Appel pressant de Marie à la Terre : secret de La Salette
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Appel pressant de Marie à la Terre : secret de La Salette
19 septembre - France. Notre Dame Réconciliatrice de la Salette (1846)
J’adresse un appel pressant à la terre
J’adresse un appel pressant à la terre ; j’appelle les vrais disciples du Dieu vivant et régnant dans les Cieux ; j’appelle les vrais imitateurs du Christ fait homme, le seul et vrai Sauveur des hommes ; j’appelle mes enfants, mes vrais dévôts, ceux qui se sont donnés à moi pour que je les conduise à mon divin Fils, ceux que je porte pour ainsi dire dans mes bras, ceux qui ont vécu de mon esprit enfin j’appelle les Apôtres des derniers temps, les fidèles disciples de Jésus-Christ, qui ont vécu dans un mépris du monde et d’eux-mêmes, dans la pauvreté et dans l’humilité, dans le mépris et dans le silence, dans l’oraison, et la mortification, dans la chasteté et l’union avec Dieu, dans la souffrance et inconnus du monde.
Il est temps qu’ils sortent et qu’ils viennent éclairer la terre.
Allez et montrez-vous comme mes enfants chéris ; je suis avec vous et en vous, pourvu que votre foi soit la lumière qui vous éclaire en ces jours de malheurs. Que votre zèle vous rende comme des affamés pour la gloire et l’honneur de Jésus-Christ.
Combattez, enfants de lumière, vous, le petit nombre qui y voyez ; car voici le temps des temps, la fin des fins.
Extrait de la dernière rédaction du secret de La Salette
rédigé par Mélanie le 21 novembre 1878 et rapporté dans le livre
“Découverte du Secret de La Salette” de l’Abbé Laurentin et du Père Corteville - Fayard 2002
Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
Amen.
SOURCE : une Minute avec Marie
htp://www.mariedenazareth.org
J’adresse un appel pressant à la terre
J’adresse un appel pressant à la terre ; j’appelle les vrais disciples du Dieu vivant et régnant dans les Cieux ; j’appelle les vrais imitateurs du Christ fait homme, le seul et vrai Sauveur des hommes ; j’appelle mes enfants, mes vrais dévôts, ceux qui se sont donnés à moi pour que je les conduise à mon divin Fils, ceux que je porte pour ainsi dire dans mes bras, ceux qui ont vécu de mon esprit enfin j’appelle les Apôtres des derniers temps, les fidèles disciples de Jésus-Christ, qui ont vécu dans un mépris du monde et d’eux-mêmes, dans la pauvreté et dans l’humilité, dans le mépris et dans le silence, dans l’oraison, et la mortification, dans la chasteté et l’union avec Dieu, dans la souffrance et inconnus du monde.
Il est temps qu’ils sortent et qu’ils viennent éclairer la terre.
Allez et montrez-vous comme mes enfants chéris ; je suis avec vous et en vous, pourvu que votre foi soit la lumière qui vous éclaire en ces jours de malheurs. Que votre zèle vous rende comme des affamés pour la gloire et l’honneur de Jésus-Christ.
Combattez, enfants de lumière, vous, le petit nombre qui y voyez ; car voici le temps des temps, la fin des fins.
Extrait de la dernière rédaction du secret de La Salette
rédigé par Mélanie le 21 novembre 1878 et rapporté dans le livre
“Découverte du Secret de La Salette” de l’Abbé Laurentin et du Père Corteville - Fayard 2002
Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
Amen.
SOURCE : une Minute avec Marie
htp://www.mariedenazareth.org
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
- Messages : 14722
Localisation : France
Inscription : 16/01/2010
Re: Appel pressant de Marie à la Terre : secret de La Salette
Marie s'est bâti une petite armée pour prier et faire la corédemption.
Nous la suivons pas à pas , elle vient à notre secours, que ceux qui ont `
à comprendre comprennent.
jc
spiri- Hosanna au plus haut des cieux!
- Messages : 499
Localisation : quebec
Inscription : 16/07/2010
Re: Appel pressant de Marie à la Terre : secret de La Salette
Un grand voile était levé (I)
La Sainte Vierge prononçait toutes ces paroles, soit des secrets, soit des règles, seulement j’aurai pu deviner ou pénétrer le reste de ce qu’elle disait en paroles : un grand voile était levé, les événements se découvraient à mes yeux et à mon imagination au fur et à mesure qu’elle prononçait toutes ces paroles et un grand espace se déroulait devant moi ; je voyais les événements, les changements d’opération de la terre, et Dieu immuable dans sa gloire regardait la Vierge qui s’abaissait à parler à deux pâtres (...)
Il y a des personnes qui voudraient que la Vierge n’eût pas tant parlé. C’est dommage qu’elles soient avares envers une pauvre bergère qui désirait de tout son coeur que le monde entier eût vu et entendu tout ce qu’elle a vu et entendu pendant une demi-heure, parce que tout le monde se serait converti ...
Et ces personnes qui disent que la Sainte Vierge ne parle pas autant, auraient bien compris et mieux compris que ce qu’enseignent les livres, s’il y en a qui l’enseignent, que les paroles du Ciel ne sont pas seulement des paroles : c’est-à-dire que la personne qui l’écoute ne s’arrête pas à la lettre, à la parole ; mais chaque parole se développe, et l’action future a lieu dans le moment, et l’on voit mille et mille fois plus de choses que ce que les oreilles entendent.
On s’élève à une hauteur qui n’est pas le Ciel, et peut-être même on ne change pas de place ; mais on voit et l’on entend tout, on comprend sans rien dire, et l’on s'oublie soi-même entièrement. Et, sans le vouloir, on entre dans l’esprit des tableaux qui sont exposés : c’est-à-dire que si c’est un tableau triste, on est triste, si c’est joyeux, on est joyeux, on en ressent de la joie. On voit des complots qui se font ; on voit des rois de la terre, lesquels ont chacun plusieurs anges gardiens : on les voit s’agiter, faire, défaire ; on voit la jalousie des uns, l’ambition des autres, etc. etc. : et tout cela dans une seule parole qui s’échappe des lèvres de Celle qui fait trembler l’enfer, la Vierge Marie.
Lettre de Mélanie à l’Abbé Félicien Bliard, le 26 décembre 1870
rapportée dans le livre “Découverte du Secret de La Salette”
de l’Abbé Laurentin et du Père Corteville -
La Sainte Vierge prononçait toutes ces paroles, soit des secrets, soit des règles, seulement j’aurai pu deviner ou pénétrer le reste de ce qu’elle disait en paroles : un grand voile était levé, les événements se découvraient à mes yeux et à mon imagination au fur et à mesure qu’elle prononçait toutes ces paroles et un grand espace se déroulait devant moi ; je voyais les événements, les changements d’opération de la terre, et Dieu immuable dans sa gloire regardait la Vierge qui s’abaissait à parler à deux pâtres (...)
Il y a des personnes qui voudraient que la Vierge n’eût pas tant parlé. C’est dommage qu’elles soient avares envers une pauvre bergère qui désirait de tout son coeur que le monde entier eût vu et entendu tout ce qu’elle a vu et entendu pendant une demi-heure, parce que tout le monde se serait converti ...
Et ces personnes qui disent que la Sainte Vierge ne parle pas autant, auraient bien compris et mieux compris que ce qu’enseignent les livres, s’il y en a qui l’enseignent, que les paroles du Ciel ne sont pas seulement des paroles : c’est-à-dire que la personne qui l’écoute ne s’arrête pas à la lettre, à la parole ; mais chaque parole se développe, et l’action future a lieu dans le moment, et l’on voit mille et mille fois plus de choses que ce que les oreilles entendent.
On s’élève à une hauteur qui n’est pas le Ciel, et peut-être même on ne change pas de place ; mais on voit et l’on entend tout, on comprend sans rien dire, et l’on s'oublie soi-même entièrement. Et, sans le vouloir, on entre dans l’esprit des tableaux qui sont exposés : c’est-à-dire que si c’est un tableau triste, on est triste, si c’est joyeux, on est joyeux, on en ressent de la joie. On voit des complots qui se font ; on voit des rois de la terre, lesquels ont chacun plusieurs anges gardiens : on les voit s’agiter, faire, défaire ; on voit la jalousie des uns, l’ambition des autres, etc. etc. : et tout cela dans une seule parole qui s’échappe des lèvres de Celle qui fait trembler l’enfer, la Vierge Marie.
Lettre de Mélanie à l’Abbé Félicien Bliard, le 26 décembre 1870
rapportée dans le livre “Découverte du Secret de La Salette”
de l’Abbé Laurentin et du Père Corteville -
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
- Messages : 14722
Localisation : France
Inscription : 16/01/2010
Re: Appel pressant de Marie à la Terre : secret de La Salette
Un grand voile était levé (II) ....suite
Oui, si ces personnes avaient vu une seule fois quelqu’un du Paradis, elles ne diraient plus que l’esprit qui leur a parlé n’a pas dit tant de choses ; mais elles diraient plutôt qu’il leur est impossible de dire tout ce qu’elles savent.
Je suis une grande ignorante ; mais si j’étais une lettrée plus savante, je ne pourrais rien écrire des choses d’en-haut, parce que les expressions des plus grands savants n’arrivent pas à l’ombre de la vérité des expressions dont on se sert là-haut pour se parler. Le langage d’en-haut est un mouvement de l’âme, des souhaits de l’âme, des élans de l’âme ; et les yeux vifs de l’âme se comprennent. Donc je crois que si, ici-bas, nous voulions expliquer cela, nous n’y arriverions pas. Et moi surtout, vile poussière, je suis encore à naître pour parler de ces choses-là. Aimons le bon Dieu de tout notre coeur : voilà notre science et notre richesse. Oh ! il faut être fou de l’amour de Celui qui a été le premier, Fou d’amour pour nous ... (...)
Je trouve très difficile de pouvoir rendre une chose qui n’a pas de comparaison. Si, par exemple, je voulais expliquer comment je voyais la Sainte Vierge, j’entendais ses paroles, je voyais s’exécuter ce qu’elle disait en paroles, je voyais le monde entier, je voyais l’oeil de l’Eternel ; c’était un tableau en action : je voyais le sang de ceux qui étaient mis à mort, et le sang des martyrs ; mais l’amour de cette douce Vierge s’étendait sur moi, il prenait la place de tout le reste, il me faisait fondre ; je ne pensais plus, je n’avais pas le pouvoir de faire une réflexion ; j’étais bien savante alors, je parlais, mais je ne parlais pas avec des paroles ; et quand la douce Vierge marchait, elle n’eut pas besoin de me dire de la suivre, certes non ; je ne savais pas que j’étais, je ne pensais pas que j’avais des pieds pour marcher ; j’étais attirée ; j’étais collée à cette beauté ravissante : Marie ! ...
Si je voulais, dis-je, expliquer tout cela, jamais, jamais je n’arriverais à dire la vérité ...
Lettre de Mélanie à l’Abbé Félicien Bliard, le 26 décembre 1870
rapportée dans le livre “Découverte du Secret de La Salette”
de l’Abbé Laurentin et du Père Corteville
Oui, si ces personnes avaient vu une seule fois quelqu’un du Paradis, elles ne diraient plus que l’esprit qui leur a parlé n’a pas dit tant de choses ; mais elles diraient plutôt qu’il leur est impossible de dire tout ce qu’elles savent.
Je suis une grande ignorante ; mais si j’étais une lettrée plus savante, je ne pourrais rien écrire des choses d’en-haut, parce que les expressions des plus grands savants n’arrivent pas à l’ombre de la vérité des expressions dont on se sert là-haut pour se parler. Le langage d’en-haut est un mouvement de l’âme, des souhaits de l’âme, des élans de l’âme ; et les yeux vifs de l’âme se comprennent. Donc je crois que si, ici-bas, nous voulions expliquer cela, nous n’y arriverions pas. Et moi surtout, vile poussière, je suis encore à naître pour parler de ces choses-là. Aimons le bon Dieu de tout notre coeur : voilà notre science et notre richesse. Oh ! il faut être fou de l’amour de Celui qui a été le premier, Fou d’amour pour nous ... (...)
Je trouve très difficile de pouvoir rendre une chose qui n’a pas de comparaison. Si, par exemple, je voulais expliquer comment je voyais la Sainte Vierge, j’entendais ses paroles, je voyais s’exécuter ce qu’elle disait en paroles, je voyais le monde entier, je voyais l’oeil de l’Eternel ; c’était un tableau en action : je voyais le sang de ceux qui étaient mis à mort, et le sang des martyrs ; mais l’amour de cette douce Vierge s’étendait sur moi, il prenait la place de tout le reste, il me faisait fondre ; je ne pensais plus, je n’avais pas le pouvoir de faire une réflexion ; j’étais bien savante alors, je parlais, mais je ne parlais pas avec des paroles ; et quand la douce Vierge marchait, elle n’eut pas besoin de me dire de la suivre, certes non ; je ne savais pas que j’étais, je ne pensais pas que j’avais des pieds pour marcher ; j’étais attirée ; j’étais collée à cette beauté ravissante : Marie ! ...
Si je voulais, dis-je, expliquer tout cela, jamais, jamais je n’arriverais à dire la vérité ...
Lettre de Mélanie à l’Abbé Félicien Bliard, le 26 décembre 1870
rapportée dans le livre “Découverte du Secret de La Salette”
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