Un "petit Jésus" de cire de Noël qui n'est pas trop dérangeant...
Un "petit Jésus" de cire de Noël qui n'est pas trop dérangeant...
Et si on ne fêtait pas Noël...
Noël s'en vient et encore une fois cette année, on se prépare à la fête sans trop savoir ce qu'on célèbre vraiment.
Nos quartiers s'illuminent, nos maisons se parent de décorations de toutes sortes, les boutiques et les magasins font leur chiffre d'affaires, à la télé et à la radio on entend des airs traditionnels du temps des Fêtes et nos églises se préparent à leur spectacle annuel de la messe de minuit célébrée plutôt à 20h ou 22h.
D'aucuns diront que Noël, c'est la fête chrétienne de la naissance de Jésus. C'est sans doute vrai Mais dans quel sens ?
Les premiers chrétiens ne connaissaient pas cette fête et l'évangéliste Marc semble ignorer complètement la tradition entourant la naissance et l'enfance de Jésus, puisque son évangile commence par le baptême de Jésus dans le Jourdain. Peut-on être chrétien sans fêter Noël ?
A l'époque de Marc et des autres évangélistes, il semble que oui car ce qui est premier dans la foi chrétienne, c'est Pâques, la résurrection du Seigneur cela précède tout l'Évangile ça vient avant Noël... Ca vient même avant la vie de Jésus de Nazareth.
Alors, pourquoi fêter Noël ?
Après l'événement pascal, c'est-à-dire la mort résurrection du Christ, la réflexion théologique s'est développée peu A peu dans l'Église, pour dire la transformation que cet événement a opérée non seulement sur ce qui vient après, l'Église, mais aussi sur ce qui vient avant, la vie de Jésus de Nazareth.
C'est donc les yeux fixés sur la croix du vendredi saint que nous pouvons célébrer Noël.
C'est parce que Jésus est mort comme un vulgaire bandit, dans une extrême pauvreté, rejeté par les uns et ignore par les autres, que Luc a pu le faire naître dans une mangeoire et que les bergers, les marginaux de la société israélite d'alors, ont été les premiers à lui rendre visite.
C'est parce que Jésus a été ressuscite par Dieu sur la croix du vendredi saint et reconnu comme Messie et Seigneur que Matthieu et Luc le font naître à Bethléem et que Matthieu le fait visiter par des étrangers. Et on pourrait continuer.. (...)
Nous, chrétiens du XXe s., nous devons célébrer Noël non seulement à partir de l'expérience de foi des premiers chrétiens qui s'exprime à travers les écrits évangéliques du premier siècle, mais aussi en tenant compte de l'expérience chrétienne qui s'exprime dans la longue tradition ecclésiale celle-ci n'a pas la prétention de décrire la matérialité de la naissance de Jésus, mais bien de dire sa foi dans cette naissance, relue à la lumière de Pâques.
Noël, ce n'est pas la fête du petit Jésus bonbon ou encore des enfants, comme semblent nous l'imposer nos sociétés commerciales modernes. Noël, c'est la fête de la grande pauvreté de Dieu qui se dit dans le dépouillement le plus total, par la pauvreté des personnages : Marie, Joseph, L'enfant, les bergers... et par le dénuement des lieux : une mangeoire d'animaux, une grotte, le bœuf et l'âne...
Noël, c'est la fête des pauvres, des marginalisés, des rejetés, des opprimés, des exploités, des poqués, des maganés, des mal-aimés.
Noël c'est une histoire d'amour d'un Dieu follement épris des blesses de la vie.
Malheureusement, cette histoire racontée de mille et une manières, les siècles l'ont quelque peu déformée pour en faire une histoire à l'eau de rose qui ne dérange plus personne.
Et si on ne fêtait pas Noël, on finirait par oublier que derrière le folklore et tout le faste de la fête, cette histoire d'amour continue de se raconter et n'est comprise que par ceux et celles qui savent reconnaître leur pauvreté.
Bon Noël !
Par Raymond Gravel prêtre
(L'original de ce texte a été publié dans Le Devoir, le 20 décembre 1996)
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25726
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Un "petit Jésus" de cire de Noël qui n'est pas trop dérangeant...
N'oublions pas :
*
Noël, ce n'est pas la fête du petit Jésus bonbon ou encore des enfants, comme semblent nous l'imposer nos sociétés commerciales modernes. Noël, c'est la fête de la grande pauvreté de Dieu qui se dit dans le dépouillement le plus total, par la pauvreté des personnages : Marie, Joseph, L'enfant, les bergers... et par le dénuement des lieux : une mangeoire d'animaux, une grotte, le bœuf et l'âne...
Noël, c'est la fête des pauvres, des marginalisés, des rejetés, des opprimés, des exploités, des poqués, des maganés, des mal-aimés.
Noël c'est une histoire d'amour d'un Dieu follement épris des blesses de la vie.
"Noël c'est une histoire d'amour d'un Dieu follement épris des blesses de la vie"
Merci Gilles
Fraternellement unis par le Christ , Né parmi les hommes , Mort et Réssucité pour le Salut de l' humanité
*
Gloire à Dieu, paix aux hommes,
Joie du ciel sur la terre !
Pour tes merveilles, Seigneur Dieu,
Ton peuple te rend grâce
Ami des hommes, sois béni
Pour ton règne qui vient
A toi les chants de fête
Par ton Fils bien-aimé, dans l'Esprit.
Sauveur du monde, Jésus-Christ,
Écoute nos prières
Agneau de Dieu, vainqueur du mal,
Sauve-nous du péché !
Dieu saint, splendeur du Père,
Dieu vivant, le Très-Haut, le Seigneur
Jésus , Né pour apporter la Lumière aux hommes
Maud
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
- Messages : 14722
Localisation : France
Inscription : 16/01/2010
Re: Un "petit Jésus" de cire de Noël qui n'est pas trop dérangeant...
Merci pour ton appréciation de cet article de l'abbé Raymond Gravel.
Voici un autre très beau texte qui devrait plaire à tous...
Le petit Jésus de Noël est grand !
Nous avons la mauvaise habitude, -- c'est du moins ce que je pense --, de faire un usage fréquent de diminutifs. Par exemple, au restaurant comme dans nos maisons, on se fait souvent demander : « Voulez-vous un bon p'tit café?... et un p'tit dessert avec ça ? ». Et si j'en voulais un gros ? Et puis il y a le p'tit gars de telle place, la p'tite prière avant la réunion, le p'tit mot de remerciement et toutes sortes d'autres p'tites choses. La miniaturisation s'étend aussi au domaine religieux avec le « p'tit Jésus » qui attire des foules à chaque fête de Noël. Parler du p'tit Jésus est peut-être charmant, mais c'est oublier que deux évangélistes, Marc et Jean, ont ignoré la petite enfance de Jésus tandis que les deux autres, Matthieu et Luc, tout en parlant de sa naissance, l'ont fait grandir rapidement. En ce temps de Noël où la liturgie nous fera entendre la plupart des récits de l'enfance de Jésus, jetons un « p'tit coup d'œil » sur les récits de l'Évangile selon saint Luc.
Un regard rétrospectif
Les récits de l'enfance de Jésus apparaissent en même temps que l'on proclame la Bonne Nouvelle du Christ ressuscité. Ils répondent aux questions des premiers chrétiens qui voulaient en savoir davantage sur les origines de Jésus, lui qui, par la résurrection, fut révélé Christ et Seigneur. C'est donc à la lumière de l'identité du Ressuscité qu'il faut comprendre le discours que l'on tient sur sa naissance. Il en est de Jésus comme de tout autre être humain dont la naissance et l'enfance deviennent dignes d'intérêt à cause des œuvres accomplies durant la vie adulte. Le récit de saint Luc n'est rien de moins que celui de la venue dans le monde du Ressuscité. Le « p'tit Jésus », malgré les apparences, est déjà grand quand il vient au monde. Il est grand de la gloire de Dieu qui l'a relevé d'entre les morts. Il est déjà le premier-né de la multitude des enfants que Dieu va se donner en attirant à lui les humains qui rencontreront son Fils sur les chemins de leur vie.
Le ciel tombe sur terre
À partir de la Résurrection, la Bonne Nouvelle est la personne même du Christ Jésus. Pour Luc, cette Bonne Nouvelle a fait ses premiers pas sur la terre des hommes lors de la naissance de Jésus. L'événement fait partie de l'histoire de l'humanité, bien que Luc n'ait pas la même notion d'exactitude historique que nous pouvons avoir de nos jours. C'est par un vague « En ce temps-là » que Luc situe la naissance de Jésus à l'époque de l'empereur Auguste qui gouverna le monde connu entre 29 avant et 14 après Jésus Christ. Quel contraste entre Jésus, né à Bethléem, un bourg obscur d'une dérisoire région de l'Empire, et Auguste qui règne, depuis Rome, sur un empire immense. D'ailleurs Jésus n'est pas encore né que, à travers ses parents, il est soumis au pouvoir politique qui exige un recensement. Le « p'tit Jésus » se fait déjà inscrire sur la « liste électorale ». Et dans le ventre de sa mère, il commence à traverser le pays où il circulera plus tard en proclamant de village en village la Bonne Nouvelle.
Toujours à propos de l'empereur, son nom civil est Octave. Luc le désigne plutôt par son titre divin Auguste. D'après une inscription datant de l'an 7 et découverte dans la ville de Priène, la naissance du dieu Auguste avait été saluée comme le commencement des bonnes nouvelles. Cet empereur avait réussi à établir la paix dans l'empire (la pax romana), parfois au prix de la violence. Au pouvoir dominateur de l'empereur sur un royaume terrestre, Luc oppose, dans le dénuement de la crèche, l'avènement de la paix véritable et la naissance du règne de Dieu fondé sur l'amour et le service. La gloire de Dieu, c'est de voir les humains vivre dans la paix et la communion avec lui et entre eux, sur toute la surface de la terre.
C'est toujours aujourd'hui...
En célébrant la venue du Fils de Dieu, durant ces fêtes de Noël, c'est pour nous que l'aujourd'hui de Dieu se glisse dans la trame de nos jours. Le « p'tit Jésus » a beaucoup grandi depuis 2000 ans. Il est le Ressuscité qui frappe aujourd'hui à notre porte et qui, comme autrefois, cherche l'hospitalité dans notre vie personnelle comme dans la vie de l'Église. Comme au temps de sa venue à Bethléem, il conserve ce « p'tit côté » dérangeant qui opère toutefois de grands changements si nous lui ouvrons la maison de notre vie. Et pourquoi ne serait-ce pas aujourd'hui ?
Que la Bonne Nouvelle de l'amour de Dieu, dont Jésus est le révélateur, vous comble de joie et vous encourage à partager, avec vos proches et vos amis, vos rêves de Paix et de Justice, d'Amour et de Fraternité, pour que l'humanité devienne, au XXIe siècle, le plus beau fleuron de l'univers.
Yves Guillemette, prêtre
Directeur du Centre biblique
Diocèse de Montréal
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25726
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Un "petit Jésus" de cire de Noël qui n'est pas trop dérangeant...
Et donc ne pas tomber dans une habitude...
Merci Gilles pour l'article.
Re: Un "petit Jésus" de cire de Noël qui n'est pas trop dérangeant...
Oui, ne pas tomber dans l'habitude.
Nous adorons Jésus comme Roi des rois et Seigneur des seigneurs ! Il siège maintenant à la droite de Dieu.
Fraternellement...
Gilles.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25726
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Un "petit Jésus" de cire de Noël qui n'est pas trop dérangeant...
"Petit Jésus " et "Père Noël"...
Chaque année, en décembre, la popularité de quelques personnages mythiques remonte en flèche: au début nous avions Saint-Nicolas, ensuite, nous avons eu aussi le "Petit Jésus" et pour faire bonne mesure, nous avons entre deux le "Père Noël". Nous sommes bien pourvus et nous ne manquons de rien.
"Père Noël" et "Petit Jésus" tiennent la vedette dans les poésies et les chansons. On les trouve aussi très répandus dans le monde commercial et religieux. Ils se partagent les zones d'influence pour ne pas trop se marcher sur les pieds. Le Père Noël est surtout dans les magasins, le "Petit Jésus" sous le sapin, dans une crèche.
Cet enfant suave, sorti tout droit d'un Bethléhem poétisé, aseptisé et parfumé, n'a pratiquement rien à voir avec le vrai Jésus, le Fils de Dieu. Le seul rapport est dans l'emprunt du nom. Quant au sens véritable, quelle dégénérescence.
Alors que la nuit de la nativité fut le commencement d'un drame sans précédent, le drame de l'amour qui se donne, le Noël de nos jours est plutôt une comédie où s'étale l'égoïsme.
Comment les choses en sont-elles arrivées là? Pourquoi "Petit Jésus" s'impose-t-il pareillement? Parce qu'il est l'œuvre de l'homme créée pour servir les intérêts de l'homme. "Petit Jésus" est donc fait sur mesure. Et, pour ne pas trop déranger, il est petit et silencieux, et il le reste. S'il est en plâtre ou en bois, on le range dans une armoire jusqu'à l'année suivante. Il est bien commode ce "Petit Jésus" qui embellit vos fêtes, vous donne le sentiment de l'avoir pour vous tout seul puisque c'est votre Jésus à vous, celui que vous avez acheté ou fabriqué et il vous procure le sentiment d'avoir pensé au vrai Jésus.
On en veut du "Petit Jésus" parce qu'on en fait ce qu'on veut. Mais lui, il ne peut rien: ni grandir, ni parler, ni aimer, ni sauver.
Le vrai Jésus est tout autre. Il a été petit, mais Il a grandi. Bébé quelques mois, enfant quelques années, puis adolescent et homme comme chacun de nous. Dieu a pris soin de confier à la terre, dans le corps délicat et fragile d'un nourrisson, son Fils unique et bien-aimé. Un très grand risque… si près d'Hérode. Une fois homme, Il a parlé. Ce qu'Il a dit était même rarement au goût du jour.
C'est vrai qu'à la fin de sa vie, Il s'est laissé acheter pour trente pièces d'argent, s'est laissé "manipuler" sans ouvrir la bouche, semblable à une brebis muette devant ceux qui la tondent. Mais ce qui s'est passé alors n'était pas laissé à la fantaisie des hommes. C'était afin que s'accomplisse le plan de Dieu pour le salut de l'humanité. Et sur la croix, après avoir expié nos péchés, Il a ouvert la bouche, une fois de plus et a dit: "Tout est accompli".
Par la résurrection, Dieu L'a déclaré avec puissance Sauveur et Seigneur. Mais Il a été rejeté des hommes. Au fil des siècles, ils n'ont reconnu en Lui qu'un personnage de tradition. Ils l'ont relégué au rang de décor, de toile de fond de leurs fêtes colorées et pittoresques mais si éloignées de la réalité qu'elles prétendent rappeler!
Qu'en cette occasion des Fêtes, nous sachions que Jésus-Christ ne se laisse ni acheter, ni dorloter. Il ne sert plus mais Il est servi. Il est redevenu le Maître qu'Il a toujours été. Il parle avec l'autorité de Celui qui règne au-dessus de toutes les créatures. Sa Parole et sa présence sont redoutables. Il ouvre et ferme la marche. Il bouscule, Il dérange, Il exige, Il brise, Il courbe à ses pieds sans cesser d'aimer. Son joug est doux et son fardeau léger. Il est merveilleux et redoutable tout à la fois l'Enfant de Bethléhem.
À vous qui, en cette période de fin d'année, voulez le fêter, Il demande que vous Lui ouvriez votre cœur. Il se veut votre invité. Il attend que vous reconnaissiez en Lui Celui qui s'est chargé de vos péchés afin de vous réconcilier avec Dieu. Aujourd'hui même, vous pouvez Lui dire "Jésus, je me donne à Toi, sois mon Sauveur, mon Dieu, mon Roi". Et vous connaîtrez la joie du pardon et de la paix.
Faites grandir le "Petit Jésus" que vous vous êtes fait. Il n'a pas besoin d'être pris dans vos bras, Il veut vous prendre, Lui, dans les siens! Jésus-Christ le Seigneur venu une première fois dans l'abaissement, reviendra bientôt dans la gloire. Vivons dans la perspective de son prochain retour.
En Lui, Avec Lui, Joyeuses Fêtes!
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25726
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Un "petit Jésus" de cire de Noël qui n'est pas trop dérangeant...
Noël, c'est la fête de la grande pauvreté de Dieu qui se dit dans le dépouillement le plus total, par la pauvreté des personnages : Marie, Joseph, L'enfant, les bergers... et par le dénuement des lieux : une mangeoire d'animaux, une grotte, le bœuf et l'âne...
Noël, c'est la fête des pauvres, des marginalisés, des rejetés, des opprimés, des exploités, des poqués, des maganés, des mal-aimés.
Noël c'est une histoire d'amour d'un Dieu follement épris des blesses de la vie.
Oui , Jésus s'est rendu pauvre pour nous enrichir de sa pauvreté.
Heureux les pauvres en esprit , le royaume de Dieu est à eux.
Quelle contraste avec ce monde de consommation dans certainS pays.
Nous pouvons nous poser la question.
A la fête de Noël qui est vraiment le riche?
Cordialement dans le Christ-Roi Maitre des nations
l43275- Combat l'antechrist
- Messages : 2202
Inscription : 15/05/2012
Re: Un "petit Jésus" de cire de Noël qui n'est pas trop dérangeant...
lacroixlys a écrit:Merci GillesNoël, c'est la fête de la grande pauvreté de Dieu qui se dit dans le dépouillement le plus total, par la pauvreté des personnages : Marie, Joseph, L'enfant, les bergers... et par le dénuement des lieux : une mangeoire d'animaux, une grotte, le bœuf et l'âne...
Noël, c'est la fête des pauvres, des marginalisés, des rejetés, des opprimés, des exploités, des poqués, des maganés, des mal-aimés.
Noël c'est une histoire d'amour d'un Dieu follement épris des blesses de la vie.
Oui , Jésus s'est rendu pauvre pour nous enrichir de sa pauvreté.
Heureux les pauvres en esprit , le royaume de Dieu est à eux.
Quelle contraste avec ce monde de consommation dans certainS pays.
Nous pouvons nous poser la question.
A la fête de Noël qui est vraiment le riche?
La vrai Richesse nous est donnée gratuitement!
Merci Gilles pour le fil
Audifax- Combat avec l'Archange Michel
- Messages : 1166
Inscription : 06/06/2011
Re: Un "petit Jésus" de cire de Noël qui n'est pas trop dérangeant...
pax et bonum- Avec les anges
- Messages : 7406
Localisation : france-sud-est
Inscription : 10/03/2007
» apportez le "petit Jésus" pour le Saint Noël car Je le bénirai..
» « Cher petit Jésus » : l’émouvante lettre d’un petit garçon retrouvée 82 ans après
» Un petit Kiwi blanc est né...trop mignon!
» Amiens bannit Noêl , trop catho !