Quitter l'Islam en France : Appel à témoignages
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Quitter l'Islam en France : Appel à témoignages
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Dernière édition par Lumen le Sam 13 Fév 2021 - 10:17, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Quitter l'Islam en France : Appel à témoignages
C'est une très mauvaise idée que cette démarche ici; cela ne pourra que géner les convertis et ceux qui les aides. Il est urgent de rester dans une certaine discrétion. Celui qui est à l'initiative de cette ligne sur ce forum et ceux qui ne s'y sont pas opposés sont irresponsables.
Re: Quitter l'Islam en France : Appel à témoignages
C'est pas croyable que dans un pays démocratique comme la France il est difficile pour une personne d'origine musulmane de changer de relion. En Iran, je comprend. Mais en France, je suis sidéré. Bon courage à ceux qui ont entrepris une conversion.
demetang- Près de Jésus Christ
- Messages : 22
Localisation : Québec
Inscription : 12/09/2005
Re: Quitter l'Islam en France : Appel à témoignages
Surleroc a écrit:C'est une très mauvaise idée que cette démarche ici; cela ne pourra que géner les convertis et ceux qui les aides. Il est urgent de rester dans une certaine discrétion. Celui qui est à l'initiative de cette ligne sur ce forum et ceux qui ne s'y sont pas opposés sont irresponsables.
Si cette idée est motivée par l'orgeuil alors oui c'est une mauvaise idée.
Si votre réaction est motivée par la peur alors votre réaction n'est une bonne réaction.
Dans tous les cas, les convertis sont souvent très isolés. Cette démarche peut leur permettrent de s'organiser en communauté car physiquement les chrétiens et musulmans ne vivent pas aux mêmes endroits. Initialement le christianisme s'est développé par la formation de myriades de petites communautés.
Re: Quitter l'Islam en France : Appel à témoignages
Ce n'est pas ma peur dont il s'agit, mais la discrétion est importante pour les organismes qui ont vocation de venir en aide aux convertis; la situation actuelle exige une extrême prudence. Ces organismes ont leur grille d'assistance et n'ont besoin d'aucun publicité; enfin ces convertis sont introduits dans des réseaux de solidarité, qui là aussi exigent discrétion.
Cette démarche est un manque de jugement, de discernement. Les arguments que vous présentez s'effrondre d'eux-mêmes. Vous ne connaissez pas le sujet. Il faut fermer cette ligne de discution, par charité pour nos frères convertis.
Cette démarche est un manque de jugement, de discernement. Les arguments que vous présentez s'effrondre d'eux-mêmes. Vous ne connaissez pas le sujet. Il faut fermer cette ligne de discution, par charité pour nos frères convertis.
Re: Quitter l'Islam en France : Appel à témoignages
Il faut arrêter monsieur Surleroc vos postes intempestifs [...] de quelles couleurs qu'ils soient.
Votre polémique ne sert à rien et ici ce n'est pas un fil pour faire le procès des confessions qu'elles soient musulmanes, juives ou autres.
C'est un fil qui se veut pour la défense de tout un chacun, de choisir sa religion et son chemin vers Dieu.
C'est pourquoi Piotr, excusez-moi votre vidéo n'a pas sa place dans mon fil, elle est hors-sujet.
Je demande à un modérateur de le déplacer et en faire éventuellement un autre sujet pour Piotr (?)
Merci de respecter le caractère de ce fil s'il vous plaît.
Nous sommes en temps de Carême, temps pour faire grandir la place de Dieu dans nos Cœurs et
faire plus de place donc à Son Amour et sa Miséricorde Infinie envers tous.
Défendre la liberté des opprimés, des martyrs de toutes confessions devait être le but de tout un chacun,
quelque soient sa religion.
Ce fil a sa place sur ce forum.
Votre polémique ne sert à rien et ici ce n'est pas un fil pour faire le procès des confessions qu'elles soient musulmanes, juives ou autres.
C'est un fil qui se veut pour la défense de tout un chacun, de choisir sa religion et son chemin vers Dieu.
C'est pourquoi Piotr, excusez-moi votre vidéo n'a pas sa place dans mon fil, elle est hors-sujet.
Je demande à un modérateur de le déplacer et en faire éventuellement un autre sujet pour Piotr (?)
Merci de respecter le caractère de ce fil s'il vous plaît.
Nous sommes en temps de Carême, temps pour faire grandir la place de Dieu dans nos Cœurs et
faire plus de place donc à Son Amour et sa Miséricorde Infinie envers tous.
Défendre la liberté des opprimés, des martyrs de toutes confessions devait être le but de tout un chacun,
quelque soient sa religion.
Ce fil a sa place sur ce forum.
Invité- Invité
Re: Quitter l'Islam en France : Appel à témoignages
L’apostasie est punie de mort dans l’islam.
Il en résulte que les musulmans ne sont pas libres de quitter cette religion. Même en France, ceux qui quittent l’islam, plus encore pour se convertir à une autre religion, sont souvent rejetés par leurs familles et entourages, ils subissent des pressions, menaces et parfois même des violences pouvant aller jusqu’à l’assassinat. Fréquemment, ils sont contraints de vivre leur foi dans la clandestinité et de déménager.
Une telle situation est inacceptable en France, terre de chrétienté et de liberté.
Le projet de loi confortant les principes de la République doit être l’occasion de dénoncer et de sanctionner ces « entraves à la conversion », afin de renforcer la liberté de conscience, en particulier des personnes d’origine musulmane.
Le projet de loi contient une bonne disposition à cet égard car il renforce, par rapport à la loi de 1905, les peines encourues par ceux qui font entrave à la liberté de conscience et de religion. Ainsi, l’article 38 du projet de loi punit d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende les auteurs de menaces ayant des conséquences sur l’exercice du culte par un individu, et porte à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende la peine encourue lorsque l’auteur des faits agit par voie de fait ou par violence. Sont visées les personnes qui « auront déterminé [une autre personne] à exercer ou à s'abstenir d’exercer un culte, à faire partie ou à cesser de faire partie d'une association cultuelle, à contribuer ou à s'abstenir de contribuer aux frais d’un culte. »
Jusqu’à présent, la peine encourue était seulement une contravention de 5ème classe et un emprisonnement de six jours à deux mois, ou l'une de ces deux peines. Le nouveau dispositif renforce donc sérieusement la peine encourue, sur recommandation du Conseil d’État.
Cette nouvelle rédaction va donc dans le bonne direction, mais elle reste insuffisante car elle ne permet de sanctionner les menaces que lorsque celles-ci sont parvenues « à déterminer », c’est-à-dire à forcer une personne à pratiquer ou à s’abstenir de pratiquer. Elle ne sanctionne pas, en elles-mêmes, les menaces dans le domaine religieux.
Ainsi, cette disposition pénale ne protège pas efficacement une personne qui serait dissuadée, sous la pression de son entourage, de quitter l’islam ou une autre religion. L’importance de la liberté de conscience, et la réalité des pressions religieuses intracommunautaires, justifient et même requièrent qu’il soit introduit dans le projet de loi une disposition punissant explicitement « l’entrave à la conversion ». Cela pourrait être fait aisément à l’article 38.
Il serait aussi possible d’ajouter une référence aux libertés de conscience et de culte dans l’article 431-1 du code pénal qui punit le fait d'entraver, d'une manière concertée et à l'aide de menaces, coups, violences, voies de fait, destructions ou dégradations l'exercice de la liberté d'expression, du travail, d'association, de réunion ou de manifestation.
Le droit de changer de religion doit être défendu et garanti efficacement, y compris pénalement. Lorsqu’il a été discuté par les Nations Unies, certains pays musulmans s’y sont opposés au nom de la charia et sont parvenus à le faire passer sous silence. C’est pourquoi le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (1966) ne garantit que la liberté « d'avoir ou d'adopter une religion ou une conviction de son choix », mais non explicitement celle d’en changer, à la différence de la Convention européenne des droits de l’homme.
Le refus de la liberté de changer de religion est un élément essentiel de la charia, mais on ne peut accepter que certaines populations, en France, s’opposent à cette liberté, car elle est la condition même de la recherche de la vérité.
L’inscription, dans le droit français, d’un « délit d’entrave à la conversion » serait ainsi utile juridiquement, et politiquement.
Signataires
Moh. Christophe Bilek, converti, auteur de Des musulmans qui deviennent chrétiens - Signe des temps pour l'Eglise, Qabel, 2013.
Jean-François Chemain, auteur de Ils ont choisi le Christ. Ces convertis de l’Islam dont on ne parle pas, Artège, 2019.
Mehdi-Emmanuel Djaadi, converti, comédien, auteur du spectacle Coming Out.
Joseph Fadelle, converti, auteur de Du prix à payer, L’Oeuvre, 2010.
Marc Fromager, directeur de la Mission Ismérie, ancien directeur de l’Aide à l’Eglise en détresse.
Annie Laurent, spécialiste de l’islam, fondatrice de l'association Clarifier.
Abbé Fabrice Loiseau, fondateur des Missionnaires de la Miséricorde divine.
Yassine Mansour, converti, doctorant, Université d’Aix-Marseille.
Thibault de Montbrial, avocat, Président du Centre de Réflexion sur la Sécurité Intérieure
Guy Stremsdoerfer, communauté de l’épiphanie.
Said Oujibou, converti, Pasteur évangélique.
Grégor Puppinck, directeur de l’ECLJ, initiateur de la tribune.
Boualem Sansal, écrivain.
D’autres personnes ayant quitté l’islam soutiennent cette tribune mais gardent l’anonymat par sécurité.
Il en résulte que les musulmans ne sont pas libres de quitter cette religion. Même en France, ceux qui quittent l’islam, plus encore pour se convertir à une autre religion, sont souvent rejetés par leurs familles et entourages, ils subissent des pressions, menaces et parfois même des violences pouvant aller jusqu’à l’assassinat. Fréquemment, ils sont contraints de vivre leur foi dans la clandestinité et de déménager.
Une telle situation est inacceptable en France, terre de chrétienté et de liberté.
Le projet de loi confortant les principes de la République doit être l’occasion de dénoncer et de sanctionner ces « entraves à la conversion », afin de renforcer la liberté de conscience, en particulier des personnes d’origine musulmane.
Le projet de loi contient une bonne disposition à cet égard car il renforce, par rapport à la loi de 1905, les peines encourues par ceux qui font entrave à la liberté de conscience et de religion. Ainsi, l’article 38 du projet de loi punit d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende les auteurs de menaces ayant des conséquences sur l’exercice du culte par un individu, et porte à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende la peine encourue lorsque l’auteur des faits agit par voie de fait ou par violence. Sont visées les personnes qui « auront déterminé [une autre personne] à exercer ou à s'abstenir d’exercer un culte, à faire partie ou à cesser de faire partie d'une association cultuelle, à contribuer ou à s'abstenir de contribuer aux frais d’un culte. »
Jusqu’à présent, la peine encourue était seulement une contravention de 5ème classe et un emprisonnement de six jours à deux mois, ou l'une de ces deux peines. Le nouveau dispositif renforce donc sérieusement la peine encourue, sur recommandation du Conseil d’État.
Cette nouvelle rédaction va donc dans le bonne direction, mais elle reste insuffisante car elle ne permet de sanctionner les menaces que lorsque celles-ci sont parvenues « à déterminer », c’est-à-dire à forcer une personne à pratiquer ou à s’abstenir de pratiquer. Elle ne sanctionne pas, en elles-mêmes, les menaces dans le domaine religieux.
Ainsi, cette disposition pénale ne protège pas efficacement une personne qui serait dissuadée, sous la pression de son entourage, de quitter l’islam ou une autre religion. L’importance de la liberté de conscience, et la réalité des pressions religieuses intracommunautaires, justifient et même requièrent qu’il soit introduit dans le projet de loi une disposition punissant explicitement « l’entrave à la conversion ». Cela pourrait être fait aisément à l’article 38.
Il serait aussi possible d’ajouter une référence aux libertés de conscience et de culte dans l’article 431-1 du code pénal qui punit le fait d'entraver, d'une manière concertée et à l'aide de menaces, coups, violences, voies de fait, destructions ou dégradations l'exercice de la liberté d'expression, du travail, d'association, de réunion ou de manifestation.
Le droit de changer de religion doit être défendu et garanti efficacement, y compris pénalement. Lorsqu’il a été discuté par les Nations Unies, certains pays musulmans s’y sont opposés au nom de la charia et sont parvenus à le faire passer sous silence. C’est pourquoi le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (1966) ne garantit que la liberté « d'avoir ou d'adopter une religion ou une conviction de son choix », mais non explicitement celle d’en changer, à la différence de la Convention européenne des droits de l’homme.
Le refus de la liberté de changer de religion est un élément essentiel de la charia, mais on ne peut accepter que certaines populations, en France, s’opposent à cette liberté, car elle est la condition même de la recherche de la vérité.
L’inscription, dans le droit français, d’un « délit d’entrave à la conversion » serait ainsi utile juridiquement, et politiquement.
Signataires
Moh. Christophe Bilek, converti, auteur de Des musulmans qui deviennent chrétiens - Signe des temps pour l'Eglise, Qabel, 2013.
Jean-François Chemain, auteur de Ils ont choisi le Christ. Ces convertis de l’Islam dont on ne parle pas, Artège, 2019.
Mehdi-Emmanuel Djaadi, converti, comédien, auteur du spectacle Coming Out.
Joseph Fadelle, converti, auteur de Du prix à payer, L’Oeuvre, 2010.
Marc Fromager, directeur de la Mission Ismérie, ancien directeur de l’Aide à l’Eglise en détresse.
Annie Laurent, spécialiste de l’islam, fondatrice de l'association Clarifier.
Abbé Fabrice Loiseau, fondateur des Missionnaires de la Miséricorde divine.
Yassine Mansour, converti, doctorant, Université d’Aix-Marseille.
Thibault de Montbrial, avocat, Président du Centre de Réflexion sur la Sécurité Intérieure
Guy Stremsdoerfer, communauté de l’épiphanie.
Said Oujibou, converti, Pasteur évangélique.
Grégor Puppinck, directeur de l’ECLJ, initiateur de la tribune.
Boualem Sansal, écrivain.
D’autres personnes ayant quitté l’islam soutiennent cette tribune mais gardent l’anonymat par sécurité.
Invité- Invité
Re: Quitter l'Islam en France : Appel à témoignages
Ce sujet est évidemment important . il a ete lancé de surcroit par l'ECLJ que personne ne soupçonnera d'esprit partisan : la jurisprudence européenne est un point important qui libèrera esperons le , la "liberté " ( que n'ont pas les legislateurs nationaux ni les juges dans leurs délibérés et décisions qui pourraient êtretaxées d'anti religieuse contre l Islam ) de vivre dans le respect des Droits inalienables de l'Homme , et son point d'orgue la liberté de culte et d'exercer la religion de son choix
La demarche de l'ELCJ est donc a mon point de vue encourageante de ce point de vue
En ce qui concerne "l'appel à témoignage public" , nous ne pouvons méconnaitre les dangers qui menacent, et dont sont menacées, les personnes qui sont issues de familles musulmanes ...
Comme le dit @surleroc (*) des associations existent et les defendent dans le respect de leur anonymat
cet appel n'aurait il pas dû dire plus clairement leur engagement à rester dans l'anonymat et à le respecter pour leur part ?
En tous cas pour ma part c'est ce que j'écrirai à l'ECLJ (faites le aussi !), qui de façon plus que certaine est bien consciente de la prudence minimale à avoir et de la protection dont doivent faire l'objet ces frères et soeurs croyants menacés par les leurs , ou leurs coreligionnaires , maris , amis , voisins, qui se font un devoir d'appliquer des mesures discrétionnaires parfois criminelles , et qui sont tres insuffisamment jugées ni même portées a la connaissance de la justice
Les personnes qui rencontrent la foi chrétienne par exemple , le font parce qu'ils ont été touchés personnellement par Dieu dans la personne de Jésus: même non baptisés (par peur ou contrainte familiale ou culturelle ou menace islamiste), ils sont nos frères dans la foi en Jésus Fils de Dieu, qui a pris la chair humaine, a été crucifié , est mort est ressuscité des morts, est retourné vers Dieu Le Père tout Puissant, et reviendra juger les vivants ( dans la foi ) et les morts (qui l'ont renié, rejeté Jésus comme Dieu vivant , et haï ou non aimé tous les hommes , car Dieu est amour et nous jugera sur l'amour)
Nous leur devons de ne pas être exposé et mis en danger, et nous les invitons pour cet appel à temoigner de l'ECLJ à le faire non pas publiquement mais par l'intermediaire d'associations et d'organisations et d'associations qui existent pour les accompagner en toute securité et protection
il sera de leur liberté personnelle de rompre leur anonymat , ils savent bien la prudence face aux dangers dans lesquels ils sont apres leur conversion ( et souvent d'ailleurs le peu de connaissance des chrétiens sur leur situation dangereuse , et qui fait que leur place et integration dans l'église n'est pas toujours facile à ce titre):
"soyez rusés comme des serpents et prudents comme des colombes" est une parole de l'ecriture qui trouve toute sa place ici
(*) je ne crois pas que son point de vue soit intempestif en avertissant des pressions jusqua. l'insoutenable dont sont l'objet nos frères et soeurs musulmans , surtout si la question est portée sur la place publique : c'est un fait qui doit être intégré . De ce point de vue ce n'est pas non plus de sa part une critique ou polémique engagée vis à vis de telle ou telle religion non plus
Par contre son désir de voir disparaitre ce FIL et l'appel de l'ECLJ , s'il peut se comprendre n'est il pas surtout l'occasion au contraire de sortir cette question de l'omerta et l'ignorance qui l'entoure trop évidemment jusque dans nos paroisses pré et post catéchumenales ..... et de considerer cette demarche comme honorable, bénéfique et améliorable
La demarche de l'ELCJ est donc a mon point de vue encourageante de ce point de vue
En ce qui concerne "l'appel à témoignage public" , nous ne pouvons méconnaitre les dangers qui menacent, et dont sont menacées, les personnes qui sont issues de familles musulmanes ...
Comme le dit @surleroc (*) des associations existent et les defendent dans le respect de leur anonymat
cet appel n'aurait il pas dû dire plus clairement leur engagement à rester dans l'anonymat et à le respecter pour leur part ?
En tous cas pour ma part c'est ce que j'écrirai à l'ECLJ (faites le aussi !), qui de façon plus que certaine est bien consciente de la prudence minimale à avoir et de la protection dont doivent faire l'objet ces frères et soeurs croyants menacés par les leurs , ou leurs coreligionnaires , maris , amis , voisins, qui se font un devoir d'appliquer des mesures discrétionnaires parfois criminelles , et qui sont tres insuffisamment jugées ni même portées a la connaissance de la justice
Les personnes qui rencontrent la foi chrétienne par exemple , le font parce qu'ils ont été touchés personnellement par Dieu dans la personne de Jésus: même non baptisés (par peur ou contrainte familiale ou culturelle ou menace islamiste), ils sont nos frères dans la foi en Jésus Fils de Dieu, qui a pris la chair humaine, a été crucifié , est mort est ressuscité des morts, est retourné vers Dieu Le Père tout Puissant, et reviendra juger les vivants ( dans la foi ) et les morts (qui l'ont renié, rejeté Jésus comme Dieu vivant , et haï ou non aimé tous les hommes , car Dieu est amour et nous jugera sur l'amour)
Nous leur devons de ne pas être exposé et mis en danger, et nous les invitons pour cet appel à temoigner de l'ECLJ à le faire non pas publiquement mais par l'intermediaire d'associations et d'organisations et d'associations qui existent pour les accompagner en toute securité et protection
il sera de leur liberté personnelle de rompre leur anonymat , ils savent bien la prudence face aux dangers dans lesquels ils sont apres leur conversion ( et souvent d'ailleurs le peu de connaissance des chrétiens sur leur situation dangereuse , et qui fait que leur place et integration dans l'église n'est pas toujours facile à ce titre):
"soyez rusés comme des serpents et prudents comme des colombes" est une parole de l'ecriture qui trouve toute sa place ici
(*) je ne crois pas que son point de vue soit intempestif en avertissant des pressions jusqua. l'insoutenable dont sont l'objet nos frères et soeurs musulmans , surtout si la question est portée sur la place publique : c'est un fait qui doit être intégré . De ce point de vue ce n'est pas non plus de sa part une critique ou polémique engagée vis à vis de telle ou telle religion non plus
Par contre son désir de voir disparaitre ce FIL et l'appel de l'ECLJ , s'il peut se comprendre n'est il pas surtout l'occasion au contraire de sortir cette question de l'omerta et l'ignorance qui l'entoure trop évidemment jusque dans nos paroisses pré et post catéchumenales ..... et de considerer cette demarche comme honorable, bénéfique et améliorable
azais- MEDIATEUR
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Age : 73
Inscription : 10/02/2016
Re: Quitter l'Islam en France : Appel à témoignages
Je remercie Azaïs pour cette intervention qui enlève toute ambiguïté quant à l'intention de mon propos, et j'invite à prier pour nos frères qui pourJésus risquent beaucoup, et nous donnent une leçon de liberté et de courage.Ils aportent à l'Eglise une approche évangélique renouvelée dans une charité héroïque.
Re: Quitter l'Islam en France : Appel à témoignages
demetang a écrit:C'est pas croyable que dans un pays démocratique comme la France il est difficile pour une personne d'origine musulmane de changer de relion. En Iran, je comprend. Mais en France, je suis sidéré. Bon courage à ceux qui ont entrepris une conversion.
@demetang
Il y a en France autant de Musulmans que d'habitants au Québec ; la pression communautaire est donc très forte, et ce d'autant plus que la communauté musulmane est très peu intégrée, au point que le président français a mis en garde contre "le séparatisme islamique".
Calex- Combat l'antechrist
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Inscription : 26/06/2016
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