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L'ASSOMPTION DE MARIE , Mère de JESUS-CHRIST, Patronne principale de LA FRANCE

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L'ASSOMPTION DE MARIE , Mère de JESUS-CHRIST, Patronne principale de LA FRANCE Empty L'ASSOMPTION DE MARIE , Mère de JESUS-CHRIST, Patronne principale de LA FRANCE

Message par Invité Dim 15 Aoû 2021 - 10:02

L’Assomption de la Très Sainte Vierge Marie, Mère de Jésus-Christ, Patronne principale de la France. Fête le 15 Août.


L'ASSOMPTION DE MARIE , Mère de JESUS-CHRIST, Patronne principale de LA FRANCE Vierge-miraculeuse

La Fête de l'Assomption, outre sa mort toute sainte, sa Résurrection et son couronnement, célèbre sa Royauté toute-puissante.

Elle est la Reine du Ciel, la Reine des Anges et des Saints, la Reine de l'Église terrestre, la Reine de l'Église du Purgatoire; et c'est elle que David a dépeinte dans ses Psaumes : « La Reine s'est assise à ta droite, couverte d'un manteau d'or, environnée et tout étincelante des richesses les plus variées. »

Le 1er Novembre 1950, le Vénérable Pie XII (Eugenio Pacelli, 1939-1958), à l'occasion de l'Année Sainte a voulu donner une définition précise (dogme) de l'Assomption de Marie.
Ce jour-là les Chrétiens fêtent à la fois la mort (Dormition) et l'entrée dans la Gloire de Dieu (Assomption) de la Vierge Marie.

L'Assomption de Marie est pour l'Église catholique un dogme, c'est-à-dire un moyen de cheminer vers Dieu, résultat de la méditation séculaire du peuple de Dieu sur sa Foi : on ne croit au dogme que parce qu'il va dans le sens de la Foi.

Avant d'être un dogme, l'Assomption de Marie était donc une croyance reposant sur des traditions et non sur des bases scripturaires reconnues des premiers temps de l'Église.

L'Église catholique a considéré que cette tradition était conforme au dépôt de la Foi et « longuement mûrie par un siècle de théologie mariale omniprésente » depuis la proclamation du dogme catholique de l'Immaculée Conception, dont il n'existe cependant pas trace dans la Bible.

En 373 [ap. J-C.], Saint Ephrem évoque le concept selon lequel le corps de Marie serait resté, après son décès, intact - à savoir non atteint par 'l'impureté' de la mort.

Au IVe siècle, Épiphane de Salamine souligne que nul ne sait ce qu'il est advenu de Marie à la fin de sa vie. La tradition à ce sujet n'est pas attestée avant le Ve siècle.

En Occident, Grégoire de Tours est le premier à en faire mention, à la fin du VIe siècle. Il s'appuie apparemment sur un corpus de textes apocryphes, appelés collectivement le Transitus Mariæ, généralement rattaché au Ve siècle.



L'ASSOMPTION DE MARIE , Mère de JESUS-CHRIST, Patronne principale de LA FRANCE L-assomption-de-la-tres-sainte-vierge-marie-2


SAINT BERNARD
PREMIER SERMON POUR L'ASSOMPTION DE LA VIERGE MARIE.
De la Susception du Christ et de celle de Marie


1. En montant aujourd'hui dans les Cieux, la glorieuse Vierge a certainement porté à son comble la joie des citoyens du ciel.
Car elle n'est rien moins que celle dont la voix fit tressaillir de joie, dans les entrailles d'une mère qu'elle a saluée, l'enfant qui y était encore enfermé.
Si l'âme d'un enfant qui n'était pas encore né s'est fondue de bonheur à sa voix, quelle ne dut pas être l'allégresse des esprits célestes quand ils eurent le bonheur d'entendre sa voix, de contempler son visage ?
Et même pour nous, mes frères bien-aimés, quelle fête n'est point le jour de son Assomption, quels motifs de Joie et de Bonheur n'y a-t-il point dans son Assomption ?
La présence de Marie éclaire le monde entier, c'est au point que les Cieux eux-mêmes brillent d'un plus vif éclat, à la lumière de cette lampe virginale.
C'est donc avec raison que les actions de grâce et les chants de gloire retentissent dans les cieux ; mais nous, mes frères, il semble que nous avons plus de motifs de gémir que d'applaudir.

En effet, ce monde inférieur ne doit-il pas proportionner son deuil, quand elle le quitte, à l'allégresse même que sa présence répand dans les Cieux ?
Pourtant, trêve de plaintes chez nous, car, après tout, nous n'avons point ici une cité permanente, nous aspirons à celle où Marie fait aujourd'hui son entrée ; si nous devons un jour en être citoyens, il est juste que, même dans notre exil, et jusque sur les bords des fleuves de Babylone, nous l'ayons présente à la pensée, nous participions à ses joies, nous partagions son allégresse, surtout à celle qui remplit si bien aujourd'hui même, comme un torrent, cette cité de Dieu, que, même ici-bas, nous en recevons quelques gouttes qui tombent jusque sur la terre.
Notre Reine nous a précédés, et le glorieux accueil qui lui est fait doit nous engager à suivre Notre Dame, nous ses humbles serviteurs, en nous écriant : « Attirez-nous à votre suite, nous courrons dans l'odeur de vos parfums. »
Notre exil a envoyé en avant une avocate qui, en sa qualité de mère de notre Juge, de mère de la Miséricorde, doit traiter en suppliante, mais en suppliante écoutée, l'affaire de notre Salut.

2. Aujourd'hui notre terre a envoyé un précieux présent au Ciel, pour rapprocher, par cet heureux échange de présents d'amitié, les hommes de Dieu, la terre des cieux, notre bassesse de l'élévation suprême.
Un fruit sublime de la terre s'est élevé là d'où nous viennent tous dons excellents, tous dons parfaits, et une fois montée dans les cieux, la bienheureuse Vierge comblera à son tour les hommes de ses dons. Pourquoi n'en serait-il point ainsi ? Car le pouvoir ne lui manquera pas plus que la volonté.
Elle est la Reine des Cieux et une Reine de Miséricorde, et de plus elle est la Mère du Fils unique de Dieu ; est-il rien qui puisse nous faire concevoir une plus haute estime de son pouvoir et de sa Bonté ?
À moins qu'on ne croie pas que Le Fils de Dieu honore sa Mère, ou qu'on doute que les entrailles de Marie, où la Charité même de Dieu a passé corporellement neuf mois entiers, se soient remplies de sentiments de Charité.

3. Si je parle de la sorte, mes frères, c'est pour nous que je le fais, attendu que je n'ignore pas combien il est difficile que dans un si grand dénuement on ne puisse trouver cette Charité parfaite qui ne cherche point ses propres intérêts.
Mais, sans parler des grâces que nous recevons pour sa glorification, pour peu que nous ressentions de l'Amour pour elle, nous nous réjouirons de la voir retourner à son Fils.
Oui, mes frères, nous la féliciterons, à moins pourtant qu'il ne nous arrive, ce qu'à Dieu ne plaise, d'être tout à fait ingrats envers celle qui a trouvé la grâce.
Car elle est aujourd'hui reçue dans la cité sainte par celui qu'elle a reçu elle-même la première, lorsqu'il fit son entrée dans monde, mais avec quel honneur, avec quelle allégresse et quelle gloire !
Sur la terre, il n'est point un seul endroit plus honorable que le temple du sein virginal où Marie reçut le Fils de Dieu, et, dans le Ciel, il n'est point de trône supérieur à celui sur lequel Le Fils de Dieu a placé sa Mère.
Recevant ou reçue, elle est également bienheureuse, elle l'est dans les deux cas d'un Bonheur ineffable parce qu'elle l'est d'un Bonheur inimaginable.
Mais pourquoi lit-on aujourd'hui dans l'Église du Christ précisément le passage où il est donné à entendre que femme Bénie entre les femmes a reçu le Sauveur ?
C'est, je pense, pour nous faire estimer, ou plutôt pour nous faire comprendre, combien est inestimable la réception que Marie reçoit aujourd'hui de son Fils par celle qu'il lui a été donné à elle-même de lui faire.
En effet, qui pourrait dire, même en empruntant les secours de la langue des anges et de celle des hommes, comment expliquer de quelle manière Le Saint-Esprit est survenu en Marie ; la vertu du Très-Haut l'a couverte de son ombre, la vertu de Dieu par qui tout a été fait, s'est lui-même fait chair, de quelle manière enfin le Seigneur de majesté, que l'univers entier ne peut contenir, devenu homme, s'est enfermé dans les entrailles d'une Vierge ?

4. Mais qui pourra se faire une juste idée de la gloire au sein de laquelle la Reine du monde s'est avancée aujourd'hui, de l'empressement plein d'Amour avec lequel toute la multitude des légions célestes s'est portée à sa rencontre ; au milieu de quels cantiques de Gloire elle a été conduite à son trône, avec quel visage paisible, quel air serein, quels joyeux embrassements, elle a été accueillie par son Fils, élevée par lui au-dessus de toutes les créatures avec tout l'honneur dont une telle mère est digne, et avec toute la pompe et l'éclat qui conviennent à un tel Fils ?
Sans doute, les baisers que la Vierge mère recevait des lèvres de Jésus à la mamelle, quand elle lui souriait sur son sein virginal, étaient pleins de bonheur pour elle, mais je ne crois pas qu'ils l'aient été plus que ceux qu'elle reçoit aujourd'hui du même Jésus assis sur le trône de Son Père, au moment heureux où il salue son arrivée, alors qu'elle monte elle-même à son trône de Gloire, en chantant l'épithalame et en disant : « Qu'il me baise d'un baiser de sa bouche. »
Qui pourra raconter la génération du Christ et l'Assomption de Marie ?
Elle se trouve dans les Cieux, comblée d'une Gloire d'autant plus singulière que, sur la Terre, elle a obtenu une grâce plus insigne que toutes les autres femmes.
Si l'œil n'a point vu, si l'oreille n'a point entendu, si le cœur de l'homme n'a point connu dans ses aspirations ce que Le Seigneur a préparé à ceux qui l'aiment, qui pourrait dire ce qu'il a préparé à celle qui l'a enfanté, et, ce qui ne peut être douteux pour personne, qui l'aime plus que tous les hommes ?
Heureuse est Marie, mille fois heureuse est-elle, soit quand elle reçoit Le Sauveur, soit quand elle est elle-même reçue par Lui ; dans l'un et dans l'autre cas, la dignité de la Vierge Marie est admirable, et la faveur dont la Majesté Divine l'honore, digne de nos louanges. « Jésus entra dans une bourgade, nous dit l'Évangéliste, et une femme l'y reçut dans sa maison » (Luc. X, 38).

Mais laissons plutôt la place aux cantiques de louanges, car ce jour doit être consacré tout entier à des chants de Fête.
Toutefois, comme le passage que je viens de vous citer nous offre une ample matière à discourir, demain, lorsque nous nous réunirons de nouveau, je vous ferai part, sans céder à l'envie, de ce que le Ciel m'aura inspiré pour vous le dire, afin que le jour consacré à la mémoire d'une si grande Vierge, non seulement nous soyons excités à des sentiments de dévotion ; mais encore à faire des progrès dans la pratique de notre profession, pour l'honneur et la Gloire de son Fils, Notre-Seigneur, qui est Dieu Béni par-dessus tout dans les siècles.

Ainsi soit-il.



Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.


L'ASSOMPTION DE MARIE , Mère de JESUS-CHRIST, Patronne principale de LA FRANCE La-dormition-et-l-assomption-de-la-tres-sainte-vierge-marie-2
Panneau de reliquaire – vers1430 – Fra Angelico (env.1400-1455) – Tempera et or sur bois,
62 x 39 cm - Isabella Stewart Gardner Museum, Boston

Ce panneau a été peint par Fra Angelico pour l’Église Dominicaine de Santa Maria Novella à Florence. Il est divisé en deux registres :
- dans le registre inférieur, la « Dormition » de la Vierge : les disciples entourent le corps vieilli de Marie, et Le Christ a déjà accueilli son âme (sous la forme d’un jeune enfant) ;
- dans le registre supérieur, son « Assomption » dans les Cieux, sur des nuages, entourée d’une cour d’anges musiciens ; cette fois, Le Seigneur accueille son corps glorieux.



L'ASSOMPTION DE MARIE , Mère de JESUS-CHRIST, Patronne principale de LA FRANCE Blog-33055-bonne-soiree-150813181136-7287438903


Une Fête avant d'être un dogme

Au VIe siècle, l'empereur byzantin Maurice instaure dans son empire, la fête de la Dormition de la Vierge Marie chaque année à la date du 15 août, semble-t-il pour commémorer l'inauguration d’une église dédiée à la Vierge montée au ciel, le Sépulcre de Marie.

La fête est introduite en Occident sous l'influence du Pape Théodore au VIIe siècle et prend le nom d'Assomption à partir du siècle suivant. Elle est citée sous ce nom en 813 par le Concile de Mayence parmi les fêtes d'obligation.
En 1637, le roi Louis XIII désirant un héritier consacre la France à la Vierge Marie et demande à ses sujets de faire tous les 15 août une procession dans chaque paroisse afin d'avoir un fils. Comme Louis XIV naît l'année suivante, la fête célébrée par le Vœu de Louis XIII prend une importance particulière en France.

En 1854 la proclamation du dogme de l’Immaculée conception entraîne de nombreuses pétitions à Rome pour que soit officiellement défini le dogme de l’Assomption. « De 1854 à 1945, huit millions de fidèles écriront en ce sens. Il faut y ajouter les pétitions de 1 332 évêques, de 83 000 prêtres, religieuses et religieux. Face à ces demandes répétées, Pie XII demande aux évêques du monde de se prononcer. 90 % des évêques y sont favorables. 10 % des évêques s’interrogent sur l’opportunité d’une telle déclaration ».

En 1950, Pie XII institutionnalise la fête mariale qui existe depuis quatorze siècles en proclamant la croyance en l'Assomption, dogme de l'Église Catholique : n'ayant commis aucun péché, Marie est directement montée au Paradis, avec son âme et aussi avec son corps car épargnée par le péché originel (dogme de l'Immaculée Conception), rien n'oblige son enveloppe charnelle à attendre la résurrection des corps à la fin des temps (Constitution Munificientissimus, 1er novembre 1950)




(A SUIVRE)


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Message par Invité Lun 16 Aoû 2021 - 18:41

Trois vidéos de l'Assomption sur la Vierge Marie tirée de l'Oeuvre de Maria Valtorta.



https://www.youtube.com/watch?v=5T4I-dcjNhc

La glorieuse Assomption de Marie | Partie 1/3 |
Visions de Maria Valtorta


Références vidéo :
→ "L' Évangile tel qu'il m'a été révélé" - Tome 10 - ch.650 - CEV


"Encore à moitié endormi, l’apôtre regarde autour de lui pour voir ce qui arrive. Il s’aperçoit que le lit est vide et que le toit est découvert. Il se rend compte qu’un prodige a eu lieu. Il sort en courant sur la terrasse et, comme par instinct spirituel, ou sur un appel céleste, il lève la tête, en protégeant ses yeux de sa main pour regarder, sans avoir la vue gênée par le soleil qui se lève. Et il voit. Il voit le corps de Marie, encore privé de vie, mais en tout pareil à celui d’une personne endormie, monter de plus en plus haut, soutenu par une troupe angélique. Comme pour un dernier adieu, un pan du manteau et le voile s’agitent, peut-être par l’action du vent produit par l’assomption rapide et le mouvement des ailes angéliques. Des fleurs, celles que Jean avait disposées et renouvelées autour du corps de Marie, et qui avaient dû rester dans les plis des vêtements, pleuvent sur la terrasse et sur le domaine de Gethsémani, pendant que les louanges puissantes de la troupe des anges se font toujours plus lointaines et donc plus légères."





https://www.youtube.com/watch?v=bPGNKUjICg0

La glorieuse Assomption de Marie | Partie 2/3 |
Enseignement de la Vierge Marie


Références vidéo :
→ "L' Évangile tel qu'il m'a été révélé" - Tome 10 - ch.651 - CEV


"Quand les anges m’enlevèrent de la petite maison, mon esprit était-il déjà revenu en moi ? Non. Mon esprit ne devait plus redescendre sur la terre. Il était en adoration devant le trône de Dieu. Mais quand la terre, l’exil, le temps et le lieu de la séparation d’avec mon Seigneur un et trine furent abandonnés pour toujours, mon esprit revint resplendir au centre de mon âme en tirant la chair de sa dormition. Il est donc juste de dire que je suis montée au Ciel en corps et en âme, non par mes propres moyens, comme ce fut le cas pour Jésus, mais avec l’aide des anges. Je me suis réveillée de cette mystérieuse et mystique dormition, je me suis levée, j’ai volé enfin parce que ma chair avait obtenu la perfection des corps glorifiés. Et j’ai aimé. J’ai aimé mon Fils retrouvé et mon Seigneur un et trine, je l’ai aimé comme c’est le destin de tous les éternels vivants."





https://www.youtube.com/watch?v=lb62TzuN6o8

La glorieuse Assomption de Marie | Partie 3/3 |
Enseignement de Jésus


Références vidéo :
→ "L' Évangile tel qu'il m'a été révélé" - Tome 10 - ch.651 - CEV


"Penché, de son côté, sur ce mystérieux repos, Jean, cet ange de la terre, veillait aussi la Mère qui allait le quitter. Et lorsqu’il s’aperçut qu’elle s’était éteinte, il la veilla encore pour que, à l’abri des regards profanes et curieux, elle reste même au-delà de la mort l’Epouse et Mère de Dieu immaculée, qui dormait, si belle et paisible. Une tradition rapporte que, dans l’urne de Marie ouverte par Thomas, on ne trouva que des fleurs. Pure légende. Aucun tombeau n’a englouti la dépouille de Marie, car, au sens humain, il n’y a jamais eu de dépouille de Marie, puisque Marie n’est pas morte comme meurt quiconque a eu la vie."



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