviez pour l’éternité, dans l’amour.

Ces enseignements vous ont été donnés par les apôtres,
par mes disciples, par des choisis : ils ne sont que des rappels.

Mais, voyez-vous, votre monde a besoin de lumière, il vit dans les ténèbres, et c’est pour cela que je fais écrire cette enfant qui s’est donnée totalement par amour pour vous.

Elle m’a supplié de venir habiter les cœurs, elle a crié vers mon Père, elle avait en elle des douleurs.
C’est nous, la Trinité, qui lui avons donné de l’amour, et cet amour : c’était vous.
Son cheminement sur la terre a été préparé par nous, car nous connaissions ses oui avant qu’elle les prononce, et nous connaissons tous vos oui.

Vous êtes des enfants choisis pour vos frères et pour vos sœurs.

Ces volumes sont des lumières, il faut manger : c’est une manne qui vient du Ciel.

J’ai nourri mon peuple dans le désert car, sans Dieu, il n’aurait pu vivre toutes ces années dans cet endroit aride sans nourriture, sans eau, et vous, mes enfants, vous vivez sans amour, sans grâces!

C’est une manne pour vous, c’est une manne pour vos enfants, pour vos frères et pour vos sœurs : tout a été voulu de nous, la Trinité, car ce monde sans nous va mourir, et moi, Jésus Amour, je vous veux tous.Regardez-moi sur la croix!
Chaque mouvement est un abandon.
Je vous portais tous, vous étiez tous en moi.
Je me suis présenté à mon Père dans cet abandon, vous donnant témoignage de l’amour même du Fils pour son Père.

Vous avez tous été dans cet abandon : ce mouvement de l’amour est de nous, la Trinité.

À vous, maintenant, à vous seuls de pénétrer dans cet abandon total.

C’est moi seul qui vais faire en sorte que vous allez vous laisser transformer : par mes grâces d’amour, mes grâces de puissance, de force.
Vous allez découvrir que vos frères et vos sœurs sont amour parce que je suis en eux, je vis en eux.

Pas un seul mot de vous qui ne sera pas amour ne vous montrera pas que vous êtes amour.
Lorsque vous serez dans mon mouvement d’amour, tranquillement, je vous montrerai à aimer, à vous aimer, à aimer votre prochain, et, lorsque, mes enfants, vous parlerez contre votre prochain, il y aura quelque chose en vous qui se réveillera.

Vous prendrez connaissance de vos paroles et, par mes grâces, vous allez aller vers mon prêtre pour demander pardon à Jésus, moi, qui suis en ce prêtre, et votre intérieur va recevoir des grâces de sanctification, votre âme va recevoir des grâces d’amour.

Vous aurez une soif de mon amour et vous viendrez à la messe pour découvrir votre amour pour votre Dieu; vous allez vous abandonner en sachant que c’est Jésus qui se donne à vous à l’Eucharistie, et par les mains de mon saint fils : vous allez recevoir l’Amour.

Ce sont des mouvements préparés pour vous et, lorsque vous serez dans ce mouvement d’amour, des transformations se feront : vous allez avancer, mes enfants, dans l’agir de Dieu, et non plus dans votre agir.

Tranquillement, vous allez me donner votre volonté humaine avec joie parce que vous allez découvrir la paix; vous allez regarder vos frères et vos sœurs avec l’amour, non plus avec votre volonté humaine; vous allez regarder mon prêtre, mon fils de prédilection, avec mes yeux, car ils ont été choisis pour vous nourrir de mes grâces.

Savez-vous que ma Mère a un amour de prédilection pour ses fils, car elle sait qu’ils représentent son Fils sur la terre auprès de vous; elle se tient près d'eux au moment où ils font la messe :ma Mère est près de tous ses fils.

Prenez conscience de ce mouvement d’amour et portez-les dans vos cœurs : c’est moi, Jésus, qui vous le demande.

Enfants d’amour, recevez, par mon fils choisi, ma bénédiction.
Amen, mes enfants.

Abbé Claude Charron : Que le Dieu tout-puissant vous bénisse, le Père, le Fils et le Saint-Esprit.

Tous : Amen!.






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