UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
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UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
Chers ami(e)s du forum , en venant sur ce forum, je vous avoue que j'ai cru que c'était un forum dédié pour Jésus, je dirais même pour l'imitation de Jésus. Mais je suis déçu car depuis que je viens sur ce site je ne lis que querelles, animosités , moqueries,faux prophètes, messages d'illuminés, bien sùr je ne généralise pas, je ne parle pas de tous mais...
soso- Avec l'Archange Saint Michel
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
Evangile : le Christ affirme être venu apporter la division sur la terre
ROME, Vendredi 17 août 2007 (ZENIT.org) – Nous publions ci-dessous le commentaire de l’Evangile du dimanche 19 août, proposé par le père Raniero Cantalamessa OFM Cap, prédicateur de la Maison pontificale.
Evangile de Jésus Christ selon saint Luc 12, 49-57
Je suis venu apporter un feu sur la terre, et comme je voudrais qu’il soit déjà allumé ! Je dois recevoir un baptême, et comme il m’en coûte d’attendre qu’il soit accompli ! Pensez-vous que je sois venu mettre la paix dans le monde ? Non, je vous le dis, mais plutôt la division. Car désormais cinq personnes de la même famille seront divisées : trois contre deux et deux contre trois ils se diviseront : le père contre le fils et le fils contre le père, la mère contre la fille et la fille contre la mère, la belle-mère contre la belle-fille et la belle-fille contre la belle-mère. »
Jésus disait encore à la foule : « Quand vous voyez un nuage monter au couchant, vous dites aussitôt qu’il va pleuvoir, et c’est ce qui arrive. Et quand vous voyez souffler le vent du sud, vous dites qu’il fera très chaud, et cela arrive. Esprits faux ! L’aspect de la terre et du ciel, vous savez le juger ; mais le temps où nous sommes, pourquoi ne savez-vous pas le juger ?
Et pourquoi aussi ne jugez-vous pas par vous-mêmes ce qui est juste ?
:2222:
ROME, Vendredi 17 août 2007 (ZENIT.org) – Nous publions ci-dessous le commentaire de l’Evangile du dimanche 19 août, proposé par le père Raniero Cantalamessa OFM Cap, prédicateur de la Maison pontificale.
Evangile de Jésus Christ selon saint Luc 12, 49-57
Je suis venu apporter un feu sur la terre, et comme je voudrais qu’il soit déjà allumé ! Je dois recevoir un baptême, et comme il m’en coûte d’attendre qu’il soit accompli ! Pensez-vous que je sois venu mettre la paix dans le monde ? Non, je vous le dis, mais plutôt la division. Car désormais cinq personnes de la même famille seront divisées : trois contre deux et deux contre trois ils se diviseront : le père contre le fils et le fils contre le père, la mère contre la fille et la fille contre la mère, la belle-mère contre la belle-fille et la belle-fille contre la belle-mère. »
Jésus disait encore à la foule : « Quand vous voyez un nuage monter au couchant, vous dites aussitôt qu’il va pleuvoir, et c’est ce qui arrive. Et quand vous voyez souffler le vent du sud, vous dites qu’il fera très chaud, et cela arrive. Esprits faux ! L’aspect de la terre et du ciel, vous savez le juger ; mais le temps où nous sommes, pourquoi ne savez-vous pas le juger ?
Et pourquoi aussi ne jugez-vous pas par vous-mêmes ce qui est juste ?
:2222:
César Cascabel- Avec Saint Benoit
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
Je suis venu apporter la division sur la terre
Le passage de l’Evangile de ce dimanche contient quelques unes des paroles les plus provocatrices jamais prononcées par Jésus : « Pensez-vous que je sois venu mettre la paix dans le monde ? Non, je vous le dis, mais plutôt la division. Car désormais cinq personnes de la même famille seront divisées : trois contre deux et deux contre trois ils se diviseront : le père contre le fils et le fils contre le père, la mère contre la fille et la fille contre la mère, la belle-mère contre la belle-fille et la belle-fille contre la belle-mère. »
Et penser que celui qui prononce ces paroles est la personne même dont la naissance fut saluée par les paroles : « Paix sur la terre aux hommes », et qu’au cours de sa vie il a proclamé : « Heureux les artisans de paix » ; celui-là même qui au moment de son arrestation somma Pierre de remettre son épée dans son fourreau (cf. Mt 26,52) ! Comment expliquer cette contradiction ?
C’est très simple. Il s’agit de voir quelles sont la paix et l’unité que Jésus est venu apporter et quelles sont la paix et l’unité qu’il est venu enlever. Il est venu apporter la paix et l’unité dans le bien, celles qui conduisent à la vie éternelle, et il est venu enlever la fausse paix et la fausse unité, celles qui ne servent qu’à endormir les consciences et conduire à la perte.
Jésus n’est pas venu précisément pour apporter la division et la guerre mais sa venue entraîne inévitablement la division et l’opposition, car il place les personnes face à leur décision. Et face à la nécessité de prendre une décision, on sait que la liberté humaine réagit de manières diverses et variées. Sa parole et sa personne feront surgir ce qui est caché au plus profond du cœur humain. Le vieux Siméon l’avait prédit en prenant l’enfant Jésus dans ses bras : « Vois, ton fils qui est là provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de division… Ainsi seront dévoilées les pensées secrètes d’un grand nombre » (Lc 2,34-35).
Ce sera précisément lui la première victime de cette contradiction, le premier à souffrir de l’ « épée » qu’il est venu apporter sur la terre et à perdre la vie dans ce conflit. Après lui, la personne la plus directement impliquée dans ce drame est Marie sa mère, à laquelle Siméon dira d’ailleurs à cette occasion : « Et toi-même, ton coeur sera transpercé par une épée ».
Jésus lui-même distingue les deux types de paix. Il dit aux apôtres : « C’est la paix que je vous laisse, c’est ma paix que je vous donne ; ce n’est pas à la manière du monde que je vous la donne. Ne soyez donc pas bouleversés et effrayés » (Jn 14,27). Après avoir détruit, par sa mort, la fausse paix et la solidarité du genre humain dans le mal et dans le péché, il inaugure une paix et une unité nouvelles, fruits de l’Esprit. Voilà la paix qu’il offre aux apôtres le soir de Pâques en disant : « La paix soit avec vous ! ».
Jésus affirme que cette « division » peut se produire également au sein de la famille : entre père et fils, mère et fille, frère et sœur, belle-fille et belle-mère. Et nous savons malheureusement que ceci est parfois vrai et douloureux. La personne qui a découvert le Seigneur et souhaite se mettre sérieusement à sa suite, se retrouve souvent dans la situation de devoir choisir : contenter sa famille et négliger Dieu et la pratique religieuse ou choisir la pratique religieuse et s’opposer à sa famille qui lui reprochera chaque minute consacrée à Dieu et aux actes de dévotion.
Mais le conflit peut être encore plus profond, au sein de la personne elle-même, et se présente comme un combat entre la chair et l’esprit, entre l’appel de l’égoïsme et des sens et celui de la conscience. La division et le conflit naissent en nous. Paul l’illustre avec éloquence : « Car les tendances de la chair s’opposent à l’esprit, et les tendances de l’esprit s’opposent à la chair. En effet, il y a là un affrontement qui vous empêche de faire ce que vous voudriez » (Ga 5,17).
L’homme est attaché à sa petite paix et sa tranquillité, même si elles sont précaires et illusoires, et cette image de Jésus qui vient semer le trouble risque de le contrarier et de lui faire considérer le Christ comme un ennemi de sa tranquillité. Il faut essayer de surmonter cette impression et comprendre que cela aussi est une preuve d’amour de la part de Jésus, peut-être l’amour le plus pur et le plus authentique.
Le passage de l’Evangile de ce dimanche contient quelques unes des paroles les plus provocatrices jamais prononcées par Jésus : « Pensez-vous que je sois venu mettre la paix dans le monde ? Non, je vous le dis, mais plutôt la division. Car désormais cinq personnes de la même famille seront divisées : trois contre deux et deux contre trois ils se diviseront : le père contre le fils et le fils contre le père, la mère contre la fille et la fille contre la mère, la belle-mère contre la belle-fille et la belle-fille contre la belle-mère. »
Et penser que celui qui prononce ces paroles est la personne même dont la naissance fut saluée par les paroles : « Paix sur la terre aux hommes », et qu’au cours de sa vie il a proclamé : « Heureux les artisans de paix » ; celui-là même qui au moment de son arrestation somma Pierre de remettre son épée dans son fourreau (cf. Mt 26,52) ! Comment expliquer cette contradiction ?
C’est très simple. Il s’agit de voir quelles sont la paix et l’unité que Jésus est venu apporter et quelles sont la paix et l’unité qu’il est venu enlever. Il est venu apporter la paix et l’unité dans le bien, celles qui conduisent à la vie éternelle, et il est venu enlever la fausse paix et la fausse unité, celles qui ne servent qu’à endormir les consciences et conduire à la perte.
Jésus n’est pas venu précisément pour apporter la division et la guerre mais sa venue entraîne inévitablement la division et l’opposition, car il place les personnes face à leur décision. Et face à la nécessité de prendre une décision, on sait que la liberté humaine réagit de manières diverses et variées. Sa parole et sa personne feront surgir ce qui est caché au plus profond du cœur humain. Le vieux Siméon l’avait prédit en prenant l’enfant Jésus dans ses bras : « Vois, ton fils qui est là provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de division… Ainsi seront dévoilées les pensées secrètes d’un grand nombre » (Lc 2,34-35).
Ce sera précisément lui la première victime de cette contradiction, le premier à souffrir de l’ « épée » qu’il est venu apporter sur la terre et à perdre la vie dans ce conflit. Après lui, la personne la plus directement impliquée dans ce drame est Marie sa mère, à laquelle Siméon dira d’ailleurs à cette occasion : « Et toi-même, ton coeur sera transpercé par une épée ».
Jésus lui-même distingue les deux types de paix. Il dit aux apôtres : « C’est la paix que je vous laisse, c’est ma paix que je vous donne ; ce n’est pas à la manière du monde que je vous la donne. Ne soyez donc pas bouleversés et effrayés » (Jn 14,27). Après avoir détruit, par sa mort, la fausse paix et la solidarité du genre humain dans le mal et dans le péché, il inaugure une paix et une unité nouvelles, fruits de l’Esprit. Voilà la paix qu’il offre aux apôtres le soir de Pâques en disant : « La paix soit avec vous ! ».
Jésus affirme que cette « division » peut se produire également au sein de la famille : entre père et fils, mère et fille, frère et sœur, belle-fille et belle-mère. Et nous savons malheureusement que ceci est parfois vrai et douloureux. La personne qui a découvert le Seigneur et souhaite se mettre sérieusement à sa suite, se retrouve souvent dans la situation de devoir choisir : contenter sa famille et négliger Dieu et la pratique religieuse ou choisir la pratique religieuse et s’opposer à sa famille qui lui reprochera chaque minute consacrée à Dieu et aux actes de dévotion.
Mais le conflit peut être encore plus profond, au sein de la personne elle-même, et se présente comme un combat entre la chair et l’esprit, entre l’appel de l’égoïsme et des sens et celui de la conscience. La division et le conflit naissent en nous. Paul l’illustre avec éloquence : « Car les tendances de la chair s’opposent à l’esprit, et les tendances de l’esprit s’opposent à la chair. En effet, il y a là un affrontement qui vous empêche de faire ce que vous voudriez » (Ga 5,17).
L’homme est attaché à sa petite paix et sa tranquillité, même si elles sont précaires et illusoires, et cette image de Jésus qui vient semer le trouble risque de le contrarier et de lui faire considérer le Christ comme un ennemi de sa tranquillité. Il faut essayer de surmonter cette impression et comprendre que cela aussi est une preuve d’amour de la part de Jésus, peut-être l’amour le plus pur et le plus authentique.
César Cascabel- Avec Saint Benoit
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
Merci, cher César Cascabel, pour cette méditation si profonde.
Je vais réutiliser ce texte pour le petit journal de notre cénacle du MSM;
Bien amicalement,
jean-louis
Je vais réutiliser ce texte pour le petit journal de notre cénacle du MSM;
Bien amicalement,
jean-louis
jean-louis- Contre la Franc Maconnerie
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
Pardon pour mon commentaire qui manque d'Amour et de charité; Comme à dit Jésus regarde la poutre qui se trouve dans ton oeil, avant de regardé celle de ton voisin. Encore milles excuses, je ne suis pas fière de moi pour ce message. Prier pour moi mes ami(e)s.
soso- Avec l'Archange Saint Michel
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
Bien au contraire chère soso, vous avez tout à fait raison, les querelles n'ont rien d'amusant et il y a tant de sujets intéressants à débattre ! Mais les choses sont ce qu'elles sont et avons-nous le droit de laisser, sans rien dire, se propager des hérésies, des blasphèmes, des insultes, des attaques contre l'Eglise ? Cela fait aussi partie de la mission laissée par Jésus: construire et donc défendre Son Eglise!soso a écrit:Pardon pour mon commentaire qui manque d'Amour et de charité; Comme à dit Jésus regarde la poutre qui se trouve dans ton oeil, avant de regardé celle de ton voisin. Encore milles excuses, je ne suis pas fière de moi pour ce message. Prier pour moi mes ami(e)s.
En union de prières
Seamus
seamus7- Combat avec l'Archange Michel
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
seamus7 a écrit:
Bien au contraire chère soso, vous avez tout à fait raison, les querelles n'ont rien d'amusant et il y a tant de sujets intéressants à débattre ! Mais les choses sont ce qu'elles sont et avons-nous le droit de laisser, sans rien dire, se propager des hérésies, des blasphèmes, des insultes, des attaques contre l'Eglise ? Cela fait aussi partie de la mission laissée par Jésus: construire et donc défendre Son Eglise!
En union de prières
Seamus
Bonjour Seamus,
Je viens de balayer vos derniers messages...
Le Christ a dit qu'on nous reconnaîtra comme ses disciples à l'Amour que nous aurons les eux pour les autres...
Je n'ai pas trouvé beaucoup d'Amour dans vos messages...
Je n'ai rien lu qui me fasse vibrer d'émotion... que de la polémique !...
Mais le Christ n'est jamais dans la polémique !...
Alors que les Apôtres ont passés une partie de leur temps à se chamailler autour de Lui...
Lui qui avait autant d'élévation morale, cela a du être vraiment difficile et pénible pour Lui de supporter leur rusticité...
Vous savez ce que me demande le Seigneur ?...
Il me demande de vous mettre une bonne "bastonnade" par charité chrétienne pour vous redonner la juste mesure en ce qui concerne le sens du mot CHARITE...
Qu'en pensez-vous ?...
Avez-vous demandez à l'Esprit-Saint le don de force, la force de supporter l'épreuve ? Un peu de martyre vous remettrait les idées en place et vous permettrait de vous recadrer du point de vue de l'humilité...
Enfin, une mise au point de votre personnalité vous ferait le plus grand bien... Que préférez-vous la bastonnade ou l'agapéthérapie ???...
Au plaisir de vous lire...
Meilleures pensées
Hercule
Her- En adoration
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
Ton fils sera un signe de contradiction ", telle est la prophétie que le vieillard Siméon prononce en accueillant Marie au Temple de Jérusalem lors de la Présentation de l'Enfant au Temple.
Ces paroles de Siméon plongent Marie et Joseph dans l'étonnement. "Vois ! cet enfant doit amener la chute et le relèvement d'un grand nombre en Israël. il sera un signe de contradiction" - autre traduction : Il sera en butte à la contradiction..." Saint Luc les rapporte, les tenant certainement de Marie elle-même, Lc 2, 31-34.
Ces paroles de Siméon plongent Marie et Joseph dans l'étonnement. "Vois ! cet enfant doit amener la chute et le relèvement d'un grand nombre en Israël. il sera un signe de contradiction" - autre traduction : Il sera en butte à la contradiction..." Saint Luc les rapporte, les tenant certainement de Marie elle-même, Lc 2, 31-34.
César Cascabel- Avec Saint Benoit
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
Première douleur: la prophétie de Syméon
Quand arriva le jour fixé par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus le portèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur, selon ce qui est écrit dans la Loi : Tout premier-né de sexe masculin sera consacré au Seigneur. Ils venaient aussi présenter en offrande le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : un couple de tourterelles ou deux petites colombes.
Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C'était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d'Israël, et l'Esprit Saint était sur lui. L'Esprit lui avait révélé qu'il ne verrait pas la mort avant d'avoir vu le Messie du Seigneur. Poussé par l'Esprit, Syméon vint au Temple. Les parents y entraient avec l'enfant Jésus pour accomplir les rites de la Loi qui le concernaient. Syméon prit l'enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant : « Maintenant, ô Maître, tu peux laisser ton serviteur s'en aller dans la paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu ton salut, que tu as préparé à la face de tous les peuples : lumière pour éclairer les nations païennes, et gloire d'Israël ton peuple. »
Le père et la mère de l'enfant s'étonnaient de ce qu'on disait de lui.
Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Vois, ton fils qui est là provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de division. - Et toi-même, ton coeur sera transpercé par une épée. - Ainsi seront dévoilées les pensées secrètes d'un grand nombre. » (Luc 2, 22-35)
Notre Dame écoute attentivement ce que Dieu veut d’elle; elle médite ce qu’elle ne comprend pas; elle interroge sur ce qu’elle ne sait pas. Ensuite, elle s’applique de tout son être à accomplir la volonté divine: je suis la servante du Seigneur; qu’il m’advienne selon ta parole! Quelle merveille! Sainte Marie, notre exemple en toutes choses, nous apprend maintenant que l’obéissance à Dieu n’est pas servilité, qu’elle ne subjugue pas notre conscience. Au contraire, elle nous incite intérieurement à découvrir la liberté des fils de Dieu.
Quand le Christ passe, 173
Maîtresse de charité. Rappelez-vous la scène de la présentation de Jésus au temple. Le vieillard Siméon dit à Marie, sa mère : “ Vois ! cet enfant doit amener la chute et le relèvement d’un grand nombre en Israël ; il doit être un signe en butte à la contradiction, — et toi-même, un glaive te transpercera l’âme ! — afin que se révèlent les pensées intimes d’un grand nombre. ” L’immense charité de Marie envers l’humanité fait que s’accomplisse également en elle l’affirmation du Christ : il n’est pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis.
Les Souverains Pontifes ont appelé Marie à bon droit Corédemptrice : tellement, en même temps que son Fils souffrant et mourant, elle souffrit jusqu’à en mourir presque ; et elle a renoncé de telle sorte à ses droits maternels sur son Fils, pour le salut des hommes en l’immolant, autant qu’il dépendait d’elle, pour apaiser la justice de Dieu, que l’on peut dire à juste titre qu’elle a racheté le genre humain conjointement au Christ. Nous comprenons mieux de la sorte ce moment de la Passion de Notre Seigneur, que nous ne nous lasserons jamais de méditer : stabat autem juxta crucem jesu mater ejus, à côté de la croix de Jésus se trouvait sa Mère.
Amis de Dieu, 287
Quand arriva le jour fixé par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus le portèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur, selon ce qui est écrit dans la Loi : Tout premier-né de sexe masculin sera consacré au Seigneur. Ils venaient aussi présenter en offrande le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : un couple de tourterelles ou deux petites colombes.
Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C'était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d'Israël, et l'Esprit Saint était sur lui. L'Esprit lui avait révélé qu'il ne verrait pas la mort avant d'avoir vu le Messie du Seigneur. Poussé par l'Esprit, Syméon vint au Temple. Les parents y entraient avec l'enfant Jésus pour accomplir les rites de la Loi qui le concernaient. Syméon prit l'enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant : « Maintenant, ô Maître, tu peux laisser ton serviteur s'en aller dans la paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu ton salut, que tu as préparé à la face de tous les peuples : lumière pour éclairer les nations païennes, et gloire d'Israël ton peuple. »
Le père et la mère de l'enfant s'étonnaient de ce qu'on disait de lui.
Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Vois, ton fils qui est là provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de division. - Et toi-même, ton coeur sera transpercé par une épée. - Ainsi seront dévoilées les pensées secrètes d'un grand nombre. » (Luc 2, 22-35)
Notre Dame écoute attentivement ce que Dieu veut d’elle; elle médite ce qu’elle ne comprend pas; elle interroge sur ce qu’elle ne sait pas. Ensuite, elle s’applique de tout son être à accomplir la volonté divine: je suis la servante du Seigneur; qu’il m’advienne selon ta parole! Quelle merveille! Sainte Marie, notre exemple en toutes choses, nous apprend maintenant que l’obéissance à Dieu n’est pas servilité, qu’elle ne subjugue pas notre conscience. Au contraire, elle nous incite intérieurement à découvrir la liberté des fils de Dieu.
Quand le Christ passe, 173
Maîtresse de charité. Rappelez-vous la scène de la présentation de Jésus au temple. Le vieillard Siméon dit à Marie, sa mère : “ Vois ! cet enfant doit amener la chute et le relèvement d’un grand nombre en Israël ; il doit être un signe en butte à la contradiction, — et toi-même, un glaive te transpercera l’âme ! — afin que se révèlent les pensées intimes d’un grand nombre. ” L’immense charité de Marie envers l’humanité fait que s’accomplisse également en elle l’affirmation du Christ : il n’est pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis.
Les Souverains Pontifes ont appelé Marie à bon droit Corédemptrice : tellement, en même temps que son Fils souffrant et mourant, elle souffrit jusqu’à en mourir presque ; et elle a renoncé de telle sorte à ses droits maternels sur son Fils, pour le salut des hommes en l’immolant, autant qu’il dépendait d’elle, pour apaiser la justice de Dieu, que l’on peut dire à juste titre qu’elle a racheté le genre humain conjointement au Christ. Nous comprenons mieux de la sorte ce moment de la Passion de Notre Seigneur, que nous ne nous lasserons jamais de méditer : stabat autem juxta crucem jesu mater ejus, à côté de la croix de Jésus se trouvait sa Mère.
Amis de Dieu, 287
César Cascabel- Avec Saint Benoit
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Saint Siméon
Vois, ton fils qui est là provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de division. - Et toi-même, ton coeur sera transpercé par une épée. - Ainsi seront dévoilées les pensées secrètes d'un grand nombre. » (Luc 2, 22-35)
César Cascabel- Avec Saint Benoit
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
Bonjour César,
Vous me trouvez un peu dur ?...
Ou bien ? vous sentez-vous solidaire de notre ami Seamus7 ?...
Et vous-même, quand allez-vous dévoiler les pensées secrètes de votre coeur ?
Meilleures pensées
Hercule
Vous me trouvez un peu dur ?...
Ou bien ? vous sentez-vous solidaire de notre ami Seamus7 ?...
Et vous-même, quand allez-vous dévoiler les pensées secrètes de votre coeur ?
Meilleures pensées
Hercule
Her- En adoration
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
soso a écrit:Pardon pour mon commentaire qui manque d'Amour et de charité; Comme à dit Jésus regarde la poutre qui se trouve dans ton oeil, avant de regardé celle de ton voisin. Encore milles excuses, je ne suis pas fière de moi pour ce message. Prier pour moi mes ami(e)s.
Et moi, j'ai 2 mots à dire à soso !
On ne peut pas parler vraiment de tactique, quoique çà y ressemble !
Avec audace, soso lance un message de contradiction, je dirais... "JE FAIS, MAIS JE NE FAIS PAS "!
A quoi jouez-vous soso ? Je ne crois pas vraiment à votre supposée innocence et candeur ! Car, votre esprit critique est parfois désobligeant !
Vous ne nous avez pas encore raconté votre histoire... Mais savez très bien avoir l'esprit critique quand bon vous semble sans sortir de vrai message...
LA VRAIE CHARITE EST AILLEURS....!
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http://annedallemagne.forumactif.org
Je lance un nouveau sujet de grande CHARITE (SI VOUS SAVIEZ !!!!)
LES APPARITIONS DE FERDRUPT EN 1928- LE MESSAGE DE LA CROIX DE LORRAINE...
Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
Pour faire plus simple...
Dans l'échelle des valeurs, on pourrait dire :
Qui vole un oeuf, vole un boeuf !
En effet, imaginons que vous êtes témoin d'un forfait...On vous questionne et sans en être bien sûr, vous dénoncez x....
Tout à coup, vopus réalisez qu'en dénonçant x, vous l'avez mis à mort définitivement...
A la dernière guerre mondiale, hélàs, des lâchetés de ce genre, on en a trop vu ! Et les conséquences furent un vrai carnage !
------
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Dans l'échelle des valeurs, on pourrait dire :
Qui vole un oeuf, vole un boeuf !
En effet, imaginons que vous êtes témoin d'un forfait...On vous questionne et sans en être bien sûr, vous dénoncez x....
Tout à coup, vopus réalisez qu'en dénonçant x, vous l'avez mis à mort définitivement...
A la dernière guerre mondiale, hélàs, des lâchetés de ce genre, on en a trop vu ! Et les conséquences furent un vrai carnage !
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
pour Anne4:pfffffffffff.
soso- Avec l'Archange Saint Michel
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
Présentation de Jésus au temple, selon Maria Valtorta
Maria VALTORTA (1897- 1961) a été membre du tiers ordre des Servites de Marie. Le Saint-Office mit à l'Index ses livres le 16 décembre 1959, acte confirmé par Jean XXIII, à cause du sous-titre qui mettait le livre sur le même pied que l'Ecriture sainte : L'Evangile tel qu'il m'a été révélé. Ce fut le tout dernier livre interdit par l'Index librorum prohibitorum, que Paul VI abolit à la fin du concile de Vatican II. La Conférence épiscopale italienne puis la congrégation pour la doctrine de la foi ont laissé reprendre la publication, à condition de préciser que c'est une œuvre littéraire de Maria Valtorta, et non un nouvel Evangile. (1)
Je vois partir d'une petite maison très modeste un couple de personnes.
D'un petit escalier extérieur descend une très jeune mère avec, entre ses bras, un bébé dans un lange blanc. Je reconnais, c'est notre Maman. C'est toujours elle, pâle et blonde, agile et si gentille en toutes ses démarches. Elle est vêtue de blanc, avec un manteau d'azur pâle qui l'enveloppe et un voile blanc. Elle porte son Bébé avec tant de précautions.
Au pied du petit escalier, Joseph l'attend auprès d'un âne gris. Il est habillé de marron clair. Il regarde Marie et lui sourit.
Quand Marie arrive près de l'âne, Joseph se passe la bride sur le bras gauche, et prend pour un moment le Bébé qui dort tranquille pour permettre à Marie de mieux s'installer sur la selle. Puis, il lui rend Jésus et ils se mettent en marche.
Joseph marche à côté de Marie en tenant toujours la monture par la bride et en veillant qu'elle marche droit et sans trébucher. Marie tient Jésus sur son sein et, par crainte que le froid ne puisse Lui nuire, elle étend sur Lui un pli de son manteau.
Ils parlent très peu, les deux époux, mais ils se sourient souvent. La route se déroule à travers une campagne que la saison a dépouillée. Puis voici des maisons qui se découvrent et des murs qui enserrent une ville.
Les deux époux entrent par une porte, puis commence le parcours sur le pavé très disjoint de la ville. La marche devient beaucoup plus difficile, soit à cause du trafic qui fait arrêter l'âne à tout moment, soit parce que les pierres et les crevasses les interrompent.
La route n'est pas plane ; elle monte bien que légèrement. Elle est étroite entre les hautes maisons aux entrées aussi étroites et basses et aux rares fenêtres sur la rue.
En haut, le ciel se montre avec tant de morceaux d'azur de maison à maison ou de terrasse à terrasse. En bas sur la rue, il y a des gens qui crient et croisent, d'autres personnes à pied ou sur un âne, ou conduisant des ânes chargés et d'autres en arrière d'une encombrante caravane de chameaux.
Accompagnés par le prêtre, Marie et Joseph entrent au temple
A un certain endroit passe avec beaucoup de bruits de sabots et d'armes une patrouille de légionnaires romains qui disparaissent derrière une arcade qui enjambe une rue très étroite et pierreuse. Joseph tourne à gauche et prend une rue plus large et plus belle. J'aperçois l'enceinte crénelée tout au fond de la rue.
Marie descend de l'âne près de la porte où se trouve une sorte d'abri pour les ânes. Joseph donne quelque argent à un garçon qui est accouru, pour acheter un peu de foin et il tire un seau d'eau d'un puits rudimentaire situé dans un coin, pour la donner à l'âne. Puis, il rejoint Marie et ils entrent tous deux dans l'enceinte du Temple.
Ils se dirigent d'abord vers un portique où se trouvent ces gens que Jésus fustigea plus tard vigoureusement : les marchands de tourterelles et d'agneaux et les changeurs. Joseph achète deux blanches colombes. Il ne change pas d'argent. On se rend compte qu'il a déjà ce qu'il faut.
Joseph et Marie se dirigent vers une porte latérale où on accède par huit marches. Cette porte a un grand hall comme assez vaste et décoré. Là il y a à droite et à gauche deux sortes d'autels. On dirait des bassins peu profonds car l'intérieur est plus bas que le bord extérieur. Je ne sais si c'est Joseph qui a appelé : voilà qu'accourt un prêtre.
Marie offre les deux pauvres colombes et moi qui comprends leur sort, je détourne mon regard. J'observe les ornements du très lourd portail, du plafond, du hall. Il me semble pourtant voir, du coin de l'œil, que le prêtre asperge Marie avec de l'eau.
Puis, Marie, qui, en même temps que les colombes avait donné au prêtre une petite poignée de monnaie, entre avec Joseph dans le Temple proprement dit, accompagnée par le prêtre. C'est un endroit très orné. Sculptures à têtes d'anges avec rameaux et ornements courent le long des colonnes, sur les murs et le plafond. Le jour pénètre par de longues et drôles fenêtres, étroites.
Marie s'introduit jusqu'à un certain endroit, puis s'arrête. À quelques mètres d'elle il y a d'autres marches et au-dessus une autre espèce d'autel au-delà duquel il y a une autre construction. Je m'aperçois que je croyais être dans le Temple et au contraire j'étais au-dedans des bâtiments qui entourent le Temple proprement dit, c'est-à-dire le Saint, et au-delà duquel il semble que personne, en dehors des prêtres, ne puisse entrer.
Ce que je croyais être le Temple n'est donc qu'un vestibule fermé qui, de trois côtés, entoure le Temple où est renfermé le Tabernacle. Je ne sais si je me suis très bien expliquée, mais je ne suis pas architecte ou ingénieur.
Marie offre le Bébé, qui s'est éveillé et tourne ses petits yeux innocents tout autour, vers le prêtre, avec le regard étonné des enfants de quelques jours. Ce dernier le prend sur ses bras et le soulève à bras tendus, le visage vers le Temple en se tenant contre une sorte d'autel qui est au-dessus des marches.
La cérémonie est achevée. Le Bébé est rendu à sa Mère et le prêtre s'en va.
Il y a des gens, des curieux qui regardent. Parmi eux se dégage un petit vieux, courbé qui marche péniblement en s'appuyant sur une canne. Il doit être très vieux, je dirais plus qu'octogénaire. Il s'approche de Marie et lui demande de lui donner pour un instant le Bébé. Marie le satisfait en souriant.
C'est Siméon, j'avais toujours cru qu'il appartenait à la caste sacerdotale et au contraire, c'est un simple fidèle, à en juger du moins par son vêtement. Il prend l'Enfant, le baise. Jésus lui sourit avec la physionomie incertaine des nourrissons.
Il semble qu'il l'observe curieusement, parce que le petit vieux pleure et rit à la fois et les larmes font sur sa figure des dessins emperlés en s'insinuant entre les rides et retombant sur la barbe longue et blanche vers laquelle Jésus tend les mains. C'est Jésus, mais c'est toujours un petit bébé et, ce qui remue devant lui, attire son attention et lui donne des velléités de se saisir de la chose pour mieux voir ce que c'est.
Marie et Joseph sourient, et aussi les personnes présentes qui louent la beauté du Bébé. J'entends les paroles du saint vieillard et je vois le regard étonné de Joseph, l'émotion de Marie, les réactions du petit groupe des personnes présentes, les unes étonnées et émues aux paroles du vieillard, les autres prises d'un fou rire.
Parmi ces derniers se trouvent des hommes barbus et de hautains membres du Sanhédrin qui hochent la tête. Ils regardent Siméon avec une ironique pitié ; ils doivent penser que son grand âge lui a fait perdre la tête.
Le sourire de Marie s'éteint en une plus vive pâleur, lorsque Siméon lui annonce la douleur. Bien qu'elle sache, cette parole lui transperce l'âme.
Maria VALTORTA (1897- 1961) a été membre du tiers ordre des Servites de Marie. Le Saint-Office mit à l'Index ses livres le 16 décembre 1959, acte confirmé par Jean XXIII, à cause du sous-titre qui mettait le livre sur le même pied que l'Ecriture sainte : L'Evangile tel qu'il m'a été révélé. Ce fut le tout dernier livre interdit par l'Index librorum prohibitorum, que Paul VI abolit à la fin du concile de Vatican II. La Conférence épiscopale italienne puis la congrégation pour la doctrine de la foi ont laissé reprendre la publication, à condition de préciser que c'est une œuvre littéraire de Maria Valtorta, et non un nouvel Evangile. (1)
Je vois partir d'une petite maison très modeste un couple de personnes.
D'un petit escalier extérieur descend une très jeune mère avec, entre ses bras, un bébé dans un lange blanc. Je reconnais, c'est notre Maman. C'est toujours elle, pâle et blonde, agile et si gentille en toutes ses démarches. Elle est vêtue de blanc, avec un manteau d'azur pâle qui l'enveloppe et un voile blanc. Elle porte son Bébé avec tant de précautions.
Au pied du petit escalier, Joseph l'attend auprès d'un âne gris. Il est habillé de marron clair. Il regarde Marie et lui sourit.
Quand Marie arrive près de l'âne, Joseph se passe la bride sur le bras gauche, et prend pour un moment le Bébé qui dort tranquille pour permettre à Marie de mieux s'installer sur la selle. Puis, il lui rend Jésus et ils se mettent en marche.
Joseph marche à côté de Marie en tenant toujours la monture par la bride et en veillant qu'elle marche droit et sans trébucher. Marie tient Jésus sur son sein et, par crainte que le froid ne puisse Lui nuire, elle étend sur Lui un pli de son manteau.
Ils parlent très peu, les deux époux, mais ils se sourient souvent. La route se déroule à travers une campagne que la saison a dépouillée. Puis voici des maisons qui se découvrent et des murs qui enserrent une ville.
Les deux époux entrent par une porte, puis commence le parcours sur le pavé très disjoint de la ville. La marche devient beaucoup plus difficile, soit à cause du trafic qui fait arrêter l'âne à tout moment, soit parce que les pierres et les crevasses les interrompent.
La route n'est pas plane ; elle monte bien que légèrement. Elle est étroite entre les hautes maisons aux entrées aussi étroites et basses et aux rares fenêtres sur la rue.
En haut, le ciel se montre avec tant de morceaux d'azur de maison à maison ou de terrasse à terrasse. En bas sur la rue, il y a des gens qui crient et croisent, d'autres personnes à pied ou sur un âne, ou conduisant des ânes chargés et d'autres en arrière d'une encombrante caravane de chameaux.
Accompagnés par le prêtre, Marie et Joseph entrent au temple
A un certain endroit passe avec beaucoup de bruits de sabots et d'armes une patrouille de légionnaires romains qui disparaissent derrière une arcade qui enjambe une rue très étroite et pierreuse. Joseph tourne à gauche et prend une rue plus large et plus belle. J'aperçois l'enceinte crénelée tout au fond de la rue.
Marie descend de l'âne près de la porte où se trouve une sorte d'abri pour les ânes. Joseph donne quelque argent à un garçon qui est accouru, pour acheter un peu de foin et il tire un seau d'eau d'un puits rudimentaire situé dans un coin, pour la donner à l'âne. Puis, il rejoint Marie et ils entrent tous deux dans l'enceinte du Temple.
Ils se dirigent d'abord vers un portique où se trouvent ces gens que Jésus fustigea plus tard vigoureusement : les marchands de tourterelles et d'agneaux et les changeurs. Joseph achète deux blanches colombes. Il ne change pas d'argent. On se rend compte qu'il a déjà ce qu'il faut.
Joseph et Marie se dirigent vers une porte latérale où on accède par huit marches. Cette porte a un grand hall comme assez vaste et décoré. Là il y a à droite et à gauche deux sortes d'autels. On dirait des bassins peu profonds car l'intérieur est plus bas que le bord extérieur. Je ne sais si c'est Joseph qui a appelé : voilà qu'accourt un prêtre.
Marie offre les deux pauvres colombes et moi qui comprends leur sort, je détourne mon regard. J'observe les ornements du très lourd portail, du plafond, du hall. Il me semble pourtant voir, du coin de l'œil, que le prêtre asperge Marie avec de l'eau.
Puis, Marie, qui, en même temps que les colombes avait donné au prêtre une petite poignée de monnaie, entre avec Joseph dans le Temple proprement dit, accompagnée par le prêtre. C'est un endroit très orné. Sculptures à têtes d'anges avec rameaux et ornements courent le long des colonnes, sur les murs et le plafond. Le jour pénètre par de longues et drôles fenêtres, étroites.
Marie s'introduit jusqu'à un certain endroit, puis s'arrête. À quelques mètres d'elle il y a d'autres marches et au-dessus une autre espèce d'autel au-delà duquel il y a une autre construction. Je m'aperçois que je croyais être dans le Temple et au contraire j'étais au-dedans des bâtiments qui entourent le Temple proprement dit, c'est-à-dire le Saint, et au-delà duquel il semble que personne, en dehors des prêtres, ne puisse entrer.
Ce que je croyais être le Temple n'est donc qu'un vestibule fermé qui, de trois côtés, entoure le Temple où est renfermé le Tabernacle. Je ne sais si je me suis très bien expliquée, mais je ne suis pas architecte ou ingénieur.
Marie offre le Bébé, qui s'est éveillé et tourne ses petits yeux innocents tout autour, vers le prêtre, avec le regard étonné des enfants de quelques jours. Ce dernier le prend sur ses bras et le soulève à bras tendus, le visage vers le Temple en se tenant contre une sorte d'autel qui est au-dessus des marches.
La cérémonie est achevée. Le Bébé est rendu à sa Mère et le prêtre s'en va.
Il y a des gens, des curieux qui regardent. Parmi eux se dégage un petit vieux, courbé qui marche péniblement en s'appuyant sur une canne. Il doit être très vieux, je dirais plus qu'octogénaire. Il s'approche de Marie et lui demande de lui donner pour un instant le Bébé. Marie le satisfait en souriant.
C'est Siméon, j'avais toujours cru qu'il appartenait à la caste sacerdotale et au contraire, c'est un simple fidèle, à en juger du moins par son vêtement. Il prend l'Enfant, le baise. Jésus lui sourit avec la physionomie incertaine des nourrissons.
Il semble qu'il l'observe curieusement, parce que le petit vieux pleure et rit à la fois et les larmes font sur sa figure des dessins emperlés en s'insinuant entre les rides et retombant sur la barbe longue et blanche vers laquelle Jésus tend les mains. C'est Jésus, mais c'est toujours un petit bébé et, ce qui remue devant lui, attire son attention et lui donne des velléités de se saisir de la chose pour mieux voir ce que c'est.
Marie et Joseph sourient, et aussi les personnes présentes qui louent la beauté du Bébé. J'entends les paroles du saint vieillard et je vois le regard étonné de Joseph, l'émotion de Marie, les réactions du petit groupe des personnes présentes, les unes étonnées et émues aux paroles du vieillard, les autres prises d'un fou rire.
Parmi ces derniers se trouvent des hommes barbus et de hautains membres du Sanhédrin qui hochent la tête. Ils regardent Siméon avec une ironique pitié ; ils doivent penser que son grand âge lui a fait perdre la tête.
Le sourire de Marie s'éteint en une plus vive pâleur, lorsque Siméon lui annonce la douleur. Bien qu'elle sache, cette parole lui transperce l'âme.
" Femme, Celui qui a donné le Sauveur à son peuple ne manquera pas de te donner son ange pour soulager tes pleurs. L'aide du Seigneur n'a pas manqué aux grandes femmes d'Israël et tu es bien plus que Judith et que Yaël. Notre Dieu te donnera un cœur d'or très pur pour résister à la mer de douleur par quoi tu seras la plus grande Femme de la création, la Mère.
Et toi, Petit, souviens-toi de moi à l'heure de ta mission "
César Cascabel- Avec Saint Benoit
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Inscription : 25/03/2009
nous pouvons aimer St Siméon comme notre propre grand-père.
Ce qu'annoncent les paroles de Syméon
Les paroles du vieillard Syméon, annonçant à Marie sa participation à la mission salvifique du Messie, mettent en lumière le rôle de la femme dans le mystère de la rédemption.
En effet, Marie n'est pas seulement une personne individuelle, mais elle est également la «fille de Sion», la femme nouvelle placée aux côtés du Rédempteur pour prendre part à sa passion et engendrer dans l'Esprit les fils de Dieu.
Marie, unie à son Fils divin dans la « contradiction », en vue du salut
Cette réalité est exprimée par la représentation populaire des « sept épées » qui transpercent le cœur de Marie: la représentation souligne le lien profond existant entre la mère, qui s'identifie avec la fille de Sion et avec l'Église, et le destin de douleur du Verbe incarné.
En restituant le Fils, à peine reçu de Dieu, pour le consacrer à sa mission de salut, Marie se livre également elle-même à cette mission. Il s'agit d'un geste de partage intérieur, qui n'est pas seulement le fruit de l'affection maternelle naturelle, mais qui exprime surtout le consentement de la femme nouvelle à l'œuvre rédemptrice du Christ.
Dans son intervention, Syméon indique la finalité du sacrifice de Jésus et de la souffrance de Marie : ceux-ci auront lieu "afin que se révèlent les pensées intimes de bien des cœurs" (Lc 2, 35).
Jésus, « signe en butte à la contradiction » (Lc 2, 34), qui fait participer sa mère à sa souffrance, conduira les hommes à prendre position à son égard, les invitant à une décision fondamentale.
En effet, il «doit amener la chute et le relèvement d'un grand nombre en Israël » (Lc 2, 34). Marie est donc unie à son Fils divin dans la « contradiction », en vue de l'œuvre de salut.
Il existe certainement un risque de chute pour celui qui refuse le Christ, mais l'effet merveilleux de la Rédemption est la Résurrection de nombreuses personnes.
Cette seule annonce fait naître une grande espérance dans les cœurs pour lesquels le fruit du sacrifice apporte déjà un témoi-gnage.
En plaçant sous le regard de la Vierge cette perspective de salut avant l'offrande rituelle, Syméon semble suggérer à Marie d'accomplir ce geste pour contribuer au rachat de l'humanité. En effet il ne parle ni avec Joseph, ni de Joseph: son discours est adressé à Marie, qu'il associe au destin du Fils.
Le primat du Christ exige le rôle irremplaçable de la femme
La priorité chronologique du geste de Marie ne voile pas le primat de Jésus. Le Concile Vatican II, en définissant le rôle de Marie dans l'économie du salut, rappelle qu'Elle «se livra intégralement à la personne et à l'œuvre de son Fils, pour servir, dans sa dépendance et avec lui, au mystère de la Rédemption » (Lumen gentium, n. 56).
Au cours de la présentation de Jésus au temple, Marie sert au mystère de la Rédemption dans la dépendance du Christ et avec le Christ : c'est en effet Lui qui est le protagoniste du salut, qui doit être racheté par l'offrande rituelle. Marie est unie au sacrifice du Fils par l'épée qui Lui transpercera l'âme.
Le primat du Christ n'annule pas, mais soutient et exige le rôle propre et irremplaçable de la femme.
En faisant participer sa mère à son sacrifice, le Christ entend révéler ses profondes racines humaines et indiquer une anticipation de l'offrande sacerdotale de la croix. L'intention divine de solliciter l'engagement spécifique de la femme dans l'œuvre rédemptrice résulte du fait que la prophétie de Syméon n'est adressée qu'à Marie, bien que Joseph participe également au rite de l'offrande.
La conclusion de l'épisode de la présentation de Jésus au temple semble confirmer le sens et la valeur de la présence féminine dans l'économie du salut.
La rencontre avec Anne, la prophétesse
La rencontre avec une femme, Anne, conclut ces moments particuliers dans lesquels l'Ancien Testament se livre presque au Nouveau.
Comme Syméon, cette femme n'occupe pas une position sociale importante dans le peuple élu, mais sa vie semble posséder une valeur élevée aux yeux de Dieu. Saint Luc l'appelle «prophétesse», probablement car un grand nombre de personnes la consulte en raison de son don de discernement et de sa vie sainte menée sous l'inspiration de l'Esprit du Seigneur. Anne est à un âge avancé, ayant quatre-vingt-quatre ans et est veuve depuis longtemps. Totalement consacrée à Dieu, «elle ne quittait pas le Temple servant Dieu nuit et jour dans le jeûne et la prière » (Le 2, 37).
Elle représente ceux qui, ayant vécu intensément l'attente du Messie, sont en mesure d'accueillir l'accomplissement de la Promesse avec une joyeuse exultation. L'Évangéliste rapporte que « survenant à cette heure même, elle louait Dieu » (Lc 2,38). Demeurant habituellement dans le temple, elle a pu, peut-être plus facilement que Syméon, rencontrer Jésus au crépuscule d'une existence consacrée au Seigneur et enrichie par l'écoute de la Parole et par la prière.
A l'aube de la Rédemption, nous pouvons distinguer dans la prophétesse Anne toutes les femmes qui, à travers la sainteté de leur vie et une attente dans la prière, sont prêtes à accueillir la présence du Christ et à louer chaque jour Dieu pour les merveilles opérées dans sa miséricorde éternelle.
Choisis pour rencontrer l'Enfant, Syméon et Anne vivent intensément ce don divin, partageant avec Marie et Joseph la joie de la présence de Jésus et la diffusant dans leur milieu.
En particulier, Anne démontre un zèle magnifique en parlant de Jésus, témoignant de cette façon de sa foi simple et généreuse. Une foi qui prépare les autres à accueillir le Messie dans leur existence. L'expression de Luc : « [Elle] parlait de l'enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem» (2, 38) semble l'accréditer comme le symbole des femmes qui, se consacrant à l'Evangile, suscitent et alimentent les espérances de salut.
" Du site Marie de Nazareth "
Les paroles du vieillard Syméon, annonçant à Marie sa participation à la mission salvifique du Messie, mettent en lumière le rôle de la femme dans le mystère de la rédemption.
En effet, Marie n'est pas seulement une personne individuelle, mais elle est également la «fille de Sion», la femme nouvelle placée aux côtés du Rédempteur pour prendre part à sa passion et engendrer dans l'Esprit les fils de Dieu.
Marie, unie à son Fils divin dans la « contradiction », en vue du salut
Cette réalité est exprimée par la représentation populaire des « sept épées » qui transpercent le cœur de Marie: la représentation souligne le lien profond existant entre la mère, qui s'identifie avec la fille de Sion et avec l'Église, et le destin de douleur du Verbe incarné.
En restituant le Fils, à peine reçu de Dieu, pour le consacrer à sa mission de salut, Marie se livre également elle-même à cette mission. Il s'agit d'un geste de partage intérieur, qui n'est pas seulement le fruit de l'affection maternelle naturelle, mais qui exprime surtout le consentement de la femme nouvelle à l'œuvre rédemptrice du Christ.
Dans son intervention, Syméon indique la finalité du sacrifice de Jésus et de la souffrance de Marie : ceux-ci auront lieu "afin que se révèlent les pensées intimes de bien des cœurs" (Lc 2, 35).
Jésus, « signe en butte à la contradiction » (Lc 2, 34), qui fait participer sa mère à sa souffrance, conduira les hommes à prendre position à son égard, les invitant à une décision fondamentale.
En effet, il «doit amener la chute et le relèvement d'un grand nombre en Israël » (Lc 2, 34). Marie est donc unie à son Fils divin dans la « contradiction », en vue de l'œuvre de salut.
Il existe certainement un risque de chute pour celui qui refuse le Christ, mais l'effet merveilleux de la Rédemption est la Résurrection de nombreuses personnes.
Cette seule annonce fait naître une grande espérance dans les cœurs pour lesquels le fruit du sacrifice apporte déjà un témoi-gnage.
En plaçant sous le regard de la Vierge cette perspective de salut avant l'offrande rituelle, Syméon semble suggérer à Marie d'accomplir ce geste pour contribuer au rachat de l'humanité. En effet il ne parle ni avec Joseph, ni de Joseph: son discours est adressé à Marie, qu'il associe au destin du Fils.
Le primat du Christ exige le rôle irremplaçable de la femme
La priorité chronologique du geste de Marie ne voile pas le primat de Jésus. Le Concile Vatican II, en définissant le rôle de Marie dans l'économie du salut, rappelle qu'Elle «se livra intégralement à la personne et à l'œuvre de son Fils, pour servir, dans sa dépendance et avec lui, au mystère de la Rédemption » (Lumen gentium, n. 56).
Au cours de la présentation de Jésus au temple, Marie sert au mystère de la Rédemption dans la dépendance du Christ et avec le Christ : c'est en effet Lui qui est le protagoniste du salut, qui doit être racheté par l'offrande rituelle. Marie est unie au sacrifice du Fils par l'épée qui Lui transpercera l'âme.
Le primat du Christ n'annule pas, mais soutient et exige le rôle propre et irremplaçable de la femme.
En faisant participer sa mère à son sacrifice, le Christ entend révéler ses profondes racines humaines et indiquer une anticipation de l'offrande sacerdotale de la croix. L'intention divine de solliciter l'engagement spécifique de la femme dans l'œuvre rédemptrice résulte du fait que la prophétie de Syméon n'est adressée qu'à Marie, bien que Joseph participe également au rite de l'offrande.
La conclusion de l'épisode de la présentation de Jésus au temple semble confirmer le sens et la valeur de la présence féminine dans l'économie du salut.
La rencontre avec Anne, la prophétesse
La rencontre avec une femme, Anne, conclut ces moments particuliers dans lesquels l'Ancien Testament se livre presque au Nouveau.
Comme Syméon, cette femme n'occupe pas une position sociale importante dans le peuple élu, mais sa vie semble posséder une valeur élevée aux yeux de Dieu. Saint Luc l'appelle «prophétesse», probablement car un grand nombre de personnes la consulte en raison de son don de discernement et de sa vie sainte menée sous l'inspiration de l'Esprit du Seigneur. Anne est à un âge avancé, ayant quatre-vingt-quatre ans et est veuve depuis longtemps. Totalement consacrée à Dieu, «elle ne quittait pas le Temple servant Dieu nuit et jour dans le jeûne et la prière » (Le 2, 37).
Elle représente ceux qui, ayant vécu intensément l'attente du Messie, sont en mesure d'accueillir l'accomplissement de la Promesse avec une joyeuse exultation. L'Évangéliste rapporte que « survenant à cette heure même, elle louait Dieu » (Lc 2,38). Demeurant habituellement dans le temple, elle a pu, peut-être plus facilement que Syméon, rencontrer Jésus au crépuscule d'une existence consacrée au Seigneur et enrichie par l'écoute de la Parole et par la prière.
A l'aube de la Rédemption, nous pouvons distinguer dans la prophétesse Anne toutes les femmes qui, à travers la sainteté de leur vie et une attente dans la prière, sont prêtes à accueillir la présence du Christ et à louer chaque jour Dieu pour les merveilles opérées dans sa miséricorde éternelle.
Choisis pour rencontrer l'Enfant, Syméon et Anne vivent intensément ce don divin, partageant avec Marie et Joseph la joie de la présence de Jésus et la diffusant dans leur milieu.
En particulier, Anne démontre un zèle magnifique en parlant de Jésus, témoignant de cette façon de sa foi simple et généreuse. Une foi qui prépare les autres à accueillir le Messie dans leur existence. L'expression de Luc : « [Elle] parlait de l'enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem» (2, 38) semble l'accréditer comme le symbole des femmes qui, se consacrant à l'Evangile, suscitent et alimentent les espérances de salut.
" Du site Marie de Nazareth "
César Cascabel- Avec Saint Benoit
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
jean-louis a écrit:Merci, cher César Cascabel, pour cette méditation si profonde.
Je vais réutiliser ce texte pour le petit journal de notre cénacle du MSM;
Bien amicalement,
jean-louis
Bonjour Jean-Louis,
Avant d'envoyer des fleurs à César, demandez-lui d'abord de citer les sources de ses "copié-coller" obtenu grâce à Google...
Copiez une de ses belle tirades...
Soumettez-la à Google et vous en connaîtrez le véritable auteur...
C'est vrai que le Père Cantalamessa nous offre de belles méditations...
Et Haro sur les faussaires, les usurpateurs et les voleurs !...
Meilleures pensées
Raymond
Her- En adoration
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
soso a écrit:pour Anne4:pfffffffffff.
C'est sûr !
Voila qui est en totale contradiction avec les belles prières puisées au hasard sans donner les références de soso qui n'a finalement pas grand chose à dire....
Dommage pour tout le monde !
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http://annedallemagne.forumactif.org
il sent bon les saints evangiles!!!
Le Père Raniero Cantalamessa, Capucin, né en 1934, Docteur en Théologie et en Lettres, a été professeur d’Histoire des origines chrétiennes et Directeur du Département des Sciences religieuses à l’Université Catholique du Sacré-Cœur de Milan et membre de la Commission Théologique Internationale de 1975 à 1981.
En 1980 il a quitté l’enseignement pour se dédier à la prédication de la Parole de Dieu. Depuis 1980 il est Prédicateur de la Maison Pontificale où il donne une Prédication, chaque semaine en Avent et en Carême, en présence du Pape, des cardinaux, évêques et prélats de la Curie romaine et des supérieurs généraux des ordres religieux.
Il a écrit de nombreux livres traduits dans une quinzaine de langues étrangères. Chaque samedi soir il anime un programme à la télévision italienne, RAI Uno, sur l’évangile du dimanche
Le Père Raniero Cantalamessa, Capucin, né en 1934, Docteur en Théologie et en Lettres, a été professeur d’Histoire des origines chrétiennes et Directeur du Département des Sciences religieuses à l’Université Catholique du Sacré-Cœur de Milan et membre de la Commission Théologique Internationale de 1975 à 1981.
En 1980 il a quitté l’enseignement pour se dédier à la prédication de la Parole de Dieu. Depuis 1980 il est Prédicateur de la Maison Pontificale où il donne une Prédication, chaque semaine en Avent et en Carême, en présence du Pape, des cardinaux, évêques et prélats de la Curie romaine et des supérieurs généraux des ordres religieux.
Il a écrit de nombreux livres traduits dans une quinzaine de langues étrangères. Chaque samedi soir il anime un programme à la télévision italienne, RAI Uno, sur l’évangile du dimanche
Le Père Raniero Cantalamessa, Capucin, né en 1934, Docteur en Théologie et en Lettres, a été professeur d’Histoire des origines chrétiennes et Directeur du Département des Sciences religieuses à l’Université Catholique du Sacré-Cœur de Milan et membre de la Commission Théologique Internationale de 1975 à 1981.
En 1980 il a quitté l’enseignement pour se dédier à la prédication de la Parole de Dieu. Depuis 1980 il est Prédicateur de la Maison Pontificale où il donne une Prédication, chaque semaine en Avent et en Carême, en présence du Pape, des cardinaux, évêques et prélats de la Curie romaine et des supérieurs généraux des ordres religieux.
Il a écrit de nombreux livres traduits dans une quinzaine de langues étrangères. Chaque samedi soir il anime un programme à la télévision italienne, RAI Uno, sur l’évangile du dimanche
De sa bouche s' échappe des perles préçieuses...
César Cascabel
En 1980 il a quitté l’enseignement pour se dédier à la prédication de la Parole de Dieu. Depuis 1980 il est Prédicateur de la Maison Pontificale où il donne une Prédication, chaque semaine en Avent et en Carême, en présence du Pape, des cardinaux, évêques et prélats de la Curie romaine et des supérieurs généraux des ordres religieux.
Il a écrit de nombreux livres traduits dans une quinzaine de langues étrangères. Chaque samedi soir il anime un programme à la télévision italienne, RAI Uno, sur l’évangile du dimanche
Le Père Raniero Cantalamessa, Capucin, né en 1934, Docteur en Théologie et en Lettres, a été professeur d’Histoire des origines chrétiennes et Directeur du Département des Sciences religieuses à l’Université Catholique du Sacré-Cœur de Milan et membre de la Commission Théologique Internationale de 1975 à 1981.
En 1980 il a quitté l’enseignement pour se dédier à la prédication de la Parole de Dieu. Depuis 1980 il est Prédicateur de la Maison Pontificale où il donne une Prédication, chaque semaine en Avent et en Carême, en présence du Pape, des cardinaux, évêques et prélats de la Curie romaine et des supérieurs généraux des ordres religieux.
Il a écrit de nombreux livres traduits dans une quinzaine de langues étrangères. Chaque samedi soir il anime un programme à la télévision italienne, RAI Uno, sur l’évangile du dimanche
Le Père Raniero Cantalamessa, Capucin, né en 1934, Docteur en Théologie et en Lettres, a été professeur d’Histoire des origines chrétiennes et Directeur du Département des Sciences religieuses à l’Université Catholique du Sacré-Cœur de Milan et membre de la Commission Théologique Internationale de 1975 à 1981.
En 1980 il a quitté l’enseignement pour se dédier à la prédication de la Parole de Dieu. Depuis 1980 il est Prédicateur de la Maison Pontificale où il donne une Prédication, chaque semaine en Avent et en Carême, en présence du Pape, des cardinaux, évêques et prélats de la Curie romaine et des supérieurs généraux des ordres religieux.
Il a écrit de nombreux livres traduits dans une quinzaine de langues étrangères. Chaque samedi soir il anime un programme à la télévision italienne, RAI Uno, sur l’évangile du dimanche
De sa bouche s' échappe des perles préçieuses...
César Cascabel
César Cascabel- Avec Saint Benoit
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Au Ciel Dieu recompensera tous ces ecrivains anonymes.
La colombe plane sur le monde et interpelle l'homme: «Monte ici, dans les lieux célestes!»
L'homme : «Je ne peux pas aller te rejoindre, je ne suis pas capable de voler!»
La colombe : «Laisse-moi venir me poser sur toi et tu auras ainsi des ailes pour monter au ciel»
L'homme : «Tu es si petite, colombe, comment feras-tu pour m'élever au ciel?»
La colombe : «Ne regarde pas à l'apparence, fais-moi confiance, mon coeur est un feu d'amour brûlant pour Dieu, en me posant sur toi je vais t'embraser et tu t'élèveras vers le ciel comme la flamme.»
L'homme : «C'est d'accord, viens te poser sur moi et transporte-moi dans les lieux célestes»
Et la colombe vint se poser sur lui...
L'homme : «Colombe, je sens ton feu qui me brûle le dos!»
La colombe : «Ce sont les marques du fouet qui te brûlent le dos.»
L'homme : «Eh, Colombe, je sens mon front chauffer aussi!»
La colombe : «C'est à cause de la couronne d'épines qu'on t'a posé sur la tête»
L'homme : «Un instant!, mes mains et mes pieds se mettent à me brûler aussi!»
La colombe : «Ce sont les clous qui entrent dans ta chair»
L'homme : «Mais, mais... on est en train de me crucifier, je suis en train de mourir!!!»
La colombe : «Oui, si tu veux monter dans les lieux célestes, tu dois monter sur la croix entre ciel et terre avant d'aller plus haut»
L'homme : «Oh!, je ne suis pas tout seul sur cette croix! Quelqu'un y est aussi attaché avec moi!»
La colombe : «C'est Jésus, le seul moyen de le saisir; c'est d'être attaché à lui sur la croix, maintenant tu comprends mieux ce qu'il a souffert pour toi»
L'homme : «D'abord cela veut dire que je vais goûter aussi à la puissance de sa résurrection!»
La colombe: «Oui, par amour pour toi, je t'ai humilié par la souffrance, et je te glorifierai aussi en t'enmenant dans les lieux célestes, te faisant asseoir avec le Seigneur Jésus à la droite du Père».
Et la colombe éleva l'homme jusque dans la présence de Dieu...
César Cascabel- Avec Saint Benoit
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Pour anne4
ANNE4 a écrit:soso a écrit:pour Anne4:pfffffffffff.
C'est sûr !
Voila qui est en totale contradiction avec les belles prières puisées au hasard sans donner les références de soso qui n'a finalement pas grand chose à dire....
Dommage pour tout le monde !
-----Oui chere ANNE4 je n'ai rien à dire sauf une chose, je prie pour toi. Que le Seigneur te donne sa lumière et son Amour.
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soso- Avec l'Archange Saint Michel
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
Chère soso...
Ne vous laissez pas déprimer par les paroles haineuses de "Anne4" qui ne respecte rien ni personne !
POUR ANNE4...
QUELLES INEPTIES DE VOTRE PART ! VOUS ENVOYEZ EN ENFER TOUS LES CROYANTS DES AUTRES ÉGLISES CHRÉTIENNES QUI NE SONT PAS DE VOTRE AVIS...
PAR CONTRE, VOUS PERSISTEZ À AFFIRMER (SANS AUCUNE SOURCE INTELLIGENTE !) QUE L'ANTICHRIST ADOLF HITLER EST AU PURGATOIRE ET REJOINDRA LE CIEL UN JOUR...
MAIS DITES DONC... AVEZ-VOUS FONDÉ VOTRE PROPRE RELIGION ? BIENTÔT, VOUS DEMANDEREZ À VOS ADEPTES QU'ILS VOUS ADORENT !!!
Ne vous laissez pas déprimer par les paroles haineuses de "Anne4" qui ne respecte rien ni personne !
POUR ANNE4...
QUELLES INEPTIES DE VOTRE PART ! VOUS ENVOYEZ EN ENFER TOUS LES CROYANTS DES AUTRES ÉGLISES CHRÉTIENNES QUI NE SONT PAS DE VOTRE AVIS...
PAR CONTRE, VOUS PERSISTEZ À AFFIRMER (SANS AUCUNE SOURCE INTELLIGENTE !) QUE L'ANTICHRIST ADOLF HITLER EST AU PURGATOIRE ET REJOINDRA LE CIEL UN JOUR...
MAIS DITES DONC... AVEZ-VOUS FONDÉ VOTRE PROPRE RELIGION ? BIENTÔT, VOUS DEMANDEREZ À VOS ADEPTES QU'ILS VOUS ADORENT !!!
Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 7,1-5.
" Ne jugez pas, pour ne pas être jugés ; le jugement que vous portez contre les autres sera porté aussi contre vous ; la mesure dont vous vous servez pour les autres servira aussi pour vous. Qu'as-tu à regarder la paille dans l'oeil de ton frère, alors que la poutre qui est dans ton oeil, tu ne la remarques pas ? Comment vas-tu dire à ton frère : 'Laisse moi retirer la paille de ton oeil', alors qu'il y a une poutre dans ton oeil à toi ?
Gilles. Ville de Québec - Canada
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
Merci cher Gilles pour ton message. Je ne veux pas entrer dans le jeu de cette dame qui est complétement bizarre. Tout ce qu'on peut faire c'est d'unir nos prières pour que le Seigneur la guide et lui donne sa paix.
soso- Avec l'Archange Saint Michel
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
Bravo chère "soso" !
Ne te laisse pas troubler par cette "anne4" qui prophétise des mensonges:cccc: et des hérésies sur un forum catholique !
Tu possèdes UNE TRÈS BELLE ÂME et je suis persuadé que le Seigneur veille sur toi afin que les attaques pernicieuses de cette "anne4" ne t'atteignent pas !
Que la Divine, Vraie et Sainte Trinité te bénisse !
Gilles. Ville de Québec - Canada
Ne te laisse pas troubler par cette "anne4" qui prophétise des mensonges:cccc: et des hérésies sur un forum catholique !
Tu possèdes UNE TRÈS BELLE ÂME et je suis persuadé que le Seigneur veille sur toi afin que les attaques pernicieuses de cette "anne4" ne t'atteignent pas !
Que la Divine, Vraie et Sainte Trinité te bénisse !
Gilles. Ville de Québec - Canada
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
Nous devrions tous méditer cette lettre se St Paul aux Ephésiens que l'on a lu aujourd'hui à la messe.
"L’unité du corps du CHRIST
01 Frères, moi qui suis en prison à cause du Seigneur, je vous encourage à suivre fidèlement l’appel que vous avez reçu de DIEU :
02 ayez beaucoup d'humilité, de douceur et de patience, supportez-vous les uns les autres avec amour ;
03 ayez à coeur de garder l'unité dans l'Esprit par le lien de la paix.
04 Comme votre vocation vous a tous appelés à une seule espérance, de même il n'y a qu'un seul Corps et un seul Esprit.
05 Il n'y a qu'un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême,
06 un seul DIEU et Père de tous, qui règne au-dessus de tous, par tous, et en tous."
"L’unité du corps du CHRIST
01 Frères, moi qui suis en prison à cause du Seigneur, je vous encourage à suivre fidèlement l’appel que vous avez reçu de DIEU :
02 ayez beaucoup d'humilité, de douceur et de patience, supportez-vous les uns les autres avec amour ;
03 ayez à coeur de garder l'unité dans l'Esprit par le lien de la paix.
04 Comme votre vocation vous a tous appelés à une seule espérance, de même il n'y a qu'un seul Corps et un seul Esprit.
05 Il n'y a qu'un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême,
06 un seul DIEU et Père de tous, qui règne au-dessus de tous, par tous, et en tous."
myriam85- Contre le nouvel ordre mondial
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Pour anne4
ANNE4 a écrit:soso a écrit:pour Anne4:pfffffffffff.
C'est sûr !
Voila qui est en totale contradiction avec les belles prières puisées au hasard sans donner les références de soso qui n'a finalement pas grand chose à dire....
Dommage pour tout le monde !
----- si c'est pour dire des sottises comme vous à chaque fois , je préfère ne rien dire. Tout ce que je peux vous dire c'est "d'où sortez-vous toutes les conneries que vous postez ?"
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soso- Avec l'Archange Saint Michel
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
myriam85 a écrit:Nous devrions tous méditer cette lettre se St Paul aux Ephésiens que l'on a lu aujourd'hui à la messe.
"L’unité du corps du CHRIST
01 Frères, moi qui suis en prison à cause du Seigneur, je vous encourage à suivre fidèlement l’appel que vous avez reçu de DIEU :
02 ayez beaucoup d'humilité, de douceur et de patience, supportez-vous les uns les autres avec amour ;
03 ayez à coeur de garder l'unité dans l'Esprit par le lien de la paix.
04 Comme votre vocation vous a tous appelés à une seule espérance, de même il n'y a qu'un seul Corps et un seul Esprit.
05 Il n'y a qu'un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême,
06 un seul DIEU et Père de tous, qui règne au-dessus de tous, par tous, et en tous."
J'ai peur que vous criiez dans le désert...
Entre gille (pantin niais dans les foire de Belgique) et sosotte, on n'avance pas, on recule....
-------
http://annedallemagne.forumactif.org
Pour anne4
J'ai peur que vous criiez dans le désert...
Entre gille (pantin niais dans les foire de Belgique) et sosotte, on n'avance pas, on recule....
-----Pour une prophètesse sa vole très bas. Vous n'avez plus de messages en ce moment--? il ne faut pas désespéré ca va venir, il faut juste changer de moquette.
http://annedallemagnactif.[/quote]
Entre gille (pantin niais dans les foire de Belgique) et sosotte, on n'avance pas, on recule....
-----Pour une prophètesse sa vole très bas. Vous n'avez plus de messages en ce moment--? il ne faut pas désespéré ca va venir, il faut juste changer de moquette.
http://annedallemagnactif.[/quote]
soso- Avec l'Archange Saint Michel
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
Hà, non petite fille, vous lisez mal ou pas du tout...
jE DIRAIS PLUTOT, PAS DU TOUT !
Je ne reçois pas personnellement pas de messages, mais de nombreuses grâces afin d'éclairer mes frêres, tout du moins ceux qui sont polis et de bonne volonté...
Votre passé musulmans vous a bien abimé, c'est certain... Continuez de sortir de belles prières de votre bréviaire, c'est la meilleure façon pour vous de progresser...LE MEILLEUR CONSEIL QUE JE PUISSE VOUS DONNER.....
-----
http://annedallemagne.forumactif.org
jE DIRAIS PLUTOT, PAS DU TOUT !
Je ne reçois pas personnellement pas de messages, mais de nombreuses grâces afin d'éclairer mes frêres, tout du moins ceux qui sont polis et de bonne volonté...
Votre passé musulmans vous a bien abimé, c'est certain... Continuez de sortir de belles prières de votre bréviaire, c'est la meilleure façon pour vous de progresser...LE MEILLEUR CONSEIL QUE JE PUISSE VOUS DONNER.....
-----
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Re: UN FORUM POUR LA PAIX ET L'AMOUR ?
Un texte récent desoso
"je voulais juste te dire que le Seigneur à dit (soyez doux et humble comme moi). Je prie pour toi le Seigneur pour qu'il te donne sa paix et sa charité.
Quand je lit des choses pareils écrits par des chrétiens pratiquants, , ça me rend malade.
Ô Seigneur donne-nous cet esprit vivifiant de droiture , de pureté, de sainteté, de justice et de force.
Ô Roi céleste , consolateur ,esprit de vérité, qui existe en tout lieu, trésor de bonté,Toi qui donne la vie , sois en nous, purifie-nous de tout mal et sauve nos âmes. AMEN."
Puis un autre texte de soso :
"-----Pour une prophètesse sa vole très bas. Vous n'avez plus de messages en ce moment--? il ne faut pas désespéré ca va venir, il faut juste changer de moquette."
Vous voyez.... Il n'y a pas photo.
"je voulais juste te dire que le Seigneur à dit (soyez doux et humble comme moi). Je prie pour toi le Seigneur pour qu'il te donne sa paix et sa charité.
Quand je lit des choses pareils écrits par des chrétiens pratiquants, , ça me rend malade.
Ô Seigneur donne-nous cet esprit vivifiant de droiture , de pureté, de sainteté, de justice et de force.
Ô Roi céleste , consolateur ,esprit de vérité, qui existe en tout lieu, trésor de bonté,Toi qui donne la vie , sois en nous, purifie-nous de tout mal et sauve nos âmes. AMEN."
Puis un autre texte de soso :
"-----Pour une prophètesse sa vole très bas. Vous n'avez plus de messages en ce moment--? il ne faut pas désespéré ca va venir, il faut juste changer de moquette."
Vous voyez.... Il n'y a pas photo.
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