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Les origines de la franc maconnerie selon historia mag

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Les origines de la franc maconnerie selon historia mag Empty Les origines de la franc maconnerie selon historia mag

Message par nico Lun 8 Aoû 2005 - 1:25

La franc-maçonnerie moderne est-elle l'héritière des bâtisseurs du Moyen Age ou prend-elle sa source auprès des hermétistes, rosicruciens ou kabbalistes passionnés d'architecture de la fin du XVIIe siècle ? Le débat fait rage chez les historiens.
En 1717, les quatre loges londoniennes établies, selon elles, de « temps immémorial » s'associent pour créer la première Grande Loge de Londres et jeter ainsi les bases d'une organisation qui aboutira après plusieurs décennies et bien des péripéties à la franc-maçonnerie moderne. Que ce soit par filiations régulières ou par d'autres chemins, toutes les obédiences et loges maçonniques contemporaines, dans le monde entier, procèdent de cet événement fondateur.

C'est en effet un lieu commun de presque tous les ouvrages consacrés à la franc-maçonnerie que d'affirmer que celle-ci provient directement, des loges des « bâtisseurs de cathédrales ». Les légendes, quant à elles, renvoient jusqu'à la construction du Temple de Jérusalem sous Salomon par son architecte, Hiram, et remonte même à l'époque antédiluvienne.

Instrumentalisée au profit de la nouvelle Grande Loge (dès la seconde édition, en 1738, des Constitutions d'Anderson), cette hypothèse traditionnelle d'une filiation directe - et qui serait en même temps légitime - avec les loges médiévales flatte le sentiment d'enracinement des francs-maçons dans l'Histoire. Mais elle est aujourd'hui sérieusement remise en cause par les historiens. D'autres hypothèses, qui s'efforcent de mieux tenir compte des sources documentaires, traversent périodiquement le ciel, autrefois serein, de l'histoire officielle de la franc-maçonnerie.
Pour prendre un exemple actuel et simple à saisir, une association proposant des cours de gymnastique à des personnes âgées aura aussi, en fonction de la personnalité et de la disponibilité de ses bénévoles, des fonctions sociales plus ou moins étendues : prévention médicale, réseau d'amitié et de solidarité, organisation de thés dansants, d'excursions, etc. - et il peut arriver que, vue de l'extérieur, l'une de ces fonctions annexes occupe une telle place qu'elle masque l'objet initial.

Cette dimension « chaotique » (simplement humaine en fait) est d'autant plus importante à souligner que c'est précisément, dans le cas qui nous occupe ici, ce qui en 1717 va créer la rupture. La nouveauté, d'ailleurs vivement contestée par d'autres loges, est l'instauration au travers d'une Grande Loge d'une unité dominante qui entend résorber la pluralité - entendons la diversité de vocations - et la liberté que cultivaient jusqu'alors les différentes loges maçonniques.
Mais si l'on a émis autant d'hypothèses en ce qui concerne le passage de l'opératif au spéculatif, c'est aussi que, tout en l'avouant très rarement, on pensait le milieu professionnel incapable de générer par lui-même, sans intervention extérieure, semblable floraison intellectuelle et spirituelle. Or c'est certainement là une grave erreur. Quelle était au juste la culture de ces « simples ouvriers » ? Le plus ancien témoignage concernant l'organisation du métier de maçon en Angleterre remonte à 1356, à Londres. Un conflit opposait les « maçons de taille » (tailleurs de pierre) aux « maçons de pose ». Les autorités municipales édictent alors un règlement. Une nouvelle version est promulguée en 1481 : la Compagnie des maçons exerce le contrôle du métier à Londres. Elle enregistre les apprentis, lesquels, au terme de leur formation, comparaissent devant une commission de la Compagnie et, après avoir prêté serment de fidélité et de loyauté envers le métier, la ville et la couronne, deviennent « hommes libres du métier » : ce sont donc au sens propre des free masons . Cependant, le cas de Londres reste unique. On ne trouve dans le royaume aucune autre organisation exerçant une autorité équivalente sur le métier. Par ailleurs, on ne mentionne pas à son propos l'existence de « secrets » ou de grades, pas plus que le mot « loge » n'est employé pour nommer l'organisation elle-même.

Pourtant, ce mot caractéristique apparaît à partir du XIIIe siècle pour désigner la bâtisse édifiée sur le chantier où les ouvriers rangent leurs outils, travaillent, prennent leurs repas et se reposent.

Au début du XVe siècle, il désigne aussi l'ensemble des maçons d'un chantier, mais sans qu'il soit fait mention d'une autorité exercée par cette communauté. C'est seulement au XVIe siècle, en Ecosse, que le mot est enfin attesté comme désignant une juridiction permanente réglant l'organisation du métier. En 1598 et 1599, William Shaw, maître des ouvrages du roi d'Ecosse et surveillant général de l'Incorporation des maçons d'Edimbourg, publie les nouveaux Statuts qui traduisent une évolution sensible : désormais c'est une « loge » qui contrôle l'entrée des apprentis et leur accès au rang de compagnon, règle les différends et punit les manquements au règlement. Mais la différence la plus révélatrice, c'est que les maçons écossais d'alors partagent des « secrets » qui leur sont communiqués au cours d'une cérémonie après qu'ils ont prêté serment de discrétion. Voilà bien tous les ingrédients de base d'une loge maçonnique, la pratique réelle du métier en plus.
L'intégration aux loges opératives britanniques du XVIIe siècle de personnes étrangères au métier serait de ce fait totalement logique et naturelle : le maçon-tailleur de pierre n'est plus seulement un habile ouvrier, c'est aussi un géomètre auprès duquel les savants ne dédaignent pas de venir s'instruire (voir les cas de Dürer en Allemagne et de Pacioli en Italie) ; il peut également être un « artiste » ou un gentleman davantage préoccupé par la dimension intellectuelle de l'architecture que par sa pratique et venant en retour enrichir les hommes de métier de ses connaissances théoriques.
des tailleurs de pierre font carrière d'ingénieur militaire tandis que d'autres s'engagent dans l'armée au gré de périodes de chômage ou par goût de l'aventure - pour les mêmes raisons et à la même époque, on en rencontre aussi parmi les émigrants en Nouvelle-France.

L'Angleterre et l'Ecosse n'ont d'ailleurs pas le monopole des organisations initiatiques de tailleurs de pierre. Il existe aujourd'hui encore en France un compagnonnage de tailleurs de pierre d'origine ancienne (une autre branche s'est éteinte au tout début du XXe siècle) et il existait jusqu'aux premières décennies du XIXe siècle dans les pays germaniques une semblable organisation, la Bauhütte , dont le siège suprême était la loge ( Hütte ) de la cathédrale de Strasbourg. Si, pour la France, rien ne permet actuellement de connaître les règles internes des compagnons tailleurs de pierre avant le début du XVIIIe siècle, au moment même où apparaissent la Grande Loge de Londres puis les premières loges parisiennes, il n'en est pas de même pour la Bauhütte germanique : on connaît notamment ses Statuts de Ratisbonne datant de 1459, qui évoquent, comme les Statuts Shaw cent quarante ans plus tard, l'existence de pratiques secrètes, à caractère initiatique.
Elle trouve en effet un écho troublant dans le Récit d'Euclide des Old Charges : la transmission de la tradition maçonnique à l'Angleterre, depuis son origine antique et l'épisode de la construction du Temple de Salomon, est donnée comme s'étant opérée via la France, du temps de Charles II ou, selon les versions, de Charles Martel. Or, c'est justement de ce dernier que se revendiquent au XIIIe siècle les tailleurs de pierre parisiens pour faire enregistrer leur privilège d'exemption du guet lors de la rédaction du Livre des métiers . De même, c'est à Charles II, roi de France mais aussi empereur d'Occident, que renvoie la reconnaissance rituelle des compagnons tailleurs de pierre germaniques, dans une question concernant la fondation de la Bauhütte . Ces faits ne sont probablement pas strictement historiques, mais ils démontrent l'existence de racines traditionnelles communes aux compagnonnages de tailleurs de pierre britanniques, français et germaniques. On notera d'ailleurs que la période carolingienne correspond à une première renaissance de l'architecture après la chute de l'Empire romain, et que, fortement marquée par la thématique davidienne et salomonienne des rois bâtisseurs, elle connaît d'importantes migrations européennes d'équipes entières de bâtisseurs (les fameux magistri comacini ).
Par ailleurs, pour faire pendant à l'exemple écossais et revenir à des aspects plus solidement documentés, il apparaît aujourd'hui que les Compagnons tailleurs de pierre français formaient eux aussi aux XVIe-XVIIe siècles un milieu possédant une culture vitruvienne et un intérêt certain pour l'hermétisme. Les commentaires symboliques de Philibert Delorme - maître maçon de formation et théoricien de l'architecture - sont à cet égard exemplaires, au point que vu l'importance qu'il accorde à l'emblème du serpent entrelacé au compas, tout laisse à penser qu'il était lui-même compagnon du Devoir. Le carnet d'architecture de Jean Chéreau, « tailleur de pierre natif de Joigny » (Yonne), comme il le précise lui-même sans ambages, témoigne lui aussi, dans le dernier quart du XVIe siècle, de cet éclectisme culturel et d'un intérêt marqué pour les sciences hermétiques (la géomancie dans son cas). Il est d'autant moins étonnant de constater que ces opératifs « spéculaient » que les plus talentueux d'entre eux côtoyaient non seulement la noblesse et le clergé (leurs commanditaires) mais semble-t-il également les graveurs, imprimeurs et autres gens du livre, un milieu passionné d'architecture (plusieurs la pratiquent) dont on sait qu'il joua un rôle considérable dans l'épanouissement de l'hermétisme aux XVIe et XVIIe siècles et sa diffusion à l'échelle européenne.

En 1992, Joy Hancox publiait une étude sur une étonnante collection de dessins géométriques, architecturaux et symboliques, datant du XVIIe siècle et du tout début du XVIIIe siècle, réunie vers 1725 par John Byrom (1691-1763), membre de la Royal Society et franc-maçon. Ces dessins renvoient à des thèmes et à des personnages qui appartiennent précisément au milieu des gens du livre, des architectes et des hermétistes européens, tels Johann Theodore de Bry (graveur et éditeur de la plupart des grands textes hermétiques du début du XVIIe siècle), Michel Le Blon, Salomon de Caus (architecte et ami d'Inigo Jones, revendiqué en 1738 par Anderson dans ses Constitutions comme ayant été Grand Maître de la franc-maçonnerie opérative), Athanasius Kircher, Heinrich Khunrath, Michaël Maïer, Robert Fludd, Isaac Newton, etc. Ce milieu s'ordonne autour des idées de l'alchimie et de la kabbale chrétienne. Il culmine au début du XVIIe siècle, avec le courant rosicrucien, se manifestant dans les contrées germaniques mais possédant de fortes racines et répercussions en Angleterre, notamment au travers du mariage, en 1613, de la princesse Elisabeth avec Frédéric V, l'Electeur palatin, et la fondation, parachevée en 1662, de la Royal Society. Parmi les références à la franc-maçonnerie datant du XVIIe siècle, plusieurs font le rapprochement entre celle-ci et les mystérieux Rose-Croix, et l'intérêt que leur portaient les premiers spéculatifs, tel Elias Ashmole est connu.

Cette hypothèse d'un rapport étroit par ce biais avec le rosicrucianisme n'a pas seulement pour mérite d'expliquer certains aspects franchement hermétiques de la franc-maçonnerie « post-opérative » : ce courant possède une dimension métapolitique considérable, dont l'alliance entre l'Angleterre et le Palatinat fut une tentative de réalisation. En effet, le thème central des textes rosicruciens, c'est la description d'une société harmonieuse, dirigée par un cénacle d'initiés - thème qui sera exposé en Angleterre par Francis Bacon (1561-1626) dans son étonnante Nova Atlantis . C'est précisément là, on le lui a souvent reproché à cause des dérives, l'un des autres aspects caractéristiques de l'ordre maçonnique...

Au terme de ce bref tour d'horizon, il apparaît comme probable que la franc-maçonnerie moderne est née non pas dans le sillage direct des bâtisseurs de cathédrales gothiques, mais plutôt, sans que cela soit une hypothèse absolument contraire et exclusive, dans celui de ces hermétistes, rosicruciens et kabbalistes, passionnés d'architecture et presque tous impliqués dans la fondation de la Royal Society.

C'est d'ailleurs à partir du même substrat intellectuel et mystique que proliféreront durant la seconde partie du XVIIIe siècle, tout particulièrement en France et en Allemagne, les Hauts Grades maçonniques. Le rapide développement de la franc-maçonnerie sur le continent pourrait d'ailleurs s'expliquer par le fait qu'il ne s'agissait pas simplement d'une nouveauté anglaise « à la mode » - ce facteur est cependant d'une importance considérable -, mais d'une sorte de retour aux sources. On constate d'ailleurs que les rites et symboles fondamentaux connaissent aussitôt quelques ajustements à caractère éminemment « opératif » - les Hauts Grades explorant plutôt la chevalerie et l'alchimie. La franc-maçonnerie britannique aurait-elle rencontré sur son chemin une forme de franc-maçonnerie « opérative » continentale ou, plus exactement, les compagnonnages de tailleurs de pierre ? Avec la question de l'articulation entre les loges médiévales et celles de la Renaissance, c'est l'un des nombreux mystères qui restent toujours à éclaircir.
* Spécialiste de l'histoire des compagnonnages, Jean-Michel Mathonière a publié plusieurs études sur les compagnons tailleurs de pierre, dont la liste et des extraits sont accessibles sur Internet : www.compagnon nage.info
Extrait des Constitutions d'Anderson

« Une loge est un lieu où des Maçons s'assemblent et travaillent. Par conséquent, cette Assemblée ou Société de Maçons dûment organisée est appelée loge et chaque frère doit appartenir à une et se soumettre à son règlement et aux règlements généraux. »

Une corporation bien ordonnée
Le Moyen Age est l'époque de la franc-maçonnerie de métier, dîte "opérative". Sur les chantiers, les artisans obéissent à une stricte hiérarchie dominée par le maître-maçon, expert en géométrie.
Repères
Xe-IXe s. avant J.-C.
Certains font remonter les origines de la franc-maçonnerie à l'architecte Hiram de Tyr sous le roi Salomon.
Légende et règlements du métier
Les Old Charges sont des textes anglais rédigés entre le XIVe et le XVIIIe siècle. Ils forment un ensemble documentaire précieux pour connaître les usages des maçons médiévaux. Euclide (300 av. J.-C.), inventeur de la géométrie, y joue un des rôles fondateurs.
Les modèles initiatiques
Le Grand Architecte de l'Univers est le symbole de référence des toutes premières loges. A la Renaissance, Léonard de Vinci s'inspire des travaux de Vitruve, l'un des premiers sous l'Antiquité à codifier l'architecture et à penser l'Homme universel, tant dans ses proportions physiques que dans ses connaissances.

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Message par nico Jeu 15 Sep 2005 - 20:09

j ai trouvé ca sur le net :

Les participants au forum d'ADSAV! n'ont jamais imputé tous les maux de la terre à la franc-maçonnerie.
Mais rendant à César ce qui appartient à César, il lui imputent ce qui lui est imputable, à savoir l'hostilité à toute forme d'identité enracinée et son influence sur la politique française depuis la révolution et même avant.
Ce n'est d'ailleurs un mystère pour personne, la franc-maçonnerie et tout particulièrement le G.O.F ne s'en cachant pas.
La franc-maçonnerie est une composante essentielle de la société actuelle. La devise "liberté-égalité-fraternité" est elle-même celle du Grand-Orient de France. C'est une obédience philosophique influente, reconnue et il est donc tout à fait normal d'en parler et de dire en quoi ses principes sont contraires ou non à ce que l'on souhaite comme type de société.
Les gauchards comme l'âne ne se privent pas de dénoncer le Vatican, l'opus dei ou toutes sortes d'institutions qui leur déplaisent, ce qui est tout à fait normal. d'ailleurs. A partir du moment où on incite pas à la haine ou à la violence contre tel ou tel individu, il est encore permis de discuter des idées et des principes.
L'âne comme d'habitude raconte n'importe quoi pour se rendre intéressant, et assimile systématiquement toute discussion émanant de membres d'ADSAV! à une résurgence des heures les plus sombres de la période la plus noire, pour terroriser les gogos incultes et maléables.
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