éclat de rire ( naturel ? ) du french doctor
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éclat de rire ( naturel ? ) du french doctor
Kouchner et le trafic d'organes 2 min - 5 mars 2010 www.dailymotion.com |
Sous la vidéo , on trouve des explications ; alors svp cliquez ...
P4572- Dans la prière
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Inscription : 01/08/2007
Re: éclat de rire ( naturel ? ) du french doctor
Bernard Kouchner dément les accusations de Carla del Ponte
En visite officielle au Kosovo, le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, a été interrogé le 1er mars par un journaliste à propos des rumeurs selon lesquelles il serait impliqué dans le scandale des trafics d’organe.
Plusieurs médias serbes ont accusé M. Kouchner d’avoir couvert ces agissements lorsqu’il était Haut représentant des Nations Unies dans la région (1999-2001).
« L’affaire de la Maison jaune », par référence à la couleur de la clinique clandestine où des organes étaient prélevés sur plus de 300 prisonniers civils serbes avant qu’ils ne soient exécutés, a été attestée par l’ancienne procureur du Tribunal pénal international Carla del Ponte dans son livre La caccia. Io e i criminali di guerra [Version française : La Traque, les criminels de guerre et moi(éd. Héloïse d’Ormesson, 2009)]. Quatre ans après les faits, les enquêteurs de Mme Del Ponte ont localisé la Maison jaune à Burrell (Albanie), mais n’ont pu y trouver d’indices permettant de reconstituer la filière.
Sur proposition de la délégation russe, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a mandaté le sénateur suisse Dick Marty pour ouvrir une nouvelle enquête.
En répondant à la presse, Bernard Kouchner ne manifeste aucune compassion pour les victimes et leurs familles. Fort étrangement il choisit de démentir la complicité passive qu’on lui impute en niant l’existence du crime. En outre, il qualifie de « salauds et d’assassins » ceux qui colportent cette rumeur ; des propos qui incluent Carla Del Ponte.
En visite officielle au Kosovo, le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, a été interrogé le 1er mars par un journaliste à propos des rumeurs selon lesquelles il serait impliqué dans le scandale des trafics d’organe.
Plusieurs médias serbes ont accusé M. Kouchner d’avoir couvert ces agissements lorsqu’il était Haut représentant des Nations Unies dans la région (1999-2001).
« L’affaire de la Maison jaune », par référence à la couleur de la clinique clandestine où des organes étaient prélevés sur plus de 300 prisonniers civils serbes avant qu’ils ne soient exécutés, a été attestée par l’ancienne procureur du Tribunal pénal international Carla del Ponte dans son livre La caccia. Io e i criminali di guerra [Version française : La Traque, les criminels de guerre et moi(éd. Héloïse d’Ormesson, 2009)]. Quatre ans après les faits, les enquêteurs de Mme Del Ponte ont localisé la Maison jaune à Burrell (Albanie), mais n’ont pu y trouver d’indices permettant de reconstituer la filière.
Sur proposition de la délégation russe, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a mandaté le sénateur suisse Dick Marty pour ouvrir une nouvelle enquête.
En répondant à la presse, Bernard Kouchner ne manifeste aucune compassion pour les victimes et leurs familles. Fort étrangement il choisit de démentir la complicité passive qu’on lui impute en niant l’existence du crime. En outre, il qualifie de « salauds et d’assassins » ceux qui colportent cette rumeur ; des propos qui incluent Carla Del Ponte.
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Re: éclat de rire ( naturel ? ) du french doctor
"La maison de la fin du monde" :
révélations sur un trafic d’organes de jeunes Serbes du Kosovo
vendredi 26 septembre 2008
L’influent hebdomadaire allemand d’investigation Der Spiegel a publié cette semaine un article intitulé "La fin de la civilisation" dans lequel il fait état de nouveaux éléments venant appuyer la thèse d’un trafic d’organes prélevés sur des jeunes Serbes du Kosovo kidnappés puis déportés en Albanie.
Les journalistes se sont plus particulièrement intéressés à une maison appartenant à la famille Katuci, situé dans un village non loin de la ville albanaise de Burelja, où, selon l’ancien procureur du TPI, Carla del Ponte, furent soustraits les organes de Serbes kidnappés au Kosovo. Depuis la révélation du scandale, la famille Katuci a nié tout en bloc et rejetté "vigoureusement" les accusations de Carla del Ponte selon lesquelles les jeunes Serbes auraient été "opérés" dans leur cave afin de prélever les précieux organes destinés à la vente. Même si, comme le constate l’hebdomadaire, "des doutes persistent", de nombreux éléments confirment les révélations de Mme del Ponte : "la maison de la fin du monde", comme la qualifient eux-mêmes les journalistes allemands, serait bien "le lieu des événements".
Selon l’ancien procureur du TPIY, des membres de l’uçk avaient, après 1999 (donc après l’intervention de l’OTAN et la mise en place du protectorat de l’ONU au Kosovo), déporté au bas mot 300 prisonniers, en majorité des civils serbes, à Kures et Tropoju en Albanie, où ils étaient enfermés, dans l’attente d’être transférés, pour les plus jeunes et les mieux-portants, dans le village de Ribe près de Burelja.
Se référant à plusieurs témoins, del Ponte a parlé d’une "maison jaune" dans le village de Ribe et dans la cave de laquelle se trouvait un médecin, "un Albanais de Pec [ville à l’ouest du Kosovo-Métochie, à quelques kilomètres de la frontière albanaise, ndlr] avec un nez aquilin qui ne passe pas inaperçu", qui aurait prélevé les organes d’une cinquantaine de prisonniers. "Entre temps, impossible de remettre la main sur les témoins, comme s’ils avaient disparu sous terre", raconte un ancien enquêteur au journal. Celui-ci fait état des doutes des enquêteurs de l’époque sur la volonté des témoins de donner davantage de détails, car ils auraient fait du tort aux anciens dirigeants de l’uçk, devenus depuis de "respectables dirigeants du Kosovo". " Aussi ont-ils peur que chacune de leurs déclarations ne soit pour eux une condamnation à mort", constate le Spiegel.
"Désormais, les derniers espoirs d’un éclaircissement de cette affaire sont dans les mains d’un enquêteur du Conseil de l’Europe, Dick Marty, qui doit étudier le dossier d’ici les deux prochaines années", écrit le journal, qui souligne qu’il a déjà élucidé les vols secrets de la CIA et mis en évidence l’existence de prisons secrètes en Europe.
"Le village près de Burelja s’appelle Ribe et cette "maison des horreurs" n’est pas seulement au bout du village, mais au bout de la civilisation", écrit le Spiegel, qui indique que derrière la maison se trouve une route impraticable et un ravin qui visiblement sert de dépotoir. Le propriétaire de la maison, Abdoul Katuci (77 ans) a raconté au journal qu’un jour de février 2004, alors qu’il gardait ses moutons dans la montagne, "des policiers lourdement armés ont débarqué avec des étrangers et un procureur albanais et ont retourné toute la maison, perquisitionné, et tout emmené, même les cendriers, pour analyser les traces de sang". C’est pourquoi, selon lui, sa famille, dont des bébés, ont dû passer deux nuits dans le froid. Les enquêteurs de l’ONU se seraient selon lui particulièrement intéressés à une petite chambre au rez de chaussée où le sol en béton est peint en noir, chambre dans laquelle ils ont creusé, ce que le vieil homme leur a permis "seulement à condition de payer les dommages". Après quoi "des hommes et une femme se sont retirés", ajoute Katuci qui a appris de quoi il s’agissait quand le livre de Carla del Ponte est sorti en avril dernier. S’il n’était pas si pauvre, Katuci a déclaré qu’il aurait "porté plainte contre del Ponte devant le tribunal des Droits de l’Homme de Strasbourg".
Donc tout faux ? Le trafic d’organe est-il une partie de "la théorie du complot" du fin fond des Balkans ? Vraisemblablement quand même, non", constate le Spiegel - tout est vrai ! - comme le montre des détails du récit du vieillard, qui demande l’aide de son petit-fils quand il ne peut s’expliquer. Une des questions génantes pour lui est celle concernant l’emploi de bouteilles vides de liquide à assouplir les muscles, de pansements et d’aiguilles que les enquêteurs ont découvert dans les environs de la maison... "Dans un tel environnement , sans aucun soin médical approprié, il est parfaitement normal que les gens en ayant besoin se fassent des piqûres", déclare au journal le petit-fils, un jeune homme de 26 ans au regard sombre, sans convaincre ses interlocuteurs.
Quand il est question des traces de sang retrouvées dans la maison, ce garçon raconte qu’une "femme a accouché" là et que, de plus, lors des fêtes religieuses musulmanes, comme l’a raconté une petite fille, on y égorge des animaux... Quant à la couleur de la maison, que tous les témoins citent comme étant jaune, le petit-fils fait remarquer qu’elle est maintenant blanche et affirme qu’elle l’a toujours été. Mais quand-même, après un certain temps, il se rappelle enfin qu’elle avait été "repeinte lors d’un mariage" et que les enquêteurs avaient sous la peinture blanche retrouvé la jaune...
D’après les informations publiées par l’hebdomadaire allemand Der Spiegel
Version francophone élaborée par le Collectif Citoyen pour la Paix au Kosovo-Métochie
© www.collectif-kosovo.com
révélations sur un trafic d’organes de jeunes Serbes du Kosovo
vendredi 26 septembre 2008
L’influent hebdomadaire allemand d’investigation Der Spiegel a publié cette semaine un article intitulé "La fin de la civilisation" dans lequel il fait état de nouveaux éléments venant appuyer la thèse d’un trafic d’organes prélevés sur des jeunes Serbes du Kosovo kidnappés puis déportés en Albanie.
Les journalistes se sont plus particulièrement intéressés à une maison appartenant à la famille Katuci, situé dans un village non loin de la ville albanaise de Burelja, où, selon l’ancien procureur du TPI, Carla del Ponte, furent soustraits les organes de Serbes kidnappés au Kosovo. Depuis la révélation du scandale, la famille Katuci a nié tout en bloc et rejetté "vigoureusement" les accusations de Carla del Ponte selon lesquelles les jeunes Serbes auraient été "opérés" dans leur cave afin de prélever les précieux organes destinés à la vente. Même si, comme le constate l’hebdomadaire, "des doutes persistent", de nombreux éléments confirment les révélations de Mme del Ponte : "la maison de la fin du monde", comme la qualifient eux-mêmes les journalistes allemands, serait bien "le lieu des événements".
Selon l’ancien procureur du TPIY, des membres de l’uçk avaient, après 1999 (donc après l’intervention de l’OTAN et la mise en place du protectorat de l’ONU au Kosovo), déporté au bas mot 300 prisonniers, en majorité des civils serbes, à Kures et Tropoju en Albanie, où ils étaient enfermés, dans l’attente d’être transférés, pour les plus jeunes et les mieux-portants, dans le village de Ribe près de Burelja.
Se référant à plusieurs témoins, del Ponte a parlé d’une "maison jaune" dans le village de Ribe et dans la cave de laquelle se trouvait un médecin, "un Albanais de Pec [ville à l’ouest du Kosovo-Métochie, à quelques kilomètres de la frontière albanaise, ndlr] avec un nez aquilin qui ne passe pas inaperçu", qui aurait prélevé les organes d’une cinquantaine de prisonniers. "Entre temps, impossible de remettre la main sur les témoins, comme s’ils avaient disparu sous terre", raconte un ancien enquêteur au journal. Celui-ci fait état des doutes des enquêteurs de l’époque sur la volonté des témoins de donner davantage de détails, car ils auraient fait du tort aux anciens dirigeants de l’uçk, devenus depuis de "respectables dirigeants du Kosovo". " Aussi ont-ils peur que chacune de leurs déclarations ne soit pour eux une condamnation à mort", constate le Spiegel.
"Désormais, les derniers espoirs d’un éclaircissement de cette affaire sont dans les mains d’un enquêteur du Conseil de l’Europe, Dick Marty, qui doit étudier le dossier d’ici les deux prochaines années", écrit le journal, qui souligne qu’il a déjà élucidé les vols secrets de la CIA et mis en évidence l’existence de prisons secrètes en Europe.
"Le village près de Burelja s’appelle Ribe et cette "maison des horreurs" n’est pas seulement au bout du village, mais au bout de la civilisation", écrit le Spiegel, qui indique que derrière la maison se trouve une route impraticable et un ravin qui visiblement sert de dépotoir. Le propriétaire de la maison, Abdoul Katuci (77 ans) a raconté au journal qu’un jour de février 2004, alors qu’il gardait ses moutons dans la montagne, "des policiers lourdement armés ont débarqué avec des étrangers et un procureur albanais et ont retourné toute la maison, perquisitionné, et tout emmené, même les cendriers, pour analyser les traces de sang". C’est pourquoi, selon lui, sa famille, dont des bébés, ont dû passer deux nuits dans le froid. Les enquêteurs de l’ONU se seraient selon lui particulièrement intéressés à une petite chambre au rez de chaussée où le sol en béton est peint en noir, chambre dans laquelle ils ont creusé, ce que le vieil homme leur a permis "seulement à condition de payer les dommages". Après quoi "des hommes et une femme se sont retirés", ajoute Katuci qui a appris de quoi il s’agissait quand le livre de Carla del Ponte est sorti en avril dernier. S’il n’était pas si pauvre, Katuci a déclaré qu’il aurait "porté plainte contre del Ponte devant le tribunal des Droits de l’Homme de Strasbourg".
Donc tout faux ? Le trafic d’organe est-il une partie de "la théorie du complot" du fin fond des Balkans ? Vraisemblablement quand même, non", constate le Spiegel - tout est vrai ! - comme le montre des détails du récit du vieillard, qui demande l’aide de son petit-fils quand il ne peut s’expliquer. Une des questions génantes pour lui est celle concernant l’emploi de bouteilles vides de liquide à assouplir les muscles, de pansements et d’aiguilles que les enquêteurs ont découvert dans les environs de la maison... "Dans un tel environnement , sans aucun soin médical approprié, il est parfaitement normal que les gens en ayant besoin se fassent des piqûres", déclare au journal le petit-fils, un jeune homme de 26 ans au regard sombre, sans convaincre ses interlocuteurs.
Quand il est question des traces de sang retrouvées dans la maison, ce garçon raconte qu’une "femme a accouché" là et que, de plus, lors des fêtes religieuses musulmanes, comme l’a raconté une petite fille, on y égorge des animaux... Quant à la couleur de la maison, que tous les témoins citent comme étant jaune, le petit-fils fait remarquer qu’elle est maintenant blanche et affirme qu’elle l’a toujours été. Mais quand-même, après un certain temps, il se rappelle enfin qu’elle avait été "repeinte lors d’un mariage" et que les enquêteurs avaient sous la peinture blanche retrouvé la jaune...
D’après les informations publiées par l’hebdomadaire allemand Der Spiegel
Version francophone élaborée par le Collectif Citoyen pour la Paix au Kosovo-Métochie
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