PROTÉGÉE PAR LES ANGES...

PROTÉGÉE PAR LES ANGES

Une adolescente de 17 ans est allée rendre visite à des amis dans la soirée et le temps s’est vite écoulé pendant que chacune d’elles racontait ses expériences passées. Elle a fini par rester plus longtemps que prévu, et a dû marcher seule pour se rendre à la maison. Elle n’avait pas peur parce que c’était une petite ville et elle habitait à quelques rues de là. Comme elle marchait le long de la rue sous de grands arbres, Diane demanda à Dieu de la garder de tout danger.

Lorsqu’elle atteint le couloir qui était un raccourci vers sa maison, elle a décidé de l’emprunter. Cependant, à mi-chemin dans l’allée, elle a remarqué un homme debout au bout de l’allée, comme s’il l’attendait. Elle commença à s’inquiéter et commença à prier, demandant à Dieu sa protection. Instantanément un sentiment réconfortant de calme et de sécurité l’enveloppa, elle sentit une présence autour d’elle.

Quand elle atteint la fin de l’allée, elle dépassa l’homme et arriva à la maison en toute sécurité. Le jour suivant, elle lu dans le journal qu’une jeune fille avait été violée dans la même allée juste vingt minutes après qu’elle soit passée. Se sentant dépassée par cette tragédie, et par le fait que ça aurait pu être elle, elle se mit à pleurer. Remerciant le Seigneur de l’avoir gardée et aussi pour aider cette jeune fille, elle décida de se rendre à la police.

Elle sentait qu’elle pouvait reconnaître l’homme, alors elle leur expliqua son histoire. La police lui demanda si elle serait prête à parcourir une liste d’individus pour voir si elle pouvait identifier ce malfaiteur, ce qu’elle accepta et finit par identifier l’homme qu’elle avait vu dans la ruelle la nuit précédente. Quand l’homme entendit qu’il avait été identifié, il tomba immédiatement en sanglot et avoua son méfait. L’officier remercia Diane pour son courage et lui demanda si elle avait autre chose à dire.

Elle a demandé si elle pouvait poser une question à l’homme. Diane était curieuse de savoir pourquoi il ne l’avait pas attaquée. Lorsque le policier lui a demandé, il a répondu : « Parce qu’elle n’était pas seule, elle avait deux grands hommes qui marchaient de chaque côté d’elle ». C’est bien étonnant, mais que vous le croyez ou non, vous n’êtes jamais seul(e). Dieu est toujours là dans votre cœur et Il vous aime en toute chose.

Si tu l’invoques, Il te répondra : Sois béni(e) !
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SOYONS TÉMOINS

Le 28 mars 1998, jour du pèlerinage demandé par notre Seigneur Jésus-Christ par sa servante Madeleine Aumont : Que chaque année y soit célébrée une fête solennelle, jour où Madeleine a vu la Croix pour la première fois, le 28 mars 1972.

Pèlerin, j'allais d'abord au Bassin de Purification me laver le visage, puis je partais en silence, sans parler à quiconque, chantant la Vierge Marie en l'honneur de notre Dieu au pied de la Croix Glorieuse érigée à l'endroit indiqué par le Seigneur, là où il y avait un pommier, arbre du péché qui a laissé place à cette Croix.

J'embrassais cette Croix puis je repartais au car des pèlerins pour le retour. Sur mon chemin, j'ai rencontré un prêtre italien en soutane noire, un peu râpée, qui m'a béni avec ma Croix de 738 mm (millième de la Croix demandée en ce lieu béni et sacré) au Nom de la Très Sainte Trinité. Puis continuant je vois monter sur la Butte, à pied, un prêtre et une femme habillés tous les deux en noir. Je me jette aux pieds du Prêtre en demandant sa bénédiction.

Voici le déroulement qui s'ensuit :

17 H 00 : Un prêtre portant une soutane noire faite d’un très beau tissu, accompagné d’une femme en jupe noire et pull-over noir. Tous deux portent sur la poitrine une Croix en Or suspendue à un cordon noir.

Moi Mon père, voulez-vous me bénir ? (je me jette à ses pieds)

Lui Bien sûr !

Elle Oui !

Lui Relevez-vous ! (Une voiture monte vers la Butte).

Moi Je n’ai pas peur !

Lui Relevez-vous ! (sur un autre ton où il impossible de ne pas obéir).

Lui Je vous bénis - contre toutes les maladies,

- contre tous les ennemis de la Sainte Église,

- pour les missions.

Je ne me souviens d’aucune, mais je les ai toutes entendues distinctement prononcées avec une voix très claire.

Elle Nous vous bénissons. (Gestes simultanés de bénédiction, index et majeurs serrés)

Pendant tout ce temps mes yeux ne cessaient de tourner, regardant la Croix du Prêtre (Grand Prêtre), son fort thorax, sa soutane et sa large ceinture noires, étoffes moirées magnifiques, la Croix de la femme de même dimension, une jupe longue noire, son pull-over noir tendu à quatre épingles, comme sortant du teinturier, dessinant une poitrine parfaite, pas un seul petit point blanc, pas un pli en ce printemps où le vent soufflait et balayait les feuilles et la poussière, ses yeux bleus profonds qui regardent plus loin que votre visage et vous intriguent. Du Grand Prêtre je n'ai ni vu son visage, ni ses mains, ni ses pieds.

Le 29 mars 1998 Notre-Dame de France (Baillet-en-France)

Juste avant d’arriver, au volant de ma voiture : Le jardinier ! et je m'arrête, mes yeux sont emplis de larmes, je ne puis plus conduire.

Ombretta, une italienne, avait vu le jardinier le 22 Juillet 1997 sur la Haute-Butte, elle m'avait dit qu'elle avait vu un jardinier de grande taille et que le lendemain elle était retournée pour le rencontrer de nouveau, elle a bien vu un jardinier, mais plus petit qui lui a dit : je suis ici le seul jardinier, jamais personne n'est venu m'aider. Ce jour était la fête de sainte Marie-Madeleine.

Trois jours plus tard, un ami me téléphone et me dit : J'étais au Bassin et j'ai rencontré un prêtre qui m'a béni pour que je pose des Croix, je ne sais pas comment il pouvait savoir que je posais des Croix. Je lui ai répondu : Oh celui-là tu sais il sait tout ! et tu lui as parlé ? Oui me dit-il, je lui ai demandé de quel diocèse il était. Oui, et il t'a répondu. Oui, il m'a dit qu'il était du diocèse de Bayeux-Lisieux, je le retrouverai. Ne pense pas le retrouver, tu as eu la grâce de le rencontrer, contente-toi de cela, car c'est une grande grâce que de rencontrer notre Seigneur. Oui, comme sur le chemin d'Emmaüs, nous avons rencontré le Seigneur et avec Lui sa Mère qu'Il nous a donnée sur la Croix.

Merci Seigneur, nous témoignons de ce que nous avons vu et entendu, et notre témoignage est vrai !
G. et F.

Elle est tombée dans le bénitier

En l'Année 2000, année jubilaire, le 13 Septembre, je reçois cette invitation : "Dans un mois, Je serai là, sur cette place de Rome ; tu iras prier pour Mon Saint Pape. Prie Pie IX afin que l'Église entende Ma Parole donnée à la Haute-Butte. Affermis ta prière pour cela. Je te donnerai le courage et l'argent nécessaire à ce voyage". Amen !

Une semaine plus tard, je suis appelé au téléphone où on me demande si je veux participer au pèlerinage qui nous conduira en Italie. Ma réponse est nette : Oui ! Mais as-tu l'argent nécessaire ? Ce n'est pas un problème, j'ai dit oui ! Et je suis donc inscrit pour Rome, où le Pape Jean-Paul II prononça l'Acte de confiance par lequel il confiait le IIIème millénaire à la protection de la Vierge Marie, le 8 Octobre, lors du Jubilé des Evêques ; pour la circonstance, le Saint-Père a fait venir par avion la Vierge de Fatima qui a sa place dans la Chapelle de la Cova da Iria, lieu des apparitions aux trois pastoureaux.

Nous prenons la route pour l'Italie. Dès le premier jour les pèlerins sont invités à se présenter, et certains témoignent de leur conversion. Une dame interpelle alors l'orateur en lui signifiant qu'elle n'a pas besoin d'entendre toutes ces sortes de choses, que toute petite "elle est tombée dans le bénitier", vous l'avez compris, elle fut baptisée à quelques jours. Celui qui avait le micro interrompt alors son exposé.

Le pèlerinage continue, tout va bien.

Au retour, il est demandé à chacun de dire comment il a vécu ce pèlerinage. Et lorsque le micro est redonné à cet orateur, celui-ci commence par dire : Je voudrais remercier en premier lieu cette Dame qui m'a interpellé le premier jour de notre merveilleux pèlerinage, où chacun a pu passer la Porte Sainte, parce que s'il n'y avait pas eu des personnes comme elle, je n'aurais peut être pas été converti.

C'est la prière qui conduit chacun à la conversion, la prière des fidèles qui vont à la Messe et qui prient pour le peuple des rachetés. Oui, Madame, c'est grâce à vous et aux autres personnes qui ont prié, que nous sommes ici, Catholiques visiteurs de Rome. Et cette Dame fut si émue, qu'elle laissa échapper quelques larmes de bonheur, elle ne s'était pas rendue compte qu'elle avait participé à la conversion de ses frères et sœurs en Christ.

Merci Seigneur d'avoir exaucé leurs prières et d'exaucer les nôtres toujours.

Et puis il me faut payer ce pèlerinage, alors je m'approche de la responsable et lui demande : combien je dois ? Et elle de me répondre : ton pélé est payé ! Je peux savoir qui, si cela est possible ? Ton voisin dans le car a payé pour toi ! Il avait mis dans sa ceinture l'argent nécessaire et, lorsqu'il a entendu ce qu'avait dit le Ciel le 13 Septembre, et qu'il l'a lu, il a payé pour moi. Je ne pouvais que payer en plusieurs fois, le Seigneur m'a devancé.

Merci Seigneur de marcher toujours avec nous et de nous ouvrir la route, car c'est Toi qui nous invite dans ces pèlerinages que nous croyons nous-mêmes décider.

J. G. O.
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Saint Michel et Belle-Ile-en-Mer

Le Père Marc Artigues, curé de la paroisse de Palais et de Locmaria, de passage au Mont Saint-Michel, nous a raconté le fervent attachement des habitants de cette île du Morbihan pour saint Michel. L’histoire de cette dévotion a pour originalité de s’appuyer sur un culte très ancien mais aussi sur des faits contemporains. Avec les Bellilois, rendons grâce pour l’efficace protection de notre archange.

PAROISSE DE PALAIS - PAROISSE DE LOCMARIA

Un peu d’histoire :

De temps immémorial, saint Michel a été invoqué avec ferveur à Belle Ile. Une chapelle à Sauzon, une autre à Locmaria où venaient jadis en pèlerinage toutes les paroisses de l’île, attestaient la confiance des Bellilois envers l’archange dont la protection s’est encore manifestée pendant la dernière guerre...

Dès 1940, après l’appel du 18juin, lorsqu’on fit embarquer pour l’Afrique du Nord les hommes valides de 17 à 50 ans, de nombreux Bellilois avaient reçu la médaille de Saint-Michel et leur bateau, le “San Pedro” les débarqua sains et saufs à Casablanca tandis que deux autres cargos du convoi furent torpillés au cours du voyage. Ces mêmes hommes furent rapatriés et arrivèrent à Belle-Ile le 16 octobre suivant, en la fête de l’apparition de saint Michel sur le mont Tombe.

Puis vinrent les jours sombres de novembre 1944. L’autorité militaire allemande avait ordonné l’évacuation totale de l’île. On se réunit le soir à l’église, où l’on chanta avec ardeur “Saint Michel, à notre secours”. Cinq jours après, le vapeur “Emile Solacroup” ramenait au port son chargement d’évacués : l’évacuation était arrêtée.

C’est alors que le chanoine Rio, curé-doyen, après avoir, dès le 1er octobre, consacré l’île à saint Michel, fit vœu, le 8 décembre 1944, de lui élever une statue s’il protégeait l’île et ramenait dans leurs foyers les habitants déjà évacués.

Quelques semaines plus tard, une protection singulière sauva Belle-Ile d’un bombardement d’artillerie de marine. À l’heure où allait sonner cette opération destinée à détruire les objectifs militaires de l’île, mais aussi les agglomérations, les marins alliés, à bord des cinq unités de marine, virent une étrange brume, très épaisse, courir au ras de la mer et recouvrir l’île d’un rideau impénétrable, malgré un vent violent qui aurait normalement dû la disperser.

L’amiral commandant le “Duquesne”, constatant la persistance de cette brume qui ne se dissipait pas, lança l’ordre d’abandonner l’opération et de faire route sur Gibraltar. C’était le 26 janvier 1945... Le 8 mai suivant, fête de l’apparition de saint Michel sur le mont Gargan, l’Allemagne capitulait. Le 10, Belle-Ile était libérée par des marins français. “Vous avez une chance extraordinaire, dit alors un officier aux Bellilois, car après Royan et Oléron, Belle-Ile devait être bombardée ce même jour”.

En présence de marques si évidentes de la protection de saint Michel, on comprend l’empressement des Bellilois à lui témoigner leur reconnaissance. Le 10 mai 1953, plus de 2 000 personnes, sur une population de 4 500, se rendaient en procession, de toutes les paroisses, au pied du mémorial.

La cérémonie était présidée par le chanoine Le Veu, successeur de M. Rio, assisté des abbés Kersaho, recteur de Locmaria, Jossic, recteur de Bangor, Kerjouan, recteur de Sauzon, Gallen, aumônier de l’hôpital de Vannes, Le Bras, aumônier de l’hôpital de Palais, Mirlat, missionnaire diocésain, Bocher, Madoré, Juhel, vicaires à Palais. Assistèrent également à la cérémonie, le colonel Hardouin, conseiller général et maire de Palais, MM. Séveno, maire de Locmaria, Bihan, maire de Bangor, Huel, maire de Sauzon, tous les conseillers municipaux, toutes les sections des anciens combattants et anciens prisonniers de guerre ainsi que tous les corps constitués de l’île.

Les croix, les bannières et les drapeaux formaient ainsi un demi-cercle autour de la statue de deux mètres, en granit de Kersanton, due au ciseau de l’artiste bien connu Le Bozec, qui avait tenu à être présent. S’inspirant des circonstances, le sculpteur a voulu représenter, non pas l’ange combattant, mais l’ange protecteur intercédant pour ceux qui se confient à lui, mains jointes, dans l’attitude de la prière.

Le 10 mai 1953, carillons, discours et cantiques avaient retenti jusqu’aux rocs de la mer sauvage, en l’honneur du protecteur des Bellilois, de leurs foyers et de leur île.

Le dimanche le plus près du 29 septembre, une célébration a lieu en plein air : procession à la statue, célébration, prières... Cela dure environ trois quarts d’heure. Il y a des paroissiens des quatre communes, environ 50 à 60 personnes.

Le Palais, Le curé abbé Artigues
http://trinite.1.free.fr/perles/saint_michel_belle_ile.htm

Lutte contre la mort par l'Ave Maria

C'était en 1958, nous habitions un faubourg ouvrier où régnait la misère : les fins de quinzaine étaient dures. Or, dans cette soirée du 12 juillet la tristesse survint dans mon foyer. J'avais couché mes deux fillettes: Jeannine, 28 mois dormait. Suzy, 17 mois malgré l'heure tardive, ne s'endormit pas. Elle était agitée... Soudain, ce fut le drame. Ma toute petite fut frappée de convulsions. Son petit corps entièrement disloqué devint méconnaissable, raidi. Ce n'était plus un être humain. Que faire ? ... Le docteur appelé, vit, aussitôt, la gravité du cas et passa toute la nuit avec nous, essayant, sans succès, toutes les ressources de la science.

C'était en 1958, nous habitions un faubourg ouvrier où régnait la misère : les fins de quinzaine étaient dures. Or, dans cette soirée du 12 juillet, la tristesse e pen

Je pensais à prier la Sainte Vierge, mais n'osais pas. Je l'avais tant blasphémée ! ... car, je faisais partie d'une secte qui interdisait de l'honorer, défendait de faire le signe de la Croix et d'entrer dans une église catholique. Pourtant, j'avais été un an dans une école paroissiale où j'avais appris quelques éléments de religion. Mais, peu éclairée, je me demandais où était la vérité.

Je m'adressais à Dieu : "Toi qui a fait le Ciel et la terre, je ne connais qu'une prière pour ceux qui vont mourir. C'est le "Je vous salue, Marie". Ai-je tort de prier Celle que les catholiques appellent la Vierge ? Prends pitié, Seigneur !..."

Et je commençais à dire, d'abord intérieurement, puis à mi-voix, sans arrêt, des "Je vous salue, Marie", ma désolation était extrême. Mon enfant déposée sur la table, rigide dans l'immobilité, me donnait l'impression d'être "clouée". Alors, mon esprit se porta au crucifix et je pensais : "clouée comme Jésus sur la Croix," ...

3 h 15 - Le docteur me prévient qu'il est temps de préparer le linge pour habiller ma toute petite. J'étais dans un tel état d'angoisse que je ne pouvais articuler un son, sinon des "Ave" entrecoupés de "Pater" et d'invocations : "Sauvez mon enfant ! ". Je montrais à ma mère où était le petit linge, m'accrochant aux "Ave" comme à la seule bouée de sauvetage.

C'est alors, qu'en esprit, je suivis le chemin de la Croix (qui m'avait frappée au catéchisme). Je voyais Jésus flagellé, frappé, tombant sur le chemin rocailleux. Ma pensée était si concentrée qu'il me semblait entendre une femme pleurer, et je me disais : qui peut sangloter ainsi, sinon une mère qui voit mourir son enfant. Et, revivant en pensée la scène du Calvaire, je compris la douleur de Marie, crucifiée avec son Fils, mais acceptant de le donner pour le salut du monde. Moi, je n'aurais pas donné mon enfant pour sauver une seule vie.

Je compris que Marie pleurait pour moi, pour ma petite, pour nous tous et qu'elle intercédait avec la force de ses larmes. Alors, j'oubliais ma propre souffrance pour dire à Jésus : "Seigneur, prends pitié de ta mère."

Nous étions quatre autour de l'enfant moribonde. Le docteur comptait les battements imperceptibles du pouls qui baissait. Tout à coup, on eut l'impression d'un souffle, d'une présence vivifiante : rien d'extérieur, mais la certitude d'une intervention surnaturelle. Je criais à mon mari : "Si tu crois en quelque chose, dis seulement "Je vous salue, Marie", car tout semblait fini. Le père joignit les mains sans rien dire.

Mais, soudain, la petite reprit conscience et forme humaine, les membres crispés se détendirent, se remettant d'eux-mêmes en place. Les yeux révulsés s'ouvrirent pleins de vie et le docteur, ne quittant pas le petit pouls, s'écria : "Miracle ! Miracle ! Elle repart ! La vie reprend !". J'étais allée chercher chez la voisine, des le début des convulsions, une statuette de la Vierge miraculeuse que j'avais placée sous la nuque de la petite. La crise était passée. L'enfant arrachée à la mort était en voie de guérison. Et depuis cet événement, une statue de Notre-Dame est dans notre salle de séjour.

J'ai quittée la secte erronée et, peu à peu, j'ai retrouvé le chemin de l'Église catholique et de la vraie foi dans laquelle j'élève mes enfants. J'expérimente le bienfait du chapelet, surtout depuis que je connais les mystères du Rosaire. Je voudrais crier à tous la puissance de la Mère de Dieu et de l'Ave Maria sur son Cœur maternel qui a été si douloureux. Il est si puissant pour secourir nos détresses !

Une mère reconnaissante.

L'Appel du Cœur Douloureux et Immaculé, n°60

Cité dans le Recueil Marial N°11, 1979
http://trinite.1.free.fr/perles/l_ave_maria_contre_la_mort.htm

Magnifique merci à notre Mère. Merci Sylvia

Merci Sylvia.
Ce sont de très beaux témoignages et celle de St Michel Archange, ainsi que .... toutes m'ont beaucoup plu !!

Les anges sont vraiment très présents dans nos vies pour nous aider, nous protéger et souvent nous ne pensons pas suffisamment
à remercier ces messagers de l'Amour de Dieu.

Merci pour ces témoignage, le Seigneur nous aime beaucoup la preuve, il a demandé à deux anges de descendre du ciel et de protéger la jeune fille, merci à lui de nous aimer tant.

Je pense qu'il protège tout le monde.

Fraternellement

Et merci à notre maman Marie !

Très juste merci à Notre Sainte Mère.

Merci Sainte Mère, Marie et vous aussi Seigneur Jesus.

Fraternellement

Merci au Ciel pour ces si beaux témoignages!

Merci Sylvia de les transmettre!

Ah! Notre monde est rempli de beauté! Dieu soit loué!

Merci à Sylvia qui fait un gros travail pour nous proposer tant de lecture.

Ne ne vois pas les choses de cette façon, j'ai cette instinctive réaction de demander : ....et cette deuxième jeune fille, n'était-elle pas fille de Dieu ?
.... et les habitants de Royan et Oléron n'étaient ils pas tous fils de Dieu ?
Quand il y a un crash d'avion et qu'on crie au miracle pour l'unique survivant je pense au autres : n'étaient ils pas tous fils de Dieu ?
Les soldats de Pharaon, n'avaient-t-ils pas une âme créée par Dieu ? Etaient-ils coupables d'être nés Egyptiens ?

J'arrête là car cette nourriture à ruminer n'est pas à la portée de tous les estomacs.

Jean21 a écrit :
Ne ne vois pas les choses de cette façon, j'ai cette instinctive réaction de demander : ....et cette deuxième jeune fille, n'était-elle pas fille de Dieu ?
.... et les habitants de Royan et Oléron n'étaient-ils pas tous fils de Dieu ?
Quand il y a un crash d'avion et qu'on crie au miracle pour l'unique survivant je pense aux autres : n'étaient-ils pas tous fils de Dieu ?
Les soldats de Pharaon, n'avaient-t-ils pas une âme créée par Dieu ? Etaient-ils coupables d'être nés Egyptiens ?

Bonsoir Jean

et cette deuxième jeune fille, n'était-elle pas fille de Dieu ?

Vous avez complètement raison Jean, cette deuxième jeune fille est, elle aussi, fille de Dieu.
Ce qui fait la différence, est le rapport que l’on a avec Dieu, si nous Le prions, si nous Lui faisons toute confiance, Il nous répond.

Cela me fait songer à l’évangile où Jésus nous explique :
"Il leur dit encore : Si l'un de vous a un ami, et qu'il aille le trouver au milieu de la nuit pour lui dire: Ami, prête-moi trois pains, 11.6 car un de mes amis est arrivé de voyage chez moi, et je n'ai rien à lui offrir, 11.7 et si, de l'intérieur de sa maison, cet ami lui répond : Ne m'importune pas, la porte est déjà fermée, mes enfants et moi sommes au lit, je ne puis me lever pour te donner des pains, - 11.8 je vous le dis, même s'il ne se levait pas pour les lui donner parce que c'est son ami, il se lèverait à cause de son importunité et lui donnerait tout ce dont il a besoin. 11.9 Et moi, je vous dis : Demandez, et l'on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez; frappez, et l'on vous ouvrira. 11.10 Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l'on ouvre à celui qui frappe. 11.11 Quel est parmi vous le père qui donnera une pierre à son fils, s'il lui demande du pain ? Ou, s'il demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent au lieu d'un poisson ? 11.12 Ou, s'il demande un œuf, lui donnera-t-il un scorpion ?11.13 Si donc, méchants comme vous l'êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison le Père céleste donnera-t-il le Saint Esprit à ceux qui le lui demandent."
Luc 11 : 5-13

La jeune fille a demandé de l’aide à Dieu et Dieu lui répond mais il est aussi noté plus loin dans le texte :

"Se sentant dépassée par cette tragédie, et par le fait que ça aurait pu être elle, elle se mit à pleurer. Remerciant le Seigneur de l’avoir gardée et aussi pour aider cette jeune fille, elle décida de se rendre à la police."

Non seulement elle rend grâce à Dieu de l’avoir protégée mais elle pleure pour l’autre jeune fille et va témoigner pour aider. Sa prière et son action ne se limite pas à elle seule !

Le ciel intervient quand on lui remet notre liberté entre les mains.

Ainsi, dans un des derniers messages, la Sainte Vierge disait que si toutes les personnes sortaient pour réciter le chapelet, les crises aussi importantes soient-elles, seraient résolues en un rien de temps, je crois que cela concernait le peuple grec.

De la même manière, Catherine Labouré, s’émerveillait des rayons qui partaient des mains de la Sainte Vierge et interrogeât au sujet de ceux qui n’étaient pas éclairés, La Sainte Vierge lui répondit qu’il s’agissait des grâces qu’on ne lui demandait pas !

Le ciel respecte notre libre arbitre et n’interfère pas dans nos choix mais si nous demandons de l’aide, il nous répond.

Parfois la réponse n'est pas celle que nous attendons mais Jésus dit dans des messages à quelques grandes saintes, que toutes nos prières sont entendues mais qu'Il n'y répond pas forcément selon nos vues mais selon les siennes nous préparant des pierres précieuses, là où nous n'aurions reçu qu'un peu d'argent.

C’est ce qui s’est passé pour le Mont St Michel dont les habitants ont fait prières, vœux, processions … Ils s’en sont complètement remis aux bons soins de St Michel Archange.

Quant aux soldats de Pharaons, ils ont péri en même temps que leur dirigeant mais cela ne veut pas dire que plusieurs d’entre eux, ne seront pas accueillis au Ciel. Dieu seul, juge les âmes.

Cela veut simplement dire que les décisions des uns ou des autres ont des répercussions sur la vie de tous.
En effet, si les dirigeants des pays votent des lois iniques, toute la population en paiera les conséquences. De même, il est dit qu’il pleut pour les bons et les méchants comme le soleil brille sur les bons et les méchants.
Il y a toujours des victimes dues aux actions mauvaises des uns et des autres, comme des victimes innocentes des conflits et guerres décidés par des personnes haineuses ou égoïstes ….

… et Dieu recueille en Son Sein, ses enfants blessés

Merci pour ce partage chère Carine, je vous rejoins à 100%
La prière incessante, prier Notre Seigneur, Marie très Sainte, Saint Joseph, les anges, les saints : ça marche ! ... (mais pas toujours il faut en convenir).

Vous citez :
"La Sainte Vierge lui répondit qu’il s’agissait des grâces qu’on ne lui demandait pas !"

J'en suis arrivé là moi aussi et je me demande : quelle est la mesure de Dieu ?
Et si la jeune fille avait demandé que cet homme ne nuise à personne?
Et si Abraham avait osé continuer avec 5, 2 , 1 seul juste ?
Qui sait ?? Osons

Je te rejoins aussi sur les soldats de pharaon, ma clé est que nous voyons la vie terrestre comme une fin et une bénédiction, alors que notre fin et notre réelle bénédiction est d'être auprès de Dieu.
Il n'est donc pas interdit de penser que les soldats à l'esprit droit aient trouvé grâce aux yeux de Dieu.

Mon apparente rébellion du post précédent était pour montrer qu'il faut avancer sans tabou, pas avoir peur d'y aller, Dieu se laisse atteindre et illumine les chemins de celui qui agit avec une intention droite.
Mais si par manque de formation ou de persévérance on se laisse dépasser par ces apparentes contradictions et qu'on reste en surface, on peut se troubler, voire blesser sa Foi (de là mon allusion à la digestion).

Je suis un peu le fils de la parabole qui râle mais qui y va quand même.

j'ai fait l'expérience de prier les anges,et je les priais pour mes enfants,qui étaient aux études en Amérique du Nord!!!!l'un d'entre eux etait allé en boîte de nuit avec des amis,il me raconta l'histoire,il me dit maman il y avait une voix qui me dit sors,sors,et il prend son manteau pour sortir,ses amis ont essayé de le dissuadé,impossible!!!à peine sorti quelques minutes une fusillade éclata,mais Dieu merci aucun ami n'a été touché,il eût quand même des morts!!!!que Le Tout-Puissant les reçoive dans sa lumière!!!!!
Joséphine

j'ai fait l'expérience de prier les anges,et je les priais pour mes enfants,qui étaient aux études en Amérique du Nord!!!!l'un d'entre eux etait allé en boîte de nuit avec des amis,il me raconta l'histoire,il me dit maman il y avait une voix qui me dit sors,sors,et il prend son manteau pour sortir,ses amis ont essayé de le dissuadé,impossible!!!à peine sorti quelques minutes une fusillade éclata,mais Dieu merci aucun ami n'a été touché,il eût quand même des morts!!!!que Le Tout-Puissant les reçoive dans sa lumière!!!!!
Joséphine

Merci Joséphine pour votre témoignage :
Dieu non seulement a répondu à vos prières en protégeant votre enfant mais en plus, par Son action, raffermit la foi de votre enfant qui constate "ce miracle".

@ Jean

(mais pas toujours il faut en convenir).

C'est toujours un peu indigeste, non ?
Vous serez drôlement surpris en arrivant là-haut de voir des personnes venir vous saluer et vous remercier des peines que vous aurez supportées ici-bas ainsi que des prières auxquelles vous n'aurez pas obtenu de réponses car elles auront servi à leur salut !
Et là, vous serez le plus heureux des hommes

Je sais Carine, je prie tous les jours pour les prêtres, les âmes du purgatoire, ma famille, mes amis, les incroyants. Je demande l'intercession des anges et des saints et cela depuis très très longtemps, et maintenant même pour le forum depuis peu.
J'ai connu des coeur à Coeur avec Dieu, avec Marie, avec le Ciel et j'ai connu des déserts arides et vides de plusieurs années. J'ai prié et j'ai été exaucé. J'ai prié et je ne l'ai pas été (alors je demande des explications comme un fils à son père).
Mais pour moi ça fonctionne très peu et comme dans vieux couple qu'aucune querelle ne peut séparer, je fais la gueule de temps en temps.
Je pense que Dieu se sert de ma souffrance car les volontaires sont peu nombreux. Je râle mais j'offre quand même. Mais je lui dis de ne plus en rajouter !
Depuis l'enfance j'ai l'impression d'avoir été mis à part, d'être aimé et d'être un instrument (je ne sais pas trop à quoi, peut-être juste être ce que je suis).
Quand j'étais gosse à l'église durant la messe, mon esprit vagabondait parfois à la même rêverie qui revenait régulièrement (on est début des années 70), un dragon tentait de pénétrer l'église en brisant les vitraux.
Sa tête et son cou étaient à l'intérieur du choeur et il épouvantait tout le monde qui fuyait. Je ne fuyais pas, je l'affrontais, mais le combat était spirituel car je ne faisais rien physiquement (enfin me souviens plus trop)...

Voilà comme cela on se connait un peu mieux encore.

Mais ça n'empêche pas de vivre la souffrance, l'injustice, l'incompréhension...
On a tous notre "vocation", nos "dons" et notre "caractère".
Et c'est vrai que comme Jérémie je râle quand ça va mal pour moi

Pour en finir avec ce que je disais il y a quelques jours "Soldats de pharaon, etc....".
Je viens de faire cette lecture il y a quelques heures ... (coïncidence) ?

Oh, ce monde terrible dans lequel vous vivez, combien nous souffrons de le voir se déchirer par désamour, par sécheresse de cœur… La Vierge pleure.
Ne vous en prenez pas à Dieu alors que depuis l’origine il honnit vos guerres et vos massacres !
Il n’y a pas un Dieu de l’Ancien Livre et un Dieu du Nouveau Livre. C’est le même Dieu. Ce sont les hommes qui l’ont interprété et imaginé différemment.
Il n’y a pas plus de massacres des hommes de la part de Dieu avant Jésus qu’après !
De tout temps Dieu fut Amour ! Jésus a d’ailleurs dit « Avant qu’Abraham fut : Je Suis »
Dieu est Amour. Cet Amour qui a conduit Jésus jusqu’à la croix existait avant Abraham et était de même nature.
Débarrassez-vous définitivement de ces déraisonnements : Dieu implacable, Dieu rancunier, Dieu vengeur. Ne prêtez pas à Dieu vos propres sentiments ou ceux des autres.
Avant d’ouvrir une porte familière, on sait à l’avance comment s’y prendre. Quel tour précis de clé faire afin d’ouvrir sans faute.
La serrure a été posée au préalable, mais sans introduction de la clé, il n’y a pas d’ouverture.
La clé, seconde dans la génération, devient première dans l’action d’ouverture.
Ainsi en est-il de l’Ancien Testament qui est une serrure dont la clé est le message évangélique de Christ !
Cher papa, ne sous-estime pas l’Ancien Testament, ni dans sa lecture, ni dans sa méditation, pratique les rapprochements qui s’imposent et recherche Christ dans ce Livre : il y est !
Lis dans Ezéchiel : « Je ne suis pas pour la punition du méchant mais pour sa conversion » et pense à Christ ! « Je ne veux pas le sacrifice mais la miséricorde » et à cet autre passage « Si vous croyez Moïse vous me croirez car c’est à mon sujet qu’il a écrit ».
N’oublie pas, mon papa, que la serrure est aussi précieuse que la clé, puisque c’est déjà le même Verbe, déjà Christ, toujours Christ !

Merci Jean pour votre témoignage.

Vous savez tout à l'heure, je plaisantais, c'était pour "alléger" votre coeur. Mais je sais comme il est difficile de souffrir, soi-même ou
ceux que l'on aime et oui, on demande à Dieu "pourquoi ?"
La réponse, je l'ai lu mille fois dans des citations de Jésus à Ses âmes, Saints et Saintes, où Il explique qu'Il se sert de nos souffrances
offertes pour sauver des âmes (en commençant par la nôtre !)

... Je ne fuyais pas, je l'affrontais, mais le combat était spirituel car je ne faisais rien physiquement (enfin me souviens plus trop)...

C'est très beau car cela veut dire que par vos souffrances, vos prières, vous appartenez au "petit reste" fidèle, tenant bon dans la maison
de Dieu comme un soldat aux ordres du Roi !

Mais ça n'empêche pas de vivre la souffrance, l'injustice, l'incompréhension...

C'est normal de ressentir que tout cela ne l'est pas ! et d'en souffrir. Dans votre solitude, de cette souffrance due à l'injustice, vous êtes à
l'image de Jésus à Gethsémani. Lui, notre Dieu, a souffert de tout cela et c'est aussi Lui qui souffre en vous.

Et c'est vrai que comme Jérémie je râle quand ça va mal pour moi

C'est humain et le contraire serait surprenant !

Je cherchais un texte pour vous et j'ai ouvert dans le Précieux recueil, suis tombé sur celui-ci (je ne sais pas s'il vous parlera ?) :

"Une sainte malade perdit la parole pendant plus de cinq mois, et il arriva souvent que, ne la comprenant pas, on fit tout le contraire de ce
qu'elle voulait. Elle le supportait avec une patience admirable. Notre Seigneur dit à Sainte Gertrude :
"Quand, faute de la comprendre, on fait le contraire de sa volonté, elle sourit avec autant de bonté que si on lui avait fait un grand bien ...
Elle est si solidement établie en Moi, qu'elle prend tout ce qui lui arrive de joyeux ou de triste, d'une seule et même façon."
Puis, Il fit comprendre que les nécessités et les tribulations de tous les hommes Lui sont présentes.
Il prend avec Lui tout ce qui nous accable et combat Lui-même en nous."

Demandons à Dieu la grâce d'une si sainte patience et d'un amour plus fort encore pour nous unir tant à Lui, que nous n'ayons plus d'autre
volonté que la Sienne, tout en gardant à l'esprit qu'Il ne nous quitte jamais et nous soutient.

Pour rassurer ceux qui se sentent seule, j'ai trouver cette prière à faire à l'ange gardien, peut importe de savoir comment il s'appelle.

PRIERE

† Ange gardien, esprit sage et bienveillant, messager de Dieu
dont la mission est d'assister les hommes et de les conduire dans la bonne voie, soutiens-moi dans les épreuves de la vie, et donne-moi la force de les subir sans murmure ;

† Mon Ange gardien, détourne de moi les mauvaises pensées et éloigne de moi le mal, éclaire ma conscience sur mes défauts,
lève de dessus mes yeux le voile de l'orgueil qui m'empêche de les voir ;

† Mon Ange gardien, fais que je me rende digne de ta bienveillance ; tu connais mes besoins, et mes doutes, et mes prières ;
qu'il en soit fait, par ton intermédiaire, de la volonté de Dieu ;

† Mon Ange gardien, éclaire-moi aujourd'hui, garde-moi, guide-moi, et gouverne-moi demain ;

† Amen

Fraternellement

Belle prière,je l'ai dejà tirée,et j'en ferai ma prière quotidienne,merci mariejesus
Joséphine

Belle prière,je l'ai dejà tirée,et j'en ferai ma prière quotidienne,merci mariejesus
Joséphine

Belle prière,je l'ai dejà tirée,et j'en ferai ma prière quotidienne,merci mariejesus
Joséphine