Jésus, Agnès-Marie et la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X

Bonjour,

Je ne résiste pas au plaisir de vous communiquer un des messages du second tome de d'Agnès-Marie "Joie de Dieu" Messages de 2003 à 2008.

Il est d'actualité avec le Motu Proprio de notre Pape Benoît XVI car on y parle de la Tradition et plus particulièrement de la fréquentation dominicale des chapelles de la Fraternité Saint Pie X.

La question m'intéresse beaucoup car personnellement, je pratique aux deux rites : en semaine, je vais à la messe moderne et le dimanche, je suis à la messe en latin avec la Fraternité Saint Pierre. Je pratique ainsi depuis fort longtemps et cette manière de pratiquer me convient parfaitement.

Il y a une quinzaine d'années, j'avais fréquenté durant un à deux mois une chapelle de la Fraternité Saint Pie X, mais j'avais finalement abandonné car le prêtre responsable très engagé et très militant ne pouvait s'empêcher de commencer ses sermons par une attaque en règle contre Rome pour marquer sa différence et conserver chez ses ouailles un esprit de corps, solide et indépendant. Personnellement je n'allais pas à la messe pour du militantisme donc j'ai fini par abandonner cette chapelle.

Ensuite, dévot de Marie-Julie Jahenny, j'avais rencontré plusieurs prêtres qui reprochaient à la fraternité Saint pie X d'être schismatique. N'étant pas théologien et pas certain de validité de leurs sacrements, je les avais définitivement quitté.

Depuis, avec la main tendue du Saint et ce malgré la mauvaise volonté de la majeure partie des Evêques de France qui traînent des pieds, les relations se réchauffaient un peu. Et bien voilà ce qu'en dit Jésus :

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Le 10 juin 2005 :

- Jésus, pardonne-moi de ne pas plus penser à Toi ces temps-ci.

- Petite fille, Je suis là et tu es là, tu sais J’attends et Je suis là hors du temps : tout est présent à chaque instant devant Moi. Dis-moi ce qui te préoccupe.

- Que penses-Tu du fait que nous allions chaque dimanche à la Fraternité Sacerdotale Saint pie X. Nous y avons trouvé un équilibre familial et une grande profondeur doctrinale, des amis et une école alors j’ai du mal à admettre qu’il nous faudrait tout abandonner parce que les prêtres ne sont pas dans l’Eglise ! Et je suis si troublée et si déstabilisée que j’ai peur d’écouter ta réponse bien que j’ai confiance en toi : c’est en moi que je n’ai pas confiance, ne vais-je pas influencer Ta réponse ou bien ne pas entendre ta voix ?

- Paix, Mon âme, Paix, c’est Moi qui T’ai menée là car c’est un passage qu’il vous fallait connaître.

- Tu veux parler de cette crise ?

- Je parle de la crise ou plutôt de ce trouble. Paix, petite âme et écoute : qui n’est pas avec Moi est contre Moi : telle est et sera toujours Ma réponse.

- Seigneur, la Fraternité est bien avec Toi ?

- Oui fille, ils sont avec Moi ceux qui Me cherchent d’un cœur sincère, ceux qui M’adorent et qui M’honorent. Va en Paix et dis au petit père de ne pas te troubler avec des questions qui ne sont pas pour toi.

- Merci mon Jésus, pour Ton éclairage et Ton guidage. Je Te bénis Mon Dieu, je T’adore et je T’aime.

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J'ai bien aimé ce message et je voulais vous le partager.

Meilleures pensées
Hercule

Merci Hercule pour votre message, moi aussi ça m'intéresse la réponse de Jésus et j'ai immédiatement cliqué sur votre titre.

Je fréquente l'Institut du Bon Pasteur qui dit les messes en latin.
C'était un bon compromis créé par notre Pape en 2006 pour tous ceux qui sont comme nous et qui préfèrent la tradition. Je me partage aussi entre les deux rites, car j'ai beaucoup d'amis fréquentant la messe "normale en français" (post-conciliaire)
Il y a des différences aussi dans les homélies : les prêtres traditionnels n'ont pas peur d'alerter contre l'enfer.

Bonjour MYRIAM et CHRISTELLE,

Je connais bien l'Institut du Bon Pasteur à Bordeaux car mon fils étudiant avait une colocation dans la ruelle qui longe l'église.

J'ai donc suivi tout le processus depuis la récupération de cette église St. Eloi avec l'accord de Juppé, le Maire de Bordeaux. Cette église était abandonnée par le diocèse et profanée d'une manière ignoble.

Puis le refus de Mgr Ricard, l'Archevêque de Bordeaux, de céder cette église qu'il préférait voir vide et profanée plutôt que de la laisser aux mains des tradits de l'Abbé Laguérie. Position intenable de l'Archevêque bien mal inspiré.

Puis Le Pape Benoît XVI qui force la main à l'Archevêque qui était aussi Président de la Conférence des Evêques de France, en lui retardant la barette cardinalice de six mois, et le Bon Pasteur fut créé par la grâce de Dieu.

Puis le travail admirable de rénovation de cette église par ses fidèles.
Les francs maçons trichent en se faisant payer leurs travaux de rénovations des loges par les municipalité alors qu'il s'agit de lieux privés et non publics. Les Cathos eux se financent leurs travaux et ne volent rien à personne.

Puis la publication du Motu proprio "Summorum Pontificum" par Sa Sainteté le Pape Benoît XVI, c'est-à-dire la Lettre Apostolique donnée le 7 juillet 2007 sur l’usage de la Liturgie romaine antérieure à la réforme de 1970, à savoir la messe en latin.

Puis l'émission crapuleuse Les infiltrés, produite par l’agence capa pour France 2 sous la responsabilité due David Pujadas lui-même, qui est un véritable coup-monté, une machination télévisée organisée par ces voyous de francs-maçons, qui une fois de plus se sont payé la tête des téléspectateurs français avec une émission similaire à celle donnée, il y a dix ans, sur la famille de Madame Andrée Renoncé-Chazaux à Barlieu en Sologne. Ces francs-maçons sont des voyous tricheurs, menteurs, manipulateurs pervers et des criminels. Tous les malfaisants qui ont oeuvré dans cette machination sont des crapules et seront punis. Comme pour le reste, la vérité se fera sur ce dossier. Le Recteur d'Académie de Bordeaux qui a fait fermer cette école sur une simple émission de télévision est une crapule et il ne vaut pas plus cher que les fonctionnaires de l'Occupation. Avant de balayer chez les Cathos, il ferait bien mieux de balayer chez lui à "L'Education Nationale" où les professeurs n'en peuvent plus de ces enfants devenus ingérables.
Monsieur le Recteur, bientôt, ces gamins en révolte mettront le feu à votre bureau...

Dans les écoles de la tradition, il n'y a ni sexe, ni alcool, ni drogue...

On ne peut pas dire que ce soit le cas des établissements de l'Education Nationale et même de beaucoup d'établissements dits-catholiques dans lesquels on ne parle plus ni de Jésus, ni de sa Croix, ni de sa Mère...

Dans les écoles de la tradition, on donne aux enfants un véritable enseignement de l'Histoire de France et des racines chrétiennes de l'Europe, et non l'enseignement révisionniste et frelaté donné par l'Education Nationale.

De plus en plus d'élèves de l"Education Nationale sont quasiment psychotiques et analphabètes, et tout le système s'en désintéresse.

Je reviens à la sinistre farce des Infiltrés du Bon Pasteur à Bordeaux.

Et le coup monté des armes à feu et du camp d'entraînement para-militaire. Quelle rigolade ! C'est lamentable... Et ce David Pujadas, quel guignol. Il est vrai que le ridicule ne tue pas. En ce qui me concerne, ce journaliste est définitivement rayé de mon carnet...

Avec cette télévision pourrie, des manipulations, on en verra d'autres et des pires, mais les tricheurs seront toujours démasqués car la Vérité les rattrape toujours.

Meilleures pensées
Hercule

http://blog.institutdubonpasteur.org/spip.php?article132

LE BLOG de l'Abbé LAGUERIE

L’ émission par qui le scandale arrive.

Abbé Guillaume de Tanoüarn.
mardi 20 avril 2010, par Abbé Philippe Laguérie
Avec la permission de l’auteur, mon confrère du Bon-Pasteur et assistant, je vous livre en primeur ce texte admirable de l’abbé Guillaume de Tanoüarn, paru sur le site de Monde et Vie, que je remercie également. Inutile de préciser que je le fais mien en toutes et chacune de ses affirmations. Avec mes félicitations en sus.

Les journalistes doivent ils se reconvertir en agents auxiliaires de la morale publique ? C’est cette question que l’on se pose lorsqu’on se trouve devant l’émission Les infiltrés, produite par l’agence capa pour France 2 sous la responsabilité de David Pujadas lui-même.

On sait qu’il y a une crise dans le Métier : crise du papier d’abord, dépassé par l’information virtuelle portée, dans une permanente immédiateté, par Internet. Crise de l’audio-visuel, qu’illustre bien le vide total des programmes, toutes chaînes confondues. Vous comptez encore sur la télé pour vous distraire ? Faites l’expérience, vous verrez… Le sommeil risque de vous saisir avant que vous n’ayez eu le temps de la mener à bien. Cette crise renvoie évidemment à un diagnostic civilisationnel, car les médias sont à l’image de leur destinataires. Elles reflètent un état de la société. On parle d’« ensauvagement », de décérébration, de lassitude d’être ou comme l’expliquait récemment le philosophe Bruno Pinchard, on invoque la « fin de l’âge de l’esprit ». Nous sommes dans un temps, il faut s’y résoudre, où « l’esprit n’est plus le principe de notre savoir » (in Philosophie à outrance, Cinq essais de métaphysique contemporaine, éd. EME). Le diagnostic parfaitement gratuit et désintéressé du métaphysicien porte en lui-même des conséquences politiques, éthiques et religieuses dramatiques. Ce ne sont pas elles qui nous intéressent pour l’heure, mais bien les dérives que la fin de l’âge de l’esprit produit dans ce petit monde en crise du journalisme. La télé loisir, emmerdante et ronronnante voit son salut dans la télé réalité. L’information, normalisée par les agences de presse, tente de sortir de son insignifiance en copiant ce procédé de la télé-réalité. Dans la « théâtrocratie » ambiante, rien de tel qu’une caméra cachée pour réveiller les ardeurs du téléspectateur assoupi devant sa télé allumée. Caméra cachée, caméra vérité, voilà enfin de quoi susciter l’intérêt, voilà, pour redresser l’audimat, le viagra des chaînes en panne d’idées ! La précédente émission de la série « Les infiltrés » a concerné la pédophilie. Les journalistes se sont infiltrés dans des réseaux de photos pédophiles sur Internet, et ils ont gentiment dénoncé leurs sources. Hervé Chabalier, le responsable de l’Agence capa, se justifie, sans mollir de cette nouvelle déontologie de la délation dans les colonnes de Libération : « on ne dénonce pas, on signale » des faits. Puis il ajoute que ces hommes [les pédophiles « signalés » à la police par les journalistes] ne sont pas des sources, mais le résultat de l’enquête journalistique. « Quand on sait que des gamins vont être victimes de prédateurs, il n’est pas possible de ne pas empêcher que ça se fasse. C’est la consigne que j’ai donnée. L’autre cas, c’est si on infiltre un réseau terroriste et qu’on apprend qu’une bombe va faire 150 morts dans le métro, je le ferai aussi. Il y a ces deux cas. Nous sommes des journalistes, mais nous sommes avant tout des citoyens ». C’est beau comme de l’antique ! On constate la volonté affichée par Hervé Chabalier de limiter la délation à deux cas très graves : la pédophilie et le terrorisme. Vous vous imaginiez sans doute que l’émission suivante serait consacrée aux terroristes et que des journalistes de l’agence Capa infiltreraient des milieux intégristes musulmans pour montrer comment des Français se retrouvent transformés en terroristes, dans des camps de formation très spéciaux en Afghanistan ou ailleurs. Pensez-vous ! L’émission suivante, le 27 avril prochain, a pour cadre une école catholique traditionaliste à Bordeaux, l’école Saint-Projet. Assurément c’est moins dangereux. L’objectif du journaliste infiltré, Matthieu Maye ? Inciter des enfants à la haine antisémite, non sans les avoir chauffés lui-même au préalable par des provocations qui, bien sûr, n’apparaissent pas dans le document qu’il a extrait de son aventure, mais dont plusieurs se disent aujourd’hui témoins scandalisés. Pour parvenir à ce résultat, le jeune homme et ses commanditaires de Capa et de France 2 n’ont pas lésiné sur les moyens. Il s’est immergé dans le milieu traditionaliste pendant plusieurs mois, il a été demander le baptême à l’église Saint-Eloi, tenue par des prêtres traditionalistes de l’Institut du Bon Pasteur et, avec plus ou moins de succès selon les jours et les « victimes » choisies, il s’est fait embaucher comme pion à l’école Saint-Projet. Et il a filmé…Pendant des jours… Qu’en reste-t-il ? Assurément un témoignage à charge. Ceux qui ont vu le film, comme notre ami Daniel Hamiche, présent sur le plateau, se disent particulièrement mal à l’aise. Sur les images captées par le provocateur, les enfants en font des tonnes dans un antisémitisme forcé. Est-ce parce qu’ils se sentent loin de tout interdit ? Parce qu’ils veulent mettre le pion dans l’embarras en sortant des choses énormes, obscènes ? Parce que le pion, avec sa chemise boutonnée jusqu’au dernier bouton, fait décidément trop timide et qu’ils veulent se le payer, sans imaginer une seconde que c’est l’inverse qui se passe et que c’est Matthieu Maye qui les a adroitement provoqués ? Cette manière de « jouer » avec les enfants en se jouant d’eux et en leur faisant dire des choses dont ils ne perçoivent pas bien la gravité relève évidemment d’une forme d’abus mental. Et cette façon d’utiliser les enfants en leur faisant dire ce que soi-disant penserait leur « milieu » d’origine s’apparente à de la surinterprétation, visant à mettre en place une véritable « loi des suspects », qui aujourd’hui comme hier n’a d’autre but que de tuer. Nous ne sommes plus dans l’information, mais dans la manipulation. Tuer qui ? L’école Saint-Projet ? En quoi les 80 élèves de cette petite unité d’enseignement intéressent France 2 ? Le mouvement Dies irae, principal incriminé dans le film, avec quelques clampins qui jouent à se (nous) faire peur en maniant des armes et des mots trop lourds pour eux ? « Ce sont des pieds nickelés » dit Caroline Fourest, présente sur le plateau lors du débat et qui voulait, là comme ailleurs, jouer son rôle de dénicheuse de fachos… Tuer qui ? L’Institut du Bon Pasteur ? Le traditionalisme catholique ? Par amalgame, le pape qui a eu l’outrecuidance de réhabiliter des évêques dits « intégristes », parmi lesquels l’un d’entre eux responsable de déclarations négationnistes à la télévision suédoise ? En 1996, le journaliste Gérard Leclerc posait déjà la question : Pourquoi veut-on tuer l’Eglise ? Il me semble que cette question est plus actuelle que jamais… Il y a dans le monde une hyperpuissance du libéralisme consumériste. L’Eglise catholique est l’institution qui a montré qu’elle ne plierait pas, qu’elle ne recevrait pas le matérialisme dans tous ses états comme la source des valeurs. Il faut faire plier cette Eglise-là, il faut tuer en elle toute velléité de résistance, il faut détruire le Pouvoir spirituel qu’elle représente auprès de centaines de millions d’individus – et l’autorité qu’elle retire de cette situation de Monopole. Il faut frapper là où cela lui fait mal en ôtant à cette Institution fondée sur la foi toute crédibilité. Et pour cela, il faut se servir de quelques idiots utiles, provocateurs, nostalgiques d’on ne sait quel « ordre chrétien » ou plutôt d’un ordre noir fantasmatique, en profitant du fait que, pour beaucoup d’entre eux, ils cherchent à faire parler d’eux à tout prix… L’émission Les infiltrés qui passe le 27 avril prochain sur France 2 aura au moins cet intérêt de stigmatiser ceux qui, dans une sorte de jeunisme éperdu et perdant d’avance, ont préféré leur romantisme personnel à la foi dans son intégrité et sa virginité, cette foi qui, seule, nous rattache au Christ.. Il faut en finir avec les amalgames et avec tous ceux qui peuvent y prêter le flanc. Que le monde nous attaque ? C’est au programme depuis le commencement : « Le monde vous hait, nous dit Notre Seigneur en saint Jean. Si vous étiez du monde, le monde ne vous haïrait pas, mais vous n’êtes pas du monde et c’est pourquoi le monde vous hait ». Ovide, le chantre de l’art d’aimer, avait aussi une petite phrase terrible, réutilisée par saint Augustin : « La vérité engendre la haine ». Si le spectacle de la haine que donne aujourd’hui les ennemis du nom chrétien est fondé sur la détestation du Christ-vérité, il n’y a rien là ni pour nous étonner ni pour nous impressionner. Nous faisons face, avec les armes paradoxales du chrétien, qui sont la douceur et l’humilité et nous savons que la vérité « passera » toujours au dessus de la haine. Mais si tel ou tel met en avant de mauvaises raisons auxquelles la haine publique s’alimente et prend vigueur, il est coupable de dénaturer le Christ, et ce n’est pas une petite culpabilité.

Abbé G. de Tanoüarn

merci Hercule

partout ou je peux trouver une messe de la Fraternité saint Piex X lorsque je voyage, j'y assiste avec joie, ces messes ont une "âme" quel recueillement et quel amour et respect pour célébrer la Sainte Messe.

on reconnait l'arbre à ses fruits, les vocations saccerdotales y abondent ;
et le latin , langue universelle de l'église ou tous les chrétiens du
monde sont réunis dans une même prière

Violaine

bonsoir monsieur Hercule!

Je croies que vous avez fait une erreur: vous dites que nous les catholiques, on payent nous-mêmes les réparation de nos locaux! Pourtant on m'a toujours toujours dit que aujourdhui en France les eglises appartienne au communes . Alors ca veut dire que tous le monde dans la commune payent avec ses impots pour les travaux de nos eglises: les habitants catholiques, les habitant protestants, et même les habitants qui ne sont pas chrétien: les musulmans, les juifs, ceux qui ne croyent pas en Dieu, ceux qui ne save pas, ect. Tous le monde dans la commune payent pour nos eglises en faite. Je trouve qu'ils sont simpas de ne pas nous en vouloire! Moi si j'etais mormo par exemple j'aimerais pas payé pour les autres.

Mais cest différend pour les autres immeubles qui sont utiliser par les groupes comme les témoins de jéhova , les mormos, la franc-maçonnerie, je penses. Jamais j'ai entendu dire que ces gens utilise deslocaux publiques (mais j'irais me renseigner a la mairie demain pour etre sure). Alors çà voudrait dire qu'il les finencent eux-meme .

En faite , si j'ai raison, c'est en faite complétement le contraire de ce que vous avait écrit. Mais demain nous en seront sures.

Amitié de Baptiste du Togo !

Bonjour Baptiste,

En France, il y a la loi de Séparation de l'Eglise et de l'Etat.

L'état prend en charge le gros oeuvre les extérieurs et les toitures des églises, et l'intérieur uniquement si le monument est classé.
L'Eglise devrait normalement prendre en charge les rénovations intérieures mais comme elle n'a plus d'argent, il arrive souvent que les communes contournent la Loi pour avoir une église digne de ce nom et pas totalement délabrée (bien souvent, le seul monument du village). Des Associations Loi 1901, comme par exemples les loges maçonniques contournent aussi les lois avec la complicité des municipalités pour faire rénover des locaux qui sont privés. Il faudra donc rembourser.

Je trouve amusant que la République qui a spolié l'Eglise de tous ses biens soit aujourd'hui obligée de les rénover à prix d'or. Dans les loges, ils vont peut-être nous pondre une nouvelle loi pour restituer les églises et les chandeliers à l'Eglise de France... Alléluia !

Meilleures pensées
Hercule