VIVA EL PAPA 2

Pour Hans Küng, Benoît XVI a raté tous les tournants ... pitoyable!

Celui que persiste à faire tourner le "jumeau en négatif du Pape", j'ai nommé Hans Küng

Le 26 février 2010 - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde -

Pitoyable répétition, d'un homme perpétuellement instrumentalisé (pas à son insu, c'est un fait!) par les ennemis du Pape.

Il a cette fois une tribune dans "La Vie" : les initiateurs de la pétition contre Benoît XVI ont leurs références - ou, si l'on préfère, leur Pape de substitution, dont ils flattent la vanité sénile pour faire passer leurs idées subversives.

Bien entendu, il a quelque chose à vendre, le deuxième tome de ses mémoires, sous-titré, en toute modestie "Mon combat pour la liberté", comme si, au Vatican, il risquait les geôles pontificales.
Un pavé, en pile épaisse à la FNAC, en vente depuis cette semaine au prix de 41 euros!! (alors que Benoît XVI n'a droit qu'à de rares exemplaires cachés sous les gondoles). Je ne serais pas étonnée que beaucoup aille au pilon.

Selon lui, comme pape, [Benoît XVI] a raté tous les tournants (...). Et si, comme Benoît XVI, on se situe dans l'extrême, celui d'un rigorisme moral médiéval, alors on perd toute crédibilité.

Le théologien-contestataire décrété par les media se surpasse: il distribue sans aucune gêne des brevets de non-sainteté à Pie XII (qu'il consent à ne pas diaboliser, car ... il a connu un choc lorsque les commandos rouges ont mis à sac la nonciature de Berlin en 1918. Un peu comme Ratzinger fut traumatisé par les étudiants révoltés de Tübingen en 1968) et à Jean-Paul II (dont le moralisme sexuel n'a servi à rien et la jeune génération s'en moque totalement), affirme que le scandale de la pédophilie chez les prêtres est lié au célibat obligatoire (quid, alors, des nombreux instituteurs impliqués dans des affaires de ce type?), va jusqu'à accuser Benoît XVI d'être schismatique,
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rejoignant ainsi une frange extrémiste qu'il abhorre (... il y a deux possibilités d'être schismatique. Soit on se sépare du pape. Soit le pape se sépare de l'Eglise, dit-il!).

Sa haine l'aveugle, au point d'oser écrire: En Allemagne, on est désormais gêné qu'il soit allemand. (lololololol)

Et c'est finalement la jalousie qui éclate, lorsqu'il dit: Ratzinger et moi sommes différents dans notre approche de Jésus. Moi, je suis attaché au Jésus de l'Histoire. Son Jésus à lui est dogmatique, comme il a été défini lors du Concile de Nicée en 325. lolololol

En réalité, Hans Küng sait fort bien que sans Benoît XVI, il ne serait rien, et ne surtout totalement ignoré par les medias.

Osons suggérer une psychanalyse à ce peu vénérable octogénaire - si ce n'est déjà fait -, [b]ou alors, qu'il ait le courage de quitter l'Eglise catholique. [/b
]Après tout, la place de Margot Kässmann(*) (d'elle, les allemands n'avaient pas honte, au moins jusqu'à avant hier, j'ai vu mardi dans une librairie d'Offenburg des présentoirs entiers de ses "œuvres"), l'évêque luthérienne de Hanovre est à prendre - mais là, évidemment, l'audience médiatique se ferait plus rare: il ne s'est jamais remis d'avoir fait venir à l'Université de Tubingen un théologien aussi ingénu que génial du nom de Joseph Ratzinger.

(*) Margot Kässmann, présidente du conseil de l'Eglise protestante d'Allemagne, a quitté ses fonctions après avoir été arrêtée en état d\'ivresse au volant.