Saint Jean Bosco (1815-1888) : songes prophétiques

Saint Jean Bosco (1815-1888) : songes prophétiques

Saint Jean Bosco (1815-1888) - le saint patron des éducateurs - a été gratifié de nombreux songes prophétiques. Parmi eux, celui "des trois blancheurs". En voici le récit :
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"J'ai vu une grande bataille sur la mer : le navire de Pierre, piloté par le Pape et escorté de bateaux de moindre importance, devait soutenir l'assaut de beaucoup d'autres bâtiments qui lui livraient bataille. Le vent contraire et la mer agitée semblaient favoriser les ennemis.

Mais au milieu de la mer, j'ai vu émerger deux colonnes très hautes : sur la première, une grande Hostie – l'Eucharistie – et sur l'autre (plus basse) une statue de la Vierge Immaculée avec un écriteau : Auxilium christianorum.

Le navire du Pape n'avait aucun moyen humain de défense. C'était une sorte de souffle, qui provenait de ces deux colonnes, qui défendait le navire et réparait aussitôt tous les dégâts.
La bataille se faisait toujours plus furieuse; le Pape cherche à se diriger entre les deux colonnes, au milieu d'une tempête de coups.

Tandis que les armes des agresseurs sont en grande partie détruites, s'engage une lutte corps à corps. Une première fois, le Pape est gravement blessé, mais ensuite il se relève; puis une seconde fois… et cette fois il meurt tandis que les ennemis exultent.

Le nouveau Pape, élu immédiatement après, reprend la barre et réussi à atteindre les deux colonnes, y accrochant avec deux chaînes le navire, qui est sauvé, tandis que les bateaux ennemis fuient, se détruisent réciproquement, et coulent".
http://edifice.over-blog.com/pages/Saint_Jean_Bosco_18151888_songes_prophetiques-3292111.html

31 janvier 2013 : Fête à St-Jean Bosco

St-Jean Bosco Fils d’un couple d’agriculteurs de la région de Turin (Italie), il devient orphelin de son père dès l'âge de 2 ans. Pour aider sa mère à élever la famille, il présente des numéros dans les cirques et les foires.

Plus tard, il continue de travailler en même temps qu'il étudie au collège et au séminaire. En 1835, il entre au séminaire de Turin et si ans plus tard, il est ordonné. Il rejoint ensuite l’institut Saint-François, dirigé par son ancien confesseur, don Cafasso, puis il commence sa carrière d’enseignant dans les orphelinats et les hôpitaux.

En 1844, il devient directeur de l’hospice Sainte-Philomène. Sa mère vient ensuite le rejoindre et ils partagent ensemble un petit appartement, tandis qu’il met graduellement sur pied un nouvel internat. Sa mère étant décédée en 1856, il fonde l’année suivante une nouvelle communauté religieuse (les salésiens), qui sera bientôt complétée par la congrégation des sœurs de Marie Auxiliatrice.

Au cours des années suivantes, il fonde plusieurs nouveaux collèges et oratoires en divers lieux d’Italie. En 1883, alors qu’il est déjà âgé, il effectue un voyage en France, où il reçoit un accueil très chaleureux. Saint-Jean Bosco est également l’auteur d’une soixantaine d’ouvrage et de nombreux miracles lui sont attribués. Il est béatifié par Pie XI en 1929 et canonisé cinq ans plus tard (1815-1888)