Un fil rien que pour les bonnes nouvelles !

Oui.
Il y a des paroisses étonnantes.
Un curé regroupe autour de lui des jeunes issus de milieux musulmans.
Cela faisait la première page de "La Croix" du Vendredi 22 Mars,mais je ne parviens pas à la trouver sur le Web...
Si vous avez + de chance ou de savoir-faire,merci de la reproduire.

paxetbonum a écrit:Catherine Vautrin a assuré qu’elle ne toucherait pas à la clause de conscience des médecins qui ne souhaitent pas pratiquer d’IVG, tout en autorisant les sage-femmes à les réaliser « seules ».

Pour combien de temps ? L'esprit de ce texte au contraire, en sacralisant ainsi la toute-puissante liberté de la femme, vise à passer de façon traitresse à mon avis, par dessus la clause de conscience des médecins, et à faire de la médecine un pur instrument exécutoire de l'Etat.

"Inversion absolue des valeurs" disait un article du Salon Beige (ci-dessous). Depuis quand y a t-il un droit à donner la mort ?

De même, l'Hôpital fut autrefois une institution chrétienne mue par la charité, et avec toutes ces lois de mort, que va t-il devenir... La seule bonne nouvelle, ce serait que la demande cesse, et du côté médical (car que le veuille ou non l’État, le problème éthique, pour eux, se pose) et surtout du côté des mères enceintes, qui ont à lutter contre un entourage parfois, et une société hostile à l'accueil des enfants.    
 
https://lesalonbeige.fr/les-medecins-face-au-totalitarisme-de-lhotel-dieu-aux-camps-de-la-mort/

Vous avez raison.Il faudrait que le Corps médical fasse bloc et brandisse la bannière du serment d'Hyppocrate.

D'autres signes d'une nouvelle Pentecôte:


[size=32][size=32]Baptêmes d’adultes en forte hausse : enquête sur un phénomène inattendu[/size][/size]



Depuis dix ans, le nombre d’adultes demandant le baptême a plus que doublé en France. Un phénomène qui s’accélère encore ces dernières années, et qui surprend même l’institution catholique. Enquête sur ceux qui frappent à la porte de l’Église.

• Héloïse de Neuville et Marguerite de Lasa, 
  
• le 27/03/2024 à 17:08
  
  

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  15 avril 2017 : Baptême d'adulte, lors de la Vigile pascale. Egl. Saint Honoré d'Eylau à Paris (75), France.CORINNE SIMON / CIRIC
  
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Cela a commencé par une occasion manquée. Quand Élise était enfant, ses parents ont voulu la faire baptiser. Mais leur séparation a finalement repoussé le projet sine die. En grandissant, la jeune fille n’y a plus repensé. Jusqu’à sa première année de médecine, à Tours, où Élise a fait la connaissance d’une amie, Julie. « Elle était très croyante, pratiquante. Ça a attisé ma curiosité. »
Arrivée en deuxième année dans une ville différente, loin de son cercle proche et de son amie catholique, Élise se sent très seule et parle d’un « mal-être » qui la ronge. Elle se réfugie alors dans les églises, y trouve un apaisement. Au bout d’un certain temps, prenant son courage à deux mains, elle ose finalement parler à des paroissiens. Près de deux ans plus tard, elle fait partie des 7 135 adultescatéchumènes qui recevront en 2024, le baptême à Pâques.



Partout dans les diocèses de France, c’est l’étonnement face à la hausse continue des demandes de baptême ces dernières années. + 31 % par rapport à l’année dernière et + 120 % en dix ans. Face à ces chiffres exponentiels, les responsables de l’Église eux-mêmes paraissent pris de court. « Cela m’étonne à beaucoup d’égards parce qu’on ne peut pas dire que l’actualité de l’Église ces dernières années – marquée par les scandales de violences sexuelles – ait donné à qui que ce soit l’envie de la rejoindre. Cela semble aussi à contre-courant de toutes les dynamiques de l’Église de France, la baisse de la pratique, de la catéchèse… Il y a un phénomène fondamentalement à contretemps », reconnaît Mgr Bruno Valentin, évêque de Carcassonne.

Renouveau spirituel face à la « modernité angoissante »

Grâce à eux ou grâce à Dieu ? Les évêques ne peuvent que le constater : la plupart de ces nouveaux entrants n’arrivent pas par les canaux d’évangélisation traditionnels. « J’ai envie de dire – au risque de paraître béat – que ce qui se passe est de l’ordre du miracle », confie l’évêque d’Évreux, Mgr Olivier de Cagny. « Ce ne sont pas nos efforts missionnaires qui paient. On leur propose d’entrer par la porte, ils entrent par la fenêtre », reconnaît encore Mgr Pierre-Antoine Bozo, évêque de Limoges. Les accompagnants au baptême observent, eux, que les affaires de l’Église ne suscitent pas de questions chez les nouveaux venus : « En treize ans, je n’ai jamais eu une question sur les abus. Ils ne s’intéressent pas à l’institution, ce n’est pas leur sujet », décrypte Christophe Jeanteur, accompagnant au catéchuménat à Paris.
Pour cerner le profil de ces nouveaux fidèles, La Croix a mené une enquête auprès de nombreux diocèses. C’est d’abord le rajeunissement des profils qui se dégage. En 2024, plus des trois-quarts des baptisés avaient moins de 40 ans, 36 % ont entre 18 et 25 ans.

pax et bonum a écrit:Vous avez raison.Il faudrait que le Corps médical fasse bloc et brandisse la bannière du serment d'Hyppocrate.

D'autres signes d'une nouvelle Pentecôte:


[size=32][size=32]Baptêmes d’adultes en forte hausse : enquête sur un phénomène inattendu[/size][/size]



Depuis dix ans, le nombre d’adultes demandant le baptême a plus que doublé en France. Un phénomène qui s’accélère encore ces dernières années, et qui surprend même l’institution catholique. Enquête sur ceux qui frappent à la porte de l’Église.

• Héloïse de Neuville et Marguerite de Lasa, 
  
• le 27/03/2024 à 17:08
  
  

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  15 avril 2017 : Baptême d'adulte, lors de la Vigile pascale. Egl. Saint Honoré d'Eylau à Paris (75), France.CORINNE SIMON / CIRIC
  
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Cela a commencé par une occasion manquée. Quand Élise était enfant, ses parents ont voulu la faire baptiser. Mais leur séparation a finalement repoussé le projet sine die. En grandissant, la jeune fille n’y a plus repensé. Jusqu’à sa première année de médecine, à Tours, où Élise a fait la connaissance d’une amie, Julie. « Elle était très croyante, pratiquante. Ça a attisé ma curiosité. »
Arrivée en deuxième année dans une ville différente, loin de son cercle proche et de son amie catholique, Élise se sent très seule et parle d’un « mal-être » qui la ronge. Elle se réfugie alors dans les églises, y trouve un apaisement. Au bout d’un certain temps, prenant son courage à deux mains, elle ose finalement parler à des paroissiens. Près de deux ans plus tard, elle fait partie des 7 135 adultescatéchumènes qui recevront en 2024, le baptême à Pâques.



Partout dans les diocèses de France, c’est l’étonnement face à la hausse continue des demandes de baptême ces dernières années. + 31 % par rapport à l’année dernière et + 120 % en dix ans. Face à ces chiffres exponentiels, les responsables de l’Église eux-mêmes paraissent pris de court. « Cela m’étonne à beaucoup d’égards parce qu’on ne peut pas dire que l’actualité de l’Église ces dernières années – marquée par les scandales de violences sexuelles – ait donné à qui que ce soit l’envie de la rejoindre. Cela semble aussi à contre-courant de toutes les dynamiques de l’Église de France, la baisse de la pratique, de la catéchèse… Il y a un phénomène fondamentalement à contretemps », reconnaît Mgr Bruno Valentin, évêque de Carcassonne.

Renouveau spirituel face à la « modernité angoissante »

Grâce à eux ou grâce à Dieu ? Les évêques ne peuvent que le constater : la plupart de ces nouveaux entrants n’arrivent pas par les canaux d’évangélisation traditionnels. « J’ai envie de dire – au risque de paraître béat – que ce qui se passe est de l’ordre du miracle », confie l’évêque d’Évreux, Mgr Olivier de Cagny. « Ce ne sont pas nos efforts missionnaires qui paient. On leur propose d’entrer par la porte, ils entrent par la fenêtre », reconnaît encore Mgr Pierre-Antoine Bozo, évêque de Limoges. Les accompagnants au baptême observent, eux, que les affaires de l’Église ne suscitent pas de questions chez les nouveaux venus : « En treize ans, je n’ai jamais eu une question sur les abus. Ils ne s’intéressent pas à l’institution, ce n’est pas leur sujet », décrypte Christophe Jeanteur, accompagnant au catéchuménat à Paris.
Pour cerner le profil de ces nouveaux fidèles, La Croix a mené une enquête auprès de nombreux diocèses. C’est d’abord le rajeunissement des profils qui se dégage. En 2024, plus des trois-quarts des baptisés avaient moins de 40 ans, 36 % ont entre 18 et 25 ans.

Dans En quête d’esprit, Aymeric Pourbaix reçoit :

    Axelle, jeune baptisée
    Abbé Éric IBORRA, vicaire à la paroisse Saint-Roch à Paris
    Frère Jean-Thomas de BEAUREGARD, dominicain

 

https://lesalonbeige.fr/bapteme-dadultes-la-renaissance-de-paques/

Depuis dix ans, le nombre d’adultes demandant le baptême a plus que doublé en France. Un phénomène qui s’accélère encore ces dernières années, et qui surprend même l’institution catholique. Enquête sur ceux qui frappent à la porte de l’Église.
(...)

C'est sans doute un "effet secondaire" par réaction aux confinements et autres aberrations de toutes sortes que l'on a fait subir ces dernières années aux populations, et plus particulièrement en France. Celui-là ils ne l'avaient pas prévu ! En effet, à force de vouloir régner par l'absurde, il ne faut pas s'étonner que les gens commencent à se tourner vers les vraies valeurs qui donnent un sens à la vie.
Même si ce réveil des consciences semble encore un peu timide (une hirondelle ne fait pas le printemps), cela laisse espérer un monde meilleur pour les futures générations, à moins que ce soient les prémices de la Parousie.