L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
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L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
Où en est on aujourd'hui 55 ans aprés la quasi certitude de la découverte de l'arche par Fernand Navarra ?
Fernand Navarra, avec un morceau de bois de 5000 ans |
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
Arche de Noé Ce qui ne l'empêche pas d'écrire un livre intitulé : «J'ai trouvé l'arche de Noé». Au cours de ses conférences, Fernand Navarra montre des photos ...
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
Entre 1952 et 1969, le Français Fernand Navarra a conduit plusieurs expéditions au mont Ararat. Sur les flancs enneigés du sommet, à une haute altitude, il trouva dans une crevasse "une étrange masse sombre", dont il tira un morceau de bois sculpté. De retour en Europe, Navarra fit analyser ses échantillons au carbone 14 en laboratoire. Les résultats annoncés sont contradictoires, ne donnant pas une ancienneté suffisante .
Depuis lors, d'autres prospections ont été menées, en particulier sous le patronnage de l'association ArcImaging . De son côté, l'Américain Ron Wyatt a étudié un nouveau site à partir de 1977. A 22 km au sud du sommet de l'Ararat, il avait remarqué sur une photo-satellite une langue de terrain en forme de navire. Avec son équipe, il fit sur place un examen approfondi dont les résultats sont pour le moins stupéfiants. Qu'on en juge : ce qui ressemble à la coque est constituée de montants de bois fossilisé, dont on a extrait de gros rivets de métal. Un sondage effectué au radar a révélé la structure interne de la partie enterrée, qui contendrait de nombreuses cloisons. Une ancre de pierre percée d'un trou a été exhumée en 1991, lors d'un forage profond creusé dans le côté du navire. Plus bas dans la vallée on connaît d'autres ancres de ce type, portant des graffiti en forme de croix, sans doute gravés lors du passage des croisés. Enfin, un forage effectué à travers l'épave aurait permis d'identifier des traces de vie animale tels que des poils d'animaux !
Depuis lors, d'autres prospections ont été menées, en particulier sous le patronnage de l'association ArcImaging . De son côté, l'Américain Ron Wyatt a étudié un nouveau site à partir de 1977. A 22 km au sud du sommet de l'Ararat, il avait remarqué sur une photo-satellite une langue de terrain en forme de navire. Avec son équipe, il fit sur place un examen approfondi dont les résultats sont pour le moins stupéfiants. Qu'on en juge : ce qui ressemble à la coque est constituée de montants de bois fossilisé, dont on a extrait de gros rivets de métal. Un sondage effectué au radar a révélé la structure interne de la partie enterrée, qui contendrait de nombreuses cloisons. Une ancre de pierre percée d'un trou a été exhumée en 1991, lors d'un forage profond creusé dans le côté du navire. Plus bas dans la vallée on connaît d'autres ancres de ce type, portant des graffiti en forme de croix, sans doute gravés lors du passage des croisés. Enfin, un forage effectué à travers l'épave aurait permis d'identifier des traces de vie animale tels que des poils d'animaux !
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
L'arche de Noé peut être situé sur le mont Ararat
Lundi, 15 Mars 2010 21:43 | Écrit par Administrator
L'Arche de Noé serait peut-être située sur le mont Ararat en Turquie.
L’arche de Noé serait selon le livre de la Genèse un grand navire construit sur ordre de Yahvé afin de sauver Noé (patriarche biblique), sa famille et toutes les espèces animales peuplant la terre d’un déluge menaçant de se produire. Curieusement, un récit très similaire existe avec un mythe antérieur Sumérien, l’Epopée de Gilgamesh. (Un sage se voit ordonner par le dieu Enki de construire un navire sur lequel il pourrait survivre d’un déluge. (Noé sur son Arche. Représentation du 15e s.)
La bible nous dit : « Faites vous une arche en forme de grand navire que vous diviserez en trois étages. Sa longueur sera de 300 coudées, sa largeur de 50 et sa hauteur de 30. Vous y ferez entrer un couple de tous les animaux et vous prendrez avec vous les provisions nécessaires ». Ces mesures correspondent approximativement à 157 mètres de long, 15,7 mètres de haut et 26,2 mètres de largeur. Le déluge ne vint que 120 ans après que l’arche fut commencée ce qui laissait aux hommes un long délai pour se convertir. Pendant ce long intervalle, Noé eut ordre de prêcher la pénitence. Hélas, les coupables se plongeaient au contraire dans les plus effroyables excès. C’est alors que la colère du Seigneur éclata et le déluge survint.
Pendant que les hommes continuaient à se livrer à tous les vices, Yahvé ordonna à Noé d’entrer dans l’arche avec sa femme, ses fils et leurs femmes, ainsi qu’un couple de tous les animaux impurs. Il faut savoir que les animaux impurs étaient ceux que l’on ne pouvait ni manger, ni offrir en sacrifice). Quand aux animaux purs, Noé reçut l’ordre d’en prendre non pas un couple mais sept.
Le déluge :
« Le ciel se couvrit de nuages sombres. Pendant 40 jours et 40 nuits tombe une pluie torrentielle, les fleuves débordent, les mers franchissent les rivages, des vagues déchaînées se mettent à recouvrir la terre. L’arche s’élève jusqu’à 15 coudées au dessus des plus hautes montagnes et tout ce qui a vie en dehors d’elle périt irrémédiablement. Tandis que les hommes, les plantes et les animaux périssaient, l’arche flottait en surface. Au bout de 150 jours, Dieu fit souffler un vent fort, les eaux commencèrent à diminuer et l’arche s’arrêta au sommet du mont Ararat en Turquie. Noé ouvrit alors la fenêtre de l’arche et laissa s’envoler un corbeau qui ne revint pas. Sept jours plus tard, Noé lâcha une colombe. N’ayant pas trouvé ou se poser, elle revint à Noé. Au bout de 7 autres jours, Noé lâcha à nouveau la colombe qui revint cette fois portant dans son bec un rameau d’olivier dont les feuilles étaient vertes, signe évident que les eaux s’étaient retirées. Noé relâcha une troisième fois la colombe qui ne revint pas. Noé sortit de l’arche avec sa famille et tous les animaux. Lorsqu’il vit la terre sans autres habitants que les membres de sa propre famille, Noé ressentit une profonde gratitude et s’empressa d’élever un autel et d’offrir un sacrifice. A ce moment, Yahvé fit apparaître un arc en ciel et dit à Noé « Voici le signe de mon alliance avec vous et vos descendants. Il n’y aura plus de déluge pour détruire le genre humain ». Selon la bible, Noé était devenu cultivateur et mourût quelques années après le déluge.
Localisation possible de l’Arche de Noé :
Au cours du vingtième siècle, des centaines d’expéditions ont gravi le mont Ararat (montagne volcanique en Turquie) et les monts environnants à la recherche de la mythique arche de Noé. Un fait marquant, le 16 juin 1987, Ron Wyatt et son équipe sont invités par le gouverneur de la province d’Agri à se rendre à une cérémonie à l’est de la Turquie, au pied du mont Ararat (la montagne du jugement dernier). 4 jours plus tard, le gouverneur déclare devant les caméras que les autorités archéologiques turques accréditent en partie les résultats des recherches menées par R. Wyatt et son équipe. C’est à cet endroit selon eux que se serait échoué l’arche de Noé.
De nombreuses photos aériennes ont été prises proche du mont Ararat (une autre montagne à 27 kilomètres au nord) et montrent effectivement une forme de bateau. Le problème est que cette structure d’environs 150 mètres de long se trouve sur les flancs de la montagne à 2130 mètres au dessus du niveau de la mer. Elément curieux, les 150 mètres de long correspondent précisément (à 7 mètres près) aux 300 coudées (= 157 mètres) de longueur décrites dans la Genèse. En fait, il n’y aurait rien de si particulier dans le fait de trouver les restes d’une épave très ancienne sur les flancs d’une montagne. Des études géologiques ont rendu de plus en plus évidente la réalité du déluge (biblique). On a mis au jour au sommet de hautes montagnes quantité de coquillages et de poissons fossilisés.
Des échantillons ont été prélevés en 1979 et 1984. Il semblerait que le sol contienne par endroits de fortes concentrations de métal et de bois en décomposition. En 1985, plusieurs détecteurs de métaux différents utilisés lors de fouilles montrent tous une structure étonnamment régulière sous forme de lignes parallèles et transversales et qui convergent aux deux extrémités.
Informations supplémentaires: position GPS du mont Ararat:
Longitude: 44°21'24''
Latitude: 39°40'52''
Mis à jour (Dimanche, 21 Mars 2010 20:48
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
AFP
26/04/2010 | Mise à jour : 15:21 Réactions (64)
Un groupe d'explorateurs évangéliques chinois et turcs ont annoncé aujourd'hui qu'ils pensaient avoir découvert l'arche de Noé sur un sommet de quelque 4000 mètres du mont Ararat en Turquie. Ils affirment avoir retrouvé des restes en bois de la structure de l'arche dont la datation au carbone quatorze remonterait à 4.800 ans, époque présumée où l'arche aurait navigué.
"Nous ne sommes pas sûrs à 100% qu'il s'agit de l'arche mais nous le sommes à 99,9%", a déclaré Yeung Wing-cheung, réalisateur chinois de films documentaires à Hong Kong et l'un des quinze membres de l'équipe baptisée Noah's Ark Ministries International. La structure de l'arche comporte plusieurs compartiments, certains dotés de poutrelles en bois, qui devaient abriter des animaux, a-t-il ajouté.
L'équipe a exclu que l'emplacement de la découverte ait été habité puisqu'on n'a jamais trouvé, dans la région, de traces de présence humaine au-delà de 3.500 mètres d'altitude. Les responsables turcs locaux vont demander au gouvernement de demander à l'UNESCO d'accorder à la région le statut de "patrimoine mondial" afin que le site soit protégé pendant toute la durée des fouilles, a indiqué Yeung.
Selon la Bible, Dieu aurait déclenché le déluge pour laver la terre de sa corruption et demandé à Noé de construire une arche et d'y placer un spécimen de chacune des espèces vivantes. Toujours selon la Bible, lorsque les eaux de l'inondation provoquée par le déluge se sont retirées, l'arche s'est posée à sec sur l'une des hauteurs d'une chaîne montagneuse que certains chercheurs pensent être le mont Ararat.
26/04/2010 | Mise à jour : 15:21 Réactions (64)
Un groupe d'explorateurs évangéliques chinois et turcs ont annoncé aujourd'hui qu'ils pensaient avoir découvert l'arche de Noé sur un sommet de quelque 4000 mètres du mont Ararat en Turquie. Ils affirment avoir retrouvé des restes en bois de la structure de l'arche dont la datation au carbone quatorze remonterait à 4.800 ans, époque présumée où l'arche aurait navigué.
"Nous ne sommes pas sûrs à 100% qu'il s'agit de l'arche mais nous le sommes à 99,9%", a déclaré Yeung Wing-cheung, réalisateur chinois de films documentaires à Hong Kong et l'un des quinze membres de l'équipe baptisée Noah's Ark Ministries International. La structure de l'arche comporte plusieurs compartiments, certains dotés de poutrelles en bois, qui devaient abriter des animaux, a-t-il ajouté.
L'équipe a exclu que l'emplacement de la découverte ait été habité puisqu'on n'a jamais trouvé, dans la région, de traces de présence humaine au-delà de 3.500 mètres d'altitude. Les responsables turcs locaux vont demander au gouvernement de demander à l'UNESCO d'accorder à la région le statut de "patrimoine mondial" afin que le site soit protégé pendant toute la durée des fouilles, a indiqué Yeung.
Selon la Bible, Dieu aurait déclenché le déluge pour laver la terre de sa corruption et demandé à Noé de construire une arche et d'y placer un spécimen de chacune des espèces vivantes. Toujours selon la Bible, lorsque les eaux de l'inondation provoquée par le déluge se sont retirées, l'arche s'est posée à sec sur l'une des hauteurs d'une chaîne montagneuse que certains chercheurs pensent être le mont Ararat.
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
À la recherche de l’arche de Noé
«Si l'on découvrait une fois l'arche de Noé sur le Mont Ararat, ce serait à coup sûr la plus grande découverte archéologique de tous les temps; et ce seul fait justifie la poursuite des recherches». Ainsi s'exprimait, il y a quelques années, le Dr Gilbert Grosvener, de la rédaction du National Geographic Magazine de Washington. De son côté, le Dr Eryk Cummings, véritable spécialiste de cette recherche, puisqu'il a organisé plusieurs expéditions vers l'Ararat ces dernières années, déclarait récemment : «Bien que l'on ne dispose aujourd'hui d'aucune preuve concrète et irréfutable de la présence de l'arche de Noé sur le Mont Ararat, l'abondance des récits publiés à ce sujet nous pousse à cette déduction : où il y a tant de fumée, il doit y avoir du feu».
Bien sûr, notre foi en l'Écriture sainte, en particulier au récit du déluge, n'a pas besoin de faire appel à une découverte archéologique sur les flancs du Mont Ararat. Néanmoins, en nos temps du Fils de l'homme, que le Seigneur compare aux jours de Noé (voir Matthieu 24:37 ; Luc 17:26), pourquoi Dieu ne permettrait-il pas que nous passions des hypothèses aux certitudes au sujet des vestiges de l'arche de Noé sur l'Ararat, pour qu'une éclatante confirmation de l'authenticité du récit biblique soit apportée à notre génération agnostique et incrédule?
La recherche de l'arche de Noé remonte à la plus haute antiquité. Le prêtre chaldéen, Berose (475 avant Jésus-Christ), raconte que des habitants de la région de Caucase «grattaient le revêtement de bitume de l'arche de Noé qu'ils avaient retrouvée pour s'en faire des contrepoisons et des talismans». Dans les premiers siècles de l'ère chrétienne, Nicolas de Damas, Jérôme et Théophile d'Antioche, évoquent successivement les restes de l'arche demeurée intacte sur l'Ararat. En 330, le moine Jacob tente l'ascension de la célèbre montagne et en ramène un fragment qui sera précieusement conservé, comme relique, dans le monastère d'Etschmiadzin jusqu'en 1829, date de la destruction de ce monastère par un tremblement de terre. Au 13e siècle, Marco Polo cite des voyageurs qui auraient contemplé des vestiges de l'arche.
En juillet 1840, une éruption soudaine ouvre une brèche sur les flancs de l'Ararat : une coulée de lave anéantit le village de Ahora, situé sur le flanc nord-est de la montagne. À la suite de cette catastrophe, les autorités turques envoient des équipes d'ouvriers dans la montagne pour établir des barrages de protection. L'une d'elles découvre alors, à fleur d'un glacier, «les restes d'un très grand navire dont la partie accessible était divisée en trois chambres».
1856 :Trois savants britanniques font l'ascension de l'Ararat. Ce sont des incrédules; ils ont entrepris leur expédition, un peu dans l'intention de démontrer le caractère mythologique du récit du déluge. C'est un été particulièrement chaud : la glace a fondu de façon inhabituelle dans la partie supérieure de la montagne. À leur étonnement, les trois alpinistes tombent fortuitement sur les vestiges d'un très grand navire bloqué dans les glaces. Ils peuvent même entrer dans le bateau et en explorer l'intérieur. Furieux de leur trouvaille, ils essaient de la détruire, mais le bois refuse de brûler. Il est aussi trop dur pour qu'ils puissent en arracher les parties. Les trois savants s'engagent alors sous serment à ne jamais faire allusion à leur découverte. Deux arméniens, un père et son fils de 16 ans, les ayant accompagnés dans cette ascension, ils les contraignent à garder le silence, les menançants même de torture si, par la suite, ils devaient trahir leurs promesses.
De nombreuses années s'écoulèrent mais les deux arméniens n'oublièrent pas. Puis le père mourut et Haji, le fils, fut gagné à l'Évangile par un missionnaire venu dans la région. Au moment des persécutions turques contre les Arméniens, Haji émigra aux États-Unis. Affecté d'une grave dysentrie, il fut transporté d'urgence à l'hopital d'Oakland, en Californie; là, il rencontra le pasteur Harold Williams, fonctionnant comme infirmier dans l'établissement. Croyant sa dernière heure arrivée, Haji raconta l'histoire, vieille de soixante ans. Au moment même, Williams n'y prêta pas trop attention. Mais en 1918, un journal à grand tirage publia un récit évoquant la même découverte; c'était le témoignage de l'un des trois savants britanniques corroborant les faits. Le dernier survivant de l'expédition était devenu croyant à la fin de sa vie et faisait amende honorable en racontant son expérience de 1856, ce qui suscita, un peu partout, un vif intérêt.
1876 :James Bryce, membre de la Société de Géographie Royale de Londres, fait l'ascension du Mont Ararat et aperçoit parmi des blocs de lave, «une pièce de bois d'environ 1 mètre de long et 20cm d'épaisseur, visiblement taillée à l'aide d'un outil». De retour en Angleterre, il raconte sa trouvaille à la Société de Géographie. Cependant, un célèbre orientaliste, Sir Henry Rawlinson, le tourne en ridicule devant toute l'assistance, prouvant par des arguments apparemment irréfutables que l'Arafat de la Bible ne saurait correspondre au Grand-Ararat de la Turquie orientale.
En 1883 : une avalanche dévaste les flancs de la célèbre montagne. Le gouvernement turc ordonne une enquête et fait appel à un glaciologue britannique nommé Gascoyne. Lors d'une excursion, l'explorateur observe à son étonnement «les restes d'un antique vaisseau pris dans la glace». Des journalistes s'emparent de l'information et veulent en tirer un document à sensation; mais un article du New-York Times signé par un savant réputé fait «crever ce ballon d'essai» «L'arche de Noé est un mythe et doit le rester». Il faut dire que c'est l'époque du triomphe aveugle de la raison sur la foi …
1887 : L'archidiacre Nourri, de l'Église orthodoxe, entreprend l'ascension de la montagne. À son tour il découvre les vestiges de l'arche «formée de poutres d'un rouge sombre d'un bois très épais». Quelques années plus tard, on l'invite à rendre compte de sa trouvaille au congrès du Parlement Mondial des Églises. Son rapport suscite suffisamment d'enthousiasme pour que l'on fonde, aux États-Unis, une société chargée de financer une expédition au Caucase, dont l'objectif est particulièrement audacieux : redescendre l'arche de Noé de la montagne et la transporter outre-Atlantique pour qu'elle devienne l'attraction principale de la Foire Internationale de Chicago en 1896 ! Mais l'argent manque; de plus, pour la petite histoire, le gouvernement turc refuse «l'autorisation d'exporter l'arche, au cas où on la trouverait», si bien qu'elle tombe à nouveau dans l'oubli. Quant à l'archevêque Nourri, il est frappé d'artériosclérose et doit être soigné en clinique; il n'en faut pas d'avantage pour que des gens mal intentionnés taxent de folie ceux qui veulent ressusciter la «légende de Noé».
Août 1916 : Un aviateur russe, Vladimir Roskovitsky (Zabaolotsky, selon d'autres rapports) est chargé d'une mission de reconnaissance à la frontière turque; il observe alors un lac gelé sur le versant oriental du Grand-Ararat. Il s'en approche quelque peu et croit reconnaître la carcasse d'un gigantesque navire. Son information suscite la curiosité de ses supérieurs; le capitaine Koorbatoff survole à son tour la région et confirme les faits. Il fait rapport au tsar, l'empereur Nicolas11, qui ordonne immédiatement une expédition terrestre. Une compagnie de soldats est affectée à cette recherche et une mission scientifique se joint à l'expédition qui parvient à l'emplacement signalé, prend des photographies et ramène un précieux butin. Mais la révolution de 1917 éclate et ces inestimables documents sont égarés et détruits dans la tourmente qui balaie la Russie.
Vers cette époque (1916-17), Jacob Radtke, un Allemand servant dans l'armée Russe engagée contre les Turcs, entreprend avec un groupe de soldats l'ascension de l'Ararat. Au cours de leur escapade, ils aperçoivent au-dessus d'eux les restes d'un très grand bateau, mais n'ont pas la possibilité de s'élever jusqu'à lui. Radtke, agriculteur en Bessarabie, gardera son secret pendant près de cinquante ans. Ce n'est qu'à l'âge de 62 ans qu'il racontera son histoire à Eryl Cummings. Il faut attendre 1936 pour entendre à nouveau parler de l'arche sur le Mont Ararat. Un archéologue néo-Zélandais, Hardwicke Knight, recherche les vestiges d'un antique monastère dans la gorge d'Ahora; mais à son grand étonnement, il découvre les restes d'une épave, c'est-à-dire «quelques poutres de bois très dur prises dans les glaces», le mauvais temps l'empêche de poursuivre son enquête.
1943 : Le journal de l'armée américaine «Stars and Stripes» publie un étrange reportage : deux pilotes de l'armée de l'air qui s'envolèrent d'Erivan, en Russie, pour se rendre en Tunisie, ont aperçu, en passant au-dessus de l'Ararat, «un grand bateau à moitié immergé dans un petit lac à très haute altitude». Vers la même époque, le major Jasper Maskelyn, chef des services soviétiques de camouflage, cite les exploits de l'un de ses hommes qui a repéré les décombres d'un antique navire sur l'Ararat. Consécutivement à son rapport, une expédition terrestre est décidée et elle retrouve, près de la frontière turque, «les restes d'un vaisseau ancien dont le bois avait, par endroits, l'apparence du charbon».
1948 : Un paysan kurde nommé Rashit remarque à son tour, dans la partie supérieure de l'Ararat, un objet qu'il prend pour la proue d'un navire pris dans les glaces. Il essaie d'en prélever un fragment, mais le bois est trop dur; son témoignage paraît dans certains journaux. Alerté, un groupe de chrétiens organise une expédition pour l'Ararat; parmi eux, un ancien officier de l'armée britannique, un archéologue, un missionnaire rentré de Chine, un mécanicien, un photographe et un physicien. Mais, parvenu à Ankara, les autorités leur refusent la permission de pénétrer en zone frontière. Décidément, l'Ararat défend bien ses secrets … Mais d'autres alpinistes vont prendre la relève. Il nous faut maintenant parler de Fernand Navarra et revenir quelques années en arrière. Alors qu'il effectuait son service militaire au Liban, en 1937, il entreprit l'ascension de l'Hermon avec son ami Alin, un jeune Arménien; ce dernier eut le mal des montagnes et crût sa dernière heure arrivée, ce qui le conduisit à faire d'étranges confidences à Navarra; son grand-père, né dans la région du Grand-Ararat, l'avait chargé, en son temps, d'une tâche bien spéciale : retrouver l'arche de Noé que lui-même avait aperçue. Si Alin ne supportait pas l'altitude de l'Hermon (2730 m), que serait-ce sur l'Ararat (5156 m)? Sentant ses limites, il transmit sa mission à Navarra qui n'oublia pas l'incident. Dès lors, ce dernier n'eut qu'un désir : retrouver l'arche.
«Si l'on découvrait une fois l'arche de Noé sur le Mont Ararat, ce serait à coup sûr la plus grande découverte archéologique de tous les temps; et ce seul fait justifie la poursuite des recherches». Ainsi s'exprimait, il y a quelques années, le Dr Gilbert Grosvener, de la rédaction du National Geographic Magazine de Washington. De son côté, le Dr Eryk Cummings, véritable spécialiste de cette recherche, puisqu'il a organisé plusieurs expéditions vers l'Ararat ces dernières années, déclarait récemment : «Bien que l'on ne dispose aujourd'hui d'aucune preuve concrète et irréfutable de la présence de l'arche de Noé sur le Mont Ararat, l'abondance des récits publiés à ce sujet nous pousse à cette déduction : où il y a tant de fumée, il doit y avoir du feu».
Bien sûr, notre foi en l'Écriture sainte, en particulier au récit du déluge, n'a pas besoin de faire appel à une découverte archéologique sur les flancs du Mont Ararat. Néanmoins, en nos temps du Fils de l'homme, que le Seigneur compare aux jours de Noé (voir Matthieu 24:37 ; Luc 17:26), pourquoi Dieu ne permettrait-il pas que nous passions des hypothèses aux certitudes au sujet des vestiges de l'arche de Noé sur l'Ararat, pour qu'une éclatante confirmation de l'authenticité du récit biblique soit apportée à notre génération agnostique et incrédule?
La recherche de l'arche de Noé remonte à la plus haute antiquité. Le prêtre chaldéen, Berose (475 avant Jésus-Christ), raconte que des habitants de la région de Caucase «grattaient le revêtement de bitume de l'arche de Noé qu'ils avaient retrouvée pour s'en faire des contrepoisons et des talismans». Dans les premiers siècles de l'ère chrétienne, Nicolas de Damas, Jérôme et Théophile d'Antioche, évoquent successivement les restes de l'arche demeurée intacte sur l'Ararat. En 330, le moine Jacob tente l'ascension de la célèbre montagne et en ramène un fragment qui sera précieusement conservé, comme relique, dans le monastère d'Etschmiadzin jusqu'en 1829, date de la destruction de ce monastère par un tremblement de terre. Au 13e siècle, Marco Polo cite des voyageurs qui auraient contemplé des vestiges de l'arche.
En juillet 1840, une éruption soudaine ouvre une brèche sur les flancs de l'Ararat : une coulée de lave anéantit le village de Ahora, situé sur le flanc nord-est de la montagne. À la suite de cette catastrophe, les autorités turques envoient des équipes d'ouvriers dans la montagne pour établir des barrages de protection. L'une d'elles découvre alors, à fleur d'un glacier, «les restes d'un très grand navire dont la partie accessible était divisée en trois chambres».
1856 :Trois savants britanniques font l'ascension de l'Ararat. Ce sont des incrédules; ils ont entrepris leur expédition, un peu dans l'intention de démontrer le caractère mythologique du récit du déluge. C'est un été particulièrement chaud : la glace a fondu de façon inhabituelle dans la partie supérieure de la montagne. À leur étonnement, les trois alpinistes tombent fortuitement sur les vestiges d'un très grand navire bloqué dans les glaces. Ils peuvent même entrer dans le bateau et en explorer l'intérieur. Furieux de leur trouvaille, ils essaient de la détruire, mais le bois refuse de brûler. Il est aussi trop dur pour qu'ils puissent en arracher les parties. Les trois savants s'engagent alors sous serment à ne jamais faire allusion à leur découverte. Deux arméniens, un père et son fils de 16 ans, les ayant accompagnés dans cette ascension, ils les contraignent à garder le silence, les menançants même de torture si, par la suite, ils devaient trahir leurs promesses.
De nombreuses années s'écoulèrent mais les deux arméniens n'oublièrent pas. Puis le père mourut et Haji, le fils, fut gagné à l'Évangile par un missionnaire venu dans la région. Au moment des persécutions turques contre les Arméniens, Haji émigra aux États-Unis. Affecté d'une grave dysentrie, il fut transporté d'urgence à l'hopital d'Oakland, en Californie; là, il rencontra le pasteur Harold Williams, fonctionnant comme infirmier dans l'établissement. Croyant sa dernière heure arrivée, Haji raconta l'histoire, vieille de soixante ans. Au moment même, Williams n'y prêta pas trop attention. Mais en 1918, un journal à grand tirage publia un récit évoquant la même découverte; c'était le témoignage de l'un des trois savants britanniques corroborant les faits. Le dernier survivant de l'expédition était devenu croyant à la fin de sa vie et faisait amende honorable en racontant son expérience de 1856, ce qui suscita, un peu partout, un vif intérêt.
1876 :James Bryce, membre de la Société de Géographie Royale de Londres, fait l'ascension du Mont Ararat et aperçoit parmi des blocs de lave, «une pièce de bois d'environ 1 mètre de long et 20cm d'épaisseur, visiblement taillée à l'aide d'un outil». De retour en Angleterre, il raconte sa trouvaille à la Société de Géographie. Cependant, un célèbre orientaliste, Sir Henry Rawlinson, le tourne en ridicule devant toute l'assistance, prouvant par des arguments apparemment irréfutables que l'Arafat de la Bible ne saurait correspondre au Grand-Ararat de la Turquie orientale.
En 1883 : une avalanche dévaste les flancs de la célèbre montagne. Le gouvernement turc ordonne une enquête et fait appel à un glaciologue britannique nommé Gascoyne. Lors d'une excursion, l'explorateur observe à son étonnement «les restes d'un antique vaisseau pris dans la glace». Des journalistes s'emparent de l'information et veulent en tirer un document à sensation; mais un article du New-York Times signé par un savant réputé fait «crever ce ballon d'essai» «L'arche de Noé est un mythe et doit le rester». Il faut dire que c'est l'époque du triomphe aveugle de la raison sur la foi …
1887 : L'archidiacre Nourri, de l'Église orthodoxe, entreprend l'ascension de la montagne. À son tour il découvre les vestiges de l'arche «formée de poutres d'un rouge sombre d'un bois très épais». Quelques années plus tard, on l'invite à rendre compte de sa trouvaille au congrès du Parlement Mondial des Églises. Son rapport suscite suffisamment d'enthousiasme pour que l'on fonde, aux États-Unis, une société chargée de financer une expédition au Caucase, dont l'objectif est particulièrement audacieux : redescendre l'arche de Noé de la montagne et la transporter outre-Atlantique pour qu'elle devienne l'attraction principale de la Foire Internationale de Chicago en 1896 ! Mais l'argent manque; de plus, pour la petite histoire, le gouvernement turc refuse «l'autorisation d'exporter l'arche, au cas où on la trouverait», si bien qu'elle tombe à nouveau dans l'oubli. Quant à l'archevêque Nourri, il est frappé d'artériosclérose et doit être soigné en clinique; il n'en faut pas d'avantage pour que des gens mal intentionnés taxent de folie ceux qui veulent ressusciter la «légende de Noé».
Août 1916 : Un aviateur russe, Vladimir Roskovitsky (Zabaolotsky, selon d'autres rapports) est chargé d'une mission de reconnaissance à la frontière turque; il observe alors un lac gelé sur le versant oriental du Grand-Ararat. Il s'en approche quelque peu et croit reconnaître la carcasse d'un gigantesque navire. Son information suscite la curiosité de ses supérieurs; le capitaine Koorbatoff survole à son tour la région et confirme les faits. Il fait rapport au tsar, l'empereur Nicolas11, qui ordonne immédiatement une expédition terrestre. Une compagnie de soldats est affectée à cette recherche et une mission scientifique se joint à l'expédition qui parvient à l'emplacement signalé, prend des photographies et ramène un précieux butin. Mais la révolution de 1917 éclate et ces inestimables documents sont égarés et détruits dans la tourmente qui balaie la Russie.
Vers cette époque (1916-17), Jacob Radtke, un Allemand servant dans l'armée Russe engagée contre les Turcs, entreprend avec un groupe de soldats l'ascension de l'Ararat. Au cours de leur escapade, ils aperçoivent au-dessus d'eux les restes d'un très grand bateau, mais n'ont pas la possibilité de s'élever jusqu'à lui. Radtke, agriculteur en Bessarabie, gardera son secret pendant près de cinquante ans. Ce n'est qu'à l'âge de 62 ans qu'il racontera son histoire à Eryl Cummings. Il faut attendre 1936 pour entendre à nouveau parler de l'arche sur le Mont Ararat. Un archéologue néo-Zélandais, Hardwicke Knight, recherche les vestiges d'un antique monastère dans la gorge d'Ahora; mais à son grand étonnement, il découvre les restes d'une épave, c'est-à-dire «quelques poutres de bois très dur prises dans les glaces», le mauvais temps l'empêche de poursuivre son enquête.
1943 : Le journal de l'armée américaine «Stars and Stripes» publie un étrange reportage : deux pilotes de l'armée de l'air qui s'envolèrent d'Erivan, en Russie, pour se rendre en Tunisie, ont aperçu, en passant au-dessus de l'Ararat, «un grand bateau à moitié immergé dans un petit lac à très haute altitude». Vers la même époque, le major Jasper Maskelyn, chef des services soviétiques de camouflage, cite les exploits de l'un de ses hommes qui a repéré les décombres d'un antique navire sur l'Ararat. Consécutivement à son rapport, une expédition terrestre est décidée et elle retrouve, près de la frontière turque, «les restes d'un vaisseau ancien dont le bois avait, par endroits, l'apparence du charbon».
1948 : Un paysan kurde nommé Rashit remarque à son tour, dans la partie supérieure de l'Ararat, un objet qu'il prend pour la proue d'un navire pris dans les glaces. Il essaie d'en prélever un fragment, mais le bois est trop dur; son témoignage paraît dans certains journaux. Alerté, un groupe de chrétiens organise une expédition pour l'Ararat; parmi eux, un ancien officier de l'armée britannique, un archéologue, un missionnaire rentré de Chine, un mécanicien, un photographe et un physicien. Mais, parvenu à Ankara, les autorités leur refusent la permission de pénétrer en zone frontière. Décidément, l'Ararat défend bien ses secrets … Mais d'autres alpinistes vont prendre la relève. Il nous faut maintenant parler de Fernand Navarra et revenir quelques années en arrière. Alors qu'il effectuait son service militaire au Liban, en 1937, il entreprit l'ascension de l'Hermon avec son ami Alin, un jeune Arménien; ce dernier eut le mal des montagnes et crût sa dernière heure arrivée, ce qui le conduisit à faire d'étranges confidences à Navarra; son grand-père, né dans la région du Grand-Ararat, l'avait chargé, en son temps, d'une tâche bien spéciale : retrouver l'arche de Noé que lui-même avait aperçue. Si Alin ne supportait pas l'altitude de l'Hermon (2730 m), que serait-ce sur l'Ararat (5156 m)? Sentant ses limites, il transmit sa mission à Navarra qui n'oublia pas l'incident. Dès lors, ce dernier n'eut qu'un désir : retrouver l'arche.
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
Il doit cependant attendre l'année 1952 pour organiser sa première expédition à l'Ararat. Pendant quinze jours, Fernand Navarra scrute les flancs de la montagne. Un jour, il croit voir de loin une masse sombre au fond d'une paroi à pic. Qu'est-ce ? Les débris d'un avion ? Ou bien les vestiges de l'arche de Noé reposant dans un endroit apparamment inaccessible ?
Juillet 1953 : Deuxième tentative. Navarra et son camarade Seker retrouvent cette étrange masse sombre. Ils parviennent à s'en approcher d'une centaine de mètres et prennent des photos. Mais le temps se gâte et ils doivent battre en retraite. L'hiver suivant, Fernand Navarra fait des conférences au Palais de Chaillot à Paris. Aux yeux du personnel de l'Ambassade du gouvernement d'Ankara à Paris, ses films font d'avantage ressortir la misère et la pauvreté de la population que les réalisations techniques de la République Turque. Désormais, le visa d'entrée dans la zone militaire de l'Ararat lui sera refusé… Qu'importe en 1955, Navarra organise une troisième expédition, clandestine cette fois. Il part avec sa famille passer des vacances dans la région de Trébizonde, sur les rives de la mer Noire. Puis, accompagné de son fils de 12 ans, il réussit à pénétrer, incognito, en zone militaire où il passe inaperçu. Cette fois, le père et le fils parviennent à la fameuse masse sombre repérée précédemment; une échelle de cordes leur a permis de descendre par une profonde faille creusée entre deux rochers et d'aboutir transversalement au glacier, par une grotte. De son piolet, Navarra touche l'extrémité d'une poutre noire qui gît là, rivée dans la glace.Ce n'est pas un tronc d'arbre mais une pièce bien équarrie, visiblement taillée à l'aide d'un outil. Impossible de l'ébranler. De sa hache, il en coupe un bout d'environ 1 m 50 et, après avoir tiré une série de photos, il scie la poutre en trois parties que le père et le fils ramèneront en plaine. De retour en Europe, Navarra prend la précaution de faire analyser au carbone 14 les morceaux de bois ramenés de l'Ararat. Il n'en a pas indiqué la provenance aux laboratoires sollicités : Bordeaux, Madrid et Paris, mais les analyses de ces trois établissements concordent : l'origine de ces poutres remontent à une période se situant entre 3000 et 5000 années, ce qui peut correspondre à la date du déluge. Cependant, Navarra ne s'en tiendra pas là; il envoie quelques fragments de ce bois aux États-Unis. L'Université de Pennsylvanie leur attribue une origine beaucoup plus récente : entre le 4e et 5e siècle de l'ère chrétienne. Il n'en faut pas davantage pour que les découvertes de Navarra soient disqualifiées. Ce qui ne l'empêche pas d'écrire un livre intitulé : «J'ai trouvé l'arche de Noé». Au cours de ses conférences, Fernand Navarra montre des photos saisissantes, puis il remet volontiers en souvenir, à ceux qui le demandent, des esquilles de bois prélevées sur les fameuses poutres ramenées de l'Ararat; plusieurs serviteurs de Dieu les ont utilisées à leur tour pour tenter de convaincre leurs auditoires de l'historicité du déluge. Bien que je ne sois pas un collectionneur de reliques, j'ai dans mon bureau deux petits fragments de ce bois, qui me sont parvenus par des cheminements différents.
1958 : Le gouvernement turc établit une cartographie de la région; de nombreuses photos sont prises d'avion. Les techniciens chargés d'analyser ces photos à l'université de Columbus y décèlent un curieux objet d'environ 150m de long et 50 m de large. Le Fonds de Recherches Archéologiques à Washington s'y intéresse. Une expédition est organisée en 1960. Parvenus à pied d'oeuvre, les alpinistes repèrent d'extraordinaires formations volcaniques rappelant la forme d'un navire. Ce n'est donc toujours pas l'arche de Noé. Des expéditions successives sont organisées par les Américains dans les années 1962, 1963 et 1966. Chacune d'elles se solde par un échec. Puis la fondation SEARCH, s'assure du concours de Fernand Navarra pour son expédition de 1969. Après pas mal de péripéties, les alpinistes parviennent à l'emplacement repéré quinze ans auparavant, retrouvent des restes de poutres à moitié calcinées et en ramènent plusieurs échantillons aux États-Unis. Cette fois F. Navarra est réhabilité, ses trouvailles sont pleinement justifiées et plusieurs journaux évangéliques des E.U. reproduisent avec enthousiasme les photographies en couleurs de ces bois vieux de cinquante siècles. Il semble vraiment que l'arche de Noé a été retrouvée …
Juillet 1953 : Deuxième tentative. Navarra et son camarade Seker retrouvent cette étrange masse sombre. Ils parviennent à s'en approcher d'une centaine de mètres et prennent des photos. Mais le temps se gâte et ils doivent battre en retraite. L'hiver suivant, Fernand Navarra fait des conférences au Palais de Chaillot à Paris. Aux yeux du personnel de l'Ambassade du gouvernement d'Ankara à Paris, ses films font d'avantage ressortir la misère et la pauvreté de la population que les réalisations techniques de la République Turque. Désormais, le visa d'entrée dans la zone militaire de l'Ararat lui sera refusé… Qu'importe en 1955, Navarra organise une troisième expédition, clandestine cette fois. Il part avec sa famille passer des vacances dans la région de Trébizonde, sur les rives de la mer Noire. Puis, accompagné de son fils de 12 ans, il réussit à pénétrer, incognito, en zone militaire où il passe inaperçu. Cette fois, le père et le fils parviennent à la fameuse masse sombre repérée précédemment; une échelle de cordes leur a permis de descendre par une profonde faille creusée entre deux rochers et d'aboutir transversalement au glacier, par une grotte. De son piolet, Navarra touche l'extrémité d'une poutre noire qui gît là, rivée dans la glace.Ce n'est pas un tronc d'arbre mais une pièce bien équarrie, visiblement taillée à l'aide d'un outil. Impossible de l'ébranler. De sa hache, il en coupe un bout d'environ 1 m 50 et, après avoir tiré une série de photos, il scie la poutre en trois parties que le père et le fils ramèneront en plaine. De retour en Europe, Navarra prend la précaution de faire analyser au carbone 14 les morceaux de bois ramenés de l'Ararat. Il n'en a pas indiqué la provenance aux laboratoires sollicités : Bordeaux, Madrid et Paris, mais les analyses de ces trois établissements concordent : l'origine de ces poutres remontent à une période se situant entre 3000 et 5000 années, ce qui peut correspondre à la date du déluge. Cependant, Navarra ne s'en tiendra pas là; il envoie quelques fragments de ce bois aux États-Unis. L'Université de Pennsylvanie leur attribue une origine beaucoup plus récente : entre le 4e et 5e siècle de l'ère chrétienne. Il n'en faut pas davantage pour que les découvertes de Navarra soient disqualifiées. Ce qui ne l'empêche pas d'écrire un livre intitulé : «J'ai trouvé l'arche de Noé». Au cours de ses conférences, Fernand Navarra montre des photos saisissantes, puis il remet volontiers en souvenir, à ceux qui le demandent, des esquilles de bois prélevées sur les fameuses poutres ramenées de l'Ararat; plusieurs serviteurs de Dieu les ont utilisées à leur tour pour tenter de convaincre leurs auditoires de l'historicité du déluge. Bien que je ne sois pas un collectionneur de reliques, j'ai dans mon bureau deux petits fragments de ce bois, qui me sont parvenus par des cheminements différents.
1958 : Le gouvernement turc établit une cartographie de la région; de nombreuses photos sont prises d'avion. Les techniciens chargés d'analyser ces photos à l'université de Columbus y décèlent un curieux objet d'environ 150m de long et 50 m de large. Le Fonds de Recherches Archéologiques à Washington s'y intéresse. Une expédition est organisée en 1960. Parvenus à pied d'oeuvre, les alpinistes repèrent d'extraordinaires formations volcaniques rappelant la forme d'un navire. Ce n'est donc toujours pas l'arche de Noé. Des expéditions successives sont organisées par les Américains dans les années 1962, 1963 et 1966. Chacune d'elles se solde par un échec. Puis la fondation SEARCH, s'assure du concours de Fernand Navarra pour son expédition de 1969. Après pas mal de péripéties, les alpinistes parviennent à l'emplacement repéré quinze ans auparavant, retrouvent des restes de poutres à moitié calcinées et en ramènent plusieurs échantillons aux États-Unis. Cette fois F. Navarra est réhabilité, ses trouvailles sont pleinement justifiées et plusieurs journaux évangéliques des E.U. reproduisent avec enthousiasme les photographies en couleurs de ces bois vieux de cinquante siècles. Il semble vraiment que l'arche de Noé a été retrouvée …
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
Bonjour Panetier,
Êtes-vous au courant des derniers développements à ce sujet? Un autre groupe de chercheurs croît avoir retrouvé l'Arche de Noé, mais à un endroit différent de ce qui aurait été retrouvé dans le passé. Cette fois-ci, on possède même un vidéo, des schémas, et tout cela a été révélé lors d'une grande conférence de presse. Voici l'article tout récent annonçant la découverte:
Êtes-vous au courant des derniers développements à ce sujet? Un autre groupe de chercheurs croît avoir retrouvé l'Arche de Noé, mais à un endroit différent de ce qui aurait été retrouvé dans le passé. Cette fois-ci, on possède même un vidéo, des schémas, et tout cela a été révélé lors d'une grande conférence de presse. Voici l'article tout récent annonçant la découverte:
L'arche de Noë retrouvée en Turquie ?
AFP
26/04/2010 | Mise à jour : 15:21
Un groupe d'explorateurs évangéliques chinois et turcs ont annoncé aujourd'hui qu'ils pensaient avoir découvert l'arche de Noé sur un sommet de quelque 4000 mètres du mont Ararat en Turquie. Ils affirment avoir retrouvé des restes en bois de la structure de l'arche dont la datation au carbone quatorze remonterait à 4.800 ans, époque présumée où l'arche aurait navigué.
"Nous ne sommes pas sûrs à 100% qu'il s'agit de l'arche mais nous le sommes à 99,9%", a déclaré Yeung Wing-cheung, réalisateur chinois de films documentaires à Hong Kong et l'un des quinze membres de l'équipe baptisée Noah's Ark Ministries International. La structure de l'arche comporte plusieurs compartiments, certains dotés de poutrelles en bois, qui devaient abriter des animaux, a-t-il ajouté.
L'équipe a exclu que l'emplacement de la découverte ait été habité puisqu'on n'a jamais trouvé, dans la région, de traces de présence humaine au-delà de 3.500 mètres d'altitude. Les responsables turcs locaux vont demander au gouvernement de demander à l'UNESCO d'accorder à la région le statut de "patrimoine mondial" afin que le site soit protégé pendant toute la durée des fouilles, a indiqué Yeung.
Selon la Bible, Dieu aurait déclenché le déluge pour laver la terre de sa corruption et demandé à Noé de construire une arche et d'y placer un spécimen de chacune des espèces vivantes. Toujours selon la Bible, lorsque les eaux de l'inondation provoquée par le déluge se sont retirées, l'arche s'est posée à sec sur l'une des hauteurs d'une chaîne montagneuse que certains chercheurs pensent être le mont Ararat.
Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
Bonjour,
Voici le site officiel de l'expédition (anglais), qui contient de nombreuses images impressionnantes,
ainsi qu'un vidéo stupéfiant, car pour la première fois, on retrouve sur pellicule l'exploration
de l'intérieur de la structure. Voici ce vidéo et une image qui représente les 7 portions séparées
qui ont été mises à jour jusqu'ici. Pour la suite, il suffit de suivre le lien.
http://www.noahsarksearch.net/eng/
Emmanuel
------------------------------
Première vidéo jamais réalisée de l'exploration des compartiments intérieurs:
Schéma de sept portions mises-à-jour jusqu'ici de ce qui serait l'Arche de Noé:
Voici le site officiel de l'expédition (anglais), qui contient de nombreuses images impressionnantes,
ainsi qu'un vidéo stupéfiant, car pour la première fois, on retrouve sur pellicule l'exploration
de l'intérieur de la structure. Voici ce vidéo et une image qui représente les 7 portions séparées
qui ont été mises à jour jusqu'ici. Pour la suite, il suffit de suivre le lien.
http://www.noahsarksearch.net/eng/
Emmanuel
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Première vidéo jamais réalisée de l'exploration des compartiments intérieurs:
Schéma de sept portions mises-à-jour jusqu'ici de ce qui serait l'Arche de Noé:
Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
L'arche de Noë retrouvée en Turquie ?
AFP
26/04/2010 | Mise à jour : 15:21 Réactions (64)
Un groupe d'explorateurs évangéliques chinois et turcs ont annoncé aujourd'hui qu'ils pensaient avoir découvert l'arche de Noé sur un sommet de quelque 4000 mètres du mont Ararat en Turquie. Ils affirment avoir retrouvé des restes en bois de la structure de l'arche dont la datation au carbone quatorze remonterait à 4.800 ans, époque présumée où l'arche aurait navigué.
"Nous ne sommes pas sûrs à 100% qu'il s'agit de l'arche mais nous le sommes à 99,9%", a déclaré Yeung Wing-cheung, réalisateur chinois de films documentaires à Hong Kong et l'un des quinze membres de l'équipe baptisée Noah's Ark Ministries International. La structure de l'arche comporte plusieurs compartiments, certains dotés de poutrelles en bois, qui devaient abriter des animaux, a-t-il ajouté.
L'équipe a exclu que l'emplacement de la découverte ait été habité puisqu'on n'a jamais trouvé, dans la région, de traces de présence humaine au-delà de 3.500 mètres d'altitude. Les responsables turcs locaux vont demander au gouvernement de demander à l'UNESCO d'accorder à la région le statut de "patrimoine mondial" afin que le site soit protégé pendant toute la durée des fouilles, a indiqué Yeung.
Selon la Bible, Dieu aurait déclenché le déluge pour laver la terre de sa corruption et demandé à Noé de construire une arche et d'y placer un spécimen de chacune des espèces vivantes. Toujours selon la Bible, lorsque les eaux de l'inondation provoquée par le déluge se sont retirées, l'arche s'est posée à sec sur l'une des hauteurs d'une chaîne montagneuse que certains chercheurs pensent être le mont Ararat.
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
Merci du fond du coeur Emmanuel,
Vous êtes un as de la recherche d'informations sur ce sujet.
Cette découverte est très importante puisqu'elle permet un pont entre la foi en la parole de Dieu et la preuve historique du déluge.
Merci pour ces photos et images magnifiques qu'aucun journal laÏc ou peut-être même Chrétien n'a le courage de reproduire.
Nous touchons du doigt des preuves redoutables pour les évolutionnistes.
Il ne faudra pas s'étonner si l'info est ignorée , déformée et contredite dans les mois et années à venir.
Ce qui risque aussi de ne rien arranger, c'est que cela se passe en Turquie.
Encore que le déluge semble mentionné dans le coran.
Vous êtes un as de la recherche d'informations sur ce sujet.
Cette découverte est très importante puisqu'elle permet un pont entre la foi en la parole de Dieu et la preuve historique du déluge.
Merci pour ces photos et images magnifiques qu'aucun journal laÏc ou peut-être même Chrétien n'a le courage de reproduire.
Nous touchons du doigt des preuves redoutables pour les évolutionnistes.
Il ne faudra pas s'étonner si l'info est ignorée , déformée et contredite dans les mois et années à venir.
Ce qui risque aussi de ne rien arranger, c'est que cela se passe en Turquie.
Encore que le déluge semble mentionné dans le coran.
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
Facile à dater au C14 et les experts peuvent identifier la nature du bois et sa provenance.
pax et bonum- Avec les anges
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
Merci Panetier,
Oui, vous avez raison, cette découverte est d'une grande importance. Je ne crois pas qu'il y ait de munitions aussi puissantes pour les croyants, afin de contrer la philosophie évolutionniste athée sur le terrain scientifique. Je crois que le Seigneur avait prévu, de toute éternité, que cette découverte soit réservée pour ces temps que nous vivons, au moment où la Foi en Dieu serait si faible, et les croyants persécutés de tant de manières.
En consultant le site du gorupe de recherche pour la première fois, hier, depuis l'article de l'AFP en avril, j'ai constaté qu'on avait rajouté beaucoup d'entrevues vidéo. Jamais nous n'avons eu accès à autant d'images, de vidéos, et à une publicité aussi ouverte à propos de cette question.
La simple vidéo de l'intérieur de la structure est vraiment impressionante, même si on ne comprend pas ce que les chercheurs expliquent.
Amitiés,
Emmanuel
Oui, vous avez raison, cette découverte est d'une grande importance. Je ne crois pas qu'il y ait de munitions aussi puissantes pour les croyants, afin de contrer la philosophie évolutionniste athée sur le terrain scientifique. Je crois que le Seigneur avait prévu, de toute éternité, que cette découverte soit réservée pour ces temps que nous vivons, au moment où la Foi en Dieu serait si faible, et les croyants persécutés de tant de manières.
En consultant le site du gorupe de recherche pour la première fois, hier, depuis l'article de l'AFP en avril, j'ai constaté qu'on avait rajouté beaucoup d'entrevues vidéo. Jamais nous n'avons eu accès à autant d'images, de vidéos, et à une publicité aussi ouverte à propos de cette question.
La simple vidéo de l'intérieur de la structure est vraiment impressionante, même si on ne comprend pas ce que les chercheurs expliquent.
Amitiés,
Emmanuel
Dernière édition par Emmanuel_ le Dim 8 Aoû 2010 - 20:44, édité 1 fois
Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
La découverte qu’ils auraient faite pourrait à jamais transformer la face du monde. En effet c’est à trois mille huit cent mètres d’altitude qu’ils ont mis à jour des restes en bois constitués de poutres d’une vingtaine de centimètre de large. La structure en elle-même est de très grande taille, les murs sont lisses et recourbés et le bois utilisé est d’après les spécialistes présents du cyprès.
Plusieurs compartiments se trouvent à l’intérieur de cette construction, on peut encore trouver des portes et des escaliers. Les différentes poutres sont fixées sans aucun clou ce qui suggèrent que cette structure soit très ancienne...
Pour cette équipe, même s’ils ne peuvent rien encore affirmer, il pourrait bien s’agir de l’Arche de Noé. Alors cette anomalie est elle l’Arche de Noé finalement retrouvé ? D’après certains historiens est impossible qu’une inondation ait pu soulever l’arche à une telle altitude.
Difficile de savoir, il ne nous reste plus qu’à attendre pour en savoir plus.
Ils ont montré quelques photos où l’on peut voir le groupe d’explorateur venu de Hong Kong à l’intérieur de la structure. On y voit sur certaine de la glace venant du glacier où doit reposer le navire. Le groupe de recherche refuse d’indiquer l’endroit exact où cet ensemble à été trouvé. On peut le comprendre étant donné que ces chercheurs ne veulent pas forcément que ces restes soient pillés.
Mais, un élément surprenant est qu’il n’y ait aucune photo extérieure. De puis la structure est en très bon état étant donné son âge ainsi que le fait qu’elle soit restée aussi longtemps dans un glacier qui l’aurait probablement écrasée. Des analyses au carbone 14 auraient été faites montrant que le bois daterait de quatre mille huit cent ans. De puis le bois, du cyprès serait celui utilisé pour la construction de l’Arche d’après la bible. Alors, découverte de l’arche ?
Plusieurs compartiments se trouvent à l’intérieur de cette construction, on peut encore trouver des portes et des escaliers. Les différentes poutres sont fixées sans aucun clou ce qui suggèrent que cette structure soit très ancienne...
Pour cette équipe, même s’ils ne peuvent rien encore affirmer, il pourrait bien s’agir de l’Arche de Noé. Alors cette anomalie est elle l’Arche de Noé finalement retrouvé ? D’après certains historiens est impossible qu’une inondation ait pu soulever l’arche à une telle altitude.
Difficile de savoir, il ne nous reste plus qu’à attendre pour en savoir plus.
Ils ont montré quelques photos où l’on peut voir le groupe d’explorateur venu de Hong Kong à l’intérieur de la structure. On y voit sur certaine de la glace venant du glacier où doit reposer le navire. Le groupe de recherche refuse d’indiquer l’endroit exact où cet ensemble à été trouvé. On peut le comprendre étant donné que ces chercheurs ne veulent pas forcément que ces restes soient pillés.
Mais, un élément surprenant est qu’il n’y ait aucune photo extérieure. De puis la structure est en très bon état étant donné son âge ainsi que le fait qu’elle soit restée aussi longtemps dans un glacier qui l’aurait probablement écrasée. Des analyses au carbone 14 auraient été faites montrant que le bois daterait de quatre mille huit cent ans. De puis le bois, du cyprès serait celui utilisé pour la construction de l’Arche d’après la bible. Alors, découverte de l’arche ?
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
La découverte qu’ils auraient faite pourrait à jamais transformer la face du monde. En effet c’est à trois mille huit cent mètres d’altitude qu’ils ont mis à jour des restes en bois constitués de poutres d’une vingtaine de centimètre de large. La structure en elle-même est de très grande taille, les murs sont lisses et recourbés et le bois utilisé est d’après les spécialistes présents du cyprès.
Plusieurs compartiments se trouvent à l’intérieur de cette construction, on peut encore trouver des portes et des escaliers. Les différentes poutres sont fixées sans aucun clou ce qui suggèrent que cette structure soit très ancienne...
Pour cette équipe, même s’ils ne peuvent rien encore affirmer, il pourrait bien s’agir de l’Arche de Noé. Alors cette anomalie est elle l’Arche de Noé finalement retrouvé ? D’après certains historiens est impossible qu’une inondation ait pu soulever l’arche à une telle altitude.
Difficile de savoir, il ne nous reste plus qu’à attendre pour en savoir plus.
Ils ont montré quelques photos où l’on peut voir le groupe d’explorateur venu de Hong Kong à l’intérieur de la structure. On y voit sur certaine de la glace venant du glacier où doit reposer le navire. Le groupe de recherche refuse d’indiquer l’endroit exact où cet ensemble à été trouvé. On peut le comprendre étant donné que ces chercheurs ne veulent pas forcément que ces restes soient pillés.
Mais, un élément surprenant est qu’il n’y ait aucune photo extérieure. De puis la structure est en très bon état étant donné son âge ainsi que le fait qu’elle soit restée aussi longtemps dans un glacier qui l’aurait probablement écrasée. Des analyses au carbone 14 auraient été faites montrant que le bois daterait de quatre mille huit cent ans. De puis le bois, du cyprès serait celui utilisé pour la construction de l’Arche d’après la bible. Alors, découverte de l’arche ?
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
Le Sapin, le Cyprès et le bois de Gopher
Les arbres les plus hauts, les cèdres du Liban qu'il a plantés, sont rassasiés ; afin que les oiseaux y fassent leurs nids ; les Sapins sont la demeure de la cigogne. (Ps. CIV, 16, 17.)
On ne connaît en Syrie qu'une seule espèce de Sapin, l'Abies cilicica, qui croît dans le Liban et n'y est pas très répandue.
Le mot hébreu traduit par Sapin comprend donc aussi vraisemblablement le Pin, dont il y a plusieurs espèces sauvages en Palestine, entre autres le Pin d'Alep et le Pin de Corse ; il y a un passage qui paraît désigner spécialement le Pin à pignon (Pinus Pinea), c'est le suivant : Je serai pour lui comme un Sapin toujours vert ; ton fruit se trouvera en moi (Osée XIV, 8), car les graines du Pin à pignon contiennent une amande d'un goût agréable.
Plusieurs écrivains, qui se sont occupés des plantes mentionnées dans la Bible, n'admettent pas que l'arbre désigné dans les versets précédents soit un Pin ou un Sapin, se fondant sur ce que, dans la version syriaque, le mot hébreu a été rendu par Cyprès.
Il est même probable que le Cyprès des écrivains sacrés comprenait non seulement cet arbre, mais aussi le Juniperus excelsa, espèce de Genévrier qui lui ressemble fort. Un autre mot hébreu est traduit ailleurs par Cyprès : II prend un Cyprès ou un chêne (Esaïe XLIV, 14), mais est généralement considéré comme signifiant plutôt un arbre toujours vert.
Le Cyprès (Cupressus sempervirens) a reçu, dit-on, son nom de l'île de Cypre, où il formait l'un des traits distinctifs de la végétation ; c'est l'un des bois ordinaires de construction dans le Levant, et nous avons déjà dit que, suivant quelques auteurs, ce serait ce bois plutôt que celui du Cèdre que Salomon aurait employé pour le temple de Jérusalem.
On le rencontre en Palestine et dans toute la Syrie ; son port nous est bien connu d'après les dessins qui représentent des cimetières mahométans, où ses troncs élevés, droits comme des peupliers, projettent leur ombre épaisse et bien tranchée sur les tombeaux. Il a souvent de seize à vingt mètres (50 à 60 pieds) de hauteur ; ses branches, toujours vertes, étaient portées à la main par les anciens dans les processions funèbres, comme symbole de l'immortalité de l'âme.
Le bois de Cyprès, qui est peut-être encore ce bois de Gopher employé par Noé dans la construction de l'arche (Gen. VI, 14), était renommé pour sa durée ; les anciens Égyptiens en faisaient quelquefois des cercueils ; les Grecs modernes le recherchent dans un but semblable, à cause de sa dureté et de son odeur aromatique.
Les portes de l'église de Saint-Pierre à Rome sont en bois de Cyprès ; onze cents ans d'existence ne les ont point altérées. Pline mentionne la parfaite conservation de la statue de Jupiter au Capitole, taillée dans le même bois ; elle avait 600 ans lorsqu'il écrivait. Les Romains estimaient beaucoup le bois du Cyprès ; ils plantaient cet arbre, comme on le fait encore aujourd'hui en Italie, autour de leurs villas et dans les jardins.
Les arbres les plus hauts, les cèdres du Liban qu'il a plantés, sont rassasiés ; afin que les oiseaux y fassent leurs nids ; les Sapins sont la demeure de la cigogne. (Ps. CIV, 16, 17.)
On ne connaît en Syrie qu'une seule espèce de Sapin, l'Abies cilicica, qui croît dans le Liban et n'y est pas très répandue.
Le mot hébreu traduit par Sapin comprend donc aussi vraisemblablement le Pin, dont il y a plusieurs espèces sauvages en Palestine, entre autres le Pin d'Alep et le Pin de Corse ; il y a un passage qui paraît désigner spécialement le Pin à pignon (Pinus Pinea), c'est le suivant : Je serai pour lui comme un Sapin toujours vert ; ton fruit se trouvera en moi (Osée XIV, 8), car les graines du Pin à pignon contiennent une amande d'un goût agréable.
Plusieurs écrivains, qui se sont occupés des plantes mentionnées dans la Bible, n'admettent pas que l'arbre désigné dans les versets précédents soit un Pin ou un Sapin, se fondant sur ce que, dans la version syriaque, le mot hébreu a été rendu par Cyprès.
Il est même probable que le Cyprès des écrivains sacrés comprenait non seulement cet arbre, mais aussi le Juniperus excelsa, espèce de Genévrier qui lui ressemble fort. Un autre mot hébreu est traduit ailleurs par Cyprès : II prend un Cyprès ou un chêne (Esaïe XLIV, 14), mais est généralement considéré comme signifiant plutôt un arbre toujours vert.
Le Cyprès (Cupressus sempervirens) a reçu, dit-on, son nom de l'île de Cypre, où il formait l'un des traits distinctifs de la végétation ; c'est l'un des bois ordinaires de construction dans le Levant, et nous avons déjà dit que, suivant quelques auteurs, ce serait ce bois plutôt que celui du Cèdre que Salomon aurait employé pour le temple de Jérusalem.
On le rencontre en Palestine et dans toute la Syrie ; son port nous est bien connu d'après les dessins qui représentent des cimetières mahométans, où ses troncs élevés, droits comme des peupliers, projettent leur ombre épaisse et bien tranchée sur les tombeaux. Il a souvent de seize à vingt mètres (50 à 60 pieds) de hauteur ; ses branches, toujours vertes, étaient portées à la main par les anciens dans les processions funèbres, comme symbole de l'immortalité de l'âme.
Le bois de Cyprès, qui est peut-être encore ce bois de Gopher employé par Noé dans la construction de l'arche (Gen. VI, 14), était renommé pour sa durée ; les anciens Égyptiens en faisaient quelquefois des cercueils ; les Grecs modernes le recherchent dans un but semblable, à cause de sa dureté et de son odeur aromatique.
Les portes de l'église de Saint-Pierre à Rome sont en bois de Cyprès ; onze cents ans d'existence ne les ont point altérées. Pline mentionne la parfaite conservation de la statue de Jupiter au Capitole, taillée dans le même bois ; elle avait 600 ans lorsqu'il écrivait. Les Romains estimaient beaucoup le bois du Cyprès ; ils plantaient cet arbre, comme on le fait encore aujourd'hui en Italie, autour de leurs villas et dans les jardins.
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
Bonjour Panetier,
Merci de nous partager de nouvelles informations sur cette expédition. Je n'avais jamais vu cette image. L'avez-vous puisée sur le site officiel de l'expédition?
Amitiés,
Emmanuel
Merci de nous partager de nouvelles informations sur cette expédition. Je n'avais jamais vu cette image. L'avez-vous puisée sur le site officiel de l'expédition?
Amitiés,
Emmanuel
Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
Bonjour Cher ami,
Oui c'est bien cela, sur leur site nous avons quelques photos et informations ( en Anglais ! ) supplémentaires :
Noah's Ark Ministries International (NAMI) - NoahsArkSearch.net ... - [ Traduire cette page ] 25 Apr 2010 ... "The significance of this find is that for the first time in history the discovery of Noah's Ark is well documented and revealed to the ...
www.noahsarksearch.net/eng/ - www.noahsarksearch.net/eng/+noah%E2%80%99s+ark+ministries+international&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=fr" target="_blank" rel="nofollow">En cache
Oui c'est bien cela, sur leur site nous avons quelques photos et informations ( en Anglais ! ) supplémentaires :
Noah's Ark Ministries International (NAMI) - NoahsArkSearch.net ... - [ Traduire cette page ] 25 Apr 2010 ... "The significance of this find is that for the first time in history the discovery of Noah's Ark is well documented and revealed to the ...
www.noahsarksearch.net/eng/ - www.noahsarksearch.net/eng/+noah%E2%80%99s+ark+ministries+international&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=fr" target="_blank" rel="nofollow">En cache
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
vidéo précédente en 2007/2008 :
Exclusivité Infolive.tv : Il a retrouvé l'Arche de Noé 5 min - 26 janv. 2008 Une équipe conjointe de chercheurs et de scientifiques, orginaires de Turquie et de Hong Kong, affirme avoir récemment découvert les ... blinkx.com - Autres vidéos |
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
Voici un copié-collé du nouvel obs ; soyons sûrs que non seulement la tendance créationniste de nos frères protestants est mal perçue mais plus encore Dieu créateur est plus que jamais génant pour ses créatures scientistes et journalistes .
Bien à vous tous. Michel
Si les Créationnistes ont raison, alors (que Dieu me pardonne) il y a… des mensonges dans la Bible
Il y en a qui se prennent pour Napoléon. Johan Huibers, lui, se prend pour Noé. Ce Néerlandais de 49 ans, constructeur de bâtiments industriels, «a ressenti comme une mission» le devoir de fabriquer de ses mains une réplique de l’Arche de Noé peuplée d’animaux en plastique. Et d’y accueillir les touristes afin de «communiquer sa foi». C’est fait, après trois longues années de labeur - solitaire, parait-il. Les affaires marchent du feu de Dieu. Même si c’est fermé le dimanche, Jour du Seigneur oblige.
Et même si l’Arche en question est un modèle réduit: deux fois moins longue (70 mètres seulement), trois fois moins large, quatorze fois moins volumineuse que l’Arche de la Bible. C’est qu’il fallait pouvoir voguer sur les canaux hollandais. Mais quand il aura récolté assez d’argent, Huibers promet de reconstruire une Arche aux vraies dimensions, et de la faire naviguer dans les eaux internationales.
Très loin de la Hollande, à Petersburg (Kentucky), vient tout juste d’ouvrir le «Creation Museum», le Musée du Créationnisme. Une sorte de Luna Park charlatanesque, où l’on prétend démontrer que toutes les assertions bibliques sont à prendre au pied de la lettre. Pour sauver l’honneur des Etats-Unis, l’inauguration de cette grotesque bouffonnerie, début juin, a tout de même été accueillie par des manifs et des sarcasmes. Mais revenons à l’Arche. Ici, à Petersbug, on s’est bien abstenu de la reconstituer en grandeur «réelle». On n’en fait voir qu’une maquette très réduite, c’est en effet plus prudent.
Bien à vous tous. Michel
Si les Créationnistes ont raison, alors (que Dieu me pardonne) il y a… des mensonges dans la Bible
Il y en a qui se prennent pour Napoléon. Johan Huibers, lui, se prend pour Noé. Ce Néerlandais de 49 ans, constructeur de bâtiments industriels, «a ressenti comme une mission» le devoir de fabriquer de ses mains une réplique de l’Arche de Noé peuplée d’animaux en plastique. Et d’y accueillir les touristes afin de «communiquer sa foi». C’est fait, après trois longues années de labeur - solitaire, parait-il. Les affaires marchent du feu de Dieu. Même si c’est fermé le dimanche, Jour du Seigneur oblige.
Et même si l’Arche en question est un modèle réduit: deux fois moins longue (70 mètres seulement), trois fois moins large, quatorze fois moins volumineuse que l’Arche de la Bible. C’est qu’il fallait pouvoir voguer sur les canaux hollandais. Mais quand il aura récolté assez d’argent, Huibers promet de reconstruire une Arche aux vraies dimensions, et de la faire naviguer dans les eaux internationales.
Très loin de la Hollande, à Petersburg (Kentucky), vient tout juste d’ouvrir le «Creation Museum», le Musée du Créationnisme. Une sorte de Luna Park charlatanesque, où l’on prétend démontrer que toutes les assertions bibliques sont à prendre au pied de la lettre. Pour sauver l’honneur des Etats-Unis, l’inauguration de cette grotesque bouffonnerie, début juin, a tout de même été accueillie par des manifs et des sarcasmes. Mais revenons à l’Arche. Ici, à Petersbug, on s’est bien abstenu de la reconstituer en grandeur «réelle». On n’en fait voir qu’une maquette très réduite, c’est en effet plus prudent.
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
Ce lien apporte des documents complémentaires à notre cher dossier sur l'arche :
( des petites erreurs de date ça et là mériteraient des corrections )
Noé et le déluge L'arche de Noé a été le plus grand bateau jamais construit, .... assurés qu'un événement de la Bible aussi extraordinaire que le déluge est vrai, ..... découvertes dans un volume intitulé "J'ai Touché L'arche De Noé", paru en 1956. ...
www.bibliorama.fr/archeo/arche_archeo.htm - www.bibliorama.fr/archeo/arche_archeo.htm+arche+de+noe+decouverte+extraordinaire&cd=20&hl=fr&ct=clnk&gl=fr" target="_blank" rel="nofollow">En cache - www.bibliorama.fr/archeo/arche_archeo.htm+arche+de+noe+decouverte+extraordinaire&tbo=1&sa=X&ei=Wl1kTN_rF4Lu4gbG97HOCg&ved=0CD0QHzATOAo" target="_blank" rel="nofollow">Pages similaires
( des petites erreurs de date ça et là mériteraient des corrections )
Noé et le déluge L'arche de Noé a été le plus grand bateau jamais construit, .... assurés qu'un événement de la Bible aussi extraordinaire que le déluge est vrai, ..... découvertes dans un volume intitulé "J'ai Touché L'arche De Noé", paru en 1956. ...
www.bibliorama.fr/archeo/arche_archeo.htm - www.bibliorama.fr/archeo/arche_archeo.htm+arche+de+noe+decouverte+extraordinaire&cd=20&hl=fr&ct=clnk&gl=fr" target="_blank" rel="nofollow">En cache - www.bibliorama.fr/archeo/arche_archeo.htm+arche+de+noe+decouverte+extraordinaire&tbo=1&sa=X&ei=Wl1kTN_rF4Lu4gbG97HOCg&ved=0CD0QHzATOAo" target="_blank" rel="nofollow">Pages similaires
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
En 2003 déjà ; dans un journal suisse :
Article - 02/02/2003
DÉCOUVERTE«J'ai enfin découvert la reine des preuves que l'arche de Noé a existé » C'est Angelo Palego, 67 ans, l'un des experts mondiaux du bateau biblique, qui parle ainsi avec fougue
DÉCOUVERTE«J'ai enfin découvert la reine des preuves que l'arche de Noé a existé !» C'est Angelo Palego, 67 ans, l'un des experts mondiaux du bateau biblique, qui parle ainsi avec fougue. « Même les scientifiques incrédules devront cette fois se faire une raison. J'ai envoyé sur le mont Ararat un grand alpiniste italien et il a filmé le 2 décembre dernier une poutre en bois impressionnante: 90 centimètres de longueur, 20 centimètres de largeur et 25 centimètres d'épaisseur. Sans aucun doute, elle fait partie des restes de la légendaire épave qui a permis à ses occupants, le patriarche biblique, son épouse, ses trois fils, Sem, Japhet et Cham et leurs épouses, ainsi qu'aux couples d'animaux de chaque espèce de survivre au déluge universel. »« Quand nous sommes rentrés de notre expédition en août dernier, l'un des deux Suisses de mon équipe, Giuseppe Rezzonico, de Lugano, avait découvert un objet de forme rectangulaire, en visionnant dans le détail notre film vidéo enregistré à une longue distance: en fait, il s'agissait d'une poutre de 12 mètres de longueur », souligne Angelo Palego. Par manque de disponibilité, le chercheur demande alors à Claudio Schranz, 51 ans, l'un des plus célèbres alpinistes italiens, d'aller tourner pour lui des images sur le mont Ararat. C'est ainsi que l'alpiniste découvre en décembre, à 4300 mètres d'altitude, une autre poutre en bois, située à 200 mètres à peine de l'endroit où se trouve, toujours selon Angelo Palego, le morceau plus important de l'arche.« Une vision qui m'a faittressaillir »« Je suis absolument sûr qu'il s'agit d'un objet d'origine humaine. La partie externe du fragment est parfaitement carrée sur les quatre côtés. Je suis un homme de montagne et, à cette altitude, j'exclus toute possibilité de vie humaine », souligne, quant à lui, Claudio Schranz, qui a pu s'approcher jusqu'à 5 mètres du fragment, mais, hélas, pas davantage à cause d'une crevasse infranchissable. « Une vision qui m'a fait tressaillir, confie-t-il. Il n'y a pas de doute, il s'agit de bois qui pourrit depuis 4372 ans. Aucun être humain peut porter là-haut un poids de plusieurs quintaux ! Ces poutres proviennent de la coque de l'arche. »Un éminent professeur de l'Université de Turin, Nello Balossino, titulaire de la chaire d'informatique, qui avait déjà déclaré que l'ombre qu'on aperçoit sous la glace pourrait être celle du bâtiment biblique, est en train d'analyser les images de la vidéo rapportée par Schranz. Des deux apppareils photo emportés, l'alpiniste n'a rien pu tirer: l'un s'est brisé en tombant de son mulet et l'autre a souffert du givre.SITE INTERNETwww.noahsark.itUne partie de la vidéo filmée par l'alpiniste Schranz peut y être visionnée Arche brisée en morceauxSelon Angelo Palego, l'arche sur le mont Ararat s'est brisée en trois parties en 1840, suite à une explosion volcanique. La plus grande partie ? la coque selon lui ? qui a été filmée sous la glace est située à 4300 mètres d'altitude au-dessus du glacier Parrot et mesure 100 mètres de long. Les deux autres parties se trouveraient à 4000 mètres d'altitude dans la gorge d'Ahora. « La construction biblique est un parallélépipède en bois de 156 mètres de longueur, de 26 mètres de largeur et de 15,5 mètres de hauteur, qui comprend trois ponts et une seule fenêtre. Les dimensions des restes que j'ai déjà découverts correspondent à celles indiquées dans la Bible », affirme Angelo Palego, encoresous l'émotion de sa récente découverte. « J'ai tout simplement suivi les indications de la Bible, selon lesquellesl'arche se trouve sur le mont Ararat. » Trésor cherche sponsorsIl y croit dur comme fer, Angelo Palego. Agé de 67 ans, cet ingénieur chimiste à la retraite, féru d'archéologie et passionné de la Bible, compte déjà dix-huit expéditions à son actif, depuis 1984, sur les glaciers du mont Ararat, situé en Turquie orientale, aux confins de l'Arménie et de l'Iran. Le 11 juillet 1989, il avait déjà identifié en transparence dans la glace un morceau censé appartenir à l'arche. L'explorateur et expert originaire de Trecate, dans la province de Novare, est certain que la montagne sacrée abrite l'embarcation biblique qui, en 2369 av. J.-C, aurait sauvé l'humanité. A l'étranger, il y a aussi beaucoup de chercheurs de l'arche, notamment aux Etats-Unis. « La CIA est persuadée que l ' Ararat anomaly qu'elle dit avoir identifiée sur l'Ararat est l'arche de Noé. Mais les Américains perdent leur temps et leur argent, car cette anomalie n'est autre qu'une formation rocheuse rectangulaire qui se trouve à 500 mètres de la vraie embarcation biblique !» Angelo Palego a bien l'intention de retourner avec son équipe sur l'Ararat au mois de juin prochain. Il cherche des sponsors pour sa 19e expédition, et les personnes intéressées en Suisse sont les bienvenues. « J'ai envoyé une copie des films vidéo à l'ambassadeur italien à Ankara et au ministre italien des Affaires étrangères à Rome. Je les ai invités à me soutenir, car il s'agit de quelque chose d'énorme. Toujours pas de réponse, alors que le Prix Nobel est en jeu ! Cette découverte pourrait être la plus importante de tous les temps. »
Article - 02/02/2003
DÉCOUVERTE«J'ai enfin découvert la reine des preuves que l'arche de Noé a existé » C'est Angelo Palego, 67 ans, l'un des experts mondiaux du bateau biblique, qui parle ainsi avec fougue
DÉCOUVERTE«J'ai enfin découvert la reine des preuves que l'arche de Noé a existé !» C'est Angelo Palego, 67 ans, l'un des experts mondiaux du bateau biblique, qui parle ainsi avec fougue. « Même les scientifiques incrédules devront cette fois se faire une raison. J'ai envoyé sur le mont Ararat un grand alpiniste italien et il a filmé le 2 décembre dernier une poutre en bois impressionnante: 90 centimètres de longueur, 20 centimètres de largeur et 25 centimètres d'épaisseur. Sans aucun doute, elle fait partie des restes de la légendaire épave qui a permis à ses occupants, le patriarche biblique, son épouse, ses trois fils, Sem, Japhet et Cham et leurs épouses, ainsi qu'aux couples d'animaux de chaque espèce de survivre au déluge universel. »« Quand nous sommes rentrés de notre expédition en août dernier, l'un des deux Suisses de mon équipe, Giuseppe Rezzonico, de Lugano, avait découvert un objet de forme rectangulaire, en visionnant dans le détail notre film vidéo enregistré à une longue distance: en fait, il s'agissait d'une poutre de 12 mètres de longueur », souligne Angelo Palego. Par manque de disponibilité, le chercheur demande alors à Claudio Schranz, 51 ans, l'un des plus célèbres alpinistes italiens, d'aller tourner pour lui des images sur le mont Ararat. C'est ainsi que l'alpiniste découvre en décembre, à 4300 mètres d'altitude, une autre poutre en bois, située à 200 mètres à peine de l'endroit où se trouve, toujours selon Angelo Palego, le morceau plus important de l'arche.« Une vision qui m'a faittressaillir »« Je suis absolument sûr qu'il s'agit d'un objet d'origine humaine. La partie externe du fragment est parfaitement carrée sur les quatre côtés. Je suis un homme de montagne et, à cette altitude, j'exclus toute possibilité de vie humaine », souligne, quant à lui, Claudio Schranz, qui a pu s'approcher jusqu'à 5 mètres du fragment, mais, hélas, pas davantage à cause d'une crevasse infranchissable. « Une vision qui m'a fait tressaillir, confie-t-il. Il n'y a pas de doute, il s'agit de bois qui pourrit depuis 4372 ans. Aucun être humain peut porter là-haut un poids de plusieurs quintaux ! Ces poutres proviennent de la coque de l'arche. »Un éminent professeur de l'Université de Turin, Nello Balossino, titulaire de la chaire d'informatique, qui avait déjà déclaré que l'ombre qu'on aperçoit sous la glace pourrait être celle du bâtiment biblique, est en train d'analyser les images de la vidéo rapportée par Schranz. Des deux apppareils photo emportés, l'alpiniste n'a rien pu tirer: l'un s'est brisé en tombant de son mulet et l'autre a souffert du givre.SITE INTERNETwww.noahsark.itUne partie de la vidéo filmée par l'alpiniste Schranz peut y être visionnée Arche brisée en morceauxSelon Angelo Palego, l'arche sur le mont Ararat s'est brisée en trois parties en 1840, suite à une explosion volcanique. La plus grande partie ? la coque selon lui ? qui a été filmée sous la glace est située à 4300 mètres d'altitude au-dessus du glacier Parrot et mesure 100 mètres de long. Les deux autres parties se trouveraient à 4000 mètres d'altitude dans la gorge d'Ahora. « La construction biblique est un parallélépipède en bois de 156 mètres de longueur, de 26 mètres de largeur et de 15,5 mètres de hauteur, qui comprend trois ponts et une seule fenêtre. Les dimensions des restes que j'ai déjà découverts correspondent à celles indiquées dans la Bible », affirme Angelo Palego, encoresous l'émotion de sa récente découverte. « J'ai tout simplement suivi les indications de la Bible, selon lesquellesl'arche se trouve sur le mont Ararat. » Trésor cherche sponsorsIl y croit dur comme fer, Angelo Palego. Agé de 67 ans, cet ingénieur chimiste à la retraite, féru d'archéologie et passionné de la Bible, compte déjà dix-huit expéditions à son actif, depuis 1984, sur les glaciers du mont Ararat, situé en Turquie orientale, aux confins de l'Arménie et de l'Iran. Le 11 juillet 1989, il avait déjà identifié en transparence dans la glace un morceau censé appartenir à l'arche. L'explorateur et expert originaire de Trecate, dans la province de Novare, est certain que la montagne sacrée abrite l'embarcation biblique qui, en 2369 av. J.-C, aurait sauvé l'humanité. A l'étranger, il y a aussi beaucoup de chercheurs de l'arche, notamment aux Etats-Unis. « La CIA est persuadée que l ' Ararat anomaly qu'elle dit avoir identifiée sur l'Ararat est l'arche de Noé. Mais les Américains perdent leur temps et leur argent, car cette anomalie n'est autre qu'une formation rocheuse rectangulaire qui se trouve à 500 mètres de la vraie embarcation biblique !» Angelo Palego a bien l'intention de retourner avec son équipe sur l'Ararat au mois de juin prochain. Il cherche des sponsors pour sa 19e expédition, et les personnes intéressées en Suisse sont les bienvenues. « J'ai envoyé une copie des films vidéo à l'ambassadeur italien à Ankara et au ministre italien des Affaires étrangères à Rome. Je les ai invités à me soutenir, car il s'agit de quelque chose d'énorme. Toujours pas de réponse, alors que le Prix Nobel est en jeu ! Cette découverte pourrait être la plus importante de tous les temps. »
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
Retour sur une photo de 1969 , Fernand Navarra est au centre :
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
En fait, il y a des tonnes d'infos sur l'arche de Noé sur la toile; des vraies qui cotoient des fausses.
Hélas la majeure partie de ces infos est écrite en Anglais et il faut admettre que le traducteur automatique est très approximatif.
Pourvu qu'on nous sorte un livre historique et Chronologique bien documenté sur le sujet d'ici peu.
Avant d'espérer un musée, ce serait une étape importante.
Hélas la majeure partie de ces infos est écrite en Anglais et il faut admettre que le traducteur automatique est très approximatif.
Pourvu qu'on nous sorte un livre historique et Chronologique bien documenté sur le sujet d'ici peu.
Avant d'espérer un musée, ce serait une étape importante.
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Re: L'arche de Noé : plus de 50 ans aprés Fernand Navarra
L'avis d' Edouard Cortès en 2007 ( belle conclusion Chrétienne )
C’est aux Presses de la Renaissance qu’Edouard Cortès, jeune journaliste membre de la Guilde européenne du Raid, nous livre son expédition sur le Mont Ararat en septembre 2006. Intrigué par la foi de sa grand-mère qui possédait un bout de bois rapporté par Fernand Navarra en 1955, Edouard Cortès voulait en avoir le cœur net. «Incrédule quant à ces soi-disant morceaux d’arche de Noé, je me jurai d’en savoir plus», écrit-il dans son ouvrage paru au mois d’avril dernier : «Ararat, sur la piste de l’Arche de Noé». C’est alors que son enquête commence et l’amène à découvrir que la catastrophe diluvienne est présente dans toutes les civilisations. En Grèce, en Perse, en Inde, en Islande, au Mexique, en Egypte, en Chine, au Pérou, en Océanie… «Chacun de ces pays ou régions possède un récit fondateur lié à une inondation gigantesque», réalise-t-il avant de poursuivre sa réflexion : «L’Humanité, dans son interprétation mythique, proviendrait d’un sauvetage des eaux. Une catastrophe planétaire suffisamment violente pour rester imprimée au cours des siècles dans la mémoire de toutes les civilisations : le déluge».
Edouard Cortès se plonge alors dans le récit de Fernand Navarra, qui affirme avoir découvert l’Arche de Noé en 1955, lors d’une expédition menée aux côtés de son fils Raphaël. Navarra acquiert rapidement une renommée internationale, et déclare au monde entier : «Il est permis de dire que l’âge du bois que j’ai rapporté correspond à celui que devrait avoir le bois ayant servi à la construction de l’Arche. J’ai trouvé ce bois sur l’Ararat, lieu d’arrêt traditionnel de l’Arche. Et ce bois visiblement équarri ne peut-être un simple tronc d’arbre. La question qui se pose est alors la suivante : Quelle sorte de construction a pu s’élever sur l’Ararat, à près de 5000m, il y a environ 5000 ans ? Si je réponds l’Arche de Noé, ce n’est pas parce que je prends mes désirs pour des réalités. C’est parce que cela ne peut être autre chose».
«Il y a quelque chose là-haut, c’est sûr»
Depuis, de nombreux hommes célèbres, comme James Irwin, astronaute ayant marché sur la lune, ou encore Reinhold Messner, l’un des plus grands alpinistes du monde, ont gravi ce mont mystérieux. Et tous témoignent de l’existence d’un étrange objet situé sur l’Ararat… «Bien décidé à élucider cette énigme pour l’Histoire et la science», Edouard Cortès décide de monter sa propre expédition et raconte : «Il me faut gravir le mont Ararat, voir de mes propres yeux. Aussi attrayante que la quête du Graal, aussi mythique que la poursuite de l’Eldorado, aussi inaccessible que l’Atlantide, aussi divine que l’Arche de l’Alliance, la recherche de l’Arche de Noé s’offre à moi. J’embarque pour l’inconnu. Je hisse les voiles, laissant le vent de l’aventure me pousser en eaux profondes, celles du déluge».
Peu de temps avant son départ, le jeune journaliste rencontre Raphaël Navarra, le fils de Fernand, et lui pose cette question : «Vous y croyez, vous, à l’Arche de Noé ?», ce à quoi ce dernier lui répond : «Il y a quelque chose là-haut, sous la glace, c’est sûr». Mais ce quelque chose, Edouard Cortès et son équipe n’ont pu que l’effleurer. Parvenu à l’endroit tant convoité, l’Arche reposait peut être juste sous leurs pieds, mais restait désespérément invisible. Loin de penser pour autant que Fernand Navarra les avait mené en bateau en réveillant en eux cette passion, Edouard Cortès témoigne que cette quête l’a ouvert à «quelque chose de plus grand encore».
Sur le chemin du retour, ce n’est pas les regrets qui l’assaillent, mais une foi retrouvée et vivifiée. Et malgré la fatigue de cette aventure excitante, il parvient encore à cheminer jusqu’à cette conclusion : «Que l’homme descende du singe ou de l’Ararat, sans Dieu, je ne suis rien. Sans le sacrifice du Christ, l’Humanité en reste au déluge du Mal qui continue de ronger la Terre. Le seul bois qui donne un sens à ma vie, c’est celui de la Croix. (…) Je suis monté sur l’Ararat, j’y ai vu les traces d’un mythe. Je suis descendu dans mon cœur, j’y ai trouvé Dieu. Je l’avais enfoui sous les glaces d’une vie pleine d’action. Lui, attendait que je le cherche».
Paul OHLOTT
Que l’homme descende du singe ou de l’Ararat,
sans Dieu, je ne suis rien
sans Dieu, je ne suis rien
C’est aux Presses de la Renaissance qu’Edouard Cortès, jeune journaliste membre de la Guilde européenne du Raid, nous livre son expédition sur le Mont Ararat en septembre 2006. Intrigué par la foi de sa grand-mère qui possédait un bout de bois rapporté par Fernand Navarra en 1955, Edouard Cortès voulait en avoir le cœur net. «Incrédule quant à ces soi-disant morceaux d’arche de Noé, je me jurai d’en savoir plus», écrit-il dans son ouvrage paru au mois d’avril dernier : «Ararat, sur la piste de l’Arche de Noé». C’est alors que son enquête commence et l’amène à découvrir que la catastrophe diluvienne est présente dans toutes les civilisations. En Grèce, en Perse, en Inde, en Islande, au Mexique, en Egypte, en Chine, au Pérou, en Océanie… «Chacun de ces pays ou régions possède un récit fondateur lié à une inondation gigantesque», réalise-t-il avant de poursuivre sa réflexion : «L’Humanité, dans son interprétation mythique, proviendrait d’un sauvetage des eaux. Une catastrophe planétaire suffisamment violente pour rester imprimée au cours des siècles dans la mémoire de toutes les civilisations : le déluge».
Edouard Cortès se plonge alors dans le récit de Fernand Navarra, qui affirme avoir découvert l’Arche de Noé en 1955, lors d’une expédition menée aux côtés de son fils Raphaël. Navarra acquiert rapidement une renommée internationale, et déclare au monde entier : «Il est permis de dire que l’âge du bois que j’ai rapporté correspond à celui que devrait avoir le bois ayant servi à la construction de l’Arche. J’ai trouvé ce bois sur l’Ararat, lieu d’arrêt traditionnel de l’Arche. Et ce bois visiblement équarri ne peut-être un simple tronc d’arbre. La question qui se pose est alors la suivante : Quelle sorte de construction a pu s’élever sur l’Ararat, à près de 5000m, il y a environ 5000 ans ? Si je réponds l’Arche de Noé, ce n’est pas parce que je prends mes désirs pour des réalités. C’est parce que cela ne peut être autre chose».
«Il y a quelque chose là-haut, c’est sûr»
Depuis, de nombreux hommes célèbres, comme James Irwin, astronaute ayant marché sur la lune, ou encore Reinhold Messner, l’un des plus grands alpinistes du monde, ont gravi ce mont mystérieux. Et tous témoignent de l’existence d’un étrange objet situé sur l’Ararat… «Bien décidé à élucider cette énigme pour l’Histoire et la science», Edouard Cortès décide de monter sa propre expédition et raconte : «Il me faut gravir le mont Ararat, voir de mes propres yeux. Aussi attrayante que la quête du Graal, aussi mythique que la poursuite de l’Eldorado, aussi inaccessible que l’Atlantide, aussi divine que l’Arche de l’Alliance, la recherche de l’Arche de Noé s’offre à moi. J’embarque pour l’inconnu. Je hisse les voiles, laissant le vent de l’aventure me pousser en eaux profondes, celles du déluge».
Peu de temps avant son départ, le jeune journaliste rencontre Raphaël Navarra, le fils de Fernand, et lui pose cette question : «Vous y croyez, vous, à l’Arche de Noé ?», ce à quoi ce dernier lui répond : «Il y a quelque chose là-haut, sous la glace, c’est sûr». Mais ce quelque chose, Edouard Cortès et son équipe n’ont pu que l’effleurer. Parvenu à l’endroit tant convoité, l’Arche reposait peut être juste sous leurs pieds, mais restait désespérément invisible. Loin de penser pour autant que Fernand Navarra les avait mené en bateau en réveillant en eux cette passion, Edouard Cortès témoigne que cette quête l’a ouvert à «quelque chose de plus grand encore».
Sur le chemin du retour, ce n’est pas les regrets qui l’assaillent, mais une foi retrouvée et vivifiée. Et malgré la fatigue de cette aventure excitante, il parvient encore à cheminer jusqu’à cette conclusion : «Que l’homme descende du singe ou de l’Ararat, sans Dieu, je ne suis rien. Sans le sacrifice du Christ, l’Humanité en reste au déluge du Mal qui continue de ronger la Terre. Le seul bois qui donne un sens à ma vie, c’est celui de la Croix. (…) Je suis monté sur l’Ararat, j’y ai vu les traces d’un mythe. Je suis descendu dans mon cœur, j’y ai trouvé Dieu. Je l’avais enfoui sous les glaces d’une vie pleine d’action. Lui, attendait que je le cherche».
Paul OHLOTT
P4572- Dans la prière
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