Rose de Lima
Page 1 sur 1
Rose de Lima
Rose de Lima
Sainte Rose de Lima
Image illustrative de l'article Rose de Lima
Huile de Claudio Coello (1642-1693), musée du Prado, Madrid
Naissance 1586
Lima, Pérou
Décès 24 août 1617 (à 31 ans)
Lima, Pérou
Nationalité Flag of Peru.svg Péruvienne
Vénéré à Amérique latine
Béatification 15 avril 1668
par Clément IX
Canonisation 2 avril 1671
par Clément X
Vénéré par l'Église catholique romaine
Fête 23 août
Attributs En habit de dominicaine, avec une couronne de rose, accompagnée de l'Enfant Jésus
Saint patron des Amériques, de l'Amérique latine, du Pérou, des Philippines, des sœurs dominicaines, des couturières, jardiniers, fleuristes, des JMJs de Madrid.
modifier Consultez la documentation du modèle
Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Sainte Rose.
Isabelle de Florès dite Rose de Lima (1586-1617), canonisée en 1671, est la première sainte du Nouveau Monde. Elle est fêtée le 23 août.
1 Vie
2 Spiritualité
3 Actualité
4 Citations
5 Sources
6 Liens externes
7 Notes et références
Le cloître de Sainte Rose à Lima
Elle est née en 1586 à Lima au Pérou d'une famille pauvre d'origine espagnole dont elle était la dixième enfant1.
Peu après l'âge de quatre ans (1590), elle sut lire, sans l'avoir jamais appris, et se nourrira du récit de la vie de sainte Catherine de Sienne qui deviendra son modèle de vie spirituelle. Elle décide alors de consacrer sa vie à Dieu.
A l'âge de vingt ans, en 1606, elle prend l'habit des tertiaires dominicaines. Mais, comme il n'y avait pas de couvent dans la ville où elle habitait, elle se réfugie dans un minuscule ermitage, tout au fond du jardin de ses parents, où elle passera le restant de ses jours dans la prière et les mortifications.
Elle bénéficia aussi de grâces mystiques telles que la méfiance de l'Inquisition lui valut plusieurs examens de la part des autorités religieuses, ses profondes réponses étonnèrent alors ses détracteurs.
Dans le même temps, elle se dévoue au service des indiens, des enfants abandonnés, des vieillards, des infirmes, et des malades.
À sa mort en 1617 à l'âge de 31 ans, le peuple de Lima se précipita sur sa tombe pour y recueillir un peu de la terre qui la recouvrait.
Elle fut canonisée dès 1671.
Spiritualité[Modifier]
Sainte Rose de Lima (Noël Laudin - Musée de Châlons-en-Champagne
Rose de Lima vécut une vie de pénitence et de macérations qui, sans une profonde vie mystique, aurait été insupportable.
A l'exemple de Catherine de Sienne, dès son enfance elle s'exerça au jeûne, refusant la viande et les fruits.
Plus tard, elle ne se nourrit que de pain et d'eau.
Par des pénitences corporelles intenses, elle s'offrait à Dieu comme une victime sanglante en union avec la Christ pour le rachat des âmes du Purgatoire et la conversion de tous les pécheurs.
Non contente des planches de bois sur lesquelles elle dormait, elle se confectionna un lit avec des morceaux de bois liés avec des cordes puis remplit les intervalles de fragments de vaisselle et de tuiles avec les acuités vers le haut. Elle dormira dans ce lit les seize dernières années de sa vie.
Dans ses méditations et ses prières, elle ressentait la douleur des hommes de toute origine et de toute confession et priait pour leur conversion.
Actualité[Modifier]
La basilique construite sur l'ermitage de Sainte-Rose de Lima
Sainte Rose de Lima est patronne des Amériques, des Philippines, du Pérou, de la ville de Lima, de la police nationale et de l'université catholique du Pérou.
Tous les ans, à l'occasion de la Solennité de Sainte Rose de Lima, le 30 août (férié au Pérou), une cérémonie religieuse réunit les autorités politiques, diplomatiques et militaires du pays. Sa statue est ensuite portée en procession de la cathédrale de Lima au sanctuaire qui lui est dédié. Elle est également à l'origine de la fête traditionnelle du royaume d'Araucanie et de Patagonie le 30 août.
Son culte semble s'être établi en France dès sa canonisation puisqu'on trouve une statue d'elle exécutée par Thibaud Maitrier pour l'église Saint-Exupère de Toulouse reconstruite par les carmes entre 1620 et 1623.
À Laval, au Québec, en son honneur, le quartier de Sainte-Rose.
"Le Seigneur a dit d'une voix forte : que tous les hommes sachent que la grâce arrive après la peine, qu'ils sachent que sans avoir porté le fardeau des afflictions, ils ne peuvent atteindre les hauteurs de la Grâce, qu'ils apprennent que les dons de la Grâce augmentent au fur et à mesure que le fardeau s'alourdit, que les hommes ne se trompent pas, il n'y a qu'une voie pour rejoindre le Paradis, et la Croix est la seule route pour y accéder".
"Nous n'obtiendrons pas la Grâce si nous ne souffrons pas. Nous devons supporter peine après peine pour rejoindre la nature divine, la gloire promise aux enfants de Dieu, et le parfait bonheur de l'âme".
"Si l'homme savait combien est suave la possession de la Grâce divine, combien précieuse elle est, combien de joies et d'exaltation elle procure, personne ne pourrait se plaindre de la croix qu'il faut porter".
" A part la Croix, il n'y a pas d'autre échelle pour atteindre le Paradis."
Fêté le 23 août
Aujour.
Hier
Tous les saints
Les saints
Sainte Rose de Lima
Vierge (1586-1617)
Rose naquit à Lima, au Pérou, le 20 avril 1586, et reçut au Baptême le nom d’Isabelle. Sa mère, penchée sur son berceau, ayant cru apercevoir une rose épanouie sur son visage, s’écria : "Désormais, tu seras ma "Rose", changement de nom qui fut confirmé par la Sainte Vierge dans une vision qu’eut plus tard la jeune fille.
La vie de cette petite Sainte a été une suite ininterrompue de souffrances volontairement acceptées et héroïquement supportées. Dès son bas âge, Rose comprit que la vraie sainteté consiste avant tout à accomplir ses devoirs d’état. Une source de difficultés lui vint de concilier l’obéissance à ses parents avec la fidélité aux appels intérieurs dont le Ciel la favorisait. Elle s’ingénia à trouver le moyen d’obéir à la fois à Dieu et à sa mère. Décidée à ne chercher à plaire à personne qu’à Dieu, elle portait néanmoins une couronne de fleurs imposée par sa mère ; mais elle sut y cacher à l’intérieure une aiguille qui faisait de cet ornement un instrument de supplice.
À l’exemple de sainte Catherine de Sienne, Rose se voua à une vie de pénitence. Dès son enfance, elle s’exerça au jeûne et put le pratiquer à un degré héroïque. Elle ne mangeait jamais de fruits. À six ans, elle jeûnait le vendredi et le samedi. À quinze ans, elle fit voeu de ne jamais manger de viande. Plus tard, elle ne mangea qu’une soupe faite de pain et d’eau, sans sel ni autre assaisonnement. Toutes les nuits, elle se frappait cruellement avec des chaînettes de fer, s’offrant à Dieu comme une victime sanglante pour l’Église, l’État, les âmes du purgatoire et les pécheurs. Non contente du lit de planches sur lequel elle reposa longtemps, elle se fit un lit avec des morceaux de bois liés avec des cordes ; elle remplit les intervalles avec des fragments de tuiles et de vaisselle, les acuités tournées vers le haut. Rose coucha sur ce lit pendant les seize dernières années de sa vie.
La vraie sainteté ne réside pas dans la pénitence du corps, mais dans celle du coeur, qui est impossible sans l’humilité et l’obéissance. Toutes les austérités de Rose étaient soumises à l’obéissance ; et elle était toujours prête à tout abandonner. On s’étonnera que ses directeurs aient pu approuver dans une si frêle enfant d’aussi cruelles macérations ; mais il faut savoir que chaque fois que des confesseurs voulurent s’y opposer, il en furent empêchés par une lumière intérieure.
Toute la personne de Rose, défigurée par la pénitence, attirait l’attention du public et la faisait vénérer comme une Sainte. Désolée, elle eut recours à Dieu, afin que ses jeûnes n’altérassent pas les traits de son visage. Chose admirable ! Elle reprit son embonpoint et ses vives couleurs ; ses yeux se ranimèrent. Aussi arriva-t-il qu’après avoir jeûné tout un Carême au pain et à l’eau, elle rencontra des jeunes gens qui se moquèrent d’elle en disant : "Voyez cette religieuse si célèbre par sa pénitence ! Elle revient sans doute d’un festin. C’est édifiant, vraiment, en ce saint temps !" Rose en remercia Dieu.
La charité de Rose pour le salut des âmes était en proportion de son amour pour Jésus-Christ. Elle ressentait une poignante douleur en pensant aux âmes qui se perdent après avoir été si chèrement achetées. Elle pleurait sur le sort des Chinois, des Turcs, et des nombreuses sectes hérétiques qui désolaient l’Europe.
Rose mourut le 24 août 1617, à l’âge de trente et un ans.
J.-M. Planchet, Nouvelle Vie des Saints, p. 345
Sainte Rose de Lima
Image illustrative de l'article Rose de Lima
Huile de Claudio Coello (1642-1693), musée du Prado, Madrid
Naissance 1586
Lima, Pérou
Décès 24 août 1617 (à 31 ans)
Lima, Pérou
Nationalité Flag of Peru.svg Péruvienne
Vénéré à Amérique latine
Béatification 15 avril 1668
par Clément IX
Canonisation 2 avril 1671
par Clément X
Vénéré par l'Église catholique romaine
Fête 23 août
Attributs En habit de dominicaine, avec une couronne de rose, accompagnée de l'Enfant Jésus
Saint patron des Amériques, de l'Amérique latine, du Pérou, des Philippines, des sœurs dominicaines, des couturières, jardiniers, fleuristes, des JMJs de Madrid.
modifier Consultez la documentation du modèle
Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Sainte Rose.
Isabelle de Florès dite Rose de Lima (1586-1617), canonisée en 1671, est la première sainte du Nouveau Monde. Elle est fêtée le 23 août.
1 Vie
2 Spiritualité
3 Actualité
4 Citations
5 Sources
6 Liens externes
7 Notes et références
Le cloître de Sainte Rose à Lima
Elle est née en 1586 à Lima au Pérou d'une famille pauvre d'origine espagnole dont elle était la dixième enfant1.
Peu après l'âge de quatre ans (1590), elle sut lire, sans l'avoir jamais appris, et se nourrira du récit de la vie de sainte Catherine de Sienne qui deviendra son modèle de vie spirituelle. Elle décide alors de consacrer sa vie à Dieu.
A l'âge de vingt ans, en 1606, elle prend l'habit des tertiaires dominicaines. Mais, comme il n'y avait pas de couvent dans la ville où elle habitait, elle se réfugie dans un minuscule ermitage, tout au fond du jardin de ses parents, où elle passera le restant de ses jours dans la prière et les mortifications.
Elle bénéficia aussi de grâces mystiques telles que la méfiance de l'Inquisition lui valut plusieurs examens de la part des autorités religieuses, ses profondes réponses étonnèrent alors ses détracteurs.
Dans le même temps, elle se dévoue au service des indiens, des enfants abandonnés, des vieillards, des infirmes, et des malades.
À sa mort en 1617 à l'âge de 31 ans, le peuple de Lima se précipita sur sa tombe pour y recueillir un peu de la terre qui la recouvrait.
Elle fut canonisée dès 1671.
Spiritualité[Modifier]
Sainte Rose de Lima (Noël Laudin - Musée de Châlons-en-Champagne
Rose de Lima vécut une vie de pénitence et de macérations qui, sans une profonde vie mystique, aurait été insupportable.
A l'exemple de Catherine de Sienne, dès son enfance elle s'exerça au jeûne, refusant la viande et les fruits.
Plus tard, elle ne se nourrit que de pain et d'eau.
Par des pénitences corporelles intenses, elle s'offrait à Dieu comme une victime sanglante en union avec la Christ pour le rachat des âmes du Purgatoire et la conversion de tous les pécheurs.
Non contente des planches de bois sur lesquelles elle dormait, elle se confectionna un lit avec des morceaux de bois liés avec des cordes puis remplit les intervalles de fragments de vaisselle et de tuiles avec les acuités vers le haut. Elle dormira dans ce lit les seize dernières années de sa vie.
Dans ses méditations et ses prières, elle ressentait la douleur des hommes de toute origine et de toute confession et priait pour leur conversion.
Actualité[Modifier]
La basilique construite sur l'ermitage de Sainte-Rose de Lima
Sainte Rose de Lima est patronne des Amériques, des Philippines, du Pérou, de la ville de Lima, de la police nationale et de l'université catholique du Pérou.
Tous les ans, à l'occasion de la Solennité de Sainte Rose de Lima, le 30 août (férié au Pérou), une cérémonie religieuse réunit les autorités politiques, diplomatiques et militaires du pays. Sa statue est ensuite portée en procession de la cathédrale de Lima au sanctuaire qui lui est dédié. Elle est également à l'origine de la fête traditionnelle du royaume d'Araucanie et de Patagonie le 30 août.
Son culte semble s'être établi en France dès sa canonisation puisqu'on trouve une statue d'elle exécutée par Thibaud Maitrier pour l'église Saint-Exupère de Toulouse reconstruite par les carmes entre 1620 et 1623.
À Laval, au Québec, en son honneur, le quartier de Sainte-Rose.
"Le Seigneur a dit d'une voix forte : que tous les hommes sachent que la grâce arrive après la peine, qu'ils sachent que sans avoir porté le fardeau des afflictions, ils ne peuvent atteindre les hauteurs de la Grâce, qu'ils apprennent que les dons de la Grâce augmentent au fur et à mesure que le fardeau s'alourdit, que les hommes ne se trompent pas, il n'y a qu'une voie pour rejoindre le Paradis, et la Croix est la seule route pour y accéder".
"Nous n'obtiendrons pas la Grâce si nous ne souffrons pas. Nous devons supporter peine après peine pour rejoindre la nature divine, la gloire promise aux enfants de Dieu, et le parfait bonheur de l'âme".
"Si l'homme savait combien est suave la possession de la Grâce divine, combien précieuse elle est, combien de joies et d'exaltation elle procure, personne ne pourrait se plaindre de la croix qu'il faut porter".
" A part la Croix, il n'y a pas d'autre échelle pour atteindre le Paradis."
Fêté le 23 août
Aujour.
Hier
Tous les saints
Les saints
Sainte Rose de Lima
Vierge (1586-1617)
Rose naquit à Lima, au Pérou, le 20 avril 1586, et reçut au Baptême le nom d’Isabelle. Sa mère, penchée sur son berceau, ayant cru apercevoir une rose épanouie sur son visage, s’écria : "Désormais, tu seras ma "Rose", changement de nom qui fut confirmé par la Sainte Vierge dans une vision qu’eut plus tard la jeune fille.
La vie de cette petite Sainte a été une suite ininterrompue de souffrances volontairement acceptées et héroïquement supportées. Dès son bas âge, Rose comprit que la vraie sainteté consiste avant tout à accomplir ses devoirs d’état. Une source de difficultés lui vint de concilier l’obéissance à ses parents avec la fidélité aux appels intérieurs dont le Ciel la favorisait. Elle s’ingénia à trouver le moyen d’obéir à la fois à Dieu et à sa mère. Décidée à ne chercher à plaire à personne qu’à Dieu, elle portait néanmoins une couronne de fleurs imposée par sa mère ; mais elle sut y cacher à l’intérieure une aiguille qui faisait de cet ornement un instrument de supplice.
À l’exemple de sainte Catherine de Sienne, Rose se voua à une vie de pénitence. Dès son enfance, elle s’exerça au jeûne et put le pratiquer à un degré héroïque. Elle ne mangeait jamais de fruits. À six ans, elle jeûnait le vendredi et le samedi. À quinze ans, elle fit voeu de ne jamais manger de viande. Plus tard, elle ne mangea qu’une soupe faite de pain et d’eau, sans sel ni autre assaisonnement. Toutes les nuits, elle se frappait cruellement avec des chaînettes de fer, s’offrant à Dieu comme une victime sanglante pour l’Église, l’État, les âmes du purgatoire et les pécheurs. Non contente du lit de planches sur lequel elle reposa longtemps, elle se fit un lit avec des morceaux de bois liés avec des cordes ; elle remplit les intervalles avec des fragments de tuiles et de vaisselle, les acuités tournées vers le haut. Rose coucha sur ce lit pendant les seize dernières années de sa vie.
La vraie sainteté ne réside pas dans la pénitence du corps, mais dans celle du coeur, qui est impossible sans l’humilité et l’obéissance. Toutes les austérités de Rose étaient soumises à l’obéissance ; et elle était toujours prête à tout abandonner. On s’étonnera que ses directeurs aient pu approuver dans une si frêle enfant d’aussi cruelles macérations ; mais il faut savoir que chaque fois que des confesseurs voulurent s’y opposer, il en furent empêchés par une lumière intérieure.
Toute la personne de Rose, défigurée par la pénitence, attirait l’attention du public et la faisait vénérer comme une Sainte. Désolée, elle eut recours à Dieu, afin que ses jeûnes n’altérassent pas les traits de son visage. Chose admirable ! Elle reprit son embonpoint et ses vives couleurs ; ses yeux se ranimèrent. Aussi arriva-t-il qu’après avoir jeûné tout un Carême au pain et à l’eau, elle rencontra des jeunes gens qui se moquèrent d’elle en disant : "Voyez cette religieuse si célèbre par sa pénitence ! Elle revient sans doute d’un festin. C’est édifiant, vraiment, en ce saint temps !" Rose en remercia Dieu.
La charité de Rose pour le salut des âmes était en proportion de son amour pour Jésus-Christ. Elle ressentait une poignante douleur en pensant aux âmes qui se perdent après avoir été si chèrement achetées. Elle pleurait sur le sort des Chinois, des Turcs, et des nombreuses sectes hérétiques qui désolaient l’Europe.
Rose mourut le 24 août 1617, à l’âge de trente et un ans.
J.-M. Planchet, Nouvelle Vie des Saints, p. 345
Joelle27- Contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 535
Inscription : 30/10/2011
Re: Rose de Lima
Sainte Rose de Lima est invoquée contre les fièvres et les maux d'estomac
Joelle27- Contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 535
Inscription : 30/10/2011
Re: Rose de Lima
Avec plaisir mariejésus
Joelle27- Contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 535
Inscription : 30/10/2011
Sujets similaires
» Sainte Rose de Lima
» Sainte Rose de Lima
» Riches et pauvres mangeront du même pain..Population europe diminuera.
» Louis XIV, la révolution francaise, etc...
» A Rose lumineuse...
» Sainte Rose de Lima
» Riches et pauvres mangeront du même pain..Population europe diminuera.
» Louis XIV, la révolution francaise, etc...
» A Rose lumineuse...
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum