Corps de chair/Corps spirituel
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Forum catholique LE PEUPLE DE LA PAIX :: La Fin des Temps :: PROPHÉTIES, RÉVÉLATIONS SUR LE TEMPS QUI VIENT
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Corps de chair/Corps spirituel
Ce vidéo, plaisant à visionner montre assez bien la façon dont nous sommes constitués c'est à dire un corps de chair unit à un corps spirituel.
Notre corps de chair vit avec notre corps spirituel dans une bonne harmonie quand les deux s’accordent.
Dieu aime habiter dans un corps spirituel exempt de péché où l'âme devient comme son autel et Dieu Trinitaire peut s'y reposer.
Notre corps de chair accueuille Dieu Trinitaire à travers ce beau mystère qu'est l'Eucharistie.
1Co 15:44- | on est semé corps psychique, on ressuscite corps spirituel. S'il y a un corps psychique, il y a aussi un corps spirituel. |
Michael- Dans la prière
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Re: Corps de chair/Corps spirituel
Mirella Pizzioli
Ces révélations uniques nous apprennent énormément de choses sur ce qui se passe dans les instants qui suivent la mort.
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Elles disent toutes une chose "Jamais plus sur la terre ! Si le Seigneur me demandait un tel sacrifice, je le ferais pour lui, mais, moi, de ma propre volonté, jamais plus sur la terre ". Mais le Seigneur ne le demande pas
Dieu a donné à une italienne, Mirella Pizzioli, un charisme surprenant, celui de recevoir des messages de l’au-delà. Dieu lui a fait don de recevoir des communications de l'au-delà pour des familles en deuil. "Le ciel est ouvert au-dessus de moi, nous dit-elle, la mort n'existe pas, je les vois, j'entends leurs voix, ils sont vivants, ils nous tendent les bras, nous sourient…"
Mirella Pizzioli raconte dans un livre "Porte ouverte sur l'au-delà" quelques-unes de ses expériences. (Éditions du Parvis)
http://www.parvis.ch/auteurs/mirella_pizzioli_f.htm Pour contacter Mirella
Voici des extraits d'un entretien de C. Parmantier tirés de plusieurs articles du journal STELLA MARIS
(...) J'ai assisté une autre femme âgée, de la famille de mon mari. On a dû lui mettre les barrières de protection, parce qu'en agonie, elle tombait du lit.
Et quand elle est partie, les créatures du Ciel m'ont dit que cette personne est au purgatoire et que sa faute, c'était son grand égoïsme et son attachement à l' argent. J'ai dit quelques mots à sa famille, mais ils se sont offensés, disant qu'il n'était pas possible que cette femme de 80 ans puisse être au purgatoire, parce que son purgatoire, elle l'avait déjà fait sur la terre.
- Que doit faire la famille quand arrive l'agonie ?
Elle doit prier, prier, demander pardon au Seigneur pour cette créature. Si elle est catholique, elle doit demander le prêtre pour le sacrement des malades et l'inviter doucement à se confesser.
Et si on n'y réussit pas, nous, prions pour elle. Si elle n'accepte pas, on prie discrètement pour elle; il suffit d'aller dans le couloir, et de dire : "Seigneur, miséricorde pour cette personne !", parce que la miséricorde que le Seigneur a pour cette personne, un jour, il l'aura pour nous qui l'avons imploré pour les autres.
- Pour un agonisant, la prière des proches est donc très importante. Libère-t-elle le moribond plus vite?
Je pense que oui. Mais, de toute façon, le Seigneur a pitié de cette créature, même si personne ne prie pour elle. Mais, si nous mettons en acte notre foi, nous avons, nous, un bénéfice, qui est toujours réciproque.
Dans les messages que je reçois, selon ce que disent les créatures de leur passage, c'est un moment sans douleurs. Très souvent, elles disent qu'au moment de partir, elles se sentent comme quand elles étaient petites, serrées dans les bras de la maman.
Arrivées au moment de «la mort», - elles ne disent jamais la mort; la mort, pour elles, a un autre sens, pas celui-ci -, après la souffrance, après l'immense lassitude, l'épuisement physique au point de n'en plus pouvoir, alors, elles éprouvent la sensation de rêver, de se sentir si bien, qu'elles sont convaincues de rêver. Et dans ce rêve conscient, elles se disent: «Je ne veux pas ouvrir les yeux», parce cela faisait longtemps qu'elles ne se sentaient pas aussi bien. Elles goûtent la paix en elles-mêmes. Elles ne ressentent plus les douleurs, elles n'entendent plus le bruit. Et elles craignent d'ouvrir les yeux, parce que, après ce temps de souffrances, elles vivent une sensation si belle, qu'elles ont peur, en ouvrant les yeux, de se retrouver malades à l'hôpital.
Et à l'improvise, il arrive toujours quelque chose. Ou elles s'entendent appeler, ou elles sont comme obligées d'ouvrir les yeux. Au moment où il y a cette ouverture, elles s'aperçoivent que quelque chose est arrivé. Certaines disent qu'elles se sont senties planer, comme une plume qui flotte dans l'air, comme quelque chose qui se balance, mais toujours quelque chose de très agréable.
La mort, telle que nous en parlons, ne comporte pas de souffrances. C'est un moment de grâce, c'est un moment de tendresse.
Et alors, il y a le contact avec l'autre réalité. Dès qu'elles ouvrent les yeux, elles se rendent compte immédiatement qu'elles sont «mortes», de l'autre côté... que c'est une autre situation où elles n'ont plus rien à faire avec la terre.
La terre, elle est fermée ! Et là, pour certains, c'est la terreur, pour d'autres la joie. Quand l'âme est détachée du corps, elle acquiert la connaissance immédiatement et opère un certain retour, une réflexion profonde sur ce qu'a été sa vie. Sereine et en paix, elle éprouve la sensation d'être arrivée : "Il n'y a plus de problèmes".
Elle veut affronter avec courage la purification qui reste nécessaire.
Pour les créatures qui ont vécu de manière indifférente vis-à-vis de Dieu, ou sans le connaître, celles qui n'ont pas réfléchi, qui n'ont pas encore choisi, lorsqu'elles se trouvent sur le seuil de la Porte, le Seigneur leur donne l'opportunité de comprendre, de voir, d'entendre. Et alors elles se décident à dire oui ou non à Dieu.
Le plus grand nombre, au moment du détachement, se convertit, demande pardon et est sauvé.
Mais il y a des personnes qui malgré tout ne le veulent pas.
Si je pouvais vous raconter tous les messages, reçus ici, dans ce sous-sol, ce serait plein d'écrits, des piles de paquets! Bien que ce soit la même chose, chacun a une sensation différente. Chaque personne est différente d'une autre, différente dans sa vie sur la terre, différente dans sa préparation...
C'est merveilleux, vu que chacun vit ce moment d'une manière qui lui est propre. Mais au fond, à ce moment-là, c'est toujours un réveil; la créature comprend immédiatement sa situation, avec une très grande lucidité. Personne ne dit : "Mais qu'est-ce que je fais là, où suis-je ?" Non, chacun sait ce qu'il lui est arrivé.
Pour certains, j' ai l' impression qu'ils se retournent comme s'ils voulaient revenir en arrière, s'échapper de là. Mais c'est impossible. Ceux qui meurent dans la violence, ceux qui se suicident, qui partent immédiatement dans un accident de la route... et se mettent presque en colère. Ceux qui se suicident, c'est presque de la folie. Ils veulent revenir en arrière, parce qu'ils se disent: «Mais qu'est-ce que j'ai fait ? Je n'ai rien compris !» C'est vraiment la perception immédiate de ce qu'ils ont fait.
Beaucoup, dans les accidents de la route, restent sur le lieu même des jours durant; je les vois assis sur le trottoir. Et souvent, quand il y a un accident, un autre survient au même endroit... Elles me parlent de la lumière, mais pas de tunnels. Elles parlent seulement de leur totale lucidité à comprendre où elles sont.
Très souvent si c'est un fils, Dieu envoie la maman qui s'approche pour consoler. En voyant une maman, on n'a pas peur.
Si c'est une personne qui a déjà l'habitude de vivre en Dieu, la sainteté se reflète, et c'est la rencontre proprement dite. Mais je crois que c'est une action immédiate, aussi bien l'une que l'autre, parce qu'il n'est plus question de temps (puisqu'il n'y a plus de matière, il n'y a plus de lieu ni de temps).
Pour des garçons qui s'en vont dans les accidents de la route, d'autres garçons qui sont déjà au Ciel viennent parler avec cette créature. Et voyant des jeunes, ils se tranquillisent entre eux. Ils plaisantent entre eux; je les vois, avec les jeans, les chaussures de sport toutes défaites, ils rient ; puis la personne qui est morte à ce moment, si elle est jeune, très souvent donne des coups de pied à la voiture ! Elle est comme en colère après la voiture.
Et puis, elle se dit: «C'est ma faute, parce que j'allais trop vite, je savais que je ne devais pas le faire, c'est de ma faute». (...)
Les créatures voient leur corps, et elles ne se plaisent jamais! Quand elles se regardent de l'extérieur de leur corps, c'est comme d'enlever un vêtement sale, déchiré...
Elles n'ont aucune nostalgie du corps. C'est même un plaisir de se détacher de quelque chose qui a fait souffrir. «C'était si pesant» disent-elles. Certaines m'ont avoué avoir bien ri, malgré le déplaisir de voir leurs parents les pleurer. L'âme est dans la joie. (...)
Les âmes n'oublient rien de la terre, elles se souviennent de tout.
Dans tous les cas, elles viennent nous enseigner à ne pas faire les mêmes erreurs qu'elles ont faites, elles: «Si je n'avais pas fait ceci...» Elles demandent pardon si elles n'ont pas su aimer, elles se repentent de ne pas avoir enseigné l'amour à leurs enfants, de ne pas leur avoir appris à embrasser, à s'embrasser.
Elles disent toutes une chose : "Jamais plus sur la terre ! Si le Seigneur me demandait un tel sacrifice, je le ferais pour lui, mais, moi, de ma propre volonté, jamais plus sur la terre !" Mais le Seigneur ne le demande pas.
Les âmes s'en souviennent de la mort comme d'un moment très doux, le moment le plus important; elles l'appellent la renaissance. C'est pourquoi elles ne fêtent pas le jour de leur anniversaire, mais le jour de leur départ de la terre. (...)
Je n'ai pas lu le volume,mais j'aime bien ce court extrait.
Michael- Dans la prière
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Re: Corps de chair/Corps spirituel
Marc, chapitre 9
Mc 9:1- Et il leur disait : " En vérité je vous le dis, il en est d'ici présents qui ne goûteront pas la mort avant d'avoir vu le Royaume de Dieu venu avec puissance. "
Mc 9:2- Six jours après, Jésus prend avec lui Pierre, Jacques et Jean et les emmène seuls, à l'écart, sur une haute montagne. Et il fut transfiguré devant eux
Mc 9:3- et ses vêtements devinrent resplendissants, d'une telle blancheur qu'aucun foulon sur terre ne peut blanchir de la sorte.
Mc 9:4- Élie leur apparut avec Moïse et ils s'entretenaient avec Jésus.
Mc 9:5- Alors Pierre, prenant la parole, dit à Jésus : " Rabbi, il est heureux que nous soyons ici ; faisons donc trois tentes, une pour toi, une pour Moïse et une pour Élie. "
Mc 9:6- C'est qu'il ne savait que répondre, car ils étaient saisis de frayeur.
Mc 9:7- Et une nuée survint qui les prit sous son ombre, et une voix partit de la nuée : " Celui-ci est mon Fils bien-aimé ; écoutez-le. "
Michael- Dans la prière
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Re: Corps de chair/Corps spirituel
Merci Michaël pour ces trés beaux et trés instructifs passages.
Fraternellement
Séraphin
Fraternellement
Séraphin
Séraphin- Aime la Divine Volonté
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Localisation : Sur Terre
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Re: Corps de chair/Corps spirituel
Heureux de vous revoir Séraphin!!!
Au plaisir de vous lire.
Bonne journée.
Au plaisir de vous lire.
Bonne journée.
Michael- Dans la prière
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Inscription : 08/03/2009
Re: Corps de chair/Corps spirituel
Merci Michael
c'est tout simplement merveilleux et réconfortant de lire cela.
j'aimerai bien lire ce livre
Violaine
c'est tout simplement merveilleux et réconfortant de lire cela.
j'aimerai bien lire ce livre
Violaine
violaine- Avec les anges
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Re: Corps de chair/Corps spirituel
LA MORT ET LA REINCARNATION
Au moment de la mort, nous sommes conscients de la séparation de l'âme et du corps. Il est faux d'enseigner aux gens que nous renaissons plusieurs fois. On ne naît qu'une fois. Le corps tiré de la terre, se décompose naturellement après la mort. L'homme reçoit un corps transfiguré. Vous devez vous préparer à mourir. La réincarnation est une pure invention de l'homme.
http://apotres.amour.free.fr/page7/appamedj.htm
Au moment de la mort, nous sommes conscients de la séparation de l'âme et du corps. Il est faux d'enseigner aux gens que nous renaissons plusieurs fois. On ne naît qu'une fois. Le corps tiré de la terre, se décompose naturellement après la mort. L'homme reçoit un corps transfiguré. Vous devez vous préparer à mourir. La réincarnation est une pure invention de l'homme.
http://apotres.amour.free.fr/page7/appamedj.htm
Dernière édition par Michael le Dim 19 Aoû 2012 - 13:19, édité 1 fois
Michael- Dans la prière
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Re: Corps de chair/Corps spirituel
Bonjour Michael et merci d'avoir ouvert ce fil de discussion.
Je n'ai pas le temps immédiatement car je dois quitter pour la messe de 16 heures.
Mais soyez assuré que je vais me renseigner davantage ce soir après le souper, au sujet de Madame Mirella Pizzioli, car cela m'intéresse beaucoup.
Merci encore cher Michael et que Notre Grand Dieu vous bénisse abondamment !
Unions de prières...
Gilles. Ville de Québec - Canada
Je n'ai pas le temps immédiatement car je dois quitter pour la messe de 16 heures.
Mais soyez assuré que je vais me renseigner davantage ce soir après le souper, au sujet de Madame Mirella Pizzioli, car cela m'intéresse beaucoup.
Merci encore cher Michael et que Notre Grand Dieu vous bénisse abondamment !
Unions de prières...
Gilles. Ville de Québec - Canada
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Localisation : Québec -Canada
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Re: Corps de chair/Corps spirituel
Mirella Pizzioli Fins dernières, de l'agonie à l'au-delà => STELLA MARIS 385 SOMMAIRE | |
Voici quelques mois, nous avions rencontré Mirella Pizzioli pour recueillir son témoignage sur les fins dernières, c’est à dire les diverses étapes de l’âme, dans son parcours final de la terre au Ciel. Après voir avoir présenté la personne et son charisme, (cf.SM 381-382) ce mois-ci, nous vous proposons un aperçu et une réflexion sur ces moments inconnus et mystérieux que sont les derniers instants de vie sur la terre et spécialement au moment de l’agonie et du «passage» dans l’au-delà. | |
L’agonie – Mirella, avant de quitter la terre, certaines personnes passent par une agonie. Que pouvez-vous nous en dire? Dans une maladie, il y a une phase aiguë ou la personne est bombardée de médecine, qu’on ne peut toucher, parce que c’est la phase la plus délicate où la maladie est au paroxysme. Et puis il y a la phase où la personne commence à être déjà mieux, jusqu’à ce qu’elle se sente comme soulevée. L’agonie est déjà une rencontre avec tout ce qui est surnaturel. – Agonie, veut dire combat.? Je ne sais, mais je veux dire ceci: J’ai vu des personnes en agonie terriblement agitées. L’une d’entre elles, ma belle-mère, priait beaucoup, elle avait une grande foi. Elle avait eu 9 enfants, c’était une bonne maman. J’ai assisté à son agonie près de son lit avec ses enfants, mes beaux-frères. A un certain moment, j’ai vu ( par charisme) le combat de cette âme contre les forces du mal. Satan la tentait de toutes manières. Elle ne parlait pas, c’était un combat spirituel. Vous auriez vu l’agitation du corps! L’expression du visage! Alors, j’ai demandé à ses enfants, s’ils acceptaient de l’aider dans son agonie… J’ai demandé à l’infirmière d’apporter une cloison, nous avons commencé à prier nos chapelets pour elle. Immédiatement, vous auriez pu voir la tranquillité de ma belle-mère. Nous avons prié avec attention. Par grâce de Dieu, mes beaux-frères m’ont cru… et elle est partie dans la nuit. Par contre, ma maman, dans le coma durant ses derniers instants était comme un enfant endormi. Elle n’avait rien, pas un sursaut… J’ai assisté une autre femme âgée, de la famille de mon mari. On a dû lui mettre les barrières de protection, parce qu’en agonie, elle tombait du lit. Et quand elle est partie, les créatures du Ciel m’ont dit que cette personne est au purgatoire et que sa faute, c’était son grand égoïsme et son attachement à l’argent. J’ai dit quelques mots à sa famille, mais ils se sont offensés, disant qu’il n’était pas possible que cette femme de 80 ans puisse être au purgatoire, parce que son purgatoire, elle l’avait déjà fait sur la terre. – Que disent les créatures de leur propre agonie? Certaines disent qu’elles ont eu très peur parce qu’elles voyaient les démons autour d’elles et qu’elles étaient épouvantées. C’est un combat spirituel, extérieur à la personne, entre les forces du mal et celles du bien. La personne comprend qu’elle en est l’enjeu. Quand elle dépasse sa peur et qu’elle prie, qu’elle invoque Dieu, le combat cesse. D’autres créatures disent qu’elles étaient comme bercées dans les bras de la maman. – Que doit faire la famille quand arrive l’agonie? Elle doit prier, prier, demander pardon au Seigneur pour cette créature. Si elle est catholique, elle doit demander le prêtre pour le sacrement des malades et l’inviter doucement à se confesser. Et si on n’y réussit pas, nous, prions pour elle. Si elle n’accepte pas, on prie discrètement pour elle; il suffit d’aller dans le couloir, et de dire: «Seigneur, miséricorde pour cette personne!», parce que la miséricorde que le Seigneur a pour cette personne, un jour, il l’aura pour nous qui l’avons imploré pour les autres. – Pour un agonisant, la prière des proches est donc très importante. Libère-t-elle le moribond plus vite? Je pense que oui. Mais, de toute façon le Seigneur a pitié de cette créature, même si personne ne prie pour elle. Mais, si nous mettons en acte notre foi, nous avons, nous, un bénéfice, qui est toujours réciproque. Si je prie pour vous, mais sans conviction et sans amour, quelle prière est-ce? Si je prie, je le fais parce que j’ai de l’amour pour vous. J’acquière un bénéfice et je te donne un bénéfice. C’est tout un, donner et recevoir. Le Seigneur est donner et recevoir. Le passage: un moment de grâce – Mirella, qu’avez-vous appris de ce moment particulier où l’âme quitte le corps pour s’en aller et entrer dans l’au-delà? Dans les messages que je reçois, selon ce que disent les créatures de leur passage, c’est un moment sans douleurs. Très souvent, elles disent qu’au moment de partir, elles se sentent comme quand elles étaient petites, serrés dans les bras de la maman. Arrivées au moment de «la mort», — elles ne disent jamais la mort. La mort pour elles, à un autre sens, pas celui-ci —, après la souffrance, après l’immense lassitude, l’épuisement physique au point de n’en plus pouvoir, alors, elles éprouvent la sensation de rêver, — si souvent elles disent ça, — de se sentir si bien, qu’elles sont convaincues de rêver. Et dans ce rêve conscient, elles se disent: «Je ne veux pas ouvrir les yeux», parce cela faisait longtemps qu’elles ne sentaient pas aussi bien. Elles goûtent la paix en elles-mêmes. Elles ne ressentent plus les douleurs, elles n’entendent plus le bruit. Et elles craignent d’ouvrir les yeux, parce que, après ce temps de souffrances, elles vivent une sensation si belle, qu’elles ont peur, en ouvrant les yeux, de se retrouver malades à l’hôpital. Et à l’improvise, il arrive toujours quelque chose. Ou elles s’entendent appeler, ou elles sont comme obligées d’ouvrir les yeux. Au moment ou il y a cette ouverture, elles s’aperçoivent que quelque chose est arrivé. Certaines disent qu’elles se sont senties planer, comme une plume qui flotte dans l’air, comme quelque chose qui se balance, mais toujours quelque chose de très agréable. La mort, telle que nous en parlons, ne comporte pas de souffrances. C’est un moment de grâce, c’est un moment de tendresse. — Et alors? Et alors, il y a le contact avec l’autre réalité. Dès qu’elles ouvrent les yeux, elles se rendent compte immédiatement qu’elles sont «mortes», de l’autre côté… que c’est une autre situation où elles n’ont plus rien à faire avec la terre. La terre, elle est fermée! Et là, pour certains, c’est la terreur, pour d’autres la joie. Quand l’âme est détachée du corps, elle acquière la connaissance immédiatement et opère un certain retour, une réflexion profonde sur ce qu’a été sa vie. Sereine et en paix, elle éprouve la sensation d’être arrivée: «Il n’y a plus de problèmes». Elle veut affronter avec courage la purification qui reste nécessaire. Pour les créatures qui ont vécu de manière indifférente vis à vis de Dieu, ou sans le connaître, celle qui n’ont pas réfléchi, qui n’ont pas encore choisi, lorsqu’elles se trouvent sur le seuil de la Porte, le Seigneur leur donne l’opportunité de comprendre, de voir, d’entendre. Et alors elles se décident à dire oui ou non à Dieu. Le plus grand nombre, au moment du détachement se convertit, demande pardon et est sauvé. Mais il y a des personnes qui malgré tout ne le veulent pas. Si je pouvais vous raconter tous les messages, reçus ici, dans ce sous-sol, ce serait plein d’écrits, des piles de paquets! Bien que ce soit la même chose, chacun a une sensation différente. Chaque personne est différente d’une autre, différentes dans sa vie sur la terre, différentes dans sa préparation… C’est merveilleux, vu que chacun vit ce moment d’une manière qui lui est propre. Mais au fond, à ce moment là, c’est toujours un réveil; la créature comprend immédiatement sa situation, avec une très grande lucidité. Personne ne dit: «Mais qu’est-ce que je fais là, où suis-je?» Non, chacun sais ce qu’il lui est arrivé. Pour certains, j’ai l’impression qu’ils se retournent comme s’ils voulaient revenir en arrière, s’échapper de là. Mais c’est impossible. Ceux qui meurent dans la violence, ceux qui se suicident, qui partent immédiatement dans un accident de la route… et se mettent presque en colère. Ceux qui se suicident, c’est presque de la folie. Ils veulent revenir en arrière, parce qu’ils se disent: «Mais qu’est-ce que j’ai fait? Je n’ai rien compris!» C’est vraiment la perception immédiate de ce qu’ils ont fait. — Qu’advient-il pour ces personnes qui se suicident? Le repentir immédiat, et certaines sont désespérées. Vous savez qu’elles me racontent le dernier combat qu’elles ont eu avec Satan. Parce que Satan les induit au suicide. L’esprit devient vraiment obscurci, elles deviennent comme possédées par une force qui les pousse à se faire du mal: «Vas-y, parce que après tu seras bien». C’est un vraiment un imbroglio. Beaucoup, dans les accidents de la route, restent sur le lieu même des jours durant; je les vois assis sur le trottoir. Et souvent, quand il y a un accident, un autre survient au même endroit… Il y a des prêtres qui ici ont du bon sens! Je dis les choses pour ce qu’elles sont, tenez-en compte: Il y a des endroits qui sont maléfiques; ils appartiennent à celui là, et là, il y fait se succéder des choses incroyables. Vous voyez un route toute droite, toute rectiligne et un tas de gens s’y tuent. Mais comment est-ce possible? Il n’y a rien? Ou il n’y a qu’un arbre à deux cents mètres et ils vont s’y briser. Les créatures l’expliquent bien… Il faudrait que des prêtres conscients aillent bénir ces lieux. Je connais des prêtres qui ont écouté ces messages, ils sont allés avec foi, sans peur, bénir ces lieux maudits. Vous comprenez comment les créatures vivent ces émotions pendant le passage, puis, c’est la rencontre, parfois avec une personne chère. La rencontre – Est-ce à ce moment qu’on parlent de lumière et de tunnel? Elles me parlent de la lumière, mais pas de tunnels. Elles parlent seulement de leur totale lucidité à comprendre où elles sont. Très souvent si c’est un fils, Dieu envoie la maman qui s’approche pour consoler. En voyant une maman, on n’a pas peur. Si c’est une personne qui a déjà l’habitude de vivre en Dieu, la sainteté se reflète, et c’est la rencontre proprement dite. Mais je crois que c’est une action immédiate, aussi bien l’une que l’autre, parce qu’il n’est plus question de temps (puisqu’il n’y a plus de matière, il n’y a plus de lieu ni de temps.) Pour des garçons qui s’en vont dans les accidents de la route, d’autres garçons qui sont déjà au Ciel viennent parler avec cette créature. Et voyant des jeunes, ils se tranquillisent entre eux. Ils plaisantent entre eux; je les vois, avec les jeans, les chaussures de sport toutes défaites, ils rient; puis la personne qui est morte à ce moment, si elle est jeune, très souvent donne des coups de pied à la voiture! Elle est comme en colère après la voiture. Et puis, elle se dit: «C’est ma faute, parce que j’allais trop vite, je savais que je ne devais pas le faire, c’est de ma faute». – On peut devancer l’heure de Dieu? Là aussi, il y a beaucoup de choses particulières, parce que ce n’est jamais «le destin». Peut-être le Seigneur… Mais moi je crois, à partir des messages que je reçois, que très souvent, c’est plutôt nous qui décidons. Parce que nous savons que si nous allons en moto à 150 km heures, nous prenons le risque d’une chute mortelle, alors… certains disent: nous verrons bien! Et si je décide de faire ça, c’est moi qui le décide. Ils ont comme la sensation que s’ils n’avaient pas fait ça, peut-être ils auraient pu vivre plus longtemps. Mais ici, nous abordons une question très délicate, et je suis très attentive à en parler avec les personnes, parce qu’elle n’est pas comprise. Elles me disent: «Mais Mirella, le destin…» C’est une chose si complexe! Je ne suis pas à la hauteur pour l’expliquer. Et pour éviter des confusions, je me tais. Mais je sens que ces créatures se repentent d’avoir pris cette décision. Je ne peux pas dire à une maman que son fils allait trop vite… Récemment, un garçon a dit à sa maman qu’il s’est endormi, à l’aube; il a tout raconté. Il arrive souvent que les jeunes ont peur de retourner chez eux, peur de devoir affronter le papa et la maman. Et quand je vois les parents dans un tel état d’angoisse, pour eux, c’est terrible. Et quand le Seigneur permet à ces garçons de venir «dialoguer», — c’est le mot qu’ils emploient —, la première chose qu’ils demandent, c’est le pardon pour ce qu’ils ont fait. Il y a le pardon et puis c’est la paix. La famille retrouve la paix. — Où va-t-on une fois libre de son corps? Ce n’est pas que l’on va qui sait où, ici ou là… Les créatures voient leur corps, et elles ne se plaisent jamais! Quand elles se regardent de l’extérieur de leur corps, c’est comme d’enlever un vêtement sale, déchiré… Elles n’ont aucune nostalgie du corps. C’est même un plaisir de se détacher de quelque chose qui a fait souffrir. «C’était si pesant» disent-elles. Certaines m’ont avoué avoir bien ri, malgré le déplaisir de voir leurs parents les pleurer. L’âme est dans la joie, elle sait la promesse des corps glorieux. – Comment les âmes voient-elles la vie sur terre, vue de l’autre côté? Elles n’oublient rien de la terre, elles se souviennent de tout. Dans tous les cas, elles viennent nous enseigner à ne pas faire les mêmes erreurs qu’elles ont faites, elles: «Si je n’avais pas fait ceci…» Elles demandent pardon si elles n’ont pas su aimer, elles se repentent de ne pas avoir enseigné l’amour à leurs enfants, de ne pas leur avoir appris à embrasser, à s’embrasser. Elles disent tous une chose: «Jamais plus sur la terre! Si le Seigneur me demandait un tel sacrifice, je le ferais pour lui, mais, moi, de ma propre volonté, jamais plus sur la terre!» Mais le Seigneur ne le demande pas. – Comment les âmes voient-elles la mort, vu de l’autre côté? Elles s’en souviennent comme un moment très doux, le moment le plus important; elles l’appelle la renaissance. C’est pourquoi elles ne fêtent pas le jour de leur anniversaire, mais le jour de leur départ de la terre. – Comme fait l’Eglise pour les saints. «Porte ouverte sur l’Au-delà», tome 1 disponible au Parvis, 144 p. E 10.– SFR 15.– |
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Corps de chair/Corps spirituel
Que signifie « Je crois à la résurrection de la chair » ? Je ne peux pas croire qu’on va ressusciter avec nos corps.
Le mot « chair » ne désigne pas ici l’ensemble de nos muscles, mais, selon le sens général de ce mot dans la Bible, l’homme dans sa condition de créature fragile et mortelle. Au début de son évangile, saint Jean n’hésite pas à dire que « le Verbe s’est fait chair » (Jn 1,14), c’est à dire qu’il s’est fait pleinement homme, jusqu’à prendre un corps capable de souffrir et même de mourir.
A ce réalisme de l’Incarnation, correspond, dans les évangiles, un réalisme de la Résurrection de Jésus : ce n’est pas un fantôme, il porte encore les cicatrices de la croix et on le voit manger avec ses disciples sur le bord du lac ! Et cette Résurrection du Christ nous donne de croire « à la résurrection de la chair », c’est à dire à notre propre résurrection avec tout ce que nous sommes et que notre corps exprime. Bien sûr ce corps sera alors transfiguré et nous ne pouvons pas nous représenter ce que sera ce corps « spirituel » ou « glorieux » dont parle St Paul (1 Co 15,42-44), dans un univers qui est au-delà du temps et de l’espace. Mais ce qui nous importe, c’est que cette promesse de vie éternelle concerne notre personnalité toute entière.
Même s’il se transforme au cours des âges de la vie, le corps humain est bien ce qui exprime l’identité de la personne et en maintient la cohésion au fil des années. Affirmer une résurrection du corps, c’est maintenir une forme de continuité entre celui que je suis maintenant et celui que je serai dans le Royaume céleste.
http://www.portstnicolas.org/L-eglise-du-village/Mini-reponses-pour-marins-presses/Credo/Que-signifie-Je-crois-a-la
Le mot « chair » ne désigne pas ici l’ensemble de nos muscles, mais, selon le sens général de ce mot dans la Bible, l’homme dans sa condition de créature fragile et mortelle. Au début de son évangile, saint Jean n’hésite pas à dire que « le Verbe s’est fait chair » (Jn 1,14), c’est à dire qu’il s’est fait pleinement homme, jusqu’à prendre un corps capable de souffrir et même de mourir.
A ce réalisme de l’Incarnation, correspond, dans les évangiles, un réalisme de la Résurrection de Jésus : ce n’est pas un fantôme, il porte encore les cicatrices de la croix et on le voit manger avec ses disciples sur le bord du lac ! Et cette Résurrection du Christ nous donne de croire « à la résurrection de la chair », c’est à dire à notre propre résurrection avec tout ce que nous sommes et que notre corps exprime. Bien sûr ce corps sera alors transfiguré et nous ne pouvons pas nous représenter ce que sera ce corps « spirituel » ou « glorieux » dont parle St Paul (1 Co 15,42-44), dans un univers qui est au-delà du temps et de l’espace. Mais ce qui nous importe, c’est que cette promesse de vie éternelle concerne notre personnalité toute entière.
Même s’il se transforme au cours des âges de la vie, le corps humain est bien ce qui exprime l’identité de la personne et en maintient la cohésion au fil des années. Affirmer une résurrection du corps, c’est maintenir une forme de continuité entre celui que je suis maintenant et celui que je serai dans le Royaume céleste.
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Michael- Dans la prière
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Re: Corps de chair/Corps spirituel
UNE FEMME DE VIRGINIE DANS LE MINISTÈRE DE GUÉRISSON DÉCRIT SON PROPRE MIRACLE ET N.D.E (EXPÉRIENCE de MORT IMMINENTE).
Une des plus remarquables expériences de mort imminente et impressions est révélée par l'auteur Catholique et expert en délivrance (guérison) Stella Davis, la président de Femmes Chrétiennes dans l'Action et une résidente d'Alexandria, en Virginie.
C'est arrivé à la maison d'une personne riche à Chicago, où Stella était partie exercer son ministère et où il y avait une telle réponse qu'elle s’était très retardée et priaient sur des gens jusqu'à tard dans la nuit - planifiant de prendre un avion tôt le matin suivant.
« Je suis allé en haut prendre ma serviette et ma veste, » écrit-elle. « Quand debout en haut de l'escalier me préparant à descendre (c'était un escalier sinueux avec une rampe de fer), quelque chose m'a poussé. C'était une violente poussée. C'était Satan.
« J’ai dévalé l'escalier, en glissant d’un bout à l’autre » raconte Davis, une missionnaire expérimentée qui a exercer son ministère dans le monde entier. « Sur la descente, j'ai cogné mon dos et mon cou. Je ne pouvais pas m'arrêter. Mes mains se sont coincées à la rampe d'escalier en fer et trois doigts se sont tordus complètement en arrière, dans la direction opposée.
«Tout mon corps était dans un sal état, poursuit-elle. « Au moment où j'ai atteint le pied de l'escalier, j'étais morte, parce que j'ai brisé mon cou. J'ai eu l'expérience. J'ai vu que nous avons deux corps : un corps spirituel et un corps physique. J'étais couché là à l'envers sur le plancher quand mon corps spirituel est sorti de ma chair et s’est envolé rapidement vers le haut.
« Comme je montais très lentement, plus haut j'arriverais, plus brillant c’était et la plus élevée l'intensité de l'amour, de la joie, de la paix, de la tranquillité : les mots ne peuvent même pas tenter de décrire. Le sentiment était celui d'être entraînée en haut. J'étais à Chicago mais je pouvais voir mes enfants et mari [à la maison]!
« J'aime mes enfants de tout mon cœur. J'aime mon mari de tout mon cœur. Mais, il n'y avait aucune comparaison à l'amour que je recevais alors que j'étais soulevée. Il n'y a vraiment aucune comparaison entre l'amour que vous avez pour des personnes aimées ici et l'amour que vous recevez.
« Je suis allée droit à travers les nuages. J'étais comme les astronautes quand ils sont en orbite, légers. Je voyais les nuages là où je montais. Alors, tout à coup, je me suis arrêtée. C’était comme si je m’étais arrêtée dans un ascenseur. Je ne me suis pas trouvée face à face avec Jésus mais j'ai entendu Sa Voix. »
Il a dit : « vous devez retourner. »
Son travail sur la terre, son voyage en cet endroit de test, il semble, n'a pas été fait.
Malgré sa résistance, elle a réintégré son corps en un instant - à la vitesse de la foudre - et a vu ceux réunis autour d'elle blessée, le corps sévèrement estropié. Ces gens là ont pensé (à juste titre, comme il s'avère) que Stella était morte. « Appelez l'équipe de secours! » On pleurait. « Appelez l'équipe de secours! »
« Dieu, Dieu, ne la prends pas! »
« Ne la laissez pas mourir dans ma maison! »
Ses mains et tout le reste étaient comme des nouilles humides. Elle était dans une douleur atroce.. Ils l'ont portée à un canapé et tout à coup on aurait dit qu'elle était branchée à une prise électrique. Son corps entier a commencé à trembler et se mouvoir par saccades. Pour l'incrédulité de ceux qui sont rassemblés autour d'elle, elle a essayé de se lever. Elle est tombée mais avec de l'aide a pu être installée dans un fauteuil. Quand elle a regardé vers le bas, Stella dit qu'elle a vu qu'un grand os dans sa jambe était plaqué « carrément sorti. » « George, » elle a dit à un ami nommé George, « prenez de l'huile sainte et enfoncez cet os. »
Quand l’ami nommé George eu oint l'os, il y eu une sensation comme une aspiration, a t’elle affirmé, pour notre discernement. Et George aurait senti l'os refluer.
La même chose est arrivée à ses doigts, qui avaient été tirés vers l'arrière à tel point qu'elle aurait pu faire un poing avec eux, mais dans la mauvaise direction.
Il les a oint aussi avec l'huile et a été en mesure de les redresser un à un, de les ajuster et ensuite a remis sa rotule (genou) en place pendant cette série d'événements apparemment incompréhensibles.
À l'étonnement de chacun, nous dit-on, Stella a ensuite pu se mettre debout ; invraisemblablement, elle a demandé sa serviette. Ils ont voulu l’emmener à l'hôpital ! Mais cette femme qui semblait avoir brisé la moitié des os de son corps a insisté sur le fait qu'elle voulait simplement aller se coucher et ainsi elle a fait - attrapant une Messe le lendemain matin avant un matinal vol de retour à la maison.
Cette femme renommée pour la guérison a été elle-même guérie.
C'était le fruit de la prière. Cela semble absurde. Mais avec Dieu rien n'est impossible. Stella est connu pour passer quatre à cinq heures devant le Saint Sacrement avant la prédication - qu'elle a fait dans des endroits éloignés de la Pologne et de l'Italie au Pérou et au Japon.
Une grande partie de sa guérison implique à libérer les gens des mauvais esprits et des ancestrales « malédictions », que nous examinerons ensuite.
Mais restons sur les expériences de mort imminente.
Stella a aussi eu une expérience en visitant un homme mourant pour lui porter la Communion (elle est un ministre Eucharistique). Pendant cette visite, elle « l'a vu » à l'ouverture d'un tunnel - et la Sainte Mère à l'autre bout. Comme il approchait de la mort, il est arrivé tout près de Mary - dont les mains se tendaient vers lui, presqu’à le toucher.
« J'ai donné la Communion et ai dit des prières et suis rentrée à la maison, » raconte-t-elle. « J'ai ouvert la porte de ma maison et le téléphone a sonné. Il venait de mourir. »
Pour l'emmener il y avait la merveilleuse Mère que nous invoquons (« maintenant et à l'heure de notre mort ») pour exactement ce but.
Quant à Stella, elle a perdu toute la peur de la mort. « Je ne peux qu’attendre pour rentrer à la maison, » dit-elle mélancoliquement. « Il y a une telle sérénité et paix. »
http://trinite-sainte-et-mariemamere.over-blog.com/article-une-femme-de-virginie-dans-le-ministere-de-guerisson-decrit-son-propre-miracle-et-n-d-e-experience-de-mort-imminente-57351615.html
Une des plus remarquables expériences de mort imminente et impressions est révélée par l'auteur Catholique et expert en délivrance (guérison) Stella Davis, la président de Femmes Chrétiennes dans l'Action et une résidente d'Alexandria, en Virginie.
C'est arrivé à la maison d'une personne riche à Chicago, où Stella était partie exercer son ministère et où il y avait une telle réponse qu'elle s’était très retardée et priaient sur des gens jusqu'à tard dans la nuit - planifiant de prendre un avion tôt le matin suivant.
« Je suis allé en haut prendre ma serviette et ma veste, » écrit-elle. « Quand debout en haut de l'escalier me préparant à descendre (c'était un escalier sinueux avec une rampe de fer), quelque chose m'a poussé. C'était une violente poussée. C'était Satan.
« J’ai dévalé l'escalier, en glissant d’un bout à l’autre » raconte Davis, une missionnaire expérimentée qui a exercer son ministère dans le monde entier. « Sur la descente, j'ai cogné mon dos et mon cou. Je ne pouvais pas m'arrêter. Mes mains se sont coincées à la rampe d'escalier en fer et trois doigts se sont tordus complètement en arrière, dans la direction opposée.
«Tout mon corps était dans un sal état, poursuit-elle. « Au moment où j'ai atteint le pied de l'escalier, j'étais morte, parce que j'ai brisé mon cou. J'ai eu l'expérience. J'ai vu que nous avons deux corps : un corps spirituel et un corps physique. J'étais couché là à l'envers sur le plancher quand mon corps spirituel est sorti de ma chair et s’est envolé rapidement vers le haut.
« Comme je montais très lentement, plus haut j'arriverais, plus brillant c’était et la plus élevée l'intensité de l'amour, de la joie, de la paix, de la tranquillité : les mots ne peuvent même pas tenter de décrire. Le sentiment était celui d'être entraînée en haut. J'étais à Chicago mais je pouvais voir mes enfants et mari [à la maison]!
« J'aime mes enfants de tout mon cœur. J'aime mon mari de tout mon cœur. Mais, il n'y avait aucune comparaison à l'amour que je recevais alors que j'étais soulevée. Il n'y a vraiment aucune comparaison entre l'amour que vous avez pour des personnes aimées ici et l'amour que vous recevez.
« Je suis allée droit à travers les nuages. J'étais comme les astronautes quand ils sont en orbite, légers. Je voyais les nuages là où je montais. Alors, tout à coup, je me suis arrêtée. C’était comme si je m’étais arrêtée dans un ascenseur. Je ne me suis pas trouvée face à face avec Jésus mais j'ai entendu Sa Voix. »
Il a dit : « vous devez retourner. »
Son travail sur la terre, son voyage en cet endroit de test, il semble, n'a pas été fait.
Malgré sa résistance, elle a réintégré son corps en un instant - à la vitesse de la foudre - et a vu ceux réunis autour d'elle blessée, le corps sévèrement estropié. Ces gens là ont pensé (à juste titre, comme il s'avère) que Stella était morte. « Appelez l'équipe de secours! » On pleurait. « Appelez l'équipe de secours! »
« Dieu, Dieu, ne la prends pas! »
« Ne la laissez pas mourir dans ma maison! »
Ses mains et tout le reste étaient comme des nouilles humides. Elle était dans une douleur atroce.. Ils l'ont portée à un canapé et tout à coup on aurait dit qu'elle était branchée à une prise électrique. Son corps entier a commencé à trembler et se mouvoir par saccades. Pour l'incrédulité de ceux qui sont rassemblés autour d'elle, elle a essayé de se lever. Elle est tombée mais avec de l'aide a pu être installée dans un fauteuil. Quand elle a regardé vers le bas, Stella dit qu'elle a vu qu'un grand os dans sa jambe était plaqué « carrément sorti. » « George, » elle a dit à un ami nommé George, « prenez de l'huile sainte et enfoncez cet os. »
Quand l’ami nommé George eu oint l'os, il y eu une sensation comme une aspiration, a t’elle affirmé, pour notre discernement. Et George aurait senti l'os refluer.
La même chose est arrivée à ses doigts, qui avaient été tirés vers l'arrière à tel point qu'elle aurait pu faire un poing avec eux, mais dans la mauvaise direction.
Il les a oint aussi avec l'huile et a été en mesure de les redresser un à un, de les ajuster et ensuite a remis sa rotule (genou) en place pendant cette série d'événements apparemment incompréhensibles.
À l'étonnement de chacun, nous dit-on, Stella a ensuite pu se mettre debout ; invraisemblablement, elle a demandé sa serviette. Ils ont voulu l’emmener à l'hôpital ! Mais cette femme qui semblait avoir brisé la moitié des os de son corps a insisté sur le fait qu'elle voulait simplement aller se coucher et ainsi elle a fait - attrapant une Messe le lendemain matin avant un matinal vol de retour à la maison.
Cette femme renommée pour la guérison a été elle-même guérie.
C'était le fruit de la prière. Cela semble absurde. Mais avec Dieu rien n'est impossible. Stella est connu pour passer quatre à cinq heures devant le Saint Sacrement avant la prédication - qu'elle a fait dans des endroits éloignés de la Pologne et de l'Italie au Pérou et au Japon.
Une grande partie de sa guérison implique à libérer les gens des mauvais esprits et des ancestrales « malédictions », que nous examinerons ensuite.
Mais restons sur les expériences de mort imminente.
Stella a aussi eu une expérience en visitant un homme mourant pour lui porter la Communion (elle est un ministre Eucharistique). Pendant cette visite, elle « l'a vu » à l'ouverture d'un tunnel - et la Sainte Mère à l'autre bout. Comme il approchait de la mort, il est arrivé tout près de Mary - dont les mains se tendaient vers lui, presqu’à le toucher.
« J'ai donné la Communion et ai dit des prières et suis rentrée à la maison, » raconte-t-elle. « J'ai ouvert la porte de ma maison et le téléphone a sonné. Il venait de mourir. »
Pour l'emmener il y avait la merveilleuse Mère que nous invoquons (« maintenant et à l'heure de notre mort ») pour exactement ce but.
Quant à Stella, elle a perdu toute la peur de la mort. « Je ne peux qu’attendre pour rentrer à la maison, » dit-elle mélancoliquement. « Il y a une telle sérénité et paix. »
http://trinite-sainte-et-mariemamere.over-blog.com/article-une-femme-de-virginie-dans-le-ministere-de-guerisson-decrit-son-propre-miracle-et-n-d-e-experience-de-mort-imminente-57351615.html
Michael- Dans la prière
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Inscription : 08/03/2009
Re: Corps de chair/Corps spirituel
Merci pour ce témoignage de NDE c'est juste magnifique !
Merci Seigneur pour tant de bienfaits !
Merci Seigneur pour tant de bienfaits !
Invité- Invité
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