Existe-t-il des références anciennes à Jésus...
Existe-t-il des références anciennes à Jésus...
Existe-t-il des références anciennes à Jésus en dehors de la Bible et des croyants?
Sylvain Jean Gabriel Sanchez, historien spécialisé en Histoire ancienne et en antiquités classiques, et aussi auteur, nous cite quelques exemples dans un magazine pulié par la Société Biblique de Genève. Il affirme : «l'existence historique de Jésus est irréfutable»1. Il mentionne ensuite 4 sources écrites anciennes référant au Jésus qui nous intéresse.
L'historien Juif, Flavius Josèphe
L'historien Juif, Flavius Josèphe, mort en l'an 100, rapporte le martyre de Jacques, «frère de Jésus, dit le Christ». Nous n'aborderons pas le débat ici, à savoir si Jacques est le frère littéral de Jésus ou un frère au sens possible de proche parent (ex. cousin). Néanmoins, ce dit «frère de Jésus, dit le Christ» fut, selon l'historien juif du premier siècle, «condamné à mort par le tribunal juif (...) (cf. Antiquités juives XX, 197-203)»2 Selon le spécialiste, le témoignage écrit date de 93-94 et les critiques reconnaissent l'authenticité du livre XX où elle est répertoriée.
L'auteur nous présente ensuite 3 témoignages romains, en les personnes de Pline le Jeune, Tacite et Suétone.
Pline le Jeune
Pline le Jeune, préfet d'Asie Mineure, a informé Rome, aux environs de l'an 112, concernant des mesures prises contre les disciples de Jésus «qui chantent entre eux un hymne à Christ comme à un dieu»3.
L'historien Tacite
Vers 116, l'historien Tacite fait référence à la «détestable superstition (...) au nom d'un Christ que, sous le principat de Tibère, le procurateur Pilate avait fait livrer au supplice»4.
L'historien Suétone
Enfin vers 120, l'historien latin Suétone «parle du Christ comme d'un personnage séditieux»5, 6.
Conclusion
À travers ces 4 exemples en dehors des premiers disciples de Jésus et des églises, nous sommes à même de voir que son existence historique est attestée.
(Fin de la partie "scientifique")
Réflexion : Jésus ne laisse personne indifférent. En Amérique du Nord, par exemple en milieu de travail ou dans les écoles, vous pouvez parler de yoga (discipline initiatique philosophico-religieuse d'origine hindoue, banalisée sous l'habile présentation occidentale de "technique"), de Tai Chi (discipline du taoïsme) ou des divers horoscopes (manifestions de l'animisme), d'Énergie cosmique et pratiquement personne ne s'en offusquera. Vous pourrez probablement en parler pendant 5 à 10 minutes et les gens vous trouveront "cool" (agréable et à la page).
Mais prononcez juste pour voir, le nom de Jésus, et dans la majorité des milieux de travail, les respirations cesseront pendant une ou deux secondes. On tentera de localiser d'où vient le mot-scandale. On pourra me contredire avec mille arguments; je parle par expérience vécue et non par concept idéaliste : Jésus est le Nom qui dérange, comme l'a justement exprimé Franklin Graham (fils de Billy Graham) dans son livre The Name (que je n'ai pas lu, en passant, mais dont j'ai lu un article de présentation écrit par l'auteur).
En réalité, la laïcité nord-américaine est très sélective et ne sait même pas reconnaître les disciplines ou manifestations religieuses en dehors de quelques pratiques non voilées (qui ne se cachent pas). Au Québec, un nombre croissant d'écoles publiques dites laïques, ont commencé, ou songent à intégrer les rites orientaux en les présentant comme de simples "techniques". On s'offusque à la référence à une prière théiste dans un conseil municipal (cas à l'étude à Laval au Québec), mais on applaudit à l'introduction des rites initiatiques orientaux chez des enfants des écoles publiques (Enjeux, SRC, mars 2006). Ainsi, les références positives à une foi chrétienne vivante sont évacuées des cours et des curriculums enseignés, incluant les livres et manuels scolaires (en dehors d'un bref sursis pour l'enseignement moral ou religieux catholique et protestant). À l'inverse, les rites orientaux adaptés à l'occident ont la porte grande ouverte (peut-être par les directeurs et enseignants qui y sont favorables?) et on les voit non seulement dans les livres et manuels scolaires, mais selon un récent reportage de l'émission Enjeux (mars 2006), même des écoles dites déconfessionalisées et donc "laïques" commencent maintenant à les intégrer. Les mots-clés utilisés pour masquer l'initiation aux cultes orientaux sont "technique", "relaxation", "simplicité" et d'autres semblables.
Alors, je vous en prie, cessons de banaliser et de dire que la laïcité nord-américaine consiste seulement à séparer la religion de l'État. Sa déviation, par rapport à l'intention première, devient volontairement ou non, un outil par excellence, subtil et sournois, pour stigmatiser les chrétiens ou les croyants monothéistes. Pour la laïcité promue au Québec, être polythéiste, c'est faire preuve d'ouverture, mais être monothéiste, c'est être plus archaïque que quelqu'un qui adore une pierre ou tire de l'énergie d'un arbre serré entre ses bras. Et ce n'est pas du sarcasme, mais la tendance actuelle.
Mais, cette réalité pseudo-laïque fait l'objet d'un autre article.
Pensées: Pourquoi le nom de Jésus dérange-t-il autant?
Après la crucifixion de Jésus et sa résurrection:
SOURCE: www.eternite.net
Gilles. Ville de Québec - Canada
par Gilles Bernier, 2006-04-01
Les opposants à l'historicité (réalité historique) de Jésus-Christ ont souvent nié l'authenticité des évangiles et des épîtres, malgré la grande quantité de manuscrits ou fragments anciens du Nouveau Testament. Existe-t-il des témoignages anciens de son existence réelle, en dehors de ceux des disciples de Jésus? Sylvain Jean Gabriel Sanchez, historien spécialisé en Histoire ancienne et en antiquités classiques, et aussi auteur, nous cite quelques exemples dans un magazine pulié par la Société Biblique de Genève. Il affirme : «l'existence historique de Jésus est irréfutable»1. Il mentionne ensuite 4 sources écrites anciennes référant au Jésus qui nous intéresse.
L'historien Juif, Flavius Josèphe
L'historien Juif, Flavius Josèphe, mort en l'an 100, rapporte le martyre de Jacques, «frère de Jésus, dit le Christ». Nous n'aborderons pas le débat ici, à savoir si Jacques est le frère littéral de Jésus ou un frère au sens possible de proche parent (ex. cousin). Néanmoins, ce dit «frère de Jésus, dit le Christ» fut, selon l'historien juif du premier siècle, «condamné à mort par le tribunal juif (...) (cf. Antiquités juives XX, 197-203)»2 Selon le spécialiste, le témoignage écrit date de 93-94 et les critiques reconnaissent l'authenticité du livre XX où elle est répertoriée.
L'auteur nous présente ensuite 3 témoignages romains, en les personnes de Pline le Jeune, Tacite et Suétone.
Pline le Jeune
Pline le Jeune, préfet d'Asie Mineure, a informé Rome, aux environs de l'an 112, concernant des mesures prises contre les disciples de Jésus «qui chantent entre eux un hymne à Christ comme à un dieu»3.
L'historien Tacite
Vers 116, l'historien Tacite fait référence à la «détestable superstition (...) au nom d'un Christ que, sous le principat de Tibère, le procurateur Pilate avait fait livrer au supplice»4.
L'historien Suétone
Enfin vers 120, l'historien latin Suétone «parle du Christ comme d'un personnage séditieux»5, 6.
Conclusion
À travers ces 4 exemples en dehors des premiers disciples de Jésus et des églises, nous sommes à même de voir que son existence historique est attestée.
(Fin de la partie "scientifique")
Réflexion : Jésus ne laisse personne indifférent. En Amérique du Nord, par exemple en milieu de travail ou dans les écoles, vous pouvez parler de yoga (discipline initiatique philosophico-religieuse d'origine hindoue, banalisée sous l'habile présentation occidentale de "technique"), de Tai Chi (discipline du taoïsme) ou des divers horoscopes (manifestions de l'animisme), d'Énergie cosmique et pratiquement personne ne s'en offusquera. Vous pourrez probablement en parler pendant 5 à 10 minutes et les gens vous trouveront "cool" (agréable et à la page).
Mais prononcez juste pour voir, le nom de Jésus, et dans la majorité des milieux de travail, les respirations cesseront pendant une ou deux secondes. On tentera de localiser d'où vient le mot-scandale. On pourra me contredire avec mille arguments; je parle par expérience vécue et non par concept idéaliste : Jésus est le Nom qui dérange, comme l'a justement exprimé Franklin Graham (fils de Billy Graham) dans son livre The Name (que je n'ai pas lu, en passant, mais dont j'ai lu un article de présentation écrit par l'auteur).
En réalité, la laïcité nord-américaine est très sélective et ne sait même pas reconnaître les disciplines ou manifestations religieuses en dehors de quelques pratiques non voilées (qui ne se cachent pas). Au Québec, un nombre croissant d'écoles publiques dites laïques, ont commencé, ou songent à intégrer les rites orientaux en les présentant comme de simples "techniques". On s'offusque à la référence à une prière théiste dans un conseil municipal (cas à l'étude à Laval au Québec), mais on applaudit à l'introduction des rites initiatiques orientaux chez des enfants des écoles publiques (Enjeux, SRC, mars 2006). Ainsi, les références positives à une foi chrétienne vivante sont évacuées des cours et des curriculums enseignés, incluant les livres et manuels scolaires (en dehors d'un bref sursis pour l'enseignement moral ou religieux catholique et protestant). À l'inverse, les rites orientaux adaptés à l'occident ont la porte grande ouverte (peut-être par les directeurs et enseignants qui y sont favorables?) et on les voit non seulement dans les livres et manuels scolaires, mais selon un récent reportage de l'émission Enjeux (mars 2006), même des écoles dites déconfessionalisées et donc "laïques" commencent maintenant à les intégrer. Les mots-clés utilisés pour masquer l'initiation aux cultes orientaux sont "technique", "relaxation", "simplicité" et d'autres semblables.
Alors, je vous en prie, cessons de banaliser et de dire que la laïcité nord-américaine consiste seulement à séparer la religion de l'État. Sa déviation, par rapport à l'intention première, devient volontairement ou non, un outil par excellence, subtil et sournois, pour stigmatiser les chrétiens ou les croyants monothéistes. Pour la laïcité promue au Québec, être polythéiste, c'est faire preuve d'ouverture, mais être monothéiste, c'est être plus archaïque que quelqu'un qui adore une pierre ou tire de l'énergie d'un arbre serré entre ses bras. Et ce n'est pas du sarcasme, mais la tendance actuelle.
Mais, cette réalité pseudo-laïque fait l'objet d'un autre article.
Pensées: Pourquoi le nom de Jésus dérange-t-il autant?
Après la crucifixion de Jésus et sa résurrection:
Ils [prêtres du judaïsme, commandant du Temple et parti des Sadducéens] leur ordonnèrent de sortir du sanhédrin, et ils délibérèrent entre eux, disant, Que ferons-nous à ces hommes?Un moment des dernières heures de Jésus avant la crucifixion:
(...)
Mais, afin que la chose ne se répande pas davantage parmi le peuple, défendons-leur avec menaces de parler désormais à qui que ce soit en ce nom-là. Et les ayant appelés, ils leur défendirent absolument de parler et d’enseigner au nom de Jésus (extrait d'Actes 4.15)
Les principaux sacrificateurs et les scribes étaient là, et l’accusaient [Jésus] avec violence. Hérode, avec ses gardes, le traita avec mépris; et, après s’être moqué de lui et l’avoir revêtu d’un habit éclatant, il le renvoya à Pilate. Ce jour même, Pilate et Hérode devinrent amis, d’ennemis qu’ils étaient auparavant (Luc 23.10-12).Les disciples face à la menace:
«Après avoir été relâchés, ils allèrent vers les leurs, et racontèrent tout ce que les principaux sacrificateurs et les anciens leur avaient dit. Lorsqu’ils l’eurent entendu, ils élevèrent à Dieu la voix tous ensembleJésus savait qu'il serait rejeté, mais il a quand même accompli sa mission jusqu'à la croix, sachant qu'il ya aurait toutefois une suite :
(...)
c’est toi qui as dit par le Saint-Esprit, par la bouche de notre père, ton serviteur David [des siècles plus tôt; Psaume 2.1-2], Pourquoi ce tumulte parmi les nations, Et ces vaines pensées parmi les peuples? Les rois de la terre se sont soulevés, Et les princes se sont ligués Contre le Seigneur et contre son Oint. En effet, contre ton saint serviteur Jésus, que tu as oint, Hérode et Ponce Pilate se sont ligués dans cette ville avec les nations et avec les peuples d’Israël, pour faire tout ce que ta main et ton conseil avaient arrêté d’avance. Et maintenant, Seigneur, vois leurs menaces, et donne à tes serviteurs d’annoncer ta parole avec une pleine assurance, en étendant ta main, pour qu’il se fasse des guérisons, des miracles et des prodiges, par le nom de ton saint serviteur Jésus» (extrait d'Actes 4.23-30).
Mais, jetant les regards sur eux, Jésus dit, Que signifie donc ce qui est écrit,Or, si la pierre "Jésus" est devenue la pierre principale de l'édifice spirituel que Dieu construit, c'est qu'elle est encore là, bien que la majorité ne le voit pas en ce moment...
La pierre qu’ont rejetée ceux qui bâtissaient
Est devenue la principale de l’angle? (Luc 20.17)
SOURCE: www.eternite.net
Gilles. Ville de Québec - Canada
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Sujets similaires
» Existe-t-il des références anciennes à Jésus ?
» Jésus a-t-il existé ? Un chercheur dit que non !!! Quel mensonge !!!
» Satan existe-il ? L'enfer existe-il ? Exorcisme Catholique
» La réincarnation n'existe pas!
» Dieu existe-t-il?
» Jésus a-t-il existé ? Un chercheur dit que non !!! Quel mensonge !!!
» Satan existe-il ? L'enfer existe-il ? Exorcisme Catholique
» La réincarnation n'existe pas!
» Dieu existe-t-il?
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum