Un iceberg presque aussi grand que Montréal !!! ...
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Un iceberg presque aussi grand que Montréal !!! ...
Arctique
Un iceberg presque aussi grand que Montréal
Mise à jour le mercredi 11 août 2010 à 11 h 55
Près de 75 % de la superficie de l'île de Montréal. C'est la dimension d'un morceau de glace qui s'est détaché du glacier Petermann, dans le nord-ouest du Groenland, et qui dérive maintenant dans l'océan Arctique.
Les experts estiment que cet iceberg, le plus gros repéré dans l'hémisphère nord depuis 1962, pourrait devenir une menace pour plusieurs plateformes pétrolières et certaines routes maritimes.
Le glaciologue norvégien Jon-Ove Methlie Hagen, de l'Université d'Oslo, estime que le bloc de glace est si gros qu'il est impossible de l'empêcher de dériver.
Les scientifiques tentent maintenant de prévoir la trajectoire de l'iceberg de 260 kilomètres carrés, qui se dirige actuellement vers le détroit de Nares séparant le Groenland de l'île Ellesmere, au Canada.
Si le bloc emprunte le détroit avant l'hiver (le mois prochain dans cette région), il sera fort probablement transporté vers le sud par les courants marins en suivant la côte est du Canada avant d'arriver à Terre-Neuve, où il pourrait menacer la sécurité des plateformes pétrolières.
Il pourrait toutefois se sectionner en heurtant d'autres icebergs et des îles sur sa route. Selon le Service canadien des glaces, la balade de l'iceberg pourrait durer d'un à deux ans.
Le saviez-vous?
C'est la spécialiste canadienne des glaces Trudy Wohlleben, d'Environnement Canada, qui a été la première à repérer le gigantesque iceberg sur des images satellites de la NASA.
Réchauffement
L'immense iceberg est devenu le nouveau symbole dans le débat sur le réchauffement climatique. Aux États-Unis, le représentant démocrate américain Edward Markey a déclaré qu'il pourrait servir de maison aux climatosceptiques.
Radio-Canada.ca avec Associated Press
Gilles. Ville de Québec - Canada
Un iceberg presque aussi grand que Montréal
Mise à jour le mercredi 11 août 2010 à 11 h 55
Photo: NASA L'image à gauche a été prise le 28 juillet et celle de droite, le 5 août. |
Près de 75 % de la superficie de l'île de Montréal. C'est la dimension d'un morceau de glace qui s'est détaché du glacier Petermann, dans le nord-ouest du Groenland, et qui dérive maintenant dans l'océan Arctique.
Les experts estiment que cet iceberg, le plus gros repéré dans l'hémisphère nord depuis 1962, pourrait devenir une menace pour plusieurs plateformes pétrolières et certaines routes maritimes.
Le glaciologue norvégien Jon-Ove Methlie Hagen, de l'Université d'Oslo, estime que le bloc de glace est si gros qu'il est impossible de l'empêcher de dériver.
Les scientifiques tentent maintenant de prévoir la trajectoire de l'iceberg de 260 kilomètres carrés, qui se dirige actuellement vers le détroit de Nares séparant le Groenland de l'île Ellesmere, au Canada.
Si le bloc emprunte le détroit avant l'hiver (le mois prochain dans cette région), il sera fort probablement transporté vers le sud par les courants marins en suivant la côte est du Canada avant d'arriver à Terre-Neuve, où il pourrait menacer la sécurité des plateformes pétrolières.
Il pourrait toutefois se sectionner en heurtant d'autres icebergs et des îles sur sa route. Selon le Service canadien des glaces, la balade de l'iceberg pourrait durer d'un à deux ans.
Le saviez-vous?
C'est la spécialiste canadienne des glaces Trudy Wohlleben, d'Environnement Canada, qui a été la première à repérer le gigantesque iceberg sur des images satellites de la NASA.
Réchauffement
L'immense iceberg est devenu le nouveau symbole dans le débat sur le réchauffement climatique. Aux États-Unis, le représentant démocrate américain Edward Markey a déclaré qu'il pourrait servir de maison aux climatosceptiques.
Radio-Canada.ca avec Associated Press
Gilles. Ville de Québec - Canada
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25726
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Un iceberg presque aussi grand que Montréal !!! ...
Inquiétante information parmi tant d'autres similaires (inquiétantes).
merci Gilles pour l'image si belle, il paraît malheureusement que de nombreux ours meurent car ils s'épuisent en nageant, ne trouvant plus suffisamment de plaques glaciaires pour se reposer.
L'homme est un gigantesque destructeur.
merci Gilles pour l'image si belle, il paraît malheureusement que de nombreux ours meurent car ils s'épuisent en nageant, ne trouvant plus suffisamment de plaques glaciaires pour se reposer.
L'homme est un gigantesque destructeur.
carine- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
- Messages : 4319
Localisation : France
Inscription : 28/10/2009
Re: Un iceberg presque aussi grand que Montréal !!! ...
En Arctique, le changement climatique est plus rapide qu’ailleurs...
oct 28, 2010
L’Arctique est en train de connaître l’un des changements environnementaux les plus rapides du monde, s’inquiètent les experts du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), dans un rapport publié mercredi dans le cadre de la Conférence de Nagoya sur la protection de la biodiversité.
« Nous sommes témoins de changements sans précédent en Arctique, qui vont avoir d’importantes conséquences non seulement pour le région elle-même, mais pour le reste du monde », a déclaré le Directeur exécutif du PNUE, Achim Steiner.
Des centaines d’espèces d’oiseaux migrateurs survolent chaque année l’Arctique qui constitue une étape importante du cycle migratoire. Le réchauffement climatique met en danger cette biodiversité notamment par la fonte des glaces qui constitue un véritable danger pour l’ours polaire.
Le rapport, intitulé ‘Protéger la biodiversité de l’Arctique : forces et limites des accords environnementaux’, propose plusieurs mesures afin de sauvegarder la région. Premièrement, la protection de l’Arctique nécessite « un renforcement des investissements de cogestion » et la mise en place d’une « approche globale de coordination ». Le PNUE plaide également en faveur de l’extension des zones protégées spécifiquement « des zones côtières et de l’environnement marin ».
Les experts soulignent aussi le besoin du Conseil de l’Arctique de renforcer ses instruments de régulation. Le Conseil est un organe intergouvernemental composé de huit pays membres : le Canada, le Danemark, la Finlande, l’Islande, la Norvège, la Fédération de Russie, la Suède et les Etats-Unis. L’organe est également ouvert à la société civile notamment aux organisations de défense des peuples autochtones.
Le PNUE plaide pour l’introduction au sein du Conseil de nouveaux membres qui n’ont pas de frontière avec l’Arctique mais qui peuvent contribuer à protéger les espèces migratoires transitant par la région.
Pour les experts du PNUE, les défis que pose la conservation de la biodiversité sont aussi une opportunité pour « renforcer la coopération entre les pays » et pour « réformer la gouvernance environnementale ».
Face à l’augmentation alarmante du nombre d’espèces végétales et animales menacées d’;extinction et à la disparition accélérée des écosystèmes naturels, 15.000 représentants des 193 Etats parties à la Convention de l’ONU sur la diversité biologique sont réunis à Nagoya pour tenter de définir une nouvelle stratégie destinée à endiguer les dommages causés par les activités humaines.
Alors que l’ONU célèbre l’Année de la biodiversité, cette conférence doit permettre de définir de nouveaux objectifs de lutte contre la destruction de la biodiversité pour la période 2011-2020 et d’appeler la communauté internationale à trouver les financements nécessaires pour les atteindre.
Source : www.toulouse7.com
Gilles. Ville de Québec - Canada
oct 28, 2010
L’Arctique est en train de connaître l’un des changements environnementaux les plus rapides du monde, s’inquiètent les experts du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), dans un rapport publié mercredi dans le cadre de la Conférence de Nagoya sur la protection de la biodiversité.
« Nous sommes témoins de changements sans précédent en Arctique, qui vont avoir d’importantes conséquences non seulement pour le région elle-même, mais pour le reste du monde », a déclaré le Directeur exécutif du PNUE, Achim Steiner.
Des centaines d’espèces d’oiseaux migrateurs survolent chaque année l’Arctique qui constitue une étape importante du cycle migratoire. Le réchauffement climatique met en danger cette biodiversité notamment par la fonte des glaces qui constitue un véritable danger pour l’ours polaire.
Le rapport, intitulé ‘Protéger la biodiversité de l’Arctique : forces et limites des accords environnementaux’, propose plusieurs mesures afin de sauvegarder la région. Premièrement, la protection de l’Arctique nécessite « un renforcement des investissements de cogestion » et la mise en place d’une « approche globale de coordination ». Le PNUE plaide également en faveur de l’extension des zones protégées spécifiquement « des zones côtières et de l’environnement marin ».
Les experts soulignent aussi le besoin du Conseil de l’Arctique de renforcer ses instruments de régulation. Le Conseil est un organe intergouvernemental composé de huit pays membres : le Canada, le Danemark, la Finlande, l’Islande, la Norvège, la Fédération de Russie, la Suède et les Etats-Unis. L’organe est également ouvert à la société civile notamment aux organisations de défense des peuples autochtones.
Le PNUE plaide pour l’introduction au sein du Conseil de nouveaux membres qui n’ont pas de frontière avec l’Arctique mais qui peuvent contribuer à protéger les espèces migratoires transitant par la région.
Pour les experts du PNUE, les défis que pose la conservation de la biodiversité sont aussi une opportunité pour « renforcer la coopération entre les pays » et pour « réformer la gouvernance environnementale ».
Face à l’augmentation alarmante du nombre d’espèces végétales et animales menacées d’;extinction et à la disparition accélérée des écosystèmes naturels, 15.000 représentants des 193 Etats parties à la Convention de l’ONU sur la diversité biologique sont réunis à Nagoya pour tenter de définir une nouvelle stratégie destinée à endiguer les dommages causés par les activités humaines.
Alors que l’ONU célèbre l’Année de la biodiversité, cette conférence doit permettre de définir de nouveaux objectifs de lutte contre la destruction de la biodiversité pour la période 2011-2020 et d’appeler la communauté internationale à trouver les financements nécessaires pour les atteindre.
Source : www.toulouse7.com
Gilles. Ville de Québec - Canada
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
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