LETTRE A MON FRERE DANS LA FOI n° 2 de P. C. Aubrit St Pol
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Isabelle-Marie
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LETTRE A MON FRERE DANS LA FOI n° 2 de P. C. Aubrit St Pol
La ville est abattue, triste, morne ; une sorte de cimetière des commerces, de semi-comas, les rideaux baissés, des hôtels à vendre, des cessations d’activité tous les dix mètres. On n’est jamais descendu de trottoir pour laisser passer un passant, pas une vieille dame à aider pour traverser la route. Le Gave s’écoule avec son étrange couleur vert de gris rendant l’atmosphère encore plus pénible. Les Lourdais n’ont guère le sourire, la ville pétrifiée, figée, est dans une attente désespérante. Le seul endroit où l’humanité bondissait aura été un supermarché. La cité attend son roi.
https://www.surleroc.fr/post/lettre-a-mon-fr%C3%A8re-dans-la-foi-n-2-de-p-c-aubrit-st-pol
Re: LETTRE A MON FRERE DANS LA FOI n° 2 de P. C. Aubrit St Pol
https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus?fbclid=IwAR1s87I9ihAmetmPgeUtFlv3tUkveGM9mx62_GP8NAqvvqQhTnuHrefIRRw#cprotection
en effet les règles ( mouvantes ) imposées par le gouvernement sont finalement très inférieures a celles qu'impose le sanctuaire de Lourdes et nombre de contraintes paroissiales, y compris celle de ma fraternité ou je suis engagé aussi ! Je me fais donc un devoir d'en alerter les responsables pour que la liberté soit rendue tout en "obeissant " à des règles , qui vont généralement bien au delà des prescriptions gouvernementales , probablement par précaution et crainte de ne pas risquer de devoir fermer eglise et salle de reunions . Obeir aux règles strictement et pas au delà est justifié serait ce pour ne pas devoir payer des prunes inutilement
Beaucoup ne connaissent pas non plus les attestations de dérogations post couvre feu ( au delà de 18 h elles sont simples et n'obligent pas à rester chez soi). en verso de celles ci on a des regles precisées pour les deplacements vers l'Eglise et celebrations : elles ne sont autorises que jusqu'a 18 h en cette periode de couvre -feu , les attestations de derogation en cas de dépassement apres 18 h ne fonctionne donc pas pour aller à l'Eglise ... il faudra mettre sur l'attestation un autre motif ( familial par exemple ou achat de médicament )
en effet les règles ( mouvantes ) imposées par le gouvernement sont finalement très inférieures a celles qu'impose le sanctuaire de Lourdes et nombre de contraintes paroissiales, y compris celle de ma fraternité ou je suis engagé aussi ! Je me fais donc un devoir d'en alerter les responsables pour que la liberté soit rendue tout en "obeissant " à des règles , qui vont généralement bien au delà des prescriptions gouvernementales , probablement par précaution et crainte de ne pas risquer de devoir fermer eglise et salle de reunions . Obeir aux règles strictement et pas au delà est justifié serait ce pour ne pas devoir payer des prunes inutilement
Beaucoup ne connaissent pas non plus les attestations de dérogations post couvre feu ( au delà de 18 h elles sont simples et n'obligent pas à rester chez soi). en verso de celles ci on a des regles precisées pour les deplacements vers l'Eglise et celebrations : elles ne sont autorises que jusqu'a 18 h en cette periode de couvre -feu , les attestations de derogation en cas de dépassement apres 18 h ne fonctionne donc pas pour aller à l'Eglise ... il faudra mettre sur l'attestation un autre motif ( familial par exemple ou achat de médicament )
azais- MEDIATEUR
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Re: LETTRE A MON FRERE DANS LA FOI n° 2 de P. C. Aubrit St Pol
Dernière édition par Surleroc le Mer 5 Mai 2021 - 20:47, édité 1 fois
Re: LETTRE A MON FRERE DANS LA FOI n° 2 de P. C. Aubrit St Pol
le premier confinement était très angoissant. Vraiment tout était vide.
Je remarque bien plus de jeunes dans les parcs. Les salles de sports étant fermées, on voit des personnes qui s'entrainent en pleine nature.
Je suis comme tout le monde, j'en ai assez de ce virus. Mais je remarque que la vie est peut-être davantage dehors plutôt qu'à l'intérieur de chez soi ou dans les salles.
il faut voir le côté positif si on ne veut pas sombrer dans le désespoir !!
L'espérance produit la joie et la paix en nous, par la puissance du Saint-Esprit
Je remarque bien plus de jeunes dans les parcs. Les salles de sports étant fermées, on voit des personnes qui s'entrainent en pleine nature.
Je suis comme tout le monde, j'en ai assez de ce virus. Mais je remarque que la vie est peut-être davantage dehors plutôt qu'à l'intérieur de chez soi ou dans les salles.
il faut voir le côté positif si on ne veut pas sombrer dans le désespoir !!
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granny- Contemplatif
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Re: LETTRE A MON FRERE DANS LA FOI n° 2 de P. C. Aubrit St Pol
Surleroc a écrit:LETTRE A MON FRÈRE DANS LA FOI N°3
Il faut entrer dans le silence de Jésus durant sa Passion, silence qui commença en la présence d’Hérode qu’il déchira : « Mon Père, je remets mon esprit entre vos mains. Et disant cela, il expira. »https://www.surleroc.fr/post/lettre-à-mon-frère-dans-la-foi-n-3
SurleRoc a écrit:le Pape est là pour nous confirmer dans la foi, mais certainement pas pour nous dire d’aller nous faire vacciner, chacun à sa place.
Un article de Mark Mallett s'interroge sur l'attitude à avoir. Silence ? oui pour une part, mais aussi devoir d'avertir ; encore faut-il pouvoir l'interroger : Saint Père, êtes-vous au courant des morts liés à la vaccination covid, des dangers de cette expérimentation génétique à grande échelle... qui lui pose la question ?
"...Apparemment, le Saint-Père part du principe que ces vaccins, sinon tous, sont aussi sûrs que de prendre une vitamine....
Je ne cite qu'une fraction de la recherche approfondie et exhaustive sur les risques vaccinaux documentée dans La pandémie de contrôle. Tout cela pour dire qu'il n'est ni égoïste ni «déni suicidaire» de remettre en question la sécurité et l'efficacité des produits chimiques à injecter directement dans le bras. La science n'est pas imprégnée d'infaillibilité; en fait, la nature même de la science est de toujours remettre en question la science dans la poursuite d'une plus grande connaissance.
La science peut grandement contribuer à rendre le monde et l'humanité plus humains. Pourtant, elle peut aussi détruire l'humanité...
Benoit XVI
[...]
...on peut en toute sécurité être en désaccord avec l'opinion du pape François selon laquelle ces vaccins expérimentaux «doivent» être pris. En fait, il y a sans doute un impératif moral d'avertir les autres (et le Saint-Père) des graves dangers potentiels associés et liés non seulement à ces vaccins expérimentaux, mais à la mentalité totalitaire croissante d'une population qui priverait ses concitoyens de leur liberté et de leur participation à la société...
https://www.markmallett.com/fr/blog/to-vax-or-not-to-vax/
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: LETTRE A MON FRERE DANS LA FOI n° 2 de P. C. Aubrit St Pol
[ltr]Mon Cher Guillaume,[/ltr]
[ltr]Pardonne-moi d’aborder un tel sujet, toi qui es incapable de concevoir le mal. Tu en seras interloqué, mais me connaissant, tu m’en pardonneras volontiers. En fait, c’est ton innocence qui me pousse à te faire part de mes réflexions sur ce thème ; le pur ne conçoit pas le mal. Tu es une denrée rare, hors de prix en ces jours de ténèbres. Tu t’es trompé d’époque, le Haut-Moyen-âge t’eut mieux convenu, tu te serais épanoui dans les combats épiques pour la justice ou l’honneur d’une gente dame. Mais tu le sais ô combien ! L’honneur n’est plus côté, l’amoral est honoré. Je ne vais pas développer ici un sujet qui est comme les tonneaux des danaïdes. [/ltr]
https://www.surleroc.fr/post/lettre-a-mon-frère-dans-la-foi-le-pardon
Re: LETTRE A MON FRERE DANS LA FOI n° 2 de P. C. Aubrit St Pol
Il me semble inexact de dire cela du Pape sur le vaccin, car il n'est pas sans savoir que ces vaccins expérimentaux sont aussi le fruit de sacrifices humains, produits directement ou indirectement grâce à des cellules d'embryons humains avortés volontairement. La Congrégation pour la doctrine de la foi a d'ailleurs publié un avis (scandaleux) dans lequel elle justifie l'utilisation de tels caccins si il n'en existe pas d'autres moralement acceptables.SurleRoc a écrit:le Pape est là pour nous confirmer dans la foi, mais certainement pas pour nous dire d’aller nous faire vacciner, chacun à sa place.
Un article de Mark Mallett s'interroge sur l'attitude à avoir. Silence ? oui pour une part, mais aussi devoir d'avertir ; encore faut-il pouvoir l'interroger : Saint Père, êtes-vous au courant des morts liés à la vaccination covid, des dangers de cette expérimentation génétique à grande échelle... qui lui pose la question ?
"...Apparemment, le Saint-Père part du principe que ces vaccins, sinon tous, sont aussi sûrs que de prendre une vitamine....
Le problème est très mal posé car l'alternative à ces vaccins n'est pas dans d'autres vaccins mais dans des traitements alternatifs. Et sur ce point, silence radio... Pour les autorités civiles, on comprend car l'autorisation d'un traitement alternatif empêcherait de facto l'autorisation provisoire de mise sur le marché de vaccins expérimentaux, mais que le Vatican soit complice d'une telle infamie dépasse tout ce qu'on peut imaginer, à moins qu'on soit vraiment dans la période de notre histoire où Satan a bien pris place au Vatican...
Cf. Prophéties de Anne Catherine Aymerick
Buni- Hosanna au plus haut des cieux!
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Re: LETTRE A MON FRERE DANS LA FOI n° 2 de P. C. Aubrit St Pol
LETTRE A MON FRÈRE DANS LA FOI : "Traditionis custodes"
Mis à jour : il y a un jour
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Pierre Charles Aubrit Saint Pol
Mon Cher Frère Paul,
Tu m’as récemment interrogé sur le pontificat du Pape François dont la compréhension de sa geste pétrinienne est singulièrement déroutante ; oui, il nous déroute, car il est seul, et bien peu de clercs ne font d’efforts pour expliquer ses décisions. Mais il me semble qu’il s’agit d’une disposition de la Providence en lien avec la Fin des Temps. En effet, ne faut-il pas que s’accomplisse la parole de Jésus ? « N’appelez personne père, car vous n’avez qu’un seul Père, Dieu… »
N’y a-t-il pas urgence à ce que les fidèles aient la clarté du chemin à prendre pour se laisser réaliser, s’accomplir enfants de Dieu ?
Ne faut-il pas que la paternité et la maternité sociale, institutionnelle et spirituelle de l’Église soient crucifiées ?
Ne doit-elle pas disparaître ?
N’est-il pas grand temps que le peuple de Dieu et tous les justes de la Terre n’atteignent leur maturité spirituelle pour affronter la grande tribulation purificatrice ?
Ce n’est pas l’Église qui nous engendre. Certes, il est vrai qu’elle est un instrument privilégié pour notre salut, mais il est assurément vrai qu’elle ne nous engendre pas, mais que c’est bien Dieu le Père qui nous engendre par son Fils à l’intérieur d’une adoption qui a pour lait le Précieux Sang de Jésus et les Saintes Larmes de Marie. Il est à chacun d’entre-nous d’établir une relation personnelle avec le Christ Jésus, et que plus personne ne fasse obstacle à l’usage explicite du libre-arbitre de telle manière qu’en cet usage, il perçoive le don de la liberté de Dieu. Il ne peut y avoir de relation d’autorité entre le conseiller spirituel et le pénitent, le rôle du conseiller est d’éclairer le discernement non d’imposer sa volonté, de la même manière, il importe que le pénitent ne s’attache pas à son conseiller au-delà de la confiance, mais qu’il s’attache jalousement à Jésus. Il nous faut considérer que vient le temps très proche où nous aurons pour seul bagage notre foi pour affronter le déferlement d’épreuves découlant de la Sainte Justice du Père éternel.
Le Pape François est le Pasteur qui marche dans la lumière de la Fin des Temps, comme l’a annoncé la Vierge Marie à Garabandal : « […] alors que la Pape Jean XXIII venait de mourir, la conversation entre Conchita et sa mère, puis avec Maximina, Mme Ortiz et une autre femme, se termina ainsi : « Après ce Pape (Jean XXIII), il n’en reste plus que trois, et ensuite ce sera la Fin des Temps… La Vierge n’a pas dit « La Fin du Monde », mais la « Fin des Temps » Quant à Conchita, elle affirmera n’en pas savoir la différence… [1]»
Comme déjà précisé en d’autres articles, le Pape émérite Benoît XVI, par sa renonciation, a ouvert l’Apocalypse, il a abaissé l’Église pour qu’elle ne retienne plus, au-delà du temps imparti, l’Antéchrist, car la fin des nations est à son accomplissement. Qu’importe ce qui l’aura poussé à cette décision, le fait est, que Dieu l’a retournée contre le Mauvais et ceux qui le servent[2]. C’est donc à la lumière des Fins Dernières qu’il faut regarder les décisions du Pape François, la convocation du prochain synode nous y aide beaucoup ; nous constatons une accélération des réformes qui, pour certaines sont des applications recommandées par le Concile de Trente, et nous nous réjouissons que notre Pape marche davantage à découvert pour ce qui est de la gouvernance des peuples comme nous l’avons vu récemment avec l’Etat italien au sujet des lois liberticides et profondément contraires à la Loi Naturelle. Il se pourrait bien que tout ceci soit en lien avec les entrevues privées accordées au Père Pétard et à l’évêque du diocèse de Medjugorje dont le statut est changé puisque le lieu saint dépend directement de la Secrétairerie d’Etat du Vatican, c’est-à-dire sous l’autorité directe du Pape.
Mais je reviens sur le motu proprio : Traditionis custodes. Comme je l’ai écrit dans ma lettre du 24 juin dernier, au sujet de la décision de l’évêque de Dijon envers la Fraternité Saint Pierre : Une décision justifiée. Le Pape dans son motu proprio en explique les raisons, et pour autant, le rite extraordinaire n’est pas interdit, mais l’autorisation en revient exclusivement à l’ordinaire du diocèse : « Selon un nouveau motu proprio, le rôle de l’évêque est primordial dans la régulation de la célébration suivant l’ancien rite: « Il est de sa compétence exclusive d’autoriser le recours au Missale Romanum de 1962 dans son diocèse, selon les directives du Siège Apostolique ». Il est également dans la responsabilité de l’évêque de veiller à ce que les groupes qui célèbrent aujourd’hui avec le missel de 1962 « n’excluent pas la validité et la légitimité de la réforme liturgique, des écrits du Concile Vatican II et du Magistère Pontifical ». Ces dispositions nouvelles et plus vigilantes sont dues à un : « risque de la division ». « C’est pour défendre l’unité du Corps du Christ que je me vois contraint de révoquer la faculté accordée par mes prédécesseurs », écrit le pape dans une lettre aux évêques qui accompagne un motu proprio et dans laquelle il explique les raisons de sa décision soulignant qu’« il est de plus en plus évident … qu’il existe un rapport étroit entre le choix des célébrations selon les livres liturgiques antérieurs au Concile Vatican II et le rejet de l’Église et de ses institutions au nom de ce qu’ils jugent être la ‘vraie Église’ ». « Il s’agit d’un comportement qui contredit la communion, affirme le pape, qui alimente cette tendance à la division … contre laquelle l’apôtre Paul a fermement réagi.[3] » Ces explications sont historiquement vraies, je peux en témoigner puisque j’ai bien connu les décideurs qui, en leur temps, avaient d’eux-mêmes, sollicité la bienveillance de Rome pour réintégrer l’unité après le schisme de Mgr Lefebvre, mais avec la ferme intention de ne pas respecter les engagements dument signés ; pour eux, il était clair que la seule liturgie valide est et demeure celle précédant la réforme du Pape saint Jean XXIII, et il n’était pas question de considérer valide le Second Concile du Vatican. En cela, ils ont été déloyaux, et le sont restés au vue de la liturgie qu’ils ont déployée lors des Fêtes Pascales dans la paroisse Saint Matthieu du diocèse de Perpignan-Elne. Il faut également noter qu’accueillis dans une paroisse, ils finissent toujours par s’imposer en conquérants, bafouant la lettre et l’esprit « du motu proprio Summorum Pontificum (2007) par Benoît XVI ».
Il est évident, qu’il n’est pas acceptable que ces fraternités sacerdotales traditionnelles n’aient aucune loyauté envers l’Église et le Saint Siège, et demeurent explicitement un contre témoignage de charité puisque qu’elles se refusent à poser un acte de communion à Pierre par ce qu’elles rejettent la messe selon la réforme conciliaire, ne la croyant pas valide. Une attitude qui développe un enfermement dur qu’elles ont déployé autour d’elles, se forgeant l’image d’un élitisme social-religieux ou s’y mêlent des options politiques qui n’ont rien à voir avec l’intention de Jésus. Certainement, en elles se trouvent de pieux prêtres et laïcs, mais ils sont rarement aux responsabilités et bien trop souvent muselés par des clivages dominants qui ont peu de chose à voir avec la mission de l’Eglise qui est l’annonce de l’Évangile à tous.
La décision souveraine du Pape François prise après une consultation dans l’esprit synodal pose un ultimatum à tous les membres de ces fraternités, ils vont devoir exprimer personnellement et clairement leur position quant à la réalité de leur communion dans l’Église à laquelle tout baptisé est ordonné et obligé.
Il se pose pour ces communautés la question de l’universalité du sacerdoce qui ne peut être confiné à des particularités exorbitées de la communion et de la charité. Ce questionnement doit les guider ainsi que la Fraternité Saint Pie X dans leur position quant à la montée en puissance des tribulations purificatrices.
Les dispositions prises par le Pape François ont pour objet de mettre en situation de résistance spirituelle l’ensemble de l’Église, car le déchainement des puissances dévastatrices va s’accélérer, la preuve en est signifiée par la visite intentionnellement transgressive du Président Macron à Lourdes.
Tout nous laisse croire que la réforme de la Curie et de toutes les institutions vont interpeler tous les courants qui, profitant du Second Concile du Vatican, ont accéléré les désordres que nous avons traversés et que nous continuons d’affronter : « Quand on lit la lettre du Pape aux évêques, le Saint-Père demande un renouveau eucharistique et une nouvelle attention à la liturgie pour toute l’Église, et pas seulement pour le missel extraordinaire mais pour le missel romain de Paul VI. Il y a eu des excès, et il faut que tous, se sentent concernés par ce renouveau eucharistique et liturgique. Nous devrons le travailler partout.[4] »
On ne peut ignorer que les raisons qui amenèrent le surgissement des courants traditionalistes est dû à la crise provoquée par les courants progressistes qui ne cachèrent jamais leur intention de détruire tout ce qui existait au nom d’une mise à jour délirante, aux pratiques iconoclastes sans aucun souci de charité, et dont les conséquences désastreuses se poursuivent encore aujourd’hui dans les domaines de la liturgie, de la doctrine, ce qui engendra les scandales moraux que nous affrontons encore. Si chacun d’entre les catholiques est responsable de ses choix, il est important de souligner que les iconoclastes d’hier et d’aujourd’hui ont une responsabilité à résonance universelle dont ils auront à répondre, et qui justifia la vision de l’enfer jusqu’au Tartare à Fatima, à Garabandal et ailleurs.
Tu comprends alors Mon Cher Frère, les raisons de mon insistance à rester uni au successeur de Pierre, et de prier, prier sans jamais ignorer la nécessaire charité que nous devons les uns envers les autres et envers tous les hommes que Jésus appelle avec une presse amoureuse.
________________________________________________________
[1] - Extrait du livre du Père Santiago Juan de Maria-1961)
[2] - Le mystère du mal de Giorgio Agamben ed. Bayard.
[3] -Extrait de Zénit
[4] - tiré de News Vatican
Mis à jour : il y a un jour
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Pierre Charles Aubrit Saint Pol
Mon Cher Frère Paul,
Tu m’as récemment interrogé sur le pontificat du Pape François dont la compréhension de sa geste pétrinienne est singulièrement déroutante ; oui, il nous déroute, car il est seul, et bien peu de clercs ne font d’efforts pour expliquer ses décisions. Mais il me semble qu’il s’agit d’une disposition de la Providence en lien avec la Fin des Temps. En effet, ne faut-il pas que s’accomplisse la parole de Jésus ? « N’appelez personne père, car vous n’avez qu’un seul Père, Dieu… »
N’y a-t-il pas urgence à ce que les fidèles aient la clarté du chemin à prendre pour se laisser réaliser, s’accomplir enfants de Dieu ?
Ne faut-il pas que la paternité et la maternité sociale, institutionnelle et spirituelle de l’Église soient crucifiées ?
Ne doit-elle pas disparaître ?
N’est-il pas grand temps que le peuple de Dieu et tous les justes de la Terre n’atteignent leur maturité spirituelle pour affronter la grande tribulation purificatrice ?
Ce n’est pas l’Église qui nous engendre. Certes, il est vrai qu’elle est un instrument privilégié pour notre salut, mais il est assurément vrai qu’elle ne nous engendre pas, mais que c’est bien Dieu le Père qui nous engendre par son Fils à l’intérieur d’une adoption qui a pour lait le Précieux Sang de Jésus et les Saintes Larmes de Marie. Il est à chacun d’entre-nous d’établir une relation personnelle avec le Christ Jésus, et que plus personne ne fasse obstacle à l’usage explicite du libre-arbitre de telle manière qu’en cet usage, il perçoive le don de la liberté de Dieu. Il ne peut y avoir de relation d’autorité entre le conseiller spirituel et le pénitent, le rôle du conseiller est d’éclairer le discernement non d’imposer sa volonté, de la même manière, il importe que le pénitent ne s’attache pas à son conseiller au-delà de la confiance, mais qu’il s’attache jalousement à Jésus. Il nous faut considérer que vient le temps très proche où nous aurons pour seul bagage notre foi pour affronter le déferlement d’épreuves découlant de la Sainte Justice du Père éternel.
Le Pape François est le Pasteur qui marche dans la lumière de la Fin des Temps, comme l’a annoncé la Vierge Marie à Garabandal : « […] alors que la Pape Jean XXIII venait de mourir, la conversation entre Conchita et sa mère, puis avec Maximina, Mme Ortiz et une autre femme, se termina ainsi : « Après ce Pape (Jean XXIII), il n’en reste plus que trois, et ensuite ce sera la Fin des Temps… La Vierge n’a pas dit « La Fin du Monde », mais la « Fin des Temps » Quant à Conchita, elle affirmera n’en pas savoir la différence… [1]»
Comme déjà précisé en d’autres articles, le Pape émérite Benoît XVI, par sa renonciation, a ouvert l’Apocalypse, il a abaissé l’Église pour qu’elle ne retienne plus, au-delà du temps imparti, l’Antéchrist, car la fin des nations est à son accomplissement. Qu’importe ce qui l’aura poussé à cette décision, le fait est, que Dieu l’a retournée contre le Mauvais et ceux qui le servent[2]. C’est donc à la lumière des Fins Dernières qu’il faut regarder les décisions du Pape François, la convocation du prochain synode nous y aide beaucoup ; nous constatons une accélération des réformes qui, pour certaines sont des applications recommandées par le Concile de Trente, et nous nous réjouissons que notre Pape marche davantage à découvert pour ce qui est de la gouvernance des peuples comme nous l’avons vu récemment avec l’Etat italien au sujet des lois liberticides et profondément contraires à la Loi Naturelle. Il se pourrait bien que tout ceci soit en lien avec les entrevues privées accordées au Père Pétard et à l’évêque du diocèse de Medjugorje dont le statut est changé puisque le lieu saint dépend directement de la Secrétairerie d’Etat du Vatican, c’est-à-dire sous l’autorité directe du Pape.
Mais je reviens sur le motu proprio : Traditionis custodes. Comme je l’ai écrit dans ma lettre du 24 juin dernier, au sujet de la décision de l’évêque de Dijon envers la Fraternité Saint Pierre : Une décision justifiée. Le Pape dans son motu proprio en explique les raisons, et pour autant, le rite extraordinaire n’est pas interdit, mais l’autorisation en revient exclusivement à l’ordinaire du diocèse : « Selon un nouveau motu proprio, le rôle de l’évêque est primordial dans la régulation de la célébration suivant l’ancien rite: « Il est de sa compétence exclusive d’autoriser le recours au Missale Romanum de 1962 dans son diocèse, selon les directives du Siège Apostolique ». Il est également dans la responsabilité de l’évêque de veiller à ce que les groupes qui célèbrent aujourd’hui avec le missel de 1962 « n’excluent pas la validité et la légitimité de la réforme liturgique, des écrits du Concile Vatican II et du Magistère Pontifical ». Ces dispositions nouvelles et plus vigilantes sont dues à un : « risque de la division ». « C’est pour défendre l’unité du Corps du Christ que je me vois contraint de révoquer la faculté accordée par mes prédécesseurs », écrit le pape dans une lettre aux évêques qui accompagne un motu proprio et dans laquelle il explique les raisons de sa décision soulignant qu’« il est de plus en plus évident … qu’il existe un rapport étroit entre le choix des célébrations selon les livres liturgiques antérieurs au Concile Vatican II et le rejet de l’Église et de ses institutions au nom de ce qu’ils jugent être la ‘vraie Église’ ». « Il s’agit d’un comportement qui contredit la communion, affirme le pape, qui alimente cette tendance à la division … contre laquelle l’apôtre Paul a fermement réagi.[3] » Ces explications sont historiquement vraies, je peux en témoigner puisque j’ai bien connu les décideurs qui, en leur temps, avaient d’eux-mêmes, sollicité la bienveillance de Rome pour réintégrer l’unité après le schisme de Mgr Lefebvre, mais avec la ferme intention de ne pas respecter les engagements dument signés ; pour eux, il était clair que la seule liturgie valide est et demeure celle précédant la réforme du Pape saint Jean XXIII, et il n’était pas question de considérer valide le Second Concile du Vatican. En cela, ils ont été déloyaux, et le sont restés au vue de la liturgie qu’ils ont déployée lors des Fêtes Pascales dans la paroisse Saint Matthieu du diocèse de Perpignan-Elne. Il faut également noter qu’accueillis dans une paroisse, ils finissent toujours par s’imposer en conquérants, bafouant la lettre et l’esprit « du motu proprio Summorum Pontificum (2007) par Benoît XVI ».
Il est évident, qu’il n’est pas acceptable que ces fraternités sacerdotales traditionnelles n’aient aucune loyauté envers l’Église et le Saint Siège, et demeurent explicitement un contre témoignage de charité puisque qu’elles se refusent à poser un acte de communion à Pierre par ce qu’elles rejettent la messe selon la réforme conciliaire, ne la croyant pas valide. Une attitude qui développe un enfermement dur qu’elles ont déployé autour d’elles, se forgeant l’image d’un élitisme social-religieux ou s’y mêlent des options politiques qui n’ont rien à voir avec l’intention de Jésus. Certainement, en elles se trouvent de pieux prêtres et laïcs, mais ils sont rarement aux responsabilités et bien trop souvent muselés par des clivages dominants qui ont peu de chose à voir avec la mission de l’Eglise qui est l’annonce de l’Évangile à tous.
La décision souveraine du Pape François prise après une consultation dans l’esprit synodal pose un ultimatum à tous les membres de ces fraternités, ils vont devoir exprimer personnellement et clairement leur position quant à la réalité de leur communion dans l’Église à laquelle tout baptisé est ordonné et obligé.
Il se pose pour ces communautés la question de l’universalité du sacerdoce qui ne peut être confiné à des particularités exorbitées de la communion et de la charité. Ce questionnement doit les guider ainsi que la Fraternité Saint Pie X dans leur position quant à la montée en puissance des tribulations purificatrices.
Les dispositions prises par le Pape François ont pour objet de mettre en situation de résistance spirituelle l’ensemble de l’Église, car le déchainement des puissances dévastatrices va s’accélérer, la preuve en est signifiée par la visite intentionnellement transgressive du Président Macron à Lourdes.
Tout nous laisse croire que la réforme de la Curie et de toutes les institutions vont interpeler tous les courants qui, profitant du Second Concile du Vatican, ont accéléré les désordres que nous avons traversés et que nous continuons d’affronter : « Quand on lit la lettre du Pape aux évêques, le Saint-Père demande un renouveau eucharistique et une nouvelle attention à la liturgie pour toute l’Église, et pas seulement pour le missel extraordinaire mais pour le missel romain de Paul VI. Il y a eu des excès, et il faut que tous, se sentent concernés par ce renouveau eucharistique et liturgique. Nous devrons le travailler partout.[4] »
On ne peut ignorer que les raisons qui amenèrent le surgissement des courants traditionalistes est dû à la crise provoquée par les courants progressistes qui ne cachèrent jamais leur intention de détruire tout ce qui existait au nom d’une mise à jour délirante, aux pratiques iconoclastes sans aucun souci de charité, et dont les conséquences désastreuses se poursuivent encore aujourd’hui dans les domaines de la liturgie, de la doctrine, ce qui engendra les scandales moraux que nous affrontons encore. Si chacun d’entre les catholiques est responsable de ses choix, il est important de souligner que les iconoclastes d’hier et d’aujourd’hui ont une responsabilité à résonance universelle dont ils auront à répondre, et qui justifia la vision de l’enfer jusqu’au Tartare à Fatima, à Garabandal et ailleurs.
Tu comprends alors Mon Cher Frère, les raisons de mon insistance à rester uni au successeur de Pierre, et de prier, prier sans jamais ignorer la nécessaire charité que nous devons les uns envers les autres et envers tous les hommes que Jésus appelle avec une presse amoureuse.
________________________________________________________
[1] - Extrait du livre du Père Santiago Juan de Maria-1961)
[2] - Le mystère du mal de Giorgio Agamben ed. Bayard.
[3] -Extrait de Zénit
[4] - tiré de News Vatican
veryoui- Avec l'Archange Saint Michel
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Re: LETTRE A MON FRERE DANS LA FOI n° 2 de P. C. Aubrit St Pol
Je ne peut m’empêcher de constater que le peuple, du moins ici en France, est tombé, à cause de son irréligion, à effectivement dans son désarroi à attendre, les allocutions de notre président comme un peuple pourrait attendre ou écouter au pied d'une montagne sainte la loi qui sortirait de sa bouche. c'est la une drôle de mystique devenue évidente, qu'on se le cache ou non.la ville pétrifiée, figée, est dans une attente désespérante. Le seul endroit où l’humanité bondissait aura été un supermarché. La cité attend son roi.
Si la Tv est une image de la bête comme le disent certains chrétiens, il n'y à plus rien à espérer des choses de la terre
Yeshoua- Avec Saint Joseph
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Re: LETTRE A MON FRERE DANS LA FOI n° 2 de P. C. Aubrit St Pol
Désolé Pierre Aubrit mais votre lettre est pour moi un tissus de contradictions !
En Dieu il n'est pas de division !
Il vaut mieux obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes, il vaut mieux se consacrer aux 2 coeurs unis de Jésus et Marie plutôt que de suivre aveuglement un Pape qui nous pousse dans un gouffre...!
Il n'est pas légitime d'obéir au Pape quand celui-ci agit contre le Christ et contre l'Eglise!
Il ne faut pas confondre eglise catholique et Macronie.
Le Pape est légitime dans ses décisions uniquement lorsqu'elles sont conformes à la volonté de Dieu. Tout le reste est division.
Jésus a dit à Pierre "Passe derrière moi Satan, tes pensées ne sont pas celles de Dieu mais celles des hommes"
En Dieu il n'est pas de division !
Il vaut mieux obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes, il vaut mieux se consacrer aux 2 coeurs unis de Jésus et Marie plutôt que de suivre aveuglement un Pape qui nous pousse dans un gouffre...!
Il n'est pas légitime d'obéir au Pape quand celui-ci agit contre le Christ et contre l'Eglise!
Il ne faut pas confondre eglise catholique et Macronie.
Le Pape est légitime dans ses décisions uniquement lorsqu'elles sont conformes à la volonté de Dieu. Tout le reste est division.
Jésus a dit à Pierre "Passe derrière moi Satan, tes pensées ne sont pas celles de Dieu mais celles des hommes"
Buni- Hosanna au plus haut des cieux!
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territoire en héritage et Zamie aiment ce message
Re: LETTRE A MON FRERE DANS LA FOI n° 2 de P. C. Aubrit St Pol
Si le pape François se préoccupe de la vaccination,alors le Professeur Raoult devrait nous commenter le Credo!
La pandémie actuelle,c'est la Bête de l'Apocalypse,ou du moins une de ses premières manifestations.
La vaccination est donc l'injection de cette Bête,légèrement modifiée par les hommes.
L'Ecriture parle du "signe de la bête" et l'on ne pourra ni acheter ni vendre sans ce signe ou son image.(code QR).
La pandémie actuelle,c'est la Bête de l'Apocalypse,ou du moins une de ses premières manifestations.
La vaccination est donc l'injection de cette Bête,légèrement modifiée par les hommes.
L'Ecriture parle du "signe de la bête" et l'on ne pourra ni acheter ni vendre sans ce signe ou son image.(code QR).
pax et bonum- Avec les anges
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