Il faut absolument continuer les messes malgré tout !

Chers amis, chers contacts, lors de mon message de remerciements à l’époque où je quittais le groupe DRESK, vous étiez énormément à avoir réagi, et à m’avoir lu jusqu’au bout. Voyons si ce message d’une importance plus forte, suscitera autant d’intérêt, et si vous partagerez en masse (ce que j’espère ! car il est temps que le monde entier prenne conscience de la façon dont nous sommes « parqués » et dont notre petit confort quotidien nous donne l’illusion d’une vie libre et équilibrée).

Voici donc un écrit sous lequel j’ai synthétisé l’essentiel de ce qui, je pense (ceci n’engage que moi, bien entendu, mais j’ai à l’appui des documents sur lesquels j’ai basé mes recherches, et qui corroborent parfaitement mes suspicions concernant la vague de pandémie à laquelle nous faisons face et ce malgré ce que pourrons dire certains chercheurs et médecins peu scrupuleux), devrait susciter un intérêt non négligeable.  J’ose ici dévoiler des éléments que certains auraient peur de divulguer au grand public, sous peine de « sanctions », de « représailles », ou de brimades. J’en prends la responsabilité.

Je pense qu’il ne s’agit là que de prémices, une phase « préparatoire » à quelque chose de beaucoup plus complexe, et qui nous dépassera tous d’ici les cinq à dix prochaines années.

Les détracteurs de la théorie du complot : vous n’êtes pas obligé de lire, vous pouvez quitter ce message dès à présent, le détruire ou l’ignorer, car la suite, qui paraît digne d’un film ou d’un roman de fiction, risque de vous agacer. Elle n’en demeure néanmoins pas si invraisemblable que cela…

Préambule :

La plupart des personnes non informées réagissent comme prévu, simplement parce qu’il est prouvé que la peur déclenche un rétrécissement de l’esprit, une baisse du QI, une simulation de l’égo de l’enfant qui cherche un adulte pour le sauver et une obéissance réflexive à une autorité perçue. Voici comment cette escroquerie se déploie :

Etape 1 : empoisonner la population délibérément pour créer une maladie qui n’existe pas et n’existera jamais naturellement.

Etape 2 : faire croire que la maladie (créée intentionnellement) est créée par quelque chose d’invisible, qui échappe au contrôle ou à la connaissance de la personne moyenne.

Etape 3 : créer un vaccin ou un médicament toxique qui a toujours eu pour but d’empoisonner davantage la population (et de l’empoisonner rapidement !)

Etape 4 : faire passer l’empoisonnement par le vaccin ou le médicament pour preuve que la maladie (qui n’a jamais existé de façon naturelle) est bien pire que prévu.

Etape 5 : augmenter l’empoisonnement initial, qui est commercialisé comme une fausse maladie, et augmenter également l’empoisonnement par le vaccin et les médicaments, pour commencer à « empiler » les corps.

Etape 6 : action à répéter autant de fois que possible sur une population non informée. Car tuer une population de cette façon, c'est-à-dire l’art de faire faire la queue aux gens pour se suicider avec du poison — connue sous le nom de méthode Soft Kill — est le seul moyen légal de s’assurer que de telles opération eugéniques peuvent être utilisées en masse et à la vue de tous.

Ainsi se déroule une escroquerie mise en place par les « apprentis sorciers » — qui n’ont d’autre but que le profit et le contrôle des humains, que la peur a habitué à obéir aux protocoles mis en place par les gouvernements, les financiers, et les LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES — et qui se répète et perdure sous différents noms, années après années (Corona, VIH, SRAS, Ebola, Vache folle etc etc…). Mais cela va plus loin … (attention, c’est ici que ça se corse, et qu’il faut frissonner).



Avant l’épisode de Covoid-19, le potentiel de la 5G pour les services médicaux à distance était largement théorique. Car les porteurs et praticiens parlaient de la perspective future de pratiquer des opérations chirurgicales à distance ou d’offrir des diagnostiques aux patients dans des régions éloignées. L’idée de l’utilisation des communications 5G pour renforcer la sécurité des praticiens dans des circonstances comme celle-ci, où les caractéristiques de transmission d’un virus restent floues, est assez récente, mais représente un test très pratique de la technologie sans fil à large bande passante. La technologie 5 G utilise largement le mécanisme pulsé.

Le mécanisme pulsé, qu’est-ce que c’est ?  

C’est une thérapie par champs électromagnétiques. Peu le savent, mais une nouvelle méthode progressivement étudiée en vue d’une mise en place pour l’inoculation des futurs nouveaux vaccins serait l’électroporation (appelée aussi électroperméabilisation), une technique microbiologique consistant à appliquer un champ électrique sur les membranes cellulaires qui sont ainsi déstabilisées, ce qui augmente la perméabilité membranaire. En clair, nos apprentis sorciers testent des impulsions électromagnétiques qui ouvrent les cellules, permettant l’injection d’ADN étranger. Et le lien est ici : c’est la même action que la technologie 5G utilise dans les ondes pulsées, et le virus Corona a supposément fait ses débuts en Chine dans une zone où cette 5G a été fortement déployée.

Alors, nage-t-on en plein délire ?? Pas vraiment, à mon grand regret.

Ce système d’électroporation, pris très au sérieux par certains professionnels, a été jugé dangereux par les biologistes moléculaires (qui déclarent que seul l’anticorps humain présent dans les gènes est sûr) car il pourrait entraîner la mort ou le cancer. Voici donc comment les généticiens utilisant les scientifiques trafiquent les éléments de base de notre existence.  Ce qui est inquiétant, c’est que le Pr Weiner, prétendument à l’origine de cette technique d’inoculation des vaccins par électroporation est un pionnier du VIH et que nous savons que, peu après que les vaccins contre la polio aient été donnés à des millions de personnes en Afrique, le VIH est apparu. Nos apprentis sorciers ont perfectionné l’art d’injecter de l’ADN animal ou aviaire dans les chromosomes humains. Ce qui altère notre ADN et provoque des hémorragies, de la fièvre, des cancers, et même … la mort.  

Petite rétrospective :

La zone de l’épicentre du virus Cvoid-19 (la province de Wuhan) est également celle où la 5G a été fortement déployée en 2019 (notons qu’un possible lien entre la 5G et un « faux virus » inquiétait déjà certains investigateurs avant 2019) avec plus de 10 000 stations de base. Ensuite, la société Huawei s’est mise à proposer d’aider à combattre le soi-disant virus avec ces mêmes stations de base 5G.

La zone de l’épicentre de la « maladie », dispose d’un laboratoire (le laboratoire national de biosécurité de Wuhan), le seul en Chine à être désigné pour l’étude des pathogènes dangereux (encore un hasard ?) Dans ce labo, les chercheurs peuvent isoler des cellules et injecter des cellules étrangères aux humains par le biais de vaccins. Petite parenthèse, une entreprise pharmaceutique  appelée Inovio vient de recevoir  9 millions de dollars pour mettre au point un vaccin contre le coronavirus, et ils prétendent avoir réussi à le faire en deux heures (vraiment ?? ) La société Inovio a été cofondée par le Dr David B. Weiner (ph.D. The Weiner Laboratory) qui a participé au vaccin contre le soi-disant virus Zika, et le Dr Joseph Kim (président de CEO et directeur d’Inovio pharmaceuticals). La technologie de l’ADN a été utilisée pour la première fois sur des porcs afin de les faire se reproduire à un plus jeune âge. Le Dr Kim a été financé par Merck et a réalisé un produit appelé PCV-2 (circovirus porcin) et il travaillait sur un médicament vétérinaire qui aiderait les porcs à échapper à une maladie de dépérissement (médicament évalué par le département de la sécurité intérieure et de la recherche animale de Plum Island, et ce plasma d’ADN pour les porcs a été approuvé en 2005, et en 2009, les vaccins contre la grippe porcine ont fait l’objet d’un dépôt de brevet). En 2009, la société du Dr Kim a déposé une demande auprès de la FDA pour commencer des essais sur des humains pour la grippe porcine. Dans son conseil d’administration, le Dr Kim compterait de nombreux membres de Merck, ils auraient créé le PVC-1 et PCV-2 (de l’ADN de porc). Plus tard, ces deux PVC ont été découverts dans des vaccins tels que le Gardasil, le Rota Teq et le Rotarix. Quelques années après avoir obtenu le brevet, on a découvert que le même ingrédient (PCV-2, donc ADN de porc) se trouvait dans le vaccin Rotarix de Merck (contre la diarrhée) et dans celui de GSK. Mais, comment le virus du porc peut-il apparaître comme par magie dans un vaccin contre la diarrhée ? On l’a forcément délibérément ajouté ! Ce qui est incroyable, c’est que même si les deux vaccins ont été suspendus, et qu’il s’est avéré que tous les vaccins depuis deux ans avaient été contaminés, la FDA les a suspendu pendant quelques mois seulement, avant de les ré-autoriser.

Où est le lien ? Patience, ça arrive ci-dessous :

On a, au début de l’épidémie Covoid-19, attribué le début de l’infection aux fruits de mer (cf marché de fruits de mer de Wuhan). Or il est établi depuis longtemps que les fruits de mer de la région sont nourris avec des déchets de porcs et que l’industrie porcine chinoise y est très concentrée. Le Pr Weiner n’est pas seulement un expert mondial des technologies de l’ADN, il est aussi un employé et un conseiller spécial de la FDA. Ce qui montre la profondeur de la corruption de cette industrie, lorsqu’un conseiller du supposé organisme de règlementation est aussi un producteur de vaccins sur lesquels il donne des conseils. La nouvelle méthode qu’il a mise au point, concernant l’administration de ses vaccins à ADN repose sur l’électroporation, à laquelle je faisais référence plus haut.

Weiner était très impliqué dans le vaccin Zika. Il semble qu’ils aient utilisé des moustiques génétiquement modifiés qui ont été irradiés et dont les gènes ont été altérés pour qu’ils ne puissent pas vivre jusqu’à l’âge adulte. Comment ?  Ils infectent une mouche avec un parasite, qui affecte alors une forte proportion d’insectes, et changent le sexe de beaucoup d’entre eux. L’introduction ensuite d’un antibiotique rend chaque progéniture mâle transgenre. Puis ils fabriquent des vaccins à partir de ces lignées cellulaires d’insectes, et ce qu’ils vont utiliser dans les vaccins contenant de l’ADN. Pourquoi donc ne l’utiliseraient-ils pas dans l’électroporation avec des gènes humains ? Les éléments sont alarmistes, et montreraient que nous sommes face à une entreprise fortement impliquée dans les expérimentations de « fausses pandémies » et de « faux virus » pendant de nombreuses années, qui a maintenant le feu vert pour produire le vaccin contre ce prétendument « faux virus » Corona.

Le Dr Weiner est conseiller de GSK, Pfizer et d’autres géants de l’industrie pharmaceutique, en plus d’être employé et conseiller spécial auprès de la FDA et du processus d’examen des subventions du NIH Institut National de la Santé. Il n’est donc pas étonnant de constater qu’une entreprise comme Inovio ait reçu une subvention de l’ordre de 28 millions de dollars de la part du NIH pour développer ses anticorps monoclonaux à base d’ADN génétiquement modifié. Ainsi que son nouveau procédé d’électroporation.

Si l’on récapitule :

En 2006, VGX fournissait des vaccins contre le VIH en Afrique. En 2008, VGX (qui appartient également à Inovio) avait conclu un accord pour la fabrication de plasmides d’ADN à usage humain. En 2009, Inovio a déposé une demande d’IND auprès de la FDA pour commencer des essais sur des humains avec un vaccin à base d’ADN pour le h5n1. Leur principal médicament contre la grippe porcine a été inauguré en 2009. En 2010, 8 plasmides différents  ont été produits dans le cadre d’une étude fournie par l’agence de réduction  des menaces, dépendante du département de la défense. En 2011, ils travaillent avec la sécurité intérieure sur la fièvre aphteuse. De nouvelles souches de la fièvre aphteuse ont commencé à apparaître en 2012 aux Etats-Unis. Dans le cadre d’un accord de recherche et de développement, ils ont également travaillé avec le département américain de la sécurité intérieure et le centre des maladies animales de Plum Island. Ils ont ensuite reçu le feu vert pour produire les vaccins Ebola mais aussi la nouvelle méthode d’administration (électroporation). Le conflit d’intérêt est flagrant. L’Institut Wistar, dont Weiner est vice-présdent de l’exécutif, a reçu 9 millions de dollars pour faire avancer la production d’un vaccin contre le coronavirus. Vaccin dont les bénéfices lui reviendront…

En octobre 2019, aurait eu lieu un exercice de pandémie portant sur un coronavirus provenant de porcs. Organisé par la fondation Bill Gates, cet événement aurait eu pour nom : Event201. Le but : déclencher un coronavirus provenant du porc et devenant une pandémie. Des peluches à l’effigie du coronavirus auraient même été distribuées à tous les participants de l’expérience, comme souvenir (désolé, à ce moment là de ma retranscription sur le traitement de textes, je me marre, mais je rigole presque jaune).

J’ai récemment pu voir dans une vidéo-reportage un extrait du brevet déposé en 2002, concernant cette expérience.



Tout ce qui est dévoilé ci-dessus est documenté par des liens qu’il vous faudra vérifier, bien entendu, mais cela pose de nombreuses interrogations. Le véritable danger se trouve-t-il dans le vaccin qu’ils vont finir par introduire de manière obligatoire ? Avec les marchés financiers qui sont en train de s’écrouler, conséquence directe de l’arrêt de la production chinoise, les masses sont sur le point de paniquer. Et, rappelons-le, la panique est très mauvaise conseillère. Comme écrit plus haut, la panique est toujours voulue pour précipiter les foules vers un chemin tracé par ceux qui tirent les ficelles. Faut-il refuser le vaccin annoncé pour ne pas se faire empoisonner ? Sans vouloir créer la crainte ou la psychose, je souhaite simplement ici faire réfléchir un maximum de personnes, car ce sont nos vies qui sont en jeu. On parle ici de vies humaines qui se comptent en milliards. À défaut de pouvoir faire quelque chose, faute de moyens, je pense que nous avons le droit de savoir ce qui se passe… et ce qui nous attend…
Rémy