Les chiffres de l'Italie sont-ils surévalués ?
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Les chiffres de l'Italie sont-ils surévalués ?
Statistiques faussées ? Car si les méthodes de mesure sont différentes entre les pays, les chiffres ne sont pas comparables, donc les médias, volontairement ou non,trompent notre représentation de la réalité.
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: Les chiffres de l'Italie sont-ils surévalués ?
je retiens et résume :Isabelle-Marie a écrit:Statistiques faussées ? Car si les méthodes de mesure sont différentes entre les pays, les chiffres ne sont pas comparables, donc les médias, volontairement ou non,trompent notre représentation de la réalité.
- les chiffres de décès italiens par la seul coronavirus sont enflés et doivent être divisés par 8 ( ce qui ramène le taux de déces à des valeurs plus communes
- les chiffres de décès avancés par l OMS sont aussi enflés et devraient rejoindre les chiffres de Corée ( 0, 6% des malades testés comme tels et non pas 4% )
- la chloroquinine ( CQ) est connue comme l'antidote depuis deux ans en chine et donc dans le monde (La france bloque ce medicament avant les mesures de pandémie, nous le savions ... Israel annonce son vaccin aussitot la pandémie affichée )
En 2è partie , le chiffre 17 est évoqué , martelé par Trump et à rapprocher de la creation de la franc-maconnerie 1717, comme le chiffre stipulant que la tempête est commencée, annoncée par le chinois Q, il y a deux ans -qui disait "apres la tempête le soleil" (soleil de l'antechrist ?) - cette analyse montre une collusion Q - Trump : " vous serez "safe "
à correler au 17 mars , St Patrick , où le confinement est decrété en France
666 è jour apres la mise en place de la fete de Marie Mère de l'Eglise par le pape.
nota: le chiffre de CORONA est 666 https://www.youtube.com/watch?v=ssGiZ9wfa4k
Mais le 738 è c'est la Pentecote ....preparons nous à recevoir la Puissance de Dieu par Son Esprit en recevant aujourd'hui Vendredi 27 mars , l'indulgence pleinière depuis la Place st Pierre à 19 h ( voir Fil portant ce titre )
azais- MEDIATEUR
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Re: Les chiffres de l'Italie sont-ils surévalués ?
Cette semaine, je pare au plus pressé et je me focalise sur la situation en Italie. Comme le répète invariablement l’infectiologue Didier Raoult dans ses vidéos devenue virales, les pandémies sont une fiction. Ça n’existe pas, ça n’a jamais existé et ça n’existera sans doute jamais. Les flambées épidémiques sont écosystémiques et doivent s’analyser dans leur contexte biotopique. De quel(s) déséquilibre(s) relationnel(s) entre les êtres humains et leur environnement sont-elles la conséquence ? Concernant Wuhan, nous en sommes réduits au jeu des hypothèses.(...) Laissons la Chine de côté puisque, de toute façon, la maladie baptisée Covid-19 et attribuée au coronavirus SARS-Cov2 y a quasiment disparu. Ce qui n’est pas du tout le cas de l’Italie qui a enregistré presque le double de décès avec une population 22 fois inférieure.
Comment expliquer une telle tragédie ?
Deux observations s’imposent d’emblée. La première, c’est qu’il ne s’agit pas d’une crise frappant l’Italie dans son ensemble, ni même l’Italie du Nord qui compte ¾ des victimes. L’épicentre de l’épidémie italienne se situe plus précisément en Lombardie, région qui s’octroie 2/3 du fromage macabre. C’est impressionnant et ça s’est concrètement traduit par des crématoriums débordés et des colonnes de véhicules militaires emportant les cercueils vers d’autres cimetières que ceux de Bergame et Brescia. Images glaçantes qui parlent mieux que les statistiques. La deuxième chose à noter, c’est que les médias se trompent et nous trompent en affirmant sans cesse que « cette maladie concerne tout le monde ». Selon le rapport officiel du 17 mars de l’Instituto Superiore di Sanità, l’âge moyen des personnes décédées était de 79,5 ans (3 ans de moins que l’espérance de vie à la naissance) et seulement 0,8% des victimes n’avaient pas de pathologies antérieures. Un quart en avait une, un autre quart deux et la moitié trois. Dans l’ordre, les plus fréquentes étaient l’hypertension artérielle, le diabète et les cardiopathies ischémiques. Dans 20% des cas, il y avait présence d’un cancer et dans 13% des cas, celle d’une BPCO (Bronchopneumopathie Chronique Obstructive).
Deux observations s’imposent d’emblée. La première, c’est qu’il ne s’agit pas d’une crise frappant l’Italie dans son ensemble, ni même l’Italie du Nord qui compte ¾ des victimes. L’épicentre de l’épidémie italienne se situe plus précisément en Lombardie, région qui s’octroie 2/3 du fromage macabre. C’est impressionnant et ça s’est concrètement traduit par des crématoriums débordés et des colonnes de véhicules militaires emportant les cercueils vers d’autres cimetières que ceux de Bergame et Brescia. Images glaçantes qui parlent mieux que les statistiques. La deuxième chose à noter, c’est que les médias se trompent et nous trompent en affirmant sans cesse que « cette maladie concerne tout le monde ». Selon le rapport officiel du 17 mars de l’Instituto Superiore di Sanità, l’âge moyen des personnes décédées était de 79,5 ans (3 ans de moins que l’espérance de vie à la naissance) et seulement 0,8% des victimes n’avaient pas de pathologies antérieures. Un quart en avait une, un autre quart deux et la moitié trois. Dans l’ordre, les plus fréquentes étaient l’hypertension artérielle, le diabète et les cardiopathies ischémiques. Dans 20% des cas, il y avait présence d’un cancer et dans 13% des cas, celle d’une BPCO (Bronchopneumopathie Chronique Obstructive).
Il n’y a aucun cynisme à constater cette réalité. Si on pense, comme moi, que le virus n’est pas seul en cause, il reste cependant à élucider la surmortalité lombarde.
(....)Dans un de ses ouvrages majeurs (Némésis médicale, 1975), le penseur écologiste Ivan Illich montrait déjà que passé un seuil de développement, la médecine occidentale moderne devient « contre-productive », c’est-dire que ses inconvénients commencent à dépasser ses avantages, ses risques à peser plus lourds que ses bénéfices (....) l’art de guérir est ainsi devenu celui de nuire à la santé. S’il parvient paradoxalement à repousser l’âge de la mort, c’est au prix d’une morbidité (nombre de malades dans la société) plus répandue.
Vous me voyez venir ? J’insiste en effet sur la composante iatrogénique de la crise sanitaire italienne. Selon le rapport cité plus haut (*), 83 % des patients diagnostiqués, pris en charge et décédés ont reçu des antibiotiques, 52% des médicaments antiviraux et 27% de la cortisone. On peut bien sûr supposer que nombre d’entre eux ont reçu les trois traitements en même temps. Le rapport est muet sur l’usage d’antipyrétiques et d’anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) mais on peut également se douter que ces substances chimiques sapant le pouvoir d’auto-guérison sont employées sans retenue et sans discernement. Selon une de mes amies habitant là-bas et lisant la presse locale, la chloroquine fait aussi partie de l’arsenal médical d’au moins un hôpital. Or si elle est certainement peu nocive (le contraire se saurait puisqu’on l’emploie depuis plus de 70 ans), la molécule préconisée par le Dr Raoult n’est quand même pas un bonbon pour la toux. Au-delà d’1g par jour, elle peut mener à l’intoxication et celle-ci est fatale dans 20% des cas (Le Dr Raoult préconise 600mg/J). La mise sous oxygène ? Dans une infolettre précédente, je vous ai signalé que cette pratique était loin d’être anodine et qu’elle pouvait sérieusement léser les poumons. Mais savez-vous que la version supérieure de cette technique, le respirateur artificiel, nécessite d’endormir les patients ? L’anesthésie générale, ce n’est pas non plus un geste médical dépourvu de risque létal. En additionnant tous ces facteurs potentiellement iatrogènes, on obtient une explication non négligeable du désastre nord-italien. Toutefois,(...) la iatrogénie subie peu avant ou pendant les soins intensifs ne suffit certainement pas à expliquer l’ampleur du drame en Italie.
Vous me voyez venir ? J’insiste en effet sur la composante iatrogénique de la crise sanitaire italienne. Selon le rapport cité plus haut (*), 83 % des patients diagnostiqués, pris en charge et décédés ont reçu des antibiotiques, 52% des médicaments antiviraux et 27% de la cortisone. On peut bien sûr supposer que nombre d’entre eux ont reçu les trois traitements en même temps. Le rapport est muet sur l’usage d’antipyrétiques et d’anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) mais on peut également se douter que ces substances chimiques sapant le pouvoir d’auto-guérison sont employées sans retenue et sans discernement. Selon une de mes amies habitant là-bas et lisant la presse locale, la chloroquine fait aussi partie de l’arsenal médical d’au moins un hôpital. Or si elle est certainement peu nocive (le contraire se saurait puisqu’on l’emploie depuis plus de 70 ans), la molécule préconisée par le Dr Raoult n’est quand même pas un bonbon pour la toux. Au-delà d’1g par jour, elle peut mener à l’intoxication et celle-ci est fatale dans 20% des cas (Le Dr Raoult préconise 600mg/J). La mise sous oxygène ? Dans une infolettre précédente, je vous ai signalé que cette pratique était loin d’être anodine et qu’elle pouvait sérieusement léser les poumons. Mais savez-vous que la version supérieure de cette technique, le respirateur artificiel, nécessite d’endormir les patients ? L’anesthésie générale, ce n’est pas non plus un geste médical dépourvu de risque létal. En additionnant tous ces facteurs potentiellement iatrogènes, on obtient une explication non négligeable du désastre nord-italien. Toutefois,(...) la iatrogénie subie peu avant ou pendant les soins intensifs ne suffit certainement pas à expliquer l’ampleur du drame en Italie.
La semaine dernière, je mentionnais une étude américaine montrant que la vaccination anti-grippale favorise les infections à coronavirus. C’est une pièce importante à verser au dossier mais ça n’explique toujours pas la flambée lombarde. Ailleurs dans le pays et dans plein d’autres pays, ce vaccin inutile et dangereux est conseillé et injecté à de nombreux vieux de plus de 60 ans. Si la valence influenza était si délétère, ça se verrait davantage. ( ....) j’ai reçu, il y a deux jours, un article saisissant de Dominique Guillet. Pour ceux qui ne le connaissent pas, cet explorateur de l’univers végétal est le fondateur de l’association française Kokopelli, qui a mené avec succès le combat pour la liberté de commercialiser et d’échanger des semences non inscrites aux catalogues officiels. (...) Dans le long article qu’il a mis en ligne avant-hier et que vous pouvez lire en cliquant ici, le fouineur amateur (mais néanmoins très pro) révèle une information à mes yeux capitale : en janvier dernier, la Lombardie a été le théâtre d’une grande campagne de vaccination contre les méningocoques. Suite à une mini-épidémie de méningite bactérienne ayant impacté… 6 personnes (avec 2 décès), les autorités régionales ont en effet décidé de vacciner massivement et gratuitement la population. En quelques semaines, plus de 33.000 personnes ont reçu le vaccin. Hier, Dominique m’a envoyé une information supplémentaire tout aussi cruciale : comme vous pouvez le vérifier en cliquant ici, la campagne de vaccination était déjà en cours à l’automne 2019 ! Ce détail est essentiel parce c’est aussi en automne qu’est apparue en Lombardie une étrange épidémie de pneumonies bizarres nécessitant des examens radiologiques spéciaux.(....) cette séquence télévisée où le professeur Giuseppe Remuzzi, Directeur de l’Institut Mario Negri de Recherches Pharmacologiques de Milan, répond aux questions d’un journaliste plutôt énervé ...est passée le 22 mars sur CGTN, chaîne de télévision internationale… chinoise, sorte de Russia Today à la sauce Xi Jinping ! :
Comment se fait-il que cette nouvelle sensationnelle n’ait pas encore fait le buzz dans toutes les rédactions du globe ? Ce qui est très important à vérifier, c’est s'il y a un lien entre la vaccination et la multiplication de pneumonies atypiques en Italie. Vous en doutez ? La probabilité est pourtant très élevée. Parmi leurs effets secondaires très pervers, les vaccins ont en effet pour conséquence de modifier l’écologie microbienne. La nature ayant horreur du vide, la niche écologique devenue vacante par l’immunisation artificielle est immédiatement occupée par d’autres espèces de bactéries, plus insidieuses ou plus dangereuses. C’est ainsi que les épidémies de poliomyélite ont surgi dans la foulée de la vaccination massive contre la diphtérie, ou que de nouvelles formes d’hépatite (C,D, E, etc..) sont apparues en rançon des vaccinations contre les formes A et B. Ou encore que les méningites ont gagné en fréquence et en sévérité depuis qu’on les combat vaccinalement. Bien étudié, ce phénomène de « remplacement épidémique » a récemment fait l’objet d’une analyse par le Dr Michel de Lorgeril dans le 5ème livre de sa série « Vaccins et société », celui consacré aux méningites bactériennes. Dès janvier 2012, la revue Néosanté avait lancé l’alerte sur cette catastrophe écolo-sanitaire en publiant un dossier intitulé « Vaccins et microbes : les relations désastreuses », rédigé par notre collaboratrice française Françoise Joët, ex-présidente de l’ALIS (Association Liberté Information Santé). Cet article magistral et toujours actuel est en accès libre sur notre site et vous pouvez le consulter en cliquant ici . Que devrait-on faire maintenant que le suspect vaccin est identifié ? À mon sens, il faudrait d’urgence vérifier le statut vaccinal des décédés italiens et de leurs proches. Le vérifier aussi dans les autres régions (françaises, espagnoles…) où un nombre anormalement grand de graves pneumonies sont signalées. Certes, l’éventuelle corrélation ne va pas démontrer un lien de causalité. Et le cas échéant, le puissant lobby vaccinaliste investirait les médias à leur solde pour brandir l’explication habituelle de la « coïncidence temporelle » entre vaccinations et maladies. Mais qui serait encore dupe ? Qui croirait encore à la pertinence des dogmes pasteuriens ? Pour ma part, je lance un appel solennel à l’exploitation de cette piste potentielle. Et je compte sur vous pour faire un maximum de bruit en diffusant ce billet tous azimuts.… sans distanciation sociale.
Yves Rasir
(*) Très troublant : dans son dernier rapport du 20 mars, l’Institut Supérieur de la Santé italien ne détaille plus les traitements administrés aux patients. Vous avez dit omerta ?
azais- MEDIATEUR
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Re: Les chiffres de l'Italie sont-ils surévalués ?
azais a écrit:Cette semaine, je pare au plus pressé et je me focalise sur la situation en Italie. Comme le répète invariablement l’infectiologue Didier Raoult dans ses vidéos devenue virales, les pandémies sont une fiction. Ça n’existe pas, ça n’a jamais existé et ça n’existera sans doute jamais. Les flambées épidémiques sont écosystémiques et doivent s’analyser dans leur contexte biotopique. De quel(s) déséquilibre(s) relationnel(s) entre les êtres humains et leur environnement sont-elles la conséquence ? Concernant Wuhan, nous en sommes réduits au jeu des hypothèses.(...) Laissons la Chine de côté puisque, de toute façon, la maladie baptisée Covid-19 et attribuée au coronavirus SARS-Cov2 y a quasiment disparu. Ce qui n’est pas du tout le cas de l’Italie qui a enregistré presque le double de décès avec une population 22 fois inférieure.Comment expliquer une telle tragédie ?
Deux observations s’imposent d’emblée. La première, c’est qu’il ne s’agit pas d’une crise frappant l’Italie dans son ensemble, ni même l’Italie du Nord qui compte ¾ des victimes. L’épicentre de l’épidémie italienne se situe plus précisément en Lombardie, région qui s’octroie 2/3 du fromage macabre. C’est impressionnant et ça s’est concrètement traduit par des crématoriums débordés et des colonnes de véhicules militaires emportant les cercueils vers d’autres cimetières que ceux de Bergame et Brescia. Images glaçantes qui parlent mieux que les statistiques. La deuxième chose à noter, c’est que les médias se trompent et nous trompent en affirmant sans cesse que « cette maladie concerne tout le monde ». Selon le rapport officiel du 17 mars de l’Instituto Superiore di Sanità, l’âge moyen des personnes décédées était de 79,5 ans (3 ans de moins que l’espérance de vie à la naissance) et seulement 0,8% des victimes n’avaient pas de pathologies antérieures. Un quart en avait une, un autre quart deux et la moitié trois. Dans l’ordre, les plus fréquentes étaient l’hypertension artérielle, le diabète et les cardiopathies ischémiques. Dans 20% des cas, il y avait présence d’un cancer et dans 13% des cas, celle d’une BPCO (Bronchopneumopathie Chronique Obstructive).Il n’y a aucun cynisme à constater cette réalité. Si on pense, comme moi, que le virus n’est pas seul en cause, il reste cependant à élucider la surmortalité lombarde.(....)Dans un de ses ouvrages majeurs (Némésis médicale, 1975), le penseur écologiste Ivan Illich montrait déjà que passé un seuil de développement, la médecine occidentale moderne devient « contre-productive », c’est-dire que ses inconvénients commencent à dépasser ses avantages, ses risques à peser plus lourds que ses bénéfices (....) l’art de guérir est ainsi devenu celui de nuire à la santé. S’il parvient paradoxalement à repousser l’âge de la mort, c’est au prix d’une morbidité (nombre de malades dans la société) plus répandue.
Vous me voyez venir ? J’insiste en effet sur la composante iatrogénique de la crise sanitaire italienne. Selon le rapport cité plus haut (*), 83 % des patients diagnostiqués, pris en charge et décédés ont reçu des antibiotiques, 52% des médicaments antiviraux et 27% de la cortisone. On peut bien sûr supposer que nombre d’entre eux ont reçu les trois traitements en même temps. Le rapport est muet sur l’usage d’antipyrétiques et d’anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) mais on peut également se douter que ces substances chimiques sapant le pouvoir d’auto-guérison sont employées sans retenue et sans discernement. Selon une de mes amies habitant là-bas et lisant la presse locale, la chloroquine fait aussi partie de l’arsenal médical d’au moins un hôpital. Or si elle est certainement peu nocive (le contraire se saurait puisqu’on l’emploie depuis plus de 70 ans), la molécule préconisée par le Dr Raoult n’est quand même pas un bonbon pour la toux. Au-delà d’1g par jour, elle peut mener à l’intoxication et celle-ci est fatale dans 20% des cas (Le Dr Raoult préconise 600mg/J). La mise sous oxygène ? Dans une infolettre précédente, je vous ai signalé que cette pratique était loin d’être anodine et qu’elle pouvait sérieusement léser les poumons. Mais savez-vous que la version supérieure de cette technique, le respirateur artificiel, nécessite d’endormir les patients ? L’anesthésie générale, ce n’est pas non plus un geste médical dépourvu de risque létal. En additionnant tous ces facteurs potentiellement iatrogènes, on obtient une explication non négligeable du désastre nord-italien. Toutefois,(...) la iatrogénie subie peu avant ou pendant les soins intensifs ne suffit certainement pas à expliquer l’ampleur du drame en Italie.La semaine dernière, je mentionnais une étude américaine montrant que la vaccination anti-grippale favorise les infections à coronavirus. C’est une pièce importante à verser au dossier mais ça n’explique toujours pas la flambée lombarde. Ailleurs dans le pays et dans plein d’autres pays, ce vaccin inutile et dangereux est conseillé et injecté à de nombreux vieux de plus de 60 ans. Si la valence influenza était si délétère, ça se verrait davantage. ( ....) j’ai reçu, il y a deux jours, un article saisissant de Dominique Guillet. Pour ceux qui ne le connaissent pas, cet explorateur de l’univers végétal est le fondateur de l’association française Kokopelli, qui a mené avec succès le combat pour la liberté de commercialiser et d’échanger des semences non inscrites aux catalogues officiels. (...) Dans le long article qu’il a mis en ligne avant-hier et que vous pouvez lire en cliquant ici, le fouineur amateur (mais néanmoins très pro) révèle une information à mes yeux capitale : en janvier dernier, la Lombardie a été le théâtre d’une grande campagne de vaccination contre les méningocoques. Suite à une mini-épidémie de méningite bactérienne ayant impacté… 6 personnes (avec 2 décès), les autorités régionales ont en effet décidé de vacciner massivement et gratuitement la population. En quelques semaines, plus de 33.000 personnes ont reçu le vaccin. Hier, Dominique m’a envoyé une information supplémentaire tout aussi cruciale : comme vous pouvez le vérifier en cliquant ici, la campagne de vaccination était déjà en cours à l’automne 2019 ! Ce détail est essentiel parce c’est aussi en automne qu’est apparue en Lombardie une étrange épidémie de pneumonies bizarres nécessitant des examens radiologiques spéciaux.(....) cette séquence télévisée où le professeur Giuseppe Remuzzi, Directeur de l’Institut Mario Negri de Recherches Pharmacologiques de Milan, répond aux questions d’un journaliste plutôt énervé ...est passée le 22 mars sur CGTN, chaîne de télévision internationale… chinoise, sorte de Russia Today à la sauce Xi Jinping ! :Comment se fait-il que cette nouvelle sensationnelle n’ait pas encore fait le buzz dans toutes les rédactions du globe ? Ce qui est très important à vérifier, c’est s'il y a un lien entre la vaccination et la multiplication de pneumonies atypiques en Italie. Vous en doutez ? La probabilité est pourtant très élevée. Parmi leurs effets secondaires très pervers, les vaccins ont en effet pour conséquence de modifier l’écologie microbienne. La nature ayant horreur du vide, la niche écologique devenue vacante par l’immunisation artificielle est immédiatement occupée par d’autres espèces de bactéries, plus insidieuses ou plus dangereuses. C’est ainsi que les épidémies de poliomyélite ont surgi dans la foulée de la vaccination massive contre la diphtérie, ou que de nouvelles formes d’hépatite (C,D, E, etc..) sont apparues en rançon des vaccinations contre les formes A et B. Ou encore que les méningites ont gagné en fréquence et en sévérité depuis qu’on les combat vaccinalement. Bien étudié, ce phénomène de « remplacement épidémique » a récemment fait l’objet d’une analyse par le Dr Michel de Lorgeril dans le 5ème livre de sa série « Vaccins et société », celui consacré aux méningites bactériennes. Dès janvier 2012, la revue Néosanté avait lancé l’alerte sur cette catastrophe écolo-sanitaire en publiant un dossier intitulé « Vaccins et microbes : les relations désastreuses », rédigé par notre collaboratrice française Françoise Joët, ex-présidente de l’ALIS (Association Liberté Information Santé). Cet article magistral et toujours actuel est en accès libre sur notre site et vous pouvez le consulter en cliquant ici . Que devrait-on faire maintenant que le suspect vaccin est identifié ? À mon sens, il faudrait d’urgence vérifier le statut vaccinal des décédés italiens et de leurs proches. Le vérifier aussi dans les autres régions (françaises, espagnoles…) où un nombre anormalement grand de graves pneumonies sont signalées. Certes, l’éventuelle corrélation ne va pas démontrer un lien de causalité. Et le cas échéant, le puissant lobby vaccinaliste investirait les médias à leur solde pour brandir l’explication habituelle de la « coïncidence temporelle » entre vaccinations et maladies. Mais qui serait encore dupe ? Qui croirait encore à la pertinence des dogmes pasteuriens ? Pour ma part, je lance un appel solennel à l’exploitation de cette piste potentielle. Et je compte sur vous pour faire un maximum de bruit en diffusant ce billet tous azimuts.… sans distanciation sociale.
Yves Rasir
(*) Très troublant : dans son dernier rapport du 20 mars, l’Institut Supérieur de la Santé italien ne détaille plus les traitements administrés aux patients. Vous avez dit omerta ?
Ce qui signifierait que le vrai chiffre de décés du coronavirus en Italie ne serait pas 8 fois ( comme le disait opportunément radio quebec qui inugure ce FIL ) moins important que les 10.000 annoncés ces jours ci mais 08% de personnes fois ce chiffre :
80 décès en Italie sans pathologie antérieure
2500 avec une pathologie antérieure
5000 avec deux ou trois pathologies antérieures
sans parler de l'incidence des vaccins
.... voila qui change singlièrement la vision des choses :
nous serions en présence d'une euthanasie iatrogénique
a lire en complement : https://www.neosante.eu/vaccins-microbes-les-relations-desastreuses/
azais- MEDIATEUR
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Re: Les chiffres de l'Italie sont-ils surévalués ?
Atlantico.fr : Le village de Nembro, dans la province de Bergame en Italie, possède le taux d’infection au Covid 19 par rapport à sa population le plus élevé du pays. Bien que l’on ne connaisse pas exactement le nombre de malades, on attribue officiellement 31 décès causés par le coronavirus. Pourtant, dans des conditions habituelles, la municipalité de Nembro décompte une mortalité moyenne de 35 morts par an. Cette année, 158 personnes sont décédées. 123 personnes de plus qu’en temps normal.
Si on se réfère à cet article paru dans un journal italien, le nombre de morts liés au Covid 19 serait très largement sous-estimé par les modes de comptabilisation des gouvernements européens. Est-ce le cas? Peut-on savoir dans quelle mesure ?
Guy Samba : En effet, dans le cas de ce village, la différence entre les chiffres de la mortalité en temps normal et les chiffres de la mortalité actuelle est énorme. Elle ne peut être simplement due à un écart statistique. Les statistiques démographiques affirment généralement une certaine constante et les moyennes annuelles ne changent que lorsque des phénomènes extraordinaires se produisent. Dans le cas décrit ici, le nombre de décès anormaux par rapport à la moyenne annuelle habituelle que Nembro a enregistrée pendant la période considérée, est 4 fois plus élevé. Si l'on compare les décès survenus à la même période des années précédentes, l'anomalie est encore plus flagrante : un pic de décès "autres" apparaît en correspondance avec celui des décès officiels de Covid-19.On peut imaginer que ces décès en excès sont en grande partie des personnes âgées ou fragiles qui sont mortes chez elle ou dans des établissements résidentiels, sans avoir été hospitalisées et sans avoir été examinées pour vérifier qu'elles ont bien été infectées par le Covid-19.
Ces chiffres réalisés dans le village de Nembro peuvent également suggérer que les décès officiels pourraient être multipliés par 4 pour connaître l'impact réel du Covid-19 en Italie actuellement.
Stéphane Morisset : Pour ma part, je resterai prudent sur les chiffres de la mortalité due au Covid 19. Il faut garder à l’esprit que ce ne sont que des estimations. Les causes de mortalités sont toujours multi-factorielles: localisation, démographie, circulation, climat, facteurs de co-morbidités, mode de comptabilisation de la mortalité selon le pays, mouvements de population… Beaucoup de données restent encore à recouper afin de savoir si la surmortalité de ce village italien par exemple est causée directement ou indirectement par le coronavirus. Ce sont des informations que nous ne connaitrons vraisemblablement qu’à la fin de l’épidémie.
On peut cependant affirmer plusieurs choses: les chiffres de mortalité que nous connaissons actuellement ne concernent que les personnes qui ont été testées positives au coronavirus. On ne peut savoir à l’heure actuelle le nombre total de décès liés à l’épidémie, mais il est clairement sous estimé. On ne sait simplement pas à quel point.
Peut-on faire un parallèle avec la situation sanitaire en France? Cette méthode de comptabilité par comparaison du taux de mortalité moyen peut-elle être appliquée chez nous ?
Guy Samba : Un parallèle peut être fait, bien sûr, mais dans une certaine mesure. Plusieurs paramètres sont à prendre en compte avant de s’engager dans des affirmations chiffrées. Démographie moyenne, changements environnementaux, accidentalité … Mais prendre les données des différentes municipalités où il y a eu au moins 10 décès officiels dus au Covid-19, et de vérifier si elles correspondent à des décès réels comme suggéré dans l’article, est une bonne initiative. Face au faible nombre de prélèvements et de tests effectués en France, tant sur la population asymptomatique que post-mortem, nous avons besoin de données crédibles sur la réalité de la situation, afin de pouvoir la combattre plus efficacement.Stéphane Morisset : De nombreuses personnes en France sont décédées du coronavirus, en présentaient les symptômes, mais n’ont pas été testées post-mortem. Elles n’ont donc pas été comptabilisées.
Une surmortalité inhabituelle dans certaines régions peut également être liée au fait que les hôpitaux sont débordés dans les principaux pays touchés : l’Espagne, l’Italie, la France, ou l’Angleterre, ces cas commencent à se produire. Toutes ces personnes qui ne sont pas mortes du coronavirus, mais qui n’ont pas été prises en charge, et qui sont restées confinées ( les soins en réanimations étant focalisés sur les patients atteints de la maladie ), sont tous les morts indirects de l’épidémie. Ils doivent aussi être comptabilisés.
De plus, nous n’avons pas encore les chiffres des morts liées au Covid 19 dans les EHPADS. Dans ces endroits très ciblés, peut-être que les estimations seront plus justes pour connaître précisément la mortalité due au coronavirus. Mais va-t-on mobiliser du monde pour faire des tests au vu de la situation dans laquelle nous sommes aujourd’hui? Malheureusement je ne le pense pas.
François Bernon- Aime le Rosaire
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Re: Les chiffres de l'Italie sont-ils surévalués ?
Alerte: les équipes CBRN russes en Italie confirment une attaque biologique en cours qui n’est pas due au coronavirus
Les forces de défense CBRN (Chimique, biologique, radiologique et nucléaire) de la Fédération de Russie en Italie ont confirmé la thèse d’une attaque biologique qui n’est pas due au SRAS-nCov-2 mais à un autre vecteur. Le COVID-19 dont le vecteur existe est une diversion masquant l’usage d’une véritable bioarme.
https://francechretienne.forumactif.com/t1110-alerte-les-equipes-cbrn-russes-en-italie-confirment-une-attaque-biologique-en-cours-qui-nest-pas-due-au-coronavirus
Les forces de défense CBRN (Chimique, biologique, radiologique et nucléaire) de la Fédération de Russie en Italie ont confirmé la thèse d’une attaque biologique qui n’est pas due au SRAS-nCov-2 mais à un autre vecteur. Le COVID-19 dont le vecteur existe est une diversion masquant l’usage d’une véritable bioarme.
https://francechretienne.forumactif.com/t1110-alerte-les-equipes-cbrn-russes-en-italie-confirment-une-attaque-biologique-en-cours-qui-nest-pas-due-au-coronavirus
Maurice d'Elbée- Aime la Divine Volonté
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Re: Les chiffres de l'Italie sont-ils surévalués ?
Maurice d'Elbée a écrit:Alerte: les équipes CBRN russes en Italie confirment une attaque biologique en cours qui n’est pas due au coronavirus
Les forces de défense CBRN (Chimique, biologique, radiologique et nucléaire) de la Fédération de Russie en Italie ont confirmé la thèse d’une attaque biologique qui n’est pas due au SRAS-nCov-2 mais à un autre vecteur. Le COVID-19 dont le vecteur existe est une diversion masquant l’usage d’une véritable bioarme.
https://francechretienne.forumactif.com/t1110-alerte-les-equipes-cbrn-russes-en-italie-confirment-une-attaque-biologique-en-cours-qui-nest-pas-due-au-coronavirus
Quelles sont vos sources ?!
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: Les chiffres de l'Italie sont-ils surévalués ?
Le combat contre les diverses formes de manipulations. En Italie, les chiffres sont gonflés, d'autres facteurs ne sont pas pris en compte comme la pollution de l'eau en Lombardie. L'exemple des centres de test ou des hôpitaux dont on dit qu'ils sont pleins alors qu'en réalité (films à l'appui) c'est le contraire...comme chrétiens nous savons qui est l'auteur de toute la confusion actuelle
la couronne antidote :
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Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: Les chiffres de l'Italie sont-ils surévalués ?
On n'en sais RIEN.
La population Italienne est vieillissante avec de nombreux décès de personnes âgées las bas ce qui explique au moins en partie les chiffres.
Arrêtons de colporter des rumeurs....
La seule chose que l'on sait c'est que ceux de la Chine sont faux et sous-evalués. Plutôt de l ordre de 20 000 décès....
Rien d'étonnant pour un régime communiste totalitaire et menteur.
La population Italienne est vieillissante avec de nombreux décès de personnes âgées las bas ce qui explique au moins en partie les chiffres.
Arrêtons de colporter des rumeurs....
La seule chose que l'on sait c'est que ceux de la Chine sont faux et sous-evalués. Plutôt de l ordre de 20 000 décès....
Rien d'étonnant pour un régime communiste totalitaire et menteur.
Invité- Invité
Re: Les chiffres de l'Italie sont-ils surévalués ?
La courbe s'inverse, à confirmer.
Mea culpa de Bruxelles, mais il sera difficile de rétablir la confiance avec une Europe qui a montré une totale absence de solidarité
Mea culpa de Bruxelles, mais il sera difficile de rétablir la confiance avec une Europe qui a montré une totale absence de solidarité
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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