Retour de la messe tridentine
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Retour de la messe tridentine
J'ai pris cet extrait sur le site de Benoit XVI, j'y vois le souffle de l'Esprit-Saint qui commence son retour... Oui l'année 2007 sera une Année importante sous les flammes du Saint-Esprit d'Amour !
Pourquoi la messe tridentine fixe-t-elle à ce point les crispations ?
DE LA LITURGIE…
Pierre-Charles Aubrit saint Pol
Le professeur Luc Perrin, dans un entretien accordé à la revue LIBERTEPOLITIQUE.com, analyse avec pertinence l’évolution liturgique et l’articulation du conflit entre les mouvances traditionalistes et les mouvances progressistes.
Pourquoi Benoît XVI envisage-t-il de libéraliser la messe tridentine ?
L’une des plus éminentes missions du successeur de Pierre est d’être l’ouvrier de l’unité des chrétiens. Le Saint Siège travaille à l’unité des chrétiens depuis quarante ans, cet objectif concerne les chrétiens qui ne se reconnaissent pas dans la foi catholique romaine. Quelle valeur continuerait d’avoir ce travail si cette préoccupation en l’état ne se tournait pas urgemment vers nos frères qui ont la même foi qui se réclament de la foi catholique romaine et qui pour le moment sont à la marge de la communion ou hors communion ?
Pourrait-on comprendre que l’évêque de Rome ne s’en préoccupe pas ?
En tendant une main généreuse aux fidèles catholiques égarés en suivant Mgr. Lefebvre ou qui sans le suivre demeurent dans cette mouvance, le souverain pontife veut mettre un terme à des tensions qui n’ont plus aucun sens et affaiblissent la mission de l’Église dans une situation marquée par l’urgence.
On ne peut nier, qu’il y ait de grandes qualités spirituelles dans la sensibilité traditionaliste, pas plus qu’on ne peut nier leur attachement à l’Église ni qu’ils soient habités par le souci du salut de l’humanité.
Le Saint Père Benoît XVI passe par-dessus les hiérarchies de ces courants parce que l’histoire de l’Église démontre qu’il est extrêmement difficile pour elles de revenir de positions radicales surtout quand ses membres ont goûté à l’exercice d’un pouvoir quasi absolu.
En faisant tomber un interdit qui n’a jamais eu de sens véritablement, il permet aux fidèles d’agir selon leur conscience, de revenir à la communion sans rien abandonner de leur attachement affectif, intellectuel et spirituel à un rite auquel ils tiennent.
Nos frères traditionalistes, intégristes n’ont pas cessé d’être montrés du doigt pendant des années. La plupart d’entre eux se sentirent repoussés à la marge de l’Église, comme la plupart de ceux qui demandaient simplement à vivre leur foi en communion avec le Souverain Pontife. S’ils n’adhéraient pas à la réforme liturgique, c’était moins à cause de la réforme pourtant nécessaire que parce que témoins des extravagances liturgiques, théologiques, pastorales qui ne cessèrent de blesser le Corps du Christ.
On ne peut pas être admiratif du comportement des évêques durant ces années infernales vis à vis d’eux. En France, la hiérarchie s’est distinguée par un manque absolu de charité, un autoritarisme ubuesque et une succession de lâchetés que Lucifer n’imaginait pas.
On peut comprendre, qu’il y ait de la part de nos frères égarés du ressentiment, de la défiance.
Il est évident que le Saint Siège, par cette main tendue, admet implicitement le comportement fautif des hiérarchies, d’autant plus que les applications et innovations hors normes de la réforme liturgique contribuèrent à une impressionnante désacralisation intra muros et un mépris extra muros.
Pourquoi la messe tridentine fixe-t-elle à ce point les crispations ?
Les hiérarchies des églises nationales en Europe de l’Ouest et en Amérique du Nord expriment cette crispation, car elles répondent à un mélange d’options idéologiques, politiques et d’orientations pastorales qui flirtent aux confins de l’apostasie. Que de générations blessées, sacrifiées, rejetées de l’Église et du salut au nom de ces engagements aliénants et si radicalement contraires à l’Esprit de l’Évangile, au Sermon des Béatitudes !
La crise de l’Église ne peut être réduite aux seules conséquences des outrances de la laïcisation, de la sécularisation de nos sociétés. L’affirmer sans nuances comme le fit un cardinal à la sortie d’une conférence des évêques de France est une faute intellectuelle, une atteinte à la vérité. La crise de l’Église n’atteignit un tel sommet que parce que ses hiérarchies occidentales se seront nourries de la crise de société. Elles en épousèrent l’esprit du monde. Elles se rendirent incapables de répondre à une attente qui faisait appel à ce que l’Église a de plus spirituel, de plus aimant : son esprit de pauvreté. Elles commencent seulement à s’abreuver à la source éminemment pauvre de la divinité.
C’est un Christ dépouillé à l’extrême qui fonda l’Église! Il ne s’agit pas seulement de pauvreté matérielle mais bien d’une mendicité d’amour envers Dieu et envers les enfants de Dieu…
La crispation est la même de l’autre côté ; confrontation idéologique, politique, pastorale. Voyons si les deux parties auront un sursaut d’humilité et reconnaîtront en commun leurs errances ? L’Église n’a plus de raison de se mêler de politique pas plus qu’elle n’a de raison à macérer dans des options idéologiques qui n’ont rien à voir avec l’Évangile.
Il est évident que nous allons vers une remise en cause des orientations pastorales, il est évident qu’elle va devoir (l’Église) purifier ses intelligences et les convertir à la seule lumière du Christ. Il nous faut une hiérarchie humble, sur d’elle-même quant à la doctrine et servante résolue du Christ et de l’humanité. Elle doit retrouver sa liberté intérieure, se débarrasser des entendus du monde. Il faut revenir à une authentique liberté des enfants de Dieu.
Les réactions de certains épiscopats, en France particulièrement, sont spirituellement, intellectuellement incompréhensibles. Comment les évêques peuvent-ils soutenir des mouvements de contestation qui se crispent sur un présupposé d’intention du pape ? Comment peuvent-ils imaginer que Benoît XVI annulera le Concile Vatican II ? On entend d’ici la Tramontane transporter le rire de l’âne ! Cette attitude révèle une grave occultation quant à l’intelligence spirituelle et de raison du mystère de l’Église. Des réactions révélatrices d’une effarante inculturation révolutionnaire !
Nous ne pouvons que mettre l’accent sur ce que nous voyons, à moins que l’on nous en démontre l’erreur.
Nous sommes bien en présence d’une partie de la hiérarchie égarée dans les esprits du monde, prisonnière d’options aliénantes. Il faudra beaucoup de saints laïcs pour l’en délivrer, des laïcs virils. Si elle ne veut pas les entendre alors ils devront hurler. Il y a un devoir de ne pas la laisser s’endormir.
Que l’on comprenne bien, le discours de Ratisbonne a des fruits qui commencent seulement à se former, l’un d’entre eux est la liberté à reconquérir à l’intérieur de l’Église, pour y parvenir, il faut obéir à la VERITE et la servir. Nous laïcs catholiques y sommes résolus, nous ne lâcherons rien. La nouvelle évangélisation n’acceptera aucun compromis avec le monde. Elle n’est d’aucune politique, d’aucune idéologie… L’évangélisation est un service auprès de nos frères, de tous nos frères et à commencer à l’intérieur des murs. Là où les évêques se comporteront comme des filles, les laïcs se comporteront comme des évêques. Nous réclamons le droit d’être simplement mais totalement catholiques… C’est notre exigence, elle nourrit notre fierté, notre liberté.
La liberté rétablie du rite tridentin est une des opportunités de conversion dans l’Église, elle doit être saisie. Nous n’avons rien à craindre sauf à refuser de nous examiner, sauf à nous laisser happer par l’esprit du monde.
Que nos frères éloignés y prennent garde, cette liberté retrouvée n’est en rien une victoire pour eux, ce n’est pas un combat achevé. C’est la triomphe de la charité, une miséricorde qui doit les remettre progressivement dans une active intelligence de l’Église et de son mystère.
Il n’y a pas de gagnants ni de perdants. Il y a un Corps du Christ qui se guérit et marche dans la progression du Golgotha.
Pierre-Charles Aubrit Saint Pol : lalettrecatholique@yahoo.fr
Son site : http://lescatholiques.free.fr/
Beaucoup d'autres articles dans la rubrique:► Table liturgie
En ce début d'année 2007 et alors que le Saint-Père Benoît XVI s'apprête à publier une instruction sur l'Eucharisitie pour faire suite au synode de 2005, www.librairiecatholique.com vous invite à découvrir deux ouvrages essentiels sur ce sujet et abordables par tous.
CELEBRER LA SAINTE EUCHARISTIE
CARDINAL FRANCIS ARINZE
La célébration eucharistique est au centre de la prière de l'Église et, aussi de celle de chacun de ses membres. Le thème de cet ouvrage semble particulièrement pertinent dans la perspective de l'année de l'Eucharistie qui s'est conclue en Octobre 2005 avec la XIème Assemblée Ordinaire du Synode des Évêques. Mais, même en dehors de cet événement, la célébration du mystère Eucharistique reste de toute première importance pour nos vies de disciples du Christ. Dans un sens, on peut dire qu'on ne parle jamais assez de l'Eucharistie. Cet ouvrage propose ces quelques considérations, à l'usage des prêtres et diacres, et des fidèles, consacrés et laïcs. Ces remarques théologiques, pastorales et liturgiques doivent les aider à améliorer la qualité de leurs diverses contributions à la célébration de la Sainte Messe et leur vénération de l'Eucharistie en dehors de la Messe.
SE TOURNER VERS LE SEIGNEUR
PERE UWE MICHAEL LANG: Nous en avons déjà parlé: Benoît XVI: colloque à Paris
Source: lescatholiques.free.fr - E.S.M.
Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas un document officiel
Eucharistie, sacrement de la miséricorde - (E.S.M.) 05.01.2007 - BENOÎT XVI - LITURGIE
Soyons avec notre Saint-Père le Pape Benoit XVI... il aura du pain sur la planche, soyons avec lui... Union de Prières.... Il prépare la Seconde Pentecôte...c'est ce que je pense humblement... et espère....
Pourquoi la messe tridentine fixe-t-elle à ce point les crispations ?
DE LA LITURGIE…
Pierre-Charles Aubrit saint Pol
Le professeur Luc Perrin, dans un entretien accordé à la revue LIBERTEPOLITIQUE.com, analyse avec pertinence l’évolution liturgique et l’articulation du conflit entre les mouvances traditionalistes et les mouvances progressistes.
Pourquoi Benoît XVI envisage-t-il de libéraliser la messe tridentine ?
L’une des plus éminentes missions du successeur de Pierre est d’être l’ouvrier de l’unité des chrétiens. Le Saint Siège travaille à l’unité des chrétiens depuis quarante ans, cet objectif concerne les chrétiens qui ne se reconnaissent pas dans la foi catholique romaine. Quelle valeur continuerait d’avoir ce travail si cette préoccupation en l’état ne se tournait pas urgemment vers nos frères qui ont la même foi qui se réclament de la foi catholique romaine et qui pour le moment sont à la marge de la communion ou hors communion ?
Pourrait-on comprendre que l’évêque de Rome ne s’en préoccupe pas ?
En tendant une main généreuse aux fidèles catholiques égarés en suivant Mgr. Lefebvre ou qui sans le suivre demeurent dans cette mouvance, le souverain pontife veut mettre un terme à des tensions qui n’ont plus aucun sens et affaiblissent la mission de l’Église dans une situation marquée par l’urgence.
On ne peut nier, qu’il y ait de grandes qualités spirituelles dans la sensibilité traditionaliste, pas plus qu’on ne peut nier leur attachement à l’Église ni qu’ils soient habités par le souci du salut de l’humanité.
Le Saint Père Benoît XVI passe par-dessus les hiérarchies de ces courants parce que l’histoire de l’Église démontre qu’il est extrêmement difficile pour elles de revenir de positions radicales surtout quand ses membres ont goûté à l’exercice d’un pouvoir quasi absolu.
En faisant tomber un interdit qui n’a jamais eu de sens véritablement, il permet aux fidèles d’agir selon leur conscience, de revenir à la communion sans rien abandonner de leur attachement affectif, intellectuel et spirituel à un rite auquel ils tiennent.
Nos frères traditionalistes, intégristes n’ont pas cessé d’être montrés du doigt pendant des années. La plupart d’entre eux se sentirent repoussés à la marge de l’Église, comme la plupart de ceux qui demandaient simplement à vivre leur foi en communion avec le Souverain Pontife. S’ils n’adhéraient pas à la réforme liturgique, c’était moins à cause de la réforme pourtant nécessaire que parce que témoins des extravagances liturgiques, théologiques, pastorales qui ne cessèrent de blesser le Corps du Christ.
On ne peut pas être admiratif du comportement des évêques durant ces années infernales vis à vis d’eux. En France, la hiérarchie s’est distinguée par un manque absolu de charité, un autoritarisme ubuesque et une succession de lâchetés que Lucifer n’imaginait pas.
On peut comprendre, qu’il y ait de la part de nos frères égarés du ressentiment, de la défiance.
Il est évident que le Saint Siège, par cette main tendue, admet implicitement le comportement fautif des hiérarchies, d’autant plus que les applications et innovations hors normes de la réforme liturgique contribuèrent à une impressionnante désacralisation intra muros et un mépris extra muros.
Pourquoi la messe tridentine fixe-t-elle à ce point les crispations ?
Les hiérarchies des églises nationales en Europe de l’Ouest et en Amérique du Nord expriment cette crispation, car elles répondent à un mélange d’options idéologiques, politiques et d’orientations pastorales qui flirtent aux confins de l’apostasie. Que de générations blessées, sacrifiées, rejetées de l’Église et du salut au nom de ces engagements aliénants et si radicalement contraires à l’Esprit de l’Évangile, au Sermon des Béatitudes !
La crise de l’Église ne peut être réduite aux seules conséquences des outrances de la laïcisation, de la sécularisation de nos sociétés. L’affirmer sans nuances comme le fit un cardinal à la sortie d’une conférence des évêques de France est une faute intellectuelle, une atteinte à la vérité. La crise de l’Église n’atteignit un tel sommet que parce que ses hiérarchies occidentales se seront nourries de la crise de société. Elles en épousèrent l’esprit du monde. Elles se rendirent incapables de répondre à une attente qui faisait appel à ce que l’Église a de plus spirituel, de plus aimant : son esprit de pauvreté. Elles commencent seulement à s’abreuver à la source éminemment pauvre de la divinité.
C’est un Christ dépouillé à l’extrême qui fonda l’Église! Il ne s’agit pas seulement de pauvreté matérielle mais bien d’une mendicité d’amour envers Dieu et envers les enfants de Dieu…
La crispation est la même de l’autre côté ; confrontation idéologique, politique, pastorale. Voyons si les deux parties auront un sursaut d’humilité et reconnaîtront en commun leurs errances ? L’Église n’a plus de raison de se mêler de politique pas plus qu’elle n’a de raison à macérer dans des options idéologiques qui n’ont rien à voir avec l’Évangile.
Il est évident que nous allons vers une remise en cause des orientations pastorales, il est évident qu’elle va devoir (l’Église) purifier ses intelligences et les convertir à la seule lumière du Christ. Il nous faut une hiérarchie humble, sur d’elle-même quant à la doctrine et servante résolue du Christ et de l’humanité. Elle doit retrouver sa liberté intérieure, se débarrasser des entendus du monde. Il faut revenir à une authentique liberté des enfants de Dieu.
Les réactions de certains épiscopats, en France particulièrement, sont spirituellement, intellectuellement incompréhensibles. Comment les évêques peuvent-ils soutenir des mouvements de contestation qui se crispent sur un présupposé d’intention du pape ? Comment peuvent-ils imaginer que Benoît XVI annulera le Concile Vatican II ? On entend d’ici la Tramontane transporter le rire de l’âne ! Cette attitude révèle une grave occultation quant à l’intelligence spirituelle et de raison du mystère de l’Église. Des réactions révélatrices d’une effarante inculturation révolutionnaire !
Nous ne pouvons que mettre l’accent sur ce que nous voyons, à moins que l’on nous en démontre l’erreur.
Nous sommes bien en présence d’une partie de la hiérarchie égarée dans les esprits du monde, prisonnière d’options aliénantes. Il faudra beaucoup de saints laïcs pour l’en délivrer, des laïcs virils. Si elle ne veut pas les entendre alors ils devront hurler. Il y a un devoir de ne pas la laisser s’endormir.
Que l’on comprenne bien, le discours de Ratisbonne a des fruits qui commencent seulement à se former, l’un d’entre eux est la liberté à reconquérir à l’intérieur de l’Église, pour y parvenir, il faut obéir à la VERITE et la servir. Nous laïcs catholiques y sommes résolus, nous ne lâcherons rien. La nouvelle évangélisation n’acceptera aucun compromis avec le monde. Elle n’est d’aucune politique, d’aucune idéologie… L’évangélisation est un service auprès de nos frères, de tous nos frères et à commencer à l’intérieur des murs. Là où les évêques se comporteront comme des filles, les laïcs se comporteront comme des évêques. Nous réclamons le droit d’être simplement mais totalement catholiques… C’est notre exigence, elle nourrit notre fierté, notre liberté.
La liberté rétablie du rite tridentin est une des opportunités de conversion dans l’Église, elle doit être saisie. Nous n’avons rien à craindre sauf à refuser de nous examiner, sauf à nous laisser happer par l’esprit du monde.
Que nos frères éloignés y prennent garde, cette liberté retrouvée n’est en rien une victoire pour eux, ce n’est pas un combat achevé. C’est la triomphe de la charité, une miséricorde qui doit les remettre progressivement dans une active intelligence de l’Église et de son mystère.
Il n’y a pas de gagnants ni de perdants. Il y a un Corps du Christ qui se guérit et marche dans la progression du Golgotha.
Pierre-Charles Aubrit Saint Pol : lalettrecatholique@yahoo.fr
Son site : http://lescatholiques.free.fr/
Beaucoup d'autres articles dans la rubrique:► Table liturgie
En ce début d'année 2007 et alors que le Saint-Père Benoît XVI s'apprête à publier une instruction sur l'Eucharisitie pour faire suite au synode de 2005, www.librairiecatholique.com vous invite à découvrir deux ouvrages essentiels sur ce sujet et abordables par tous.
CELEBRER LA SAINTE EUCHARISTIE
CARDINAL FRANCIS ARINZE
La célébration eucharistique est au centre de la prière de l'Église et, aussi de celle de chacun de ses membres. Le thème de cet ouvrage semble particulièrement pertinent dans la perspective de l'année de l'Eucharistie qui s'est conclue en Octobre 2005 avec la XIème Assemblée Ordinaire du Synode des Évêques. Mais, même en dehors de cet événement, la célébration du mystère Eucharistique reste de toute première importance pour nos vies de disciples du Christ. Dans un sens, on peut dire qu'on ne parle jamais assez de l'Eucharistie. Cet ouvrage propose ces quelques considérations, à l'usage des prêtres et diacres, et des fidèles, consacrés et laïcs. Ces remarques théologiques, pastorales et liturgiques doivent les aider à améliorer la qualité de leurs diverses contributions à la célébration de la Sainte Messe et leur vénération de l'Eucharistie en dehors de la Messe.
SE TOURNER VERS LE SEIGNEUR
PERE UWE MICHAEL LANG: Nous en avons déjà parlé: Benoît XVI: colloque à Paris
Source: lescatholiques.free.fr - E.S.M.
Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas un document officiel
Eucharistie, sacrement de la miséricorde - (E.S.M.) 05.01.2007 - BENOÎT XVI - LITURGIE
Soyons avec notre Saint-Père le Pape Benoit XVI... il aura du pain sur la planche, soyons avec lui... Union de Prières.... Il prépare la Seconde Pentecôte...c'est ce que je pense humblement... et espère....
Danielle- Enfant de Dieu
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