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Guérison et miracle

Avec Sœur Bernadette Mouriau à Lourdes, un témoignage sublime à quatre voix

Retour sur l'exceptionnelle veillée d'action de grâce du jeudi 5 juillet 2018 pour la reconnaissance officielle, le 11 février dernier, de la guérison miraculeuse dont a bénéficié Sœur Bernadette Mouriau.

Jeudi 5 juillet 2018, à 20h30, en l'église Sainte-Bernadette du Sanctuaire de Lourdes, des milliers de pèlerins, à l'invitation de ceux du diocèse de Beauvais (Oise, France), ont participé à une veillée d'action de grâce pour la guérison de Sœur Bernadette Mouriau, religieuse ayant reçu une grâce de guérison en lien avec Lourdes, en 2008, guérison reconnue miraculeuse par l'évêque de Beauvais, Mgr Benoit-Gonnin, le 11 février 2018 (c'est le 70e miracle reconnu officiellement à Lourdes depuis les apparitions en 1858).

Au cours de cette soirée intense, ont successivement pris la parole :

L'évêque de Beauvais, Mgr Benoît-Gonnin; Sœur Bernadette Mouriau; le Docteur Christophe Fumery, médecin traitant de Sœur Bernadette; le Docteur Alessandro de Franciscis, président du Bureau des Constations médicales de Lourdes.

Une grande joie à Lourdes à l'annonce de la 70e guérison reconnue miraculeuse

L'évêque de Beauvais, Mgr Benoît-Gonnin, proclame le 70e miracle de Lourdes

LOURDES le journal des grâces #44 70e guérison miraculeuse : rencontre avec Sœur Bernadette Moriau

De Gaulle: Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français.

@Neb
voici un aperçu des demandes par les autochtones du canada

Une expérience difficile, mais inspirante
Murray Sinclair, premier juge autochtone au Canada et président de la commission, a été accueilli par une longue ovation au moment de présenter le rapport. Pour en arriver à déposer ses recommandations, la commission a oeuvré six ans et entendu les témoignages de près de 7000 victimes et responsables de pensionnats autochtones.
« L'épisode des pensionnats autochtones est un des chapitres les plus sombres et les plus troublants de notre histoire collective », a relaté M. Sinclair, qui a qualifié la commission « d'expérience difficile, douloureuse, mais inspirante ».
Selon lui, le Canada a sans contredit participé à un « génocide culturel » pendant plus d'un siècle.
[size=20]« Ils [les Autochtones] ont été privés de leur amour-propre, ils ont été privés de leur identité. Leurs histoires - plus de 6750 en tout - font maintenant partie de l'histoire qui ne sera jamais oubliée ni ignorée. »[size=10]— Murray Sinclair[/size]
M. Sinclair estime qu'un engagement à l'échelle nationale est nécessaire afin de faire changer les politiques. « La réconciliation n'est pas un problème autochtone, c'est un problème canadien. Cela nous concerne tous », a-t-il affirmé.
Les Églises savent que les excuses sont insuffisantes
Mgr Fred Hiltz, primat de l'Église anglicane du Canada, a émis une déclaration commune avec des représentants des Églises presbytérienne, unie et catholique.
Il a souligné que les violences sexuelles, physiques et émotionnelles subies par des enfants vulnérables dans des écoles administrées par des Églises ont bien été documentées dans les travaux de la Commission de vérité et réconciliation.
« Nous savons et déclarons que nos excuses ne suffisent pas », a-t-il dit.
À lire aussi :

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sur ce site:http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2015/06/02/009-commission-verite-reconciliation-autochtones-reactions.shtml

Peut-être qu'on devrait leur dire vous avez souffert le martyre offrez-le su Seigneur pour réparer les fautes de vos agresseurs.
Se serait de l'évangélisation, leur apprendre que souffrir et martyr c'est ce que le Seigneur aime.