La Communion sur la langue

A travers la Révélation biblique et aidé par la Tradition qui s'appuie sur elle, on comprend vite la porté sacrilège d'une soi-disant communion" "reçu" dans une main non ordonné.

Depuis le récit de la Genèse le Verbe divin Bénit l'homme (Fécondité & prospérité) lui donnant la vocation et la capacité d’être le maitre de sa création, et à la différence des autres créature* il est capable de communiquer en dehors de sa propre nature, ayant hérité de se même don de la Parole, capable de distinguer, et de nommer toutes choses, et de les offrir, avec son libre arbitre à Dieu.

L’Apôtre Saint Jaques dans sa lettre nous donne le sens de se membre particulier parmi les autres (248 (organes) selon la tradition juive)) -moins les 365 os, les 613 commandements accomplis et redonné par le "Commandement Nouveau" en la personne de Jésus-Christ) 614

3.2: Si quelqu'un ne pèche pas en parole, c'est un homme parfait, capable de tenir aussi tout le corps en bride. 
3.6 Toutes les espèces de bêtes sauvages, d'oiseaux, de reptiles, et d'autres animaux peuvent se dompter, et ont été domptés par la nature humaine
3.8 mais la langue, aucun homme ne peut la dompter
3.9 Par elle nous bénissons Dieu notre Père, et par elle nous maudissons les hommes, qui ont été faits à l'image de Dieu.
3.10 De la même bouche sortent la bénédiction et la malédiction. Il ne faut pas, mes frères, qu'il en soit ainsi.
.. Seigneur ouvre mes lèvres et ma bouche publiera ta louange ... 



Nous comprenons à travers ses Dons et ses promesse (accomplis et à venir pour nous) donné à Dieu par Notre Seigneur Jésus-Christ (Prêtre et aussi Image du Père) une des multiples raisons, mais fondamentale, que la tradition nous transmet, et par la nous ordonne, de communier sur la langue , se n'est la qu'une facette du mystère, montrant l'aspect et la porté "métaphysique" de la Parole, car comme nous dit Saint Augustin, à la différence des autres aliment, les processus de digestion font qu'après transformation, les aliments deviennent participants de la vie de notre corps, mais pour l'Eucharistie c'est la divinité qui vient nous assumer, et nous diviniser, nous devenons "sa nourriture" (comme il l'est Lui-même pour le Père), tout notre corps, du point de vue anatomique, biologique et spirituel à été crée dans cette volonté Divine, comme le dit la prière Eucharistique III :  « Que l’Esprit Saint fasse de nous une éternelle offrande à ta gloire. »


Cela n'est pas une œuvre de main d'homme, (ni dans sa capacité) cela ne peut être donné ou offert par une main-d'homme, mais seulement par Celui qui à assumer notre nature l'offrant à la divinité par sa double nature et son onction, qu'Il à transmit (Par l'imposition des mains) à ses Apôtres [(et) aux prêtres] dans la succession Apostolique.



*(excepté le serpent antique et l'ane (de balaam))

La communion sur la langue et à genoux est la meilleure manière de communier.
Par contre, comme disait Sainte Thérèse de l'enfant Jésus, nécessité fait loi.
Communier dans la main en obéissant à notre évêque dans le cadre sanitaire permet entre autre de ménager les personnes fragiles est évitant de leur transmettre le virus.
Personnellement je communie à genoux mais dans la main mais j'ai hâte de pouvoir à nouveau communier sur la langue.

Personnellement, il m'est inconcevable de recevoir Jésus dans les mains, aussi je me contente de la communion spirituelle.
Communier à genoux et sur la langue donne une certaine force intérieure que je ne saurais pas expliquer. On se fait tout petit devant Dieu, non seulement en esprit mais aussi dans la posture qu'on adopte face à Lui.

Il est dommage que vous vous priviez des grâces immenses de la communion.
Voici un extrait de l'évangile qui pourra peut-être vous éclairer sur la conduite à tenir :

Jésus a défendu ses disciples glanant le jour du sabbat en racontant une histoire à propos de David. Marc 2:23-28 ( ESV ):

Un jour de sabbat, il parcourait les champs de céréales, et tandis qu'ils progressaient, ses disciples se mirent à cueillir des épis. Et les pharisiens lui dirent : « Regarde, pourquoi font-ils ce qui n'est pas permis le jour du sabbat ? Et il leur dit : « N'avez-vous jamais lu ce que fit David, quand il était dans le besoin et avait faim, lui et ceux qui étaient avec lui : comment il entra dans la maison de Dieu, au temps d'Abiathar le souverain sacrificateur, et mangé le pain de la Présence, qu'il n'est permis à personne d'autre qu'aux prêtres de manger, et l'a aussi donné à ceux qui étaient avec lui ? Et il leur dit : « Le sabbat a été fait pour l'homme, non l'homme pour le sabbat. Ainsi, le Fils de l'homme est maître même du sabbat.


Paix à vous

Pardon Seigneur, Pardon 

https://gloria.tv/post/g3P99Fpaw4Md1mrXwxow6xvqJ

Comme proposé sous le commentaire du lien précédent, réparons en récitant les litanies du Saint Sacrement et diffusons cette vidéo à nos prêtres pour qu'ils prennent conscience du danger à continuer à distribuer la communion dans la main.

Yeshoua a écrit:A travers la Révélation biblique et aidé par la Tradition qui s'appuie sur elle, on comprend vite la porté sacrilège d'une soi-disant communion" "reçu" dans une main non ordonné.

Depuis le récit de la Genèse le Verbe divin Bénit l'homme (Fécondité & prospérité) lui donnant la vocation et la capacité d’être le maitre de sa création, et à la différence des autres créature* il est capable de communiquer en dehors de sa propre nature, ayant hérité de se même don de la Parole, capable de distinguer, et de nommer toutes choses, et de les offrir, avec son libre arbitre à Dieu.

L’Apôtre Saint Jaques dans sa lettre nous donne le sens de se membre particulier parmi les autres (248 (organes) selon la tradition juive)) -moins les 365 os, les 613 commandements accomplis et redonné par le "Commandement Nouveau" en la personne de Jésus-Christ) 614

3.2: Si quelqu'un ne pèche pas en parole, c'est un homme parfait, capable de tenir aussi tout le corps en bride. 
3.6 Toutes les espèces de bêtes sauvages, d'oiseaux, de reptiles, et d'autres animaux peuvent se dompter, et ont été domptés par la nature humaine
3.8 mais la langue, aucun homme ne peut la dompter
3.9 Par elle nous bénissons Dieu notre Père, et par elle nous maudissons les hommes, qui ont été faits à l'image de Dieu.
3.10 De la même bouche sortent la bénédiction et la malédiction. Il ne faut pas, mes frères, qu'il en soit ainsi.
.. Seigneur ouvre mes lèvres et ma bouche publiera ta louange ... 



Nous comprenons à travers ses Dons et ses promesse (accomplis et à venir pour nous) donné à Dieu par Notre Seigneur Jésus-Christ (Prêtre et aussi Image du Père) une des multiples raisons, mais fondamentale, que la tradition nous transmet, et par la nous ordonne, de communier sur la langue , se n'est la qu'une facette du mystère, montrant l'aspect et la porté "métaphysique" de la Parole, car comme nous dit Saint Augustin, à la différence des autres aliment, les processus de digestion font qu'après transformation, les aliments deviennent participants de la vie de notre corps, mais pour l'Eucharistie c'est la divinité qui vient nous assumer, et nous diviniser, nous devenons "sa nourriture" (comme il l'est Lui-même pour le Père), tout notre corps, du point de vue anatomique, biologique et spirituel à été crée dans cette volonté Divine, comme le dit la prière Eucharistique III :  « Que l’Esprit Saint fasse de nous une éternelle offrande à ta gloire. »


Cela n'est pas une œuvre de main d'homme, (ni dans sa capacité) cela ne peut être donné ou offert par une main-d'homme, mais seulement par Celui qui à assumer notre nature l'offrant à la divinité par sa double nature et son onction, qu'Il à transmit (Par l'imposition des mains) à ses Apôtres [(et) aux prêtres] dans la succession Apostolique.



*(excepté le serpent antique et l'ane (de balaam))

Dans se même mois de Juin, à quelques jour de la Fete Dieu nous avons féte S.Antoine de Padoue le 13, petite anecdote:


Le dimanche de Quasimodo 1263
L’événement est rapporté par la Benignitas, une des premières biographies de saint Antoine: «Le jour de l’octave de la Résurrection du Seigneur, tandis que ses restes mortels sont transférés dans la nouvelle Basilique, en grande pompe, avec sons des orgues, sonneries des trompettes, retentissements des cymbales et concerts de chants harmonieux, sa langue, qui avait séjourné en terre pendant trente deux ans, fut retrouvée à ce point fraîche, rouge et belle, qu’on aurait dit que le bienheureux père venait de décéder à l’instant même... Le cardinal évêque d’Albano, qui était présent aux fêtes de cette translation (transfert), la prit respectueusement entre ses mains et, le visage arrosé de larmes, lui adressa devant tous les présents, ces paroles pleines de dévotion: O Langue bénie, qui as toujours béni le Seigneur et l’as fait bénir par les autres, il apparaît clairement maintenant combien tu as mérité auprès de Dieu. »
....
Il en a surtout développé la "symbolique", liée à la fois au Verbe de Dieu qui s’est fait Parole humaine, et à l’Esprit qui, à la Pentecôte, s’est manifesté sous forme de langues de feu.
De même, souligne Antoine, le lien qui existe entre la langue et la parole symbolisent l’unité qui règne au sein de la Trinité: «La langue, écrit-il, a une affinité étroite avec la parole, à tel point qu’elles ne peuvent être séparées l’une de l’autre. De la même manière, le Verbe du Père, c’est-à-dire le Fils, et l’Esprit Saint sont inséparables; ils sont même une seule nature.»

https://www.messagerdesaintantoine.com/content/un-tresor-qui-nous-interroge-la-langue-de-saint-antoine

Je rajouterais pour ma part que la langue (que l'on rattache pour des raisons obscure aux 5 sens de part le "gout"(comme ci le toucher ne suffisait pas , Aristote partage aussi se point de vue )) contrairement aux 4 sens externe ne trouve aucune analogie de part son sens propre avec aucune réalité divine, se qui semble encore révéler sa particularité, contrairement à se que l'on a fait du "gout" qui reste attaché aux choses terrestre.

Les sacrements, signe visible que Dieu donne aux hommes semble aussi conforter cette "thèse", la vue pour les formes, l'odorat (Chrême), l’ouïe pour (la) les paroles consécratoire (ou non), le toucher que nous retrouvons pour le sacrement des malades ou baptême entres autres, pour le vin est le pain, il faut qu'il soit rouge, et du blé pour le pain... se sont les seuls ordonnance de l’Église....  il serait ridicule de choisir un bordeaux ou un bourgogne....

Saint Paul nous ramène à nous éprouver nous-même (1Co 28)
D’ailleurs cela semble rejoindre notre époque ou le péché est davantage collectif, ainsi que la liberté s'appauvrit,qui à encore une personnalité de nos jours qui se distingue de l'I.A. (religieuse) collective? Se sont la complaisance et la fausse "miséricorde" qui auront eu raisons de nous, nos ennemis le savent, ils "croient" ,eux , au péché originel et à la vulnérabilité de l'homme sans Jésus-Christ.

@Père Nathan: De nos jours, à cause de l'ignorance générale et de la confusion qui règne on ne peut plus juger objectivement ceux qui sont infiltré... sinon il y en aurait des condamnés

En effet le saint pape Paul vi n’y est pour rien
Il porte La Croix d’une désobéissance outrageante…

Bugnini ? Villot ?
Mais ils ne sont pas catholiques puisqu’ils ont donné leur vie à la « maçonnerie ecclésiastique » !
Excommuniés latae sententiae

Eh oui . !!

Oumpff !

(le punch) 

Père Nathan a écrit:

En effet le saint pape Paul VI n’y est pour rien

 

Je me suis parfois demandé comment la chose avait pu se faire matériellement, comme aussi facilement et rapidement, sans la moindre résistance sérieuse de la part d'évêques de l'époque. Une chose d'autant plus surprenante s'il serait bien vrai que le pape Paul VI aurait été franchement et ouvertement opposé à l'extension la plus libérale possible de cette pratique. Il y a là quelque chose qui ne cesse de m'étonner. Un truc m'échappe.

Le Pape François nous en donne la réponse dans sa dernière lettre Apostolique Desiderio Desideravi, mais se n'est pas tout à fait le sujet du post.

Quelques extrait de celle-ci en lien avec le post:

19: La Liturgie ne nous laisse pas seuls à la recherche d’une connaissance individuelle présumée du mystère de Dieu, mais nous prend par la main, ensemble, en assemblée, pour nous conduire dans le mystère que la Parole et les signes sacramentels nous révèlent. Et elle le fait en cohérence avec l’action de Dieu, en suivant le chemin de l’incarnation, à travers le langage symbolique du corps qui
se prolonge dans les choses, l’espace et le temps.

44: Guardini écrit : « C’est ainsi que s’ébauche la première tâche du travail de formation liturgique: l’homme doit retrouver sa puissance symbolique » C’est une responsabilité pour tous, pour les ministres ordonnés commebpour les fidèles. La tâche n’est pas facile car l’homme moderne est devenu analphabète, il ne sait plus lire les symboles, il en soupçonne à peine l’existence. Cela se produit également avec le symbole de notre corps.
Il est un symbole parce qu’il est une union intime de l’âme et du corps ; il est la visibilité de l’âme spirituelle dans l’ordre corporel ; et en cela consiste l’unicité humaine, la spécificité de la personne irréductible à toute autre forme d’être vivant. Notre ouverture au transcendant, à Dieu, est constitutive : ne pas la reconnaître nous conduit inévitablement non seulement à une méconnaissance de Dieu mais aussi à une méconnaissance de nous-mêmes.
Il suffit de regarder la manière paradoxale dont le corps est traité, à un moment soigné de manière presque obsessionnelle, inspiré par le
mythe de l’éternelle jeunesse, et à un autre moment réduisant le corps à une matérialité à laquelle on refuse toute dignité. Le fait est que l’on ne peut pas donner de valeur au corps en partant uniquement du corps lui-même. Tout symbole est à la fois puissant et fragile. S’il n’est pas respecté, s’il n’est pas traité pour ce qu’il est, il se brise, perd sa force, devient insignifiant.
(comment ne pas penser à l'avortement...Amas de cellules, bien que se soit la une image qu'on donne à la une masse devenue bestiale...)

IL Y A UN FIL QUI TRAITE DEJA DE CE SUJET

https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t42211-question-au-pere-nathan-communion-dans-la-main-et-interdiction-communion-sur-la-langue#328923