LE BON SOURIRE DU PERE ETERNEL nous accueille

Bonjour,

Après avoir longuement prié "Ave Maria d'Or"
Et lu quelque part que suite à cette prière avec confiance
Maman Marie pouvait nous emmener voir le Père Eternel
pour recevoir sa Tendresse,

J'ai souhaité partager avec vous cette vision
qui me fut donnée comme un merveilleux cadeau
pour m'enseigner l'Amour du Père.

Pour m'enseigner qu'un Père peut donner sa tendresse
gratuitement, sans rien demander en retour,
juste pour la joie de donner sa tendresse.
Le Père, dont tous les pères devraient s'inspirer, moi y compris,
de manière naturelle.

En 1998
Voici ce que j'ai vu :
(en fait c'est plus qu'une vision, c'est un voyage dans le Ciel
puisqu' Elle m'a emmené là-haut à côté d'elle).
J'aurais pu lui prendre la main comme un fils mais je n'ai pas osé.
Je le souhaitais mais je n'ai pas osé.

Je me trouvais en haut du Ciel,
Maman Myriam est debout à ma droite, juste à mon côté.
Je ne la vois pas mais je sens très bien sa présence bienveillante et maternelle.
je me tiens debout à sa gauche en tunique blanche,
je me sens parfaitement bien et à l'aise.
Détendu.

Devant nous à environ deux mètres se tient assis le Père Eternel
sur un trône tout simple, une sorte de fauteuil carré,
en pierre blanche ou en marbre blanc.
Avec des accoudoirs carrés.
Je ne vois aucune sculpture sur son fauteuil.

Je ne suis pas surpris de le voir,
comme si je le connaissais déjà.
Il a une tunique blanche et je ne vois pas ses jambes,
qui sont recouvertes d'une sorte de nuage blanc vaporeux.
Ses épaules sont larges et il semble grand.
Ses deux bras sont posés sur les accoudoirs du fauteuil carré en pierre blanche.
Il est solide.
Il émane de Lui un grand calme.
Une sérénité que rien ne peut troubler.
Il émane aussi de Lui une grande gentillesse
et l’impression que l’on peut lui donner entièrement confiance.

Il regarde devant lui,
(nous sommes à son côté gauche).
Il regarde avec grande attention quelque chose d'important,
mais je ne sais pas quoi.
Je sens qu'il assiste à une scène de quelque chose
qui se passe quelque part mais je ne sais pas quoi.

Nous attendons qu'il soit disponible et qu'il nous regarde.
Nous avons tout le temps.

Il a un très beau visage : bien lisse, sans rides, la peau claire,
les yeux d'un très beau bleu clair,
(on dirait sur terre « bleu piscine » excusez le terme).
Il a une apparence de chair comme un européen.

Voici sans doute pourquoi nos frères et sœurs Judaïques disent
"le vieillard qui n'a pas d'âge" en parlant du Père Yahvé.
On ne peut pas lui donner un âge.
Si j’essayais, je dirais environ 60 ans.
Sans aucune ride.

Sa barbe blanche n'est pas si longue que ça, ses cheveux sont longs
et très blancs comme la neige, et tombent librement sur ses épaules et dans son dos.

Il émane de Lui tant d'Amour, tant de Paix et de Tendresse Paternelle,
que je ne peux que l'aimer d'emblée de toute mon âme, de tout mon coeur de fils, avec reconnaissance.
Il émane de Lui une Paix, une tranquillité incroyable.

Puis il tourne tranquillement son beau visage vers moi, et me sourit,
avec son visage et avec ses yeux.
Ses magnifiques yeux bleus me sourient,
ainsi que son beau sourire de Papa.
Il émane de lui une grande Tendresse Paternelle.

Je me sens heureux comme jamais !
Je me sens nourri par le sourire de Papa !

J'aurais aimé me blottir dans ses bras, sur son cœur.
Poser ma tête sur son cœur sans bouger.
Pour me nourrir de sa Tendresse, dans une prière silencieuse.

À la droite du Père, un peu en retrait,
se tenait debout mon Seigneur Esprit Saint,
qui me regardait avec bienveillance, sans jugement dans son regard.
Regard neutre et bienveillant.

Il est vêtu d'une tunique blanche longue,
Il est de peau très blanche comme sa tunique blanche qui semble de lin,
avec un visage qui a des yeux, un nez, une bouche,
mais pas de cheveux.
De loin, quelques mètres, je ne distingue pas la couleur de ses yeux.
Je sens son regard posé sur moi, bon, neutre et bienveillant.
Je me sens reconnu pour moi-même. Respecté tel que je suis.

Fin de l'audience du Père.

Le Seigneur Jesus-Christ devait peut-être secourir quelq'un ailleurs. Il n'était pas présent cet instant là.

Maman a dû me ramener vers mon corps terrestre,
mais je ne me souviens pas de ce voyage de retour.
Je devais dormir sur terre pendant mon voyage cette nuit là,
mais cela n’était pas un rêve, car les rêves je les oublie,
les visions je ne les oublie jamais.

Voilà je vous transmets en témoignage et en partage
le cadeau magnifique que j'ai reçu de Maman.

J'espère ne pas vous avoir ennuyé avec ce partage,
et je vous souhaite de connaître un tel bonheur.

Je n'ai aucun mérite de ce voyage,
mais tout le mérite en revient à Maman Myriam, Sainte Vierge Marie,
celle que les Archanges et les Anges appellent "la Très Pure".

Bonjour Joël et un très grand merci pour ce beau témoignage que vous avez bien voulu nous partager !

Continuez à nous apporter de belles choses, ça fait du bien ! Vos interventions sont réconfortantes.

C'est un beau message d'Espérance.....

Fraternellement,

Malou

Merci Joel pour votre témoignage, j'ai fait moi aussi une expérience avec Dieu le Père; au courant de l'an dernier grace à Effata; nous étions nombreux, nous nous sommes mis 3 par 3 pour former une petite trinité sur la Terre et nous avons vécu une configuration au coeur de Dieu le Père, c'était tout simplement grandiose et inoubliable. Union de prière. Marie-Ange

Merci à toi aussi Marie-Ange pour ce beau partage !

Comme Notre Père est bon !

La prière Ave Maria d'Or

Je vous salue Marie Blanc Lys de la Glorieuse et toujours paisible Trinité
Je vous salue Marie Rose éclatante du Jardin des Célestes délices
Ô Vous de qui a voulu naître et du Coeur de laquelle a voulu se nourrir le Roi des Cieux
Veuillez abreuver nos âmes des effusions de Tendresse de la Grâce Divine.

Amen.

...

Bonjour,

Si cette intervention peut être réconfortante pour les personnes qui lisent
j'en serais très heureux.

Décembre 1999
Expérience de montée au Ciel avec Maman Marie.
Le midi, j'avais un peu de temps, après avoir mangé rapidement un sandwich
avant de rentrer au bureau où on me retire de plus en plus mon travail jusqu'à ne me laisser plus rien, je décide de me ressourcer dans cette église qui est proche, et où à l'intérieur on entend beaucoup moins les bruits de la rue,
les bruits de la vie où on n'a pas le temps de prendre le temps.

La statue de Sainte Marie est là, dans le fond, belle, immuable, son visage tourné vers le Ciel. Jolie, Pure, une merveille de Maman.
Je viens chercher ici quelque chose comme une consolation, un refuge, une sorte de jardin secret.
Dans cette petite église, je décide de m'agenouiller sur un prie Dieu.
ça me fait mal aux genoux mais tant pis, si d'autres peuvent le faire je dois pouvoir le supporter aussi. C'est bon d'être là, contemplatif.
Je me sens bien ici, protégé, loin de la persécution de la responsable dans mon travail dont elle veut me priver pour me ficher dehors.
Mais je tiens bon, elle n'a rien à me reprocher, ambitieuse et intrigante. Mais il y aura une Justice.
Je serre mes deux mains je croise mes doigts
je regarde les bougies continuer à envoyer les prières des gens vers le Ciel.
C'est beau toutes ces bougies allumées, petites flammes très brillantes, dansantes, comme si la parole des prières se transformait en lumière toute droite, et ensuite la lumière redeviendrait paroles, demandes et remerciements.
Je dis dans ma tête la Prière au Père.
Puis je dis la prière à Maman Marie au pied de cette belle statue en robe blanche avec son manteau blanc et sa ceinture de soie bleue.
Puis je ferme les yeux, et je me laisse porter par la sérénité, la Paix du lieu.
Oui, combien j'ai besoin de Paix dans ma vie, qui n'est pas repli sur soi.
Paix avec moi-même.

Devant les bougies, les yeux fermés, je me sens monté, emporté dans une colonne verticale, faite d'une sorte de nuage blanc léger très vertical.
Je sens que j'ai un vêtement blanc, et je vois que j'ai les mains jointes devant mes poumons, les deux mains à plat l'une sur l'autre verticalement.
Alors qu'en bas j'avais les doigts croisés.
Je ne cherche pas à comprendre ce qui m'arrive avec ma pensée, mais je me laisse porter, à ressentir ce Bien-Etre qui me fait tant de bien.
À côté de cette colonne verticale, je sens la présence de Maman Marie qui m'accompagne. Je ne sais pas comment elle fait cela, mais elle sait le faire et c'est bien. Accompagné par Maman je suis au-dessus de l'église, puis au-dessus de la ville, puis de la région, puis du pays. Elevé lentement mais sûrement : pas de peur, dans la confiance je me sens bien.

Attente, attente, attente, je ne sais pas ce que nous attendons, je ne vois pas Maman Myriam, mais je sens sa présence à quelques pas, elle attends aussi.
A ce moment j'ai pensé à mes deux enfants restés en bas, sur terre je veux dire, une fraction de seconde j'ai pensé que je ne voudrais pas rester en haut maintenant pour toujours, et qu'ils restent seuls en bas car leur maman est hospitalisée, et ne peut pas s'occuper d'eux.
J'ai pensé en père terrestre et pas assez en même temps en fils du Ciel.
Alors je crois que Notre Maman l'a mal pris, comme un manque de confiance en Elle et en Dieu. Et aussitôt je me sentis redescendre beaucoup plus vite que je n'étais monté, et je me retrouvais âme dans mon corps, quasi instantanément. Conscient mais déçu. Déçu de moi-même, déçu d'avoir déçu.

J'ai appris plus tard que j'ai raté une chose merveilleuse :
le fait que le Père Eternel me prenne dans ses bras et me serre sur son Cœur.
Dommage.
Pardon à toi Sainte Marie, j'ai pensé à mes enfants parce que je ne savais pas ce que nous attendions là haut, j'aurais dû ressentir que tu ne me laisserais pas là haut et les laisser seuls en bas. Ce n'était pas mon heure de toute façon. J'ai à donner ici.
Nos enfants sont les enfants de Dieu.

Si je ne prends pas ma place dans le Coeur de Papa, par le Coeur de Jesus, la place est vide.